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2 * Archipel des Belep C Centres hospitaliers publics Cliniques privées Structures de santé de compétence provinciale Belep Centres médicaux secondaires ou infirmeries Centres spécialisés Circonscriptions médicales et centres médico-sociaux Poum Ouégoa Bondé Pouébo Mouli Koumac CN P Thavoavianon St-Joseph Kaala-Gomen ienghène Ouloup nacoam Touho Ouvéa Siloam Voh Poindimié Nathalo Province Nord Province Sud CN R-D Nébayes Chépénéhé Koné Népoui Ponérihouen ouaïlou Lifou Poya Kouaoua Bourail Canala Thio La Foa Unia Païta D. Nord Dumbéa V Suzon Yaté NOUMEA Goro naeu Dueulu Mou meleck Wé Tiga Tadine Wabao nawayatch Province Iles Loyauté Wedrumel Rawa Pénélo La Roche Maré Mont Dore Boulari Plum Centre de consultation familiale Centre médical polyvalent Centre médico-scolaire CT Gaston Bourret CT Magenta CT Raoul Follereau Ile Ouen Vao Bureau d éducation sanitaire CT Col de la Pirogue Ile des Pins Promotion de la santé CS Albert Bousquet Centre médical Province des Iles Centres de protection maternelle et infantile Kaméré Montravel Saint-Quentin Clinique de la Baie des citrons Clinique de l Anse Vata Clinique Magnin C C C * Les structures et le personnel de santé à la disposition de la population calédonienne sont détaillés dans le chapitre II : Les services de santé.

3 Source : INVS, IPNC, fichier DASS-NC I Épidémiologie de la dengue La dengue est une maladie virale transmise par les moustiques du genre Aèdes. Le virus de la dengue est un arbovirus (Flavivirus, famille des Flaviridae à laquelle appartiennent les virus West Nile et de la fièvre jaune) dont il existe quatre sérotypes distincts (DEN-1, DEN-2, DEN- et DEN-4) qui entraînent les mêmes symptômes cliniques. L'infection due à un sérotype donné confère une immunité prolongée mais n'offre pas d'immunité croisée contre les autres sérotypes. Elle est transmise à l homme par l intermédiaire du moustique (Aèdes aegypti et en de rares cas Aèdes albopictus) qui pond ses œufs dans les eaux propres (boîtes vides, pneus, citernes ). La dengue peut prendre une forme asymptomatique ou se manifester par une fièvre élevée, et des symptômes non spécifiques. Les infections séquentielles avec des sérotypes différents exposent le malade à un risque accru de développer une forme sévère notamment une dengue hémorragique (D) ou un syndrome de choc (DCS). La dengue hémorragique survient souvent à l occasion d une deuxième infection. Asymptomatique Infection Fièvre indifférenciée Symptomatique Dengue Dengue hémorragique Evolution clinique La dengue évolue spontanément vers la guérison sans séquelle dans la majorité des cas, même si dans de rares cas la convalescence est longue, notamment chez l adulte, avec une phase prolongée d asthénie. Cependant, dans certains cas (le plus souvent chez des enfants de moins de 15 ans), après 2-7 jours et le retour à la normale de la température (défervescence thermique), l infection peut évoluer vers une dengue hémorragique ou une dengue avec syndrome de choc. Une fuite du sang hors des vaisseaux capillaires et des troubles diffus de la coagulation provoquent un tableau grave : ecchymoses en nappe, saignements digestifs abondants (hématémèse franche). Il peut y avoir un syndrome de choc (agitation, pouls accéléré et pression artérielle pincée, froideur des extrémités). La réinfection par un autre sérotype après une primo-infection semblerait favoriser l évolution vers une forme grave. Plus rarement, les patients atteints de dengue peuvent développer : - une atteinte cardiaque ; - des signes neurologiques (convulsions, paralysies partielles, altération de l état de conscience) avec ou sans manifestations hémorragiques, les amenant à être hospitalisés dans un tableau d encéphalite aigüe. Le traitement de la dengue classique est symptomatique : repos, réhydratation orale, antalgiques, antipyrétiques dont paracétamol avec contre-indication absolue de prendre les dérivées salicylés (aspirine). Absence de choc Choc Il n y a pas de vaccin pour le moment, bien que types de vaccins soient pour l instant à l étude. Faisant suite à la piqûre du moustique, et après une période d incubation de 4 à 7 jours, les premiers signes cliniques apparaissent. Ils se rapprochent d un syndrome grippal sévère associant une fièvre élevée (au début brutal) et des symptômes non spécifiques pendant 2 à 7 jours tels que : - des maux de têtes frontaux ; - des douleurs rétro-orbitaires ; - des douleurs musculo-articulaires ; - une sensation de fatigue (asthénie) ; - une éruption (maculo-papulaire) survenant de façon inconstante, affectant le tronc et s étendant vers le visage et les extrémités ; - des signes digestifs (vomissements) ; - des manifestations hémorragiques limitées (pétéchies, purpura, saignements des gencives, du nez ou digestifs). I Tests disponibles L IPNC dispose actuellement de plusieurs tests différents permettant de porter un diagnostic de dengue à différents stades de la maladie. On distingue ainsi les tests précoces (PCR et Ag NS1 positifs dès les premiers symptômes) et les tests tardifs mettant en évidence les IgM dont l apparition nécessite environ une semaine, mais pouvant persister jusqu à 2 mois. Cette combinaison de tests permet d apporter un diagnostic dans tous les cas suspects de dengue (voir tableau ci-dessous). Il est possible que l on ne trouve rien dans le sang alors que la personne est malade. On aura dans ce cas une courte Tests disponibles Positivité des tests en jours après le début de maladie (début des symptômes) J1 J2 J J4 J5 J6 J7 J8 J9 J10 >J10 Antigène NS1 Possible abituel abituel abituel abituel abituel abituel Possible Possible Rare Non ARN viral (PCR) abituel abituel abituel abituel Possible Possible Rare Non Non Non Non Anticorps IgM Non Non Non Rare Possible Possible abituel abituel abituel abituel À 8-12 semaines Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La dengue I.2.6 page 01

4 période appelée «fenêtre négative» pendant laquelle tous les examens spécifiques sont négatifs. d examen et de diagnostiquer quasiment tous les cas positifs (biologiques) de dengue. En 2007, 1012 tests ont été effectués et 47 cas ont été diagnostiqués. Répartition mensuelle des cas enregistrés en 2007 cas probable/possible A - Antigène NS1 En 2007, le laboratoire a mis en place 2 tests mettant en évidence l antigène NS1 du virus de la Dengue (L antigène NS1 est une protéine produite en excès lors de la réplication virale et qui peut persister jusqu au 10 ème jour. Sa détection est plus simple que la PCR pour une sensibilité quasiment équivalente): Un test immunochromatographique, le Dengue NS1 Ag STRIP (BIO-RAD), test unitaire, très facile à mettre en œuvre, permettant un rendu de résultat dans la ½ journée, actuellement en cours d évaluation à l IPNC. Un test Elisa en microplaque (Platelia Dengue NS1 BIO-RAD), adapté aux séries plus grandes pour l instant systématiquement réalisé en parallèle au NS1 strip. B - PCR Dengue Depuis la mise en place des tests NS1, la PCR n est quasiment plus utilisée comme technique diagnostique, mais plutôt comme technique de confirmation. En effet, désormais seuls sont testés en PCR les patients ayant eu un test NS1 positif ou douteux (afin de réaliser un sérotypage du virus), ou les patients ayant un NS1 négatif, mais chez qui il existe une forte présomption clinique de dengue. C - IgM Dengue Devant le nombre non négligeable de faux positifs du test IgM dengue Panbio (Dengue IgM Capture Elisa Kit, PANBIO), vraisemblablement liés, pour la majorité d entre eux, à des réactions croisées avec les anticorps dirigés contre le virus de l hépatite A ou avec les facteurs rhumatoïdes, le laboratoire a mis en place un test de confirmation des IgM (Anti-Dengue Virus IgM Detection PA Kit, PENTAX) plus spécifique. Toute sérologie dengue positive par le test Panbio, est désormais confirmée par le test Pentax. I la dengue au cours de l'année cas confirmé JAN FEV M ARS AVR M AI JUIN JUIL AOUT SEPT OCT NOV DEC Répartition par sexe et tranche d'âge des cas enregistrés en ans ans Répartition des cas selon le déclarant 2% 2% ans 2% 11% 15% 11 1 masc 60 ans & fém CN Dispensaires M édecins libéraux Nord CT/CS Autres M édecins libéraux Sud L IPNC est le seul laboratoire à réaliser le diagnostic biologique complet de la dengue en NC (diagnostic direct et indirect). Cette position privilégiée permet de recevoir toutes les demandes 68% Page 02 La dengue I Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

5 Commune de résidence Morbidité Cas confirmé Cas probable possible Total DUMBEA 1 2 KOUMAC LA FOA MONT-DORE 4 7 NOUMEA PAITA 6 PONERIOUEN TIO Aucun décès en rapport avec un diagnostic de dengue n'a été enregistré en 2007 (cause principale ou renseignement complémentaire). I La dengue au cours des dernières années Le relevé des cas de dengue enregistrés au fichier des maladies à déclaration obligatoire (M.D.O.) durant les 20 dernières années est représenté sur la figure suivante : A noter que les pics mensuels observés au cours des dernières épidémies surviennent le plus souvent vers le mois d avril. Le sérotype responsable des épidémies de 1989, 1995 et 1996 était le sérotype (durant l'épidémie de 1995, tous les cas dont le sérotype était indéterminé, étaient considérés du type ). Durant l'épidémie de 1996, des cas du sérotype 4 ont été enregistrés (le 1er cas a été importé d'indonésie). Les mesures prises ont permis de limiter à 12 le nombre de cas de ce sérotype. C est en décembre 1996, que le 1er cas du sérotype 2, importé de la Polynésie Française (qui subissait alors une importante épidémie) a été enregistré. Ce sérotype 2 apparaissant en période "calme" où les acteurs sanitaires et la population avaient baissé leur vigilance, a pu se reproduire et être responsable des cas enregistrés en A noter qu en 1997 un cas du sérotype 1, importé de Thaïlande, a été déclaré. Les mesures prises par les services d'hygiène ont permis d enrayer toute propagation de ce nouveau sérotype. Durant l'épidémie de 1998, essentiellement causée par le sérotype 2, 5 cas du sérotype, dont le 1er importé de Thaïlande, et un cas du type 4 importé d'indonésie, ont été déclarés. Le sérotype 2 est aussi responsable des cas identifiés en En 2000, seuls des cas cliniques ont été déclarés alors qu en 2001, plusieurs sérotypes ont été identifiés (12 cas de sérotype 1, 1 de sérotype 2 et 21 cas de sérotype non déterminé ont été signalés). Toutefois, il faut noter que tous les cas pour lesquels le sérotype a été identifié sont des cas importés (sérotype 1 de Polynésie Française surtout). On observe 5 pics relatifs aux diverses épidémies survenues sur le territoire. En 2002, 200 et 2004, le sérotype identifié est le sérotype 1, confirmé par l'ipnc pour 64 cas en 2002 (soit 8,8% des cas enregistrés à la DASS), 56 cas en 200 (soit 9,9% des cas enregistrés à la DASS) et 177 cas en 2004 (soit 22,% Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La dengue I.2.6 page 0

6 des cas enregistrés à la DASS). A noter également pour 2004 : 269 cas positifs en IgM (4%) ainsi que 46 cas cliniques (4,7%) pour un total de 792 cas. En 2005, les 2 cas pour lesquels un sérotype a été identifié sont des cas importés : un cas de sérotype de retour des Philippines et un cas de sérotype 4 de retour d'indonésie. En 2006, les 4 cas confirmés par PCR ont permis l identification de virus de type 1 (Indonésie, Polynésie et un cas local dont le cas index n a pas été retrouvé) et 1 virus de type (Indes-Népal). En 2007, parmi les 28 cas confirmés, 27 sont du type 1 (16 importés de Polynésie Française et 1 des Iles Cook) ; un cas du type est importé d Indonésie. Les différents sérotypes de dengue retrouvés au cours des épidémies des années 1996 à type ind. = 567 cas type indét type 4 type type type + 12 type type ind. = 2121 cas type type + 1 type ind. = 2612 cas type type type + 1 type ind. = 251 cas type ind. = 54 cas ind t ype type ind. = 4 cas type ind. = 105 cas type ind. = 792 cas type + 1 type ind. = 46 cas type + type ind. = 48 cas) type 27 type1 19 indét = 47 cas I Bilan surveillance Dengue A Composition La composition du Réseau Sentinelle reste la même que celle de l année 2006, soit 28 centres publics ou libéraux répartis sur l ensemble des Provinces de façon à avoir une représentativité correcte, tant au niveau géographique que socio-économique. Province Cabinets Libéraux Sites ospitaliers Dispensaires - CMS publics Sud Nord Iles 0 0 L ensemble des centres de santé provinciaux sont toutefois mobilisables pour le réseau afin d identifier au plus vite d éventuels foyers réintroduits. De même, les praticiens libéraux de zones sensibles (proximité d un cas) peuvent, sur proposition de la DASS-NC, participer temporairement à l activité sentinelle. Ce fut le cas en 2007 dans la commune de Païta (mai) et dans le quartier de Ducos (décembre). B Mode de fonctionnement Laboratoire : les examens spécifiques sont pris intégralement en charge par la subvention de Santé Publique versée par la Nouvelle-Calédonie à l Institut Pasteur-NC. Les autres analyses, prescrites simultanément (numération-formuleplaquettes, par exemple), sont à la charge du patient et remboursables dans les conditions habituelles des régimes sociaux. Le choix des paramètres diagnostiques de la dengue est à l initiative du laboratoire, en fonction de la date annoncée de début de la maladie. D autre part, en fonction de l évolution de la situation épidémiologique, l Institut Pasteur produit des rapports périodiques de surveillance, diffusés auprès des sites sentinelles et à la DASS par télécopie ou courrier électronique (6 rapports en 2007), puis publiés sur les sites Internet de l IPNC et de la DASS. Page 04 La dengue I Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

7 La DASS-NC (Direction des Affaires Sanitaires et Sociales) : quotidiennement, l IPNC transmet à la DASS-NC les coordonnées des patients faisant l objet d une demande de diagnostic biologique de dengue, ainsi que les résultats des tests. La DASS-NC centralise les données et se charge d informer le même jour les organismes de lutte anti-vectorielle des cas suspects (Service Municipal d ygiène [SM] pour Nouméa, service technique de la commune pour les agglomérations hors Nouméa). Les organismes de lutte anti-vectorielle s occupent de la recherche de gîtes larvaires ainsi que de la démoustication autour de l habitation du cas suspect et effectuent tout au long de l année de nombreuses actions de prévention sur la dengue. L année 2007 marque un tournant dans la lutte antivectorielle péri focale. Avant octobre 2007, les organismes de lutte antivectorielle réalisaient devant chaque cas suspect de dengue, un épandage à J1, J2 et J8. Un rendu assez rapide des résultats (IgM et PCR) permettait éventuellement d éviter la démoustication à J8. Depuis octobre, la mise en place d un test de dépistage rapide de la dengue, le Dengue NS1 Ag STRIP (BIO-RAD), a modifié leur activité, puisque désormais, seuls les patients présentant un test positif (résultat dans la ½ journée) font l objet d une lutte antivectorielle. La lutte se fait au moyen de passage des agents municipaux fois en 10 jours : 1 er jour, ème jour et 8-9ème jour. L épandage se fait toujours au malathion dans le rayon de 100 mètres autour du foyer contaminé et en plus à la deltametrine au foyer lui-même. I Déclaration de Dengue Il faut adresser au laboratoire un prélèvement sanguin effectué sur tube sec le plus tôt possible après le début de la fièvre et un autre prélèvement 2 semaines après le 1er. Pour orienter l'examen et pour interpréter les résultats, divers renseignements sont nécessaires (outre le nom et le prénom) : âge, sexe, tableau clinique de la maladie, date de son début, date de prélèvement, lieux et dates des séjours hors de la Nouvelle-Calédonie. Circuit de la déclaration de la dengue en Nouvelle Calédonie Le formulaire de déclaration d'un cas de dengue est disponible sur le site internet de la DASS-NC : Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La dengue I.2.6 page 05

8 Page 06 La dengue I Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

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