27 mai, 15 juin, 24 juin La FGAF sur tous les fronts

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1 N 226 Juin/Juillet 2010 d e l a f o n c t i o n p u b l i q u e 27 mai, 15 juin, 24 juin La FGAF sur tous les fronts

2 Point de vue de Jean-Paul DELEVOYE Médiateur de la République Sur le mal être des francais Votre dernier rapport a fait grand bruit en mettant l accent sur la crise psychologique qui frappait aujourd hui de nombreux Français. Pouvez-vous revenir sur l origine de cette dernière? J observe depuis plusieurs années un curieux paradoxe : alors que la France bénéficie d amortisseurs sociaux très importants, elle souffre de la peur du déclassement. Nous faisons face à une société fragmentée, de plus en plus cloisonnée où les parcours de vie sont fracturés sur le plan professionnel, géographique ou personnel : tout cela génère une inquiétude face à l avenir. Par ailleurs les espérances collectives, religieuses ou politiques ont disparu au profit d un consumérisme générateur de frustrations. Le travail n est désormais plus simplement synonyme d usure physique, mais il est également générateur de stress - d autant plus que le management est rarement pensé comme la recherche de l épanouissement au travail - Il faut donc investir dans la gestion des ressources humaines afin de réintroduire la notion de bonheur au travail et de donner le sentiment d appartenir à une communauté solidaire. Nous sommes dans une société tendue, marquée par des conflits au sein des familles, du monde du travail ou de l école, où la force du droit fait place au droit à la force. Dans cette perspective, les services publics doivent être exemplaires, transparents et fonder leur action sur le respect réciproque, qui passe, entre autres, par une défense accrue des fonctionnaires attaqués dans l exercice de leur mission. La lecture de votre rapport a conduit la FGAF à penser que la RGPP avait provoqué une déshumanisation des services publics. Partagez-vous cette analyse? Ce n est pas la révision générale des politiques publiques (RGPP) qui pose problème, mais le fait qu il faille lier nouvelles technologies et ressources humaines : nous avons besoin dans les services publics de structures d accueil qui soient des lieux d écoute et d accompagnement, qui aident le citoyen à retrouver l estime de soi. L écoute et le respect sont indispensables pour rétablir la confiance entre les citoyens et le service public, et dans le domaine de la protection sociale notamment, les administrations rencontrent des difficultés pour faire face à l explosion des demandes. Dans ce contexte de crise, les syndicats ne devraient-ils pas voir leur rôle davantage reconnu, dans la mesure où ils contribuent à aider les personnes les plus fragilisées? Selon moi, la question à laquelle nous sommes tous confrontés est : comment répartir les efforts et non plus le fruit de la croissance? Un changement de perspective est donc inévitable. Dans ce nouveau contexte, les acteurs politiques et syndicaux ne sont pas assez puissants pour faciliter ce changement. Les syndicats ont cependant un rôle majeur à jouer dans la mesure où ils peuvent favoriser le dialogue plutôt que la confrontation et parce qu ils constituent des structures d écoute locale susceptibles de reconstruire le lien entre les citoyens et leurs dirigeants. Jean-Paul DELEVOYE Médiateur de la République, Ancien Ministre de la Fonction Publique Auteur de: Le guide du bon sens Ou comment rapprocher les citoyens et l administration, Le Cherche-Midi, 2005 Cohésion sociale et territoires, La Documentation Française, Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

3 e l a f o n c t i o n p u b l i q u e juin 5 juin, mai, 1 r tous les fronts su F A FG La EFP 226 Page 4 Actualités La FGAF en action Page 6 Fonction Publique territoriale Police municipale : de réunions en entrevues, pour presque rien! La FA-FPT reçue au Secrétariat d État à la Fonction publique Page 10 F onction Publique Hospitalière Le blues des infirmiers anesthésistes Page 11 Organisation de la FGAF Les responsables des unions régionales Les responsables regionaux des organisations Notre position sur la réforme des retraites : la défense des spécificités de la fonction publique Page 15 État La FGAF se renforce au Ministère de la Culture par la création du SAMIC, Syndicat Autonome des Médias et des Industries Culturelles le 15 avril 2010 Élections professionnelles des syndicats de la FAMI : un réel succès! Page 17 La vie des unions régionales Naissance de l UR-FGAF de Picardie Congrès fondateur de l UR-FGAF de MidiPyrénées Page 18 Pourquoi les jeunes devraient-ils payer pour les riches babyboomers? CESI Colloque de l Académie Europe - CESI à Valencia les 15 et 16 avril 2010 Page 8 François Portzer Secrétaire Général de la FGAF Édito d Sommaire N 226 Juin/Juillet 2010 Éducation Nationale Potion magique La magie du primaire sociétal De l éthique des fonctionnaires Maison de la Francophonie ou Musée de la Francophonie? Vie de la CSEN Magazine de la Fédération Générale Autonome des Fonctionnaires Directeur de la publication : François Portzer Rédactrice en chef : Marie-Do Marfaing Siège social et administration : rue Blanche Paris Tél. : Fax : Conception et réalisation : JP Création - Tél. : Impression : Imprimerie NPC - Tél. : ISSN : Commission paritaire : 1011S08033 Le 27 mai et le 15 juin, comme le 24 juin, les militants de la FGAF, soucieux de contribuer à l unité du mouvement syndical dans cette période de profonds bouleversements sociaux, ont défilé en province comme à Paris, pour protester contre les projets de réforme des retraites. Mais, à la différence des autres centrales syndicales, ils l ont fait pour défendre les spécificités du régime de pensions des agents publics. En effet, au gouvernement, mais aussi dans certaines organisations syndicales comme à la CFDT, on se plait à considérer que celui-ci fait de nous des privilégiés alors même que le montant moyen des pensions est pour les fonctionnaires territoriaux et hospitaliers de 1176 euros et pour ceux de l Etat, où les catégories A sont nombreuses, de 1850 euros, bref pas de quoi mener grand train! Dans ce contexte, les propositions gouvernementales révélées le 16 juin dernier constituent une considérable régression sociale : en portant en 2018 pour les fonctionnaires l âge légal de la retraite à 62 ans et à 67 ans celui d une retraite de droit à taux plein ou en supprimant en 2012 la possibilité jusque-là offerte aux fonctionnaires mères de trois enfants de bénéficier d une retraite immédiate après 15 ans de service, même si le calcul des pensions sur les 6 derniers mois d activité n est pas remis en cause, c est en fait, compte tenu que les jeunes entrent de plus en plus tardivement dans la vie active, une conséquente diminution des retraites des jeunes générations qui se prépare! On crée ainsi un rideau de fumée pour masquer ceux que le sociologue Louis Chauvel a, dans le Monde du 27 mai dernier, dénoncés comme les vrais privilégiés du système actuel : les jeunes babyboomers retraités, qui ont pu durant les trente glorieuses, malgré des diplômes modestes, se constituer des patrimoines immobiliers conséquents et qui touchent des retraites bien supérieures aux salaires de la plupart des actifs... Ainsi entre 1985 et 2005 les sexagénaires ont vu croître leurs revenus de 29 %! Pourquoi les futurs retraités, à commencer par ceux de la fonction publique, devraient-ils payer les croisières et les camping-cars des anciens chevelus de 68? Ne peut-on imaginer une plus juste répartition des contributions qui fasse en sorte que les jeunes générations ne soient plus les dindons de la farce? Mais, dire cela, c est enfreindre un tabou, car, on le sait, particulièrement à droite, les plus de 65 ans constituent un réservoir électoral essentiel... Vous l aurez compris, seule la FGAF, parce qu elle est totalement apolitique et parce qu elle ne prétend défendre que les intérêts des agents publics, peut se permettre de tels propos iconoclastes qui démontrent son indépendance d esprit! Aussi, dans les mois à venir, alors qu en juin 2011 s annoncent des échéances cruciales dans la fonction publique de l Etat et Hospitalière, ne vous trompez pas : votez pour la seule fédération qui défend vraiment et sans n a priori les fonctionnaires! N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 3

4 Actualité La FGAF La FGAF présente dans les manifestations pour la défense de nos retraites les 24 mai, 15 juin et 24 juin Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

5 en action N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 5

6 CESI Colloque de à Valencia «Créer de la valeur ajoutée au travers d une action commune - Le Rôle du secteur public et des partenaires sociaux dans la crise économique» Une délégation de la FGAF, composée d Antoine Breining, Secrétaire Général adjoint de la FGAF, responsable du pôle des relations internationales et de Marie-Dominique Marfaing, permanente FGAF et membre du pôle des relations internationales, a participé à ce colloque. Les débats ont porté sur «la crise économique un défi pour la fonction publique» et «le rôle des partenaires sociaux dans ce contexte». Ils ont été suivis d ateliers où les participants ont pu s interroger sur les contributions communes que la fonction publique et les partenaires sociaux peuvent apporter afin de surmonter la crise. La crise économique et financière bouleverse profondément le secteur privé et les effets de la crise se font le plus nettement sentir au niveau du fonctionnement des administrations publiques : - de nettes réductions au niveau des investissements et des dépenses, - réduction de l offre d emplois publics avec des conséquences négatives et paradoxales: étant donné le manque de personnel dans le secteur public, il faudra engager pour garantir la fourniture de ces services, ce qui à nouveau engendrera des coûts élevés et plus d insécurité pour les citoyens. D où ce colloque à Valence intitulé «Créer de la valeur ajoutée au travers d une action commune le rôle du secteur public et des partenaires sociaux dans la crise économique». Nous avons tous reconnu que l administration publique, dans sa configuration actuelle, est soumise à un processus interne de révision et de transformation qui doit tenir compte des nouvelles attentes de la société dans ce contexte de crise et ce, afin qu elle puisse atteindre ses objectifs : - modernisation du fonctionnement Helmut Müllers, S.G. de la CESI et les délégations FGAF et CSEN de l administration (développement des technologies de l information / administration en ligne et de la communication / formation améliorée / nouvelles compétences en communication et face au changement), - réforme du financement actuel nécessaire (améliorer la rentabilisation des fonds de cohésion européens), encore trop soumis aux aléas électoraux dans un contexte de privatisation des services dont l impact sur le bien-être social est extrêmement négatif (précarité accrue, baisse des salaires). Nous avons discuté des problèmes rencontrés s agissant de définir les limites de la fonction publique comme créatrice d emplois. Simultanément tous les intervenants et participants sont d avis que l administration publique en Europe doit assumer plus de responsabilité, ce qui l oblige également à jouer un rôle plus central dans la création de conditions permettant à la société de générer des richesses et de créer ainsi des emplois sans compromettre le maintien de l Etat providence. C est pourquoi il faut continuer à développer le dialogue social et les syndicats doivent s adapter aux nouvelles exigences en définissant des règles qui garantissent une protection efficace des travailleurs par le biais des traités de l Union européenne. n Marie Do Marfaing Permanente FGAF 6 Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

7 l Académie Europe - CESI les 15 et 16 avril 2010 Intervention d Antoine Breining dans l atelier 1 : Quelles missions la Fonction publique doit-elle assumer? De nombreuses définitions sont possibles, mais il y en a une qui paraît bien cerner la notion de Service Public : «le Service Public est une activité d intérêt général assurée ou assumée par une personne publique ou régie au moins partiellement par des règles de droit public». A partir de cette définition, on peut identifier plusieurs types de services publics, selon leur finalité. Mais cette définition ne semble pas suffisante pour répondre à la question, car au-delà des divers types d intervention, un certain nombre de décisions législatives macroéconomiques, mais aussi politiques, ont bouleversé ceux-ci en y associant de nouveaux concepts qui sont : - la réduction de capacité de financement des états - le désengagement de l Etat - l introduction de la concurrence - la mondialisation Par ailleurs, le droit communautaire a également influencé, de façon significative, ces concepts. L Union européenne a longtemps eu une approche assez réservée et désintéressée de la notion de Service Public ou des activités d intérêt général. Dans un premier temps, elle a soutenu une libéralisation maîtrisée, régulée. Ensuite, elle a mis en place l obligation de la mise en concurrence, concept qui a amené de nouveaux acteurs dans des domaines pris en charge jusque-là par le Service Public. Le Conseil européen d Amsterdam a reconnu enfin dans le traité, que les services d intérêt national sont des composantes de valeurs communes et sont des promoteurs de la cohésion sociale et territoriale. Cette notion de service d intérêt national a été confirmée par le traité de Nice. Mais à côté de toutes ces évolutions conceptuelles et institutionnelles, nous avons aussi pu observer des évolutions très fortes dans les exigences, les besoins des usagers. De nouveaux modes de vie sont apparus avec des attentes nouvelles en terme de Service Public pour notamment assurer la prise en charge des chômeurs, des personnes âgées, des handicapés, logement social, etc En conséquence, le service public doit être le garant de l égalité de traitement des citoyens d un pays pour assurer la cohésion sociale et citoyenne. La Fonction publique doit donc s occuper ou se charger de veiller au respect de cette garantie fondamentale, chaque fois qu elle est remise en cause ou mise à mal (Police, Défense, Justice, Education). Mais au-delà de ces missions régaliennes, on a observé depuis quelque temps et notamment au regard de la crise que nous vivons, que le service public et la Fonction publique peuvent porter leurs interventions au-delà de ces critères. Ainsi, on a observé en France, dans les régions de Poitou-Charentes, que la collectivité régionale s est rendue actionnaire d une entreprise privée (Heulliez) pour préserver l emploi et éviter une fermeture ou une délocalisation. Les exemples abondent. La Fonction publique doit s impliquer chaque fois que cela est nécessaire pour pallier soit aux insuffisances du secteur privé, mais également et c est une évolution nouvelle, pour compléter son intervention et parfois même pour le concurrencer. Cela suppose que les organisations syndicales de fonctionnaires soient ouvertes à l idée de modernisation, à l idée d adaptation et à un certain nombre de remises en cause de schémas traditionnels. Mais cela suppose aussi que les fonctionnaires soient bien formés dans tous les domaines et que ces évolutions du service public s organisent dans le cadre d un dialogue social riche, renforcé et réel. N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 7

8 Fonction publique Territoriale Police municipale : de réunions en entrevues, pour presque rien! Depuis le 1 er avril, les policiers municipaux sont dans l action pour obtenir l ouverture de négociations sur le volet social, qu ils revendiquent en vain depuis des années. L intersyndicale, constituée de la totalité des organisations représentatives siégeant au Conseil supérieur de la Fonction publique territoriale, a été reçue, le 27 mai dernier, par le ministre de l Intérieur, puis le 1 er juin dans le cadre de la journée nationale d action et de grève, par le président de l Association des Maires de France. État des lieux. Alors que l intersyndicale, dont la FA-FPT fait partie, avait été reçue pour la dernière fois le 20 janvier par les conseillers du cabinet de Monsieur Marleix, secrétaire d État aux Collectivités territoriales, il aura fallu que survienne le drame de Villiers-sur-Marne, qui a coûté la vie à une jeune policière municipale, pour que les pouvoirs publics se montrent à nouveau à l écoute. Nous voudrions croire qu il n y a pas de lien de cause à effet et l assurance donnée par Brice Hortefeux, que la concomitance entre la date de parution du décret portant sur le Pistolet à Impulsion Electrique et la survenue du drame est le fait du hasard, n y changera pas grand-chose. Toujours est-il que le ministre de l Intérieur a annoncé qu il demanderait à l Inspection générale de l administration de procéder à un travail d inventaire et d analyse, afin de clarifier et de définir précisément les missions des policiers municipaux. Par ailleurs, une nouvelle convention de coordination-type renforcée devrait être proposée pour améliorer les synergies entre la police nationale, la gendarmerie nationale et la police municipale. Enfin, le ministre a souligné que la police municipale avait un rôle croissant, inéluctable, inévitable et souhaitable. Interrogée par Monsieur Hortefeux, la FA-FPT a renouvelé sa demande de moratoire sur la police municipale, et a demandé que la convention de coordination-type intègre l échange d informations et les transmissions radio, revendication portée de longue date par la FA-FPT. Concernant l armement, la FA-FPT a rappelé qu il s agissait là d un sujet délicat auquel elle était formellement attachée, et qui relevait de ses priorités. La FA-FPT a notamment insisté sur le fait qu il n y a pas de collectivités plus ou moins dangereuses, mais que la criminalité est en progression. L armement ne doit pas relever d un choix de missions, mais doit s appliquer dès l instant où un policier municipal exerce sur la voie publique. La FA-FPT a également dénoncé l hypocrisie des élus qui refusent d armer leurs policiers municipaux, tout en les équipant de gilets pareballes Pour ce qui est des revendications portées par l intersyndicale (revalorisation des carrières des agents de catégorie C avec notamment la possibilité d accéder à l échelon spécifique doté de l IB 529, prise en compte de la pénibilité et de la dangerosité du métier, attribution obligatoire de l indemnité spéciale de fonction au taux maximum pour tous ainsi que sa prise en compte dans le calcul de la retraite), le Gouvernement se retranche courageusement derrière le refus de l Association des Maires de France pour ne toucher à rien. Dès lors, l intersyndicale a décidé de solliciter une rencontre avec le président de l AMF pour tenter d aboutir à un déblocage de la situation. Nous savons que la réponse de l AMF sur les revendications de l intersyndicale s est faite dans un contexte où le Parlement, dans le cadre de la «LOPPSI2», a adopté des amendements actant un peu plus encore le désengagement de l État et le transfert des missions de sécurité vers les communes. 8 Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

9 La FA-FPT reçue au Secrétariat d État à la Fonction publique Pour autant, si l intersyndicale respecte complètement les doutes et oppositions des maires sur ces nouveaux transferts, sans débat global sur l organisation des forces de sécurité dans notre pays, il n en demeure pas moins que les policiers municipaux accomplissent leurs missions dans un cadre en constante évolution, sans que ne soit revue leur situation en matière de carrière. En tout cas, le discours de Monsieur Pélissard, président de l AMF, a traduit une grossière méconnaissance du métier et des spécificités de la police municipale! L AMF n a pas fait d autres propositions que de soumettre un questionnaire aux 3500 élus des communes dotées d une police municipale, et de soumettre les résultats de ce sondage à l Assemblée générale de l AMF qui doit se tenir le 24 juin prochain. Mais d ores et déjà, Monsieur Pélissard a annoncé que le dossier des retraites regardait le gouvernement, que le régime indemnitaire avait déjà été réévalué en 2006, et que concernant l indemnité spéciale de fonction, la réflexion s orienterait plutôt vers un taux plancher obligatoire. À force de se passer la «patate chaude», il faudra bien qu un jour, l une ou l autre partie se mouille un peu n Jean-Charles GLATIGNY Secrétaire National de la FA-FPT en charge de la police municipale Une délégation de la FA-FPT conduite par le Président fédéral Antoine Breining, et composée de Serge Boesch, Président délégué, André Goretti, Secrétaire général, et Bruno Collignon, membre du Bureau fédéral chargé du dossier «Retraites», a été reçue le 17 mai dernier par Monsieur Samuel Barreault, directeur de cabinet de Georges Tron, secrétaire d État à la Fonction publique. Cette entrevue a essentiellement porté sur la question des retraites. Après avoir pris acte des premières propositions du gouvernement sur la réforme des retraites, la délégation a fait part au représentant du ministre des positions décidées par la FA-FPT, au cours de la dernière réunion du Comité fédéral. Il a notamment été rappelé que la FA-FPT s opposera à toute remise en cause du calcul de la retraite à partir de l indice détenu durant les six derniers mois d activité. De la même manière, la FA-FPT n acceptera en aucun cas que le montant des retraites fixé à 75 % du dernier salaire indiciaire fasse l objet d une remise en cause. Enfin, la délégation a rappelé que la possibilité accordée aux agents ayant élevé trois enfants de prendre une retraite anticipée ne pourra faire l objet d une quelconque remise en cause. Au cours de l entretien, la délégation a fait part au représentant du ministre de son analyse sur la situation particulière du système de retraite dans la Fonction publique et sur la nécessité de trouver des financements nouveaux pour participer à la recherche de l équilibre du système de répartition qui s applique dans notre pays. Les premières pistes annoncées le 16 mai par le gouvernement en matière de contribution supplémentaire de solidarité sur les hauts revenus et les revenus du capital vont dans le bon sens, mais sont totalement insuffisantes pour aboutir à cet équilibre. Le document remis par le ministre aux organisations syndicales ne fournit aucune autre indication claire des intentions du gouvernement. Il ne donne notamment aucune précision sur la prise en compte de la pénibilité et de la négociation sur ce sujet. n Antoine BREINING Président de la FA-FPT Patrick CARBALLO Fabien GOLFIER Conseillers Techniques du Pôle police municipale. N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 9

10 Fonction publique Santé Le blues des infirmiers anesthésistes Depuis près de deux mois, plus d un millier d infirmiers anesthésistes (IADE) sur les 7500 que compte la profession, manifeste son inquiétude et sa désapprobation face aux projets du gouvernement. Ils sont en grève depuis le 10 mai. IADE Classe Normale Echelon Grilles actuelles Indice majoré Reclassement en juillet 2012 Reclassement en juillet 2015 Indice majoré nouvelle grille Durée des nouveaux échelons (en année) Indice Majoré Durée des nouveaux échelons (en année) Nouveaux échelons IADE Classe Supérieure Echelon Grilles actuelles Indice majoré Reclassement en juillet 2012 Reclassement en juillet 2015 Indice majoré nouvelle grille Durée des nouveaux échelons (en année) Indice Majoré Durée des nouveaux échelons (en année) En effet, suite à la réorganisation des professions paramédicales dans le cadre «Licence, Master, Doctorat», la Ministre de la Santé, Madame Bachelot, a prévu de revaloriser les professions infirmières dans le cadre d un protocole d accord refusé par la quasi-unanimité des syndicats. Les IADE s estiment encore plus mal traités que les IDE. La nouvelle grille ne s appliquera qu en juillet 2012 : elle leur fera perdre automatiquement la catégorie «Active» sans que leur niveau de compétence soit pour autant reconnu. Comparons le niveau d études français à celui des autres états européens. En France, pour obtenir le diplôme d Etat d infirmier, il faut 3 années d études professionnelles après le bac (reconnu niveau «Licence»). Il faut ensuite 2 ans de pratiques avant de pouvoir présenter le concours d entrée aux écoles spécialisées. Après réussite au concours, deux ans d études spécialisées en anesthésie sont nécessaires pour devenir Infirmier Anesthésiste Diplômé d Etat, soit un niveau «Master 2». Seuls le Danemark et l Islande ont un niveau Bac + 4 préalable aux études spécialisées mais sans l exigence de la pratique professionnelle. A contrario, on constate que le Royaume- Uni se contente d études spécialisées de 6 mois après le Bac + 3. Il faut savoir que les IADE sont demandeurs d une formation plus approfondie et que les médecins anesthésistes britanniques sont eux aussi intéressés par une assistance plus efficace. Au vu de ces éléments, les grilles proposées par le Ministère sont inacceptables. Les propositions de l UFAS/FGAF sont : - l exclusivité d exercice garanti aux IADE - la reconnaissance du diplôme au niveau «Master 2» - le maintien en catégorie «Active» reconnaissant la pénibilité du métier comme pour l ensemble des paramédicaux - la mise en adéquation entre l échelle de rémunération et le niveau du diplôme. n Le Bureau de l UFAS 10 Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

11 LES RESPONSABLES DES UNIONS RÉGIONALES DE LA FGAF ALSACE LANGUEDOC-ROUSSILLON Pascal KESSLER (FA-FPT) : Sandrine HAMADA (FA-FPT) : ( cdg-fafpt@orange.fr) ( pascal.kessler@mulhouse-alsace.fr) LORRAINE AQUITAINE Bernard FRIESENHAHN (FA-FPT) : Philippe LECANNELIER (FAC) : ( lecannelier@orange.fr) ( bernard.friesenhahn@orange.fr) BASSE-NORMANDIE MIDI-PYRÉNÉES A conserver Bruno RAGOT (FA-FPT) : ( b.ragot@cg14.fr) BOURGOGNE Pascal ROBELOT (FA-FPT) : ( pascal.robelot@wanadoo.fr) BRETAGNE Sébastien ROBREAU (CSEN) : ( snalc.22@gmail.com) CENTRE Valérie GUERTIN (FA-FPT) : ( fafpt37@wanadoo.fr) FRANCHE-COMTE Gérard KINTZ (FA-FPT) : ( g.kintz@free.fr) ILE-DE-FRANCE Alain FELDMAN (UFAS) : ( a-feldman-syndicat-autonome@ch-meaux.fr) Hervé GARLET (CSEN) : ( herve.garlet@wanadoo.fr) NORD-PAS-DE-CALAIS Thierry CRAPEZ (FA-FPT) : ( syndicatautonome.wattrelos@wanadoo.fr) PICARDIE Martial CLOUX (CSEN) : ( martial.cloux@wanadoo.fr) PROVENCE-ALPES-COTES D AZUR Pierre ELLUL (UFAS) : ( selnice@hotmail.com) REUNION Jean-Pierre LALLEMAND (FA-FPT) : ( safptr@wanadoo.fr) RHONE-ALPES Alain PERASSOLO (FA-FPT) : ( fa-ftp.69.infos@wanadoo.fr) LES RESPONSABLES REGIONAUX DES ORGANISATIONS DE LA FGAF ALSACE FA-FPT : Serge BOESCH ( , usae.wittenheim@free.fr) CSEN : Jean-Claude HALTER ( , president@sne-csen.net) FAMI : Chantal BICKEL ( , bickel.chantal@interieur.gouv.fr) AQUITAINE FA-FPT : Marie-José FOURNE ( , marie-josefourne@orange.fr) CSEN : Jean-Paul SAINT-MARC ( , snalc-bx@gmail.com) FGAF-Finances : Pierre MALBOSC ( , snds@neuf.fr) FAC : Philippe LECANNELIER ( , lecannelier@orange.fr) FAMI : Michel PARIS ( , michel.paris@interieur.gouv.fr) AUVERGNE FA-FPT : Danièle HAUTEMAYOU (idhautrd@wanadoo.fr) CSEN : Dominique LE MOING ( , dominique.lemoing@wanadoo.fr) BASSE-NORMANDIE FA-FPT : Bruno RAGOT ( , b.ragot@cg14.fr) CSEN : Henri LAVILLE ( , snalc.bn@wanadoo.fr) FAMI : Mikaël COMPAGNE (mikaelcompagne@yahoo.fr) BOURGOGNE FA-FPT : Serge MORDELET ( , fafpt-ud89@wanadoo.fr) CSEN : Françoise MORARD ( , snalc-dijon@wanadoo.fr) FAMI : Laétitia PHILIPPON ( , laetitia.philippon@interieur.gouv.fr) BRETAGNE FA-FPT : Yann RICHARD ( , yann.richard@live.fr) CSEN : François PORTZER ( , snalcarmor@aol.com) FAMI : Frédéric FERRAND ( , frederic.ferrand@interieur.gouv.fr) CENTRE FA-FPT : Michel GAULT ( , fafpt37@wanadoo.fr) CSEN : Lionel FEDRIGO ( , lfedrigo@orange.fr) FAMI : Pascal DUCOURTIEUX ( , pascal.ducourtieux@interieur.gouv.fr) FGAF-Finances : Jean-Claude JACQUELIN ( , snat.018@dgfip.finances.gouv.fr) CHAMPAGNE-ARDENNE CSEN : Béatrice JULLION ( , chb.jullion@wanadoo.fr) FAMI : Nathalie BERNARD-GUELLE ( , nathalie.bernard-guelle@interieur.gouv.fr) CORSE FA-FPT: Michel CORTI ( , michelcorti@hotmail.com) CSEN : Lucien BARBOLOSI ( ) FAMI : Gilbert GONET ( , gilbert.gonet@interieur.gouv.fr) FRANCHE-COMTE FA-FPT : Gérard KINTZ ( , g.kintz@free.fr) CSEN : Michèle HOUEL ( , snalcfc@free.fr) GUADELOUPE CSEN : M. FILLION ( , snalc-fillion@orange.fr) FAMI : Claudie NULLA ( , claudie.nulla@interieur.gouv.fr) GUYANE FA-FPT : Jocelyn PRALIER (jpralier@cg973.fr) FAMI : Pascale JEAN ( , pascale.jean@interieur.gouv.fr) HAUTE-NORMANDIE FA-FPT : Philippe HUMBLOT ( , byblosphil@wanadoo.fr) CSEN : Rémi CANDELIER ( , frobergie@orange.fr) FAMI : Patrick BOUCARD ( , patrick.boucard@interieur.gouv.fr) ILE-DE-FRANCE FA-FPT : Bruno FERNANDEZ ( , brunoluis@free.fr) CSEN : Emmanuel PROTIN ( , apone@free.fr) FAMI: Jean SYLVESTRE ( , nesylvestre@hotmail.fr) SAPPM: Abel GONCALVES ( , abel.goncalves@dsaf.pm.gouv.fr) UFAS : Alain FELDMAN ( , a-feldman-syndicat-autonome@ch-meaux.fr) FAC: Félix GUION-FIRMIN ( , felix.guion-firmin@musee-orsay.fr) FGAF-Finances : Léonide TUERNAL ( , leonide.tuernal@dgfip.finances.gouv.fr) USASCC : Ghislain CHABROULLET ( , ghislain.chabroullet@diplomatie.gouv.fr)

12 A conserver Notre position sur la r la défense des spécificité Le Gouvernement a dévoilé, mi-mai, les grandes orientations de la réforme des retraites et en a pré Le Conseil National de la FGAF, réuni le 21 mai, a défini notre pos Propositions du gouvernement Engagement n 1 : sauvegarder le système de retraite par répartition Le Gouvernement proposera des mesures permettant à davantage de Français de compléter leurs pensions de retraite en recourant à des dispositifs d épargne-retraite, mais sans remettre en cause l équilibre actuel entre la répartition et la capitalisation. Engagement n 2 : assurer le retour à l équilibre de nos régimes de retraite à moyen terme. Le Gouvernement écarte (provisoirement?) la piste d une réforme systémique du mode de calcul des droits (régimes par points ou en comptes notionnels). L ensemble des mesures d augmentation de la durée d activité et des recettes permettront de remettre les régimes de retraite à l équilibre en Engagements n 3 & 4 : ne pas réduire les déficits en baissant les pensions des retraités d aujourd hui et de demain. Revalorisation annuelle des pensions de retraite sur la base de l inflation. Cette assurance de protection du pouvoir d achat face à l augmentation des prix est, là encore, un déterminant essentiel de la confiance dans notre système de retraite. Engagement n 6 : écarter toute solution qui baisserait le niveau de vie des Français ou qui augmenterait le chômage. Le Gouvernement écarte la hausse généralisée des cotisations sociales salariales qui entraînerait une forte réduction du pouvoir d achat des salariés Engagement n 7 : répondre à un déséquilibre démographique par des solutions démographiques. Ceci suppose d augmenter la durée d activité. - Porter l âge légal de droit commun à 62 ans en Augmentation de la durée de cotisation. Engagement n 9 : tenir compte de ceux qui ont eu une vie professionnelle plus difficile. Prendre en compte l usure des salariés, en permettant aux salariés qui ont une vie professionnelle plus dure de partir à la retraite plus tôt que les autres. Engagement n 10 : mettre fin à la spécificité française en matière d emploi des seniors. Engagement n 11 : adapter les mécanismes de solidarité des régimes de retraite à la réalité des besoins sociaux. Engagement n 12 : augmenter les ressources destinées aux mécanismes de solidarité par un effort financier supplémentaire de certains revenus. Augmenter les recettes destinées au fonctionnement solidaire des régimes de retraite, pour un montant de 3,7 Md en Engagement n 13 : poursuivre la convergence entre les régimes de retraite du public et du privé. - relèvement à 62 ans en 2018 pour tous les fonctionnaires dont l âge d ouverture des droits est aujourd hui de 60 ans ; - relèvement de manière parallèle à l âge légal de droit commun pour tous les fonctionnaires en «catégorie active» : passage à 52 ans lorsque l âge d ouverture des droits est de 50 ans ; à 57 ans lorsque l âge actuel est de 55 ans - alignement du taux de cotisation du public sur celui du privé (passage de 7,85 à 10,55 %), étalé sur 10 ans ; - fermeture du dispositif de départ anticipé sans condition d âge pour les parents de 3 enfants ayant 15 ans de service à compter de application de la même règle d obtention du «minimum garanti» que dans le secteur privé. Engagement n 14 : assurer une gouvernance d ensemble des régimes de retraite fondée sur des rencontres périodiques avec les partenaires sociaux. Le Gouvernement souhaite que des rencontres avec les partenaires sociaux soient organisées de manière périodique. Dès lors notre Conseil National du 21 mai a rappelé les huit points sur lesquels la FGAF ne voulait pas céder : ma maintien du taux de liquidation de 75% ; maintien d une pension minimale ; maintien des règles du service actif pensions de réversion, bonifications familiales) ; maintien du pouvoir d achat des retraités ; maintien de la possib

13 éforme des retraites : s de la fonction publique cisé les modalités le 16 juin, avant d adopter le projet de loi en conseil des ministres courant juillet. ition au regard des ces grandes orientations gouvernementales : Position de la FGAF Refuser le détournement des excédents de la CNRACL qui doivent rester disponibles pour faire face au choc démographique à moyen terme. En l absence de réforme systémique, universelle et équitable, la FGAF exige le maintien des spécificités du régime de la fonction publique. La FGAF observe que ce scénario d équilibre repose sur le retour au plein emploi et une reprise de la croissance économique. En application de ces engagements, la FGAF demande le maintien des modalités de calcul et de liquidation des pensions (période de référence, taux de liquidation). En application de cet engagement, la FGAF refuse toute baisse du pouvoir d achat consécutive à une hausse annoncée des cotisations salariales des fonctionnaires. La FGAF demande le maintien de la possibilité de liquider ses droits à la retraite à 60 ans. À ce titre, la FGAF souhaite le maintien des règles du service actif. La FGAF demande des solutions opérationnelles pour permettre des secondes carrières En application de cet engagement, la FGAF exige le maintien des avantages familiaux (retraite anticipée pour les mères de trois enfants, pensions de réversion, bonifications familiales); Tout en partageant l objectif d une plus grande solidarité, la FGAF souhaite que ces mécanismes préservent les dispositifs d épargneretraite. La FGAF entend préserver les engagements du «contrat moral» avec les fonctionnaires : Période de référence : 6 derniers mois Taux de liquidation : 75% Pension minimale Règles du service actif Avantages familiaux La FGAF souhaite que sa représentativité soit reconnue et demande à participer aux rencontres avec les partenaires sociaux. intien du calcul du montant des pensions sur la base du traitement des six derniers mois ; ; maintien des avantages familiaux (retraite anticipée pour les mères de trois enfants, ilité de liquider ses droits à 60 ans ; maintien du dispositif des carrières longues.

14 A conserver LES RESPONSABLES REGIONAUX DES ORGANISATIONS DE LA FGAF (suite) LANGUEDOC-ROUSSILLON FA-FPT : Bernard MARTINEZ ( , bmmartinez@orange.fr) CSEN : Jehan-Alain COMBEY ( , snalcmoncombey@wanadoo.fr) FGAF-Finances : Patrice FOUTIEAU ( , patrice.foutieau@finances.gouv.fr) FAMI : Jean-Philippe FOUGEREAU ( , jean-philippe.fougereau@interieur.gouv.fr) LIMOUSIN CSEN : Olivier JAULHAC ( , olivier-jaulhac@orange.fr) LORRAINE FA-FPT : Jean-Claude SCHWARTZ ( , jamin4@wanadoo.fr) CSEN : Elisabeth EXSHAW ( , snalc.lorraine@orange.fr) FGAF-Finances : Bernard WAGNER ( , bernard.wagner@ira-metz.gouv.fr) FAMI : Patrick VALENTIN ( , patrick.valentin@interieur.gouv.fr) NORD-PAS-DE-CALAIS FA-FPT : Thierry CRAPEZ ( , syndicatautonome.wattrelos@wanadoo.fr) CSEN : Joëlle HOUZIAUX ( , jhouziaux@sne-csen.net) FAMI : Michel TONNELIER ( , horizonnord@aol.com) FGAF-Finances : Pierre Alain EVRARD ( , snat.59@dgfip.finances.gouv.fr) MIDI-PYRENEES FA-FPT : Jean-Christophe FLEURY ( , jcfleu@free.fr) CSEN : Hervé GARLET ( , herve.garlet@wanadoo.fr) FAMI : Jean-Pierre COCHARD (jean-pierre.cochard@interieur.gouv.fr) FGAF-Finances : Françoise MONTYNE ( , francoise.montyne@orange.fr) PAYS DE LA LOIRE FA-FPT : Jean-Christophe LEGER (jean-christophe.leger@cg72.fr) CSEN : Hervé REBY ( , snalc.acad.nantes@wanadoo.fr) FGAF-Finances: Gilles CHAUVANAUD ( , gilles.chauvanaud@finances.gouv.fr) FAMI : Valery DESERT-LEGENDRE ( , valery.desert-legendre@interieur.gouv.fr) USASCC : Philippe BERNARD ( , philippe.bernard@diplomatie.gouv.fr) PICARDIE FA-FPT : Eric TOURNEMOLLE ( , tournemolle.eric@gmail.com) CSEN : Thierry BOUCHER ( , thierry.boucher716@wanadoo.fr) FAMI : Nathalie SKYBA ( , nathalie.skiba@interieur.gouv.fr) FGAF-Finances : Annie FRERE ( , annie.frere@yahoo.fr) POITOU-CHARENTES FA-FPT : Caroline CHARRUYER ( , urpc.fafpt@sfr.fr) CSEN : Toufic KAYAL ( , toufickayal@wanadoo.fr) FGAF-Finances: Nicole BATUT ( , nicole.batut@sp.finances.gouv.fr) FAMI : Benoît DESMARTIN ( , benoit.desmartin@interieur.gouv.fr) PROVENCE-ALPES-COTES D AZUR FA-FPT : Pascal DEREPAS ( , UD06@aol.com) CSEN : Jean-Charles ZURFLUH ( , zurf@hotmail.fr) UFAS : Pierre ELLUL ( selnice@hotmail.com) FAMI : Danielle FAGES ( , secretaire-regionale-sud-est@snpps.fr) FGAF-Finances : Jean-Jacques DEMOULIN ( , jean-jacques.demoulin@dgfip.finances.gouv.fr) REUNION FA-FPT : Jean-Pierre LALLEMAND ( , safptr@wanadoo.fr) CSEN : Philippe PEYRAT ( , philippe.peyrat@wanadoo.fr) SNPTL : Jacky JARDINOT ( , jardinot@wanadoo.fr) FAMI : Jean-François LEBON ( , jean-francois.lebon@interieur.gouv.fr) RHONE-ALPES FA-FPT : Alain PERASSOLO ( , fa-ftp.69.infos@wanadoo.fr) CSEN : Bernard KUNTZ ( , bernard.kuntz4@wanadoo.fr) FGAF-Finances : André JADOT ( , ajadot@rhonealpes.fr) FAMI : Anne BEAUCHET ( , anne.beauchet@interieur.gouv.fr) Vie des unions régionales de la FGAF Naissance de l UR-FGAF de Picardie Congrès fondateur de l UR-FGAF de Midi-Pyrénées

15 État La FGAF se renforce au Ministère de la Culture par la création du SAMIC Syndicat Autonome des Médias et des Industries Culturelles le 15 avril 2010 Fonction publique Le 3e conseil de modernisation des politiques publiques, tenu le 11 juillet 2008, a notamment réorganisé le ministère de la culture et de la communication en 3 directions générales à partir des 10 directions préexistantes. La 3e de ces directions générales associe depuis le 13 janvier 2010 l ancienne Direction du Livre et de la Lecture (DLL) de ce ministère à la Direction du Développement des Médias (DDM) - jusque-là placée sous l autorité du Premier ministre et mise à la disposition du ministre de la culture et de la communication depuis pour constituer la Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles (DGMIC) par décret n du 11 novembre La Direction du Développement des Médias (DDM) a été instituée en 2000 dans le prolongement du Service juridique et technique de la presse (SJTP) de 1947, devenu en 1956 le Service juridique et technique de l information (SJTI), puis le Service juridique et technique de l information et de la communication (SJTIC) en Certains agents de la Direction du Développement des Médias étaient adhérents du Syndicat Autonome des Personnels des services du Premier Ministre (SAPPM) affilié à la Fédération Générale Autonome des Fonctionnaires (FGAF). C est pourquoi, à l occasion de ce transfert de tutelle et donc d une nouvelle affectation, il s est avéré nécessaire pour nous, de créer le 15 avril 2010, un nouveau syndicat, dédié à cette direction générale et également affilié à la FGAF par l intermédiaire de la Fédération Autonome Culture (FAC), fédération primaire au Ministère de la Culture et de la Communication. Cette création a vu le jour car les grands acquis de la Fonction Publique, conquis difficilement par nos aînés, sont en train de se déliter. Par son arrivée au sein du ministère de la culture, le SAMIC renforcera la FAC, ainsi que le pôle État de la FGAF, permettant ainsi la défense des fonctionnaires et contractuels de la DGMIC. Seul le nombre peut faire poids devant l administration et les politiques. C est pourquoi, affiliés à la FAC, nous serons plus forts et pertinents pour obtenir la reconnaissance méritée au sein de notre ministère. n Laure BOULANGER Secrétaire Générale N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 15

16 Fonction publique État Élections professionnelles des syndicats de la FAMI : un réel succès! Elections 2010, le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale (SCPN) toujours majoritaire! Les élections professionnelles pour le corps de conception et de direction de la police nationale, celui des commissaires de police, se sont déroulées le 6 mai Cet opus 2010 représentait un enjeu aux multiples facettes pour les «patrons de la police», dont le syndicat majoritaire, le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale (SCPN) avait rejoint la FGAF à l occasion de son congrès de l automne er succès : celui de la mobilisation des commissaires de police qui devaient afficher leur détermination face à l administration dans un contexte très tendu de réformes (projets de refonte de la procédure pénale, réforme Corps et carrières, rapprochement entre police et gendarmerie ) et ont été 85% à exprimer leur choix, soit 5% de mieux qu en 2006, date du précédent scrutin professionnel dans la police nationale. 2ème succès : celui du SCPN qui confirme sa position très majoritaire au sein du Corps, avec 66,21% de suffrages, soit 8 points de mieux qu en Son concurrent est même défait sur son territoire de conquête de 2006, la plaque urbaine parisienne, dont 53% des commissaires ont choisi le SCPN, contre 47% au précédent scrutin. Le secrétariat général du SCPN démontre ainsi la qualité du lien qui l unit à ses adhérents, de tous âges et de tous grades, et qui a été refondé après trois années d une stratégie d action qui valorisait une action syndicale combative, constructive et unitaire. Le SCPN, qui dispose désormais de 3 sièges sur 4 en Commission Administrative Paritaire, représente seul les commissaires de police au sein du Comité Technique Paritaire Central, au Conseil d Administration de l Ecole Nationale Supérieure de la Police Nationale. 3ème succès : celui de la FGAF, qui sort renforcée de ce scrutin professionnel de la police nationale dès la création de la Fédération Autonome des Métiers de l Intérieur en octobre Emmanuel ROUX Secrétaire Général Adjoint du SCPN/FAMI Le Syndicat National des Personnels de Police Scientifique (SNPPS) reste majoritaire! Le 28 janvier dernier se sont déroulées les élections professionnelles des personnels des services actifs de la Police Nationale. Majoritaire depuis 1992, date de ses 1ères élections professionnelles, en 2010 le SNPPS n a pas dérogé à la règle. Merci aux policiers scientifiques, d avoir une nouvelle fois, fait confiance au SNPPS. Leur choix a permis de réaffirmer la représentativité de notre organisation tant au niveau national que local. Le SNPPS demeure ainsi à ce jour le syndicat majoritaire des personnels de la Police technique et Scientifique. Ce positionnement fait du SNPPS l interlocuteur privilégié de l administration pour faire avancer et faire aboutir les projets de notre filière. Le SNPPS intervient dans tous les dossiers concernant les personnels scientifiques, l organisation du travail et des services de PTS au niveau local et national. CAP NATIONALES INGENIEURS SNPPS % soit les 6 postes de représentants du personnel pour les Ingénieurs de PTS (personnels de cat. A) TECHNICIENS SNPPS ,2% SNAPATSI 77 30,7% SNIPAT 18 7,2% soit 4 des 6 postes de représentants du personnel pour les Techniciens de PTS (personnels de cat. B) ASPTS SNPPS ,56% SNAPATSI ,06% SNIPAT 55 11,29% UNSA 10 2,05% soit 3 des 4 sièges de représentants du personnel pour le corps des ASPTS (personnels de cat. C) CAP LOCALES SGAP SIEGES PARIS 59,3% 2 sur 3 LILLE 81,1% 3 sur 3 LYON 54,5% 2 sur 3 BORDEAUX 61,9% 3 sur 3 VERSAILLES 63% 2 sur 3 RENNES 98,3% 3 sur 3 MARSEILLE 67% 3 sur 4 SERVICES CENTRAUX Non représenté METZ Non représenté Recours au TA Nicole HELIES Secrétaire Générale du SNPPS/FAMII 16 Echos de la Fonction Publique - N 226 Juin / Juillet 2010

17 Vie des unions régionales de la FGAF Naissance de l UR-FGAF de Picardie Réunie en congrès à Amiens, l Union Régionale de la Fédération Générale Autonome des Fonctionnaires de Picardie a été créée le 5 mai Les statuts ont été adoptés, la Commission Exécutive mise en place et le Bureau régional élu. Martial CLOUX a été élu Secrétaire régional de l UR-FGAF de Picardie. L Union Régionale regroupe quatre fédérations et confédérations syndicales : - la Fédération Autonome de la Fonction Publique Territoriale (FA-FPT), - la FGAF-Finances, - la Fédération Autonome des Métiers de l Intérieur (FAMI) - la Confédération Syndicale de l Education Nationale (CSEN). Les objectifs de l UR sont la défense des intérêts des personnels face aux nombreux projets de réforme de l Etat (réforme des retraites, réforme des statuts, RGPP) ainsi que le développement futur de l Union Régionale par l intégration d autres organisations syndicales des fonctions publiques de l Etat, de la Territoriale et de l Hospitalière. La Commission exécutive se compose des membres suivants : Titulaires : CSEN : Martial CLOUX, Thierry BOUCHER, Pierre FLEURY ; FA-FPT : Eric TOURNEMOLLE, Philippe VANNIER, Angelo MENDES ; FGAF-Finances : Annie FRERE, Maryline DUDOUT, Patrick MACCZAK et FAMI : Nathalie SKYBA, Christelle PINCHON. Suppléants : CSEN : Fabrice CARETTE, Dominique VILLEMENOT, Philippe TREPAGNE ; FA-FPT : Christine VANMEERBECK, Josseline BIDART, Patrice RUFFIN. Le Bureau régional se compose de : Secrétaire régional : Martial CLOUX (CSEN) ; Secrétaire régional adjoint : Annie FRERE (FGAF Finance), Philippe VANNIER (FA-FPT) ; Secrétaire administratif : Thierry BOUCHER (CSEN) ; Trésorier : DUDOUT Maryline (FGAF Finance) et Trésorier adjoint : Angelo MENDES (FA-FPT). Deux commissions sont créées: la Commission des litiges composée de : Titulaires : Gérard POUGARY (FA-FPT), Claire HELLIER (CSEN) ; Suppléants : TONNELIER (FAMI) la Commission des comptes : Titulaire : Bruno CLOUET (CSEN). Martial CLOUX Secrétaire Régional Congrès fondateur de l UR-FGAF de Midi-Pyrénées Les délégués régionaux, départementaux et locaux des organisations syndicales de la FGAF existant en Midi-Pyrénées se sont réunis en Congrès Fondateur le 27 mai 2010 au Lycée Hôtelier d Occitanie à Toulouse, en présence de François PORTZER, Secrétaire général. Les organisations syndicales présentes et représentées à ce congrès étaient : la CSEN, la FA-FPT, le SPSCM/FGAF-Finances, le SNISPV, le SASPP-PATS 32/FA-FPT, le SNPPS/FAMI, le SNALC/ CSEN et le SCPN/FAMI. Le congrès a d abord adopté les statuts qui avaient été auparavant travaillés en commission, puis a procédé à la mise en place de la Commission Exécutive composée de 22 membres titulaires et suppléants. Enfin, le Bureau élu est composé de : Hervé GARLET, Secrétaire régional, (SNALC-CSEN), Jean-Christophe FLEURY, 1er Secrétaire régional adjoint, (FA-FPT 81), Jean-Pierre COCHARD, 2nd Secrétaire régional adjoint, (SCPN/FAMI), Jean- François BERTHELOT, Secrétaire administratif, (SNALC-CSEN), Benoît ASSEMAT, 1er Secrétaire administratif adjoint, (SNISPV), Pierre van OMMESLAEGHE, 2nd Secrétaire administratif adjoint, (SNALC-CSEN), Ghislaine KIRCHSTETTER, Trésorière, (FA-FPT 81), Françoise MONTYNE, 1ère Trésorière adjointe, (SPSCM/FGAF- Finances), Danièle COQUO, 2nde Trésorière adjointe, (FA-FPT 81). L UR-FGAF Midi-Pyrénées s est fixée comme buts d assurer la liaison et la coordination entre les syndicats locaux en Midi- Pyrénées (la plus vaste Région de France : 2,4 millions d habitants sur la surface de la Belgique ou de la Hollande!), de participer au développement de la FGAF et de relayer efficacement ses actions sur le plan régional et enfin, de participer activement à la défense des fonctionnaires de la région. Dès le premier Bureau, tenu à Albi le 16 juin dans les locaux syndicaux du conseil Général du Tarn, l UR-FGAF s est attachée, entre autres, à envisager des actions communes croisées notamment entre la FA-FPT et la CSEN et leurs composantes respectives afin de créer un maillage dans les 8 départements de la Région. On attend de ces actions communes plus d efficacité (l union fait la force). Hervé GARLET Secrétaire Régional N 226 Juin / Juillet Echos de la Fonction Publique 17

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