Quelle est l'origine de nos croyances morales? Votre professeur : Cédric Eyssette

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1 Quelle est l'origine de nos croyances morales? Votre professeur : Cédric Eyssette

2 A - Nos croyances morales semblent être avant tout le résultat d'une éducation Les croyances morales sont d'abord l'objet d'une transmission, et d'une éducation morale qui se fait à travers les différentes institutions sociales, surtout au sein de la famille et de l'école. Toutefois on peut penser cette notion d'éducation, non seulement comme éducation de l'individu, mais aussi comme éducation de l'humanité dans son ensemble, comme processus historique qui fait progressivement des individus des sujets moraux. Nous sommes alors conduits à faire, à la manière de Nietzsche, une sorte de généalogie de la morale.

3 La notion de généalogie de la morale chez Nietzsche se rapporte à trois idées. Faire la généalogie de la morale, c'est : 1/ Expliquer les origines historiques des croyances morales. Les valeurs morales sont pour nous naturelles, évidentes, mais les croyances morales seraient en fait le résultat d'un processus historique et d'une construction sociale. Les valeurs n'existent pas depuis toujours, elles dépendent d'un contexte social, et de circonstances historiques. 2/ Examiner la «valeur des valeurs». Ce que nous tenons pour le bien et le mal ne l'est pas nécessairement. L'analyse de l'origine des croyances morales met en évidence les vices, les faiblesses sur lesquels se fondent les vertus que nous valorisons. 3/ Ne pas en rester au niveau de la conscience morale et des principes, mais comprendre le fond pulsionnel sur lequel et contre lequel se construit la morale. La morale, avant de reposer sur la conscience morale de l'individu, se fonde sur une pulsion grégaire. Les mœurs sont en ce sens une morale du troupeau. Le bien et le mal se construisent alors à partir de la distinction entre ce qui est normal, habituel, traditionnel, et ce qui est anormal, inhabituel, non traditionnel. La morale se fonde sur la conformité de l'individu à la norme du groupe, sur la crainte de ce qui sort de l'ordinaire, et sur le désir d'être conforme à ce que les autres attendent de moi. Toute règle suppose un comportement régulier, la morale implique alors un processus de domestication des pulsions. Les mœurs sont en ce sens une morale du dressage. C'est à travers ce processus de domestication que progressivement va se constituer la conscience morale : le contrôle extérieur des pulsions se transforme en un autocontrôle intérieur et les pulsions d'agressivité se retournent contre l'individu lui-même sous la forme du sentiment de honte ou de culpabilité.

4 Nietzsche s'intéresse essentiellement à la généalogie de la morale chrétienne, mais nous pouvons suivre la même démarche et tenter une généalogie de la morale moderne. On peut faire en ce sens une généalogie de la valorisation de la tolérance dans la modernité. Exercice : 1) Quels sont les changements historiques qui conduisent à l émergence de la tolérance comme valeur fondamentale des sociétés modernes? 2) La tolérance est-elle toujours un bien? Dans quels cas la tolérance est-elle une marque de faiblesse? 3) La valorisation de la tolérance est solidaire d une valorisation de l individu et de sa capacité à faire des choix personnels, mais dans quelle mesure la morale contemporaine est-elle encore une morale du troupeau, et une morale du dressage? Le processus d'éducation des individus qui en fait progressivement des sujets moraux permet-il d'expliquer le phénomène moral dans son intégralité? Les circonstances historiques et sociales jouent certes un rôle important dans la construction des croyances morales, mais n'y a-t-il pas une base naturelle de la morale?

5 B - Peut-on dire qu il y a une base naturelle de la morale? Nietzsche, qui considère que les croyances morales sont le résultat d'un processus particulier d'éducation, s'oppose à l'idée d'un sens naturel de la morale. Pourtant, ne pouvons-nous pas supposer que la morale s'inscrit dans une évolution non pas simplement historique et sociale, mais dans l'évolution naturelle elle-même? Rousseau est l'un des penseurs qui défend le plus nettement l'idée qu'il existe un sens naturel de la morale, qui se manifeste, selon lui, sous la forme du sentiment de pitié.

6 Deux distinctions peuvent permettre de comprendre la pitié comme sentiment naturel : naturel vs. social Avant même que les hommes vivent dans des sociétés constituées, régies par des lois et où il y a des institutions qui transmettent des croyances morales, les hommes sont capables de sens moral. Rousseau va jusqu à affirmer que le sens moral, qui existait déjà à l'état de nature, est en fait perverti par le développement des sociétés : le prétendu «progrès» n est en fait qu une décadence du point de vue moral. L homme à l état de nature est capable de ressentir la souffrance d autrui, car l autre est toujours considéré comme son semblable. À travers le sentiment de pitié, je me mets en un sens à la place de l autre. Or toute société repose sur des inégalités, des hiérarchies. Ce système de places et de classes sociales rend plus difficile l expression de notre sens moral, qui se fonde au contraire sur l intuition d une égalité de condition. sentiment vs. raison Il faut bien comprendre que la pitié n est pas une forme de raisonnement qui chercherait à déduire ce que nous avons à faire à partir d une représentation de ce que nous ferions si nous étions à la place de l autre. La pitié est identification immédiate à la souffrance d autrui, sous la forme d un sentiment et non d un raisonnement. Le sens moral est d abord l expression d une subjectivité qui ressent une souffrance, avant d être recherche par la réflexion d une forme d objectivité. Rousseau va parfois jusqu à soutenir que le sens moral est perverti par le développement de la raison : la raison, dans la mesure où elle repose sur une mise à distance, une attitude de recul, de surplomb, s oppose à l identification immédiate avec autrui.

7 Cette position sur la morale est-elle pertinente? Nous proposons ici deux mises en perspectives des remarques de Rousseau sur la pitié comme sentiment naturel. 1/ Rousseau affirmait que le développement de la raison et des sociétés rendait plus difficile l expression de notre sens moral, mais nous pouvons également affirmer que la spécificité du mal produit par l homme s explique justement par le fait qu il est un animal rationnel et un animal social. Prenons l exemple du mal commis par les nazis : a) Il serait trop facile de supposer que le nazi est bête. Les nazis ont au contraire cherché le moyen qui serait rationnellement le plus adapté pour accomplir leurs projets d extermination. On peut observer ainsi dans la lettre de Willy Just un usage pervers de la raison, qui conduit justement à une véritable distanciation avec la situation. La lettre se concentre par exemple sur le problème technique de la gestion des lumières dans les camions à gaz : il n est pas fait référence aux personnes gazées elles-mêmes qui constituent ici simplement le chargement. b) Le mal commis par les nazis semble reposer en partie sur une logique de soumission à l autorité, qui elle-même repose sur une hiérarchie et un système de différenciation des rôles. C est l hypothèse de la banalité du mal que propose Hannah Arendt, lorsqu elle cherche à comprendre le cas d Adollf Eichmann, qui était responsable de la logistique de la solution finale. Cette hypothèse ne cherche nullement à disculper les individus, mais simplement à expliquer comment un individu ordinaire peut se transformer en bourreau : un individu lambda peut accomplir un acte monstrueux lorsqu il est placé en situation d obéissance à une autorité sur laquelle il transfère toute responsabilité, et qui lui demande d exécuter mécaniquement une procédure. C est ce qu on a pu observer dans l expérience de Milgram. On demande à des individus de participer à une expérience scientifique sur la mémorisation : l un sera l élève, qui devra apprendre des associations de mots, l autre le maître, qui devra infliger des punitions (sous la forme de décharges électriques de 15V à 450V) en cas d erreur. En fait, l élève est un acteur, qui va simuler la souffrance. Ce qui est testé, c est l obéissance du maître : 65% vont au bout de l expérience et le choc maximal moyen est de 405V. Le maître semble ici transférer sa responsabilité sur le scientifique qui organise l expérience, et applique une procédure mécanique qui le détache de la souffrance d autrui.

8 2/ Rousseau affirme que la pitié existe à l état de nature, quelle est la pertinence de cette idée d un sens moral naturel d après les connaissances que nous avons sur l apparition de comportements moraux chez les êtres vivants dans l évolution naturelle? La lecture d un entretien avec Frans de Waal nous a permis de comprendre qu il y a bel et bien une base naturelle de la morale : on peut observer des formes d empathie et d aversion pour l iniquité chez les animaux (cf. les exemples donnés par Frans de Waal) ; les études sur le fonctionnement du cerveau semblent montrer que notre sens moral repose à la base sur des émotions (les zones du cerveau qui s'activent lorsque nous faisons des décisions à propos de cas de morale sont principalement celles qui sont liées aux émotions). Est-il alors possible d expliquer en partie la morale de manière naturaliste, dans le cadre de la théorie darwinienne de l évolution? Le défi est de comprendre comment les comportements moraux ont pu être sélectionnés dans l évolution : les traits qui sont sélectionnés sont ceux qui confèrent un avantage adaptatif à un individu, or un comportement moral à première vue ne confère pas un avantage adaptatif à l individu dans la mesure où celui-ci sera disposé à se sacrifier pour l autre, à prendre en compte le bien d autrui, plutôt que le sien. On trouve plusieurs tentatives de réponse dans ce champ de recherche contemporain (que l on appelle l éthique évolutionniste). Quoi qu il en soit une telle analyse ne doit pas nous conduire à nier la spécificité de la morale humaine, qui ne fait pas seulement appel à des émotions, mais qui se construit également au niveau du jugement, par la discussion et par le raisonnement.

9 En définitive, ce qui fait de nous les sujets moraux que nous sommes, c est à la fois : - une évolution historique et sociale, qui conduit, sous l effet de certaines circonstances, à certains jugements de valeur, qui s inscrivent dans les individus par pulsion grégaire et par un processus de domestication des pulsions. - et l évolution naturelle, qui a sélectionné certaines émotions sociales, comme l empathie et l aversion pour l iniquité, pour maintenir la coopération entre individus. Une telle analyse permet d'expliquer nos croyances morales, d'en comprendre l'origine. Mais peut-on justifier nos croyances morales? Y a-t-il une vérité, un fondement en morale? Ce sera l'objet de notre prochain questionnement.

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