Matériaux polymères organiques (II) : les réactions chimiques
|
|
- Judith Marier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Matériaux polymères organiques (II) : les réactions chimiques 1. Réactions par étapes (polycondensations) 1.1. Définitions et exemples n part d un monomère au moins bifonctionnel. Une extrémité d un monomère réagit sur une extrémité d un autre monomère pour former un dimère dont les extrémités libres portent les mêmes fonctions que les monomères. Ce dimère réagit avec un monomère ou avec un dimère, ou avec un polymère plus «avancé» pour donner des molécules de plus en plus grosses, qui grossissent toutes en même temps. Les réactions mises en jeu sont des réactions classiques de la chimie organique : formation d un groupe ester par action d un acide sur un alcool, ou d un anhydride sur un alcool, ou d un chlorure d acyle sur un alcool, formation d amide par réaction d un acide sur une amine puis déshydratation du sel formé, ou amine et anhydride, ou amine et chlorure d acyle. La seule particularité est que chaque monomère doit être au moins bifonctionnel, pour que la croissance se poursuive. Polymérisation par étapes, sur l exemple d un monomère de type AA polymérisant avec BB. Chaque extrémité A ne peut réagir qu avec une extrémité B. Exemple : Cl Cl et H 2 N NH 2 État 1 à état 5 : Les objets grossissent peu à peu en se soudant les uns aux autres par les groupes fonctionnels libres. Si le mélange n est pas st chiométrique, le monomère en excès reste mélangé au polymère. Le polymère peut devenir très gros, à moins que la viscosité du mélange ne limite la diffusion, empêchant ainsi les dernières rencontres (arrêt à l état 4 sur cet exemple). n peut observer également une réaction entre les deux extrémités d une chaîne déjà longue, conduisant à un polymère cyclique et «mort». État 2 État 3 État 1 État 4 État 5 1/17
2 Polymérisation par étapes, sur l exemple d un monomère AB, par exemple un acide-alcool : la croissance des objets est de même type que dans le cas précédent, mais le problème de la st chiométrie ne se pose plus. L arrêt par cyclisation peut avoir lieu dans ce cas aussi Si la fonctionnalité des monomères est supérieure à 2, on peut obtenir des réseaux tridimensionnels (on les appelle «résines») dont les propriétés sont complètement différentes. Au moment où le bloc se soude (99,99% de réaction), la viscosité augmente brusquement : c est le point de gel, le polymère se solidifie. Pour une telle structure la notion de masse molaire n a pas de sens. Sur cet exemple, un monomère bifonctionnel avec un tétrafonctionnel : la stoechiométrie «idéale» est de 2 pour Exemple vrai : l anhydride phtalique donne avec le glycérol (propane-1,2,3-triol) une «résine» glycérophtalique. n peut s informer sur l utilisation de ces résines dans le domaine de la peinture. Mais l acide téréphtalique (isomère para de l acide phtalique) donne avec l éthanediol un polymère linéaire, le PET (polyéhylènetéréphtalate) HC H CH H H H H 2/17
3 1.2. Particularités n note p le taux d avancement = avancement à la date t / avancement maximum. Pour un monomère de type AB, on montre (annexe 1) que le degré de polymérisation moyen en nombre DP n s exprime en fonction du taux d avancement p par DP n = 1/(1-p). Ce qui veut dire que les très grosses molécules ne sont obtenues que quand la réaction est pratiquement totale. Il faut donc, pour obtenir de «vrais» polymères, chasser les produits secondaires de la polycondensation (cf estérification) pour déplacer d éventuels équilibres. Distribution des masses molaires : n montre par un (gros! cf. annexe 1) calcul que la polymolécularité augmente avec le taux de réaction selon IP = 1+p Donc, quand la réaction est finie, et que le vrai polymère est obtenu, p=1 et IP = 2 Les deux relations ci-dessus restent vraies pour une polymérisation AA + BB si les deux réactifs sont en quantité st chiométriques. 2. Réactions en chaîne (polyadditions) 2.1. Définitions et exemples n fait apparaître sur un monomère un centre actif, qui n existait pas dans les molécules de départ. Ce centre actif provoque une réaction avec une autre molécule de monomère, qui se lie au premier et devient à son tour porteuse du centre actif. 3/17
4 Les centres actifs peuvent être de type radicalaire (électron célibataire) anionique (doublet libre avec charge négative) ou cationique (lacune et charge positive). Exemple : le polystyrène peut polymériser dans les trois modes, en passant par les espèces réactives : Ph Ph Ph Ph en cationique (pas au programme) Ph Ph Ph Ph en anionique Ph Ph Ph Ph en radicalaire n remarque que dans le cas du polystyrène, le centre actif est toujours «au pied» du phényle, qui le stabilise par mésomérie, quelle que soit sa nature, cation anion ou radical. Différence avec la réaction par stades : à tout instant il reste du monomère, alors que dans la polycondensation les molécules s associent par groupes de plus en plus gros, mais il n en reste (pratiquement ) pas d isolée Mécanisme radicalaire Mécanisme de la Mécanisme, réactivité des monomères Cf. coeff f plus loin (2.2.2 cinétique) **** 4/17
5 Exemples d amorceurs : Ces amorceurs sont généralement utilisés à une température où leur temps de ½ réaction de décomposition est de l ordre d une dizaine d heures. Ce qui veut dire que tout au long de la polymérisation, des centres actifs sont créés. Peroxyde de benzoyle t 1/2 = 10 h à 67 C C C Azo-bis-isobutyronitrile (AIBN) H 3 C CH 3 CH 3 C N N C CH 3 CN CN Réactivité des monomères : Les monomères sont d autant plus réactifs que la formation du radical est facile, c'est-à-dire que le radical est stable. Pour les monomères vinyliques ACH=CH 2, on peut classer les monomères par réactivité décroissante en fonction de A : 5/17
6 Cinétique Voir **** En Particularités Longueur moyenne des chaînes cinétiques, notée ν : c est le nombre de monomères qui peuvent s agréger sur une molécule d amorceur activée. Si les états quasi-stationnaires sont atteints, on peut définir aussi cette grandeur comme le quotient de la quantité de monomères disparus pendant un temps dt à la quantité d amorceurs disparus pendant le même temps, soit v p /v a si la terminaison se fait par dismutation, ou 2 v p /v a si la terminaison se fait par combinaison. n pose ν = λ v p /v a avec λ entre 1 et 2, pour tenir compte des deux modes de terminaison. En reprenant les expressions précédentes, on montre que 1/ 2 1/ λ k 2 fk k M A ν = [ ] [ ][ ] 2 p d t 6/17
7 Degré de polymérisation : c est aussi la longueur moyenne ν des chaînes cinétiques. n voit dans l expression de ν que la quand la concentration en monomère décroît, ν décroît donc le DP moyen des chaînes décroît aussi. Donc les chaînes formées au début sont plus longues que celles formées à la fin. Dispersion des masses molaires : on peut montrer que l indice de polymolécularité est 2, par un raisonnement qui ressemble à celui qu on fait sur la polymérisation par stades, mais compliqué par l existence des réactions de transfert et de terminaison, les réactions de transfert conduisant à une diminution de la longueur des chaînes cinétiques. Réactions de transfert : Les seules détaillées ici sont les réactions de transfert au polymère : le «point» qui se trouvait en bout de chaîne est transféré (c est en réalité un H. qui migre en sens inverse) sur un carbone non terminal, donnant ainsi naissance à un point de ramification. Plus les réactions de transfert sont nombreuses, plus les branches latérales sont nombreuses. n voit sur cet exemple une chaîne de polystyrène amorcée par l AIBN, qui subit une réaction de transfert avec déplacement d un «point» qui va donner naissance à une chaîne latérale ; le radical obtenu est plus substitué, donc plus stable que le précédent, ce qui favorise ce type de transfert Mécanisme anionique Mécanisme, réactivité des monomères Le mécanisme passe par un carbanion, qui se forme à partir du monomère généralement par l intervention d un nucléophile fort (très fort puisque s attaquant à un mauvais électrophile : la double C=C). Ces nucléophiles forts ont aussi des propriétés basiques, donc doivent être utilisés en l absence d eau. Bu Bu Les amorceurs sont par exemple des organométalliques (BuLi) 7/17
8 Les monomères vinyliques les plus réactifs sont ceux qui portent sur la double liaison un groupe attracteur susceptible de stabiliser la charge négative Cinétique n distingue deux cas, selon qu il existe ou non une espèce susceptible de désactiver la chaîne en propagation. Dans le cas contraire, la chaîne reste active après épuisement du monomère, elle est dite «vivante». n parle de polymère vivant. Si une substance «acide» est présente dans le milieu, le mécanisme est différent, et les conséquences sur l indice de polymolécularité aussi. 8/17
9 Qui peut se simplifier dans certains cas : n a alors un ordre 1 par rapport à l amorceur et 2 par rapport au monomère. u bien : 9/17
10 Polymère vivant : Particularités 10/17
11 3. Copolymérisation, greffage Il s agit ici de modifier les propriétés physiques d un polymère en modifiant sa structure moléculaire. - au cours de la synthèse : par alternance de deux monomères (statistique, alterné, à blocs), c est la copolymérisation. - après sa synthèse en utilisant des fonctions de la chaîne obtenue à partir de la synthèse «primaire» pour accrocher latéralement de nouvelles chaînes : c est le greffage Copolymérisation n a vu comment on peut procéder avec les polymères anioniques vivants pour faire des copolymères à blocs. D une certaine façon, les polycondensats sont aussi vivants, puisque les chaînes gardent des fonctions réactives aux extrémités, on peut donc procéder de la même façon : quand la réaction est finie, on met un nouveau monomère, la réaction reprend et des blocs apparaissent. La question est plus complexe quand on mélange dès le début deux monomères. Une extrémité peut réagir avec l extrémité complémentaire de l un ou l autre monomère. Avec quelle probabilité? Quel est l effet sur la structure? 11/17
12 12/17
13 Si r 1 r 2 = 1, la réactivité comparée sur M 1 et M 2 est la même pour les deux macroradicaux. La copolymérisation se fait au hasard, c est la copolymérisation idéale. Si r 1 = r 2 = 1, Les deux macroradicaux réagissent «également» sur M 1 et M 2. Alors la composition de la chaîne en croissance est la même que celle du mélange de monomères. Ici un cas de r 1 et r 2 très faibles : les réactions «hétéro» sont favorisées, le polymère est alterné Greffage Intérêt : La copolymérisation doit théoriquement permettre de combiner les «bonnes» propriétés des deux polymères. Mais elle se traduit souvent, surtout pour les copolymères à blocs, par la ségrégation des blocs en deux phases, ce qui n améliore pas les propriétés. Exemples de structures de copolymères avec les motifs obtenus par ségrégation selon les proportions de chaque monomère. C est globalement hétérogène. 13/17
14 Exemple de copolymère greffé : le polystyrène «choc» Un mélange de polystyrène et polybutadiène homopolymères donne une structure hétérogène : La copolymérisation ionique donne un copolymère organisé, ce qui n est pas bon non plus. Une copolymérisation radicalaire s accompagne de réactions de transfert à la chaîne avec apparition de ramifications polystyrène. Par des phénomènes complexes, on arrive à une dispersion de sphères de polybutadiène (souple) dans une matrice de polystyrène (rigide) avec des liaisons entres les sphères et la matrice, ce qui assure à la fois la solidité (PS), la souplesse (PB) et la cohésion de l ensemble. Dans l ABS (terpolymère acrylonitrile-butadiène-styrène), les chaînes latérales polystyrène se greffent sur des chaînes linéaires copolymères de l acrylonitrile et du butadiène. Le greffage peut se faire en même temps que la synthèse, ou bien par une réaction ultérieure où on associe les chaînes principales et les greffons. Cf partie (I) greffage d une chaîne polyamide sur un polyanhydride. La réticulation du caoutchouc, la «prise» des polyépoxydes sont des réactions de ce type. 14/17
15 Annexe 1 : polymérisation par étapes, calculs. cf. calculs de séries 15/17
16 Annexe 2 : exemples de réactions 16/17
17 ù le triangle désigne une triamine et le «ver» le prépolymère avec les extrémités époxyde. C est le principe de la colle araldite, où un des tubes contient le prépolymère et l autre le «durcisseur» Et j ai oublié les polycarbonates, sortes de polyesters formés à partir du phosgène (dichlorure de l acide carbonique), respectivement : et d un diol, par exemple le bisphénol A (page précédente) Le polymère est du type Cl C ] n Les polycarbonates sont ses substances transparentes, utilisées pour les biberons, les visières de casques, et aux états unis pour les «verres» optiques. Mais le bisphénol A entrant dans la composition des polycarbonates semble bien présenter des risques pour la santé humaine, d où le retrait des biberons en polycarbonate et d autres objets (tickets de caisse ) C Cl [ et C H H 17/17
K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailDIFFÉRENTS TYPES DE MATIÈRES PLASTIQUES
DIFFÉRENTS TYPES DE MATIÈRES PLASTIQUES Les plastiques inventés au XX ième siècle ont remplacé les matériaux traditionnels comme le bois ou le métal. Les recherches menées pour améliorer et diversifier
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailOlympiades de chimie 2005-2006 : chimie et habitat
Académie de Rennes lympiades de chimie 2005-2006 : chimie et habitat Concours régional NM : Prénom : Lycée : Durée 2h30 NB le sujet s inspire des différents TP et de la conférence. Les questions sont indépendantes.
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détail(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:
Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailSystèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques
ISO 5599-1, taille 2, série 581 Caractéristiques techniques 2 ISO 5599-1, taille 2, série 581 Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur, Série 581 Qn Max. = 2200 l/min Câblage individuel par enfichage
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détailPTFA1210 PTFA1104 (1) Type de montage Montage vertical Montage vertical Niveau haut et bas
Référence PTF01060 PTFA1015 PTFA1103 (1) PTFA1210 PTFA1104 (1) Type de montage Montage vertical Montage vertical Montage vertical Montage vertical Forme contact 1NO 1NO 1NO 1NO+NF Raccordement 2 fils 600mm
Plus en détail:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME)
########### : La présente annexe descriptive au diplôme (supplément au Université de La Rochelle diplôme) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES.
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES
~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailEXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)
Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailCentre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE
Centre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE Chimie Industrielle (anciennement : Industries chimiques et pharmaceutiques)
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailEVALUATION DES RISQUES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL
EVALUATION DES RISQUES DES PEINTRES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL R. FASSI Médecin du travail APST BTP 06 Versailles 25, 26, 27 mai 2011 ACTION EN PARTENARIAT APST BTP 06 DIRECCTE PACA Unité
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailPourquoi l'écologie industrielle?
Pourquoi l'écologie industrielle? La société actuelle est basée sur une économie de type linéaire, c est-à-dire que nous consommons à outrance des ressources, que nous considérons comme illimitées, mais
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailFiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010. Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif acrylique VHB
Dual Lock 250 Système de fixation ouvrable et refermable Fiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010 Description du produit Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif
Plus en détailLe concept dans le secteur nautique
Sommaire Le champ d investigation de la nanotechnologie progresse de jour en jour. En dehors des domaines immédiatement exploités, en particulier dans le secteur alimentaire, il s avère que cette technologie
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailSolutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise
Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout
Plus en détailwarrior PRET a TouT!
warrior PRET a tout! Lancement du Warrior le nouveau générateur ESAB. Le Warrior est un générateur de soudage à la pointe de la technologie qui offre la capacité de décupler votre travail. Conçu en tenant
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailCLASSE DE PREMIÈRE Série : Science et technique de laboratoire Spécialité : Chimie de laboratoire et de procédés industriels
CLASSE DE PREMIÈRE Série : Science et technique de laboratoire Spécialité : Chimie de laboratoire et de procédés industriels COURS DE CHIMIE (4 heures hebdomadaires) L'horaire hebdomadaire est réparti
Plus en détailLuxor. Coffret électrique inoxydable mural IP66
Coffret électrique inoxydable mural IP66 5 10 PIECES MÉCANIQUES ANTI-CORROSION - La meilleure option contre la corrosion. - Acier inoxydable AISI 304L et AISI 316L. - Résistance, durabilité et longue durée
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailCENTRE DE FORMATION En préparation esthétique, rénovation et protection automobile.
CENTRE DE FORMATION En préparation esthétique, rénovation et protection automobile. PRESENTATION LRMC QUI SOMMES-NOUS? LRMC est un centre de formation professionnelle crée en 2008 situé en région lyonnaise,
Plus en détailSOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN
SECTION 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Nom du produit : SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN Numéro de la FS 200000028817 No.-CAS
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailMetrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions
Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailGamme Cisco Unified IP Phone 500 Series : téléphones IP Cisco Unified 521G, 521SG, 524G et 524SG
Gamme Cisco Unified IP Phone 500 Series : téléphones IP Cisco Unified 521G, 521SG, 524G et 524SG Présentation du produit Les nouveaux téléphones IP Cisco Unified IP Phone 500 Series sont des appareils
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailLogiciel LabX. Parfait aperçu, contrôle total. Logiciel de pilotage des instruments de laboratoire. Logiciel LabX
Logiciel Logiciel balance titrage connect Parfait aperçu, contrôle total Logiciel de pilotage des instruments de laboratoire Logiciel Un laboratoire intelligent grâce à est une plate-forme logicielle unique
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détail