COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE GENERALE DU 12 SEPTEMBRE 2005

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1 COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE GENERALE DU 12 SEPTEMBRE 2005 Service "Direction Générale - Assemblée"

2 SOMMAIRE CARNET DE LA CHAMBRE DE COMMERCE Participants... 3 Excusés... 4 Prochaine Assemblée Générale... 4 QUESTIONS INSTITUTIONNELLES Départ du Directeur Général... 5 Réorganisation des services... 9 Représentation dans les organismes extérieurs : FERRMED CNIL : Commission Nationale de l Informatique et des Libertés Développement du territoire de Tarare CROISSANCE Rentrée sociale... 6 Dimension financière des nouvelles mesure en faveur des PME et fonds d investissement de proximité Pôles de compétitivité : exemple de Lyon Bus and Truck ENSEIGNEMENT Rapprochement CPA/EM LYON TRANSPORT : AEROPORT Société aéroportuaire Construction d une jetée sur le terminal Maintenance des équipements du système d enregistrement et d embarquement CREWS Assurance Responsabilité Civile Acquisition foncière Projet d aérogare Convention sur la participation financière du Département Point trafic

3 PARTICIPANTS Mesdames Sophie DEFFOREY-CREPET, Elisabeth GOUEDARD COMTE, Hélène MAZOYER, Blandine PEILLON, Elisabeth THION, Vanessa ROUSSET Messieurs Jean-Paul MAUDUY, Guy MATHIOLON, Bruno TARLIER, Philippe GUERAND, Pierre MOSSAZ, Christophe GRUY, Olivier FINAZ, Michel ALEXANDRE, Roland BERNARD, Jean-Albin BONNIER, Bertrand BOUIS, Pierre BOUTTAZ, Daniel BOUVARD, Jean CANETOS, Michel CARLES, Philippe CASILE, Patrick CELMA, Hervé CHAINE, Jean-Laurent CHAMALY, Jean-Luc CHAPIRON, Jean-Michel COQUARD, Bertrand DE SAINTE MARIE, Jacques DESCOURS, Michel DULAC, Pierre-Emmanuel FANTON, Jean-Claude GAS, Bertrand GOUAT, Jean-Luc GROLLEAU, François GUILLON, Daniel HUMBERT, Philipp HUSSON, Yves LACROIX, Yannick LECOANNET, Fabrice LENOIR, Patrice MARTINEZ, Henri MEUNIER, Yves MINSSIEUX, Xavier MOULLIN, Michel MULHAUSER, Guy PELLET, Yves POMMIER, Philippe PRADEL, Michel RELAVE, Philippe A. REYNAUD, Paul ROLLAND, François ROYER, Benoît SOURY, Daniel STRAZZERI, Philippe VALENTIN, Philippe VENDITELLI, Dominique VINAY (Membres élus) Messieurs Jean-Claude CAPELLI, Didier CHARBONNEL, Bernard DOISE, Norbert FONTANEL, Nicolas GIRARDET, Bernard GUINET, Philippe LESCARBOURA, Jean-François RENAUD, Philippe A. REYNAUD, Henri SABBAT (Membres Associés) - 3 -

4 EXCUSES Monsieur le Préfet du Rhône et de Région, Jean-Pierre LACROIX, représenté par Madame Solange SALAGER, Chef du Bureau Aménagement et Développement des Infrastructures Les Membres excusés sont : Marc DEGRANGE, Gilles PARDI (Membres Elus) Jean-Claude ARENA, Manan ATCHEKZAI, Serge COULAS, Bernard DUSSURGEY, Jacques POULAIN (Membres Associés) LA PROCHAINE ASSEMBLEE GENERALE AURA LIEU LE LUNDI 10 OCTOBRE 2005 A 14 HEURES EN SALLE JACQUARD PALAIS DU COMMERCE - 4 -

5 INFORMATIONS DU PRESIDENT Jean Martin JASPERS a quitté ses fonctions de Directeur Général Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que la CCI de Lyon vient de se séparer de son Directeur Général, Jean-Martin JASPERS. Ce départ a occasionné de très nombreuses rumeurs, et pourtant, dans le monde de l entreprise, il existe, à l embauche d un collaborateur, quel qu en soit le niveau, une période d essai, au cours de laquelle le collaborateur peut partir s il le souhaite et l employeur peut également lui demander de partir. Aujourd hui, un grand collaborateur de la Chambre a quitté ses fonctions au cours de sa période d essai, rien de plus. Cette décision a fait l objet de profondes réflexions du Président et du Bureau. En effet, l on ne demande pas à une personne de ce niveau de partir impunément. De plus, sur le plan humain, cette décision pose des problèmes pour la famille de Jean-Martin JASPERS, qui venait de prendre la décision de déménager sur Lyon. Mais le Président a pris toutes les précautions qui s imposent afin que tout se déroule le mieux possible. En dehors de cela, le Président Jean-Paul MAUDUY indique que le départ d un collaborateur de haut niveau, qu il soit issu du corps préfectoral ou d ailleurs, se déroule de la même manière que pour tout autre collaborateur, de manière convenable et en respectant la personne concernée. En réalité, Le Président Jean-Paul MAUDUY dit avoir passé le plus mauvais été de sa carrière. Il n a jamais constaté, dans aucune entreprise «normale», autant de difficultés pour gérer une telle affaire. Il souligne le fait que, désormais, dans cette Maison, plus personne n est intouchable. Sur cette affaire, il souligne le fait que le Bureau n a pas agi de manière désordonnée, mais après mûre réflexion. Il fait appel à la solidarité des membres de l Assemblée Générale à ce sujet. Il indique également qu il n entend faire aucune remarque désobligeante vis-à-vis de l ancien Directeur Général. Jean-Martin JASPERS est simplement parti à la demande de son employeur, au cours de sa période d essai

6 Suite à ce départ, le Président Jean-Paul MAUDUY indique qu il a repris provisoirement les fonctions de Directeur Général, qu il avait déjà assumées entre les mois de décembre 2004 et avril Au cours de cette période, il avait pu constater qu Yves GUYON, par son travail, l avait considérablement aidé. Le Bureau a donc décidé de le nommer, aujourd hui, Directeur Général Adjoint, jusqu à ce que le choix du nouveau Directeur Général soit fait, dans les jours à venir. Il fait également remarquer que la Chambre s ingénie généralement à aller chercher ses hauts dirigeants dans l Administration française. Il est vrai, selon lui, que cette dernière dispose de hauts fonctionnaires au-dessus de la moyenne, qui travaillent autant, sinon plus, que des entrepreneurs et qui ont le souci d assurer le service public. Mais une CCI n est pas un service public : elle se veut avant tout la garante de la politique des entreprises. Or, en prenant des dirigeants venus d ailleurs, elle agit comme si elle avait honte de se faire représenter par des entrepreneurs. Pourtant, il est naturel que des gens ayant d autres formations transforment la Chambre en autre chose. Pour éviter cet écueil, le Président Jean-Paul MAUDUY annonce que le prochain Directeur Général de la CCIL sera issu du monde de l entreprise. L Assemblée Générale applaudit. Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que le nouveau Directeur Général devra respecter profondément les élus politiques, travailler de concert avec l Etat et faire passer le message de la CCIL aux différentes instances politiques. Sur un plan personnel, le Président Jean-Paul MAUDUY rend enfin hommage à Yves GUYON, pour le service qu il a rendu au Bureau. Rentrée sociale 2005, avec des risques et des opportunités Le Président Jean-Paul MAUDUY dit accueillir les membres de l Assemblée Générale avec un plaisir toujours intact pour cette séance de rentrée. Il espère qu ils ont passé un bon été et qu ils ont engrangé courage et dynamisme pour assumer les importantes responsabilités qui les attendent dans leurs entreprises. Sur le plan économique, cette rentrée 2005 est marquée à la fois par des facteurs de risque et de grandes opportunités, car les entreprises sont toujours soumises à un contexte de croissance stable, dans le monde entier, sauf en France

7 Les facteurs de risque tiennent : - à l explosion du prix du pétrole, avec un baril qui tend vers les 70 $, et au manque de compétitivité des entreprises françaises, en particulier à l exportation ; - au déficit du commerce extérieur, que l augmentation du prix du pétrole va accélérer, ce qui constitue un réel enjeu. Ainsi, en Rhône-Alpes, les créations d entreprises ont diminué de 5 % en 2005 par rapport à 2004 et pratiquement de 11 % dans l industrie. Comme tous les membres de l Assemblée Générale, le Président Jean-Paul MAUDUY mise sur une redynamisation du secteur industriel grâce aux pôles de compétitivité, ce qui devient urgent. Mais il ne faut pas s y tromper : nombre de grands fleurons de l industrie rhônalpine ont disparu, ce qui impose de faire preuve de vigilance. Le Président Jean-Paul MAUDUY rappelle que l industrie constitue le socle lourd de la création d entreprise, car un emploi dans l industrie en crée trois dans d autres secteurs. Par conséquent, si l industrie va mal, nombre d autres secteurs économiques (commerçants, services, etc.) éprouveront des difficultés. Par ailleurs, les décisions stratégiques de réduction d activité prises par certains groupes entraînent bien sûr une réduction de la voilure des PME sous-traitantes. Le glissement à l Est d une partie de l industrie européenne s accélère, car le coût de la main d œuvre est de 20 en France quand il est de 4 de l heure en Europe de l Est. S adressant, un jour, au Président de SEB, Le Président Jean-Paul MAUDUY lui a dit qu il fallait faire attention aux délocalisations, car le monde de l entreprise est, lui aussi, chargé de la population et de l emploi. Ce dernier lui a répondu qu il était d accord, mais lui a demandé de lui expliquer comment fabriquer un fer à repasser, sachant que son coût de production était proche de 50 cents en Chine, alors qu il était de 23 euros, toutes charges comprises, en France. Cependant, le Président Jean-Paul MAUDUY souligne que les hommes et les femmes de ce pays peuvent compter sur les entrepreneurs, car ce sont eux qui feront la richesse et l emploi. Mais dans le même temps, d autres entreprises se développent sur le plan européen, comme le groupe RENAULT TRUCKS, acteur majeur du pôle de compétitivité «Bus and Truck 2015», qui fera l objet d une présentation au cours de la présente séance par Yves LACROIX

8 En définitive, la situation reste particulièrement contrastée entre des secteurs toujours dynamiques, comme l industrie pharmaceutique, la construction et l industrie agroalimentaire, et des secteurs qui enregistrent une baisse sensible de leur activité, comme les biens d équipement et les biens intermédiaires. Dans le secteur des services, la situation présente une même diversité, entre des indicateurs favorables pour les technologies de l information, l ingénierie ou les transactions immobilières, et une tendance inverse pour le tourisme, les agences de voyage, ou encore le travail temporaire. Dans le même temps, l Aéroport de Lyon Saint- Exupéry enregistre une augmentation de 7% de ses résultats en Il félicite Bernard CHAFFANGE, Directeur de l aéroport, pour ce chiffre, mais souligne qu il convient de le comparer à ceux des cinq autres grands aéroports concurrents, hors Paris. Bernard CHAFFANGE indique que la croissance cumulée de l aéroport de Lyon Saint- Exupéry s établit à 5,7 % à fin août, contre 5,2 % pour l aéroport de Nice, 2,2 % pour celui de Marseille, 3,5 % pour celui de Toulouse et 5,7 % pour celui de Bordeaux. En termes de croissance, Lyon Saint-Exupéry se situe donc au premier rang des aéroports de son importance. Le Président Jean-Paul MAUDUY poursuit en indiquant que le redressement de la conjoncture internationale sera sans doute timide, avec la menace de l impact de la hausse du pétrole. Il est, selon lui, trop tôt pour compter sur un élan de croissance venu de l extérieur, même si la croissance semble revenir peu à peu aux Etats-Unis, qui enregistrent 4 %, et alors que l Asie, pour sa part, maintient son extraordinaire croissance, à 10 %. La Chine, aujourd hui, est revenue sur ses fondamentaux : les mines, l agriculture Il devrait en être de même en France, concernant, notamment, le secteur nucléaire. En effet, le Président Jean-Paul MAUDUY souligne le fait que le pays se trouverait, au vu du contexte actuel, dans une situation très difficile s il n était pas en tête du secteur nucléaire, dans le monde. Le fait qu ITER soit implanté en France est un formidable espoir. Mais dans le même temps, il faudrait se demander pourquoi la centrale de Creys-Malville, formidable laboratoire de recherches rhônalpin, a été démantelée, et quelles en sont aujourd hui les conséquences sur l état de la recherche nucléaire française. Néanmoins, grâce à AREVA, la France reste en tête dans le domaine nucléaire, ce qui constitue pour lui une véritable chance alors que les problèmes liés au pétrole ne vont probablement que s amplifier à l avenir

9 Le Président Jean-Paul MAUDUY estime que les responsables d entreprises doivent adopter une attitude offensive afin de rechercher des opportunités et de garder le moral, car rien n est pire pour les affaires que le pessimisme ambiant. «La France et Lyon qui gagnent» existent aussi. Pour cette rentrée 2005, il souhaite que les entrepreneurs rhônalpins sachent saisir les opportunités qu offrent toujours les temps difficiles. La réorganisation des services progresse Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que la période estivale, grâce à une forte mobilisation de tous les Directeurs de la Chambre et de toutes leurs équipes, a permis de mener à bien le déménagement de 198 collaborateurs, conformément aux engagements pris par l équipe actuelle, dont le plan de mandat, élaboré avant les dernières élections par la CGPME et le MEDEF, prévoyait de rassembler dans le Palais tous les Services recevant les entreprises et de mettre en route la nouvelle organisation. Il rappelle que, le jour même de son discours d investiture, il a rappelé combien il lui paraissait insupportable que les chefs d entreprise soient reçus dans les rues adjacentes du Palais du Commerce, et non au sein même de cet édifice. Il a ainsi rendu cette Maison à ses propriétaires : les entreprises lyonnaises. Il lui paraît effectivement normal que les entrepreneurs soient reçus au cœur du Palais du Commerce. Pour cela, 8 bureaux ont été mis à leur disposition «rue des entrepreneurs», afin d organiser des rendez-vous individuels. Les entrepreneurs rentrent donc désormais au Palais du Commerce par la porte principale et non plus par les portes de services. En ce mois de septembre, la CCI de Lyon est donc en ordre de marche. Au-delà des déménagements, la réorganisation en cours vise à créer de nouvelles Directions plus souples, plus réactives et capables de réaliser le plan de mandat pour Les faiblesses de la précédente organisation étaient réelles : - elle rendait nécessaires de nouveaux efforts pour que la CCI de Lyon reste en tête et ne se laisse pas distancer par une progression plus forte de ses CCI - 9 -

10 partenaires, telles que Versailles dans le domaine de la formation, Marseille dans le domaine de ses ressources propres ou Nice dans le domaine aéroportuaire ; - cette organisation était aussi, parfois, génératrice de frustrations individuelles des collaborateurs de la Chambre, par un manque de mobilité ou par une progression contractée des ressources ; - depuis quelques années, les collectivités territoriales ont acquis la compétence économique dans leur champ d intervention et, alors que la CCI veut être le cœur du pouvoir économique, il lui faut se positionner dans ce nouveau contexte. Par le passé, en effet, les collectivités territoriales ne se préoccupaient pas du secteur économique. Aujourd hui, le Grand Lyon, par exemple, a pris une compétence économique dans tous les domaines. Face à cela, la CCI de Lyon se doit d être la garante de la politique entrepreneuriale ; - dans une Europe qui se construit très vite sur le plan économique, même si elle patine sur le plan politique, la CCI de Lyon doit «changer de braquet» pour exploiter les potentialités d un marché de 500 millions de consommateurs ; - une partie de la «jeune garde» des cadres de la CCI piaffe d impatience de prendre des responsabilités et il ne faut pas les décevoir. Voilà les grandes raisons de ce changement, que le Président Jean-Paul MAUDUY demande à la totalité de l équipe de Direction de réussir dans un délai d un an, malgré toutes les difficultés auxquelles il faut faire face en gérant à la fois le quotidien et en préparant l avenir. Ainsi, la nouvelle organisation est la suivante : Création d une grande Direction pour les services aux entreprises Une Direction des Services aux Entreprises a été créée le 1er juillet Elle se structure autour de six espaces de travail : - l espace Accueil Entreprises et Création-Reprise, qui rassemble le Centre Contacts Clients et les Antennes et qui est animé par Pierre BONNET ; - l espace Europe, animé par Madjid MEDANI ; - l espace International, animé par Nicolas BONNARDEL ;

11 - l espace Intelligence Economique, Juridique et Commerciale, qui rassemble documentation, information et juridique, animé par Sylvie REVEYRAND ; - l espace Formalités, animé par Sylvie REVEYRAND ; - l espace croissance Industrie et Services, animé par Gilles GAQUERE. Evolution de la Direction du Commerce La Direction du Commerce et des Services à la Personne mérite d évoluer vers une Direction du Commerce et des Marchés, pilotée par Colette COMI. L appellation «Marchés» fait référence aux nouvelles formes de commerce et d échanges, vers tout ce qui tire Lyon vers la modernité, par exemple en matière de mode, de design, de grands marchés internationaux tels que le projet de la CCI pour le MIN Vers la création d une Direction dédiée aux stratégies des territoires La Direction de la Stratégie territoriale et des Actions régionales se concentrera sur les questions d aménagement du territoire et d action régionale, de manière à renforcer le poids de la CCI en matière de prises de position. Cette équipe, dirigée par Pierre-Yves TESSE, également en charge de l Internet, constituera «le cœur du service public», puisque les autres directions auront à adopter «l esprit d entreprendre». Evolution de la Direction Financière L actuelle Direction Financière, qui s est appelée par le passé Direction Financière et Comptable, devient le fer de lance d une nouvelle Direction des Finances et des Investissements, dirigée par Didier MAGNIER. Evolution de la Direction de l Enseignement Tanguy CATHELAIN et la Commission Enseignement présidée par Jean-Luc GROLLEAU travaillent actuellement à faire évoluer la problématique de développement des compétences. Le nom de baptême «Enseignement» apparaît alors trop restrictif. Il conviendrait donc de donner à cette Direction, qui recouvre, entre autres, l EM Lyon, un nom basé sur la formation professionnelle et les compétences nouvelles

12 Le Président Jean-Paul MAUDUY, en prenant une image, souligne combien, à son arrivée, le lien qui existait entre la CCI et l EM Lyon était ténu : «il était de la taille d un cheveu, mais aujourd hui, il s agit plutôt d une tuyauterie de 12 pouces.» Le Président Jean-Paul MAUDUY souhaite que les Elus puissent apporter, comme il l ai fait lui-même, un total appui à la réforme qui, ainsi que l équipe dirigeant actuelle s y est engagée dans le Plan de Mandat, servira au mieux les intérêts des entreprises et motivera les collaborateurs de la Chambre. Tous les collaborateurs doivent aujourd hui faire équipe avec les Elus. Le temps où seuls les collaborateurs dirigeaient la Chambre est révolu : les Elus s y sont réimpliqués et entendent tenir toute leur place, en donnant à leurs collaborateurs les meilleures chances de bien faire leur métier. Création de la société aéroportuaire La loi du 20 avril 2005 relative aux aéroports stipule que «l autorité administrative peut autoriser la cession ou l apport de la concession aéroportuaire à une société dont le capital initial est détenu entièrement par des personnes publiques, dont la Chambre de Commerce et d Industrie, titulaire de la concession cédée» Pour ce qui concerne l aéroport de Lyon Saint-Exupéry, la concession de la Chambre de Commerce et d'industrie de Lyon s achève en 2011, date à laquelle la société de gestion aéroportuaire pourra être créée. La question se pose aujourd hui d anticiper cette création, car le Ministère des Transports vient de donner une qualité particulière aux aéroports de Toulouse, Nice et Lyon, leur demandant d être les premiers à créer la première société aéroportuaire. Le Président Jean-Paul MAUDUY admet qu il n y a pas d urgence, puisque l échéance est fixée à 2011, mais il lui paraît tout de même impératif que Lyon aille plus vite que les autres, que la CCI trace le premier sillon. Cela va la conduire à se poser la question de savoir quelle attitude adopter face à la future société aéroportuaire : souhaitera-t-elle rester impliquée dans sa gestion et étudier les nouveaux projets propres à assurer le développement futur de l aéroport, ou bien considérera-t-elle qu il n y a rien d urgent, ne s occupant de rien jusqu en 2011? Le Président Jean-Paul MAUDUY souligne le fait que si la CCI venait à se désengager de la société aéroportuaire, elle se priverait du chiffre d affaires de l aéroport et de ses résultats, qui abondent le bien de la Chambre

13 L occasion sera donnée à l Assemblée Générale de reparler de ce dossier, qui est si important qu il mérite de prendre tout le temps nécessaire à l analyse et au débat, car la décision qui sera prise conditionnera la vie des entreprises locales dans les décennies à venir. Il ne s agira donc pas de faire valoir des intérêts particuliers, mais l intérêt général. Le Président Jean-Paul MAUDUY revient sur le sujet de la troisième piste. Il admet qu à l heure actuelle, sur les deux pistes existantes, la première est utilisée à 100 %, mais la seconde ne l est qu à 20 %. Néanmoins, si une troisième piste n est pas réalisée à un horizon de 10 ou 15 ans, cela signifiera que, d un point de vue économique, la région Rhône-Alpes aura décliné de manière considérable. Il dit comprendre la position des élus politiques, confrontés à l opinion publique et à l opposition écologiste, mais il pense que ces derniers sont tout de même en charge des destinées de la République et du pays. Quant à l équipe dirigeante de la Chambre, il lui faudra répéter à l envi que ce ne sont pas les entrepreneurs qui signent les permis de construire, venant coller des maisons contre des entreprises, obligeant les industries à quitter progressivement les zones urbanisées. Cette tendance pourrait, à l avenir, remettre en cause l aéroport de Lyon Saint-Exupéry. Face à cela, l équipe dirigeante de la CCI a le devoir de s adresser aux élus politiques avec respect et considération, pour leur dire qu en agissant de la sorte, ils ne font pas le bien de la collectivité et des entreprises. Représentations dans les organismes extérieurs Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que suite aux mouvements survenus parmi les Elus, il reste quelques désignations à effectuer pour les mandats dans les Représentations extérieures. Cette courte liste complémentaire se trouve dans les dossiers de séance (ANNEXE 1). Sur cette liste, figure une nouvelle association : FERRMED, qui a pour but la promotion de l axe ferroviaire européen de marchandises Rhin Rhône Méditerranée. Le Président Jean-Paul MAUDUY propose que la Chambre de Commerce et d'industrie de Lyon adhère à cette association, en tant que Membre Associé et au titre de la CRCI, et qu elle soit représentée par Bertrand BOUIS. Les Membres concernés sont prévenus et consentants. L Assemblée Générale émet un vote favorable à l unanimité

14 CNIL : Commission Nationale de l Informatique et des Libertés. Le Président Jean-Paul MAUDUY rappelle que la CCI de Lyon est obligée de déclarer à la Commission Nationale de l'informatique & des Libertés -la C. N. I. L.- tous les fichiers informatiques contenant des informations nominatives. Plusieurs applications de ce type ayant été réalisées ou refondues dans les derniers mois, il soumet la délibération suivante : "L'Assemblée donne tous pouvoirs au Président pour procéder aux formalités nécessaires auprès de la Commission Nationale de l'informatique & des Libertés et faire à ce sujet les déclarations utiles, sans exception ni réserve." L Assemblée Générale émet un vote favorable à l unanimité

15 DIMENSION FINANCIERE DES NOUVELLES MESURES EN FAVEUR DES PME ET FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITE Le Président Jean-Paul MAUDUY accueille Monsieur Marcel DERUY, Directeur Régional de l OSEO BDPME, qui est l un des meilleurs spécialistes des systèmes de financement des entreprises. Les finances représentent, selon lui, «le sang» des entreprises et la CCI de Lyon a, au cours de son histoire, joué un rôle majeur dans ce secteur, avec la création de la Bourse de Lyon et son extraordinaire puissance au XIX ème siècle. Il salue également tout particulièrement les élus issus du secteur financier : Yves MINSSIEUX, Directeur de la Lyonnaise de Banque ; Sophie DEFFOREY-CREPET, Directrice d AQUASOURCA Capital Développement et Présidente de la Commission des Finances de la CCIL ; Vanessa ROUSSET, Directrice d EVOLEM Développement et Capital. Ces personnes ont un haut niveau d expertise, dont le Président Jean-Paul MAUDUY dit avoir besoin pour mener à bien le volet financier du Plan de Mandat. Le Président Jean-Paul MAUDUY demande à Marcel DERUY de bien vouloir éclairer l Assemblée Générale sur un domaine qu il maîtrise parfaitement : la dimension financière des nouvelles mesures prises en faveur des PME et les nouvelles orientations de l OSEO BDPME, présidé par Jean-Pierre DENIS. Marcel DERUY travaille au cœur du financement des PME depuis une trentaine d années. Ces dernières jouent selon lui un rôle essentiel dans le pays. Sur une longue période, elles ont effectivement été créatrices d emplois, alors que les grands groupes ont plutôt été, quant à eux, destructeurs d emplois. Les PME sont surtout créatrices d emplois lors de leur création et à l occasion de leur transmission par le chef d entreprise à son départ en retraite. C est également le cas des PME en croissance rapide, des PME innovantes ou de celles qui, à un moment donné de leur vie, se tournent vers l international

16 Niveau d activité et origine de l OSEO BDPME L OSEO BDPME a accompagné environ entreprises en 2005, parmi lesquelles 50 % étaient en phase de création et 66 % étaient en cours de transmission. Les deux tiers de ses activités concernent des entreprises de moins de 10 salariés. A l heure actuelle, le taux de croissance des créations d emplois est d ailleurs bien plus important dans les TPE que dans les PME. L OSEO BDPME est issu du rapprochement de deux établissements : SOFARIS et CEPME, il y a une dizaine d années. Aujourd hui, le CEPME a disparu au profit de la Banque de Développement des PME (BDPME). Le rapprochement BDPME ANVAR En 2005, un rapprochement est intervenu entre la BDPME et l ANVAR. Le but principal est d aller plus loin dans le continuum des financements des PME innovantes, afin d accélérer leur croissance. En termes de structures, la BDPME et l ANVAR se trouvaient dans des conceptions similaires, avec un esprit de mission publique à destination des entreprises et une forte représentation sur le terrain, avec 40 implantations pour la BDPME et environ 30 pour l ANVAR. De plus, elles avaient noué, depuis toujours, des partenariats avec tous les réseaux d accompagnement des entreprises. Enfin, elles disposaient d expertises complémentaires, technologiques d un côté, financières de l autre. Marcel DERUY pense que ce rapprochement est pertinent, car lorsqu une entreprise innovante s adresse à l ANVAR, l OSEO BDPME est également concerné. Sur la place lyonnaise, la relation entre la BDPME et l ANVAR était historiquement assez forte, instituée par Marcel DERUY depuis Ce dernier a ainsi toujours participé au Comité de Décision des Aides de l ANVAR et est même devenu, à son niveau, membre du Comité d Orientation. Aujourd hui, le rapprochement se fait, plus largement, au niveau national. Les principales missions de l OSEO BDPME L OSEO BDPME a mobilisé environ 10 milliards d euros de crédits, en partenariat avec les acteurs bancaires. Il exerce l essentiel de son activité dans le domaine du partage

17 de la garantie, donc du partage de risques. Il apporte sa garantie pour les projets les plus risqués, notamment la création d entreprise, à hauteur de 70 %, alors qu elle n atteint que 50 % pour les autres types de projets, l OSEO BDPME se voulant avant tout un «facilitateur» des projets les plus risqués. Il exerce également une mission de financement des marchés publics, qui remonte à 1936 et qui s avère ainsi la plus ancienne du groupe. Elle est importante car l OSEO BDPME est le seul établissement de ce type cité dans le code des marchés publics. Cette position lui permet d obtenir des informations émanant des donneurs d ordres publics, ce qui n est possible pour aucun banquier traditionnel. Il porte, de plus, la créance «le temps qu il faut». Aucun de ses produits n est concurrent des produits bancaires. Produits de «niche» Marcel DERUY évoque ensuite certains produits de «niche», comme le prêt à la création d entreprise pour les très petites entreprises. Il assure les financements aléatoires de la création : besoin en fonds de roulement, aléas, pour des montants compris entre et euros, sur des projets inférieurs à euros. Actuellement, plus de prêts de ce type sont mis en place chaque année. En Rhône-Alpes, cette activité se situe, suivant les années, 12 à 15 % au-dessus du point économique et le département du Rhône représente environ 30 % de la région de ce point de vue. Marcel DERUY vient également de faire remonter au Ministre en charge des PME une idée d émission quotidienne d une minute et demie, entre la fin du journal télévisé du soir et le point météo, qui pourrait être intitulée «l entrepreneur près de chez vous», dont le but serait de donner envie de créer son entreprise. Parmi les nouveaux produits issus du rapprochement du BDPME et de l ANVAR, Marcel DURUY évoque le contrat développement innovation, créé pour financer les investissements immatériel des entreprises innovantes, financements qui sont toujours plus difficiles à mettre en place dans le monde bancaire. Ce contrat est positionné à côté des prêts bancaires, qui financent les autres investissements. Cet adossement des prêts de l OSEO BDPME aux prêts bancaires lui paraît fondamental, car si l OSEO BDPME mettait en place des concours que les banques ne venaient pas accompagner, les entreprises se trouveraient démunies des concours nécessaires à leur fonctionnement au quotidien

18 Conclusion En définitive, Marcel DERUY indique que son établissement, bien que détenu par l Etat, fonctionne comme un établissement privé. Son métier est de prendre des risques. Lorsqu il refuse de soutenir un projet, il a généralement de bonnes raisons pour cela. Son action est, de plus, officielle et transparente. Elle a permis, ces dernières années, de sauver de très nombreuses entreprises, bien avant les différentes lois de «régulation» ou de «rénovation» économique imaginées par les gouvernements successifs. Il insiste sur la nécessité, pour une entreprise, de venir questionner l OSEO BDPME «lorsqu il est encore temps, sans attendre». Philippe CASILE, qui exerce dans le domaine des services, dit avoir un projet innovant à mettre en œuvre. Or lorsqu il s est adressé aux services de la CCIL, ces derniers ne lui ont pas parlé de l OSEO BDPME. Il se demande, par conséquent, si cet établissement concentre ses activités dans certains domaines économiques. Marcel DERUY lui répond que toute entreprise inscrite au registre du commerce peut bénéficier des interventions de l OSEO BDPME. Seuls sont inéligibles les secteurs de l agriculture pure, des services financiers purs et les activités de promotion immobilière. Le secteur des services constitue, en revanche, une activité très importante au sein de l OSEO BDPME. Il ajoute que le contrat développement innovation, nouvellement créé, vient déjà d évoluer : il ne concerne plus uniquement les entreprises innovantes au sens de l ANVAR. Ainsi, il devrait concerner de plus nombreuses entreprises. Hélène MAZOYER évoque les difficultés éprouvées par les entreprises pour accéder à SOFARIS. Il leur est effectivement nécessaire d obtenir, au préalable, l accord de leur banque concernant leur prêt, ce qui peut s avérer préjudiciable pour leur développement. Marcel DERUY répond que si le dossier est refusé par la banque, il ne peut y avoir d intervention de SOFARIS, car il n est pas possible de donner une garantie SOFARIS à un prêt qui n existe pas. S agissant ensuite du timing, qui consisterait à solliciter SOFARIS après avoir obtenu l aval de la banque, l OSEO BDPME accepte aujourd hui d y déroger et d instruire le dossier en parallèle avec la banque choisie. Mais en dernier ressort, si la banque refuse de financer un projet, l OSEO BDPME n aura pas davantage de solutions à apporter à l entreprise concernée

19 La Direction de Lyon reçoit 200 à 250 nouveaux dossiers par mois. L OSEO BDPME en traite le maximum, en rencontrant les chefs d entreprise après avoir examiné les dossiers. Marcel DERUY répète que l OSEO BDPME travaille à visage découvert. Si un chef d entreprise a besoin de rencontrer l un de ses membres, il lui suffit de contacter cet organisme directement par téléphone. Yves MINSSIEUX indique que l OSEO BDPME a démontré toute sa capacité d écoute face à des projets très divers. Il souligne le rôle de cet organisme au plan national et, plus particulièrement, celui de Marcel DERUY concernant le positionnement des PME sur la place lyonnaise. En effet, en matière de créations et de transmissions d entreprises, Lyon, grâce au travail accompli par Marcel DERUY, a toujours occupé une position particulière. Yves MINSSIEUX encourage par conséquent ce dernier à poursuivre sa démarche, dont les entreprises lyonnaises ont besoin. La transmission d entreprise est aujourd hui un sujet d actualité. La demande sur le sujet est considérable. Marcel DERUY répond qu il s efforce d aider tout projet qui a besoin d un tel accompagnement. S agissant plus particulièrement de la transmission d entreprise, il a associé très rapidement les représentants des chambres de commerce de la région. Cette démarche se poursuit actuellement. De plus, la région lyonnaise a été, par le passé, l une des rares à ne pas nouer de partenariat avec SOFARIS Région, filiale de l OSEO BDPME. C est aujourd hui chose faite. Cette garantie va permettre la mise en place de prêts avec un différé de deux ans, afin de faciliter la transmission des TPE. Enfin, il dit n avoir qu un seul souci : développer la notion de partenariat, de réseau. Il a connu, sur la place lyonnaise, des situations particulières qu il qualifie «d abominables». Aujourd hui, les choses ont changé : tous les acteurs se retrouvent autour de la table afin de faire avancer tous les sujets qui les préoccupent, même si chacun tente de garder son «pré carré». Il se veut l une des pierres permettant de faire avancer cela. Guy MATHIOLON rend hommage à l action de Marcel DERUY, notamment dans le domaine de la transmission d entreprises. Les journalistes l appellent même «le Pape de la transmission d entreprises» en Rhône-Alpes. Marcel DERUY est applaudi par l Assemblée Générale

20 RAPPROCHEMENT CPA/EM LYON Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que, depuis 1930, le Centre de Perfectionnement aux Affaires (CPA) entraîne des dirigeants ou des futurs dirigeants aux fonctions de Direction Générale. Ce programme, bénéficiant du visa ministériel (renouvelé pour Lyon jusqu en 2009), s appuie sur des méthodes pédagogiques originales qui ont fait leurs preuves pour des participants ayant une grande maturité professionnelle (la moyenne d âge est de ans environ) : mises en situation, développement du leadership, ouverture vers l international, corps d intervenants issus essentiellement du monde de l entreprise. Créé par la CCI de Paris, ce programme s est développé en régions depuis 1960, grâce à des partenariats avec les CCI de Lyon, puis de Lille, Toulouse et Nice-Côte d Azur. Ce sont ainsi près de 300 participants qui sont formés chaque année dans ces centres CPA. Compte tenu des évolutions récentes, le Président Jean-Paul MAUDUY demande à Jean-Luc GROLLEAU et Tanguy CATHELAIN de rappeler les enjeux de ce dossier. Jean-Luc GROLLEAU indique que la CCI de Lyon a créé un service CPA Lyon au sein de la Direction de l Enseignement, qui gère le programme CPA depuis Il a entraîné plus de dirigeants de la région lyonnaise. Il est situé à Ecully, dans des locaux qui lui sont propres, et compte cinq agents de la CCI de Lyon. Bien qu étant un service interne à la CCI, il possède un Conseil d Administration, composé d élus de la Chambre, d anciens et de personnalités extérieures qui participent aux orientations à titre consultatif. A la fin des années 1990, la CCI de Paris a rationalisé son appareil de formation supérieure en rapprochant le CPA de HEC. La réflexion stratégique de HEC l a conduit à envisager de transformer le CPA en un Executive MBA, produit qui manquait à sa gamme et qui lui était nécessaire pour améliorer sa position dans les classements internationaux. Compte tenu de l appartenance du centre parisien au réseau CPA national, la CCI de Paris a proposé aux cinq Chambres partenaires du réseau CPA de signer un accord prévoyant la transformation du programme diplômant CPA en un Executive MBA, avec comme dénomination Executive MBA CPA, diplôme du groupe HEC, ce qui fut fait le 11 juillet

21 Dans le même temps, l accréditation fut accordée à ce programme par l AMBA, organisme britannique d accréditation des MBA, par extension de celle dont bénéficiait déjà le MBA-HEC (ex ISA) depuis de nombreuses années. Cette extension a alors porté sur toutes les formules à Paris et en Régions. Les promotions 2003 et 2004 de l ensemble des centres CPA ont donc officiellement suivi un programme se prévalant d un double diplôme : le diplôme CPA visé par l Etat et l attestation Executive MBA délivrée par HEC. L ensemble des promotions 2004 Executive MBA CPA a représenté plus de 300 participants. En juin 2004, l AMBA devait procéder à un audit de renouvellement d accréditation sur un périmètre élargi aux deux MBA portés par HEC : ISA et CPA. Malgré les alertes, en particulier du CPA de Lyon, cet audit, prévu de longue date, n a pas été suffisamment préparé par HEC pour qu il puisse se passer au mieux. Le 23 avril 2004, partant de ce constat et sous couvert de prétextes de circonstance, le Directeur d HEC a prévenu les Directeurs des centres régionaux du CPA qu HEC avait décidé de ne conserver dans le périmètre de ré-accréditation que les formules parisiennes : «fin de semaine», «début de semaine» et «modulaire». Ce périmètre restreint ne représentait qu environ 150 participants, soit la moitié seulement des participants CPA. La principale raison évoquée était la nécessité de sauver l accréditation d HEC en évacuant ce qui représentait un risque d échec. Cette décision a été prise en contradiction avec toutes les assurances données précédemment par le Directeur d HEC de ne pas dissocier les destins d HEC et des CPA en région. En réalité, ce divorce consacrait aussi deux années de discussions difficiles sur la vision du programme, HEC tirant ce dernier vers les exigences académiques de l Executive MBA et les CPA en région, Lyon en tête, voulant à tout prix maintenir les spécificités de la formation : un entraînement de dirigeants par des dirigeants. Sous l impulsion des CCI de Lyon et Toulouse, un projet de refondation du réseau des Centres CPA régionaux a été proposé et discuté avec les CCI de Lille Métropole et Nice Côte d Azur afin de maintenir sur les territoires un outil de développement des dirigeants, au service des entreprises régionales. Deux des quatre partenaires ont finalement abandonné ce projet début 2005 : à Nice, le centre CPA est ainsi devenu une annexe d HEC délivrant l Executive MBA HEC, et la CCI de Lille est à la recherche d une solution avec une autre école supérieure de commerce

22 Compte tenu de l impossibilité de poursuivre le projet d Institut et ayant pour objectif d assurer la pérennité du CPA de Lyon, la Direction de l Enseignement a immédiatement travaillé à un rapprochement de ce dernier avec l EM Lyon, orientation validée par le Conseil d Administration du CPA de Lyon lors de sa réunion du 7 avril dernier. Présentation par Tanguy CATHELAIN (ANNEXE 2) Le modèle économique Jusqu à présent, le CPA Lyon était une école permettant de former environ 300 dirigeants par an et d amortir les frais pédagogiques et les coûts de communication de la marque CPA, d envergure nationale. Du fait de l éclatement de ce modèle économique par l abandon du réseau CPA par HEC, il a fallu réfléchir à un nouveau modèle pour assurer la pérennité du CPA de Lyon et il a paru naturel d envisager un rapprochement avec l EM Lyon. La problématique juridique du transfert Le CPA est un service de la CCI de Lyon, alors que l EM Lyon est une association loi 1901, juridiquement indépendante de cette dernière. Cela pose les questions de la cession d activité, de la marque, du transfert du personnel (5 personnes) et du calendrier. Pour assurer la pérennité du CPA, il serait souhaitable de se caler sur une année calendaire en visant un examen du dossier et une décision de l Assemblée lors de sa séance du mois de décembre Le CPA et l EM Lyon Il s agirait d une réelle intégration du CPA au sein de l EM Lyon, pérennisant ainsi le CPA, qui est complémentaire avec les gammes de formations développées au sein de l EM Lyon, tout en maintenant les spécificités du produit CPA. Patrick MOLLE indique que le rapprochement du CPA et de l EM Lyon s opérera dans le cadre du pôle Executive Education de l EM Lyon. Il rappelle effectivement que cette école est organisée en deux «sous-écoles» : premièrement, l EM Lyon Grande Ecole, qui forme tous les étudiants issus de classes préparatoires mais qui n ont pas

23 d expérience professionnelle ; deuxièmement, le pôle Executive Education, qui ne forme que des personnes ayant une expérience professionnelle. Cette intégration aurait pu poser la question du positionnement du programme CPA, HEC ayant décidé de le transformer en Executive MBA, ce qui aurait conduit à dénaturer sa pédagogie. Il se trouve qu il existe une telle formation au sein de l EM Lyon, mais il n est pas question d y intégrer le CPA. La pédagogie développée par ce dernier est d une grande actualité, car elle permet à des dirigeants de se former avec l appui d autres dirigeants, sur des cas concrets. Nous avons donc l intention de faire revenir le CPA de Lyon à ses valeurs et à sa pédagogie traditionnelles, pour en faire un vrai programme CPA «traditionnel», dans une complémentarité de gamme. Actuellement, le CPA est une petite entité. Elle génère environ 1 million d euros, avec des charges fixes conséquentes et des charges variables de production importantes. Ce programme ne peut viser, seul, la rentabilité nécessaire à son propre développement. Le CPA deviendrait donc la quatrième composante d un programme permettant de proposer aux clients potentiels des formations pouvant les accompagner tout au long de leur carrière : - le MBA traditionnel, s adressant à des jeunes de 25 à 27 ans ayant une courte expérience professionnelle ; - l Executive MBA, s adressant à des personnes de 30 à 35 ans ayant généralement deux expériences professionnelles significatives et qui viennent y chercher les bases du management ; - le CPA, qui s adresserait à une population plus âgée qui, en plus des bases du management, viendrait y chercher un entraînement à la direction générale, à la prise de décision stratégique ; - enfin, un nouveau produit international de l EM Lyon : le Global Executive Program, qui s adresse à des gens qui sont membres ou dirigent des comités exécutifs ou de groupe au sein d organisations internationalisées. Ce projet procéderait d une volonté de développement commercial pour le CPA. Aujourd hui, la promotion du CPA compte effectivement 23 participants, ce qui ne lui permet pas d exister, ni d assurer sa visibilité et sa rentabilité. Pourtant, le potentiel de développement d un tel programme sur une zone s étendant à Rhône-Alpes, à la Bourgogne, voire à une partie de l Alsace, à la Suisse et au Sud-Est, sans pour autant descendre jusqu à Marseille, permettrait un doublement du nombre de participants, pour peu qu une démarche commerciale cohérente soit engagée

24 Enfin, si les produits doivent être différents, le back-office pédagogique et commercial doit être le plus proche possible entre l EM Lyon et le CPA, afin de permettre une grande ouverture de marché et de réaliser des économies d échelle. Jean-Luc GROLLEAU indique qu une commission Enseignement devrait être réunie le 8 décembre Le dossier définitif sera présenté lors de l Assemblée Générale de la CCIL du 12 décembre. Blandine PEILLON demande si tout cela signifie qu il n y aura pas de promotion cette année. Jean-Luc GROLLEAU répond qu une promotion est en cours de formation. La prochaine doit entrer début 2006, mais elle pourrait commencer en janvier, février ou mars. Tanguy CATHELAIN ajoute que la communication externe sur le rapprochement entre le CPA et l EM Lyon ne pourra commencer qu après la décision de l Assemblée Générale. Pour l heure, toute communication est bloquée. Yannick LECOANNET demande confirmation du fait que, suite à ce projet, la seule formation adaptée à la population cible du CPA sur la partie sud de la France viendra se former à Lyon. Patrick MOLLE répond que pour l instant, HEC a transformé son programme CPA en Executive MBA. Mais HEC va se séparer de la marque CPA. Il restera cependant d autres centres. Ainsi, la CCI de Lille aurait la volonté de transférer son CPA vers l EDHEC de Lille, en conservant la marque CPA. La CCI de Toulouse a déjà opéré ce transfert vers son Ecole de Commerce. Cela étant, il ignore ce que comporteront ces programmes et ce que ces écoles feront de leur CPA d un point de vue pédagogique. De plus, il faudra se demander quoi faire de la marque CPA : faut-il la partager ou non? Cela étant, l EM Lyon n est pas lié à ces deux autres écoles. Son programme CPA devrait par conséquent pouvoir recruter sur d autres régions du territoire français que Rhône-Alpes. Yannick LECOANNET pense que la sortie d HEC peut offrir l opportunité de faire du CPA un programme exclusif, destiné aux chefs d entreprise. Dans ce cas, une association avec les écoles de commerce de Lille et Toulouse, réparties

25 géographiquement de manière complémentaire à celle de Lyon, permettrait de constituer un label porteur pour cette formation. Le Président Jean-Paul MAUDUY indique que cette affaire et les mouvements opérés par la CCI de Paris interrogent la CCI de Lyon. A l heure actuelle, il est lui-même en discussion avec Pierre SIMON, Président de la CCI de Paris, et Lyonnais de naissance, s agissant du CPA. Selon lui, il convient de conserver la formation dispensée au sein du CPA

26 DEVELOPPEMENT DU TERRITOIRE DE TARARE Dès le début de son mandat, le Président Jean-Paul MAUDUY s est rendu à Tarare pour affirmer son soutien plein et entier aux entreprises de ce territoire qui ont, pour leur part, réaffirmé leur attachement à la Chambre de Lyon. Avec les élus de la Délégation, en particulier avec sa Présidente, Elisabeth THION, le dossier de réimplantation de la Délégation dans de nouveaux locaux a été étudié. Auparavant, il est toutefois nécessaire de demander à l Assemblée Générale d autoriser la délégation de Tarare à vendre son bâtiment actuel. Le Président Jean-Paul MAUDUY signale que s il est aujourd hui possible d envisager de vendre les locaux de Tarare et leur parc, c est parce que les entrepreneurs de Tarare les avaient acquis, dotant la délégation d un bien de valeur. Par conséquent, il lui paraît naturel que la totalité de la somme dégagée de cette vente reste affectée à la délégation de Tarare, dans le respect de ce qu ont fait les anciens membres de la CCIL. Il ajoute que le choix des élus de Tarare devra être écouté avec attention. Il ajoute que l ancien Directeur Général de la CCIL, Jean-Martin JASPERS, avait réalisé une étude sur le sujet et formulé plusieurs propositions, parmi lesquelles la reprise des écuries royales de Tarare. Mais la question, pertinente, du coût de la réhabilitation de ce bâtiment a été posée par Hélène MAZOYER et Elisabeth THION. Cette dernière se verra dorénavant confier ce projet, car l avis des élus entrepreneurs de Tarare doit être, seul, prépondérant dans cette affaire. Elisabeth THION demande si l Assemblée Générale donne son accord à la vente des locaux actuels. Philippe CASILE se dit opposé à la vente des locaux actuels de la délégation de Tarare. Il pense qu il serait préférable de vendre une partie du terrain attenant afin d opérer une rénovation de ces locaux, dont l accès est devenu très facile, même s ils ne se trouvent pas en centre-ville. Il manque simplement une signalétique pour s y rendre. De plus, il s agit d un très beau bâtiment. Selon lui, cette solution honorerait les chefs d entreprise de Tarare. Le Président Jean-Paul MAUDUY dit avoir rencontré tous les élus de Tarare, la CGPME et le MEDEF locaux et ne pas avoir rencontré d opposition à ce projet. Il

27 demande si des élus souhaitent s abstenir de voter sur la question posée : la vente des actuels locaux de Tarare. Il apparaît que de nombreux élus ne souhaitent pas que ce vote ait lieu dans l immédiat. M. DULAC dit ne pas avoir eu de dossier et n être pas en mesure de se prononcer. Elisabeth THION indique que, dans le contexte actuel, la conservation des locaux de la délégation de Tarare induira des coûts de rénovation importants du bâtiment, auquel s ajoutera le coût d entretien des espaces verts. Sachant, de plus, que ce bâtiment manquait de proximité et d attractivité, il avait été envisagé de le revendre pour acquérir un nouveau bâtiment plus pratique. Hélène MAZOYER pense que la question de la vente des locaux de Tarare est précipitée. Les élus de Tarare souhaitent les quitter, mais pour l instant, ils n ont pas trouvé de site satisfaisant. Le site des écuries royales leur paraît trop prétentieux. Guy MATHIOLON dit s être rendu sur place et a pu constater que l actuel bâtiment, de par sa situation et son aménagement, était inadapté au rayonnement d une chambre de commerce au plan local. Il n est signalé nulle part, si bien que personne ne sait trouver facilement la chambre de commerce à Tarare. De plus, il nécessitera des frais de réhabilitation, alors qu il se situe dans une zone géographique non pertinente. Il ajoute que la CCIL ne vend pas ces locaux «pour le plaisir de les vendre», mais parce qu elle a un autre projet pour se positionner sur Tarare. Le Président Jean-Paul MAUDUY reconnaît le droit au Bureau de se tromper sur la nécessité de vendre les locaux actuels de la délégation de Tarare. Cela étant, il souligne le fait que la Chambre de Métiers ne cesse de lui demander quand interviendra le changement de locaux. Certes, les élus de l Assemblée n ont pas été mis au courant de l avancement du projet à chaque seconde, mais il ajoute qu il faudra tout de même, à un moment donné, savoir prendre une décision. A Tarare, délégation qui couvre 48 % du territoire départemental, la localisation actuelle pose de véritables problèmes, ce qui impose un changement. Cela étant, il se rangera, in fine, à l avis de l Assemblée Générale

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