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1 BULLETIN HYDROLOGIQUE Novembre mai 2015 Contact ARPE : Cécile Bedel bedel.c@arpe-mip.com

2 SOMMAIRE Situation climatique p 4 Réserves p 8 Débits des rivières p 10 Glossaire p 11 2

3 Avant-propos Ce bilan hydrologique couvre la période de novembre 2014 à mai Il s agit d une analyse synthétique de données d ordre quantitatif sur la ressource en eau, recueillies pendant plusieurs mois par l Observatoire Régional de l Eau et des Territoires auprès de la DREAL, des DDT, de la CACG, du BRGM, du SMEAG et de Météo France. Les données qui ont alimenté les travaux de l Observatoire pour réaliser ce bilan sont transmises par tous ces partenaires techniques à des pas de temps différents : l Observatoire a pu suivre les données météorologiques et de débits, quotidiennement (par exemple grâce aux outils de veille de la DREAL auxquels il a accès) ; il a également suivi les impacts de l état de la ressource sur les territoires, au rythme de bulletins d informations qu il recherche ou qu il reçoit automatiquement chaque semaine ou chaque mois. Les liens utiles La veille hydrologique de la DREAL Adour-Garonne : Le suivi de la Garonne par le SMEAG : Les bulletins météorologiques de Météo France : Les bulletins de gestion des eaux et d irrigation de la CACG : 3

4 SITUATION CLIMATIQUE Les conditions météorologiques de la période ont été variables et intenses, entre déficits et excédents de précipitations. Le contraste est particulièrement marqué entre relief et plaine. Décembre janvier février Précipitations mensuelles en mm, Source Météo France Cet hiver en effet, le cumul mensuel de décembre atteint seulement 33 mm à Condom et Castelsarrasin, soir un déficit proche des 50%. Alors que sur les régions proches des Monts de Lacaune, dans le sud du Tarn, ainsi que sur tout le piémont pyrénéen, le cumul des précipitations était jusqu à 6 fois supérieur. De même, en janvier le cumul mensuel de janvier est nettement déficitaire dans les plaines or il dépasse souvent les 100 mm et un excédent de 50% par apport à la normale sur la Haute-Bigorre et le Luchonnais. Un épisode neigeux de forte intensité est survenu en février 2015 avec des précipitations une fois et demie à deux fois et demie supérieures à la normale sur Midi-Pyrénées, comme à Cauterets (65). Où le cumul mensuel a atteint 350 mm. L intensité des épisodes de fortes précipitations se mesure également par le nombre de jours de pluies : en février il a été nettement plus élevé que la normale sur le sud de la région : 14 jours à Tarbes et Pamiers, soit 5 jours de plus que la normale.) 4

5 Normale Cumul mensuel de précipitations depuis 1959 sur la région Midi-Pyrénées (Météo France - mars 2015) Avril est caractérisé par un retour général à la normale avant un mois de mai très sec et chaud : L épaisseur du manteau neigeux présentait encore en avril des niveaux très excédentaires dans les Pyrénées. Ils étaient deux à trois fois supérieurs à la normale, localement, dans les Hautes- Pyrénées : Evolution de l'enneigement (Météo France avril 2015) Portion médiane Exemple pour la lecture : Pour un 10 mars, la hauteur de neige à la Mongie en 2015 est de 160 cm, ce qui correspond à des niveaux exceptionnels survenus au maximum 6 années sur les 30 dernières années de mesure. En revanche, Pour un 10 janvier, la hauteur de neige à la Mongie en 2015 est de 55 cm, ce qui correspond à des niveaux médians c est à dire que sur les 30 dernières années 15 mesures se situent à des niveaux supérieurs et 15 autres à des niveaux inférieurs. 5

6 REPERES : Les 3 derniers hivers ont été remarquables en matière d enneigement dans les Pyrénées, avec des niveaux très excédentaires notamment durant le mois de mars (Source Météo France) or le mois d avril 2015 se place au 4 ème rang des mois d avril les plus chauds depuis 1950 et mai 2015 se place au 2 ème rang des mois de mai les plus chauds depuis Ainsi, au 31 mai 2015, les stocks de neige ont fondu. En 2014, ils s étaient maintenus jusqu au 15 juillet. (Source Météo France) FAITS MARQUANTS : «A la station automatique du Lac d'ardiden en Haute Bigorre, située à 2450 m, l'épaisseur du manteau neigeux qui était de 1,30 m au début du mois de février a atteint une épaisseur de 3,60 m à la fin du mois alors que l'épaisseur moyenne pour une fin de mois de février est de l'ordre de 2,00 m». (Source Météo France) Un épisode cévenol a engendré des pluies diluviennes en particulier dans le sud de l Aveyron, le 28 novembre 2014 (plus de 200 mm de pluie sont tombés en 36 heures sur le relief). La crue du Dourdou et de la Sorgues ont provoqué des inondations catastrophiques. Les caractéristiques de ces crues, qui ont touché plus particulièrement le sud-est de la France, mais aussi Midi-Pyrénées, sont la décrue lente et les débordements à répétitions, qui localement fragilisent des berges de cours d eau. 20 % du territoire de la commune de Saint-Affrique a été considéré comme sinistré, la Sorgues qui la traverse a atteint la hauteur de 6, 80 mètres dans la nuit du 28 au 29 novembre (Source : Météo France) 6

7 REPERES : Station de mesure Pointe de débit enregistrée Niveau de fréquence de crue Module Maximum journalier enregistré (QMj) La Dourbie à Millau (12) 207 m 3 /s le 29/11 quinquennal m 3 /s 445 m 3 /s en novembre 1994 Le Tarn à Millau (12) 718 m 3 /s le 29/11 < quinquennal m 3 /s m 3 /s en novembre 1994 La Sorgue à St Felix de m 3 /s le 25/11 Non calculé Non calculé m 3 /s en mars 2011 Sorgue (12) station récente station récente L Agout à St Lieux les Lavaurs (81) 268 m 3 /s le 29/11 Non calculé station récente Non calculé station récente 563 m 3 /s en mai 2013 Le Tarn à Pécotte (81) 780 m 3 /s le 01/12 (attention pas de mesure les derniers jours de novembre) Source : Banque HYDRO / Serveur producteur DREAL Biennal (possible décrue) m 3 /s m 3 /s en novembre 1994 Les précipitations de fin février 2015, liées à une fonte nivale temporaire, provoquent des crues importantes et la Garonne atteint 3 mètres au Pont Neuf à Toulouse, le 27 février (Source : Météo France) Photo : Inondation à Adast (65) (photo : L.Dard), le 26/02/2015 7

8 RESERVES : Des barrages remplis Fin mai, mis à part deux réservoirs sur le Sor et sur le Dadou dont les taux de remplissage sont en deçà de 80%, tous les autres barrages de Midi-Pyrénées (or ceux en période de maintenance), présentent des taux de remplissage supérieurs à 80%. Les réserves en gestion par la Compagnie d Aménagement des Coteaux de Gascogne ont, pour la majorité, finalisé leur remplissage en avril. Mi-mai, le stock global a cependant encore augmenté pour atteindre 201 millions de m 3. (Source : CACG - mai 2015) REPERES : Au 12 janvier 2015, le taux de remplissage moyen global des réserves en gestion CACG est de 81 %. (Source : CACG - janvier 2015) Au 18 mai, le taux de remplissage moyen global des réserves en gestion était de 98% laissant ainsi entrevoir un début de campagne d irrigation favorable. (Source : CACG Mai 2015). Ces taux de remplissage se rapprochent de ceux des deux dernières années au cours desquelles l irrigation avait pu se faire dans de bonnes conditions en comparaison avec les campagnes des années récentes depuis

9 RESERVES EN EAU SOUTERRAINE : Des niveaux fluctuants et des situations disparates en fonction des aquifères A l entrée de la période d étiage les niveaux des nappes d eau souterraines sont globalement conformes à la normale, à la différence de 2013 et 2014 où les réserves souterraines étaient plutôt très excédentaires. La situation reste favorable dans le bassin de l Adour et normale avec une dynamique de tarissement entamée dans les aquifères karstiques. Le passage en période de recharge hivernale aura été progressif notamment parce que les niveaux sont restés supérieurs à la moyenne par effet de mémoire de l année hydrologique précédente ( ). La recharge des nappes peut être caractérisée comme normale dans les aquifères alluviaux de la Garonne, comme excédentaire dans les nappes alluviales de l Adour et plutôt tardive dans les karsts dans lesquels le tarissement a été important. A noter : les excédents de recharge relevés aux points de mesure de la chaîne pyrénéenne dès le début de la période. La recharge de l hiver 2015, bien que moins marquée qu en 2014, aboutit à un déficit est de l ordre de 25 à 50% dans la vallée de la Garonne et au nord de l Aveyron, et à un excédent de 10 à 50% localement dans le piémont pyrénéen. Au fur et à mesure de la recharge, l écart s est creusé entre les nappes de la Garonne amont en Haute-Garonne et celles situées en Tarn-et-Garonne (qui n ont pas profité de recharge en mars). Les premières voient leur niveau augmenter régulièrement alors que les secondes campent à des niveaux plutôt bas. Les tarissements lents des nappes en mai continuent de marquer cette sectorisation de la situation en Garonne amont. (Source : BRGM, EauFrance) En mai, la situation se rapproche de la normale, sauf dans les aquifères alluviaux de la Garonne amont et de l Adour où les niveaux sont encore supérieurs à la normale. (Source : BRGM). FAITS MARQUANTS : Une surveillance accrue est déclenchée pour les inondations par remontée de nappes dans le bassin de l Adour qui a réagi de manière sensible à des épisodes de pluviométrie intenses. (Source : BRGM - mars 2015) REPERES : Les niveaux des nappes sont globalement moins favorables qu en 2014 Zoom sur le bassin de la Garonne : (Niveaux = niveaux sous le sol en mètres) Légende 9

10 HYDROLOGIE DES COURS D EAU Des débits «soutenus» ayant vite chuté en mai En fin de période, alors que les niveaux de débits (comme de réserves) montraient des signes permettant de prévoir un début de campagne d irrigation serein, les choses se sont accélérées et le déficit d apport en eau du mois de mai allant de 50% à 80% sur la région a plongé celle-ci dans le doute, plus vite que prévu. Dans le Lot par exemple, et surtout sur le petit chevelu, les niveaux des rivières sont très bas pour la période. REPERES : Les faibles niveaux de débits fin mai ont poussé les autorités à prendre des restrictions d usage dès le début du mois de juin dans le Lot ; à l image du bassin de la Barguelonne, où la diminution sensible en mai des débits des cours d eau a engendré des interdictions de prélèvement à certains moment de la journée. Evolution des débits moyens journaliers dans la Petite Barguelonne à la station de Montcuq Le débit moyen mensuel du mois de mai, calculé entre 1971 et 2014, est de 0,608 m 3 /s Le débit de la Garonne à Valentine (au sud de la Haute-Garonne) est inférieur, pour un mois de juin, à celui des années précédentes à la même période : il avait été particulièrement exceptionnel en 2013 (avec une valeur largement supérieure à un événement dont la probabilité de retour est de 10 ans). En 2015 il est passé au courant du mois de mai sous le débit quinquennal sec (temps de retour 5 ans). Source Smeag juin

11 GLOSSAIRE Aquifère : Un aquifère est une formation géologique ou une roche, suffisamment poreuse et/ou fissurée (qui peut stocker de l'eau) et perméable (où l'eau circule librement), pour contenir, de façon temporaire, ou permanente une nappe d'eau souterraine mobilisable (on ne parle d'aquifère que si la formation est capable de restituer cette eau naturellement et/ou par exploitation comme un drainage, pompage,...). BRGM : Bureau de Recherche Géologique et Minière. CACG : Compagnie d Aménagement des Coteaux de Gascogne. Débit : Quantité d un liquide qui s écoule, dans un temps donné. Décennal humide : Débit moyen journalier maximal atteint une année sur 10. DDT : Direction Départementale des Territoires. DREAL : Direction Régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement. Écoulement : Les pluies efficaces sont à l origine des écoulements superficiel et souterrain : l écoulement superficiel est collecté directement par le réseau hydrographique ; il se produit dans les heures ou jours qui suivent la pluie. l écoulement souterrain des nappes ; par comparaison avec l'écoulement superficiel, l'écoulement souterrain peut être lent, différé et de longue durée (quelques heures à plusieurs milliers d années). Étiage : Niveau moyen le plus bas d'un cours d'eau, parfois marqué par un zéro pour mesurer la hauteur des eaux au-dessus de ce point au moyen de chiffres inscrits sur une échelle. Évapotranspiration = ETP : Quantité d'eau consommée qui comprend d'une part l'eau transpirée par la plante, d'autre part l'évaporation directe à partir du sol. Son unité est le mm (sachant que 1mm= ) Infiltration (recharge) : L infiltration est le processus physique par lequel l eau pénètre dans les sols et alimente les nappes. Karst : Un karst est un massif calcaire dans lequel l'eau a creusé de nombreuses cavités. On parle de massifs ou de reliefs karstiques. On trouve dans les reliefs karstiques des formes géographiques bien particulières comme les dolines, les poljés, les canyons ou encore les résurgences. 11

12 Module : Débit annuel interannuel est la moyenne des débits annuels sur une période d'observations suffisamment longue pour être représentative des débits mesurés ou reconstitués. Il permet de caractériser l'écoulement d'une année " moyenne ". Niveau piézométrique : Le niveau, la cote ou la surface piézométrique sont l'altitude ou la profondeur (par rapport à la surface du sol) de la limite entre la zone saturée et la zone non saturée dans une formation aquifère. Ce niveau est mesuré à l'aide d'un piézomètre. Son unité est le mètre. Nappe d'eau souterraine : Une nappe souterraine est une masse d'eau contenue dans les interstices ou fissures du sous-sol. On distingue deux types de nappes : libres (ou phréatiques) et captives, ces dernières étant piégées sous des formations géologiques imperméables. Le niveau des nappes peut varier en fonction des infiltrations et des prélèvements d'eau. Pluie efficace : Différence entre le cumul des précipitations et l ETP. Elle peut être négative. Points nodaux : Points clés pour la gestion des eaux définis en général à l'aval des unités de références hydrographiques pour les SAGE et/ou à l'intérieur de ces unités. C est en ces points que sont effectuées les mesures des valeurs repères de débit. Précipitations : Les précipitations (pluie ou neige) sont mesurées à la surface de la terre en millimètres. Le terme «lame d eau tombée» est également employé pour quantifier les précipitations. Précipitations efficaces : Les précipitations efficaces, exprimées en mm, sont égales à la différence entre les précipitations totales et l évapotranspiration. Les précipitations efficaces peuvent être calculées directement à partir des paramètres climatiques et de la réserve utile du sol (RU). L eau des précipitations efficaces est répartie, au niveau du sol, en deux fractions : l écoulement superficiel et l infiltration. Réserve utile du sol (RU) : La réserve utile (RU) correspond à l eau présente dans le sol qui est utilisable par la plante. Elle est exprimée en millimètres. 12

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