Différentes méthodologies d analyse des ESR
|
|
- Alizée Olivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Différentes méthodologies d analyse des ESR Présentée par Sylvie THELLIER sylvie.thellier@irsn.fr Laurent Zylberman/Graphix-Images/IRSN
2 Généralités La notion d événements 1. Définition Constat d écart(s) à un référentiel : Mais, peu de référentiels en radiothérapie (plutôt des bonnes pratiques) ; Et, l écart peut être détecté des années plus tard (complications). Enchainement de défaillances dans le système : Des Processus (conception technique, formation, élaboration des procédures ) ; Des défaillances organisationnelles ; Des défaillances techniques ; Des actions inappropriées individuelles et collectives des intervenants. 2. Les enjeux d une analyse FOH des ESR Comprendre l échec du système dans le contexte particulier de l événement. Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /14
3 Généralités La notion d événements Enchainement de défaillances dans le système (modèle de James Reason) : Procédures et tâches Patient Ressources et compétences... Constitution équipes Absentéisme Pénurie Turn-over Formation Participation Homonymie Suivi Politique De sécurité des soins De gestion des compétences De mobilité des professionnels De communication institutionnelle De contrôle De validation De transmissions De suivi des patients Le contexte Pas d histogramme dose / volume? Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /14
4 Généralités La notion d activité humaine L activité humaine ne se réduit pas à une simple exécution des tâches prévues par l organisation Fiabilité : au quotidien, les opérateurs cherchent des solutions pour : Atteindre les objectifs ; S adapter en temps réel aux exigences de la situation, aux aléas et dysfonctionnements ; Compenser les vides de la réglementation et de l organisation ; Gérer la variabilité ; Compenser les difficultés individuelles et collectives ; Récupérer les erreurs Infiabilité : les opérateurs produisent des erreurs (écarts à une norme, décalage entre l intention et l action). Les actions deviennent inappropriées quand elles génèrent un événement, un défaut de qualité Les effets de l erreur dépendent des propriétés du système et du contexte dans lequel elle se produit (exemple du pot de fleurs). Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /14
5 Méthodes d analyse des ESR 6 méthodes (5+1) les plus utilisées Méthode des 5 pourquoi Diagramme d Ishikawa Méthode ALARM Arbre des causes Méthode ORION Méthode JDA Ces méthodes ont pour objectif de rechercher les causes profondes d un ESR / d une situation non nominale Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
6 La méthode des 5 Pourquoi (vulgarisée par l ingénieur industriel japonais Taiichi OHNO) Définition Avec 5 questions commençant par «pourquoi», on essaie de trouver la cause principale ayant provoqué la défaillance Variantes : Pourquoi le problème est apparu? Pourquoi le problème n a pas été Avantages détecté? Pourquoi le système a permis l apparition de ce problème? Représentation schématique Méthode simple dans sa mise en œuvre Inconvénients En général, méthode utilisée en complément d un diagramme causes à effets Analyse partielle du fait de l enchainement causal unique Pas de chronologie Exemple : Mes dépenses sont plus élevées que prévues (le problème) Pourquoi? - Je dois payer 10% d'impôts en plus. Pourquoi (dois-je payer 10% d'impôts en plus)? - Je n'ai pas rendu ma déclaration à temps. Pourquoi (...)? - Je n'avais pas toutes les informations nécessaires sur mon patrimoine. Pourquoi? - Je n'ai pas fait évaluer certains biens hérités par expert. Pourquoi? - Je n'ai pas trouvé d'expert à temps. (la cause première). Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
7 Le diagramme d Ishikawa Définition Cette méthode permet d analyser et de visualiser le rapport existant entre un problème (effet) et toutes ses causes possibles (Matière, méthode, matériel, milieu main d œuvre). Variantes : 6M, 7M ou 8M : Mesure, Management, Maintenance Avantages Orientation du questionnement et variation possible des familles Relation causes Effet et classement possible des causes Représentation graphique des causes Inconvénients Pas adapté pour : problème avec de nombreuses causes et problèmes en lien Pas de chronologie Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
8 La méthode ALARM Equipe de Charles Vincent (1998) Définition Méthode inspirée du modèle des plaques ou "de fromage suisse" de REASON Elle propose d analyser 6 facteurs (environnemental, travail en équipe, individuel, Avantages institutionnel, organisationnel, gestion des patients, tâches à effectuer) Guide pour retrouver les erreurs latentes de l organisation et de la gouvernance Orientation du questionnement Reconstitution de la chronologie des faits et traitement de la multi-causalité Inconvénients Pas de représentation graphique Pas de hiérarchie des facteurs Famille de facteurs Facteurs liés aux tâches Facteurs individuels Facteurs liés à l équipe Travail et environnement Facteurs liés à l organisation, l encadrement, l institution Actions à suivre plus compliquées (traitement erreurs latentes) Facteurs contributifs spécifiques / généraux Disponibilité du personnel, collisions de tâches dans une même unité de temps... Compétences individuelles, caractères et personnalités particulières... Climat de travail, communication, supervision, formation... Effectifs, charge de travail, maintenance, équipements... Contexte économique, contexte de gouvernance... Temps de travail, constitution des équipes, style de management... Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
9 L arbre des causes (INRS) Définition Schéma utilisé pour mieux identifier a posteriori tous les faits (technique, humain et organisationnel) ayant abouti à un évènement indésirable Recherche des liens de causalité explicites et/ou implicites Avantages Représentation schématique Reconstitution des faits et traitement de la multi-causalité Méthode accessible (quelques heures de formation) Inconvénients Pas de hiérarchie des facteurs Lecture difficile du schéma par ceux qui ne l ont pas élaboré Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
10 L arbre des causes Une chaine Une conjonction Une disjonction Procédure incomplète Référence à son expérience antérieure Manipulateur «simulation» inexpérimenté Procédure incomprise Procédure non utilisée Schéma est source de confusion Un antécédent et un fait Plusieurs antécédents et un fait Un antécédent et plusieurs faits Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
11 L arbre des causes Procédure incomplète Procédure incomprise Schéma est source de confusion Présentation schématique RT incomplète Transmissions peu claires ou insuffisantes Manque de traçabilité des transmissions Encadrement insuffisant à la prise du poste manipulateur Défaut de formation Procédure non utilisée Défaut de transmission entre RT et manip. Histogramme long et pas systématique Contourage des ganglions impossible A la 1 ere réunion technique commune Référence à son expérience antérieure Pratiques hétérogènes de ce protocole Non détection du risque lié à un manip. Non expérimenté A l approbation des clichés Manipulateur «simulation» inexpérimenté Autres manipulateurs inexpérimentés Pas d histogramme dose/volume Manipulateurs «Simulation» Radiothérapeute Des repères selon métiers Manque de traçabilité Défaut de réalisation des champs ( C4) Pas de contrôle des dosimétristes Défaut du contrôle simultané des clichés Procédure incomplète Défaillances des contrôles Non détection de l écart par les manip. traitement Surexposition de la moelle au niveau de C4 Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
12 La méthode ORION (Origine : aéronautique. Méthode utilisée par Air France Consulting) Les étapes de l analyse : 1 Collecter les données 2 Etablir la chronologie 3 Identifier les causes et les facteurs d influence Définition Méthode d analyse systémique Mise en évidence des facteurs contributifs et des facteurs influents dans quatre grandes familles : domaine technique, environnement du travail, organisation et procédures, facteurs humains Avantages Resituer l événement dans son contexte Analyse factuelle de la chronologie de l événement Identification des facteurs contributifs : dysfonctionnements du système, défaillances des barrières Inconvénients Accompagnement nécessaire des premières analyses Pas de représentation schématique 4 Proposer les actions à mettre en œuvre 5 Rédiger le rapport d analyse Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
13 Points communs de ces méthodes Démarche collective pour un outil : de dialogue entre tous les métiers de diagnostic partagé Des étapes obligées pour les différentes méthodes Recueil des faits Analyse des écarts entre l attendu et le réalisé Identification des causes profondes Proposition d actions d amélioration du système Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
14 Critiques communes de ces méthodes Une qualité et profondeur de l analyse qui dépendent : de la qualité du recueil des faits de l élaboration de leur chronologie Le temps de recueil et d analyse devra être défini en fonction des conséquences d un événement et non en fonction de la disponibilité du personnel Ne pas se contenter de la méthodologie la plus simple Le traitement des causes profondes est rarement intégré dans le plan d actions Lorsqu elles sont inscrites dans le plan d actions, elles sont rarement mises en œuvre Ces analyses ne mettent pas en évidence ce qui a marché : Détection de l événement Atténuation de la gravité des conséquences Défaillances de récupération (ciblés sur les défaillances latentes) Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
15 La méthode JDA (Jugement différentiel d acceptabilité des écarts) adelaide.nascimento@cnam.fr (2009) Les étapes de l analyse : 1 Participation de tous les métiers aux réunions-débats 2 Diffusion et discussion des arbitrages 3 Confrontation et jugement des pratiques 4 Analyse collective du travail réel 5 Définition d un espace de pratiques acceptables Définition Méthode de confrontation de pratiques pour définir un espace de pratiques acceptables vis-à-vis de la variabilité des situations Elle propose d analyser 3 facteurs (individuels, collectifs et organisationnels) Avantages Analyse à partir des situations non nominales plutôt que des ESR Permet d intégrer des pratiques informelles sécuritaires dans l organisation Inconvénients Pas de représentation graphique Méthode utilisée en complément des systèmes de signalement et de traitement des ESR Méthodologies d analyse des ESR Sylvie Thellier - 11 décembre /15
Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes
Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle
Plus en détail2. Présentation d une intervention dans l une des entreprises
Approche ergonomique des troubles musculosquelettiques (TMS) au sein de trois entreprises basées en Suisse Juin 2007 Andréa Neiva, Aurélia Pellaux, Daniel Ramaciotti ERGOrama sa Genève & Université de
Plus en détail1. Présentation de l échelle de maturité de la gestion des risques
MODE OPERATOIRE DE L ECHELLE DE MATURITE DE LA GESTION DES RISQUES Les exigences croissantes en termes de qualité comptable et financière amènent les entités publiques dans leur ensemble à renforcer leur
Plus en détailMéthodologie de mesure d impact de la co-création
Méthodologie de mesure d impact de la co-création Avec le soutien en mécénat de compétences d Accenture Document de synthèse de l étude (version abrégée) Accenture Accenture est une entreprise internationale
Plus en détailPhase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire
Phase 2 : Mettre en œuvre Gestion des projets Gestion Gestion du changement Gestion Plusieurs documents dans un organisme : Documentation technique Documentation sociale Documentation commerciale Documentation
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailRobert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008
Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance
Plus en détailSamuel Bassetto 04/2010
Industrialisation Lean manufacturing 4.2 Réalisé avec V. FIGENWALD - SIEMENS Samuel Bassetto 04/2010 Plan de la partie 2 : Vers une production Lean 1. Valeur Ajoutée et Gaspillages Muda walk 2. Temps de
Plus en détailIntroduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015
NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.
Plus en détailLES OUTILS DU TRAVAIL COLLABORATIF
LES OUTILS DU TRAVAIL COLLABORATIF Lorraine L expression «travail collaboratif» peut se définir comme «l utilisation de ressources informatiques dans le contexte d un projet réalisé par les membres d un
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailPartie II - Comptabilité de gestion - compléments Chapitre 08 - Gestion de la qualité et coûts cachés
Partie II - Comptabilité de gestion - compléments Chapitre 08 - Gestion de la qualité et coûts cachés Vincent Drobinski 9 novembre 2013 Table des matières 1 Gestion de la qualité 2 1.1 Dé nitions & concepts
Plus en détailMéthodologies de développement de logiciels de gestion
Méthodologies de développement de logiciels de gestion Chapitre 5 Traits caractéristiques des deux approches de méthodologie Présentation réalisée par P.-A. Sunier Professeur à la HE-Arc de Neuchâtel http://lgl.isnetne.ch
Plus en détailANALYSE DES RISQUES PROJET IN2P3. Les deux infinis. G.CLAVERIE: Ecole Projet IN2P3 Fréjus 22 au 24 novembre 2012
ANALYSE DES RISQUES PROJET IN2P3 Les deux infinis G.CLAVERIE: Ecole Projet IN2P3 Fréjus 22 au 24 novembre 2012 IN2P3 Les deux infinis 1 I Titre SOMMAIRE de chapitre : Xo 1 I L intérêt d une démarche d
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailMEGA ITSM Accelerator. Guide de démarrage
MEGA ITSM Accelerator Guide de démarrage MEGA 2013 1ère édition (janvier 2013) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis et ne sauraient en aucune
Plus en détailLe CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits'
Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le Contrat Triangulaire ou tripartite est inventé par Fanita English. Il illustre la
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailPLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION
PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION KEOPS Automation Espace Performance 2B, rue du Professeur Jean Rouxel BP 30747 44481 CARQUEFOU Cedex Tel. +33 (0)2 28 232 555 -
Plus en détailCommerce International. à référentiel commun européen
Brevet de technicien supérieur Commerce International à référentiel commun européen Référentiel de formation SEPTEMBRE 2011 RÉFÉRENTIEL DE FORMATION Unités de formation UF1 Culture Générale et Expression
Plus en détailTMS : quelles compétences pour quelle démarche de prévention?
TMS : quelles compétences pour quelle démarche de prévention? Intervenants : Santé sécurité au travail Fabrice BESNOUX, adjoint au directeur industriel Laurent HARDOUIN, membre du CHSCT PRIMEL Gastronomie
Plus en détailBURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence
BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications
Plus en détailStructure du cours : Il existe de nombreuses méthodes intéressantes qui couvrent l Analyse des Données
Structure du cours : Il existe de nombreuses méthodes intéressantes qui couvrent l Analyse des Données et le Data Mining Nous suivons le plan suivant : Fonctionnement de Spad Catalogue des méthodes (statistiques
Plus en détailBio-Rad Laboratories CONTRÔLE DE QUALITÉ. Le logiciel de Bio-Rad pour une gestion experte du contrôle de qualité
Bio-Rad Laboratories CONTRÔLE DE QUALITÉ Le logiciel de Bio-Rad pour une gestion experte du contrôle de qualité CONTRÔLE DE QUALITÉ 1 Unity Real Time 2.0 Unity Real Time 2.0 est un logiciel pour la gestion
Plus en détailNOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES
NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES HYDRAULIQUE MOBILE 5 Stages de 4 jours ----- HM1 HM2 HM3 HM4 HM5 2 Stages SAUER DANFOSS de 2 jours ----- PVG 32 ----- POMPE 90 MOTEUR 51 ELECTRONIQUE EMBARQUEE
Plus en détailPrincipe et règles d audit
CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l
Plus en détailRelatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation Avis n 2003-07 du 24 juin 2003 Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites Sommaire 1 - Présentation du Fonds de
Plus en détailMobilités 2.0 : connaître pour mieux agir
Mobilités 2.0 : connaître pour mieux agir (objet, partenaires, cheminement et concept, architecture du projet, vues d aide à la décision, et prochaine étape 21 janvier!) denys.alapetite @smartengy.com
Plus en détailSpip 2. Premiers pas pour créer son site web. Anne-Laure Quatravaux Dominique Quatravaux. Avec la contribution de Sandrine Burriel
Anne-Laure Quatravaux Dominique Quatravaux Spip 2 Premiers pas pour créer son site web Avec la contribution de Sandrine Burriel Groupe Eyrolles, 2009, ISBN : 978-2-212-12502-3 Pourquoi choisir Spip? Vous
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailFonctions pour la Suisse
Fonctions pour la Suisse Microsoft Corporation Publié : novembre 2006 Microsoft Dynamics est une ligne de solutions de gestion d'entreprise intégrées et adaptables qui vous permet, ainsi qu'à vos employés,
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailLes audits de l infrastructure des SI
Les audits de l infrastructure des SI Réunion responsables de Catis 23 avril 2009 Vers un nouveau modèle pour l infrastructure (CDSI Avril et Juin 2008) En dix ans, les évolutions des SI ont eu un fort
Plus en détailGestion active des bâtiments. Classification des niveaux d intégration de la sécurité
Gestion active des bâtiments Classification des niveaux d intégration de la sécurité L évaluation de la performance d un bâtiment tient compte de sa consommation énergétique et de son empreinte environnementale
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailConvention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG
Convention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG entre H+ Les Hôpitaux de Suisse (ci-après «les hôpitaux») et santésuisse
Plus en détailLes mécanismes de projet
Les mécanismes de projet Changement climatique du protocole de Kyoto Franck Jésus Conseiller Environment du Directeur des Relations Internationales DGTPE MINEFI 04 juillet 2005 Le protocole de Kyoto: limiter
Plus en détailLe concept de leadership
Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres
Plus en détailIntroduction au LEAN. 17/02/2010 Page: 1
Introduction au LEAN 17/02/2010 Page: 1 Évolution du contexte industriel Les trentes glorieuses (1945-1975) Demande supérieure à l offre Prix de revient, productivité Contrôle de gestion L équilibre (1975-1990)
Plus en détailElaboration participative des programmes communaux
Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailALERT NOTICE D UTILISATION DU DRIVER PC-TEXTE
1) Installation ALERT NOTICE D UTILISATION DU DRIVER PC-TEXTE A) Installation du driver PC-TEXTE Lors de l installation du logiciel ALERT, le gestionnaire de communication «PC-TEXTE» doit être sélectionné
Plus en détailSYSTEME INFORMATIQUE DES DECHETS INDUSTRIELS ET DANGEREUX «SIDID «Sommaire
Exposé relatif au SYSTEME INFORMATIQUE DES DECHETS INDUSTRIELS ET DANGEREUX «SIDID «Sommaire 1 Introduction 1.1 Réglementation portant sur le traitement et l élimination des déchets industriels dans le
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailMONCEAU FLEURS EMET UN EMPRUNT OBLIGATAIRE 8% PAR AN A TAUX FIXE - DUREE 5 ANS EMPRUNT OUVERT A TOUS
MONCEAU FLEURS EMET UN EMPRUNT OBLIGATAIRE 8% PAR AN A TAUX FIXE - DUREE 5 ANS EMPRUNT OUVERT A TOUS ET Transfert des actions MONCEAU FLEURS sur le compartiment Offre Publique d Alternext La durée d investissement
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS (Learning Management System) DU CENTRE DE FORMATION POUR LE DEVELOPPEMENT CFD/MADAGASCAR
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailJournée COMPIL «Agilité et recherche» pascal.dayre@enseeiht.fr
Journée COMPIL «Agilité et recherche» pascal.dayre@enseeiht.fr Génèse de la journée 13/06/2012 COMPIL INRA-Auzeville 2 Intérêt marqué pour l'agilité lors des JDEV2011 Arrivée de Marie-Hélène Charron dans
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailDECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailOn a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.
Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailQuestionnaire de sondage: de la communication interne dans l organisation
Cours 7 Audit : Exemple de questionnaire Questionnaire de sondage: de la communication interne dans 1. Votre organisation s est-elle dotée officiellement d une stratégie, d un programme ou d une politique
Plus en détailAvancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise
Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances
Plus en détailles outils du travail collaboratif
les outils du travail collaboratif Sommaire Qu est-ce que le travail collaboratif? A chaque usage ses outils L échange d informations Le partage d informations La gestion de projet La conception collaborative
Plus en détailLOGICIEL DE GESTION DE DOCUMENTS PDF : PROJET INFO 1
LOGICIEL DE GESTION DE DOCUMENTS PDF : PROJET INFO 1 L. POINSOT Contact client : Laurent Poinsot (laurent.poinsot@lipn.univ-paris13.fr) Résumé : Ce document est le cahier des charges du projet INFO 1.
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailSéries Statistiques Simples
1. Collecte et Représentation de l Information 1.1 Définitions 1.2 Tableaux statistiques 1.3 Graphiques 2. Séries statistiques simples 2.1 Moyenne arithmétique 2.2 Mode & Classe modale 2.3 Effectifs &
Plus en détailSOMMAIRE. Présentation assistée sur ordinateur. Collège F.Rabelais 1/10
/0 SOMMAIRE. Lancer le logiciel. Mettre un titre dans une diapositive et du texte. Ajouter une diapositive 4. Créer une diapositive avec une image 5. Créer une diapositive avec un graphique 6. Créer une
Plus en détailComment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie
Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même
Plus en détailLa gestion des problèmes
Chapitre 6 La gestion des problèmes Les incidents se succèdent, toujours les mêmes. Des petits désagréments la plupart du temps, mais qui finissent par pourrir la vie. Toute l équipe informatique se mobilise
Plus en détailLa modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015
La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailEsri LOCATION ANALYTICS
Esri LOCATION ANALYTICS Le «où» qui fait la différence De meilleurs résultats avec Esri Location Analytics. Comment canaliser les flux de données et comment en tirer la valeur ajoutée la plus élevée? À
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailConseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailLe Lean Management appliqué aux services administratifs
www.avlconsulting.fr Le Lean Management appliqué aux services administratifs Michel BALDELLON 1er avril 2015 Un petit exercice de contrôle de gestion préparatoire (1/2) Une comptabilité fournisseur d un
Plus en détailDocument de recherche n 1 (GP, EF)
Conservatoire National des Arts et Métiers Chaire de BANQUE Document de recherche n 1 (GP, EF) Taxation de l épargne monétaire en France : une fiscalité potentiellement confiscatoire Professeur Didier
Plus en détailOptimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z.
Page/0 - BUT DE LA MANIPULATION : Optimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z. - LES PLANS D EXPERIENCE -LA METHODE DU DOCTEUR TAGUCHI. La mthodologie Taguchi de mise en oeuvre des plans
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailLA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES
LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES ANALYSER LES INCIDENTS/ACCIDENTS LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES Par Jean-Pierre HECKMANN D'après un document de l'iuta de l'université de Bordeaux SOMMAIRE I. HISTORIQUE
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailComment détecter les risques psychosociaux en entreprise?
Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme
Plus en détailANNEXE 5 PROJET TECHNIQUE SYSTEME TELE-BILLETTIQUE DE LMCU
ANNEXE 5 PROJET TECHNIQUE SYSTEME TELE-BILLETTIQUE DE LMCU 1 > Sommaire 1 LES SUPPORTS DE TITRES DE TRANSPORT ET LES TITRES ASSOCIES 6 1.1 Les supports de titres... 6 1.2 Carte billettique... 6 1.3 Billet
Plus en détailCloud Computing et SaaS
Cloud Computing et SaaS On a vu fleurir ces derniers temps un grands nombre de sigles. L un des premiers est SaaS, Software as a Service, sur lequel nous aurons l occasion de revenir. Mais il y en a beaucoup
Plus en détailEfficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailCONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE?
Déchets : outils et exemples pour agir Fiche méthode n 3 www.optigede.ademe.fr CONSTRUIRE UNE ET ELABORER UN NAIRE? Origine et objectif de la fiche : Les retours d expérience des collectivités locales
Plus en détailMEGA ITSM Accelerator. Guide de Démarrage
MEGA ITSM Accelerator Guide de Démarrage MEGA 2009 SP4 1ère édition (juin 2010) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis et ne sauraient en aucune
Plus en détailL expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics. Rapporteur général à la Cour des comptes
L expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics Par: Saïd MOURABIT Rapporteur général à la Cour des comptes Introduction Rappel des missions de la Cour des comptes: jugement
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détailOrganisation du «plus grand spectacle au monde» AxeLOS.com. The APM Group et The Stationery Office 2012
Organisation du «plus grand spectacle au monde» AxeLOS.com étude de Cas Juillet 2012 Sommaire Introduction 3 C est compliqué... 3 Où commencer? 4 L approche Londres 2012 4 L avenir 5 À propos de MSP 6
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailLe pilotage et les outils du développement durable
Le pilotage et les outils du développement durable ANCI Création mars 2010 PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements Présentation du Groupe PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements 4 engagements prioritaires
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailCIES : Coaching des Individus, des Équipes et des Structures
CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante) CIES : Coaching s Individus, s Équipes et s Structures Cies Praticien 1 ère Le Le Lead Lead Coach Coach Institut est l espace formation Convergence
Plus en détailCOMPETENCE DE NIVEAU N1
GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance
Plus en détailComment parler de sa pratique pour la faire partager?
pour la faire partager? 1. Profiter de l expérience des autres 2. Comment raconter son expérience? 2.1. Théoriser sous forme de récit 2.2. Les ingrédients de la théorisation de pratique 3. Élargir le récit
Plus en détailGroupe Monceau Fleurs
Groupe Monceau Fleurs Ce communiqué de presse ne peut pas être publié, distribué ou transmis directement ou indirectement aux Etats-Unis d'amérique, au Canada, en Australie ou au Japon. Succès des augmentations
Plus en détail