DOULEUR ET SANTE MENTALE. Moyens d évaluation de la douleur

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1 DOULEUR ET SANTE MENTALE Moyens d évaluation de la douleur en santé mentale 11ème rencontre REMALDO Jeudi 15 Octobre 2015 Docteur Périne BROUSSAUD-BLAMOUTIER CETD Clinique La Sagesse Rennes CH Guillaume Régnier - Rennes

2 INTRODUCTION Formation de psychiatrie adulte avec une expérience en psychiatrie de liaison (intervention auprès de patients hospitalisés pour une pathologie somatique en MCO pour une évaluation psychiatrique demandée par un confrère) Praticien en établissement public de santé mentale, CH Guillaume Régnier à Rennes, depuis plus de 15 ans et présidente du CLUD de l établissement. Psychiatre au sein d une structure douleur depuis plus de 10 ans

3 INTRODUCTION Le concept de santé mentale : aptitude du psychisme à fonctionner de manière harmonieuse et efficace, à pouvoir faire face aux situations éprouvantes de la vie et à retrouver un équilibre émotionnel, cognitif et social satisfaisant. Santé mentale et douleur

4 Les autorités sanitaires reconnaissent 3 dimensions à la santé mentale Santé mentale positive (épanouissement personnel) La détresse psychologique réactionnelle Troubles psychiatriques

5 Pratique au CH Guillaume Régnier Population vulnérable, obligation morale et réglementaire Prise en charge globale Prise en compte du corps Expression de la douleur en fonction des pathologies : - patient communiquant - patient non communiquant

6 Pratique au CH Guillaume Régnier Pré-requis : - Admettre l existence de la douleur, la rechercher au même titre que les autres signes cliniques - Observer le patient - Ecouter et croire - Examiner : - quantifier - qualifier - traiter et réévaluer

7 Pratique au CH Guillaume Régnier (2) Sensibilisation et formation des équipes: - formation douleur physique en santé mentale (plan de formation continue depuis 2011) - action de sensibilisation (journée nationale de la douleur, affiches) - formation à l utilisation du MEOPA - création d une équipe mobile plaies et cicatrisations en mise en place de correspondants douleur en 2014 Information aux patients et/ou familles

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10 Qu est-ce que la douleur? La douleur est une «expérience sensorielle et émotionnelle désagréable liée à une lésion tissulaire existante ou potentiellement décrite en terme évoquant une telle lésion» Les différents types de douleurs : 1 douleur nociceptive 2 douleur neuropathique 3 douleur associée à une maladie psychique 4 douleur provoquée La composante psychologique doit aussi être prise en compte. La douleur n atteint pas que le corps, elle fait souffrir le sujet.

11 Douleurs aiguës Douleurs chroniques Signal d alarme Unifactorielle Anxiété Prise en charge monodisciplinaire Douleur maladie Multifactorielle Destructurante / Dépression Prise en charge multidisciplinaire En général simple Souvent complexe

12 Outils d évaluation Intérêt des échelles : - Bases d évaluation communes, objectivables et reproductibles - Cinétique des échelles Elles doivent être connues, comprises et familières à toute l équipe de soins. Elles restent, malgré tout, insuffisamment utilisées.

13 Elles permettent de débuter la prise en charge de la douleur, mais avant cela, elles sous entendent : - la connaissance des différents mécanismes de survenue de la douleur et ses composantes - un consensus d équipe sur la méthode d évaluation à utiliser pour le même patient - savoir identifier des situations favorisant l apparition de douleurs (prédispositions, facteurs d entretien de la douleur, soins réputés douloureux).

14 Échelles pour les patients dyscommuniquants Qui sont les patients dyscommuniquants? - certaines personnes âgées - certains patients souffrant de psychose - Échelles d hétéro-évaluation : DOLOPLUS ALGOPLUS ECPA EDAAP

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16 Echelles pour les patients communiquants 1 Echelle numérique 2 Echelle verbale simple 3 Echelle visuelle analogique 4 - Echelle des 6 visages est régulièrement utilisée

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18 Echelles pour les patients communiquants L évaluation est complétée par l utilisation du schéma corporel qui permet de localiser la douleur

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20 Pour repérer les douleurs neuropathiques : une autre échelle est disponible, le DN4 (chez l adulte)

21 L évaluation quantitative n est que la première étape. La prise en charge de la douleur ne peut se concevoir qu en pluridisplinaire. Les évaluations des patients dyscommuniquants sont des évaluations comportementales, d observation rigoureuse et bienveillante de la part des soignants mais aussi des proches qui peuvent nous aider à repérer un changement de comportement. L examen clinique est essentiel et revient à nos collègues médecins généralistes dans une démarche étiologique. La proposition d un traitement antalgique adapté, évalué à intervalles réguliers et réadapté en fonction de l évolution clinique.

22 Quelques chiffres EPP d évaluation de la douleur en USLD entre avril 2011 et mai 2013, la traçabilité passe de 0 % à 55 % EPP d évaluation de la douleur en psychiatrie générale, la traçabilité passe, entre 2011 et 2013, de - 15 % à 17, 9 % avec échelle - 30 % à 53 % sans échelle Avec une traçabilité d une mesure de suivi, qui passe entre 2011 et 2013, de - 29 % à 24 % avec échelle - 8 % à 19 % sans échelle

23 Cas cliniques Mr V. hospitalisé au CHGR pour un nouveau PAA violent dans un contexte douloureux aigu, généré par des hallucinations corporelles?

24 CETD-Clinique La Sagesse En Ille et Vilaine, exceptionnellement, 2 Centres d Evaluation et de Traitement de la Douleur (CETD) La structure douleur existe à la Clinique Mutualiste La Sagesse depuis Labellisée UETD en 1998 et CETD en Equipe pluridisciplinaire :10 spécialités médicales et paramédicales File active de patients, consultations médicales et paramédicales par an.

25 Pratique au CETD-Clinique La Sagesse La plainte douloureuse existe, elle est déjà évaluée par le médecin algologue qui demande de compléter l évaluation de la douleur L évaluation préalable a été faite par des outils standardisés : - schéma corporel - intensité de la douleur - liste de mots pour décrire la douleur - échelle de retentissement émotionnel HAD (Hospital Anxiety and Depression scale - échelle de retentissement du comportement quotidien En santé mentale, je parle de la douleur et en douleur, je parle de santé mentale.

26 Pratique au CETD-Clinique La Sagesse A partir du symptôme : accueillir la plainte De la douleur à la personne : accueillir la souffrance - émotions - croyances (existe t il un lien possible entre le psychisme et le corps?) - attentes - stratégies personnelles, comportement De la personne aux relations avec ses proches - le soutien, le rejet, l ambivalence - les évènements familiaux intercurrents - les possibles modèles d identification - les changements de rôles dans le couple, dans la famille Des relations familiales aux relations sociales et professionnelles - relations avec les médecins - lien avec le monde du travail - relation avec les assurances, les experts

27 Cas cliniques Mme G., 51 ans, douleurs et deuil

28 CONCLUSION Les échelles d évaluation nous permettent d aborder la question même de la douleur et signifier au patient que ce symptôme est pris en compte. On a vu qu il était encore nécessaire d insister sur cette évaluation et sa traçabilité, en psychiatrie notamment, là où ces outils ne sont pas encore familiers aux équipes de soins. Ils ne sont pas forcément adaptés à certaines situations cliniques propres à notre spécialité. Les échelles sont aussi une trame pour le suivi, grâce à la cinétique des scores mais aussi un fil rouge entre les différents soignants qui assurent la prise en charge. L outil d évaluation le plus riche reste le soignant lui-même avec son professionnalisme, son empathie et son écoute. Il saura dépasser un chiffre, pour une évaluation plus globale où le sujet, en son entier, sera pris en compte.

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