NUMERO 11. Nombre de services ayant déclaré des cas 11

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1 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO NUMERO I. - I N TR ODUC TI ON S O M M A I R E Nous sommes à notre onzième numéro de la «lettre d information», vous y retrouverez le bilan Janvier-Décembre 2013 de surveillance des maladies à déclaration obligatoire. Rappelons que la déclaration des maladies sous surveillance est une obligation édictée par la loi et pour cela tout praticien se doit de déclarer au SEMEP toute maladie, suspecte ou confirmée, figurant sur la liste officielle des MDO. Durant cette année 2013, nous avons constaté une nette régression de la qualité et de la fréquence des déclarations par rapport à l année précédente, ceci constitue un obstacle à notre activité qui consiste à assurer une bonne surveillance épidémiologique afin de pouvoir agir rapidement et efficacement, au sein de notre établissement sur ces maladies transmissibles. I. INTRODUCTION II.- FREQUENCE DE LA DECLARATION PAR SERVICE DE L ANNEE 2013 III.- REPARTITION DES CAS SELON LA MALADIE IV.- REPARTITION DES CAS DECLARES SELON LES GROUPES DE MALADIES V.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DE LA MDO BACTERIENNE LA PLUS FREQUENTE (SYPHILIS) VI.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DES 3 MDO VIRALES LES PLUS FREQUENTES (HEPATITES VIRALES B, C ET HIV) VII.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DE LA TUBERCULOSE VIII. COMPLETUDE DE LA DECLARATION PAR SERVICE IX.- DIFFICULTES ET PERSPECTIVES II.- FREQUENCE DE LA DECLARATION PAR SERVICE DE L ANNEE 2013 Nombre de services 37 Fig 1 : Répartition n des cas de MDO selon les services déclarants EHUO, Janvier-Décembre 2013 Endocrinologie Médecine Interne Cardiologie Chirurgie orthopédique Oto-Rhino-Laryngologie Gynéco-Obstétrique Réanimation Médicale Dermatologie Pneumo-phtysiologie Hémobiologie CTS Bactériologie 0,0% 0,4% 0,4% 0,5% 0,9% 1,4% 2,1% 4,0% Fig 2 : Répartition selon les MDO EHUO, Janvier-Décembre 2013 Fièvre thyphoide Leptospirose Diphtérie Rage PFA Leshmaniose cutnée Kyste Hydatique Méningites bactériennes Tuberculose HIV Hépatite virale C Syphilis Hépatite virale B 0,2 0,2 0,2% 0,3% 0,5% 0,5% 0,5% 1,1% 11,2% 13,3% Nombre de services ayant déclaré des cas 11 65,8% III.- REPARTITON DES CAS SELON LA MALADIE 11,8% 14,8% 17,0% 24,3% 28,6% Au total, 571 cas ont été déclarés durant la période s étalant de Janvier à Décembre de l année Parmi l ensemble des services, seulement 11 d entre eux ont émis des déclarations. Le service de Bactériologie reste toujours en tête de la déclaration inhérente à son activité avec une fréquence de 65,8%, suivi du servicee de CTS (13,3%), de la Pneumo-physiologie et la dermatologie qui réapparaissent parmi les services déclarants, puis des autres services comme la réanimation médicale, gynécologie- ORL, ect faisant obstétrique, partie des services qui déclarent régulièrement. Parmi les 13 pathologies déclarées durant cette année, l hépatite virale B restee toujours en tête des déclarations (28,6%), suivie de la syphilis (24,3%), l hépatite virale C (17,0%),, l infection VIH (14,8%) ; sachant que ces fréquences incluent aussi bien les cas suspects que les cas confirmés. Une particularité notifiée durant cette année 2013, c est la déclaration d un cas de leptospirose confirmé et pris en charge par le service de réanimation médicale, et un cas de diphtérie déclaré par le service ORL. 1

2 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO NUMERO IV.- REPARTITION DES CAS DECLARES SELON LES GROUPES DE MALADIES Fig 3 : Répartition des MDO selon le groupe de maladies EHUO, Janvier-Décembre ,2% 37,8% 1,0% MALADIES VIRALES MALADIES BACTERIENNES MALADIES PARASITAIRES Les maladies virales (Hépatites B et C, HIV,...) constituent le groupe de maladies le plus fréquent avec un taux de 61,2%, suivi du groupe de maladies bactériennes (syphilis, tuberculose, diphtérie,..) et enfin le groupe de maladies parasitaires (kyste hydatique, leishmaniose cutanée). Ces dernières années les maladies virales sont en nette augmentation malgré la sous déclaration. Afin de palier à ce problème, des compagnes d IEC devraient être organisé afin de sensibiliser la population sur le sujet. Parmi les maladies bactériennes notifiées cette année, on note l apparition de certaines maladies qui jusque la ne figuraient pas parmi les MDO déclarés, telles que la diphtérie, la leptospirose et la fièvre typhoïde (1cas de FT à salmonella typhϊ déclaré par le service de microbiologie et confirmé sur des Hémocultures). Concernant les maladies parasitaires, on note une recrudescence de la leishmaniose cutanée. Plusieurs cas ont été déclarés cette année par le service de dermatologie, une enquête épidémiologique devrait être réalisée autour des cas à la recherche du foyer. V.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DE LA MDO BACTERIENNE LA PLUS FREQUENTE «SYPHILIS» Fréquence (%) Fig 4 : Répartition des cas de syphilis selon les groupes d âges EHUO, Janvier-Décembre Age (ans) Au total, 138 cas de syphilis ont été notifiés cette année ; La syphilis touche la majorité des classes d âge avec une classe modale de ans qui correspond à une fréquence de 40,6%, ceci signifie que la syphilis est l apanage de l adulte ; Cependant l adulte jeune est de plus en plus touché par cette IST (6,5% des cas ont moins de 20 ans) La majorité des cas de syphilis déclarés émanent des laboratoires (91,5%) alors que les services cliniques déclarent moins de 10% des cas. Parmi les cas de syphilis déclarés, on note une nette prédominance masculine (68,1%), avec un sex ratio de 2,13. T ab leau I : Réparti tion des cas de syphi l i s sel on l âge et l e sexe E HUO, Janvi er-décembre 2013 Sexe Cas décl ar és % Age m oyen ± I C 95% ( ans) P Masculin 94 68,1 45,3 ± 3,0 Fé minin 44 31,9 52,3 ± 5,0 To tal , 5± 2,6 Sex r at io: 2, 13 <0,01 L âge moyen des patients atteints de syphilis est de 47,5± 2,6 ans ; Le nombre de cas incidents de syphilis ne cesse d augmenter d année en année notamment chez le sujet jeune et ce malgré la disponibilité de moyen de prévention efficace (préservatifs); La sensibilisation de la population générale, et en particulier des personnes à haut risque sur les conséquences de cette IST, par l information et l éducation sanitaire, pourraient diminuer l incidence de cette maladies quiest liée essentiellement aux comportements humains sexuels. 2

3 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO NUMERO BILAN DE SURVEILLANCE E DES MALADIES A DECLARATION OBLIGATOIRE (EHUO/2013) VI.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DES 3 MDO VIRALES LES PLUS FREQUENTES (HEPATITE VIRALE B, C et Infection HIV) Fig 5 : Répartition des MDO prévalences d origi ine virale selon les groupes d âges EHUO, Janvier-Décem bre 2013 L hépatite virale B touche la majorité des classes d âge avec une classe modale de ans qui correspond à une fréquence de 18,4%. Fréquence (%) HEPATITE VIRALE B HEPATITE VIRALE C HIV Age (ans) L hépatite virale C prédomine chez les sujets de la tranche d âge ans avec un taux de 16,5%. L Infection VIH touche plus fréquemment les sujets âgés entree ans avec un taux de 20,2% A noter que la tranche d âge 0-9 ans n a pas été épargnée par ces maladies virales. C est le service de microbiologie qui déclare plus de 90% des cas de maladies virales. AGE ( ans) Une prédominance féminine est notée aussi bien pour les hépatites virales C et HIV (sex ratio respectifs de 0,8 et 0,7), alors que le sexe masculin prédomine pour leshépatites virales B avec une fréquence de 55,2%. L âge moyen des sujets atteints d hépatite virale B est de 45,1 ± 3,0 ans ; il est de 49,8 ± 4,0 ans pour les hépatites virales C et de 39,6 ± 3,8 ans pour l infection VIH. Au total, l âge moyen des patients de ces trois catégories de pathologie diffère significativement sur le plan statistique (p<0,001). Le graphe ci-contre représente un diagramme en boites selon la méthode de Turkey, appelé communément boite à moustaches, permettant la visualisation des médianes d âges avec leur intervalle de confiance selon les 3 groupes : les médianes d âges ne sont pas différentes dans notre cas. 0 Hépatite virale B Hépatite virale C HIV A noter que la majorité de ces maladies virales sont déclarées par les laboratoires, alors que les services concernés par leur prise en charge clinique et thérapeutique ne déclarent toujours pas (ex : service de gastro-entérologie). 3

4 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO Numéro VII.- DESCRIPTION DES CAS DECLARES DE LA TUBERCULOSE Fig 7 : Description des cas déclarés de tuberculose selon l âge EHUO, Janvier-Décembre ,9% 47,8% 26,9% 11,9% 1,5% Durant cette année 2013, nous avons noté une nette augmentation du nombre de cas de tuberculose déclarée par rapport à l année précédente, ceci s explique par les déclarations régulières émanant des services concernés par la prise en charge de cette pathologie. La tuberculose, quelque soit sa localisation pulmonaire ou extra-pulmonaire touche la majorité des classes d âge atteignant plus la tranche ans avec presque 50% des cas; l atteinte des sujets jeune représente 11.9%. Tableau II : Répartition des cas de tuberculose selon le sexe EHUO, Janvier- Décembre 2013 Sexe Cas déclarés % Age moyen ± IC 95% (ans) Masc ulin 31 46,3 38,7 ± 6,2 Féminin 36 53,7 38,1 ± 5,8 Total , 4 ± 4,2 Sex ratio: 0,86 F ig 8 : P réval ence de la tubercul ose selon le service décl arant E HUO, Janvi er-décembre ,5% Parmi les cas déclarés de tuberculose, on note une prédominance féminine avec un taux de 53,7%. Le sex ratio est de 0,86 L âge moyen des cas déclarés chez les hommes ne diffère pas significativement de celui des femmes. La moyenne d âge des sujets atteints de tuberculose est de 38,4±4,2 ans A noter que la majorité des cas déclarés de tuberculose réside à Oran (67,2%), 13,4% réside à Mascara et 4,5% à Tiaret. Les cas de tuberculose notifiés durant l année 2013 ont été en majorité déclarés par le service de pneumo-phtisiologie avec une fréquence de 95,5%, ce sont des cas de tuberculose pulmonaire et extra pulmonaire. PNEUM O- PHTI SI OLOGI E ORL 4,5% Le service d ORL a déclaré 4,5% des cas de tuberculose, ce sont des cas de tuberculose ganglionnaire. Tableau I : Répar tition des cas de tuber culose selon le type Type de TBC EHUO, Janvier - Décembr e 2013 Nom br e de Cas décl ar és Ext r a- pulmonair e 36 53,7 Pulmonair e 35 52,2 Tot al ,0 % Les deux formes de la tuberculose (pulmonaire et extra pulmonaire) ont une fréquence presque égale (52,2% Versus 53,7%) Pour les localisations extra pulmonaires, c est la tuberculose ganglionnaire qui prédomine avec une fréquence de 44,4%, suivi par la pleurésie tuberculeuse (25,0%), la méningite tuberculeuse (8,3%), tuberculose cutanée (5,6%) et autres localisations. 4

5 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO NUMERO VIII.- COMPLETUDE DE LA DECLARATION PAR SERVICE Tableau IV : Données manquantes par service concernant les adresses - EHUO Janvier-Octobre 2013 Service Adresses inconnues % Bactériologie Dermatologie Hémobiologie CTS Oto-Rhino-Laryngologie Cardiologie Gynécologie-obstétrique Rappelons que chaque fiche de déclaration des MDO établie par le MSPRH rudimentaire doit comporter les informations les plus sommaires à savoir la date, le nom et prénom du malade, l âge, le sexe, l adresse complète du malade ; l absence de l une de ces variables est considérée comme une perte d information. Celle-ci concerne le plus souvent l âge et les adresses. Durant la période étudiée, l adresse est absente dans 50.4% soit 288/571 des cas déclarés. Cette variable est considérée comme essentielle pour estimer certains indicateurs de santé publique. Durant cette année 2013, nous avons mis en place tous les moyens nécessaires afin de palier à ce problème de manque d adresse mais sans sucée. Le taux global de complétude pour Les adresses reste insuffisant avec un taux de 49.6%. IX.- DIFFICULTES ET PERSPECTIVES Les données manquantes, la sous déclaration et le retard de déclaration restent les principaux problèmes rencontrés dans la surveillance épidémiologique des MDO à l EHUO. la sous déclaration reste le problème majeur de la surveillance épidémiologique à l EHU. Durant cette année 2013 seulement 11 services sur 37 ont déclaré leurs MDO, alors que tous les services sont concernés par la déclaration, et ceci est dû au manque de sensibilisation et d information des médecins et du personnel déclarants (surveillants et secrétaires médicaux) ainsi que la méconnaissance de la liste et les modalités de déclaration des MDO. Certains services ne respectent pas la procédure de déclaration des MDO, déclarant certains cas par les moyens de déclarations rapide (le téléphone) mais ne les complétant pas par l envoi de la fiche officielle de déclaration selon la fiche annexe 1 Certains servicescontinuent à déclarer sur les fiches annexes MDO, certaines pathologies qui ne figurent pas sur la liste officielle des MDO (exemple: Gale, ); sachant que tous les services sont dotés de registres de déclarations MDOavec la liste officielle «annexe de l arrêté N 179/ MS. du 17 Novembre 1990» fixant toutes les maladies à déclaration obligatoires. Le manque d adresse sur les fiches de déclaration est le second problème majeur au bon déroulement de la surveillance épidémiologique par le SEMEP, afin de palier à ce problème tous les services déclarant devraient veiller à la complétude de l information déclarée. La priorité du SEMEP est de surmonter ces difficultés en collaboration avec les différents acteurs du système afin d améliorer la qualité de cette surveillance. Afin de discuter les difficultés rencontrées sur le terrain une journée de formation sera prochainement organisée par le SEMEP et dont l objet serait d informer et de former le personnel déclarant sur le circuit et les modalités de déclaration dans le cadre de la surveillance épidémiologique et ce en insistant sur l importance de la ponctualité et la périodicité des déclarations. Malgré les efforts fournis par le SEMEP pour améliorer le système de surveillance épidémiologique, les déclarations restent encore à améliorer sur le plan de la fréquence et de la qualité. L objectif pour cette année 2014 reste toujours une déclaration hebdomadaire, exhaustive et avec le maximum d informations de qualité parvenant de tous les services concernés. Nous comptons sur la collaboration de l ensemble des services et du personnel concerné. 5

6 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO Numéro CIRCULAIRE N 01/ MSPRH/DGPPS DU 05 JANVIER 2014 RELATIVE A LA MISE EN ŒUVRE DES DISPOSITIONS FIXEES DANS L ARRETE N 133 /MSPRH/SG DU 30 DECEMBRE 2013 MODIFIANT ET COMPLETANT LA LISTE DES MALADIES A DECLARATION OBLIGATOIRE FIXEE PAR L ARRETE L ARRETE N 179/ MS. DU 17 NOVEMBRE 1990 CATEGORIE 1 : LA NOUVELLE LISTE DES MALADIES SOUS SURVEILLANCE NATIONALE SOUMISE A UNE DECLARATION OBLIGATOIRE SELON LES MODALITES FIXES PAR L ARRETE N BILHARZIOSE 2.- BOTULISME 3.- BRUCELLOSE 4.- CHARBON 5.- COQUELUCHE 6.- DIPHTERIE 7.- DYSENTERIE AMIBIENNE ET BACILLAIRE 8.- FIEVRE THYPHOIDE ET PARATHYPHOIDE 9.- HEPATITE VIRALE A 10.- HEPATITE VIRALE B 12.- HEPATITE VIRALE C 13.- INFECTION VIH/SIDA SYMPTOMATIQUE ET ASYMTOMATIQUE 14.- KYSTE HYDATIQUE 15.- LEGIONELLOSE 16.- LEISHMANIOSE VISCERALE 17.- LEISHMANIOSE CUTANEE 18.- LEPRE 19.- LEPTOSPIROSE 20.- MENINGITE A MENINGOCOQUE 21.- MENINGITE A PNEUMOCOQUE 22.- MENINGITE A HAEMOPHILUS INFLUENZAE 23.- AUTRES MENINGITES (A PRECISER) 24.- PALUDISME 25.- PARALYSIE FLASQUE AIGUE 26.- PESTE 27.- RAGE 28.- RICKETTSIOSES (Fièvre Boutonneuse Méditerranéenne) 29.- ROUGEOLE 30.- RUBEOLE 31.- SYPHILIS 32.- TETANOS NEONATAL 33.- TETANOS NON NEONATAL 34.- TOXI-INFECTIONS ALIMENTAIRES COLLECTIVES 35.- TRACHOME 36.- TUBERCULOSE PULMONAIRE 37.- TUBERCULOSE EXTRA PULMONAIRE 38.- TYPHUS EXANTHEMATIQUE 39.- URETHRITE GONOCOCCIQUE ET NON GONOCOCCIQUE CATEGORIE2 : LES MALADIES SOUS SURVEILLANCE INTERNATIONALE SOUMISE A UNE DECLARATION OBLIGATOIRE A L AUTORITE SANITAIRE NATIONALE ET OBLIGATOIREMENT NOTIFIABLES A L OMS 1.- CHIKUNGUNYA 2.-CHOLERA 3.-DENGUE 4.-FIEVRES HEMORRAGIQUES 5.- FIEVRE DE LA VALLEE DU RIFT 6.- FIEVRE DU WEST NILE 7.- GRIPPE HUMAINE CAUSEE PAR UN NOUVEAU SOUS TYPE 8.- POLIOMYELITE DUE A UN POLIOVIRUS SAUVAGE 9.- SYNDROME RESPIRATOIRE AIGU SEVERE (SRAS) 10.- VARIOLE 6

7 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO Numéro 11INFORMATION 2013 SURVEILLANCE DES PARALYSIES FLASQUES AIGUES (PFA) Dans le cadre du programme d éradication de la poliomyéliteet afin d obtenir le certificat d éradication, l Algérie a mis en place un système de surveillance des PFA dont le but est de notifier et d examiner tout cas de PFA y compris le syndrome de Guillain Barré, se produisant chez un patient d ont l âge est inférieur ou égal à 40 ans et tout cas présumé de poliomyélite diagnostiqué Les indicateurs de performance de cette surveillance sont : 1.- COMPLETUDE DE LA SURVEILLANCE 2 cas depfa non poliomyélite Notification personnes<40 ans /an 2-. COMPLETUDE DE L EXAMEN DES CAS > 80% des PFA avec 2 selles dans les 14 jours suivant le début de Examen clinique et virologique paralysie 3.- COMPLETUDE DU SUIVI > 80% avec un examen de contrôle de la paralysie a 60 jours Dans la cadre du bilan de l année 2013 de la surveillance des PFA en Algérie, le Ministère de la Santé a diffusé lacirculaire N 40 du 10 DEC 2013 relative au rappel des objectifs de la surveillance du programme national d éradication de la poliomyélite par wilaya, qui stipule que les indicateurs de surveillance demeurent pour certaines wilayas (notamment Oran), au-dessous des objectifs fixés : 1.-Concernant la complétude de la surveillance nationale (nombre de cas de PFA annuel qui doit être notifié) : Nb de cas notifiés : 160 Objectif :216 cas minimum 2.-Concernant le pourcentage de prélèvements des selles faits dans les 14 jours suivant le début de la paralysie: Taux actuel = 51% Objectif :Taux 80% 3.-Concernant la complétude du suivi : (nombre de cas de PFA avec un examen de suivi au 60 ème jour) : Taux actuel = 25% Objectif : Taux 80% Afin d améliorer la surveillance des PFA au sein de notre établissement, il est recommandé à tousles concernés de : Déclarer toutes les PFA hospitalisées. Investiguer ces PFA : 2 prélèvements de selles (à h d intervalle) effectués dans un délai de 14 jours s début de la paralysie - Conserver au réfrigérateur à +4 C - Envoyer les selles versl IPA Sidi-fredj dans les 72 heures suivant le prélèvement Contrôler les cas 60 jours après le début de la paralysie 7

8 LETTRE D INFORMATION DU SEMEP/ EHUO Numéro 11INFORMATION 2013 Agenda scientifique algérien Colloque International sur les Politiques de Santéen collaboration avececole Nationale Supérieure en Sciences Politiques Alger, Janvier 2014 Thèmes : L'organisation et le financement du système de santé, la politique du médicament, la politique de formation des personnels de santé, l'organisation des urgences médico-chirurgicales, le plan cancer... Informations : colloquemsprh@sante.dz 3 èmes Rencontres Néphrologiques Imedghassen - 11 au 13 avril Batna Algérie Thème : Abords vasculaires en hémodialyse : règles de bonne pratique quoi de neuf? Thérapies extracorporelle lentes et plasmaphérèse. Diabète, hypertension et maladie rénale chronique : dimensions et lutte contre la pandémie Désordres des fluides, électrolytes et équilibre acide-base. Informations : ziad.lalmi@gmail.com 1 er congrès de la Confédération des Associations Africaines de Neurochirurgie (CAANS) - 9 au 12 mai Alger - Algérie Informations : Web : 20 ème congrès national de la Société Algérienne de Médecine Interne (SAMI) - 16 au 18 mai Alger Algérie Thème: "Poumon et médecine interne. Biothérapies " Informations : Tél et Fax : Mobile : rmalekdz@gmail.com Directeur de la Publication : N. Midoun Rédaction : N. Boumansour Saisie des données : A. Betayeb, N. Benaicha Chef d Unité de surveillance épidémiologique:k. Terki Chef de service : N. Midoun Service d Epidémiologie et de Médecine Préventive- Etablissement Hospitalier et Universitaire d Oran Téléphone : site web : 8

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