Traitement de fond de l asthme du nourrisson. Jacques de BLIC

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Traitement de fond de l asthme du nourrisson. Jacques de BLIC"

Transcription

1 Traitement de fond de l asthme du nourrisson Jacques de BLIC

2 Classification de l asthme du nourrisson Asthme épisodique intermittent (bénin) < 3-4 crises par an - période automne-hiver absence de symptômes intercritiques Asthme épisodique fréquent (modéré) crises presque mensuelles période surtout automne-hiver présence de symptômes intercritiques modérés Asthme persistant (sévère) crises > mensuelles corticothérapie orale fréquente symptômes intercritiques fréquents (nuit, excitation, jeux, changements temps ) wheezing persistant

3 Le traitement de fond = corticothérapie inhalée Molécules ayant une A.M.M chez le nourrisson Fluticasone (AD à 50 µg) Budésonide (nébulisation 0,5 et 1 mg) Molécules couramment utilisées Béclométasone (AD à 200 et 250 µg) Budésonide (AD à 100 et 200 µg)

4 CSI dans l asthme du nourrisson Sont ils efficaces? Peut on prédire leur réponse? Quand et comment les prescrire? Modifient ils l histoire naturelle? Quels traitements alternatifs?

5 CSI, nourrisson et enfant de moins de 5 ans Principales études randomisées contrôlées ( 1995) Efficacité démontrée N Age (mo) Asthme Médicament Dose (µg/j) Durée (sem) Evaluation de Blic (6-30) S; +/-A BUD S nébulisation Kraemer (2-25) L/M; +/-A BDP, S+ EFR Bisgaard (12-47) L/M;+/-A FP, S Nielsen (35-71) M/S; +/-A BUD, S+EFR Roorda (12-47) L/M;+/-A FP, S Chavasse <12 M/S; + A FP, S Pao M; +/-A FP, S+ EFR Teper 2005 Guilbert 2006 Efficacité non démontrée (8-20) 36 L/M; +/-A L; +A FP, 250 FP, S+ EFR S+EFR Stick (5-18)? BDP, S+EFR Barrueto (14-18) M; +/-A BDP, S Hofhuis (7-20) L/M; +/-A FLU, S+EFR

6 CSI dans l asthme du nourrisson 37 nourrissons 3-12 mois Critères d inclusion - Wheezing persistant ( 3j/sem) - Toux persistante ( 3 j/sem) - Wheezing récurrents ( 3/3m) ET - Haut risque d atopie : Dermatite atopique Histoire familiale d atopie Randomisée contrôlée FP 150 mcg x2 pour 12 sem Resultats : Amélioration significative score journalier symptômes (MDS) jours sans symptômes (SFD) Chavasse Arch Dis Child 2001

7 Etude PEAK Hypothèse : Efficacité et impact sur l histoire naturelle des CSI chez des nourrissons asthmatiques «à risque» Cible : Enfants, 24 à 48 mois Asthme épisodique fréquent > 3 épisodes sifflants/an et index prédictif positif : 1 critère majeur /2 mineurs Randomisation : FLU (200 µg/j) vs placebo, 2 ans Suivi prolongé : 1 an au décours du traitement Evaluation : % de jours sans symptômes Exacerbations (CO) Traitements supplémentaires EFR Guilbert NEJM 2006

8 Etude PEAK % jours sans symptômes Traitement Observation Evolution clinique pendant le traitement et l année d observation Guilbert NEJM 2006

9 Etude PEAK TRAITEMENT FLU PLA p % j sans symptômes ,006 Exacerbations (n/100 enfants/an) Hospitalisation (n /100 enfants/an) 57,4 1,05 89,4 1,76 < 10-3 NS Consommation β 2 (j/an) NS Traitement additionnel /FLU 8,3 17,6 < 10-3 OBSERVATION % j sans symptômes NS Exacerbations (n/100 enfants/an) 85,4 82,4 NS Hospitalisation (n /100 enfants/an) 0,76 1,54 NS Consommation β 2 (j/an) NS Traitement additionnel /FLU ,007 Guilbert NEJM 2006

10 CSI dans l asthme du nourrisson Sont ils efficaces? Peut on prédire leur réponse? Quand et comment les prescrire? Modifient ils l histoire naturelle? Quels traitements alternatifs?

11 Peut on prédire la réponse aux CSI? But : caractériser des sous groupes de nourrissons qui bénéficieraient le plus des CSI 305 enfants Age moyen 28 mois (12-47 mois) Stratifiés selon l intensité des symptômes : fréquent 3 j / sem pendant run in Trt FP 100 mcg/bid pour 12 sem vs placebo Critère principal : % jour et nuit sans symptômes Roorda, JACI 2001

12 Peut on prédire la réponse aux CSI? histoire familiale d asthme Résultats - Pas de résultats significatifs chez les nourrissons sans histoire familiale d asthme. - Amélioration significative des symptômes nuit et jour chez les nourrissons avec histoire familiale d asthme - Amélioration significative des symptômes en cas de manifestations fréquentes % jour/nuit sans symptômes % jour/nuit sans symptômes symptômes initiaux fréquents P<0.002 Placebo n=112 FP n=87 P<0.005 Placebo n=82 FP n=87 Roorda, JACI 2001

13 Peut on prédire la réponse aux CSI? Résultats Amélioration significative chez les nourrissons avec histoire familiale d asthme et symptômes fréquents symptômes fréquents et histoire familiale d asthme Amélioration significative chez les nourrissons les plus âgés (2 ans et plus) MAIS FP plus efficace que placebo chez les moins de 2 ans avec symptômes fréquents % jour/nuit sans symptômes P=0.019 Placebo n=62 FP n=57 Conclusions Les jeunes enfants avec des symptômes fréquents et ceux ayant une histoire familiale d asthme bénéficient le plus des CSI Roorda, JACI 2001

14 Peut on prédire la réponse aux CSI? Enfants 2-5 ans Wheezing Intermittents FP 100 mcg/bid pour 16 sem Résulats - Amélioration EFR (Tint) chez les enfants sensibilisés - Détérioration des fonctions après l arrêt du traitement Pao, AJRCCM 2002

15 Importance de l atopie 826 Wheezing < 3 ans Wheezing à 6 ans 426 (51.5%) 164 (19.9%) (13.7%) 124 (15%) / 826 = 33% 113 / 277 = 41% Martinez, NEJM 1995 IgE Asthme Maternel

16 CSI dans l asthme du nourrisson : résultats négatifs sur les EFR 62 nourissons Age moyen 11.3 mois (4-24 m) FP 100 mcg/bid pour 13 sem Résultas Amélioration à 6 sem dans le % de: - jours sans symptômes - toux Pas d effet de l atopie Hohfuis AJRCCM 2005

17 CSI dans l asthme du nourrisson : résultats négatifs sur les EFR Pas d effet sur la fonction Mais Asthme léger 3 épisodes of wheezing ou Au moins une période de wheezing persistant >2 mois Hohfuis AJRCCM 2005

18 CSI dans l asthme du nourrisson Sont ils efficaces? Peut on prédire leur réponse? Quand et comment les prescrire? Modifient ils l histoire naturelle? Quels traitements alternatifs?

19 Quels nourrissons traiter? Recommandations NAEPP Nécessité de TTT symptomatique > 2 sem Exacerbations graves de sifflements au moins toutes les 6 semaines Plus de 3 épisodes de sifflements l année passée Durant plus de 1 jour Affectant le sommeil Avec présence de facteurs de risques JACI 2002; 110: S

20 Index Prédictif d Asthme (Castro-Rodriguez) Critère majeur Critère mineur ATCD asthme parents Wheezing sans rhinite ATCD DA (Δg médical) PNEo > 4 % Sensibilisation aux aéroallergènes Sensibilisation Oeuf lait arachide Index prédictif positif = 1 critère majeur ou 2 critères mineurs

21 Recommandations En l absence de critères objectifs, cette indication doit être modulée davantage en fonction de la gravité clinique que des facteurs de risque afin d éviter un traitement excessif des asthmes légers

22 GRAPP Rev Mal Respir Consommation ß2 agoniste > 2 / sem - Au moins 2 exacerbations durant les 3 derniers mois NON Symptômes légers OUI Symptômes modérés β2 agonistes corticoïdes oraux à la demande CSI dose faible mcg/j AD + Chambre + Masque FP 200 mcg/d BDP mcg/d BUD mcg/d

23 Quelle dose ICS utiliser? 237 anfants Age moyen 28 mo (12-47) asthme modéré : 50% j avec symptômes durant 14 j-run in Consommation médiane de secours : 1 dose pour 2 jours Résultats FP 200 > FP 100 > Placebo % infants with 1 exacerbation p= Placebo FP 100 FP 200 Bisgaard AJRCCM 1999

24 Quelle dose ICS utiliser? Par rapport au placebo: FP 100 entraîne une réduction significative de 5 sur 10 paramètres FP200 entraîne une réduction significative de 8 sur 10 paramètres Bisgaard AJRCCM 1999

25 GRAPP Rev Mal Respir 2004 BUD nébulisé 1 mg /bid ICS dose élevée mcg/j AD + Chambre + Masque FP 400 mcg/d BDP 1000 mcg/d BUD 800 mcg/d - Consommation ß2 agoniste > 2 / sem - Au moins 2 exacerbations durant les 3 derniers mois Consultation spécialisée NON Symptômes légers OUI Symptômes modérés Echec OU Symptômes sévères persistants β2 agonistes corticoïdes oraux à la demande CSI dose faible mcg/j AD + Chambre + Masque FP 200 mcg/d BDP mcg/d BUD mcg/d

26 Efficacité du budésonide en nébulisation Etude randomisée vs placebo 40 nourrissons âge moyen 17 mo (6-30) Asthme sévère Au moins 1/mo excerbation par mois nécessitant une CSO durant les 3 derniers mois Wheezing persistant Budesonide nébulisé 1mg/bid pour 12 sem Suivi pendant 12 sem J de Blic JACI 1996

27 Efficacité du budésonide en nébulisation (médiane) Placebo Budésonide p Patient avec au moins 1 exacerbation <0.01 Patient sans excerbation à 12 sem 55 8 <0.05 Durée de la CSO <0.05 Incidence du sifflement le jour 11.6 (0-91) 2.2 (0-56) <0.05 Incidence du sifflement la nuit 6.5 (0-24) 0.6 (0-30) <0.01 J de Blic JACI 1996

28 Efficacité du budésonide en nébulisation % patients sans exacerbation budésonide placebo p= % 8% 27.5% 8% sem Période de traitement Période de suivi J de Blic JACI 1996

29 CSI dans l asthme du nourrisson Sont ils efficaces? Peut on prédire leur réponse? Quand et comment les prescrire? Modifient ils l histoire naturelle? Quels traitements alternatifs?

30 Etude COPSAC Hypothèse : Efficacité d un traitement intermittent par Budésonide, 400 µg/j (vs placebo) 2 semaines, sur la prévention d un asthme persistant Cible : cohorte nourrisson (1 M/3 A), asthme maternel Épisode + traitement = W > 3 j + visite J4 Critères de jugement Principal : % jours sans symptômes Secondaires : Evolution vers un asthme persistant EFR Taille Asthme persistant : 5 épisodes/6 mois Symptômes quotidiens > 4 semaines Traitement par corticoïdes généraux Bisgaard H NEJM 2006

31 Etude COPSAC 411 enfants, 301 randomisés âge moyen : 10,7 mois 1661 épisodes / pas de visite : enfants > 1 épisode + traitement Analyse virale positive : 369 / 583 épisodes (63 %) VRS : 39 % des premiers épisodes BUD PLA % Jours sans symptômes n épisodes /an 3,1 2,7 NS % Asthme persistant A 3 ans : EFR / Taille : NS Bisgaard H NEJM 2006

32 Etude IFWIN Hypothèse : Impact d une corticothérapie inhalée précoce sur l histoire naturelle de l asthme Cible : Cohorte suivie jusqu à 5 ans de : Nouveau-nés + 1 parent atopique Nourrissons + 1 parent atopique + 1 épisode de Wheezing Randomisation : FLU 200 µg/j versus PLA STEP UP/STEP DOWN Traitement minimum : 9 mois Quand? : au deuxième épisode de Wheezing ou si épisode traînant > 1 mois Murray Lancet 2006

33 Etude IFWIN 1073 enfants 206 randomisés (99 FLU/101 PLA) 173 suivis jusque 5 ans Randomisation avant 2 ans : 85 % (< 1 an : 69 %) PLA FLU PLA+FLU FLU+FLU Tt reçu à 5 ans Wheezing (%) NS Diag médical d asthme (%) NS Tt en cours (%) NS EFR et Réactivité bronchique : NS Murray Lancet 2006

34 Etude PEAK Hypothèse : Efficacité et impact sur l histoire naturelle des CSI chez des nourrissons asthmatiques «à risque» Cible : Enfants, 24 à 48 mois, A épisodique fréquent > 3 épisodes sifflants/an et index prédictif positif : 1 critère majeur /2 mineurs Randomisation : FLU (200 µg/j) vs placebo, 2 ans Suivi prolongé : 1 an au décours du traitement Evaluation : % de jours sans symptômes Exacerbations (Corticoïdes per os) Traitements supplémentaires EFR Guilbert NEJM 2006

35 Etude PEAK % jours sans symptômes Traitement Observation Evolution clinique pendant le traitement et l année d observation Guilbert NEJM 2006

36 Pas d effet sur l histoire naturelle, mais Etude CPOSAC Hypothèse discutable et conclusion attendue! Documentation incomplète des symptômes Perte d information : 30 % Niveau de gravité des symptômes non précisé Modalité du traitement : après le 3 ème jour Etude IFWIN Analyse statistique «brouillée» par : Modification du traitement Durée de traitement variable Bronchiolite =Critère d exclusion! Etude PEAK Initiation trop tardive? : moyenne 3 ans avec un début symptômes à 1 an Sélection des patients : adéquation de l index? Progression de l asthme et manifestations de l asthme : mécanismes différents?

37 Corticoïdes inhalés et asthme du nourrisson Hétérogénéité phénotypique +++ Efficacité des CSI : âge plus élevé manifestations plus fréquentes et/ou plus sévères terrain atopique durée plus longue NAEPP 2002 : indications du traitement de fond par CSI : Symptômes nécessitant un Tt symptomatique >2/sem Exacerbations sévères (β2 > 1prise /4h sur 24 h) > 1/ 6 semaines Plus de 3 épisodes de wheezing dans l année écoulée ayant duré plus d un jour et affectant le sommeil ET enfant à risque de développer un asthme persistant (Index prédictif d asthme selon Guilbert, JACI 2004)

38 Suivi du traitement par CSI Le traitement par CSI n est pas un traitement figé, aussi bien Sur le système d inhalation Sur la dose Une réévaluation est nécessaire tous les 2-3 mois Pas de suivi biologique nécessaire pour les doses habituelles L interruption du traitement pendant l été est souvent possible Faut il le reprendre en septembre???

39 CSI dans l asthme du nourrisson Sont ils efficaces? Peut on prédire leur réponse? Quand et comment les prescrire? Modifient ils l histoire naturelle? Quels traitements alternatifs?

40 Traitements alternatifs DSCG Moins efficace que CSI (Bisgaard Pediatrics 2004) β2-la agoniste Pas d AMM avant 4 ans LTRA Montelukast 4mg (granules) Pas d AMM en France avant 5 ans AMM dans 14 pays en Europe à partir de 6 m ou 1 an treatment of asthma as add-on therapy in patients with mild to moderate persistent asthma who are inadequately controlled on inhaled corticosteroids

41 Prevention of Viral Induced Asthma Study Enfants 2-5 ans critères d inclusion 3 épisodes de wheezing avec IRB dans les 12 derniers mois Asthme léger Contrôlée randomisée double aveugle contre placebo Montelukast 4 mg/j pour 48 sem Bisgaard H et al. ERJ2003

42 Prevention of Viral Induced Asthma Study Taux annuel d exacerbations Proportion sans exacerbation 3 p % Log-rank test p=0, Montelukast 4 mg (n=265) Placebo (n=257) 0.2 Mois Montelukast (n=265) Placebo (n=257) Bisgaard H et al. ERJ2003

43 Conclusions ~ 60% des nourrissons siffleurs n ont plus de manifestations à 3-4 ans. Le traitement de fond repose sur la corticothérapie inhalée. le mode d inhalation doit être adapté à la sévérité de l asthme et à la réponse au traitement. L efficacité des CSI sur l histoire naturelle de l asthme reste débattue.

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Février 2008 Asthme de l enfant de moins de 36 mois : diagnostic, prise en charge et traitement en dehors des épisodes aigus RECOMMANDATIONS Mars 2009 Avec le partenariat

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D. TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE

Plus en détail

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011 Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Avis 17 octobre 2012

Avis 17 octobre 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:

Plus en détail

Journées Parisiennes de Pédiatrie 2011

Journées Parisiennes de Pédiatrie 2011 JOURNÉES PARISIENNES DE PÉDIATRIE Comité d organisation : Y. AUJARD, P. BOUGNÈRES, B. CHABROL, G. CHÉRON, G. DESCHENES, D. DEVICTOR, A. FISCHER, J. GAUDELUS, D. GENDREL, E. GRIMPREL, P. LABRUNE, F. LECLERC,

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Traitement pharmacologique de la BPCO

Traitement pharmacologique de la BPCO Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, S19-S35 Traitement pharmacologique de la BPCO Les interventions pharmacologiques abordées dans ce chapitre sont : aides au sevrage tabagique ; bronchodilatateurs

Plus en détail

DOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION

DOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review

Plus en détail

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage

Plus en détail

ALLERGIE RESPIRATOIRE

ALLERGIE RESPIRATOIRE ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009

PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

Hépatite C, les nouveaux traitements

Hépatite C, les nouveaux traitements Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008

RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008 RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe

Plus en détail

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

Le Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -

Le Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 - - 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Exemple de recherche documentaire

Exemple de recherche documentaire Exemple de recherche documentaire Étape 1 : Préparer le plan de recherche Démarrez votre recherche en écrivant clairement votre sujet (formuler une question si nécessaire), en identifiant les concepts

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive

Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France

Plus en détail

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération

Plus en détail

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES Etudes d évaluation économique ou avec des données de recours aux soins Recommandation de santé publique Document de travail Service

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Le traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques

Le traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques La bronchopneumopathie chronique obstructive Le traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques Richard Gauthier 3 Les patients atteints d une bronchopneumopathie chronique

Plus en détail

Équivalence et Non-infériorité

Équivalence et Non-infériorité Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

Suivi de l enfant asthmatique : définition et outils de mesure

Suivi de l enfant asthmatique : définition et outils de mesure Revue générale Suivi de l enfant asthmatique : définition et outils de mesure J. de Blic, A. Deschildre pour le Groupe de Recherche sur les Avancées en Pneumo-Pédiatrie (GRAPP)* Résumé Les recommandations

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Une drole de guerre ou La bataille de l informatique n aura pas lieu... A l assaut du nouveau site!!

Une drole de guerre ou La bataille de l informatique n aura pas lieu... A l assaut du nouveau site!! 3 Une drole de guerre ou La bataille de l informatique n aura pas lieu... A l assaut du nouveau site!! Connaissez-vous le mot «aspirant»? Une «section» cela vous évoque quoi? La «capture», à qui cela s

Plus en détail

Traitements de l hépatite B

Traitements de l hépatite B Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique

Plus en détail

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

journées chalonnaises de la thrombose

journées chalonnaises de la thrombose Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations

Plus en détail

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?

QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

Docteur, j ai pris froid!

Docteur, j ai pris froid! Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

Virus de l hépatite B

Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance

Plus en détail

Après la prévention veineuse

Après la prévention veineuse Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit

Plus en détail

Avis 6 novembre 2013

Avis 6 novembre 2013 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air

Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Traitement des hépatites virales B et C

Traitement des hépatites virales B et C Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement

Plus en détail

NACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière

NACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,

Plus en détail

Laetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009

Laetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009 Devenir à court terme des prématurés nés entre 24 SA et 26 SA: l expérience Clermontoise Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie 9 octobre 2009 Laetitia SELLAM CHU Clermont Ferrand Introduction Amélioration

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants

Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse

La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

THÉRAPEUTIQUES. Détémir et glargine : analogues lents de l'insuline

THÉRAPEUTIQUES. Détémir et glargine : analogues lents de l'insuline Deux analogues lents de l'insuline ont été successivement mis sur le marché : la glargine (Lantus ) en 2003 et la détémir (Levemir ) en 2005. Qu'apportent ces nouvelles insulines pour la prise en charge

Plus en détail

BENEFIT CHANGES TO NBPDP

BENEFIT CHANGES TO NBPDP Bulletin # 525 September 14, 2001 BENEFIT CHANGES TO NBPDP Attached are lists of changes to the New Brunswick Prescription Drug Program (NBPDP) Formulary, effective September 14, 2001. Included in this

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail