EVALUATION DU SYSTEME NATIONAL D INFORMATION ET DE GESTION SANITAIRES (SNIGS) DU BENIN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "EVALUATION DU SYSTEME NATIONAL D INFORMATION ET DE GESTION SANITAIRES (SNIGS) DU BENIN"

Transcription

1 REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA SANTE DIRECTION DE LA PROGRAMMATION ET DE LA PROSPECTIVE SERVICE DES STATISTIQUES ET DE LA DOCUMENTATION EVALUATION DU SYSTEME NATIONAL D INFORMATION ET DE GESTION SANITAIRES (SNIGS) DU BENIN Rapport Mai 2007

2 SIGLES ET ABREVIATIONS ADD BASP BBL CAME CDOC CNHU CPN CPoN CS CSA CSE CSC CTQS DDS DH DNPEV DPP DRH DRS DTC EEZS ENIIAB FSP FSS HOMEL IEC INMES INFOSEC MCZ MIILD MPE MS NC OPP PMA PEV PF PNLP PNLS PNT PTME SEPS SGM SMI SNIGS SPPS SSD SSP TPI VAR ZS Antenne Documentaire Départementale Bureau d Appui en Santé Publique Bibliothèque Bleues Centrale d Achat des Médicaments Essentiels et Consommables Médicaux Centre de Documentation Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoucou Maga Consultation Prénatale Consultation Posnatale Centre de Santé Centre de Santé d Arrondissement Centre de Suivi Epidémiologique Centre de Santé de Commune Conseiller Technique en Qualité des Soins Direction Départementale de la Santé Direction des Hôpitaux Direction Nationale du Programme Elargi de Vaccination Direction de la Programmation et de la Prospective Direction des Ressources Humaines Direction de la Recherche en Santé Diphtérie-Tétanos-Coqueluche Equipe d Encadrement de Zone Sanitaire Ecole Nationale des Infirmières et Infirmiers Adjoints du Bénin Formation Sanitaire Privée Faculté des Sciences de la Santé Hôpital de la Mère et de l Enfant Lagune Information Education Communication Institut National Médico-Social Institut National de Formation OSEC Médecin Coordonnateur de Zone Moustiquaire Imprégnée d Insecticide de Longue Durée Maladie à Potentiel Epidémique Ministère de la Santé Niveau Central Organe Paritaire du Partenariat Paquet Minimum d Activités Programme Elargi de Vaccination Planification Familiale Programme National de Lutte contre le Paludisme Programme National de Lutte contre le Sida Programme National de Lutte contre la Tuberculose Prévention de la Transmission Mère-Enfant Service des Etudes, de la Planification et du Suivi Secrétariat Général du Ministère Santé Maternelle et Infantile Système National d Information et de Gestion Sanitaires Service de la Protection et de la Promotion Sanitaires Service des Statistiques et de la Documentation Soins de Santé Primaires Traitement Préventif Intermittent Vaccin Anti-Rougeoleux Zone Sanitaire 2

3 I - INTRODUCTION L information sanitaire revêt de plus en plus une importance capitale dans un monde où : - l accroissement démographique impose l existence d un Système National d Information Sanitaire (SNIS) performant pour une prise de décision en temps réel ; - la lutte contre la pauvreté devient une priorité incontournable pour les responsables des secteurs clés de la vie comme la santé. Le SNIS, un des axes stratégiques du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS) est aujourd hui une partie entière du processus de mise en œuvre et de suivi/évaluation des actions menées. A cet effet, il se doit de s adapter et de subir des modifications afin de répondre aux besoins des différents acteurs de la vie sociale du pays. Cette évaluation se tient suite à un fonctionnement de six (6) ans après la dernière qui a eu lieu en La période séparant la 3 ème et la présente évaluation (4 ème ) semble relative longue pour les multiples difficultés que le SNIGS a rencontré dans la mobilisation au niveau national des ressources (financières et humaines) pour sa réalisation effective. C est dans la recherche des voies et moyens que le Bénin a eu à soumettre un dossier au Réseau de Métrologie Sanitaire qui a approuvé ce dernier au mois d avril 2006 et lui a accordé les ressources financières nécessaires à la mise en œuvre de ladite évaluation. La particularité de cette approbation est que le SNIGS devra en dehors des outils initialement retenus pour faire son évaluation, se soumettre à l outil du réseau afin que les résultats issus de cette évaluation soit comparés à ceux d autres pays de la sous-région ou de l Afrique qui ont reçu le même appui. L évaluation a été piloté par l équipe du SNIGS du niveau central appuyé par : - un groupe technique d évaluation composé de 17 membres et - un comité de pilotage de l évaluation, mis en place par le ministre de la Santé ; - un Bureau d Appui en Santé Public (BASP 96); - les équipes départementales du SNIGS. II OBJECTIFS DE L EVALUATION 2.1 Objectif général Apprécier objectivement la performance du système actuel face aux besoins d informations des acteurs du secteur de la santé. 2.2 Objectifs spécifiques Recenser les problèmes inhérents au fonctionnement du SNIGS (problèmes rencontrés par les acteurs du système depuis le CSA jusqu au niveau central) ; Comparer la liste du recensement à ceux identifiés aux évaluations antérieures ; Dénombrer les difficultés liées à la fonction statistique par niveau de la pyramide sanitaire ; Apprécier la validité des statistiques collectées dans nos formations sanitaires et utilisées pour la planification et la programmation nationale ; Evaluer la pertinence des informations collectées avec les besoins actuels des responsables du secteur ; Evaluer l adéquation des informations collectées avec les besoins actuels des responsables du secteur ;

4 Apprécier les relations éventuelles qui pourraient exister entre les sous systèmes de surveillance épidémiologique et le SNIGS (pour éviter le double usage tout en gardant un mécanisme de contrôle des données collectées sur le terrain élaboration et adoption d un schéma directeur de l information pour le MSP) ; Apprécier l efficacité des procédures et mécanismes des trois fonctions du système d information actuel : statistiques, Documentation, Recherche opérationnelle ( collecte, traitement, analyse, utilisation, rétro information) [ Points forts, points faibles, progrès accomplis, activités planifiées concourent-elles à l atteintes des objectifs poursuivis? environnement externe du SNIGS contribue t-il à sa bonne évolution : personnel utilisé par niveau? Quelle attention les responsables des entités sanitaires accorde-t-ils à la fonction statistique (évaluation et suivi local des interventions?] Apprécier la motivation du personnel chargé de faire le suivi (les statistiques et la documentation) des activités sur le terrain (promotion, lettre de félicitation, stage, sanctions..etc.) Evaluer le degré de mise en œuvre des recommandations proposées lors de l évaluation de 2000 ; Tirer des conclusions et proposer des actions pour l amélioration du système III - METHODOLOGIE Les travaux de l évaluation ont démarré par une réunion préparatoire qui a réuni tous les acteurs du secteur de la santé à savoir les directions techniques et centrales, le cabinet du ministère, les coordonnateurs des projets et programmes, les partenaires du secteur privé, les partenaires au développement, l Institut National de la Statistique et de l Analyse Economique (INSAE), les chefs services des statistiques des départements de l Atlantique/Littoral et Ouémé/Plateau des directions départementales de la santé (DDS). Cette réunion a retenu : - le principe de l existence d un groupe technique d évaluation et sa composition ; - les objectifs de l évaluation ; - la méthodologie à suivre 3.1 Type d étude L évaluation du Système National d Information et de Gestion Sanitaires (SNGS) édition 2006 est une étude transversale qui s est faite en deux étapes : - une évaluation interne : enquêtes d opinion et d observation ; - une évaluation externe : utilisation de l outil HMN. Enquête avec outil HMN Il s agit d une enquête menée conjointement avec les précédentes dans le but de recueillir auprès des directions techniques et centrales, des structures/organisations partenaires du Ministère de la Santé, des informations au niveau stratégique sur l ensemble du système d information sanitaire du pays. Ces informations concernent notamment la disponibilité des ressources politiques, humaines, matérielles et financières du SIS, les différents indicateurs retenus par les acteurs, les principales sources de données de l information sanitaire, la gestion des données générées, les produits de l information, la dissémination et l utilisation de ces données. 4

5 L outil utilisé à cet effet est celui proposé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) à tous les pays bénéficiant de l appui technique et financier de ce réseau pour l évaluation de leur système d information sanitaire. Cet outil a été adapté au contexte béninois. Ici aussi, le questionnaire a été envoyé aux différentes parties prenantes et structures identifiées. Le taux de retour des fiches remplies est estimé à 75%. 3.2 Sites d enquête L évaluation s est déroulée sur toute l étendue du territoire national, dans les directions départementales de la santé et auprès des institutions étatiques et des institutions partenaires du Ministère de la Santé (voir liste exhaustive en annexe). Vu la complexité et la spécificité des informations requises pour les différentes composantes du questionnaire, les structures devant y répondre ont été identifiées par le groupe technique d évaluation du SNIGS mis en place pour conduire les travaux. Cette identification a été faite sur la base des orientations données dans le document technique du Cadre HMN (Cf. site web). La liste des institutions retenues et visitées se trouve en annexe. 3.3 Difficultés et limites L enquête s est déroulée de façon satisfaisante. Cependant quelques difficultés et limites sont à noter : - La non disponibilité des responsables des institutions partenaires du MS pour le remplissage à temps et effectif de l outil HMN. Ce qui a rallongé le temps de collecte des données au niveau de ces derniers et a nécessité plusieurs relances (téléphoniques, par courrier, etc.. ) L interférence des activités de routine du service a rallongé le calendrier de l évaluation préalablement établi car il y a une insuffisance cruciale de ressources humaines au niveau central. Ceci affaiblit fortement le rendement de l équipe. Ces quelques difficultés n entachent cependant en rien la fiabilité des données recueillies et donc la qualité du travail. 3.4 Séminaire de synthèse des résultats de l évaluation Un séminaire de trois jours a été organisé afin de restituer les résultats des enquêtes et procéder à la synthèse des modifications retenues pour les cinq prochaines années. Cet atelier qui a regroupé l ensemble des acteurs du système de santé à différents niveaux (75 personnes), avait pour objectifs spécifiques de : Valider les résultats des enquêtes d opinion, d observation et HMN réalisées sur le SNIGS; Apprécier les différents problèmes du Système relevés par l évaluation; Identifier les causes éventuelles ; Proposer les solutions appropriées aux problèmes relevés; Adopter les nouveaux supports de collecte du Système d Information. 5

6 IV - RESULTATS 1 - Evaluation générale Ce graphique montre que globalement toutes les composantes évaluées par l outil HMN sont présentes dans le système d information du Bénin à divers degré mais ne sont pas toutes adéquates. La composante «indicateurs» est la seule à être présente et adéquate quoique la qualité desdits indicateurs est gravement menacé car liée à la qualité des données collectées. L enquête d observation menée dans les formations sanitaires a corroboré cet état de chose. Graphique 1 : Evaluation générale Dissémination et utilisation Produits de l'information Gestion des données Sources de données Indicateurs Ressources Not functional Not adequate at all Present but not adequate Adequate Highly 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 2 - Evaluation des ressources du SIS Cette composante comprend : - le contexte juridique réglementaire et de planification dans lequel l information sanitaire est générée et utilisée (définition de mécanisme, disponibilité des données, qualité des données) ; - les institutions et les ressources humaines déployées dans la collecte, l enregistrement et l analyse des données sanitaires; - les ressources financières (nationale et internationale) utilisées par le SIS pour la collecte, l analyse, l utilisation et la dissémination des données ; - les infrastructures concernent : les ordinateurs, les logiciels d exploitation, l accès à Internet,les bases de données et les moyens de transmission de l information en garantissant la qualité des données Cette composante est jugée globalement non adéquate (score de 52%) dans tous ses éléments (items). Ceci veut dire que l on ne donne pas encore au système d information les moyens qu il faut pour être performant :

7 politique en matière d information sanitaire et plan de développement du SIS conforme aux normes sont inexistants ; Insuffisance de ressources humaines (statisticiens, personnels de santé dévoués à la collecte, à l enregistrement et à l analyse des données), de ressources financières et matérielles (à tous les niveaux de la pyramide sanitaire) ; Logiciels spécifiques d exploitation des données disponibles (logisnigs et logihosp), bases de données statistiques disponibles jusqu au niveau zone sanitaire (niveau central, niveau départemental, niveau zone sanitaire) ; Matériel informatique vétuste, insuffisant et inadéquat (niveau départemental et zones sanitaires), la transmission des données se fait encore par disquette 3 pouce ¼ Absence d accès à Internet pour tout le système d information ; Accès téléphonique du niveau central limité à la ville de Cotonou. Tableau 1 : Les ressources du SIS Résumé Politique et planification Institutions, ressources humaines et financement du SIS Infrastructures du SIS Ensemble Résultats Not adequate Not adequate Not adequate Not adequate 3 - Evaluation des indicateurs Cette composante comprend : - identification des indicateurs clés du SIS; - fréquence de parution (publication) ; - méthode de calcul utilisée ; - Inclusion des OMD à la liste nationale ; - Ventilation des indicateurs (sexe, âge, statut socio-économique, situation géographique, ethnie) Elle est jugée adéquate (score de 75%) : ce qui veut dire que les indicateurs clés sur lesquels le système d information sanitaire doit rendre compte régulièrement sont bien identifiés et les méthodes de mesures également sont correctes. Aussi les définitions des indicateurs sont conformes aux normes techniques internationales. Toutefois, si l on se réfère aux résultats de l enquête d observation, la qualité de ces indicateurs régresse car liée intimement à la qualité des données collectées. Tableau 2 : Les indicateurs Résumé Indicateurrs Résultat Adequate 4 - Evaluation des Sources de données Cette composante porte sur : - le recensement effectué au moins tous les 10 ans et les résultats disponibles au plus tard 2 ans plus tard ; - les statistiques de l état civil (naissances et décès par âge et sexe et causes de décès) ; 7

8 - les enquêtes sur un échantillon représentatif de la population (EDS et autres enquêtes réalisées par l INSAE) ; - les informations basées sur les services de santé (données sur la morbidité, mortalité, types de services offerts, médicaments, disponibilité et qualité des services) ; - Comptes nationaux de la santé Les critères utilisés sont : contenu, capacités et pratiques, Intégration, dissémination et utilisation En dehors des statistiques de l Etat Civil (score 43%) qui sont inadéquates, tous les autres items sont à un niveau correct d évolution (entre 60% et 78%).Ce qui veut dire que les recensements et les enquêtes ménages menées par l INSAE sont de bonne qualité (normes internationales suivies). Pour les données des services de santé (score de 77%) et Health and diseases records = Données sanitaires et registres des maladies (score de 65%), toutes les rubriques sont adéquates. En effet, le système de surveillance épidémiologique au niveau du SNIGS fonctionne bien mais l utilisation de ces données pour la prise de décision dans toute la pyramide sanitaire est faible parfois nulle (Cf. résultats enquête d observation). De plus pour les donnés des services de santé, il y a un problème sur la couverture des structures sanitaires du secteur privé libéral. Graphique 2 : Evaluation des Sources de données A. Recensement B. Statistiques de l'etat civil C. Enquêtes dans la population D. Health & diseases records E. Données des services de santé F. Données administratives Not functional Not adequate at all Present but not adequate Adequate Highl 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 5 - Evaluation de la gestion des données Cette composante porte sur : a. la disponibilité de banque de données électronique centralisée provenant de tous les producteurs mais accessible par Internet ; b. l adhésion aux normes de définitions et de méthode ; 8

9 c. Existence d un forum pour discuter et comprendre les incohérences au niveau des données ; d. Comparaison des données obtenues avec celles obtenues dans d autres systèmes. Cette composante est jugée adéquate (score de 66%) : effectivement, le SNIGS dispose des bases de données aux niveaux central, départemental et certaines zones sanitaires. Ces bases sont sous forme électronique mais on ne peut pas y accéder par Internet actuellement. Il existe une définition de cas pour les données qui s y trouvent et une méthode de collecte standardisée. Il est institué pour les acteurs: - de la surveillance épidémiologique, des réunions trimestrielles ; - du système de routine (équipe départementales et zones sanitaires) des séances annuelles avec l équipe SNIGS Central pour valider ces données et discuter des incohérences. Pour être objectif, la séance annuelle du niveau central est insuffisante et par conséquent sans effet sur l amélioration escomptée sur les données départementales. Tableau 3 : Gestion des données Résumé Gestion des données Résultat Adequate 6 - Evaluation des produits de l information Cette composante évalue la qualité des indicateurs produits par le système (un nombre minimal est donné dans le support) en se fondant sur un certain nombre de critères que sont : a. actualité (délai) ; b. périodicité ; c. cohérence/exhaustivité ; d. représentativité ; e. désagrégation ; f. méthode d estimation et techniques statistiques utilisées Cette composante est jugée «présente mais non adéquate». Hormis l information concernant la mortalité, les autres produits de l information sont jugés inadéquats : - Qualité générale des indicateurs: 52% - Situation sanitaire: 56% - Système de santé: 51% Cette inadéquation semble être confirmée par les résultats de l enquête d observation : - Des incohérences dans les données collectées (mauvaise qualité), - Inobservance des périodicités définies (délais de transmission non respectés), - Non intégration des formations sanitaires du secteur privé libéral au SNIGS Le SNIGS a un grand problème au niveau des produits de l information car même si les données sont régulièrement collectées, il y a une mauvaise qualité des indicateurs qui en résultent (Cf. Résumé des résultats de l outil HMN). Un grand effort reste à consentir par tous les acteurs du système si l on ne veut pas remettre en cause voire perdre les traditionnels acquis du SNIGS 9

10 Graphique 3 : Evaluation produits de l information Selection d'indicateurs et résultats Qualité générale des indicateurs de santé Mortalité Facteurs de risque Système de santé Situation sanitaire Not functional Not adequate at all Present but not adequate Adequate Highly adequa 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 Graphique 4 : Qualité de l information sanitaire Evaluation générale des résultats Méthode d'estimation/transparence Critères de classification Représentativité/ Justesse Cohérence/ Totalité Periodicité Opportunité Not functional Not adequate at all Present but not adequate Adequate Highly adequate 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 10

11 7- Evaluation de la dissémination et de l utilisation de l Information Cette composante comprend : a. l analyse et l utilisation des informations ; b. la politique et le plaidoyer ; c. la planification et la définition des priorités ; d. l allocation des ressources ; e. la mise en œuvre et action Cette composante est globalement adéquate bien que la mise en œuvre et l action à partir de l information disponible dans le SNIS soit présente mais non adéquate. En effet si l on se réfère aux résultats des enquêtes d observation à différents niveaux de la pyramide sanitaire, on constate que très peu d acteurs (gestionnaires/prestataires de soins) analysent les données collectées. Donc les actions planifiées au niveau macro et micro prennent très peu appui sur les statistiques collectées et validées. V CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS La quatrième évaluation du Système Nationale d Information Sanitaire a eu lieu six ans après la troisième qui s est déroulée en Le SNIS a subi une double évaluation compte tenu du contexte : - une évaluation interne qui a utilisé les outils traditionnellement appliqués aux évaluations antérieures avec quelques améliorations compte tenue de l évolution subie par le système de santé ; - une évaluation externe qui a utilisé les supports (questionnaires et outils d analyse des données) du Réseau de Métrologie Sanitaire auquel le SNIGS a adhéré depuis L évaluation interne a prospecté toute la pyramide sanitaire depuis le niveau central jusqu au niveau périphérique alors que l évaluation externe a inspecté le niveau macro c est-à-dire central, intermédiaire et partenaires. Les résultats issus des deux types d évaluations sont concordants bien que les outils soient différents. Les problèmes révélés au niveau de l enquête HMN ont tous été confirmés et explicités par les déclarations et observations faites par les formations sanitaires. Les problèmes relevés : 1. Insuffisance de Ressources Humaines (statisticiens, personnels de santé dévoués à la collecte, à l enregistrement et à l analyse des données), de Ressources Financières et matérielles allouées à la fonction statistique sanitaire à tous les niveaux de la pyramide sanitaire ; 2. Matériel informatique vétuste, insuffisant et inadéquat ; 3. Absence de NTIC dans le SNIS (transmission des données se fait encore par disquette 3 pouce ¼) ; 4. Erreurs de remplissage enregistrées sur tous les supports de données (gestion, surveillance épidémiologique, santé maternelle et infantile); 5. Distorsion variable notée selon la catégorie du support de notification : non fiabilité des données collectées; 6. Mauvaise qualité des données collectées et transmises à la hiérarchie : les enquêtes d observation directe (évaluation interne) ont montré des incohérences dans les données collectées, inobservance des périodicités définies, non intégration de toutes les formations sanitaires du secteur privé libéral au SNIGS (niveau local) 11

12 7. Faible utilisation des informations collectées par les acteurs (gestionnaires/prestataires) pour la gestion, la planification et le suivi du fonctionnement des services de santé ; 8. la non fonctionnalité de l Etat civil au Bénin Eu égard donc à tout ce qui précède, les recommandations suivantes ont été formulées par les acteurs du système (point des participants au séminaire de validation des résultats de l évaluation): Rendre disponible l information sanitaire sur le site Web du Ministère et l actualiser Connecter toutes les équipes SNIGS des DDS au réseau Internet Demander aux ZS d inscrire dans leur plan d action la Formation/Recyclage des agents chargés de la collecte des données statistiques ; Affecter d avantage de ressources à la supervision à tous les niveaux de la pyramide sanitaire ; Élaborer un guide de supervision et de contrôle de la qualité des données à chaque niveau de la pyramide sanitaire ; Élaborer un document cadre d évaluation du SNIGS ; Réglementer le cadre de concertation et de validation des données provenant du SNIGS et des soussystèmes (Programmes/Projets) ; Accroître les ressources allouées au SNIGS pour son renforcement ; Élaborer un projet d appui au SNIGS ; Instruire les différents niveaux pour la mise en œuvre des résolutions qui leurs reviennent et le respect du délai d exécution ; Organiser à chaque niveau des séances périodiques de validations des données. 12

13 ANNEXE 1 : Liste des structures proposées par item pour recevoir et remplir le questionnaire HMN dans le cadre de la 4 ème évaluation du SNIGS Item I Ressources DNPS DH DPP/CSE DSF PNLP PNLS PNT DDSP SEPS ET SPPS DRH DNPEV SGM DPP ITEM II INDICATUERS DNPS/SESS DH DPP/CSE DDS/SEPS-SPPS DNPEV HZ BM OMS UNICEF COOP SUISSE UE STPAS OCS INSAE SGM DPP ITEM III SOURCES DE DONNEES INSAE DNPEV DNPS DSF D/CHD UNFPA CEFORP OCS PNLP PNLS PNT DDS/SEPS ET SPPS DRH DPP/SESP MCZS ITEM IV GESTION DES DONNEES DNPEV DNPS DDS/SEPS ITEM V PRODUIT D INFORMATION DRFM DRH INSAE PNLS DHAB DNPEV DNPS ITEM VI DESTINATION ET UTILISATION DES DONNEES DPP/SSD DDS/SEPS DNPEV DNPS SGM INSAE DPP/SP DRFM CHD Président de l Organe Paritaire de concertation Privée Public (le mettre partout) 13

14 ANNEXE 2 : COMPOSITION DU GROUPE I : Diagnostic du système Président : Mme DEGLA Eugénie CTQS/MS Rapporteur : Dr ADJAGBA Mahouna Médecin ZS/Cotonou IV Facilitateurs : CAPO-CHICHI Fortuné CA/SSDDPP/MS CODO Estelle MédecinBASP 96 Membres: - NOUTANGNI Jean Paul Administrateur GRH-DDS/Z-C - WHANNOU Stanislas TS/ Action Culturelle SGM/MS - GUEDOU Charles Juste Planificateur SP/DPP - DOHINNON Paul Documentaliste SSD/DPP - AGOSSOU Jean Statisticien DDS Atl/Lit - SAGBOHAN M. Auguste Economiste DPP - DOSSOUVI B. Julienne Administrateur des Hôpitaux DH/MS - AHANHANZO Césaire Statisticien AMP - TOSSE Valentin Spécialiste SIS/GPPISAF/USAID - OGOUBIYI F. Viviane Médecin C/SPPSDDS Atl/Lit COMPOSITION DU GROUPE II : RESSOURCES DU SYSTEME Président : Mr DADY Benjamin Rapporteur : BABADJIHOU Clément Facilitateur : ZOUNTCHEME Serge Membres : - AKPLO Claire - TONOUKOUEN Léopold - TOKOU Hyacinthe - ALLOWAH Rémi - AMOUSSOU Raymond - KOUKOUI Nestor - ZOUNTCHEGNON Léa - HOUNTONDJI Léandre - DOSSOU Félicien - HOUNSA Adrien - SODABI G. Nicolas - AINADOU Henri Claude - HOUETO Gbèdonou Composition du groupe 3 : Surveillance épidémiologique Président : Dr IBRAHIMA Idrissou Rapporteur : ALOMA Théodore Facilitateur : DJODJO K. Cosme - CISSE Ibrahim - OGOUDELE Sylvain - Pr GNINAFON Martin - KOUDOUKPO Spéro - TANGNI Ignace - NOUNAWON Ernest - GANDIGBE Armand - HOUNSOU François 14

15 - BALOGOUN Amour - ANAGONOU Guy - MINAFLINOU Julien - EZIN Espédit - GANVOEDO Clément - Dr GBESSI Gaspard COMPOSITION DU GROUPE IV : SANTE MATERNELLE ET INFANTILE Président : TOKPLONOU Evariste Secrétaire : SAGBO S. Ospice Martelle Facilitateur : PADONOU Victor Membres : GAYON Symphorose HOUNDEGANME Arnaud TOUMOUDAGOU Ouimpabo QUENUM Alban NAGO Marie Rose ACCLASSATO Louise Sidonie TOKPLONOU Evariste ZANNOU Alexis Traoré Esther GNANVI Grégoire CHITOU Abdou Moudjibi TOGONOU Hippolyte 15

16 SSD/DPP/MS 06 BP 1158 Cotonou BENIN TERMES DE REFERENCE DES GROUPES Atelier de synthèse de la 4è évaluation du SNIGS 16

17 GROUPE N 1 : DIAGNOSTIC DU SYSTEME D INFORMATION A. Analyse des faiblesses du système En vous servant des conclusions, des résultats des différentes enquêtes (opinion, observation, HMN) et des principales idées développées en plénière sur le fonctionnement du SNIGS, il vous est demandé : d énumérer les principaux problèmes liés à la qualité des données collectées par le SNIGS ; d en dégager les causes ou les explications ; de proposer des approches de solutions et des actions à mener durant les cinq (5) prochaines années ; de définir et de clarifier les relations fonctionnelles du SNIGS avec la CSE, les autres services de la DPP, les programmes, projets et les autres directions ; de proposer des recommandations. B. Atouts et acquis du système 1. Faire la synthèse des atouts et acquis du système ; Proposer des actions de sauvegarde et d amélioration de ces atouts et acquis ; Proposer des recommandations. C. Définition des nouveaux objectifs En vous basant sur les objectifs du SNIGS tels que fixés à l évaluation de 2000 et au regard de problèmes actuels relevés plus haut, redéfinir, reformuler ou reconduire selon le cas aux niveaux central et intermédiaire : 1. l objectif général pour les cinq prochaines années ; 2. les objectifs spécifiques D. Composition du groupe Niveau central Niveau intermédiaire Niveau périphérique Partenaires - DAPP - C/SSD - C/CSE - C/SESP - SGM - DC - Paul DOHINNON - DDZS - DIEM - C/SRH Zou - C/SAF Ouémé - C/SEPS Ouémé - C/SPPS Ouémé - Statisticien SEPS Atlantique - MCZ Cotonou 4 - OMS (DPC) - PISAF - AMP - OPP - IRSP - UGFM - Union Européenne Facilitateurs: Dr Estelle CODO et M. Fortuné CAPO-CHICHI 17

18 GROUPE N 2 : Gestion des ressources du secteur A. Analyse des faiblesses du système En vous servant des conclusions, des résultats des différentes enquêtes (opinion, observation, HMN), il vous est demandé : 1. de donner des explications aux différents problèmes observés sur la qualité, la transmission et l utilisation des données collectées actuellement par le SNIGS pour les supports de gestion (série A) ; 2. d en dégager les causes ; 3. de proposer des solutions et des actions à mettre en œuvre aux niveaux central (MS et SSD/DPP), intermédiaire (DDS et SEPS-SPPS) et opérationnel (ZS et CS). B. Modification des supports de gestion En vous basant sur les tableaux de synthèse des différents avis sur les supports de collecte, proposer pour les cinq (5) prochaines années : 1. les supports à garder, à modifier ou à sortir du système ; 2. enregistrer concomitamment lesdites modifications sans pour autant alourdir le support ; 3. statuer sur le circuit de l information pour ces supports depuis la périphérie jusqu au niveau central ; 4. En vous servant de la liste des indicateurs de suivi de performance du secteur, dégager les indicateurs à retenir pour le tableau de bord au niveau : Centre de santé ZS DDS C. Gestion de nouveaux besoins entre deux évaluations La période moyenne entre 2 évaluations est de 4 à 5 ans, le constat est que de nouveaux besoins sont exprimés par les partenaires qui déploient directement sur le terrain des supports spécifiques. Il vous est demandé ici de : Proposer et Adopter une procédure de prise en compte des nouveaux besoins (introduction des supports autres que le SNIGS) dans les formations sanitaires. D. Composition du groupe Niveau central Niveau intermédiaire Niveau périphérique Partenaires - C/SCCT - C/SCM - C/SP - DRFM - DRH - DPM - DA/CAME - Félicien DOSSOU - C/SAF Zou - C/SAF Atlantique - C/SRH Ouémé - C/SRH Atlantique - MCZ Aplahoué - CREDESA - 8è FED - PSI - Banque Mondiale - Coopération Suisse - Ordre des Pharmaciens Facilitateur: M. Serge ZOUNTCHEME 18

19 GROUPE N 3 : Surveillance épidémiologique A. Analyse des faiblesses du système En vous servant des conclusions, des résultats des différentes enquêtes (opinion, observation, HMN), il vous est demandé : 1. de donner des explications aux différents problèmes observés sur la qualité, la transmission et l utilisation des données collectées actuellement par le SNIGS pour les supports de surveillance (type B); 2. d en dégager les causes ; 3. de proposer des solutions et des actions à mettre en œuvre aux niveaux central (MS et SSD/DPP), intermédiaire (DDS et SEPS-SPPS) et opérationnel (ZS et CS). B. Modification des supports de surveillance En vous basant sur les tableaux de synthèse des différents avis sur les supports de collecte, les documents de l atelier d Abomey, proposer pour les cinq (5) prochaines années : 1. les supports à garder, à modifier ou à sortir du système ; 2. enregistrer concomitamment lesdites modifications sans pour autant alourdir le support ; 3. statuer sur le circuit de l information pour ces supports depuis la périphérie jusqu au niveau central ; 4. En vous servant de la liste des indicateurs de suivi de performance du secteur, dégager les indicateurs à retenir pour le tableau de bord au niveau : Centre de santé ZS DDS C. Gestion de nouveaux besoins entre deux évaluations La période moyenne entre 2 évaluations est de 4 à 5 ans, le constat est que de nouveaux besoins sont exprimés par les partenaires qui déploient directement sur le terrain des supports spécifiques. Il vous est demandé ici de : Proposer et Adopter une procédure de prise en compte des nouveaux besoins (introduction des supports autres que le SNIGS) dans les formations sanitaires. D. Composition du groupe Niveau central Niveau intermédiaire Niveau périphérique Partenaires - Ibrahim CISSE - DNPS - DNPS- C/SESS - DNPS-C/SHMNT - Statisticien PNLS - Statisticien PNT - Statisticien PNLP - D/CNHU - DSIO - DRS - DEDTS - Statisticien SEPS Ouémé - Statisticien SEPS Mono - C/SEPS Atlantique - C/SPPS Atlantique - C/SPPS Borgou - OMS (Conseiller MAL) - AMCESS - PASEI2 - Ordre des Médecins - Ordre des Infirmiers Facilitateur: M. Cosme DJODJO 19

20 GROUPE N 4 : Santé Maternelle et Infantile A. Analyse des faiblesses du système En vous servant des conclusions, des résultats des différentes enquêtes (opinion, observation, HMN), il vous est demandé : 1. de donner des explications aux différents problèmes observés sur la qualité, la transmission et l utilisation des données collectées actuellement par le SNIGS pour les supports SMI (registre de décompte SMI, C6, C7, C8, C9, C10, C11) ; 2. d en dégager les causes ; 3. de proposer des solutions et des actions à mettre en œuvre aux niveaux central (MS et SSD/DPP), intermédiaire (DDS et SEPS-SPPS) et opérationnel (ZS et CS). B. Modification des supports de surveillance En vous basant sur les tableaux de synthèse des différents avis sur les supports de collecte, proposer pour les cinq (5) prochaines années : 1. les supports à garder, à modifier ou à sortir du système ; 2. enregistrer concomitamment lesdites modifications sans pour autant alourdir le support ; 3. statuer sur le circuit de l information pour ces supports depuis la périphérie jusqu au niveau central ; 4. En vous servant de la liste des indicateurs de suivi de performance du secteur, dégager les indicateurs à retenir pour le tableau de bord au niveau : Centre de santé ZS DDS C. Gestion de nouveaux besoins entre deux évaluations La période moyenne entre 2 évaluations est de 4 à 5 ans, le constat est que de nouveaux besoins sont exprimés par les partenaires qui déploient directement sur le terrain des supports spécifiques. Il vous est demandé ici de : Proposer et Adopter une procédure de prise en compte des nouveaux besoins (introduction des supports autres que le SNIGS) dans les formations sanitaires. D. Composition du groupe Niveau central Niveau intermédiaire Niveau périphérique Partenaires - Symphorose GAYON - DPP - DSF - DNPEV - DNPEV-C/SVAC - DAC - Conseiller Technique - Juste GUEDOU - Statisticien SEPS Borgou - C/SEPS Atacora - C/SEPS Zou - Statisticien SEPS Zou - Statisticien SEPS Atacora - C/SEPS Mono - UNICEF - OMS (Conseiller Santé Familiale) - DG/INSAE - UNFPA Facilitateur: M. Victor PADONOU 20

PREAMBULE. Cet atelier s est articulé sur quatre points essentiels à savoir :

PREAMBULE. Cet atelier s est articulé sur quatre points essentiels à savoir : PREAMBULE Le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) est un partenaire mondial qui s efforce d améliorer la qualité de l information sanitaire à l échelon national et international. Au mois de juin 2006,

Plus en détail

BILAN D EXECUTION AU 30 NOVEMBRE DU PTA 2013 DE LA DDS MONO/COUFFO

BILAN D EXECUTION AU 30 NOVEMBRE DU PTA 2013 DE LA DDS MONO/COUFFO BILAN D EXECUTION AU 30 NOVEMBRE DU PTA 2013 DE LA DDS MONO/COUFFO Plan de présentation Introduction Présentation du PTA 2013 de la DDS Mono/Couffo Bilan physique d activités Bilan financier d activités

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS. Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA

DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS. Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA Plan de présentation Introduction Etat des lieux du secteur Stratégies

Plus en détail

REPUBLIQUE DU BENIN ********* MINISTERE DE LA SANTE ********* Mars 2010

REPUBLIQUE DU BENIN ********* MINISTERE DE LA SANTE ********* Mars 2010 REPUBLIQUE DU BENIN ********* MINISTERE DE LA SANTE ********* DIRECTIVES NATIONALES EN MATIERE DE MONITORING DES INTERVENTIONS DE SANTE Mars 2010 1 Sommaire Liste des tableaux et figures... 4 Abréviations,

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Activité n 8.2.5 du PAA 2014

Activité n 8.2.5 du PAA 2014 République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la

Plus en détail

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION 1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

REPUBLIQUE DU BURUNDI MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA

REPUBLIQUE DU BURUNDI MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA REPUBLIQUE DU BURUNDI MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA PLAN STRATEGIQUE DU SYSTEME NATIONAL D INFORMATION SANITAIRE 2011-2015 1 AVANT PROPOS Le Gouvernement du Burundi s est

Plus en détail

PROJET D APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SYSYEME DE SANTE (PADS)

PROJET D APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SYSYEME DE SANTE (PADS) FONDS AFRICAIN DE DEVELOPPEMENT Langue: Français Original: Français RAPPORT D EVALUATION PROJET D APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SYSYEME DE SANTE (PADS) REPUBLIQUE DU BENIN DEPARTEMENT DU DEVELOPPEMENT SOCIAL

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais

Plus en détail

Monitoring et Amélioration de la Performance: Manuel et Guide de Formation

Monitoring et Amélioration de la Performance: Manuel et Guide de Formation Monitoring et Amélioration de la Performance: Manuel et Guide de Formation Issakha Diallo, Elvira Beracochea, Armand Utshudi June 2005 This report was made possible through support provided by the US Agency

Plus en détail

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO

Plus en détail

ET DE L HYGIENE PUBLIQUE

ET DE L HYGIENE PUBLIQUE MINISTERE DE LA SANTE ET DE L HYGIENE PUBLIQUE REPUBLIQUE DE COTE D IVOIRE Union- Discipline- Travail 1/163 Table des matières Liste des acronymes...4 Liste des Tableaux...6 Liste des Figures...6 Remerciements...7

Plus en détail

C est quoi le District Health Information Software 2?

C est quoi le District Health Information Software 2? Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera

Plus en détail

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION Lutte contre le VIH, la tuberculose, le paludisme et renforcement des systèmes de santé et des systèmes communautaires Partie 1 : Exigences du système de suivi et d évaluation

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

LE MINISTRE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE, la loi n 90-032 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin ;

LE MINISTRE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE, la loi n 90-032 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin ; REPUBLIQUE DU BENIN -------o------- MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -------o------- LE MINISTRE -------o------- A R R E T E ANNEE 2013 N /MAEP/DC/SGM/DRH/DIP/SA PORTANT ATTRIBUTIONS,

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Plan de Suivi-Evaluation du Programme National de Lutte contre le Paludisme 2011 2015

Plan de Suivi-Evaluation du Programme National de Lutte contre le Paludisme 2011 2015 REPUBLIQUE DU BENIN ---------- MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION NATIONALE DE LA SANTE PUBLIQUE ---------- PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME Plan de Suivi-Evaluation du Programme

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

ECHO ACD UNICEF TCHAD

ECHO ACD UNICEF TCHAD N 004 - Mars 2015 Points saillants : Évaluation de la Gestion Efficace des Vaccins au Tchad - Mai 2015 Tenue de la deuxième téléconférence de suivi de la mise en œuvre des activités PEV/ACD Renforcement

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE

DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre

Plus en détail

LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL

LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Cellule d Appui à la Couverture maladie Universelle LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL Par:

Plus en détail

TOUS !"#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!"$& #!"$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013

TOUS !#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!$& #!$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013 RAPPORTS THEMATIQUES 2013 - OMD 1 ELIMINER L EXTRÊME PAUVRETE ET LA FAIM RAPPORT NATIONAL TOUS ENSEMBLE Union des Comores! " # $ % & ' & () *!"#$%&'"$%()'*+," Le gouvernement de l Union des Comores et

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES Analyse et synthèse des résultats Etude organisée par le service Etudes du CIFODECOM 1. INTRODUCTION 2. OBJETIF DE L ETUDE

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

Cadre et Structures Organiques

Cadre et Structures Organiques 1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et

Plus en détail

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE COMMISSION DE VERIFICATION DES COMPTES DU CONSEIL EXECUTIF Septième réunion Point 2.1 de l ordre du jour provisoire EBAC7/2 30 décembre 2002 Etat de la mise en oeuvre

Plus en détail

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5 Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la

Plus en détail

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ; CHEF DE L'ETAT ; CHEF DU GOUVERNEMENT ;

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ; CHEF DE L'ETAT ; CHEF DU GOUVERNEMENT ; DECRET N 2001-095 DU 20 FEVRIER 2001 PORTANT CREATION, ATTRIBUTIONS, ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DES CELLULES ENVIRONNEMENTALES EN REPUBLIQUE DU BENIN LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ; CHEF DE L'ETAT

Plus en détail

GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE

GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04

Plus en détail

Cartographie Stratégique du Programme National de Planification Familiale au Bénin

Cartographie Stratégique du Programme National de Planification Familiale au Bénin 4301 N. Fairfax Drive, Suite 400 Arlington, VA 22203 Tel: (703) 310-3500 Fax: (703) 524-7898 www.advanceafrica.org Expanding family planning and reproductive health services in Africa Cartographie Stratégique

Plus en détail

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Annexe E Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Pour une gestion orientée vers l'impact Guide pratique de S&E des projets Table des matières

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

DIRECTIVES NATIONALES POUR LA PROMOTION DE LA SANTE AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE.

DIRECTIVES NATIONALES POUR LA PROMOTION DE LA SANTE AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE. REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA SANTE DIRECTION NATIONALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTIVES NATIONALES POUR LA PROMOTION DE LA SANTE AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE. Mars 2010 1 TABLE DES MATIERES SOMMAIRE...

Plus en détail

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Réactualisation - novembre 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. :

Plus en détail

resultats EVALUATION PLANIFICATION FAMILIALE Plan stratégique national à vision multisectorielle Elaborée en Octobre 2014 Les 6 Sous-Objectifs

resultats EVALUATION PLANIFICATION FAMILIALE Plan stratégique national à vision multisectorielle Elaborée en Octobre 2014 Les 6 Sous-Objectifs EVALUATION EVALUATION DU PLAN DU PLAN DES DES RESULTATS 2014 POUR LA LA MISE MISE EN EN OEUVRE OEUVRE DU PNSPF DU PNSPF 2014-2020 2014-2020 Elaborée en Octobre 2014 Design by Grace NZOLO REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE

Plus en détail

REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010

REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer

Plus en détail

LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE, DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE, DE LA RECONVERSION ET DE L'INSERTION DES JEUNES

LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE, DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE, DE LA RECONVERSION ET DE L'INSERTION DES JEUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE, DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE, DE LA RECONVERSION ET DE L'INSERTION DES JEUNES CABINET DU MINISTRE ARRETE ANNEE2013w336 IMESFT~StDI%A

Plus en détail

Sécurité, Ressources financières, Réfus de certaines communautés

Sécurité, Ressources financières, Réfus de certaines communautés Objectifs d'ici 2015 Ecarts Stratégies d'intervention Défis disponibles Augmenter la 4 régions non couverture SAA de 5 couvertes à 9 régions sanitaires Analyse de situation, Formation, Equipement, Médicaments

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013)

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) Le générique masculin est utilisé sans discrimination uniquement dans le but d alléger le texte. 1. OBJECTIFS Gérer efficacement

Plus en détail

VÉRIFICATION DES PRÊTS À L AFFECTATION. 31 janvier 2001. Direction de la vérification (SIV)

VÉRIFICATION DES PRÊTS À L AFFECTATION. 31 janvier 2001. Direction de la vérification (SIV) Contenu archivé L'information archivée sur le Web est disponible à des fins de consultation, de recherche ou de tenue de dossiers seulement. Elle n a été ni modifiée ni mise à jour depuis sa date d archivage.

Plus en détail

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise

Plus en détail

EUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED

EUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED EUROPAID/119860/C/SV/multi Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED LOT N 8 DEMANDE N 2009/201619/1 TERMES DE REFERENCE SPECIFIQUES

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA SANTE DU MONO-COUFFO ---------- SERVICE DES ETUDES DE LA PLANIFICATION ET DU SUIVI

MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA SANTE DU MONO-COUFFO ---------- SERVICE DES ETUDES DE LA PLANIFICATION ET DU SUIVI m MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA SANTE DU MONO-COUFFO ---------- SERVICE DES ETUDES DE LA PLANIFICATION ET DU SUIVI RAPPORT AUTO EVALUATION 2010 Février 2011 Rapport d'auto

Plus en détail

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION

ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION RESEAU DE FORMATION A LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L INFECTION VIH PEDIATRIQUE EN AFRIQUE FRANCOPHONE Référence : 12INI202 Porteur de projet : GIP ESTHER Membre(s)

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES

SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES PLATEFORME DE PAYS POUR L INFORMATION ET LA REDEVABILITE + Related Initiatives Plateforme de pays pour l information et la redevabilité A

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

I partie : diagnostic et proposition de solutions

I partie : diagnostic et proposition de solutions Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu

Plus en détail

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DE LA CHAINE D APPROVISIONNEMENT DES PRODUITS DE SANTE EN AFRIQUE DE L OUEST

LA PROFESSIONNALISATION DE LA CHAINE D APPROVISIONNEMENT DES PRODUITS DE SANTE EN AFRIQUE DE L OUEST LA PROFESSIONNALISATION DE LA CHAINE D APPROVISIONNEMENT DES PRODUITS DE SANTE EN AFRIQUE DE L OUEST Une formation au métier de Logisticien de Santé RAPPORT PRELIMINAIRE JUILLET 2012 Enquête réalisée par

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

Les mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante :

Les mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante : CIRCULAIRE AD 94-2 DU 18 JANVIER 1994 Tri et conservation des archives des établissements publics de santé : documents produits après 1968 par les services administratifs chargés de la gestion des hospitalisations

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

d évaluation Objectifs Processus d élaboration

d évaluation Objectifs Processus d élaboration Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner

Plus en détail

Politique numéro 42 POLITIQUE DE GESTION DOCUMENTAIRE

Politique numéro 42 POLITIQUE DE GESTION DOCUMENTAIRE COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL MARIE-VICTORIN Politique numéro 42 POLITIQUE DE GESTION DOCUMENTAIRE Adoptée le 24-avril 2013 CA-13-184-1536 L usage du genre masculin inclut le genre féminin;

Plus en détail

LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL

LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL 3 Démarche méthodologique La réalisation de la présente étude a connu les étapes suivantes: LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL L équipe de consultants ayant réalisé l étude est pluridisciplinaire :

Plus en détail

1 Présentation de l Apur 2. 2 Contexte général du projet 3. 3 Prestation attendue 4

1 Présentation de l Apur 2. 2 Contexte général du projet 3. 3 Prestation attendue 4 APUR.2015.1 Cahier des charges d appel à concurrence Accompagnement de la mise en place d outils de formulaires et de gestion électronique des processus métiers (workflow) avec le logiciel K2 autour d

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

ATELIER DE CONCEPTION DE L ENQUETE MICS Organisé par UNICEF WCARO Hotel Palm Beach, Saly, Sénégal 5 11 Juin, 2014 AGENDA

ATELIER DE CONCEPTION DE L ENQUETE MICS Organisé par UNICEF WCARO Hotel Palm Beach, Saly, Sénégal 5 11 Juin, 2014 AGENDA Résultats attendus de l atelier : ATELIER DE CONCEPTION DE L ENQUETE Organisé par UNICEF WCARO Hotel Palm Beach, Saly, Sénégal 5 11 Juin, 2014 AGENDA Renforcements des compétences du staff UNICEF, des

Plus en détail

VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations PREPARE ET PROPOSE PAR :

VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations PREPARE ET PROPOSE PAR : VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations TITRE DU PROJET : Système d Information PREPARE ET PROPOSE PAR : Marcelin Paul Feguns, Ing Sergo Louis

Plus en détail

Elaboration de tableaux de bord sur l emploi (éditions 2011, 2012 et 2013)

Elaboration de tableaux de bord sur l emploi (éditions 2011, 2012 et 2013) REPUBLIQUE DU BENIN = + = + = + = MINISTERE CHARGE DE LA MICROFINANCE, DE L EMPLOI DES JEUNES ET DES FEMMES (MCMEJF) = + = + = + = + = Agence Nationale Pour l Emploi (ANPE) = + = + = + = TERMES DE REFERENCE

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,

Plus en détail

CONTRIBUTIONS DES MUTUELLES DE SANTE AUX ACTIVITES DE VACCINATION DE ROUTINE DANS LE DISTRICT DE TONE TOGO : ETUDE CAS TEMOIN

CONTRIBUTIONS DES MUTUELLES DE SANTE AUX ACTIVITES DE VACCINATION DE ROUTINE DANS LE DISTRICT DE TONE TOGO : ETUDE CAS TEMOIN CONTRIBUTIONS DES MUTUELLES DE SANTE AUX ACTIVITES DE VACCINATION DE ROUTINE DANS LE DISTRICT DE TONE TOGO : ETUDE CAS TEMOIN Mémoire de recherche opérationnelle EPIVAC 2009 Présenté par Dr MAKAWA Makawa-Sy

Plus en détail

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 1468. CRÉDIT MUTUEL (29 juin 1987) AVENANT DU 24 SEPTEMBRE

Plus en détail

STAGE DE FORMATION ET DE RECYCLAGE SUR LES TECHNIQUES DOCUMENTAIRES ET LA GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS. Organisé par

STAGE DE FORMATION ET DE RECYCLAGE SUR LES TECHNIQUES DOCUMENTAIRES ET LA GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS. Organisé par NOM DE VOTRE INSTITUTION (Logo de l institution) STAGE DE FORMATION ET DE RECYCLAGE SUR LES TECHNIQUES DOCUMENTAIRES ET LA GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS Organisé par L Association Francophone des

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Evaluation de la Dissémination du Niger. d amélioration des soins obstétricaux et

Evaluation de la Dissémination du Niger. d amélioration des soins obstétricaux et URC/HCI : PROTOCOLE DE RECHERCHE ET D EVALUATION Evaluation de la Dissémination du Niger au Mali des meilleures pratiques de la mise en œuvre du collaboratif d amélioration des soins obstétricaux et néonataux

Plus en détail

Centre International de Recherche et de Développement

Centre International de Recherche et de Développement Centre International de Recherche et de Développement Publication UNGANA 652 CIDR Tous droits de reproduction réservés Eléments de réflexion pour la contractualisation entre une mutuelle de santé et un

Plus en détail

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration

Plus en détail

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES

PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES WHO/CDS/CSR/ISR/2001.2 Distribution: Générale Original: Anglais PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES DIRECTIVES POUR LES ÉQUIPES

Plus en détail

Projet d appui au. capacités en gestion de la santé en Haïti PARC. Objectifs du projet

Projet d appui au. capacités en gestion de la santé en Haïti PARC. Objectifs du projet Projet d appui au renforcement des capacités en gestion de la santé en Haïti PARC Unité de santé internationale Objectifs du projet Le PARC contribue à l amélioration de la gouvernance du système de santé

Plus en détail

1 Informations générales

1 Informations générales PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale

Plus en détail