L essentiel de la semaine. L événement : Union bancaire : une nouvelle étape de franchie, mais la route est longue. Le 20 décembre 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L essentiel de la semaine. L événement : Union bancaire : une nouvelle étape de franchie, mais la route est longue. Le 20 décembre 2013"

Transcription

1 Le 20 décembre 2013 L essentiel de la semaine Réserve fédérale : tapering! Mais avec un renforcement de la forward guidance. La Fed conservera une politique monétaire très accommodante. Institutions européennes : l union bancaire progresse pas à pas. Zone euro : climat des affaires en légère amélioration. L écart franco-allemand se creuse. États-Unis : production industrielle et chiffres de l immobilier en hausse. Croissance du T3 revue en hausse. Marchés : les taux longs quasiment stables dans les pays développés. Le dollar et la livre s apprécient alors que le yen est au plus bas depuis septembre Le marché d actions rebondit suite à l annonce du tapering. L événement : Union bancaire : une nouvelle étape de franchie, mais la route est longue Le conseil des ministres des finances européens a fini par s accorder mercredi soir sur une proposition de mécanisme de résolution bancaire. Il s agit du deuxième pilier du projet d union bancaire qui a été décidé lors du sommet des 27 et 28 juin 2012 afin de casser le cercle vicieux entres les banques et leurs souverains. Une union bancaire, avec un filet de sécurité commun à toutes les banques européennes, avait pour but d éviter les fuites de dépôts des banques de la périphérie vers les banques du cœur, asséchant ainsi la manne du crédit dans les pays périphériques. Ce projet d union bancaire comprend donc trois étapes : (1) l établissement d un superviseur commun, la BCE, avec des règles prudentielles communes, (2) une autorité et un mécanisme de résolution communs, et (3) un fonds commun de garantie des dépôts. Le degré de perte de souveraineté et de solidarité fiscale va en augmentant à chacune de ces étapes. Les discussions sur le mécanisme de résolution ont ainsi fait l objet de plus vives discussions que celles sur la supervision, aboutissant au compromis retenu mercredi 18 décembre. Ce document est rédigé par Amundi, Société de Gestion de Portefeuille agréée par l AMF sous le n GP Société Anonyme au capital de euros. Siège social : 90 boulevard Pasteur Paris RCS Paris. Les informations contenues dans ce document sont le reflet de l opinion de la société de gestion et sont fondées, à la date d édition du document, sur des sources réputées fiables. Du fait de leur simplification, les informations données dans ce document sont inévitablement partielles ou incomplètes et ne peuvent dès lors avoir une valeur contractuelle. Cette publication ne peut être reproduite, en totalité ou en partie, sans notre autorisation. Amundi décline toute responsabilité en cas de pertes directes ou indirectes causées par l utilisation des informations fournies dans ce document.

2 Une autorité de résolution sera créée pour déclencher et organiser les résolutions bancaires en Europe, pourvu que la Commission européenne n émette pas de réserves dans les 24 heures, auquel cas la décision reviendra au conseil des ministres des finances et à l Eurogroupe. Par ailleurs, il n y aura pas de fonds de résolution commun avant 2026 (et encore cela reste sujet à négociation d ici le 1 er mars 2014). Ce fonds commun sera abondé sur une période de 10 ans (à partir de 2016) par les banques et devra atteindre 55 Mds. Si ce montant s avérait être insuffisant, le fonds pourrait emprunter sur les marchés, les remboursements étant ensuite assurés par les banques. L utilisation du fonds de résolution pour des montants supérieurs à 10% des encours devra être approuvée à la majorité des 2/3 des membres du board de l autorité de résolution représentant au moins 50% des contributions, attribuant ainsi un poids important aux gros pays. D ici là, la charge de recapitaliser les banques (dans la limite autorisée par les règles de bail-in) incombera aux gouvernements et aux fonds de résolution nationaux, qui pourront emprunter aux autres fonds de résolution nationaux ou au MES. En somme, une perte de souveraineté mais partielle, et une solidarité mais pas dans l immédiat. L union bancaire progresse lentement mais sûrement. Comme évoqué précédemment, des points encore importants de cette proposition restent à préciser. En particulier, la proposition devra aussi faire l objet d un accord avec le Parlement pour être votée avant mai La semaine en un clin d œil Indicateurs économiques Zone euro Climat des affaires : légère amélioration en zone euro. L écart franco-allemand se creuse. D après son estimation préliminaire, l indice PMI Composite de la zone euro remonte, en décembre, à 52,1 contre 51,7 en novembre. Il retrouve donc un niveau proche de son plus haut de 2 ans (52,2) atteint en septembre. L amélioration est nette concernant l industrie tandis que les services se détériorent légèrement. Surtout, alors que le PMI Composite allemand s effrite à peine à 55,2 (et que le PMI manufacturier allemand atteint un plus haut de 30 mois à 54,2), son équivalent français chute lourdement à 47 (contre 48 en novembre), un plus bas de 7 mois, avec une détérioration marquée tant dans l industrie que dans les services. En Allemagne, les indices IFO et ZEW poursuivent leur progression à, respectivement 109,5 (plus haut depuis avril 2012) et 62 (plus haut depuis avril 2006). En France, l enquête de conjoncture de l INSEE n envoie pas un message aussi négatif que les PMI : elle indique, certes, une détérioration dans les services, mais une amélioration dans l industrie. Les indicateurs augurent d une forte croissance en Allemagne au T4 et début 2014, ce qui n est pas le cas en France. Néanmoins, les données réelles déjà disponibles portant sur le T4 (ventes au détail, production industrielle, dépenses de construction) n envoient pas un message aussi tranché. De plus, après la Banque de France, qui a récemment prévu une croissance de +0,5% au T4, l INSEE a annoncé anticiper, pour sa part, +0,4%. La croissance française sera inférieure à l allemande, mais sans doute, tout de même légèrement positive. Confirmation du léger rebond de l inflation en novembre. La hausse des prix à la consommation sur un an a bien été de +0,9% en novembre contre +0,7% en octobre en zone euro. Hors alimentation et énergie, la hausse est également de +0,9% contre +0,8% en octobre. Le rebond de l inflation est particulièrement marqué en Allemagne (l indice général passe de +1,2% à +1,6%), un peu moins en France (de +0,7% à +0,8%) et en Espagne (de 0% à +0,3%). Les prix décélèrent, en revanche, en Italie (de +0,8% à +0,7%). A noter que l inflation hors tabac et alimentation atteint, en France, un plus haut de l année (+1%). Ce rebond ne doit pas faire illusion, la zone euro n en a pas fini avec les pressions déflationnistes qui vont perdurer en 2014 du fait d une croissance encore faible, d un chômage élevé, de la modération salariale et de la poursuite des réformes structurelles. Si notre scénario central ne prévoit pas de déflation marquée dans les grands pays de l union monétaire, celle-ci n en sera pas moins un risque significatif qui sera suivi de près par la BCE.

3 Etats-Unis Production industrielle et chiffres de l immobilier en hausse. La production industrielle a augmenté de 1,1% en novembre, un chiffre supérieur aux attentes. L inflation a également légèrement rebondi (+1,2% contre +1% en novembre). De plus, les données portant sur l immobilier ont été, en majorité, positives. Ainsi, l indice NAHB (confiance des promoteurs) remonte, en décembre à 58 (niveau égal à celui d août, plus haut depuis novembre 2005). Les mises en chantier sont, en novembre, au plus haut depuis novembre 2007 tandis que les permis de construire ne sont que légèrement en-dessous de leur niveau d octobre. En revanche, les ventes de nouveaux logements chutent, en novembre, à un plus bas de l année. Croissance revue en hausse au T3. La croissance du PIB a été révisée de 3,6% à 4,1% au T3. Contrairement à la première révision qui provenait essentiellement de la dynamique des stocks, cette réévaluation s explique par une révision de la progression de la consommation des ménages (de 1,4% à 2,0%) et de l investissement privé non résidentiel (3,5% à 4,8%). Il convient toutefois de noter que l investissement en biens d équipement reste atone (+0,2%). Les chiffres américains continuent d indiquer un renforcement de l économie. Un nécessaire ajustement des stocks et l effet du shutdown d octobre pèseront probablement sur le chiffre du T4 (il faut s attendre à net ralentissement). Ceci dit, la consommation et l investissement sont bien orientés et ont probablement accéléré en fin d année. Il faudra surveiller de près le poste investissement en biens d équipement. En définitive, les statistiques récentes confortent la révision en hausse de notre prévision de croissance de 2,3 à 2,7% pour 2014 (effectuée dans la semaine du 9 décembre). Brésil Les ventes au détail de novembre ont légèrement déçu : elles progressent de 0,2% (m/m, CVS ; consensus : 0,5%) soit le rythme le plus faible depuis 6 mois. En glissement annuel, la hausse s élève à 5,3%. La décomposition indique en revanche une accélération très sensible des postes automobile et construction (+1,8% m/m CVS soit +2,2% sur un an après -0,7% en octobre). La croissance de l indice IBC-Br (indicateur avancé du PIB) a favorablement surpris. Elle s établit en octobre à 0,75% (m/m, CVS) au-dessus des anticipations (0,5%). Enfin, en novembre, l indicateur de confiance des ménages évolue favorablement tout comme les ventes d automobiles (+1,2% m/m selon un sondage réalisé auprès de l organisation professionnelle). L économie brésilienne n envoie pas de signaux convergents. Cependant, les enquêtes laissent entrevoir une accélération modeste de la croissance en fin d année. Nous tablons toujours sur une croissance de 2,3% en Marchés financiers Fed Tapering! Au cours du FOMC des décembre, la Fed a finalement décidé de réduire le rythme mensuel de ses achats de titres de 10 Mds $. A compter de janvier, la Fed achètera chaque mois 35 Mds $ de MBS (vs 40 Mds au préalable) et 40 Mds $ de titres du Trésor (vs 45 Mds), ce qui portera à 75 Mds $ ses achats de titres. Cette inflexion est justifiée par l amélioration du marché du travail et plus généralement par celle de la conjoncture. Parallèlement, le FOMC a renforcé sa politique de guidage des anticipations (forward guidance) sur plusieurs fronts. En effet, la Fed confirme que ses taux directeurs ne remonteront pas avant que le taux de chômage ne tombe en deçà de 6,5% ou que l inflation ne repasse au-dessus de 2,5%. En particulier, la Fed (1) précise qu elle maintiendra ses taux directeurs inchangés bien après que le taux de chômage ne soit tombé en deçà de 6,5% et (2) insiste sur le fait que l inflation est trop faible et doit progressivement remonter à 2%. Il s agit d un tapering certes inattendu au sens où moins 40% des investisseurs s attendaient à une annonce à ce comité mais il est très doux et ne constitue pas une vraie surprise. La seule incertitude était la date (décembre, janvier ou mars). En outre, le ralentissement des achats de titres n interviendra qu à compter de janvier. Donc pour l heure, l impact sur les taux d intérêt résulte uniquement de l effet d annonce. En outre, le ralentissement des achats de titres n interviendra qu à compter de janvier. Donc pour l heure, l impact sur les taux d intérêt résulte uniquement de l effet d annonce.

4 Les propos tenus par Ben Bernanke dans sa conférence de presse confirment le caractère durablement très accommodant de la politique monétaire. Il dit clairement que le taux de chômage ne mesure pas correctement la situation sur le marché du travail, notamment en raison de la baisse du taux de participation. En creux, la cible de 6,5% sur le taux de chômage ne signifie plus grand chose. Il met par ailleurs l accent sur l inflation qui est beaucoup trop basse. Ce faisant, il nous rappelle le mandat dual de la Fed (plein emploi et stabilité des prix). A noter, la stabilité des prix est implicitement appréhendée de la même façon que par la BCE (un taux d inflation inférieur mais proche de 2%). Au final, l opération de communication est un succès. La Fed est parvenue à bien séparer dans l esprit des investisseurs le rythme du tapering (désormais anticipé à 10 Mds $ à chaque FOMC) de la politique sur les taux directeurs. Dans ces conditions, nous conservons notre scénario : (1) une baisse graduelle des achats de titres de la Fed tout au long de 2014 (extinction probable du QE3 à l automne prochain) ; (2) une pause si besoin, notamment si les conditions financières se tendent ou si la conjoncture s affaiblit en cours d année (le rythme du tapering n est pas prédéterminé) et (3) pas de remontée des taux directeurs avant le S Car en dépit de l accélération de la croissance américaine (nous tablons sur 3,7% en 2014), nous ne prévoyons pas de remontée de l inflation vers le niveau de 2% avant fin Marchés financiers Obligations souveraines Les taux restent très stables malgré le tapering de la Fed. Le taux 10 ans américain a augmenté de quelques points de base. La courbe des fed funds a très peu évolué, les marchés anticipant une première hausse du taux des fed funds au T Les taux européens ont très peu évolué, de même que les taux anglais malgré les bons chiffres de l emploi au Royaume-Uni (cf. plus bas). La quasi-stabilité des taux américains marque la réussite du travail de dissociation de la politique de QE et de la politique de fed funds. Les taux longs continueront à augmenter graduellement aux Etats- Unis, mais moins qu en 2013 (environ 110 pb de hausse du taux 10 ans en 2013). Avec le tapering progressif de la Fed en 2014, la baisse des achats de titres du Trésor en 2014 par rapport à 2013 sera plus importante que la baisse des émissions nettes de titres longs, ce qui exercera une pression haussière sur les taux longs. Taux de change Le dollar profite du tapering, la livre sterling des bons chiffres anglais : le taux de chômage au Royaume-Uni a surpris positivement (7,4% en octobre contre 7,6% attendu). La livre sterling et le dollar se sont appréciés par rapport à quasiment toutes les devises sur la semaine. La parité EUR/USD a perdu 0,5%, à 1,37, et la parité USD/JPY a gagné 0,8% sur la semaine, à 104 (au plus haut depuis septembre 2008). Le tapering est positif pour le dollar et constituera un facteur de soutien pour Au Royaume-Uni, le taux de chômage converge rapidement vers le seuil évoqué par la BoE dans le cadre de sa forward guidance (7%). Cela a fortement affecté les anticipations de politique monétaire concernant la BoE : une remontée du taux directeur de la BoE avant la fin 2014 paraît désormais possible. Dans ce cas, la BoE serait la première des grandes banques centrales à resserrer sa politique de taux. Nous restons positifs sur la livre face à l euro. L annonce du tapering aura eu peu d effet sur les devises émergentes. Sur la semaine, le real brésilien s est apprécié de 4,4% contre dollar tout comme le forint hongrois (+1,1%) ou le peso mexicain (+0,4%). La roupie indienne est restée stable. Les contreperformances ont été réalisées par le Baht thaïlandais (-1,2%) ou le ringgit malais (-1%). Ceci étant les banques centrales émergentes sont vigilantes notamment pour les économies les plus vulnérables. La banque centrale du Brésil a pris la décision (après l annonce du tapering ) de prolonger son programme de soutien au real audelà du 31 décembre au moins jusqu en juin Cette décision a été saluée par les investisseurs. Ce programme représente 3 Mds $ d achat de real par semaine via des lignes de swaps pour les deux tiers et un tiers de lignes de crédit. En Asie, la roupie indienne est restée stable bien que la banque centrale se soit abstenue d augmenter son taux directeur de 25 pb. Ce dernier reste à 7,75%. Le gouverneur, Raghuram Rajan, a indiqué que la banque centrale souhaitait évaluer d abord les effets du tapering sur les actifs émergents avant de décider toute nouvelle hausse de taux.

5 La volatilité implicite des devises émergentes demeurent élevées (EM-VXY à 9%). Le recul de la volatilité implicite des obligations américaines indique que les investisseurs ont maintenant parfaitement intégré la stratégie de la Fed. Les investisseurs devraient parier sur une consolidation de la reprise via une accélération des exportations asiatiques et de matières premières. On anticipe une poursuite de la hausse du peso mexicain (bonne tenue de la conjoncture américaine), du rouble russe et des devises asiatiques hors roupies indienne et indonésienne au détriment des devises émergentes européennes (forint, zloty, leu). Crédit Avec la semaine qui s'achève, l'année se termine sur une note vraiment positive : la réaction des actions au début du tapering de la Fed a soutenu les produits de spreads, notamment les obligations HY et de la périphérie, dont les primes de risque affichent encore un potentiel de baisse. Les dernières données publiées montrent que les titres HY européens, avec la semaine qui vient de s'écouler, ont enregistré sur l'année une surperformance à deux chiffres par rapport aux emprunts d'etat des pays les mieux notés, alors que leur rendement total avoisine toujours les 8-9%. En termes de performance, viennent ensuite les obligations financières des émetteurs de la périphérie, alors qu'à l'autre bout du spectre se trouvent les émetteurs industriels les mieux notés, dont la sensibilité aux variations des taux s'apparente de plus en plus à celle des «produits de taux». Compte tenu de l'embellie conjoncturelle dans les pays développés et de son impact sur les perspectives des entreprises, les fondamentaux restent favorables au crédit. La Fed a confirmé que cette tendance à l'amélioration se poursuivait aux Etats-Unis, alors qu'en Europe la BCE reste vigilante concernant le risque déflationniste et se tient prête à intervenir le cas échéant. Les valorisations sur les marchés du crédit intègrent déjà l'amélioration de la situation macroéconomique et sont donc proches des «justes valeurs» sur de nombreux segments. Néanmoins, les facteurs techniques, favorables, pourraient entraîner une nouvelle compression (quoique limitée) des spreads si la tendance à la normalisation apparue en 2013 se poursuit. Actions Rebond des marchés d actions suite à l annonce du tapering. Comme attendu, le Japon réagit le mieux, compte tenu de la baisse du yen par rapport au dollar. A noter que les marchés émergents, potentiellement les plus affectés par l infléchissement du QE, sous-performent mais ne s effondrent pas. Les investisseurs se montrent soulagés par la levée de l incertitude et rassurés sur la souplesse que la Fed s accorde en remplaçant progressivement le tapering par une forward guidance surtout qualitative. Il ne faut pas non plus sur-interpréter la première réaction de marché. Après la forte hausse des PER en 2013, les profits doivent maintenant prendre le relais pour tirer les actions à la hausse. Sur ce thème, les actions ont des arguments pour continuer à délivrer des performances positives en 2014, supérieures aux placements à taux fixes mais inférieures à celles de Alors que le tapering pourrait finir par peser sur les PER, le momentum des profits devient LA thématique discriminante au sein des actions

6 Evénements clés à venir Indicateurs économiques : - Etats-Unis : l immobilier devrait continuer de bien se porter pendant que les commandes de biens durables repartent. Japon : l inflation est attendue en hausse significative tout comme les ventes au détail. Date Pays Données macroéconomiques attendues Consensus Dernier 23 décembre Etats-Unis Indice des prix Core PCE, m/m, novembre 0,1% 0,1% Etats-Unis Indice Michigan du sentiment des consommateurs, décembre 82,8 82,5 24 décembre Etats-Unis Commandes de biens durables, m/m, novembre 1,6% -1,6% Etats-Unis Indice S&P/Case-Shiller 20 des prix de l'immobilier, a/a, octobre 0,4% 0,3% Etats-Unis Ventes de logements neufs, novembre 448 K 444 K 27 décembre Japon Indice des prix à la consommation, GA, novembre 1,5% 1,1% Source : Bloomberg, Stratégie Amundi Japon Production industrielle, m/m, novembre 0,4% 1,0% Japon Ventes au détail, GA, novembre 2,9% 2,3% Adjudications : Date Pays Adjudications d emprunts d Etat européens [maturité, montant (si disponibles)] 23 décembre France Court terme, montants non disponibles vendredi 27 décembre Italie Court terme, montants non disponibles vendredi Italie Long terme, montants non disponibles vendredi Source : Bloomberg, Stratégie Amundi Evénements clés : Date 9 janvier Banque Centrale Européenne (BCE) 9 janvier Banque d'angleterre (BoE) 22 janvier Banque du Japon (BoJ) 29 janvier Réserve Fédérale (Fed) 19 mars Réserve Fédérale (Fed) Date 13 février Conseil européen mai 2014 Elections du parlement européen Mai 2014 Elections législatives en Inde Octobre 2014 Elections présidentielles au Brésil Novembre 2014 Elections de mi-mandat au Etats-Unis Source : Stratégie Amundi Comités de politique monétaire à venir Evénements politiques à venir

7 Aperçu sur les marchés : Marchés d'actions 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 S&P % 2.2% 27.7% Eurostoxx % 0.1% 15.7% CAC % -1.7% 15.2% Dax % 2.2% 23.5% Nikkei % 5.3% 52.7% MSCI Marchés Emergents (clôture -1J) % -2.8% -6.1% Matières 1 ères - Volatilité 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 Pétrole (Brent, $ par baril) % 3.2% -0.2% Or ($/once) % -3.1% -28.0% VIX Marché des changes 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 EUR/USD % 1.8% 3.6% USD/JPY % 3.9% 20.1% EUR/GBP % 0.4% 2.9% EUR/CHF % -0.6% 1.4% Marchés des taux 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 EONIA bp +7 bp +3 bp Euribor 3M bp +7 bp +11 bp Libor USD 3M bp -6 bp Taux 2 ans (Allemagne) bp +13 bp +24 bp Taux 10 ans (Allemagne) bp +16 bp +55 bp Taux 2 ans (Etats-Unis) bp +10 bp +12 bp Taux 10 ans (Etats-Unis) bp +11 bp +115 bp Ecarts de taux 10 ans vs Allemagne 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 France +60 bp bp -8 bp Autriche +31 bp -1 bp -6 bp -13 bp Pays-Bas +29 bp -2 bp -5 bp +11 bp Finlande +18 bp bp -3 bp Belgique +58 bp bp -16 bp Irlande +180 bp -4 bp -16 bp -118 bp Portugal +415 bp -7 bp -15 bp -154 bp Espagne +227 bp bp -168 bp Italie +225 bp -1 bp -12 bp -93 bp Marchés du crédit 20/12/2013 Sur 1 semaine Sur un mois Dep. 31/12/12 Itraxx Main +71 bp -8 bp -10 bp -46 bp Itraxx Crossover +290 bp -28 bp -41 bp -192 bp Itraxx Financials Senior +87 bp -9 bp -19 bp -54 bp Source : Bloomberg, Stratégie Amundi Données actualisées à 18h

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14

STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 Environnement : Magnifique contre pied des marchés la semaine dernière. En effet, alors que la semaine d avant fut très mouvementée, notamment avec la journée

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

La Banque nationale suisse surprend les marchés

La Banque nationale suisse surprend les marchés La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour

Plus en détail

La dette des ménages canadiens demeure très élevée

La dette des ménages canadiens demeure très élevée 12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États

Plus en détail

Les divergences dominent le marché

Les divergences dominent le marché Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

Zone euro Indicateur d impact du QE

Zone euro Indicateur d impact du QE N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

En direct des Marchés

En direct des Marchés Bruxelles, le mercredi 8 juillet 2015 Madame, Monsieur, La réunion de la dernière chance hier est donc devenue celle de l avant-dernière chance et il faudra attendre dimanche pour connaitre la véritable

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

Weekly Review. Atténuation des tensions sur les devises. L assouplissement quantitatif sera-t-il différent cette fois? Lundi 18 octobre 2010

Weekly Review. Atténuation des tensions sur les devises. L assouplissement quantitatif sera-t-il différent cette fois? Lundi 18 octobre 2010 Atténuation des tensions sur les devises Les tensions à l égard des devises entre les États-Unis et la Chine ont atteint une nouvelle apogée cette semaine lorsque les réserves en devises étrangères de

Plus en détail

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE 2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers

Plus en détail

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l

Plus en détail

Nouvelle vague d assouplissement 1

Nouvelle vague d assouplissement 1 Nouvelle vague d assouplissement 1 Ces derniers mois, une vague d assouplissement des politiques monétaires, largement inattendue, a mobilisé l attention des marchés financiers mondiaux. Dans un contexte

Plus en détail

Taux d intérêt nominaux négatifs «Terra incognita»

Taux d intérêt nominaux négatifs «Terra incognita» Apériodique n 5/5 avril 5 Taux d intérêt nominaux négatifs Au vu de ses objectifs immédiats (baisse des taux d intérêt gouvernementaux et des primes de risque acquittées par les pays dits périphériques),

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact

Plus en détail

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH

Plus en détail

Stratégie d Investissement

Stratégie d Investissement STRATÉGIE Mars 2015 Stratégie d Investissement Perspectives trimestrielles Marge de sécurité Les perspectives pour l économie mondiale restent mitigées. La croissance américaine se généralise, sans pour

Plus en détail

DORVAL FLEXIBLE MONDE

DORVAL FLEXIBLE MONDE DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Rapport annuel 2014 3,5E 7,5E

Rapport annuel 2014 3,5E 7,5E Rapport annuel 2014 30 6E E 3,5E 6E E 80 E 100% 53% E 6E 7,5E Banque centrale européenne, 2015 Adresse postale : 60640 Francfort-sur-le-Main, Allemagne Téléphone : +49 69 1344 0 Internet : www.ecb.europa.eu

Plus en détail

Perspective des marchés financiers en 2014

Perspective des marchés financiers en 2014 Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible

Plus en détail

2 LES MARCHÉS FINANCIERS : ÉVOLUTIONS RÉCENTES ET PERSPECTIVES

2 LES MARCHÉS FINANCIERS : ÉVOLUTIONS RÉCENTES ET PERSPECTIVES LES MARCHÉS FINANCIERS : LES MARCHÉS FINANCIERS : 1. Le marché de la dette souveraine 4. Risque de refinancement des banques 7 3. Les marchés actions 3 4. Les marchés de matières premières 33 5. Les marchés

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011

BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur

Plus en détail

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient

Plus en détail

TARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015

TARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 TARIFS DE COURTAGE OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 La présente brochure a pour objet de vous présenter les principales conditions tarifaires appliquées aux services financiers

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. Bruxelles, le 25 septembre 2007. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête triennale sur le marché des changes et le marché des produits dérivés: résultats pour la Belgique. En avril 2007, cinquante-quatre banques

Plus en détail

Crises financières et de la dette

Crises financières et de la dette Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières

Plus en détail

«Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis!

«Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis! Table Ronde 1! «Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis! Marie LEMARIÉ! Directeur Financement et Investissement de Groupama SA!! Mikaël

Plus en détail

Flash Stratégie n 2 Octobre 2014

Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Direction des Études Économiques http://kiosque-eco.credit-agricole.fr Juillet 8 1 Sommaire 1. Environnement international 1.1. La crise financière reléguée

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

6 conseils indispensables pour bien

6 conseils indispensables pour bien Copyright (c) 2013-2014 ProfesseurForex.com. Tous droits réservés. Offert par Comment bien analyser les indicateurs économiques, l ambiance du marché, et profiter de la psychologie de marché 6 conseils

Plus en détail

#05. Cross asset. investment strategy

#05. Cross asset. investment strategy Cross asset investment strategy #05 Recherche, Stratégie et Analyse MENSUEL Repères Allocation d actifs : stratégies d investissement d Amundi Facteurs de risques Contexte macroéconomique Prévisions macroéconomiques

Plus en détail

Mandat Action-Vérité

Mandat Action-Vérité Mandat Action-Vérité Performances Au 28/11/2013 2012 2013 1 mois 3 mois 6 mois 1 an Vol. 1 an MANDAT Action-Vérité 10,86% 9,71% 0,89% 3,05% 2,01% 11,45% 6,69% Indice Composite (40% MSCI World, 25% Eurostoxx

Plus en détail

Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la

Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la Charte de bonne conduite SOMMAIRE Préambule - Remarques

Plus en détail

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie 52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,

Plus en détail

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» 193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Variation totale en %

Variation totale en % jeudi 16 février 2012 Kingfisher annonce un chiffre d'affaires en progression de 2,2 % au quatrième trimestre, en hausse de 4,0 % à taux de change constants (+ 0,9 % à surface comparable). Le groupe prévoit

Plus en détail

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

Retour à la croissance

Retour à la croissance Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion

Plus en détail

Conditions tarifaires

Conditions tarifaires Conditions tarifaires CFD-Contracts for Difference Octobre 2013 Conditions Tarifaires Vous trouverez ci-dessous les conditions tarifaires applicables à votre Compte de trading. Les termes, utilisés dans

Plus en détail

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Investments Europe. LA LETTRE MENSUELLE Mai 2015. www.generali-investments-europe.com RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS

Investments Europe. LA LETTRE MENSUELLE Mai 2015. www.generali-investments-europe.com RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS Investments Europe LA LETTRE MENSUELLE Mai 2015 Vue d'ensemble Après un début d'année sur les chapeaux de roues, les marchés financiers s'essoufflent ces dernières semaines. En dehors de l ampleur du rebond,

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

La baisse persistante des taux déclenche une quête de rendement 1

La baisse persistante des taux déclenche une quête de rendement 1 La baisse persistante des taux déclenche une quête de rendement 1 Entre mi-juin et mi-septembre, la trajectoire de la croissance mondiale s est infléchie, tandis que la viabilité de la dette des États

Plus en détail

Les mesures adoptées et la réduction des risques à court terme ont revigoré les marchés 1

Les mesures adoptées et la réduction des risques à court terme ont revigoré les marchés 1 Les mesures adoptées et la réduction des risques à court terme ont revigoré les marchés 1 Au cours des trois mois écoulés jusqu à début décembre, les prévisions en matière de croissance économique mondiale

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA) La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher

Plus en détail

FIXAGE. Les fonds de pension en Europe : remise en cause des promesses passées

FIXAGE. Les fonds de pension en Europe : remise en cause des promesses passées FIXAGE Les fonds de pension en Europe : remise en cause des promesses passées Intervention de Stéphane BONIN Deauville, le 20 septembre 2012 Journées d étude de l Institut des Actuaires et du SACEI 11,

Plus en détail

GENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015

GENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015 Sur la période 11 mai 2015 au 10 juin 2015, la performance du fonds est en retrait de -1.04% par rapport à son indicateur de référence*. Néanmoins, depuis le début d année, GF Fidélité surperforme son

Plus en détail

Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents

Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014

Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014 Comment s adapter aux modèles standards : de la recherche aux nouvelles offres de services et de produits Christian Lopez Responsable Recherche Tél. 01 53 15 70 79 christian.lopez@cpr-am.fr 25/06/2014

Plus en détail

Pour la semaine du 31 décembre 2012 :

Pour la semaine du 31 décembre 2012 : Pour la semaine du 31 décembre 2012 : C est dans un climat économique et politique difficile que les marchés entreront cette semaine dans la nouvelle année, inquiets en raison des tergiversations budgétaires

Plus en détail

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

PER Convergence Le Guide de l épargnant

PER Convergence Le Guide de l épargnant Comment choisir vos supports de placement? PER Convergence Le Guide de l épargnant Avec PER Convergence, votre entreprise met à votre disposition deux dispositifs d épargne au service de vos projets dans

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

CMC MARKETS UK PLC. Conditions Tarifaires CFDs. Plateforme Next Generation. Janvier 2015. RCS Paris: 525 225 918

CMC MARKETS UK PLC. Conditions Tarifaires CFDs. Plateforme Next Generation. Janvier 2015. RCS Paris: 525 225 918 CMC MARKETS UK PLC Conditions Tarifaires CFDs Plateforme Next Generation Janvier 2015 RCS Paris: 525 225 918 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Société agréée et réglementée par

Plus en détail

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le bulletin hebdomadaire, sur votre site http://hemve.eklablog.com/ La BCE et l emploi US font chuter l euro, Le Cac peut-il s affranchir de Wall

Plus en détail

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités

Plus en détail

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de

Plus en détail

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016 Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne

Plus en détail

Prévisions mondiales actualisées

Prévisions mondiales actualisées Pas assez de moteurs pour propulser la croissance Le rythme de croissance de la production mondiale reste très modéré, conséquence de la sous-performance cyclique persistante de nombreuses nations et des

Plus en détail

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail