CENTRE HOSPITALIER CHRETIEN

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1 CENTRE HOSPITALIER CHRETIEN Liège, le 8 janvier 2016 Le PET-scan du CHC enfin agréé après 15 ans de fonctionnement Une régularisation pour aller de l avant SERVICE COMMUNICATION Catherine Marissiaux Tél catherine.marissiaux@chc.be Fin décembre, après 15 années de combat, le PET-scan 1 du service de médecine nucléaire du CHC vient enfin d être reconnu et agréé par les autorités. Si la décision ne change pratiquement rien pour les patients, elle constitue une excellente nouvelle pour l hôpital puisque les autorités reconnaissent explicitement la nécessité de l appareil et l expertise de son équipe. C est l aboutissement d un long combat, notre ténacité a été récompensée, résume le directeur général, Alain Javaux. Un combat de longue haleine Petit coup d œil dans le rétroviseur : quand elle fait le choix de s équiper d un PET-scan sur fonds propres en 1999, la clinique Saint-Joseph vise avant tout l intérêt du patient et la complémentarité avec son service d oncologie, dont l activité est une des plus importantes du pays. Quelques mois plus tard, le SPF Santé publique limite le nombre de PET-scans à 13 pour l ensemble de la Belgique. Non seulement le moratoire donne priorité aux hôpitaux universitaires, mais il part d une page blanche : l appareil de la clinique Saint-Joseph est considéré de facto comme illégal, alors qu il a été installé avant toute réglementation, un choix que la clinique St-Joseph et les autres hôpitaux dans la même situation 2 n acceptent pas à l époque. S en suivent toute une série de discussions, pétitions, débats juridiques, dérogation, recours au Conseil d Etat, menace de mise sous scellé, fermeture imposée, lourdes amendes, reprise de l activité Au final, le PET-scan du CHC est toléré, mais reste non agréé. Pratiquement, cela signifie que l activité n est pas reconnue par le SPF Santé publique et que les examens réalisés sur cet appareil sont tarifés de manière nonoptimale, comme des scintigraphies. Si le patient participe faiblement au coût de l examen, c est surtout l hôpital qui finance le fonctionnement du PET-scan: la solidarité financière entre médecins et direction du CHC permet de maintenir et d exploiter l appareil malgré le déficit financier récurrent généré par les examens pratiqués. Mais la volonté de se doter des meilleurs équipements pour garantir la meilleure prise en charge des patients prime avant tout. Aujourd hui, le CHC a reçu un agrément provisoire d un an à dater du 1 er janvier Cet agrément constitue une caution médicale et professionnelle pour les patients et les prestataires de soins, mais aussi une garantie juridique et une sécurité financière pour l institution qui pourra désormais tarifer les examens réalisés selon une nomenclature plus favorable. Une reconnaissance attendue Dans leur décision d octroyer cet agrément, les autorités régionales s appuient explicitement sur la nécessité de maintenir l offre de soins du CHC qui a démontré son efficacité à rencontrer les besoins des patients, notamment en oncologie, et sur l intérêt de sauvegarder l expertise médicale acquise par l équipe de médecine nucléaire du CHC. C est une reconnaissance majeure qui récompense un travail énorme des équipes médicales et paramédicales depuis plus de quinze ans maintenant, explique Alain Javaux, directeur général. Siège social CHC asbl rue de Hesbaye 75 B-4000 LIEGE 1 Le PET-CT-scan un appareil qui associe la technique du PET (ou TEP en français tomographie à émission de positons) et celle du CT-scanner. 2 Cinq autres institutions hospitalières étaient dans le même cas que la clinique St-Joseph : le centre hospitalier inter-régional E. Cavell, la clinique de l Europe et la clinique St-Jean à Bruxelles, le centre hospitalier Jolimont- Lobbes à Haine-St-Paul, les cliniques universitaires de Mont-Godinne. Ces hôpitaux et la clinique Saint-Joseph avaient tous acquis un PET-scan avant la parution de la loi. Ensemble, ils ont demandé la révision de la programmation des PET-scans en juin 2001, en collaboration avec la FIHW (fédération des institutions hospitalières de Wallonie) et la CBI (coordination bruxelloise d institutions sociales et de santé).

2 Pour rappel, cette équipe a également reçu la reconnaissance de ses pairs, avec une accréditation comme centre d excellence PET-CT renouvelée en juin 2015 par l EANM (European association of nuclear medicine). Cette reconnaissance lui garantit la participation à de nombreuses études scientifiques multicentriques, tant au niveau belge qu international. Le SPW Santé justifie également l octroi de l agrément par le fait que l exploitation du PET-scan du CHC participe à une répartition géographique équitable et qu il n engendrera aucun coût en termes d acquisition et installation d appareil. Appareil performant et indications plus vastes La clinique Saint-Joseph dispose d un PET-CT-scan de marque Philips de dernière génération. Installé en août , il s agit d un équipement identique à ceux utilisés dans les services des hôpitaux universitaires. L appareil permet une image d une grande précision (recomposée par un logiciel qui fusionne les images PET et les images CT) et offre la possibilité de réaliser des coupes très fines et très précises, dans toutes les régions du corps et dans tous les plans de l espace. Les principales indications du PET-scan sont essentiellement liées à l oncologie et concernent directement les différentes étapes de la prise en charge du patient cancéreux : diagnostic, bilan d extension, vérification de l efficacité thérapeutique, suivi du patient. L intérêt de la technique réside dans sa performance diagnostique élevée et le fait que l examen n est pas invasif. L appareil permet la réalisation d une image du corps entier, particulièrement utile dans le cadre du bilan d extension et de la recherche de récidives. Parallèlement à l agrément, les indications pour les examens PET-scan viennent d être largement étendues. Les indications sont beaucoup plus vastes que précédemment 4, explique le Dr Pierre Gomez, médecin chef de médecine nucléaire au CHC, non seulement pour l oncologie, mais d autres pathologies sont maintenant prises en compte : désormais les examens pour certaines pathologies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson) sont pris en charge, en plus des indications pour les pathologies inflammatoires, les pathologies cardiaques et les cas d épilepsie, ces deux dernières indications étant plus anecdotiques. Mais si l éventail des pathologies couvertes s élargit, il s accompagne de restrictions importantes quant à la répétition des examens. Or l examen PET-scan est le plus souvent indiqué dans le suivi des pathologies cancéreuses, pour évaluer l évolution de la tumeur ou du traitement. Ces nouveaux critères vont nous amener à cadrer différemment l activité et à mieux accompagner les médecins prescripteurs, afin que les patients soient assurés du meilleur suivi, commente le chef de service. Autre restriction : elle concerne le médecin prescripteur. Désormais, le médecin généraliste ne peut plus prescrire un examen de PET-scan. Seul un médecin spécialiste peut prescrire cet examen, et certains examens doivent être prescrits par une discipline précise (ex : seul un neurologue peut prescrire un examen pour exploration de Parkinson). Une régularisation pour aller de l avant L agrément reçu par le CHC l engage également à s associer avec d autres centres hospitaliers ne disposant pas d un PET-scan et à accueillir ainsi des patients d autres hôpitaux pour la réalisation de l examen. Cette ouverture vers l extérieur va se faire progressivement. Elle sera notamment proposée aux hôpitaux partenaires du CHC (hôpital St. Nikolaus à Eupen, clinique St. Josef à St-Vith) mais également aux hôpitaux géographiquement plus proches. Nous accueillons déjà une partie des patients du CHR Citadelle, précise le Dr Pierre Gomez. La collaboration pourrait s étendre, pour autant qu on règle les questions d organisation et de logistique. Il est un peu tôt pour en parler plus avant à ce stade, l agrément nous a été signifié fin décembre, mais nous sommes bien entendu ouverts à toute collaboration. Une démarche va d ailleurs être initiée dans ce sens par notre direction générale qui va prendre contact avec les directions des autres institutions concernées dans les prochaines semaines. Le CHC se réjouit bien entendu de cette décision. C est une magnifique nouvelle pour nos patients d abord, pour le CHC ensuite, résume Alain Javaux, directeur général. C est la reconnaissance de la qualité des soins prodigués à nos patients, mais aussi une récompense de notre ténacité. Pour le Dr Pierre Gomez, l agrément assure enfin une sécurité médicale, juridique et financière non négligeable au service et à l hôpital, mais également aux patients et aux prestataires de soins. Annexes : Nouvelles indications PET remboursées selon l Arrêté royal paru au Moniteur belge du 24/12/ Ce nouvel appareil remplace l ancien acquis et mis en exploitation fin 1999 et inauguré en février Voir annexe 2 - Nouvelles indications PET remboursées, selon l Arrêté royal paru au Moniteur belge du 24/12/2015

3 Nouvelles indications PET remboursées selon l arrêté royal du 24 décembre Oncologie: 1) Evaluation: a) évaluation en vue d'une intervention chirurgicale curative d'un nodule pulmonaire isolé de nature indéterminée, d'une tumeur de localisation indéterminée avec métastase(s) ganglionnaire(s) ou d'une masse pancréatique ou surrénalienne de nature indéterminée; b) évaluation d'un syndrome paranéoplasique ou d'une tumeur métastatique d'origine indéterminée; c) évaluation d'adénopathies suspectes de lymphome en vue d'une biopsie optimale guidée; 2) Bilan initial d'extension d'une tumeur maligne: a) d'une tumeur pulmonaire ou intrathoracique; b) d'une tumeur de l'oesophage, du pancréas ou des voies blliaires intra- ou extra-hépatiques; c) d'une tumeur localement étendue de l'estomac, du rectum et du canal anal; d) d une tumeur du côlon, lorsqu'il existe un doute sur l'imagerie morphologique; e) d'un mélanome, stade llc ou plus selon la classification AJCC; f) d'un lymphome hodgkinien ou non hodgkinien de grade intermédiaire ou de haut grade ; g) d'une tumeur maligne de la téte et du cou; h) d'une tumeur uro-génitale, de l'ovaire, du col de l'utérus (au stade FIGO > la2), de l'endomètre (au stade FlG0 IA-G3), du pénis (avec ganglions inguinaux palpables), de la vuive (avec ganglions inguinaux palpables); i) d'une tumeur neuroendocrine (dérivée du système APUD); j) d'une tumeur mammaire localement étendue, en vue d'une chimiothérapie d'induction; k) d'un sarcome musculo-squelettique ou d'une tumeur stromale gastro-intestinale; 3) après une chimiothérapie d'induction et/ou radiothérapie, en vue d'une intervention chirurgicale à visée curative, de tumeur cérébrale, pulmonaire non à petites cellules, de la tête et du cou, pancréatique, ovarienne, testiculaire, mammaire, surrénalienne, colo-rectale avec métastases hépatiques ou d'un sarcome musculo-squelettique (avide pour le FDG); 4) Dans le but d'évaluer l'efficacité: a) du traitement chimiothérapique pendant et a la fin du traitement d'un lymphome hodgkinien ou non hodgkinien; b) du traitement chirurgical ou radiothérapeutique d'un cancer thyroïdien de l'épithélium folliculaire réfractaire à l'lode-131, ou pendant un traitement par "biothérapie". 5) l'évaluation d'une masse résiduelle ou en cas de présomption objectivée d'une récidive : a) d'une tumeur pulmonaire ou intrathoracique b) d'un mélanome agressif (2 stade llc);

4 c) d'un carcinome spinocellulaire cutané agressif; d) d'une tumeur de la tête et du cou, d'origine oesophagienne, colo-rectale ou lymphomateuse, du foie et des voies biliaires intra- ou -extra-hépatiques, pancréatique, surrénalienne, ovarienne, utérine, vulvaire ou testiculaire; e) en cas d'augmentation confirmée des marqueurs tumoraux d'un cancer mammaire, ovarien ou testiculaire; f) d'un sarcome musculosquelettique ou d'une tumeur stromale du tractus digestif g) d'un carcinome thyroïdien, pas autrement détectable, en particulier réfractaire à l'lode-131; h) d'une tumeur neuroendocrine; i) d'une tumeur prostatique à risque intermédiaire ou élevé; 6) examen préalable à l'inscription en liste d'attente en vue d'une transplantation hépatique pour tumeur hépatique primitive; 7) évaluation d'un tumeur solide pédiatrique (<16 ans), recommandée par une consultation multidisciplinaire d'oncologie, à l'exception du neuroblastome; L'examen pour les indications de 1),à 7) inclus comprend au moins la région du cou jusqu'à l'abdomen; 8) évaluation d'une masse résiduelle ou de présomption objectivée d'une récidive d'une tumeur maligne cérébrale ou en cas d'estimation du grade histologique d'une récidive tumorale cérébrale; 9) détermination de zones malignes métaboliquement actives pour délimiter un champ de radiothérapie. Les données oncologiques doivent être gardées dans le dossier médical et être à disposition du médecin-conseil. Dans chacune des indications ci-dessus, la prestation ne peut être portée en compte qu'une seule fois par période de 12 mois pour la même indication chez le même patient porteur de la même pathologie. Si l'action thérapeutique est influencée de manière décisive par un nouveau bilan, une seule répétition de la prestation peut être portée en compte pendant cette période de 12 mois pour la même indication chez le même patient porteur de la même pathologie. Une motivation claire doit être reprise dans le dossier médical et rester à la disposition du médecin-conseil.

5 2. Examen du coeur pour pathologie cardiaque si, dans le cas d une intervention chirurgicale prévue pour une insuffisance coronarienne complètement documentée récemment, un doute subsiste encore quant à la viabilité du myocarde concerné 3. Examen du cerveau en cas d'épilepsie si la thérapie sous forme d'une intervention chirurgicale est influencée de manière décisive, pour la localisation d'un foyer épileptogène d'une épilepsie réfractaire 4. Indications infectieuses ou inflammatoires a) la détection d'une pathologie en cas d'une fièvre d'origine inconnue suivant les critères de Durack et Street; b) la détection d'une pathologie en cas d'une fièvre associée à une immunodépression qui n'est pas associée au virus HIV, d'une septicémie dont le foyer d'origine n'est pas localisé, d'une bactériémie inexpliquée chez un patient à haut risque ou d'un syndrome inflammatoire isolé inexpliqué, seulement si I'évaluation par l'examen du corps entier influence de manière décisive le traitement; c) I'évaIuation d'une ostéomyélite périphérique et d'une spondylodiscite (non post-opératoires), d'une vasculite systémique, d une sarcoïdose systémique suspectée (y compris évaluation de la réponse au traitement), d'une endocardite bactérienne ou d'une infection d'un dispositif vasculaire ou-intracardiaque, seulement si l'évaluation par l'examen du corps entier influence de manière décisive le traitement La prestation ne peut être attestée qu'une seule fois par période de 12 mois pour la même indication chez le même patient porteur de la même pathologie. Si I'action thérapeutique est influencée de manière décisive par un nouveau bilan pour les indications mentionnées ci-dessus, une seule répétition de la prestation peut être portée en compte pendant cette période de 12 mois pour la même indication chez le même patient porteur de la même pathologie. Une motivation claire, est reprise dans le dossier médical et reste à la disposition du médecin-conseil. 5. Examen du cerveau pour pathologie neurodégénérative a) Confirmation ou exclusion du diagnostic d'une maladie neurodégénerative de type Alzheimer chez les patients dont le Score au MMSE (Mini Mental State Examination) est d'au moins 24, si cela influence de manière décisive le choix de la thérapie par spécialité pharmaceutique. L'examen peut être soit un examen PET avec F-FDG, soit un examen PET par "radiopharmaceutique= ciblant les plaques béta-amyloïdes. L'examen peut seulement être prescrit par un médecin spécialiste en neurologie, en psychiatrie ou en gériatrie, et dans le cas où, après un examen clinique documenté et un bilan neuropsychologique étendu avec évaluation des fonctions cognitives, un doute subsiste encore quant au diagnostic. Une motivation claire est reprise dans le dossier médical et reste à la disposition du

6 médecin-conseil: Pour cette indication l'examen PET doit comprendre une évaluation additionnelle par surface rendering» faite par le médecin spécialiste en médecine nucléaire en plus d'une évaluation par des coupes orthogonales du cerveau. Cette évaluation additionnelle doit être documentée dans le protocole de l'examen. b) Confirmation ou exclusion du diagnostic de syndrome Parkinson Plus, chez des patients souffrants d'un parkinsonisme dégénératif, démontré par un examen Datscan, si l'examen influence de manière décisive la thérapie médicamenteuse par agoniste dopaminergique L'examen ne peut être prescrit que par un médecin spécialiste en neurologie. Pour cette indication, la prestation ne peut être attestée qu'une seule fois. Une motivation claire est reprise dans le dossier médical et reste à la disposition du médecin-conseil. Autres indications Les données cliniques sont conservées dans Ie dossier médical et sont mises à la disposition du médecin-conseil. La prestation ne peut être attestée qu'une seule fois par période de 12 mois pour la même indication chez le même patient avec la même pathologie, Si la thérapie est influencée de manière décisive par un nouveau bilan, une seule répétition de la prestation , peut être attestée pendant cette période de 12 mois pour la même indication chez le même patient avec la même pathologie. Une motivation claire figure dans le dossier médical et est mise à la disposition du médecin-conseil.

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