Pr Pierre DELLAMONICA CHU de NICE 24/09/2014 1
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1 Pr Pierre DELLAMONICA CHU de NICE 24/09/2014 1
2 Dans le monde Premier rapport de l OMS sur la résistance aux antibiotiques Avril La résistance des bactéries aux antibiotiques constitue une menace grave d ampleur mondiale qui n est plus une prévision, mais bien une réalité dans chaque région du monde, et qui peut toucher tout un chacun, quelque soient son âge et son pays. «À moins que les nombreux acteurs concernés agissent d urgence, de manière coordonnée, le monde s achemine vers une ère postantibiotiques, où des infections courantes et des blessures mineures qui ont été soignées depuis des décennies pourraient à nouveau tuer», déclare le Dr Keiji Fukuda, Sous-Directeur général de l OMS pour la sécurité sanitaire. Parmi les autres mesures importantes à adopter figurent la prévention des infections pour qu elles n aient pas lieu du tout moyennant une meilleure hygiène, l accès à l eau potable, la lutte contre les infections nosocomiales et la vaccination et pour réduire les besoins en antibiotiques. L'affaire de tous Chacun peut contribuer à lutter contre la résistance en: utilisant les antibiotiques uniquement lorsqu ils sont prescrits par un médecin; terminant le traitement conformément à l ordonnance, même si l on se sent mieux; ne partageant jamais des antibiotiques avec d autres personnes et en n utilisant jamais les médicaments restants d une ordonnance précédente. 2
3 En Europe Résumés des données récentes sur la résistance aux antibiotiques dans l Union Européenne 2014 * La résistance aux antibiotiques est une menace sérieuse pour la santé publique en Europe. Elle conduit à l'augmentation des coûts des soins, à des hospitalisations prolongées, à des échecs thérapeutiques et parfois au décès. Un usage raisonné des antibiotiques et des stratégies de lutte contre les infections associées aux soins dans tous les secteurs de la santé (hôpitaux, EHPAD*, soins ambulatoires) sont la pierre angulaire des actions qui permettent d empêcher la sélection et la transmission des bactéries résistantes aux antibiotiques. * **Etablissement d'hébergement pour Personnes Agées Dépendantes 3
4 En Europe Plan d action pour combattre les menaces croissantes de la résistance aux antimicrobiens Novembre 2011 * Constat : Chaque année, un sous-ensemble de bactéries résistantes aux médicaments provoque la mort d environ personnes en Europe Une démarche globale est nécessaire; initiative «One Health»** un lien entre la santé humaine, animale et l environnement Plan d action: Utilisation appropriée des antimicrobiens en médecine humaine et vétérinaire Prévenir les infections microbiennes et leur propagation Mettre au point de nouveaux antimicrobiens efficaces ou trouver d autres solutions de traitement Collaboration internationale afin d endiguer les risques de propagation de la résistance aux antimicrobiens résultant des échanges et voyages internationaux et de l environnement Améliorer le suivi et la surveillance Développer la recherche et l innovation Communication, éducation et formation La journée européenne de sensibilisation sur les antibiotiques le 18 Novembre depuis 2008 * ** 4
5 En France Plan National d alerte sur les antibiotiques * Depuis 2001, le Ministère chargé de la Santé a mis en place des Plans Nationaux de Santé Publique successifs pour préserver l efficacité des antibiotiques. Les axes stratégiques du Plan National d alerte sur les antibiotiques : Renforcer l efficacité de la prise en charge des patients Améliorer les règles de la prise en charge par les antibiotiques Informer et former les professionnels de santé Sensibiliser la population aux enjeux d une bonne prise en charge Informer et sensibiliser le grand public Informer et sensibiliser des publics particuliers dont les enfants en âge scolaire (e-bug) Préserver l efficacité des antibiotiques existants Promouvoir la recherche Plan Ecoantibio du Ministère de l Agriculture * 5
6 Consensus international, européen et français La résistance aux antibiotiques est une menace sérieuse. L émergence de souches résistant fait craindre un retour à l ère préantibiotiques. C est une urgence absolue qui implique de nombreux acteurs. C est l'affaire de tous. Chacun peut contribuer à lutter contre la résistance en adoptant un usage raisonné des antibiotiques et des stratégies de prévention et de lutte contre les infections, en particulier l hygiène et les vaccinations. L importance d améliorer les mesures d éducation est primordiale. 6
7 «Le phénomène est préoccupant, puisque chaque année, au sein de l Union Européenne, patients meurent d une infection liée à des bactéries multi-résistantes qui n ont pu être traitées, faute d antibiotique efficace, dont en France, soit plus de décès que ceux dus au VIH!» Point Presse CPAM de Nice, 15/01/2013 7
8 Plan I- Comprendre la résistance II- Antibiotiques «le juste usage» III- Résistance et consommation d antibiotiques IV- Situation épidémiologique de la résistance et ses conséquences médicales. V-Stratégies pour faire baisser la résistance aux antibiotiques VI-L outil pédagogique e-bug 8
9 Objectifs L usage inapproprié des antibiotiques est un problème économique et sociétal La résistance est due à la sélection de mutants résistants favorisée par le mésusage Un Plan : corriger les dérives médicales et modifier le comportement du public Connaître les outils : hygiène, vaccination, techniques de diagnostic rapide, création d outil d aide à la décision 9
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11 Délai entre introduction des antibiotiques et apparition des résistances acquises Antibiotiques Année de commercialisation Année d apparition des résistances Pénicilline (S. aureus) Streptomycine Tétracylcine Méthicilline (S. aureus) Acide nalidixique Gentamicine Vancomycine (entérocoques) Céfotaxime Linézolide (E. faecium) Daptomycine (S. aureus) 11
12 En pathologie humaine, la résistance bactérienne se définit par rapport aux antibiotiques utilisés pour traiter une infection bactérienne Les antibiotiques appartiennent à différentes classes chimiques (bétalactamine, aminoside, tétracycline ) qui leur confèrent un ou plusieurs modes d action sur les bactéries (inhibition de la synthèse de la paroi, blocage du métabolisme, blocage de la multiplication ) Selon les espèces de bactéries, ces modes d action sont plus ou moins efficaces 12
13 Ceci définit Le spectre antibactérien d un antibiotique permet de classer les bactéries en bactéries Sensibles ou Résistantes (entre les 2 se situent les bactéries dites Intermédiaires) L antibiogramme est l expression phénotypique de la résistance : Des espèces habituellement sensibles ou naturellement sensibles Des espèces modérément sensibles (< 10% de résistance) ou inconstamment sensibles (> 50% de résistance) Les bactéries résistantes 13
14 Définitions de la résistance (OMS 1971) Une souche bactérienne est dite «résistante» quand elle supporte une concentration d antibiotique notablement plus élevée que celle qui inhibe le développement de la majorité des autres souches de la même espèce : Une souche bactérienne est dite «résistante» quand elle supporte une concentration d antibiotique notablement plus élevée que la concentration qu il est possible d atteindre in vivo «Catégories de populations bactériennes» (méthode de Kirby et Bauer) EUCAST : ecoff values «Catégories cliniques» EUCAST : clinical breakpoints 14
15 Il existe 2 types de résistance La résistance naturelle est génétiquement déterminée. Elle est transmissible à la descendance, commune à toutes les bactéries de la même espèce. L antibiotique n a pas de cible adaptée sur la bactérie (ex : les glycopeptiques et entérobactéries, C3G sur les listeria ou les entérocoques, aminosides sur les anaérobies) Les résistances acquises : l espèce ou genre est naturellement sensible, mais certaines souches ont acquis un ou des mécanismes de résistance. Ils sont transmissibles horizontalement et verticalement : 55% des E. coli sont résistants à l amoxicilline 20% des Pseudomonas sont résistants aux carboxypénicillines 10% des E. coli sont résistants au C3G.. (la fréquence de ces résistances acquises fluctuent en fonction de la pression de sélection et du temps) 15
16 Résistance naturelle Résistance acquise RESISTANCE BACTERIENNE NATURELLE Chromosomes Fixe Constante 1 espèce bactérienne 1 ATB ou 1 famille Transmission verticale ACQUISE Quelques souches d une espèce Tend à se répandre Mutations Extra-chromosomique Chromosomique Rare Stable Spontanée Spécifique : 1 ATB ou 1 famille Transm verticicale Eléments génétiques Mobiles Fréquent Contagieux Non spécifique : +s ATB = multir Transm. horizontale 16
17 Quels sont les supports de la résistance? Chromosomique : naturelle ou acquise par présence (ou incorporation) d un gène dans le chromosome bactérien (transposon): Concerne le plus souvent 1 antibiotique Transférable d une espèce bactérienne à une autre (horizontal) Certains antibiotiques sont plus concernés : quinolones, rifampicine, fosfomycine, ac. fusidique. Ainsi que certaines espèces : mycobactéries (tri ou quadrithérapie) 17
18 Acquisition d un plasmide (80-90% des résistances extrachromosomiques) : Concerne 1 ou x antibiotiques (polyrésistance) Transférable d une espèce à une autre Chromosome Plasmide 18
19 Quels sont les mécanismes de la résistance? Enzymes inactivant l antibiotique : bêtalactamine et bêtalactamases, aminosides et phosphotransferases, ou acétyltransferases, etc Modification de cible d action : protéine de liaison (PLP de Spn, Sa ), quinolones et topisomérases, macrolides et méthylases, etc Diminution de la perméabilité (porines) Efflux (rejet de l antibiotique à l extérieur de la bactérie) Rifampicine 19
20 Détermination de S/R (expression phénotypique) CMI = 2mg/l Témoin sans AB Concentrations en antibiotique (mg/l) 20
21 Lecture d un antibiogramme par diffusion en milieu gélosé La mesure du diamètre d inhibition permet d estimer la concentration minimale inhibitrice ou CMI Courbe de concordance établie sur un grand nombre de souches de la même espèce bactérienne 21
22 Détermination de la CMI (bactériostase). Concentration d antibiotiques : mg/l. Même inoculum bactérien : 10 6 bactéries/ml CMI = 2 mg/l 22
23 CMB : Concentration Minimale Bactéricide La plus faible concentration d antibiotique d une gamme de dilution de raison deux pour laquelle il y a 0,01% de bactéries survivantes après 24h de contact, l inoculum initial étant de 10 6 UFC/ml 23
24 Pour être efficace, la concentration sérique d un antibiotique doit être > à la CMI. Les concentrations obtenues avec les posologies habituelles rapportées aux diamètres d inhibition définissent les classes S, R et I, raisonnablement prédictives du succès ou de l échec thérapeutique Valeurs données par des groupes experts nationaux et européens (ESAC) : 24
25 Antibiotiques temps dépendants/dose dépendant L intensité de la bactéricidie est corrélée avec la durée pendant laquelle la concentration > CMI : bêtalactamines,glycopeptides... AB dose dépendant: Action dépendante du pic de concentration : aminosides Cette observation est à la base du mode d administration proposé : doses fractionnées ou mieux en perfusion continue pour les antibiotiques temps dépendants 25
26 Courbe de croissance en présence d antibiotiques 26
27 Catégories cliniques/pharmacologie Souches sensibles : CMI < c Bonne probabilité de succès thérapeutique lors d un traitement par voie systémique avec la posologie recommandée et si la concentration au foyer infectieux est > à la CMI (œil, SNC, prostate) Souches résistantes : CMI > c Forte probabilité d échec thérapeutique quelle que soit la concentration au foyer infectieux 27
28 Souches «intermédiaires» : c < CMI < c Succès thérapeutique imprévisible Espéré si posologies fortes et donc concentrations élevées au foyer infectieux Ensemble hétérogène : Souches «modérément sensibles» Mécanisme de résistance acquis présent à bas niveau Comportement inconnu ou risques de résistances in vivo «I» comme «Incertitude» 28
29 Qui gagnera la bataille de la résistance? Antériorité des bactéries sur terre : Variables microbes humains facteur Nb sur terre 5 X X Masse (tonne) 5 X X Tps génération 30 mn 30 ans 5 X 10 5 Durée sur terre 3.5 X X Comparées à l espèce humaine, les bactéries sont plus anciennes, plus nombreuses, mieux adaptées 29
30 De moins en moins de nouveaux antibiotiques ATB systémiques autorisés par la FDA/EMA 2009 : 506 phase II et III 6 antibiotiques 67 cancérologie 33 inflammation et douleur 34 maladies métaboliques Pourquoi? : RSI non attractif! Responsabilité politique! Clin Infect Dis. 2011;52:S397-S428 30
31 Une course Exposition naturelle des bactéries à de nombreux agents chimiques dans l environnement (depuis des millions d années) dont les antibiotiques naturels produits par certaines bactéries ou champignons Présence dans leur patrimoine génétique de gènes codant pour : Cibles modifiables, les rendant résistantes à certains antibiotiques auxquels elles auraient été exposés Enzymes d inactivation déréprimées L imperméabilité Capacité d accepter des gènes de résistance 31
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33 La pression de sélection et guérison L effet curatif s exerce en tuant ou inhibant la/les bactéries responsables de l infection (+ les défenses naturelles) Si la concentration résiduelle d antibiotique est trop faible entre 2 administrations : concentration sub-inhibitrice permet la sélection de mutants résistants Définition de la fenêtre de sélection qui pour certains antibiotiques peut être supérieure à la CMI (fluoroquinolones) 33
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35 En pathologie humaine ou animale, l exposition aux antibiotiques justifiée ou non entraîne: Destruction des microbiotes sensibles (cutanées, digestives ) : modification des flores : Implantation de nouvelles espèces résistantes Expression des mécanismes de résistance par les espèces naturellement présentes Persistance des espèces résistantes tant que s exerce la pression de sélection (Clostridium difficile, levure..) Transmission des mécanismes de résistance entre espèces et à la descendance Transmission aux personnes contact (hygiène) 35
36 Comment une antibiothérapie chez un individu a-t-elle un impact collectif? Les bactéries résistantes peuvent facilement être transmises d une personne à une autre, soit directement, soit indirectement à partir d un environnement contaminé Cette transmission amplifie l impact de la résistance bactérienne aux antibiotiques, faisant passer le problème individuel à un échelon collectif d où la permanence de l hygiène 36
37 Prendre un traitement antibiotique Avoir des contacts avec d autres personnes Peuvent vous faire acquérir des bactéries résistantes Et vous pouvez transmettre ces bactéries à d autres personnes 37
38 Le cercle vicieux Traitement antibiotique à bon escient : guérison Impact écologique R aux ATB Morbidité Mortalité Consommation accrue d AB à large spectre Impact économique 38
39 Points clé du développement de la résistance en pratique Deux facteurs principaux conduisent au développement de la résistance bactérienne : Traitement par antibiotiques, les traitements non justifiés, les traitements mal pris ou mal prescrits Contacts entre personnes/animaux ou un environnement contaminé, surtout si les pratiques d hygiène sont imparfaites Les personnes vivant dans les pays où le mésusage et/ou la prescription est très importante sont plus à risque (dépistage du portage!?) 39
40 En cas de traitement par antibiotique comment limiter la sélection de bactéries mutantes résistantes? Connaître la bactérie responsable (identifiée par prélèvement) sinon disposer de paramètres permettant de la suspecter (contexte clinique, test de diagnostic rapide ) Soit elle est habituellement sensible traitement le mieux ciblé sans prélèvement : «Antibiothérapie probabiliste» à spectre étroit Soit inconstamment sensible risque de résistance prélèvement IMPERATIF avant le début du traitement. Antibiothérapie à large spectre puis adaptée Réévaluation à 48-72h 40
41 Bon usage de l AB pour éviter les échecs Assurer des concentrations suffisantes au site de l infection (éviter la fenêtre de sélection) : Posologie adaptée au poids et aux émonctoires (mg/kg) pour éviter la toxicité Espacement des prises (T ½) (ex : IR) Durée recommandée Observance Choix de la voie d administration 41
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43 Facteurs favorisant la sélection des bactéries résistantes (les médecins) Prescription inappropriée : Hôpital : 30 à 50% des prescriptions sont inappropriées, en ville : 70% Mauvaises indications (Infections virales) Monothérapie (certains antibiotiques sélectionnant) Inadéquation posologie et mode d administration Durée inappropriée Usage excessif: fait culturel, peur de la judiciarisation 43
44 Juste usage: le rôle du médecin Le prescripteur doit : Appliquer les recommandations de bon usage Pratiquer les tests diagnostics rapides s ils existent Ne prescrire un antibiotique que si le diagnostic d infection bactérienne est le plus probable Prescrire l antibiotique le plus adapté Au spectre le plus étroit, le mieux ciblé, compte tenu de son efficacité sur la bactérie isolée ou suspectée Dans le respect des contre-indications Avec un dosage et pour une durée suffisante pour neutraliser la bactérie pathogène 44
45 Le juste usage: le rôle du patient Le patient doit : Ne pas insister pour se faire prescrire un antibiotique si le médecin le juge inutile Respecter les doses prescrites aux horaires indiqués Prendre la totalité du traitement prescrit (doses et durée) Ne jamais prendre l initiative d utiliser des restes d un traitement précédent de prendre des antibiotiques prescrits à quelqu un d autre de donner ses propres restes d antibiotiques à quelqu un d autre Rendre les restes d antibiotiques éventuels au pharmacien Conseils pour les infections e-bug lycées 45
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47 Antibiotiques - Epidemiologie 47
48 Consommation : Europe, 2014 en doses définies journalières/1000 habitants (DDD ou DDJ) Antibiotiques - Epidemiologie 48
49 Evolution de la consommation en soins primaires en France : en doses définies journalières/1000 habitants (DDD ou DDJ) 49
50 Consommation en antibiotiques ATB- RAISIN, Résultats Type Consommations d antibiotiques à visée systémique, par type d établissement en nombre de DDJ/1000 JH Nombre d établissements Taux global Médiane CHU CH MCO CLCC HIA ESSR LOC ESLD PSY
51 Nb DDJ / 1000 JH Evolution de la consommation de bêtalactamines en nombre de DDJ/1000 JH entre 2008 et 2010 (N=662) ,8% ,6% + 6,7% + 30,8% + 3,3% 2 0 Pipéracilline tazobactam J01CR05 Ceftriaxone J01DD04 Ceftazidime J01DD02 Cefotaxime J01DD01 Carbapénèmes J01DH Source : Réseau de surveillance ATB Raisin, données 2010 Disponible sur : > incidence > ATB-Raisin 51
52 Consommations d antibiotiques en ville, des différences régionales (2009, source P. Cavalié, Afssaps) - CHU : 30% des patients - Ville : jeunes enfants, sujets âgés - France : 3ème consommateur mondial - 2 à 3 fois + que dans les pays du Nord de l Europe -Inutile ou appropriée : hôpital 30 à 50%, ville 70% 52
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54 Bonne nouvelle : Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM), isolés d infections invasives (bactériémies et méningites) % 20% Source: European Antimicrobial Resistance Surveillance - Network (EARS-Net) 54
55 Mauvaise nouvelle : 55
56 Résistance de E. coli aux céphalosporines de 3 ème génération (C3G) - Les C3G sont très souvent prescrites en France - Disparités importantes de résistance entre pays européens - Nette augmentation de résistance en France entre 2002 et <1% 8% Source: European Antimicrobial Resistance Surveillance Network (EARS-Net). 56
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60 Bactéries hautement résistantes et émergentes (BHRe) Bactéries commensales du tube digestif Bactéries résistantes à de nombreux antibiotiques Mécanismes de résistance transférables entre bactéries Bactéries émergentes en France : diffusion sporadique ou épidémique limité = Entérobactéries productives de carbapénémases (EPC) = Entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) Haut Conseil de la Santé Publique. Prévention de la transmission croisée des bactéries hautement résistantes aux antibiotiques et émergentes, Juillet
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67 Enterobactéries résistantes aux carbapénèmes % d isolats de K. pneumoniae résistants aux carbapénèmes, 2011 Episodes à enterobactéries productrices de carbapénémases signalés en France de <1% 299 épisodes impliquant des EPC 191/299 (64%) épisodes avec un lien avec un pays étranger (Bilan au ) Source : European Antimicrobial Resistance Surveillance Network (EARS-net). Source : InVS, signalement des infections nosocomiales. 67
68 Conséquences médicales En cas d infection avérée par une bactérie résistante : Échec d un premier traitement antibiotique Hospitalisation pour traitement intra-veineux Echec potentiel du traitement hospitalier Escalade de prescriptions d agents antimicrobiens Possible impasse thérapeutique Risque accru d acquisition d une nouvelle infection à l hôpital par bactérie nosocomiale habituellement multi-résistante Patients restant contagieux plus longtemps: Diffusion potentielle de cette bactérie à l entourage lors du retour à domicile Portage sain chez des individus en bonne santé (7% dans les crèches collectives des Alpes Maritimes) Conséquences médicales 68
69 En France patients/an ont une infection due à une bactérie multirésistante (BMR) (Etude Burden 2015, InVS*) personnes/an en meurent* Dépense/an en antibiotiques : 71 millions d, soit 30%, de plus que la moyenne européenne En 2013, 97,6 millions de boîtes d antibiotiques remboursées par l Assurance maladie Consommation moyenne, en doses définies journalières (DDJ) /1000 habitants/jour au sein de l UE : 21,5 DDJ En France : 29,7 DDJ En 2013, 28,3% des patients français traités par antibiotiques En 2012, un voyageur sur deux de retour d un séjour dans des pays situés en zone tropicale est porteur d une BMR (Ruppé, CID, Vol 61. Issue 4, p ). 69
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71 Plan d alerte 2011/ Journée de sensibilisation le 18/11 : European Antibiotic Awwareness Day Suivi des consommations : site Raisin pour la surveillance dans les établissements de santé Surveillance des consommations de ville par l Assurance Maladie : visites confraternelles 71
72 Le plan national pour préserver l efficacité des antibiotiques , puis Instaurer une dynamique nationale : Plan national d action Intégration dans le cursus de formation universitaire et post universitaire Création d une Commission de coordination et de suivi national Sensibiliser le public : Campagne d information grand public Suivi effectué par un comité national aidé de groupes de travail Pilotage : la DGS Effecteur : CNAMTS, e.bug 72
73 «Les Antibiotiques, c est pas automatique» : une action qui a porté ses fruits Plus de 40 millions de prescriptions évitées depuis 2002 (l équivalent d un hiver de prescriptions) 2012: 29,4/DDJ/1000 hab/j ; 2004: 22,1/DDJ/1000 hab/j Évolution de la consommation d antibiotiques remboursés en ville en DDD/1000 personnes/jour et comparaison européenne 40,0 35,0 30,0 25,0 20,0 32,2 28,9 27,0 30,4 28,9 29,7 27,9 30,5 30,8 28,6 32,0 France (données de remboursement issues du régime général) France (ESAC) Allemagne (ESAC) Grèce (ESAC) Mais une tendance à la reprise de la consommation depuis 2007 Italie (ESAC) 15,0 10,0 Hollande (ESAC) Danemark (ESAC) Norvège (ESAC) Belgique (ESAC) Sources : Cnamts (régime général, hors SLM) et ESAC, Données de remboursement, rapprochées des données européennes publiées par l ESAC. 5,
74 LE PLAN Bon usage Moindre usage -> JUSTE USAGE! 74
75 Plan : mise en œuvre territorialisée, sous la responsabilité des ARS! Mobiliser les établissements de santé, via les CPOM (Contrat Pluriannuel des Objectifs et des Moyens), avec des indicateurs adaptés de consommation et de surveillance Mobiliser l ensemble des professionnels de santé du secteur des soins de ville, en motivant les URPS Structurer l offre régionale d aide et de conseil aux prescripteurs, avec possibilité de mutualisations interrégionales Promouvoir les actions visant à réduire les inégalités territoriales, notamment les variations interrégionales et infrarégionales observées en termes de consommation d antibiotiques et de résistance (problèmes sociaux) Relayer au niveau régional les actions conduites au niveau national, en contribuant notamment à l atteinte des groupes de population ciblés Objectif chiffré de baisse de la consommation (25%) sur 5 ans 75
76 Les 3 axes stratégiques du plan 76
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78 Santé animale Plan vétérinaire mis en place Objectif : diminuer de 25% les antibiotiques Mais les vétérinaires restent prescripteurs et dispensiateurs! Seraient-ils aussi contrôleurs de leurs prescriptions et de leurs bénéfices? 78
79 Les campagnes «grand public» «Antibios quand il faut» (Alpes- Maritimes) «Les antibiotiques c est pas automatique» «Les antibiotiques utilisés à tort deviendront moins forts» TDR angine 2007 Améli : e-bug : aide pédagogique à l éducation scolaire des jeunes Eco-antibio: Stratégies
80 Comment faire baisser les prescriptions d antibiotiques? Référents antibiotique : Ville: réponse téléphonique / Cs d urgence Hôpital : itinérance + alerte du bactériologiste, du pharmacien Formation continue des professionnels, DPC Recommandations locales, nationales (HAS, Sociétés Savantes) Réunions de concertation Evaluation des pratiques professionnelles (RCP), réévaluation à 48h du traitement, TDR Liste limitative : «dispensation contrôlée» (hôpital) Création d outil d aide à la juste prescription 80
81 VI-L outil pédagogique e-bug Programme scolaire éducatif visant à améliorer les connaissances des élèves sur les microbes, la transmission, la prévention et le traitement des infections Coordination nationale du projet e-bug, CHU de Nice: Pr Pierre Dellamonica / Dr Pia Touboul Contact: touboul.p@chu-nice.fr 81
82 Historique un projet européen Objectifs initiaux : Élaborer et mettre à disposition des enseignants d écoles élémentaires et des collèges un matériel éducatif gratuit (pack éducatif et site web) pour l enseignement scientifique sur les thèmes de microorganismes, transmission, prévention et traitement des infections. Coordination Européenne: Dr Cliodna McNulty,RU Financement: DG Sanco pays partenaires Ceci afin de permettre une amélioration des connaissances, une prise de conscience de l utilité des antibiotiques et des dangers de leur utilisation inappropriée chez les futurs utilisateurs d antibiotiques. 82
83 En France: Un projet multi-partenarial CHU de Nice : coordination française, états des lieux pour chaque outil, adaptation, évaluation. Éducation nationale : accord MEN en septembre 2006 ; DGESCO et Inspection Générale (état des lieux, relectures); Académie de Nice et de Bordeaux (évaluation des connaissances des élèves et satisfaction des élèves et des enseignants). DGS : financement et coordination. INPES : 3 Plans de diffusion, 4 ème en cours. CNAMts : «Les Antibiotiques, c est pas automatique», impression de 50 % des brochures initiales. APBG (Association des professeurs de SVT) : questionnaire besoin des enseignants et évaluation qualitative des outils. Mutualité Française : Communication et participation aux travaux relatifs à l extension. DGAL: (Direction générale de l agriculture): Extension vers la santé animale. Ecole vétérinaire d Alfort: Extension vers la santé animale MGEN: participation aux MOOCs pour les enseignants Réseau Medqual / INVS: données épidémiologiques 83
84 Présentation des outils initiaux Écoles élémentaires (CM1 et CM2) Livrets (enseignants) Site web (enseignants et élèves) Collèges (6 e et 3 e ) Reprise du contenu des livrets pour les enseignants Révisions, quiz, animations, expériences, fiches sur les infections et jeux pédagogiques pour les élèves 84
85 Axes de développement des outils e-bug Mise à jour et enrichissement des outils existants en continue: par exemple: calendrier vaccinal interactif, calendrier de campagnes, fiches sur infections vectorielles, Ebola. Réédition des outils initiaux: Révision des brochures Ecoles primaires et Collèges en 2016: Mises à jour scientifiques, programmes scolaires, Nouveaux thèmes (Hygiène à la ferme, hygiène bucco-dentaire, Santé animale, Microbiote, IST), nombreuses activités complémentaires ajoutées. Nouveau Plan de diffusion prévu pour la rentrée Extension vers les lycées: ans, adaptation française en cours. Banque de ressources pour une utilisation flexible suivant les besoins, spécifiques sur les thématiques Antibiotiques et Vaccinations. Disponibles en 2016 en ligne. Formations en ligne pour les enseignants: MOOCs sur les thématiques e-bug en particulier Antibiotiques et Vaccination seront accessibles via la plateforme Développement en cours, disponibles en
86 Antibiotiques Outils e-bug Lycées Présentation ppt : «Découverte des antibiotiques et apparition des résistances» Animation Antibiotiques Présentation ppt : «Antibiotiques Quiz Mythes ou réalités» Fiche «Conseil pour les infections courantes virales» Cartes de débat Analyse de données françaises nationales sur les antibiotiques et les résistances en ville Education par les pairs Vaccinations Présentation ppt : «Pourquoi se faire vacciner?» Animation Vaccinations Présentation ppt interactive : «Vaccination Quiz Mythes ou réalités» Fiche «Conseils pour les vaccinations» Cartes de débat Etude de cas : Infection HPV Analyse de données françaises nationales sur le taux de couverture de la vaccination de la rougeole et les épidémies de rougeole 86
87 Exemple: Parcours MOOC Antibiotiques pour les enseignants de SVT Autoévaluation initiale L intérêt d enseigner les antibiotiques aux élèves Introduction Principes de microbiologie Microbiote Constats épidémiologiques Comprendre la résistance Comprendre les conséquences médicales Le bon usage des antibiotiques/différentes sortes de mésusage Stratégies pour diminuer les prescriptions d antibiotiques? Enseigner les antibiotiques aux élèves; outils e-bug à disposition et conseils d utilisation Autoévaluation finale et avis sur la formation, commentaires libres, suggestions d amélioration
88 Conclusion Mise à disposition des enseignants à travers l Europe d un matériel éducatif et pédagogique efficace et bien accueilli par les élèves et les enseignants. Groupes d âges: écoles primaires, collèges, lycées, enseignants. En France, collaboration multi institutionnelle et interministérielle. État des lieux et évaluations au niveau du terrain. Cohérence avec les programmes scolaires Plusieurs perspectives d extension 88
89 Pour conclure 11/12/12 Bactéries résistantes aux antibiotiques : le Parlement européen tire la sonnette d alarme! Françoise Grossetête, député européen (UMP, PPE, F) : "Nous devons remédier à deux problèmes majeurs: l'utilisation inappropriée d'antibiotiques en médecine humaine et vétérinaire et le retard accumulé en matière d'innovation dans le développement de nouveaux médicaments. Il n'existe malheureusement aucune barrière à la diffusion des bactéries multi-résistantes" a poursuivi Françoise Grossetête " Les antibiotiques ne sont pas des médicaments comme les autres et cette prise de conscience doit être partagée par tous pour vaincre cette épidémie silencieuse" a-t-elle conclu 89
90 Autres actions en cours de discussion Communication «Classement des AB au Patrimoine Mondial» Ordonnance spécifique antibiotique! Vaccination et réduction de la prescription des AB Outils d aide à la prescription pour le corps médical 90
91 Merci de votre attention! 91
PSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
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