Fiche d évaluation en fin de formation (FEFF)/ Rapport détaillé sur les compétences (RDC)
|
|
- Zoé Guérard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiche d évaluation en fin de formation (FEFF)/ Rapport détaillé sur les compétences (RDC) Numéro de référence : Nom et numéro d identification : Fiche d évaluation couvrant la dernière année de résidence : Addresse : Le Comité du programme de résidence atteste que ce résident1 a satisfait aux exigences de formation de la spécialité/surspécialité, conformément aux Objectifs de la formation, et qu il possède les compétences requises pour exercer à titre de spécialiste. 1L emploi du masculin ne vise qu à simplifier la lecture du texte et englobe les deux genres La présente évaluation repose sur des informations tirées des sources suivantes : OUI NON examens écrits examens oraux observations cliniques des professeurs (p.ex.rapports d évaluation en cours de formation) les évaluations normalisées d un rapport sur les rencontres cliniques (ENRRC) commentaires des professionnels de la santé ECOS achèvement d un projet de recherche érudite autre (veuillez préciser) : COMMENTAIRES : Date Nom du directeur de programme/ Évaluateur d un RDC Signature Date Nom du doyen des études postdoctorales/évaluateur d un RDC Signature Date Nom du résident Signature du résident La présente atteste que j ai lu ce document. Le masculin est utilisé seulement pour simplifier le texte. Ce document peut être reproduit pour des fins éducatives seulement, et ce, à condition que la phrase suivante soit incluse dans tous les documents relatifs : Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, Cité et reproduit avec permission. Veuillez faire parvenir un exemplaire du produit final à l attention du directeur associé, Unité des spécialités du Bureau de l éducation spécialisée. Il faut obtenir l autorisation écrite du Collège royal pour toutes les autres utilisations. Pour obtenir plus de renseignements sur la propriété intellectuelle, veuillez communiquer avec nous à documents@collegeroyal.ca. Si vous avez des questions concernant l utilisation de ce document, veuillez communiquer avec nous à credentials@collegeroyal.ca. Page 1 de 2
2 Numéro d identification: COMMENTAIRES DU RÉSIDENT : REMARQUE : Si, durant la période allant de la date de signature de ce document à la fin de la formation, le Comité du programme de résidence estime que les preuves de compétence du candidat ne concordent pas à l évaluation actuelle, le Comité peut déclarer le document nul et non avenu et le remplacer avec une nouvelle FEFF mise à jour. L admissibilité aux examens dépendra alors de la FEFF mise à jour Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Tous droits réservés. Page 2 de 2
3 (Veuillez lire les notes explicatives ci-jointes avant de remplir ce rapport) parfois* parfois EXPERT MÉDICAL a. Démontre des connaissances scientifiques fondamentales pertinentes à l ophtalmologie b. Démontre des connaissances cliniques pertinentes à l ophtalmologie c. Effectue une anamnèse et des examens physiques complets, précis, bien organisés et pertinents à l ophtalmologie d. Sélectionne les méthodes d'examen appropriées pour l appareil oculaire et visuel, incluant sans s y limiter, la tomodensitométrie (TDM), l imagerie par résonnance magnétique (IRM), l'angiographie à la fluorescéine intraveineuse (IFVA), la tomographie par cohérence optique (OCT), l échographie du globe et de l orbite, la topographie cornéenne, et l ophtalmoscopie laser à balayage confocal e. Analyse toutes les informations pertinentes pour aboutir à des décisions cliniques précises et complètes dans les domaines précis suivants : Maladies de la cornée et l œil externe Glaucome Uvéite Troubles de la rétine et du vitrée Troubles neuro-ophtalmologiques Oculoplastie et maladie orbitaire Troubles ophtalmologiques pédiatriques Troubles oculaires d urgence, incluant sans s y limiter, l œil rouge, la perte aiguë de la vision, le traumatisme et l infection f. Montre des connaissances de la réfraction et des principes de l optique g. Montre des connaissances de la correction d erreurs de réfraction, y compris la correction par lunettes, par verres de contact et les méthodes chirurgicales Page 1 de 9
4 h. Sélectionne les interventions chirurgicales appropriées en fonction de la situation clinique i. Reconnaît et gère les situations d urgence par une prise en charge sans délai et un traitement approprié. Reste calme et agit en temps opportun et établit les priorités correctement j. Choisit et pratique efficacement des interventions préventives et thérapeutiques k. Consulte au besoin d autres professionnels de la santé tout en reconnaissant les limites de leur expertise Page 2 de 9
5 parfois* parfois COMPÉTENCES CLINIQUES ET D INTERVENTION Fait preuve d aptitude à poser des diagnostics et à entreprendre les interventions thérapeutiques précisées dans les parties 4 et 6 d Expert médical des Objectifs de la formation en ophtalmologie. a. Interprétation des examens diagnostiques, y compris sans toutefois s y limiter, les examens d électrophysiologie visuelle et les examens du champ visuel b. Traitement laser, incluant sans s y limiter, les interventions pour le glaucome, la rétine et la capsule c. Chirurgie de la cataracte d. Chirurgie pour strabisme e. Chirurgie de la paupière et périoculaire f. Chirurgie de la surface oculaire g. Chirurgie lacrymale h. Chirurgie de glaucome i. Prise en charge chirurgicale du traumatisme oculaire et périoculaire j. Énucléation et éviscération k. Reconnaît et prend en charge les complications survenant durant un traitement médical ou chirurgical et après celui-ci Obtient un consentement éclairé approprié pour les interventions et les traitements Réduit le plus possible les risques et l inconfort pour le patient Possède dans l'ensemble des compétences cliniques et d'interventions pertinentes à l ophtalmologie Page 3 de 9
6 parfois* parfois COMMUNICATEUR a. Établit une relation thérapeutique avec les patients et leurs familles b. Communique l information aux patients et à leurs familles de manière efficace au sujet du diagnostic de maladies pouvant entraîner la cécité, incluant les interventions possibles et le pronostic c. Fournit des explications claires et complètes sur le diagnostic, les examens et la prise en charge d. Transmet efficacement des informations écrites précises et en temps opportun Page 4 de 9
7 parfois* parfois COLLABORATEUR a. A une interaction efficace avec les autres professionnels de la santé en reconnaissant l importance de leur rôle et leur expertise b. Consulte et délègue efficacement c. Collabore de manière efficace et constructive avec les membres d une équipe de soins pour optimiser les soins aux patients d. Fournit et reçoit l information de façon efficace e. Travaille de manière efficace avec les autres professionnels de la santé pour prévenir, négocier et résoudre un conflit interprofessionnel Page 5 de 9
8 parfois* parfois GESTIONNAIRE a. Utilise à bon escient les technologies de l information, notamment les méthodes d exploitation des banques de données médicales b. Utilise raisonnablement les ressources du système de soins de santé c. Établit des priorités réalistes et gère efficacement son temps afin d optimiser son rendement professionnel d. Fait preuve de compréhension des principes de gestion de la pratique e. Fait preuve de l'habileté à répartir judicieusement les ressources limitées des services de santé Page 6 de 9
9 parfois* parfois PROMOTEUR DE LA SANTÉ a. Conseille les patients et, s il y a lieu, intervient au nom de ceux-ci en ce qui concerne les facteurs sociaux, économiques et biologiques pouvant influer sur leur santé ou prévenir la maladie, y compris la cessation du tabagisme et le port de lunettes de protection b. Intervient au nom de la communauté en ce qui concerne les facteurs sociaux, économiques et biologiques qui peuvent avoir des conséquences sur la santé communautaire et qui sont pertinents à l ophtalmologie c. Reconnaît et répond de manière appropriée aux situations propices à la défense des intérêts, incluant la facilitation à l accès aux services destinés aux personnes ayant une basse vision et aux autres ressources pour les personnes présentant une déficience visuelle d. Trace les grandes lignes des questions clés faisant actuellement l objet de débats, en ce qui concerne les changements apportés aux systèmes de soins de santé au Canada, comme le contrôle des coûts et l égalité d accès, et les modèles de soins collaboratifs pertinents à l ophtalmologie Page 7 de 9
10 parfois* parfois ÉRUDIT a. Fait preuve d engagement envers la formation continue b. Développe et met en œuvre une stratégie efficace d autoapprentissage continu c. Sait évaluer de façon critique les informations médicales d. Réussit à intégrer les renseignements de diverses sources e. Décrit les principes de l apprentissage des adultes et aide d autres personnes à apprendre en leur fournissant une orientation et de l enseignement, et en leur fournissant des commentaires constructifs Participe à un projet scientifique, d assurance de la qualité ou éducatif pertinent à l ophtalmologie Oui Non Page 8 de 9
11 parfois* parfois PROFESSIONNEL a. Adopte un comportement professionnel, incluant l intégrité, l honnêteté, la compassion, le respect et l altruisme b. Suit les codes de pratique acceptés de la profession, fondés sur la loi et l éthique c. Respecte les échéances, fait preuve de ponctualité en ce qui concerne les consultations en clinique, les interventions chirurgicales, l enseignement et les autres activités d. Décrit et applique les principes de l éthique e. Est sensible aux limites de sa propre expertise et demande conseil au besoin f. Accepte la rétroaction et les conseils d'autrui avec humilité Page 9 de 9
LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailActivité scientifique et recherche :
L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailPROGRAMME DE BOURSES DE INTERNATIONAL COUNCIL OF OPHTHALMOLOGY 1. Les Bourses de trois mois de International Council of Ophthalmology
PROGRAMME DE BOURSES DE INTERNATIONAL COUNCIL OF OPHTHALMOLOGY 1. Les Bourses de trois mois de International Council of Ophthalmology Dans le cadre de la promotion et du renforcement des capacités en ophtalmologie,
Plus en détailmedical vision group
medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision
Plus en détailTrousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue
Trousse média 2015 Soyez vu... nous sommes lus! La revue Imprimé 10 raisons profitables d investir dans la revue l Optométriste 1. Bénéficiez d une excellente visibilité auprès de l ensemble des optométristes
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailBIEN santé re- gar- aire icit L ub P ctère der cara L à ctue ontra c non Document 704 13 10 t - 10 11/
santé BIEN regarder LES BONNES La consultation d un professionnel de santé pour les soins optiques n entre pas dans le cadre du parcours de soins. Vous pouvez donc contacter directement un ophtalmologiste
Plus en détailBourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures
Bourse de recherche Jeff Thompson Politique et procédures Table des matières Objet et contexte... 2 Financement... 2 Candidats admissibles... 3 Processus de sélection et d attribution de la bourse... 4
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailFaites l expérience d une meilleure vision
Faites l expérience d une meilleure vision IRIS est le plus grand réseau d optométristes, d opticiens et d ophtalmologistes au Canada répartis dans 160 boutiques et cliniques. Chaque professionnel IRIS
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailFormule Fixe : Bien-être Régime général ou local Sécurité Sociale
Formule Fixe : Bien-être Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généralistes et spécialistes 150% Analyses
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailAprès votre chirurgie à la rétine
2011 Après votre chirurgie à la rétine Le Eye Care Centre Veuillez apporter la présente brochure à l hôpital le jour de votre opération. Après votre chirurgie à la rétine Après la chirurgie...2 Injection
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailAGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION
AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non
Plus en détailANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413
ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailRégimes publics d assurance-maladie au Canada :
Comparaison des régimes provinciaux et territoriaux Dispositions en date du 1 er octobre 2010 Comparaison des régimes provinciaux et territoriaux i CANADA Comme leur nom l indique, les régimes complémentaires
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailPratique médico-militaire
Pratique médicomilitaire Activité d ophtalmologie au Groupement médicochirurgical de Kaboul en 007. R. Vignal. GMC Bouffard, SP 850 008 Armées. Article reçu le 9 janvier 008, accepté le 5 août 009. Résumé
Plus en détailAfrica-Info : Cameroun: Première opération du cœur par radiofréquence au Cameroun Jeudi, 16 Février 2012 00:22
Ai-Cameroun C est une équipe multidisciplinaire conduite par le Professeur Jean Michel Haissaguerre assisté du Professeur Agboton et de plusieurs cardiologues et médecins généralistes qui a procédé pour
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailConditions Générales du RME
1. Champ d application 1 2. Règlement RME 1 3. Prestations du RME 1 3.1 Généralités 1 3.2 Enregistrement 1 3.3 Liste des Méthodes 2 3.4 Conditions d Enregistrement 2 3.5 Demandes d enregistrement 2 3.6
Plus en détailFull Professor or Associate Professor of Ophthalmology, Head Physician Head of the Anterior Segment Service for the Jules Gonin Eye Hospital
The Faculty of Biology and Medicine of the University of Lausanne, Switzerland, the Lausanne University Hospital (CHUV) and the Jules-Gonin Eye Hospital invite applications for a position of: Full Professor
Plus en détailComment réduire ma cotisation Santé?
Santé Comment réduire ma cotisation Santé? Chèque Complémentaire Santé Une contribution significative à votre cotisation et un accès facilité à la plupart des solutions Santé d AXA Chèque Complémentaire
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailEn février 2013, l Institut a été félicité par Agrément Canada pour avoir atteint les normes d excellence nationales en soins de santé.
INSTITUT DE L ŒIL DE MONTRÉAL MONTREAL EYE INSTITUTE L INSTITUT Fondée en 1984, La Clinique de l œil de Montréal est devenue, à la suite d'une importante expansion, l Institut de l œil de Montréal, un
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailAssurance invalidité de courte durée. Guide du salarié
Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements
Plus en détailChoississez le niveau de vos remboursements le mieux adaptés à vos besoins
MES GARANTIES Choississez le niveau de vos remboursements le mieux adaptés à vos besoins Les garanties de base PRESTATIONS 2011 à compter du 1 er janvier 2011 Equilibre Confort Excellence Optimum MES REMBOURSEMENTS
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailTAUX MENSUELS DE PRIMES GARANTIE OBLIGATOIRE à compter du 1er juillet 2013
TAUX MENSUELS DE PRIMES GARANTIE OBLIGATOIRE à compter du 1er juillet 2013 ASSURANCES MALADIE OBLIGATOIRE RÉGIME A 0-29 67,10 $ 76,74 $ 143,32 $ 30-39 78,43 $ 89,69 $ 167,50 $ 40-49 88,21 $ 100,88 $ 188,35
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailQuestions/Réponses. Selfassurance Santé. 1. Souscrire une assurance santé
Selfassurance Santé Questions/Réponses 1. Souscrire une assurance santé Les différents Régimes Obligatoires Le Régime Obligatoire d assurance maladie de Sécurité sociale française dont relève l assuré
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailSANTE Avec France Loisirs Assurances, l assurance SANTE devient plus simple. France Loisirs Assurances c est votre Assureur à domicile!
Fiche Produit SANTE Avec France Loisirs Assurances, l assurance SANTE devient plus simple. Notre rôle est de vous proposer un contrat avec toutes les garanties dont vous avez besoin pour assurer votre
Plus en détailCURRICULUM VITÆ. Dr Cristina Manuela HUBERT Ophtalmologue. Expérience professionnelle. Stages à l Étranger. Education postuniversitaire
CURRICULUM VITÆ Dr Cristina Manuela HUBERT Ophtalmologue Expérience professionnelle 2012 - Ouverture d une salle d opération privé accrédité Hubert Vision à Arlon, Belgique 2011- Ouverture du cabinet privé
Plus en détailGuide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches
Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches Appendice I des Lignes directrices pour l application en clinique des cellules souches Traduction fournie par le Réseau de
Plus en détailOrdelys santé. senior. Ordelys. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion à partir de 55 ans
Demande d adhesion immédiate, Sans questionnaire de santé, ni délai d attente san Ordelys santé Complémentaire santé senior Ordelys santé senior Adhésion à partir de 55 ans Vos garanties /// ORDELYS SANTE
Plus en détailLa conduite automobile et le vieillissement
La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,
Plus en détailLaserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)
Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat
Plus en détailVOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE
Version octobre 2012 VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE ASSISTANTES MATERNELLES & SALARIES DE PARTICULIERS EMPLOYEURS Une équipe de conseillers est à votre service du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détaill''rl("t l\(1 fiuaf Exigences visuelles règlementaires et professions 562- INTERREGION OUEST UNIVERSITE DE NAI\ITES UFR MEDECINE
INTERREGION OUEST UNIVERSITE DE NAI\ITES UFR MEDECINE 562- l''rl("t l\(1 fiuaf MEMOIRE POUR LA CAPACITE EN MEDECINE DE SANTE AU TRAVAIL ET DE PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Dominique Baysset Née
Plus en détailJournées. www.cpro.ca. Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL. 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5
2015 Journées OPTOMÉTRIQUES Les 23 et 24 mai 2015 SHERATON LAVAL 2440, Autoroute des Laurentides Laval (Québec) H7T 1X5 Centre de perfectionnement et de référence en optométrie www.cpro.ca BIENVENUE CHANGEMENT
Plus en détailPACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX
PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX Une garantie de paiement (entente préalable) peut être requise pour certaines prestations comme indiqué par un «1» ou un «2» dans le tableau ci-dessous.
Plus en détailClinique de micropuçage : questions fréquentes
Clinique de micropuçage : questions fréquentes 1. Qu est-ce qu une micropuce? Une micropuce est une très petite capsule de la taille d'un grain de riz comprenant une puce informatique qui retient un code
Plus en détailComplémentaire Santé d AXA. Bien comprendre ma couverture santé, c est essentiel! Guide pratique
Complémentaire Santé d AXA Bien comprendre ma couverture santé, c est essentiel! Guide pratique Tout ce que vous devez savoir pour bien profiter de votre Complémentaire Santé d AXA* Votre Complémentaire
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailLe droit à l image???
Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le
Plus en détailFormation continue de secrétaire médicale H+ pour employées de commerce
Formation continue de secrétaire médicale H+ pour employées de commerce Formation continue de secrétaire médicale H+ *Cette formation continue s adresse également aux candidats masculins. Groupe cible
Plus en détailGuide Pratique Frais de santé
Version janvier 2013 Guide Pratique Frais de santé Anciens salariés Site internet : www.cgam.fr E-mail : individuel@cgam.fr Adresse postale : CGAM 41207 ROMORANTIN Cedex Par téléphone au 02 54 88 38 14
Plus en détailPROFITER D une AVANTAGES DE LA FISCALITÉ MADELIN. Santé Gérant Majoritaire
santé Santé Gérant Majoritaire PROFITER D une MUTUELLE dédiée AVANTAGES DE LA FISCALITÉ MADELIN Qualité / prix Offres respectant votre budget avec des garanties de qualité. Un tarif indépendant de l âge.
Plus en détailConseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine
Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAPICIL ALTO Evolution
PARTICULIERS APICIL ALTO Evolution La Santé à la carte des seniors de + 55 ans. Ensemble, dessinons votre Protection Sociale Durable APICIL ALTO Evolution Un large choix de garanties pour construire la
Plus en détailPROTÉGER LA SANTÉ DE VOS SALARIÉS AVANTAGES RÉSERVÉS À L ENTREPRISE ET AUX SALARIÉS
PROTÉGER LA SANTÉ DE VOS SALARIÉS AVANTAGES RÉSERVÉS À L ENTREPRISE ET AUX SALARIÉS COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE ASSURER LE REMBOURSEMENT DE VOS DÉPENSES PRÉVOIR LE REMBOURSEMENT DE SES DÉPENSES DE
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailMUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;
MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de
Plus en détail@-SOF. La newsletter des Orthoptistes. Le Syndicat des Orthoptistes de France vous informe Mai 2014 EDITO. Bonjour à tous et à toutes
@-SOF La newsletter des Orthoptistes Le Syndicat des Orthoptistes de France vous informe Mai 2014 EDITO Bonjour à tous et à toutes Vous trouverez ci-joint les dernières informations et toutes les démarches
Plus en détailÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64
ÉLUS MUNICIPAUX RETRAITÉS Groupe 71H64 SSQ, Société d assurance-vie inc. 90 Dispositions générales Le présent document décrit les dispositions contractuelles en vigueur le 1 er janvier 2009. Catégorie
Plus en détailExperts & partenaires pour une offre globale haute performance
Experts & partenaires pour une offre globale haute performance MONT-BLANC MEDICAL INDUSTRIES MÉTIERS & COMPÉTENCES DES ENTREPRISES EXPERTES RÉUNIES POUR UNE OFFRE GLOBALE DÉDIÉE AUX FABRICANTS DE DISPOSITIFS
Plus en détailAPICIL FLEX Santé La garantie santé de votre entreprise à la carte
ENTREPRISES APICIL FLEX Santé La garantie santé de votre entreprise à la carte Ensemble, dessinons votre Protection Sociale Durable APICIL FLEX Santé Un large choix de garanties pour une complémentaire
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION
REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) d'assistance en Informatique Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailTélémédecine, télésanté, esanté. Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr
Télémédecine, télésanté, esanté Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr Télémédecine : Définition et domaines «Exercice de la médecine à distance» => Implique un médecin En France : Décret n 2010-1229
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail