Fréquence et biodiversité des moisissures de l habitat
|
|
- Marie-Laure Robichaud
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fréquence et biodiversité des moisissures de l habitat Gabriel REBOUX Laboratoire de Parasitologie-Mycologie CHU de BESANCON 5 e Journée du Réseau ALLERGOLOR Vittel 2008
2 PLAN DE L EXPOSE Généralités Espèces potentiellement pathogènes Enquête environnementale Fréquences, concentrations et seuils
3 GENERALITES
4 CLASSIFICATION Différents modes de reproduction =classifications complexes - forme sexuée / forme asexuée Espèces répertoriées: à Basidiomycètes ( espèces) : Coprinus, Pleurotus, Ustilago, (influence saisonnière) Les «levures» (Basidiomycètes Cryptococcus- et Ascomycètes) «Moisissures» = autres champignons filamenteux microscopiques (= Zygomycètes, Ascomycètes, Deutéromycètes)
5 Zygomycètes CLASSIFICATION
6 CLASSIFICATION Ascomycètes Deuteromycètes Alternaria Phialophora Cladosporium Phoma Penicillium Aspergillus Graphium Chaetomium Humicola Geotrichum Aureobasidium Epicoccum
7 BESOINS PHYSIOLOGIQUES Air : majorité aérobie Eau : (A w ) mini. 0,65 (xérophiles), 0,85-0,98 Température : C (mésophiles) ++, C (thermotolérante s), qqs thermophiles (optimale >45 C), qqs psychrophile s (< 15 C) ph : 5,5-9,0 (qqs ph 2), (expression enzymatique variable) Lumière : pas obligatoire, (sauf parfois pour sporuler) Substrats : Cellulose, lignine, protéines, sucres (production de mycotoxines liée au type de substrat)
8 ORIGINE Flore fongique extérieure colonise les végétaux et les matières organiques (spores transportées par le vent) Flore fongique intérieure colonise les différents substrats en fonction de l hygrométrie et de la température Moyenne Bruxelles Concentration en spores de l air «extérieur» «Spores» ou conidies d Aspergillus fumigatus
9 LES ESPECES POTENTIELLEMENT PATHOGENES
10 Cladosporium: Espèces : C. sphaerospermum, C. cladosporioides, C. herbarum (été) Températures de croissance: Mini 4 C Optim C Max 32 C C. sphaerospermum Habitat: Plantes, sol, textiles, air Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant ++ C. cladosporioides
11 Espèces : Penicillium (P. chrysogenum, P. olsoni, P. brevicompactum, P. islandicum ) (150 espèces) Températures de croissance: Mini 4 C Optim C Max 35 C (>37 C Habitat: Plante en pot, cellulose Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant + Toxique +, Odeur ++ (COV ++) L identification des espèces est difficile et peu réalisée P. chrysogenum seul testé en allergologie P. marneffei)
12 Aspergillacées (250 espèces): Espèces : Aspergillus fumigatus, A. flavus, A. versicolor, A. glaucus Températures de croissance : Thermotolérants Opt C: A. fumigatus (maxi > 55 C), A. flavus, Mésophiles Max C: A. versicolor, A. glaucus Habitat: Sol, fourrage, compost, céréales, aliments, fruits, air Pouvoir Pathogène / mode d action : Infectieux + (A. fumigatus, A. flavus), Allergisant + (A.versicolor) ABPA (mucoviscidose) (A. fumigatus) toxique++ (aflatoxine, ochratoxine ) A. ochraceus
13 Porosporés et proches: Espèces : Alternaria, Ulocladium, Pithomyces Températures de croissance : Mini 2 C Optim C Max 32 C Habitat : Plantes, sol, textiles, carton, air Plâtre, poutres, textiles (Ulocladium) Pouvoir Pathogène/mode d action Allergisant +++ Alternaria Ulocladium Pithomyces
14 Mucorales: Espèces : Mucor, Absidia, Rhizopus Températures de croissance: Mini 5 C Optim C Max 45 C Habitat: sol, fourrage, aliments, fruits, air Pouvoir Pathogène / mode d action : Infectieux (Mucormycoses) Absidia Allergisant (Mucor circinelloides et Rhizopus microsporus) PHS domestique (Absidia corymbifera) Toxique Rhizopus
15 Espèce : Botrytis cinerae, Températures de croissance: Mini 5 C Optim C Max 35 C Habitat: Plantes (vigne, tabac),air Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant,(Alvéolite des vignerons)
16 Espèces à cleistothèces ou pycnides Espèces : Chaetomium globosum Phoma glomerata, Températures de croissance: Mini 5 C Optim C Max 37 C Habitat: Végétaux, cellulose (livres, cartons), air Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant + (asthme) X100 Chaetomium sp. X 10 Phoma sp.
17 Espèce : Epicoccum nigrum, Températures de croissance: Mini 3 C Optim C Max 45 C Habitat: Plantes mortes, sol, cellulose Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant (rhinites estivales et asthme)
18 Espèces : Acremonium strictum Fusarium solani Températures de croissance: Mini 3 C Optim C Max 37 C Habitat: Plantes, sol, (eau), air Pouvoir Pathogène / mode d action : Infectieux: fusarioses disséminées, kératites Acremonium Allergisant (V) Toxines ++ (trichothécènes, zéaralenones ) Fusarium
19 Espèces : Stachybotrys chartarum, Températures de croissance: Mini 7 C Optim. 23 C Max 40 C Habitat: Cellulose (très humide) (A w 0,98) Pouvoir Pathogène / mode d action : Allergisant + S. chartarum Toxique (+ à +++) (Satratoxines H et G, verrucarine, roridine ) Hémorragie pulmonaire (discuté) Présence dans 3 à 25% des logements
20 Espèces : Scedosporium apiospermum, S. prolificans Températures de croissance: Optim C Max 37 C Habitat : Plante en pot, véranda Pouvoir Pathogène / mode d action : «A»BPA (mucoviscidose) S. prolificans
21 ENQUÊTES ENVIRONNEMENTALES Réseau d Allergologie de Franche-Comté RAFT (J-M Rame, H. Ammari) 145 enquêtes depuis Mai 2003 Etude «Habitat et moisissures» 138 logements, (G. Reboux, L. Millon, S. Roussel, AP Bellanger, F. Grenouillet)
22 OU ET QUOI PRELEVER? Dans la chambre, la salle de bain, +/- pièce suspecte Reboux G & Nolard N, Rev Mal Resp 2006 Roussel S et al., J Environ Monitoring, 2008 Reboux G et al., Indoor Air, 2008 (In Press) L air, les surfaces, parfois des substances, de la poussière Bellanger AP et al., J Applied Microbiol (Soumis Août 2008)
23 ECHANTILLONNAGE Air Variation des capacités aérologiques des spores / espèces Validité de mesures isolées? (2 mesures à 3 mois d interv.) Relation avec l air extérieur? (prélever préf. d octobre à avril) Surfaces Développement des biofilms en fonction des degrés d humidités, des composants, de la température (aspect qualitatif) Relation quantitative avec l air? (faible si ventilation ++) Substances (plantes, bouquets secs, toiles de jutes, tapisseries, plâtres, poussières )
24
25
26 ANALYSES MICROBIOLOGIQUES Comptage microscopique - pas d identification de certaines espèces (Aspergillus/Penicillium) - identification d espèces non cultivables (Ustilago) - imprécision du comptage Filtre «toluène-vaseline» Moisissures, Pollens, bactéries, acariens, squames et fibres végétales
27 ANALYSES MICROBIOLOGIQUES Cultures - moisissures + actinomycètes + bactéries = 6 milieux - toutes les espèces ne sont pas revivifiables (1%, 0.1%, 0.01%?) - analyses très spécialisées, «chronophages» Petriella sp. Reboux, J Mycol Med, 2006
28 ANALYSES MICROBIOLOGIQUES PCR Temps réel - spécificité variable, - une sonde par micro-organisme PCR temps réel (Stachybotrys chartarum) Haugland R, Mol Cel Probes, 1999 Millon L et al, J MycolMed, 2006 Pitkaranta M et al, Applied Envir Microb, 2008 Evaluations globales (EPS, glucans, chitine, ergostérols, COV ) - pas d isolement de souches, pas de «seuils acceptables» publiés Douwes J et al, JACI,1999 Robine E et al, Rev Fr All Imm Clin, 2006
29 FREQUENCES, CONCENTRATIONS, SEUILS
30 FREQUENCE DANS L AIR Suède: Penicillium 85% (dt P. chrysogenum 2%), Alternaria 60%, Levures 52%, Trichoderma 35%, Ulocladium 24%, Phoma 13%, A. versicolor 9%, Cladosporium 4%, Stachybotrys 3% [Bornehag, Indoor Air, 2004] Finlande: Penicillium 91%, Levures 71%, Cladosporium 68%, Aspergillus 41%,Oidiodendron 29%, Aureobasidium 26%, Acremonium 18%, Stachybotrys 12%, Mycélium stérile 76% [Hyvärinen, Cent Eur J Publ Health, 2001] Belgique: Penicillium 95%, Cladosporium 95%, Aspergillus 90%, Botrytis 70%, Aureobasidium 53%, Scopulariopsis 52%, Alternaria 40%, Acremonium 30%, Ulocladium 25%,Mucor 21%, Rhizopus 18%, Stachybotrys 17%, Trichoderma 15% et 41 espèces à qqs % [Beghin, Aerobiologia, 1994]
31 CONCENTRATIONS ACCEPTABLES? Normes ou recommandations: Brésil (750 ufc/m 3 ) [Nunes, Mem Inst Oswaldo Cruz, 2005] Europe EN14988 (50,200,10 3, 10 4, 10 5 ufc/m 3 ) [in WHO Europe,2004] Finlande (> 100 ufc/m 3 : insp. visuelle; > 500 ufc/m 3 : analyses) France (SRU et CSHPF : pas de norme) Valeurs indicatives: ufc/m 3 : médiane logements investigués (Lab Hyg Ville de Paris) -faible cont.< 170; cont. Intermédiaire ; forte contamination ; Très forte >1000 ufc/m 3 [Reboux, Indoor Air, 2008, révision] -Seuils d alerte (en ufc/m 3 ) : >100 [Oghke, 1987], >150 [Miller, 1988], >200 [Yang, 1993], > 500 [Hyvärinen, 2001], >1000 [Morey, 1984], Modulation des conclusions en fonction des espèces dominantes
32 CONCLUSIONS Peux-t-on établir une relation dose effet? Comment évaluer le «poids réel» de chaque espèce? Rôle des interactions entre micro-organismes Rôle de la sensibilité individuelle Rôle de l histoire individuelle de l exposition
33
Moisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014
Moisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014 Laurent Groux, Ph.D. Doctorat en Chimie (2003) de L université de Montréal Consultant en
Plus en détailRÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat
RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailVentilation : Mesure et réglage des débits
Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailPartie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire
Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et
Plus en détail*Institut Supérieur Agricole de Beauvais, Département des Sciences Animales, B.P. 30313, 60026, Beauvais Cedex
Appréciation de la qualité sanitaire du CORAMI, co-produit de l'amidonnerie du blé utilisé en alimentation porcine Diana RINGOT* Pascale LESTRADET* Francis WILLEQUET* *Institut Supérieur Agricole de Beauvais,
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailCe qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire
Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux
Plus en détailFusariose : réduire les risques aux champs!
Fusariose : réduire les risques aux champs! Denis Pageau, M. Sc., Ferme de recherche de Normandin, AAC Pierre Filion, t.a., MAPAQ Montérégie Ouest Collaborateurs : Jean Lafond, M. Sc., Julie Lajeunesse,
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailData loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées
Data loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées Les data loggers SOFREL LT et LT-US ont été conçus pour la surveillance des réseaux d eaux usées et pluviales (collecteurs, déversoirs d orage,
Plus en détailPrévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp.
Prévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp. Elzbieta Czembor, Plant Breeding and Acclimatization Institute, Radzikow, Pologne; Jozef Adamczyk,
Plus en détailPour une meilleure qualité de l'air
Pour une meilleure qualité de l'air Eliminez les virus, les bactéries et les moisissures Désinfectez l'air que vous respirez UVC Technology Air disinfection Lampe UV-C PHILIPS Filtre 3M Ventilateur ebm
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailGUIDE. Risque infectieux fongique et travaux en établissements de santé. Identification du risque et mise en place de mesures de gestion
2011 - Volume XIX - n 1 - ISSN 1249-0075 - 25 GUIDE Risque infectieux fongique et travaux en établissements de santé Identification du risque et mise en place de mesures de gestion Mars 2011 SOMMAIRE
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailMéthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique
Méthodes de laboratoire Évaluation de structures mycologiques par examen microscopique MÉTHODE ANALYTIQUE 360 Applicabilité Cette méthode est utilisée pour l évaluation semi-quantitative des structures
Plus en détailIdentification des champignons d importance médicale Stage de laboratoire
Identification des champignons d importance médicale Stage de laboratoire Philippe Dufresne Guy St-Germain Mars 2014 Table des matières PARTIE 1 INTRODUCTION À LA MYCOLOGIE ET IDENTIFICATION DES CHAMPIGNONS
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailANNEXE VI : Les étapes à suivre pour réaliser une étude HACCP SOMMAIRE
ANNEXE VI : Les étapes à suivre pour réaliser une étude HACCP SOMMAIRE 1. Définir le champ de l étude... 2 2. Constituer l équipe HACCP... 4 3. Décrire le produit - déterminer son utilisation attendue
Plus en détailTable des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP
Procére : Code de bonnes pratiques pour indivielle dans le cadre de travaux Table des matières 1 Objectif... 1 2 Champ d application... 1 3 Références... 1 4 Définitions... 1 5 Procére... 1 5.1 Introction...
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE. Outils pour la formation
LES BONNES PRATIQUES D HYGIÈNE DANS LA PRÉPARATION ET LA VENTE DES ALIMENTS DE RUE EN AFRIQUE Outils pour la formation Les appellations employées dans ce produit d information et la présentation des données
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailSommaire Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre 5 Chapitre 6 Chapitre 7. ARC EPS Eco-microbiologie Prévisionnelle Statistique
ARC EPS Eco-microbiologie Prévisionnelle Statistique 1 Objectifs de l ARC EPS 2 Partenaires 3 Moyens 4 Problématique Microbiologique 5 Démarche et Résultats 6 Perspectives 7 Valorisation LES OBJECTIFS
Plus en détailSUPERVISION : Smart Condition Monitoring. Brand of ACOEM
SUPERVISION : Smart Condition Monitoring Brand of ACOEM 30 ANS D expérience OneProd présente SUPERVISION, une nouvelle génération d applications web dédiées à la maintenance conditionnelle intelligente.
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailREP12/CF, par. 92. 2. REP13/CF, par. 127-132.
Point 14 de l ordre du jour CX/CF 14/8/14 Février 2014 PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMITÉ DU CODEX SUR LES CONTAMINANTS DANS LES ALIMENTS Huitième session La Haye, Pays-Bas, 31
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailDémonstra*on du concept de détec*on
Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène (ABTS) Peroxyde d'hydrogène (H 2 O 2 ) Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène
Plus en détailModélisation du développement microbien dans un aliment et application à l'appréciation quantitative des risques. Historique. Niveaux de modélisation
Modélisation du développement microbien dans un aliment et application à l'appréciation quantitative des risques Objectifs de la microbiologie prévisionnelle micro-organisme pathogène ou d altération produit
Plus en détailThermotrack Webserve
track Webserve Surveillance et traçabilité de la température de vos réfrigérateurs, chambres froides, laboratoires sur Internet Sondes Ethernet Compatible avec Boutons Fonctions Principales Surveillance
Plus en détailBienvenue. Présentation de la société. Microsoft Innovation Center, le 20 mars 2015. Gilles Dedisse, Chef de Projets
Bienvenue Présentation de la société Microsoft Innovation Center, le 20 mars 2015 1 / 28 Gilles Dedisse, Chef de Projets À propos d'orditech Société de Services en Ingénierie Informatique (SSII) Produits,
Plus en détailII. QUAND UN DIAGNOSTIC AMIANTE AVANT TRAVAUX DOIT-IL ÊTRE RÉALISÉ?
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'intérieur, de la mobilité et de l'environnement Service de toxicologie de l'environnement bâti Version 1 août 2013 DIRECTIVE DIAGNOSTIC AMIANTE AVANT TRAVAUX
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailTraits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR
Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique
Plus en détailPunaise de lits. Nuisance émergente. Cimex lectularius. Pascal DELAUNAY. CHU de Nice. Parasitologie-Mycologie. Pascal DELAUNAY
Punaise de lits Cimex lectularius Nuisance émergente Parasitologie-Mycologie CHU de Nice 1947 1999 2009 Ectoparasite Hématophage chez les 2 sexes Adultes et larves ressemblent à un confetti brun ou beige
Plus en détailNETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN
NETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN L utilisation et la mise au rebut des produits chimiques étant de plus en plus réglementées, l industrie de la blanchisserie doit utiliser des méthodes de nettoyage plus
Plus en détailSuivi environnemental de réalisation (SER)
Assainissement définitif de la décharge industrielle de Bonfol Suivi environnemental de réalisation (SER) Commission d information et de suivi, séance du 11.12.2009 Grégoire Monin, directeur de CSD Porrentruy,
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailNOTE N : Evaluation des rejets radioactifs gazeux des installations de production de radio-traceurs au moyen d un cyclotron. Note 10-004-F rév.
Note 10-004-F rév. 0 1/6 NOTE N : date: 10-004-F 18/12/2009 Traducteur: / Nombre de pages: 6 Nombre d annexes: / Evaluation des rejets radioactifs gazeux des installations de production de radio-traceurs
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailLe Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE
Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Logo CERVIA Parce que l enjeu alimentaire est plus que jamais un défi pour demain, le CERVIA PARIS Ilede-France,
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailVentilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant
SIARETRON 3000 ICU Ventilateur pour soin intensif code: 960136 Rev. 1-01/01/2009 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Destination d usage Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours.
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailPrincipe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs
Plus en détailn 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES
n 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES n 18 Maîtrise des fermentations spontanées et dirigées FRANCE Institut Français de la Vigne et du Vin Sommaire Les levures : des champignons naturels et sélectionnés... page
Plus en détailClean air solutions. Industrie agroalimentaire
Clean air solutions Industrie agroalimentaire Industrie Agroalimentaire sécurité sanitaire des aliments Des causes microscopiques... L air extérieur véhicule de 200 à 1 500 bactéries au m 3. Une centrale
Plus en détailSIMPLE CRM ET LA SÉCURITÉ
SIMPLE CRM ET LA SÉCURITÉ #innovation INFORMATIONS SECURITE DONNEES Simple CRM et la sécurité INTRODUCTION AUX MECANISMES DE BASE LA SÉCURITÉ AU CENTRE DE NOS PRÉOCUPATIONS La sécurité est au cœur de notre
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailBienvenue. Présentation de la société. Mons, le 19 septembre 2014. Gilles Dedisse, Chef de Projets
Bienvenue Présentation de la société Mons, le 19 septembre 2014 1 / 27 Gilles Dedisse, Chef de Projets À propos d'orditech Société de Services en Ingénierie Informatique (SSII) Produits, services d'ingénierie
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailSurveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris.
Testo Solution Exemple d application Surveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris. Les produits pharmaceutiques (peu importe qu il s agisse de substances
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détail