Observatoire régional des violences conjugales envers les femmes en Pays de La Loire. Année 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Observatoire régional des violences conjugales envers les femmes en Pays de La Loire. Année 2014"

Transcription

1 Observatoire régional des violences conjugales envers les femmes en Pays de La Loire Année 2014

2 État des lieux et précautions méthodologiques Ce premier rapport a recueilli les données des associations spécialisées dans l accueil, l écoute, l accompagnement des femmes victimes de violences conjugales dans les Pays de la Loire : En Loire atlantique : Solidarité Femmes 44 Dans le Maine et Loire : SOS Femmes 49 En Mayenne : Revivre 53, service la citadelle Dans la Sarthe : SOS Femmes 72 En Vendée : SOS Femmes 85 Les professionnels, qui accompagnent ces femmes dans les associations, accueillent dans un premier temps la parole des femmes. Ils rejoignent sur cet axe les missions des écoutants du 3919, à savoir l écoute, l information et l orientation et inscrivent leur posture professionnelle dans la même éthique de travail. Les professionnels, par une écoute bienveillante et empathique, instaurent un climat de confiance qui permet à la femme de parler de sa situation, de clarifier l analyse qu elle en fait, d identifier sa (ses) demande(s) et d envisager les moyens de mettre fin aux violences conjugales dont elle fait part. Une fiche est remplie par les professionnels. Elle renseigne sur l appel, la victime et sa situation, l auteur des violences, la vie conjugale et familiale, les violences, le contexte d apparition et/ou d aggravation des violences et les conséquences sur les victimes ainsi que sur les démarches qu elles ont effectuées. Les professionnels renseignent également les réponses et les orientations apportées. Cette fiche est en premier lieu un outil pour l accompagnement de ces femmes afin qu elles n aient pas à redire leur histoire lors d un prochain appel ou rencontre. Ces statistiques ont été élaborées à partir des informations que la femme a souhaité donner. Le taux de renseignement des indicateurs varie de ce fait en fonction de chaque variable.

3 Le 3919 : un numéro d appel identifié par les Ligériennes victimes de violences conjugales Selon les données 2014 recueillies par l Observatoire 3919 de la Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF), la Région Pays de la Loire avec 776 appels «Violences Conjugales» (femmes victimes/hommes agresseurs) se maintient dans la cinquième position (depuis 2013) parmi les régions recevant le plus grand nombre d appels au service «3919-Violence femmes Info» soit près de 5 % du total des appels violences conjugales «Femme Victime Homme Agresseur» (3919-France=15 926, hors non réponse, département non renseigné et appels émis de l étranger). Tableau et infographie1. Répartition des appels violences conjugales au «3919-Violences femmes Info» de la région Pays de la Loire par département Département Nb d'appels violences conjugales FVHA 44-Loire-Atlantique Maine et Loire Mayenne Sarthe Vendée 99 Total Pays de la Loire % 0.40% 0.30% 0.20% 0.10% loire atlantique Maine et loire Mayenne Sarthe vendée 0.00%

4 Accueil de jour et lieux d accueil et d orientation (LAO) En 2014, 2963 nouvelles femmes ayant vécu des violences conjugales ont fait appel aux associations spécialisées dans le cadre des Accueils de Jour et Lieux d Accueil et d Orientations. Infographie 2 : activité des associations par département

5 Les violences psychologiques : premières violences subies par les ligériennes victimes de violences conjugales Toutes ces femmes ayant pris contact avec les associations étaient victimes de violences conjugales psychologiques. Celles-ci étaient associées ou non à des violences physiques (plus d une femme sur deux), économiques, administratives, sexuelles. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% violences psychologiques violences économique et administrative violences physiques violences sexuelles Infographie 2 : évaluation des différentes formes de violences conjugales subies par les femmes Des représentations sur les violences conjugales qui peuvent entraver la demande d aide des femmes Les représentations sociétales des violences conjugales sont majoritairement assimilées aux violences physiques. Les femmes subissant des violences conjugales psychologiques (emprise, harcèlement, humiliation ) peuvent avoir des difficultés à se reconnaitre victime de violences conjugales, et leur réseau relationnel peut également venir conforter cette non-reconnaissance. Les associations spécialistes estiment que le nombre de femmes victimes de violences sexuelles est sous représenté car beaucoup de victimes n identifient pas certaines pratiques comme des violences à leur encontre, prises dans le discours de l auteur qui banalise certains actes ou rend la femme responsable de son refus, de sa honte ou de sa réserve.

6 Une demande des ligériennes d écoute et de reconnaissance des violences vécues La première demande des femmes est d être écoutées et reconnues dans les souffrances qu elles subissent. 44% des femmes ont fait une demande d hébergement voire de mise en sécurité. L un des enjeux pour les associations spécialistes est de pouvoir atteindre les femmes en zone dite rurale, et d avoir les moyens de les accompagner dans leur projet (notamment pour celles qui ne sont pas prêtes à quitter le domicile conjugal). Des avancées en termes de démarches engagées avant le premier contact Un tiers des femmes avait fait une démarche auprès de la Police ou de la Gendarmerie (plainte, main courante, PV) avant cette première prise de contact. Nous pouvons émettre l hypothèse que les campagnes de prévention, la meilleure formation des professionnels sur chaque territoire favorisent le repérage et l orientation des femmes victimes de violences conjugales. Cependant, de nombreux territoires nécessiteraient une action de proximité afin de renforcer le maillage local. Ce chiffre montre également que pour de nombreuses femmes il est encore difficile de repérer les violences, de les nommer, de se reconnaitre victime, notamment du fait du transfert de responsabilité de l auteur à son encontre. 30% 25% 20% 15% Infographie 3. Démarches engagées avant le premier contact 10% 5% 0% 1 plainte PV, main courante avocat certicat médical / ITT service social

7 Des ligériennes de tous âges et à part égale en ou sans emploi Infographie 4. Répartition par âge des nouvelles situations Infographie 5 : l activité socioprofessionnelle des ligériennes Sans ressource Retraite RSA Allocations chômage Salaire Infographie 6. Ressource des femmes

8 Des enfants exposés aux violences conjugales Sur les femmes ayant renseigné leur situation, près d une femme sur 4 est sans enfant. Sur celles qui ont des enfants à charge, 40% ont 1 enfant, 33% 2 enfants, 18% 3 enfants et 9% enfants et plus. Infographie 7 : composition familiale 3219 enfants sont concernés par cette exposition aux violences en 2014 en Pays de Loire. Ce chiffre est en-deçà de la réalité car il ne tient pas compte des femmes n ayant pas renseigné leur situation familiale, ni des femmes victimes n ayant pas pris contact avec les associations spécialistes. Il est important de relever que 32% des enfants concernés sont âgés de moins de deux ans.

9 Hébergement en CHRS ou en ALT Des capacités d hébergement qui ne permettent pas de répondre à toutes les demandes 272 femmes ont pu être hébergées par les différentes associations (hors nuitées d hôtel) demandes ont été adressées en 2014 pour des femmes victimes de violences conjugales. 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% manque de place hébergement non adapté demande sans suite Infographie 8. Répartition des motifs de refus 0% 0 0,5 1 1,5 Près de deux femmes sur 3 n a pas pu accéder à un hébergement faute de place disponible dans les associations spécialistes. Certains territoires, en partenariat avec leur DDCS ont obtenu des budgets permettant le financement de nuitées d hôtel. Ce dispositif, loin d être satisfaisant en terme d accueil, permet de répondre très rapidement aux demandes de mise à l abri. Ces situations évaluées par les associations spécialisées permettent de répondre en urgence et pour un temps court aux situations où la sécurité de la femme et de ses enfants sont en jeu. Cependant, le manque de place d hébergement ne permet pas forcément une continuité des suivis par nos associations spécialistes, celles-ci devant orienter la femme vers les places disponibles dans le département.

10 Une part importante de femmes entre 18 à 35 ans 36/50 ans 30% + 50 ans 9% - 25 ans 22% Infographie 9. Répartition par âge des femmes hébergées par les associations spécialistes 26/35 ans 39% On observe une surreprésentation des femmes âgées de 18 à 35 ans, à l image des femmes ayant contacté les accueils de jour et LAO. Ce fort pourcentage nécessiterait une étude approfondie afin de comprendre si ces femmes sont plus souvent victimes et/ou si elles se saisissent plus des lieux de soutien. En parallèle, une réflexion pourrait également être menée afin de mieux répondre aux femmes plus âgées. Enfin, cette évaluation confirme l importance de mener des actions de prévention des comportements sexistes dans les collèges, les lycées et lieux d accueil des jeunes. Le cas des enfants 327 enfants ont été hébergés dont 31% avaient moins de deux ans. Tous les enfants ont été exposés aux violences conjugales subies par leur mère. Toutes les études menées montrent qu un accompagnement spécifique pour les enfants est nécessaire, afin que cette exposition traumatique n entrave pas leur développement affectif, cognitif et social.

11 La durée d hébergement et les sorties La durée de l hébergement est de 203 jours, ce qui reste un temps d hébergement relativement court au regard des moyennes nationales. Elle est due aux partis pris associatifs de soutenir très vite les démarches de relogement afin que la femme regagne son autonomie. De ce fait, les femmes qui sont relogées bénéficient pour certaines d un suivi par les associations dans les Lieux d Accueil et d Orientation Pour d autres, un temps de consolidation est encore nécessaire et le travail en partenariat avec des services d associations de la FNSF ou généralistes est nécessaire (37%). Le rapport effectué par l URSF, la FNARS et l Union Sociale pour l Habitat pour le Conseil régional concernant l accès au logement dans le parc public des femmes victimes de violences conjugales en 2013 a permis de relever certaines disparités entre départements quant aux délais de réponses apportés suite à l activation du contingent préfectoral pour les femmes victimes de violences conjugales. Certaines femmes retournent au domicile, ce retour peut être nécessaire afin d aller vérifier si Monsieur a changé. En effet, le cycle des violences conjugales qui permet à l auteur d instaurer et de maintenir son emprise sur sa conjointe, est marqué par différentes phases. Celle dite de «rémission ou lune de miel» est une phase où l auteur cherche à faire excuser sa conduite et recherche son pardon, et ainsi produit chez la victime un espoir de changement, un effacement du vécu violent. C est pourquoi il arrive que des femmes aient besoin de plusieurs départs pour retrouver une confiance dans leurs capacités à pouvoir décider et vivre par elles-mêmes. Dans ces situations, les associations peuvent de nouveau les accueillir. 25% 20% 15% 10% 5% retour au domicile conjugal (13%) hébergement temporaire FNSF (17%) logement privé (5%) logement public (17,40%) autre CHRS (20%) colocation (0,8%) Infographie 10. Répartition des sorties après hébergement 0% 1 OQTF (5%)

12 Perspectives L observatoire s est fixé pour objectif de recueillir l année prochaine en lien avec les déléguées droit des femmes de chaque département: - les données police-gendarmerie - les données des associations généralistes financées par les délégations Droit des femmes pour l accueil sur des places d hébergement dédiées aux femmes victimes de violences conjugales.

Les violences conjugales

Les violences conjugales MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une

Plus en détail

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur

Plus en détail

4 e plan interministériel

4 e plan interministériel 4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes 2014-2016 MINISTÈRE DES DROITS DES FEMMES 4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences

Plus en détail

LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris

LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit

Plus en détail

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a

Plus en détail

1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT

1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle

Plus en détail

DOSSIER PRE-INSTRUCTION

DOSSIER PRE-INSTRUCTION DOSSIER PRE-INSTRUCTION ACCES HEBERGEMENT EN RESIDENCE SOCIALE NOTICE Le dossier de pré-instruction doit obligatoirement être rempli par un travailleur social. Il est indispensable que le demandeur entreprenne

Plus en détail

solidarité www.aulnay-sous-bois.fr

solidarité www.aulnay-sous-bois.fr bureau d aide aux solidarité www.aulnay-sous-bois.fr Violences conjugales Vol avec violence Accidents de circulation Harcèlement Viol Agression Agression, Viol, Vol avec violence, Discriminations, Violences

Plus en détail

d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté

d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Alliance Alliance des des maisons d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Une écoute et une aide à portée de main 24 heures par jour, 7 jours et ce, 365 jours par année. Historique

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 - Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme

Plus en détail

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER : 1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A. MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes

Plus en détail

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel.

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel. 2015 Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS Parce que les vacances, c est essentiel. Un outil innovant au service de vos politiques sociales Ce programme déployé par l ANCV depuis 2007 a

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de

Plus en détail

CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES

CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES ET DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES EN MILIEU SCOLAIRE CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES INTERVENANTS DANS LES ECOLES, COLLEGES, LYCEES Août 2013 PREAMBULE L École est un lieu d

Plus en détail

Siège national. L'UNSA et internet. Les délégués du personnel. UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99

Siège national. L'UNSA et internet. Les délégués du personnel. UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99 Siège national UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99 L'UNSA et internet Le site web www.unsa.org Le courriel unsa@unsa.org page 2 les délégués du personnel

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI»

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» «AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» Mutuelle régie par les dispositions du Livre III du Code de la mutualité et immatriculée au registre national des mutuelles

Plus en détail

Demande de logement social

Demande de logement social Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 14069*02 Avez-vous déjà déposé une

Plus en détail

Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise?

Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? PASS RC des Dirigeants d'entreprise Prévention juridique ASSistance pénale d urgence Responsabilité Civile des Dirigeants

Plus en détail

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui

Plus en détail

Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)

Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,

Plus en détail

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M La loi de la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 insiste sur la prévention et confie au Président du Conseil Général le soin d organiser,

Plus en détail

PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean

PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence Justice alternative Lac-Saint-Jean Printemps 2013 OBJECTIFS Démystifier la problématique violence. Promouvoir les solutions pacifiques en matière de résolution de

Plus en détail

Vous divorcez, vous vous séparez?

Vous divorcez, vous vous séparez? Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous

Plus en détail

Assemblée Générale Habitat et Humanisme Sarthe. 15 Avril 2013

Assemblée Générale Habitat et Humanisme Sarthe. 15 Avril 2013 Assemblée Générale Habitat et Humanisme Sarthe 15 Avril 2013 Rapport d activité 2012 Quelques chiffres année 2012 La permanence d accueil 38 personnes ont été accueillies à la permanence pour demander

Plus en détail

MENTION PSYCHOLOGIE OBJECTIF DE LA FORMATION. Les spécialités :

MENTION PSYCHOLOGIE OBJECTIF DE LA FORMATION. Les spécialités : MENTION LOGIE Les spécialités : Psychologie clinique et pathologique () Cliniques criminologiques et victimologiques () Psychologie du travail et ingénierie psychologique () Psychologie Sociale et communautaire

Plus en détail

Violence au travail Un organisme national

Violence au travail Un organisme national Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Qu est-ce que le Fastt?

Qu est-ce que le Fastt? Qu est-ce que le Fastt? Des services et aides pour les intérimaires Logement Location véhicules Action sociale Conseils crédit Garde d enfants Mutuelle Un besoin à financer? Un accompagnement, un diagnostic

Plus en détail

CONTENU DU CAHIER DE GESTION

CONTENU DU CAHIER DE GESTION COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires

Plus en détail

Note de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013

Note de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013 Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

Focus Assistance 2014

Focus Assistance 2014 Focus Assistance 2014 SOCIETE D ASSURANCE MUTUELLE LES SERVICES D ASSISTANCE INTÉGRÉS À VOS CONTRATS D ASSURANCES SOMMAIRE Assistance Route Tranquille... 3 Assistance Automobile... 4-5 Assistance Vie Tranquille...

Plus en détail

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés. Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare

Plus en détail

V- SUIVI DU RECOUVREMENT

V- SUIVI DU RECOUVREMENT V- SUIVI DU RECOUVREMENT 1 er cas : la régularisation du chèque est possible Incident de paiement le «moins grave» L avis de non-paiement mentionne «chèque sans provision, avec faculté de régularisation».

Plus en détail

Lutter contre les exclusions

Lutter contre les exclusions D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,

Plus en détail

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique 18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise?

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise? Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme

Plus en détail

Les femmes victimes. Violences. conjugales LE RÔLE DES INTERVENANTS SOCIAUX

Les femmes victimes. Violences. conjugales LE RÔLE DES INTERVENANTS SOCIAUX Les femmes victimes Violences de conjugales LE RÔLE DES INTERVENANTS SOCIAUX Cette brochure a été réalisée par le Service des droits des femmes et de l égalité avec le concours de la Direction générale

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014 LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET Restitution - 13 octobre 2014 ATTENTION Ne pas cumuler! LE DISPOSITIF D ÉTUDE Evaluer la contribution à l économie locale

Plus en détail

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME DOSSIER DE PRESSE Communiqué de presse.................................. p.2 et 3 Bilan des P2RI en Pays

Plus en détail

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication

Plus en détail

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.

La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de

Plus en détail

LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE

LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE 1 LA REGLEMENTATION LA REGLEMENTATION 2 L arrêté ministériel du 18 mars 1991 modifié le 23 mai 2008 Le classement, la réglementation et l équipement

Plus en détail

Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5

Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Code pénal social Application sur la Loi et le Code du Bien-être au travail Dispositions pénales de la Loi du Bien-être de 1996 Les articles

Plus en détail

Quotidom maison & cie NOUVEAU. Vivez!

Quotidom maison & cie NOUVEAU. Vivez! Quotidom maison & cie NOUVEAU Vivez! UNE ASSISTANCE VIE QUOTIDIENNE, POURQUOI? Vous jonglez tous les jours entre travail et vie personnelle Mais un grain de sable peut vite tout compliquer : votre machine

Plus en détail

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau

Plus en détail

Q. QUELLE EST LA MISSION DU CENTRE DE CRISE POUR LES VICTIMES DE VIOL?

Q. QUELLE EST LA MISSION DU CENTRE DE CRISE POUR LES VICTIMES DE VIOL? Q. QUELLE EST LA MISSION DU CENTRE DE CRISE POUR LES VICTIMES DE VIOL? R. Le Centre de crise pour les victimes de viol est un groupe de femmes qui apporte son soutien aux femmes qui ont vécu une expérience

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Observatoire Gleeden de l infidélité

Observatoire Gleeden de l infidélité 16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

AUVERGNE Mai 2013. Onisep Orléans

AUVERGNE Mai 2013. Onisep Orléans Mai 2013 Ambulancier(ère) Auxiliaire ambulancier(ère) Onisep Orléans Sur prescription médicale ou en cas d urgence, la prise en charge et le transport de malades ou de blessés sont soumis à des règles

Plus en détail

Maison du droit et de la médiation www.ville-stains.fr

Maison du droit et de la médiation www.ville-stains.fr www.ville-stains.fr SOMMAIRE page 4 INFORMATION ET ORIENTATION page 6 ACCES AU DROIT page 8 AIDE AUX VICTIMES page 10 MEDIATION page 12 ECRIVAIN PUBLIC page 14 LEXIQUE + NOS PARTENAIRES EDITO Pour la Municipalité,

Plus en détail

«Le portail unique des solutions de logement pour les seniors»

«Le portail unique des solutions de logement pour les seniors» «Le portail unique des solutions de logement pour les seniors» Sommaire Historique 3 Nos internautes 4 Objectifs du site 5 Contenu du site par univers 6 Notre Plan de communication 13 Contact 14 2 Historique

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE 2013. Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO)

RAPPORT D ACTIVITE 2013. Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO) RAPPORT D ACTIVITE 2013 Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO) des Alpes de Haute Provence Rapport d activité du SIAO/115 Année 2013 Page 1 Sommaire Introduction A- Le SIAO «urgence» :

Plus en détail

Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées 2013-2018

Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées 2013-2018 Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées 2013-2018 cliquez ici pour entrer LE DÉPARTEMENT S'ENGAGE POUR L'ACCÈS ET LE MAINTIEN DURABLE DE TOUS DANS UN LOGEMENT Arrêté Arrêté

Plus en détail

Comité de pilotage de la plate-forme d observation des données sociales en région Centre-Val de Loire

Comité de pilotage de la plate-forme d observation des données sociales en région Centre-Val de Loire DRJSCS Centre Compte rendu 15/06/2015 réunion du : 28/05/2015 objet Comité de pilotage de la plate-forme d observation des données sociales en région Centre-Val de Loire Présents : LECLERC Céline (ORS),

Plus en détail

GENER'ACTION Formation

GENER'ACTION Formation GENER'ACTION Formation Actions et formations dans le domaine de la gérontologie sociale GENER'ACTION Formation est une association loi 1901 à but non lucratif dont l'objet est de : Permettre de maintenir

Plus en détail

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef

Plus en détail

DÉPARTEMENT DE SEINE ET MARNE ARRONDISSEMENT DE TORCY COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE COMMUNAUTE DU 30 MARS 2015

DÉPARTEMENT DE SEINE ET MARNE ARRONDISSEMENT DE TORCY COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE COMMUNAUTE DU 30 MARS 2015 ! DÉPARTEMENT DE SEINE ET MARNE ARRONDISSEMENT DE TORCY COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE COMMUNAUTE DU 30 MARS 2015 Date de convocation : 24 mars 2015 Date de publication : 24 mars 2015 L'an deux

Plus en détail

Offre CE ADECCO. Pour tous renseignements :

Offre CE ADECCO. Pour tous renseignements : Offre CE ADECCO Une nouvelle solution pour La sécurité résidentielle 1,2 millions de clients en Europe 10 pays en Europe 2 plateformes: Europe du Nord Europe du Sud Un nouveau client souscrit chaque minute

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

Comment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire

Comment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire La personne victime dans le processus judiciaire Comment s y retrouver Définitions de différents actes criminels : Les crimes contre la personne : Voie de fait (articles 265 à 269 du Code criminel) : acte

Plus en détail

QUI PEUT BENEFICIER D UNE EXONERATION DE COTISATIONS?

QUI PEUT BENEFICIER D UNE EXONERATION DE COTISATIONS? Les cotisations des non-salariés agricoles obéissent à une règle d annualité prévue par le décret n 84-936 du 22.10.1984 ; c est-à-dire qu elles sont émises pour l année civile complète, en fonction de

Plus en détail

Projet intersyndical d accord collectif portant sur la sécurité des entreprises et établissements relevant de la convention collective nationale des

Projet intersyndical d accord collectif portant sur la sécurité des entreprises et établissements relevant de la convention collective nationale des Projet intersyndical d accord collectif portant sur la sécurité des entreprises et établissements relevant de la convention collective nationale des casinos de jeux Projet du 06 Mai 2011 1 Préambule Les

Plus en détail

Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques

Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment

Plus en détail

La responsabilité pénale dans l entreprise

La responsabilité pénale dans l entreprise La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?

Plus en détail

Nouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement

Nouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement Nouveaux médias Guide pour les écoles obligatoires Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement 1 Police cantonale bernoise Etat-major/Prévention Groupe nouveaux médias Case postale 7571, 3001

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

Bien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble

Bien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,

Plus en détail

Gerard-Samuel.Braon@ac-reunion.fr 13/10/2013. Gérard Samuël BRAON, P. EPS, Formateur FPC EPS, ac-rérunion

Gerard-Samuel.Braon@ac-reunion.fr 13/10/2013. Gérard Samuël BRAON, P. EPS, Formateur FPC EPS, ac-rérunion Formateur FPC EPS, acrérunion COMPETENCES METHODOLOGIQUES ET SOCIALES et Acquisition de COMPETENCES MOTRICES en Education Physique et Sportive (SUPPORT DE LA FPC EPS /CP3DANSE 20132014) 1 GerardSamuel.Braon@acreunion.fr

Plus en détail

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 demande de logement locatif

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

hôpital handicap Santé mutuelle aide médicale d urgence médecin de garde carte SIS maison médicale pharmacie planning familial

hôpital handicap Santé mutuelle aide médicale d urgence médecin de garde carte SIS maison médicale pharmacie planning familial carte SIS mutuelle aide médicale d urgence handicap planning familial maison médicale hôpital pharmacie médecin de garde Santé Je vis en Belgique. Ai-je droit aux soins de santé? En Belgique, tout le monde

Plus en détail

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE)

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) UN FORMULAIRE DUMENT REMPLIS AVEC UNE PHOTO RECENTE. PASSEPORT D UNE VALIDITE MINIMALE DE 3 MOIS APRES L EXPIRATION DU VISA ET UN MINIMUM DE 2 PAGES

Plus en détail

Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale)

Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Son histoire 1972 Situé à Villefranche-sur-Saône, le FTVS était un service de transition professionnelle vers le milieu ordinaire. 1993

Plus en détail

SÉCURITÉ DES FEMMES DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN. Plan national de lutte contre le harcèlement sexiste et les violences sexuelles

SÉCURITÉ DES FEMMES DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN. Plan national de lutte contre le harcèlement sexiste et les violences sexuelles SÉCURITÉ DES FEMMES DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN Plan national de lutte contre le harcèlement sexiste et les violences sexuelles ÉDITOS BERNARD CAZENEUVE Ministre de l Intérieur La sécurité est un droit

Plus en détail

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes

Plus en détail

Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017

Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911

Plus en détail

Le coin des conventions

Le coin des conventions ACCORD DE LA BRANCHE SANITAIRE, SOCIALE ET MÉDICO-SOCIALE À BUT NON LUCRATIF Mise en œuvre de la création d emplois par l aménagement et la réduction du temps de travail Accord de branche signé le 1er

Plus en détail

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail : Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours

Plus en détail

Le projet de loi 133. Une mesure pour assurer la sécurité des victimes de violence

Le projet de loi 133. Une mesure pour assurer la sécurité des victimes de violence Le projet de loi 133 Une mesure pour assurer la sécurité des victimes de violence Comité logement pour les droits des victimes de violence conjugale 6 décembre 2005 Présentation Le Comité logement pour

Plus en détail

SOLIDARITÉS CIL-PASS ASSISTANCE. présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires. aides :

SOLIDARITÉS CIL-PASS ASSISTANCE. présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires. aides : FORMATION DROM 2014 CIL-PASS ASSISTANCE présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires Des difficultés de logement? Amallia est à vos côtés. aides : prêts action logement aides complémentaires

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail