IMAGERIE STRUCTURALE ET DÉMENCES. J.Delrieu
|
|
- Marc-Antoine St-Amand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IMAGERIE STRUCTURALE ET DÉMENCES J.Delrieu
2 Recommandations diagnostiques Evaluation neuropsychologique ANAES 2000 AAN 2001 EFNS 2006 HAS 2008 Mémoire épisodique et autres domaines cognitifs ND Mémoire systématique +/- autres domaines cognitifs pour stade léger à modéré Mémoire épisodique et autres domaines cognitifs Evaluation AVQ + (IADL) ND + + (IADL ou DAD) Tests neuropsychologiques MMSE Pas d accord professionnel pour les autres tests ND Pas d accord professionnel pour les tests à utiliser MMSE Pas d accord professionnel pour les autres tests Hémogramme Ionogramme + ND + + Glycémie + ND + + TSH + ND + + VS ND ND + ND TPHA/VDRL FC FC FC FC VIH FC ND FC FC Sérologie borréliose ND ND FC FC B12 FC + FC FC Folates FC ND FC FC Bilan hépatique FC ND FC FC Aβ42, Tau et p-tau - - FC FC FC FC FC FC Apo-E TDM cérébrale Par défaut Par défaut Par défaut Par défaut IRM cérébrale TEMP de perfusion FC - FC FC TEP-FDG - - FC FC EEG FC ND FC FC (+ = recommandé, - = non recommandé, FC = fonction du contexte clinique, ND = non discuté)
3 2 types de biomarqueurs Dubois B et al. Revising the definition of Alzheimer s disease: a new lexicon. Lancet Neurol Nov;9(11):
4 Biomarqueurs du LCR et association aux lésions pathologiques de la MA
5 Biomarqueurs du LCR Dans la MA Sensibilité Spécificité Tau 86% 90% Phospho- Tau 81% 90% Aβ42 81% 92% Résultats combinés sur nombreuses études 2500 MA et 1300 témoins MA vs Témoins Blennow,K. and Hampel,H. (2003). CSF markers for incipient Alzheimer's disease. Lancet Neurol. 2,
6 L imagerie amyloïde Julie Price et al.
7 Pourquoi utiliser les biomarqueurs? (Range: 10-23%)
8 L imagerie TAU, c est pour demain!
9 Dynamique des biomarqueurs et progression de la MA Anormal LCR Aβ 42 TEP-amyloïde TEP-FDG Volume hippocampique IRM LCR Tau Performance cognitive Fonction (AVQ) TEPamyloïde TEP-FDG Volume hippocampique IRM LCR Aβ 42 Performance cognitive Fonction (AVQ) LCR Tau Normal Présymptomatique MCI précoce MCI tardif Démence Temps Aisen PS, Petersen RC, Donohue MC, et al. Alzheimers Dement. 2010;6:
10 Place des biomarqueurs dans la démarche diagnostique DIAGNOSTIC APPROCHE PHYSIOPATHOLOGIQUE APPROCHE TOPOGRAPHIQUE APPROCHE SYNDROMIQUE Biomarqueurs du LCR TEP-traceurs des plaques amyloïdes Evaluation de l atrophie en IRM Evaluation de la perfusion et du métabolisme cérébral en TEMP/TEP Evaluation clinique et neuropsychologique
11 Diagnostic de la MA: évolution des critères de 1984 à 2011 Critères NINCDS- ADRDA 1984 Critères de Dubois 2007 Critères de Dubois A new lexicon 2010 National Institute on Aging and the Alzheimer s Association workgroup 2011 DIAGNOSTIC TARDIF DIAGNOSTIC PRECOCE Stade de la MA Syndrome Démentiel Critères secondaires = Biomarqueurs MA atypique MA prodromale MA pré-clinique MA pré-clinique 3 stades DIAGNOSTIC CLINIQUE IMPLICATION DES BIOMARQUEURS Biomarqueurs Adapté de Aisen PS. Alzheimers Res Ther
12 Séquence pondérée T1
13 Séquence pondérée T2
14 Séquence pondérée FLAIR
15 Séquence pondérée T2*
16 Les recommandations HAS T1 coronal T2 axial T2* axial
17 Objectifs de l imagerie structurale Démarche diagnostique PAR EXCLUSION TDM +++ IRM Causes «curables» neurochirurgicales Lésions cérébrovasculaires Axial et/ou coronal: T2, FLAIR et T2*
18 LES CAUSES «CURABLES» NEUROCHIRURGICALES
19 Hématome sous-dural chronique
20 Glioblastome
21 Astrocytome
22 Abcès
23 HPN
24 LES LÉSIONS CÉRÉBRO- VASCULAIRES
25 Evaluation des lésions cérébrovasculaires Démarche diagnostique ISCHEMIQUE HEMORRAGIQUE Leucopathie Infarctus sous-corticaux Infarctus corticaux Infarctus stratégiques. Axial et/ou coronal: T2, FLAIR
26 Leucopathie vasculaire
27
28 Les infarctus stratégiques
29 Evaluation des lésions cérébrovasculaires Démarche diagnostique ISCHEMIQUE HEMORRAGIQUE Leucopathie Infarctus sous-corticaux Infarctus corticaux Infarctus stratégiques. Hématome des NGC Hématomes lobaires Microbleeds Axial et/ou coronal: T2, FLAIR Axial T2*
30 Un microbleed, c est quoi?
31 Microbleeds HTA
32 Angiopathie amyloïde
33
34 Objectifs de l imagerie structurale Démarche diagnostique PAR EXCLUSION TDM +++ IRM Causes «curables» neurochirurgicales Lésions cérébrovasculaires Axial et/ou coronal: T2, FLAIR et T2* POSITIVE IRM +++ Atrophie temporales interne Coronal perpendiculaire au grand axe hippocampique T1 Analyse volumétrique quantitative Analyse visuelle qualitative
35 Imagerie structurale Mesure en IRM (évaluation qualitative visuelle ou quantitative volumétrique) des structures du lobe temporal interne: Perte de volume (par rapport à des sujets sains de même âge) Distinguer la MA des sujets sains ainsi que des autres causes de démence avec une spécificité et une sensibilité de plus de 85% Au stade léger à modéré: Sensibilité de la détection de la MA par rapport aux sujets âgés «sains»: 85% Spécificité: 88% Degré d atrophie des structures du lobe temporal interne corrélé à la sévérité du déficit cognitif ainsi qu aux performances en mémoire épisodique L IRM avec volumétrie quantitative du lobe temporal distinguer les patients MA à un stade léger et très léger des sujets sains de même âge Laakso, M. P., H. Soininen, et al. (1998). "MRI of the hippocampus in Alzheimer's disease: sensitivity, specificity, and analysis of the incorrectly classified subjects." Neurobiol Aging 19(1): Scheltens, P., D. Leys, et al. (1992). "Atrophy of medial temporal lobes on MRI in "probable" Alzheimer's disease and normal ageing: diagnostic value and neuropsychological correlates." J Neurol Neurosurg Psychiatry 55(10):
36 Imagerie structurale Analyse visuelle et volumétrique quantitative précision similaire Analyse volumétrique quantitative des formations hippocampiques non disponible pratique clinique analyse visuelle qualitative plus rapide en accordant un intérêt particulier aux régions temporales internes Wahlund, L. O., P. Julin, et al. (2000). "Visual rating and volumetry of the medial temporal lobe on magnetic resonance imaging in dementia: a comparative study." J Neurol Neurosurg Psychiatry 69(5): Scheltens, P., D. Leys, et al. (1992). "Atrophy of medial temporal lobes on MRI in "probable" Alzheimer's disease and normal ageing: diagnostic value and neuropsychological correlates." J Neurol Neurosurg Psychiatry 55(10):
37 Le lobe temporal
38 Echelle de Scheltens d évaluation visuelle du lobe temporal interne
39 Influence de l âge sur l atrophie temporale interne Entre 55 et 75 ans: Index d atrophie global > ou = 1,5 Entre 75 et 90 ans: Index d atrophie global > ou = 2 MA vs Normal Pereira JB et al. Influence of age, disease onset and ApoE4 on visual medial temporal lobe atrophy cut-offs. J Int Med 2013 Oct 11.
40 Volume hippocampique Mesure en IRM de l atrophie du lobe temporal interne Au stade léger à modéré Sensibilité de la détection de la MA par rapport aux sujets âgés «sains»: 85% Spécificité: 88% Fait partie des critères secondaires diagnostiques selon Dubois et al Degré d atrophie des structures du lobe temporal interne corrélé à la sévérité du déficit cognitif ainsi qu aux performances en mémoire épisodique Laakso, M. P., H. Soininen, et al. (1998). "MRI of the hippocampus in Alzheimer's disease: sensitivity, specificity, and analysis of the incorrectly classified subjects." Neurobiol Aging 19(1): Scheltens, P., D. Leys, et al. (1992). "Atrophy of medial temporal lobes on MRI in "probable" Alzheimer's disease and normal ageing: diagnostic value and neuropsychological correlates." J Neurol Neurosurg Psychiatry 55(10):
41 LES CAUSES DE TROUBLE COGNITIF D ÉVOLUTION RAPIDE
42 Encéphalopathie de gayet-wernicke
43 Encéphalite herpétique
44 Encéphalite limbique
45 MCJ
46 QUELQUES AUTRES CAUSES DE TROUBLE COGNITIF
47 Imagerie des démences atypiques Sven Haller et al. Neuroimaging of dementia in 2013: what radiologists need to know. Eur Radiology 2013 July.
48 LES FORMES «ATYPIQUES» DE MA
49 Syndrome de Benson
50 Aphasie logopénique
51 LES DÉMENCES ASSOCIÉES À UN SYNDROME PARKINSONIEN
52
53 Atrophie multisystématisée
54 PSP
55 Dégénérescence corticobasale
56 LES DÉMENCES LOBAIRES FRONTO-TEMPORALES
57 Evaluation de l atrophie frontale
58 Variant frontal de DLFT
59 Variant frontal de DLFT
60 Démence sémantique
61 Aphasie primaire progressive non fluente
62 Dialoguer avec son neuroradiologue Evolution progressive Evolution rapide Axial et/ou coronal: T2, FLAIR et T2* Axial et/ou coronal: T2, FLAIR et T2* Coronal perpendiculaire au grand axe hippocampique T1 Coronal perpendiculaire au grand axe hippocampique T1 DIFFUSION
63 Maladie d Alzheimer probable (Critère A + l un ou plusieurs des critères secondaires B, C, D ou E) Critère majeur A. Un trouble de mémoire épisodique initial, constitué par : Des troubles de mémoire fonctionnels progressifs rapportés par le patient ou l entourage depuis au moins six mois La mise en évidence d un trouble de mémoire épisodique significatif dans les tests avec un déficit de rappel non significativement amélioré ou non normalisé en situation d indiçage ou de reconnaissance, alors que l encodage initial de l information a été contrôlé Les troubles de la mémoire épisodique peuvent être isolés ou associés à d autres troubles cognitifs Critères secondaires B. Une atrophie des structures temporales internes : Atrophie hippocampique, entorhinale ou amygdalienne Mise en évidence en IRM par échelle visuelle qualitative ou par volumétrie quantitative, en référence à des sujets témoins de même âge C. Une modification du taux de biomarqueurs dans le LCR : Diminution des taux d Aβ 1-42 et/ou augmentation de la concentration totale de protéine Tau ou de phospho-tau Modification de tout autre marqueur validé dans le futur D. Un profil spécifique à la TEP : Diminution du métabolisme du glucose dans les régions temporo-pariétales bilatérales Toute autre anomalie de distribution de ligand validé dans l avenir E. Une mutation autosomale dominante dans la famille directe Critères d exclusion Ils peuvent être liés : Au mode d installation : - Début brutal - Survenue précoce de troubles de la marche, de crises comitiales, de troubles comportementaux À la présentation clinique : - Déficit neurologique focal : hémiparésie, troubles sensoriels, déficit du champ visuel - Signes extrapyramidaux précoces À l existence de conditions médicales pouvant rendre compte, à elles seules, des troubles de mémoire ou cognitifs : - Démences non Alzheimer - Dépression majeure - Pathologie cérébrovasculaire - Troubles métaboliques ou toxiques - Anomalies IRM en FLAIRr ou en T2 dans la région temporale interne, évoquant une atteinte infectieuse ou vasculaire Critères pour la maladie d Alzheimer définie La maladie d Alzheimer est considérée comme définie si les deux critères suivants sont présents : Le critère majeur A L existence d une preuve histologique (biopsie corticale ou autopsie) ou génétique (mutation génique sur le chromosome 1, 14 ou 21) de maladie d Alzheimer
64 Maladie d Alzheimer probable (Critère A + l un ou plusieurs des critères secondaires B, C, D ou E) Critère majeur A. Un trouble de mémoire épisodique initial, constitué par : Des troubles de mémoire fonctionnels progressifs rapportés par le patient ou l entourage depuis au moins six mois La mise en évidence d un trouble de mémoire épisodique significatif dans les tests avec un déficit de rappel non significativement amélioré ou non normalisé en situation d indiçage ou de reconnaissance, alors que l encodage initial de l information a été contrôlé Les troubles de la mémoire épisodique peuvent être isolés ou associés à d autres troubles cognitifs Critères secondaires B. Une atrophie des structures temporales internes : Atrophie hippocampique, entorhinale ou amygdalienne Mise en évidence en IRM par échelle visuelle qualitative ou par volumétrie quantitative, en référence à des sujets témoins de même âge C. Une modification du taux de biomarqueurs dans le LCR : Diminution des taux d Aβ 1-42 et/ou augmentation de la concentration totale de protéine Tau ou de phospho-tau Modification de tout autre marqueur validé dans le futur D. Un profil spécifique à la TEP : Diminution du métabolisme du glucose dans les régions temporo-pariétales bilatérales Toute autre anomalie de distribution de ligand validé dans l avenir E. Une mutation autosomale dominante dans la famille directe Critères d exclusion Ils peuvent être liés : Au mode d installation : - Début brutal - Survenue précoce de troubles de la marche, de crises comitiales, de troubles comportementaux À la présentation clinique : - Déficit neurologique focal : hémiparésie, troubles sensoriels, déficit du champ visuel - Signes extrapyramidaux précoces À l existence de conditions médicales pouvant rendre compte, à elles seules, des troubles de mémoire ou cognitifs : - Démences non Alzheimer - Dépression majeure - Pathologie cérébrovasculaire - Troubles métaboliques ou toxiques - Anomalies IRM en FLAIRr ou en T2 dans la région temporale interne, évoquant une atteinte infectieuse ou vasculaire Critères pour la maladie d Alzheimer définie La maladie d Alzheimer est considérée comme définie si les deux critères suivants sont présents : Le critère majeur A L existence d une preuve histologique (biopsie corticale ou autopsie) ou génétique (mutation génique sur le chromosome 1, 14 ou 21) de maladie d Alzheimer
65 Maladie d Alzheimer probable (Critère A + l un ou plusieurs des critères secondaires B, C, D ou E) Critère majeur A. Un trouble de mémoire épisodique initial, constitué par : Des troubles de mémoire fonctionnels progressifs rapportés par le patient ou l entourage depuis au moins six mois La mise en évidence d un trouble de mémoire épisodique significatif dans les tests avec un déficit de rappel non significativement amélioré ou non normalisé en situation d indiçage ou de reconnaissance, alors que l encodage initial de l information a été contrôlé Les troubles de la mémoire épisodique peuvent être isolés ou associés à d autres troubles cognitifs Critères secondaires B. Une atrophie des structures temporales internes : Atrophie hippocampique, entorhinale ou amygdalienne Mise en évidence en IRM par échelle visuelle qualitative ou par volumétrie quantitative, en référence à des sujets témoins de même âge C. Une modification du taux de biomarqueurs dans le LCR : Diminution des taux d Aβ 1-42 et/ou augmentation de la concentration totale de protéine Tau ou de phospho-tau Modification de tout autre marqueur validé dans le futur D. Un profil spécifique à la TEP : Diminution du métabolisme du glucose dans les régions temporo-pariétales bilatérales Toute autre anomalie de distribution de ligand validé dans l avenir E. Une mutation autosomale dominante dans la famille directe Critères d exclusion Ils peuvent être liés : Au mode d installation : - Début brutal - Survenue précoce de troubles de la marche, de crises comitiales, de troubles comportementaux À la présentation clinique : - Déficit neurologique focal : hémiparésie, troubles sensoriels, déficit du champ visuel - Signes extrapyramidaux précoces À l existence de conditions médicales pouvant rendre compte, à elles seules, des troubles de mémoire ou cognitifs : - Démences non Alzheimer - Dépression majeure - Pathologie cérébrovasculaire - Troubles métaboliques ou toxiques - Anomalies IRM en FLAIRr ou en T2 dans la région temporale interne, évoquant une atteinte infectieuse ou vasculaire Critères pour la maladie d Alzheimer définie La maladie d Alzheimer est considérée comme définie si les deux critères suivants sont présents : Le critère majeur A L existence d une preuve histologique (biopsie corticale ou autopsie) ou génétique (mutation génique sur le chromosome 1, 14 ou 21) de maladie d Alzheimer
66 Dans l avenir
67 Segmentation 7T
68 Au Total Démarche diagnostique PAR EXCLUSION TDM +++ IRM Causes «curables» neurochirurgicales Lésions cérébrovasculaires Axial et/ou coronal: T2, FLAIR et T2* POSITIVE IRM +++ Atrophie temporales interne Coronal perpendiculaire au grand axe hippocampique T1 Démence «rapide» DIFFUSION
69 Quel est le patient avec des troubles mnésiques?
70 Démarche diagnostique Évaluation cognitive Bilan neuropsychologique TDM cérébrale: - CI IRM Morphologie Imagerie fonctionnelle Marqueurs LCR, IRM encéphalique: - Systématique - Sujets jeunes - Stades précoces - Présentations atypiques Maladie d Alzheimer,
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détail«Démence vasculaire» Troubles cognitifs
«Démence vasculaire» J Ghika Troubles cognitifs Prof Joseph André Ghika 1 Perte de mémoire Confirmée par informateur Objectivé par un examen cognitif (neuropsychologique) Normal: viellissement normal 1
Plus en détailLes démences fronto-temporales
Les démences fronto-temporales Maladie de Pick Démence fronto-temporale sans lésions spécifiques Démence fronto-temporale avec syndrome Parkinsonien (DFTP17) La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailRéponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale
ARGUMENTAIRE Réponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale Identification des troubles mnésiques et stratégie d intervention chez les séniors
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailRéunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15
Réunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15 10h45-10h50: Introduction de Madame La Ministre, Michèle Delaunay 10h50-11h05: Présentation générale du Gérontopôle (Pr B Vellas) 11h05-11h10: Présentation du
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLe complexe démentiel associé au VIH : aspects particuliers chez les sujets âgés
Synthèse Psychol NeuroPsychiatr Vieil 2007 ;5(3):193-207 Le complexe démentiel associé au VIH : aspects particuliers chez les sujets âgés Dementia complex due to HIV disease and aging ANTOINE MOULIGNIER
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLA MISE EN PLACE DES AIDES POUR LE MAINTIEN A DOMICILE DES PATIENTS ALZHEIMER : LE POINT DE VUE DE L AIDANT. ETUDE QUALITATIVE EN HAUTE-VIENNE
UNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE MEDECINE ************ 2014 THESE N LA MISE EN PLACE DES AIDES POUR LE MAINTIEN A DOMICILE DES PATIENTS ALZHEIMER : LE POINT DE VUE DE L AIDANT. ETUDE QUALITATIVE EN HAUTE-VIENNE
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailINTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU
Société de Médecine de Franche-Comté INTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU SOCIETE DE MEDECINE DE FRANCHE-COMTE SEANCE D IMAGERIE
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTE DE MEDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR GAUTIER MAXIME Né le 31 Octobre 1984 à Enghien Les Bains Présentée et soutenue
Plus en détailLa maladie d Alzheimer mise à jour en 2009
La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009 Fadi Massoud Un défi colossal se pose à l échelle mondiale. Dans les années à venir, plus du tiers des personnes de plus de 85 ans sera touché par la démence
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailQue peut apporter la psychomotricité aux personnes âgées dépendantes?
Université Paul Sabatier Faculté de médecine Toulouse-Rangueil Institut de formation en psychomotricité Que peut apporter la psychomotricité aux personnes âgées dépendantes? Illustration avec deux études
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailTROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ
8 ÈME JOURNÉE RÉGIONALE DES RÉSEAUX DE PÉRINATALITÉ DE L ILE DE FRANCE 17 OCTOBRE 2013 TROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ DR PATRICIA DWORZAK PÉDIATRE, MEMBRE DU RÉSEAU PSOF RESPONSABLE DE L UNITÉ
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Amyvid 800 MBq/mL, solution injectable 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque ml de solution injectable contient
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailrepérer une pathologie du vieillissement cognitif? TOP 12: how to use it to identify pathological aging?
Rev Neuropsychol 2011 ; 3 (4) : 273-83 Le TOP 12 : comment s en servir pour repérer une pathologie du vieillissement cognitif? TOP 12: how to use it to identify pathological aging? Émilie Lacot 1, Emmanuel
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLES ADULTES DE MOINS DE 60 ANS ATTEINTS DE MALADIES NEURO-ÉVOLUTIVES ORIENTÉS PAR LES MDPH* DU RHÔNE ET DE LA SAVOIE
LES ADULTES DE MOINS DE 60 ANS ATTEINTS DE MALADIES NEURO-ÉVOLUTIVES ORIENTÉS PAR LES MDPH* DU RHÔNE ET DE LA SAVOIE * MAISONS DÉPARTEMENTALES DES PERSONNES HANDICAPÉES SEPTEMBRE 2010 Observatoire Régional
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailTest génétique et annonce d un résultat de test génétique
Conseil d Ethique Clinique Commissions Cluse-Roseraie et Belle-Idée Test génétique et annonce d un résultat de test génétique CONCERNE : Le Conseil d Ethique Clinique a été saisi par le service de neurologie
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailFrench Telephone Interview for Cognitive Status Modified: F-TICS-m. L. Lacoste a,, C. Trivalle b DOSSIER : VIEILLISSEMENT, MÉMOIRE ET ÉVALUATION
NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie (2009) 9, 17 22 DOSSIER : VIEILLISSEMENT, MÉMOIRE ET ÉVALUATION Adaptation française d un outil d évaluation par téléphone des troubles mnésiques : le French Telephone
Plus en détailDES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009
DES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009 Coordonnateur : Coordonnateurs : Philippe AZOUVI et Jean-Michel MAZAUX
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailEDITORIAL p. 3. DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4. CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p.
TRIMESTRIEL Mai > juil. Numéro 3 EDITORIAL p. 3 DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4 CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p. 11 IMAGERIE CÉRÉBRALE ET RADIOPROTECTION
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailLe patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine
NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailAttention soutenue chez la personne âgée. atteinte de démence : validité pathologique de l adaptation. du Test des 2 Barrages de Zazzo
Université Paul Sabatier - Toulouse III Faculté de Médecine Toulouse Rangueil Institut de Formation en Psychomotricité Attention soutenue chez la personne âgée atteinte de démence : validité pathologique
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détail