Consommation des produit phytosanitaires

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1 A. Au niveau National Consommation des produit phytosanitaires Les seuls chiffres que l'on peut obtenir au niveau national sont ceux donnés par l'uipp (Union des Industriels pour la Protection des Plantes). Ils représentent les ventes toutes substances confondues à tous les utilisateurs (particuliers, collectivités, agriculture). Globalement la tendance est la suivante : On observe un pic en 1999 au-delà des Tonnes de substances actives vendues, suivi d'une diminution jusqu'en 2003 (suite à la baisse des doses autorisées de fongicides minéraux. Le pic de 99 peut être expliqué par le jeu de vente anticipées fin 98 (comptabilisées cependant en 99) pour échapper à la TGAP (Taxe Générale sur les Activités polluantes) qui entrait alors en vigueur. Depuis 2 ans la courbe change d'allure et la tendance est de nouveau à la hausse. A la mi-campagne, les ventes pour étaient plus faibles, mais cela peut être du à un retard dans les traitements. On ne sait donc pas si cette tendance va perdurer. En tout état de cause, les résultats sont sensiblement inférieurs à ceux observés dans les années 90, sans être pour autant révélateurs d'une baisse significative de l'utilisation des pesticides Alors que les insecticides connaissaient une relative stabilité jusqu'en 2003, il y a eu une augmentation significative de 8 % au cours de la campagne suivi d'une autre augmentation de 2,7 % pour la campagne Par ailleurs, après une baisse importante de l'usage des herbicides (-24% entre 2001 et 2003) laissant penser à une évolution vers l'agriculture raisonné on observe une augmentation de 6 % pendant la campagne puis une certaine stabilité jusqu'en De même les fongicides ont connu un forte baisse de 31 % entre 2001 et 2004 mais sont en hausse pendant la campagne Réglementairement,il est prévu une baisse de 50 % des substances les plus dangereuses (10 % des produits) d'ici 2009.

2 On peut donc estimer qu'aujourd'hui à peu prés t de produits dangereux sont consommés et qu'on souhaite ramener à 4000 t cette consommation. Par rapport à la consommation totale cette baisse n 'est pas significative. Les tonnages ne donnent qu'une indication très grossière en terme de pression sur l'environnement car les différentes substances présentent des niveaux de danger très hétérogènes et les substance nouvelles sont en général plus toxiques à faibles doses. A ce jour, peu de recherches s'orientent vers une pondération des tonnages par type de molécule. Une question se pose alors : si l'on n'observe pas de diminution significative du tonnage vendu et que parallèlement les substances actives sont de plus en plus performantes (pour certaines molécules on passe de 1kg de substance active/ hectare à 4 gr de Substance Active / hectare) qu'en est il du risque encouru? B. Au niveau Régional Il n'y a aucune donnée sur l'évolution des consommation de produit phytosanitaires en Région. Les premiers chiffres datent de 2002 avec les travaux du Groupe Régional d'etudes des Produits Phytosanitaires GREPP. 1. Les données relatives à la qualité de l'eau de point de vue de la contamination par les produits phytosanitaires entre 2001 et 2003 en Picardie nous indiquent : Pour les eaux souterraines : diminution du pourcentage des eaux de bonne qualité augmentation du pourcentage des eaux de qualité passable stabilité au niveau du pourcentage des eaux de mauvaise qualité --> Globalement une moins bonne qualité des eaux souterraines Pour les eaux superficielles : augmentation du pourcentage des eaux de bonne qualité augmentation du pourcentage des eaux de qualité passable diminution du pourcentage des eaux de mauvaise qualité --> Globalement une meilleure qualité des eaux superficielles Cette étude du GREPP montre que globalement les eaux de surface sont de moins en moins touchées par les pollutions phytosanitaires mais qu'il y a un transfert de pollution vers les eaux souterraines qui peut être rémanent encore pendant de nombreuses années 2. Les traitements phytosanitaires accompagnent la hausse des rendements. De 1994 à 2001, le nombre de traitements augmentent, les mélanges de produits sont plus fréquents mais les doses annuelles à l'hectare se réduisent pour de nombreuses substances actives.» AGRESTE PRIMEUR décembre 2003 Nord-pas-de-Calais / Picardie.

3 Désherbant Surface traitée (%) Nombre de traitements 1,7 3 Fongicide Surface traitée (%) Nombre de traitement 2,6 3,5 Insecticide Surface traitée (%) Nombre de traitement 1,3 1,2 Molluscicide Surface traitée (%) 1 24 Nombre de traitement 1 1,1 Raccourcisseur de paille Surface traitée (%) Nombre de traitement 1,4 1,7 Ensemble des produits Surface traitée (%) Nombre de traitement 6,5 9 Source : Agreste-Enquêtes pratiques culturales 1994 et La part des produits phytosanitaires pour l'agriculture vendu en Picardie dans le chiffre d'affaire national. Sur la base des chiffres du GREPP 5500 t de produits phytosanitaires sont consommés en Picardie, dont 5000 t pour l'agriculture, l'agriculture représente donc 90 % du marché des phytosanitaires en Picardie. COMPTES DE L'AGRICULTURE PRODUITS DE PROTECTION DES CULTURES PICARDIE OISE ,8 millions de francs 432,3 millions de francs ,0 " 447,1 " ,6 " 437,7 " ,6 " 384,2 " ,8 " 401,1 " ,1 " 465,2 " ,2 " 479,4 " ,0 " 381,0 " ,0 " 410,0 " ,0 " 424,0 " ,9 millions d'euros 62,5 millions d'euros ,2 " 63,4 " ,1 " 66,1 " ,3 " 62,7 " ,4 " 63,5 " ,6 " non publié Sources: AGRESTE Si l'on confronte ces 2 tableaux, sachant que d'une part les chiffres d'affaire déclarés par l'iupp tableau de droite concernent l'ensemble des ventes (agriculture, particulier et collectivité) et que le tableau de données régionales (tableau de gauche) concerne le budget de l'agriculture picarde pour les produits phytosanitaires.

4 1994: 12 % du chiffre d affaire national 1995 : 12,4 % du CA national 1996 : 11,6% du CA national 1997 : 10,5 % du CA national 1998 : 10,73 % du CA national 1999 : 10,55% du CA national 2000 : 11,69% du CA national 2001: 10,95% du CA national 2002: 12,8 % du CA national 2003: 13,5% du CA national 2004: 13,2% du CA national 2005 : 13,3 % du CA national Evolution de la part de consommation des produits phytosanitaires pour l'agriculture picarde Cette comparaison de données n'est pas forcement très représentative de l'évolution de la consommation des produits phytosanitaires par l'agriculture picarde car beaucoup de données et de paramètres ne sont pas communiqués. Mais ce calcul permet de pondérer au moins l'évolution régionale qui serait liée à une augmentation nationale du prix des produits. Selon ces calculs, la consommation de produits phytosanitaires pour l'agriculture picarde n'aurait jamais été aussi importante que ces dernières années. Une autre étude menée par la Chambre d'agriculture de la Somme sur 4 coopératives du département indique une consommation de 1200 t de produits phytosanitaires vendus en Les 4 coopératives questionnées couvrent la majeure partie du département sans toutefois couvrir l'intégralité des ventes du département. On pourra dire que la consommation réelle était à minima de 1200 t mais très certainement légèrement supérieure sans toutefois dépasser les 2000T. Encore une fois il n'y a pas de données antécédentes pour évaluer l'évolution de ces tonnages. Conclusion : Les quantités de phytosanitaires ne sont pas un bon indicateur, il faudrait une pondération des tonnages de molécules en fonction de leur dangerosité (il y actuellement des travaux menée par des groupes de recherches du ministère de l'agriculture sur l'aptitude d'une molécule à se retrouver dans l'eau etc... méthode SIRIS ) Au niveau national aucune instance gouvernementale ne communique sur les tonnages de pesticides seule l'iupp communique ses chiffres de vente. Au niveau régional les coopératives ne communiquent pas leur chiffre de vente. Il n'y a aucune transparence sur cette thématique. Sous réserves de la cohérence des calculs fait au paragraphe 3, il semblerait tout de même que la consommation des phytosanitaire pour l'agriculture picarde augmente ces dernières campagnes, ou tout du moins rien n'indique qu'elle diminue. Des espoirs sont portés par l'application de la prochaine loi sur l'eau qui va imposer la coopération, et la nécessité aux coopératives de communiquer les chiffres de ventes par déclaration aux agences

5 de l'eau (qui perçoivent deja la TGAP vraisemblablement). Les producteurs devront payé cette taxe sur les quantités vendues en fonction de la dangerosité de la molécule. Cela permettra d'avoir enfin des chiffres (2007 ou 2008), mais il faudra encore attendre plusieurs années pour avoir des idées d'évolution de consommation. Il est important qu'un décret précise l'échelle de déclaration et il faudrait qu'elle soit la plus fine possible, (chiffres à la commune) car les chiffres de vente risquent d'être donnés par Bassin. Or les bassins ne couvrent pas les territoires selon le même découpage que les régions. On ne pourra donc pas pour le bassin Artois-Picardie différencier la part Picarde, et il n'y aura toujours pas de données à l'échelle de la région. Des lors l'arrêté du 12 septembre 2006 impose des améliorations sur les conditions d'utilisation des produits phytosanitaires, notamment l'enherbage sur une bande de 5 mètres de part et d'autres des cours d'eau devrait faire diminuer l'impact des produits phytosanitaires sur l'eau. Mais qui sera chargé de surveiller les milliers de kilomètres concernés?

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