12 ans après la canicule de 2003 : la surveillance à l épreuve de la crise sanitaire
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- Jean-Luc Gauthier
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1 12 ans après la canicule de 2003 : la surveillance à l épreuve de la crise sanitaire K. Laaidi, A. Ung, M. Pascal, H. Therre, P. Beaudeau stitut de veille sanitaire SFSE 2015
2 Contexte
3 La vague de chaleur de 2003 a été la plus intense enregistrée en France depuis 1950, et a été associée à une surmortalité de décès (55%) Dans les suites immédiates de cette canicule, des travaux épidémiologiques ont permis de : - Renseigner la surmortalité toutes causes attribuable à la canicule 2003, dans les plus grandes villes françaises et à l échelle nationale, par âge/sexe - Identifier (2 enquêtes cas-témoins), les facteurs de risque de mortalité chez les personnes âgées décédées à leur domicile et en institution - Estimer dans 9 villes la part attribuable à l ozone et à la température dans la mortalité
4 Crise majeure mise en place 2004 du Système d alerte canicule et santé (Sacs) intégré au Plan national canicule (PNC) Objectif principal : prévenir un impact sanitaire majeur de la chaleur via un panel de mesures de gestion et de prévention Système régulièrement évalué et amélioré : - Bureau d étude (2004 et 2005) - Atelier européen (2006) - Réunions annuelles de débriefing - Comparaison avec des systèmes étrangers Depuis, deux canicules de grande ampleur 2006 et 2015 Impact moindre qu en 2003 mais conséquent malgré la prévention
5 Objectif et Méthode
6 Objectif Faire le point sur la surveillance canicule depuis sa mise en place, et besoins d amélioration apparus à la lumière de la canicule 2015 Matériel et Méthode Retours d expérience réalisés annuellement en interne et en externe Table ronde avec différents acteurs ayant travaillé en lien avec la canicule au niveau national et régional (DGS, préfecture, mairie, InVS national et régional, service d urgence hospitalier, sociologue)
7 Résultats
8 1. Le Plan national canicule (PNC) 2004 : mise en place du PNC : évolution des niveaux de veille, pré-alerte, alerte et alerte aggravée et de l organisation du circuit des informations entre les acteurs du plan : 4 niveaux d alerte calés sur la vigilance météo (veille, avertissement chaleur, alerte, mobilisation maximale) 2014 : actualisation des recommandations sanitaires du PNC par le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), en particulier vers les populations vulnérables (personnes âgées, handicapées, isolées, souffrant de pathologies chroniques, travailleurs exposés à la chaleur)
9 2. Fondements de l alerte Repose sur la surveillance des prévisions de température Indicateur double = moyenne sur 3 jours glissants des Tmin et Tmax Associé à des seuils d alerte départementaux = surmortalité d au moins 50% Révisés régulièrement Les prévisions météo pour ces indicateurs + facteurs aggravants : humidité, pollution, grands rassemblements de population, impact sanitaire constaté proposition d alerte Sur la base de cette proposition, les préfets déclenchent ou pas l alerte dans leur département Permet de mettre en place les mesures de prévention avant l arrivée des fortes chaleurs
10 : - InVS = analyse les données météo et sanitaires et propose l alerte Création / évaluation / amélioration des seuils d alerte Intégration des incertitudes liées aux prévisions météo Amélioration des outils et des circuits de remontées des données Réduction de la période de fonctionnement du système d alerte : - Alarme météo = carte de vigilance Météo-France - InVS = responsable de l analyse des données sanitaires pour détecter un impact et permettre aux acteurs d adapter les mesures de gestion et de prévention
11 Surveillance syndromique : estimer l'impact sanitaire de la chaleur pendant les alertes et en fin de saison Indicateurs issus du système de surveillance coordonnée des urgences et des décès, Sursaud, avec une couverture régionale en constante progression : - au moins un hôpital par région en SOS-Médecins 3. Estimation de l impact sanitaire 1000 communes métropolitaines qui remontent les décès via l Insee
12 2004 : nombreux indicateurs sanitaires surveillés via des canaux plus ou moins organisés et fiables, avec de grandes disparités régionales Ces indicateurs ont été évalués en 2010 Depuis 2010 l InVS surveille pendant les alertes canicules : Ø Les données de recours aux soins - Passages aux urgences toutes causes, tous âges, > 75 ans, pour hyperthermie, déshydratation et hyponatrémie - Diagnostics SOS médecins toutes causes, tous âges, pour coup de chaleur et déshydratation Ø Disponibles à J+1 avec une complétude variable selon les hôpitaux
13 L InVS analyse également les données de mortalité toutes causes : Ø Pour faire le bilan d une canicule en fin d été ou pendant l évènement s il dure longtemps (délai d obtention des données) Ø Deux types de données dispo : - Via l Insee, les données de 1000 communes = 70% des décès. À J+10, 90% de ces données sont disponibles à l InVS mais délai de complétude variable selon les mairies - Via la certification électronique par les médecins = 7% des décès, disponibles à l InVS à J+1
14 Utilisation des informations météo / sanitaires? Utilisées par les parties prenantes nationales et locales : - déclencher les niveaux d alerte PNC - mettre en place des mesures de gestion /prévention Prévisions météo : - anticiper le risque - mettre en place des mesures avant l arrivée des fortes chaleurs, afin de minimiser leur impact Si impact (morbidité) pendant une vague de chaleur, l InVS informe les autorités sanitaires renforcement / adaptation des mesures de prévention
15 Acteurs locaux : rôle de prévention prépondérant - Aide aux populations vulnérables (Croix-Rouge ) - Tenue des registres de personnes vulnérables des mairies (soutien téléphonique + aide à domicile par des bénévoles) Les collectivités utilisent également les résultats de l épidémiologie pour guider des mesures environnementales d urgence (arrosage urbain) et pour l aménagement urbain à long terme (îlots de chaleurs urbains) Source : B. Dousset et al 2011
16 Conclusions
17 Canicule 2003 : - Chaleur non perçue comme un risque sanitaire aucun programme d action - Manque coordination / réaction rapide des principaux acteurs - Cloisonnement entre administrations pas de mise en commun des informations disponibles - Remontée d informations sanitaires : pas organisée, pas adaptée aux contraintes temporelles de l alerte prise de conscience de l impact retardée - Difficultés préexistantes dans l organisation du système de soins (urgences, maisons de retraites) Source : Anne COTRELLE-CHARAFEDDINE. Mémoire de maîtrise Sciences Po. 2015
18 12 ans après : Organisation mieux adaptée, réseau de partenaires locaux et nationaux, mesures de prévention et de gestion Populations sensibilisées au risque et à la solidarité Une responsabilité partagée : instances nationales, locales et citoyens Surveillance environnementale pour prévoir le risque Surveillance sanitaire organisée et en constante amélioration pour apprécier l impact Mais : morbidité = mauvais prédicteur de l impact besoin de données de mortalité consolidées à courte échéance et par classes d âge Changement climatique : ce système sera-t-il adapté pour des canicules + longues, + intenses, + fréquentes?
19 Perspectives
20 Canicule 2015 : Impact sanitaire conséquent malgré le PNC Premiers retours d expérience : difficultés organisationnelles, mise en place inégale des mesures de gestion : - Remontée des données de mortalité trop tardive pour estimer l impact en tant réel - Difficultés d inscription aux registres communaux pour les personnes vulnérables - Outils de communication à adapter à certaines populations (travailleurs, enfants, sportifs)
21 Pistes d amélioration en cours de discussion pour l été 2016 et au-delà : Harmoniser les pratiques de terrain (ex registres communaux de personnes vulnérables) Encourager la certification électronique des décès : estimation en temps quasi-réel de l impact sanitaire Avoir un indicateur global d appréciation d une canicule (intensité / durée) Mieux connaître les profils des patients ayant recours aux services d urgences (notamment les jeunes et les adultes) Mieux connaître la perception des risques liés à la chaleur par la population et par les parties prenantes du PNC et évaluer les pratiques (en particulier identification et protection des personnes vulnérables) afin d améliorer les recommandations et les mesures de prévention
22 Merci pour votre attention Contact : ka.laaidi@invs.sante.fr
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