Le chômage de longue durée
|
|
- Jean-Marc Marceau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COE- séance du 11 octobre 2011 Le chômage de longue durée Bertrand MARTINOT 1
2 Plan de la présentation 1. Retour sur les concepts de chômage de longue durée 2. Chômage de longue durée et assurance chômage 3. Les outils de la politique de l emploi 4. Quels moyens de prévention du chômage de longue durée? 2
3 Retour sur les concepts de chômage de longue durée définitions et limites Etre chômeur selon la définition du BIT suppose de vérifier les 3 conditions ne pas avoir travaillé une seule heure dans la semaine de référence être disponible pour prendre un emploi dans les 15 jours avoir recherché activement un emploi dans le mois précédent Pas de concept de chômeur de longue durée au sens du BIT la seule chose que l on mesure est l ancienneté déclarée au chômage d un chômeur BIT l ancienneté au chômage déclarée est une notion en partie subjective (effets de mémoire, perception du chômage) DEFM inscrits à Pôle emploi dans les catégories A, B ou C seule l ancienneté d inscription sur les listes en catégorie ABC est connue dans les statistiques mensuelles il y a beaucoup de transferts entre les trois catégories 3
4 La mesure imparfaite du chômage de longue durée L ancienneté au chômage au sens du BIT capture mal les situations de récurrence au chômage, ce qui fragilise les comparaisons internationales De la même façon, une grande partie des demandeurs d emploi inscrits dans les catégories ABC depuis 12 mois et plus a connu des alternances d emploi et de chômage, ce qui les place dans une situation différente vis-àvis du marché du travail de ceux qui n ont pas travaillé du tout Néanmoins, les DEFM constituent la population de référence pour les politiques de l emploi Les DEFM chômeurs de longue durée forment une population très hétérogène, ce qui nécessite de mieux définir le périmètre des CLD devant être ciblés prioritairement : les demandeurs d emploi de cat A restés en cat A depuis 12 mois et plus, qui n ont jamais accédé à l emploi (repérés dans l enquête «Entrants au chômage» ou dans le FHS). Parmi l ensemble des DEFM en catégorie ABC inscrits depuis 12 mois ou plus en mars 2011, environ 40 %, soit personnes n ont jamais repris d emploi 4
5 Les difficultés de mesure conduisent à une approche pragmatique Les catégories administratives «désacralisées» au profit d une approche individualisée Difficultés de repérage des anciennetés de chômage dans les CERFA Sans emploi depuis plus de 12 mois? Inscrits depuis plus de 12 mois? du point de vue des opérateurs du SPE, l ancienneté d inscription à Pôle emploi n est pas une catégorie opérationnelle La DGEFP privilégie des conceptions plus pragmatiques du chômage de longue durée L éligibilité aux mesures de politique de l emploi relève d un critère élargi lié aux difficultés des personnes sur le marché du travail ou à la nature des dispositifs Ex d une définition empirique du CLD : 12 mois d inscription en ABC au cours des 18 derniers mois Ex. d élargissement de la définition : l Accre (6 mois d inscription pour être éligible) 5
6 1. Retour sur les concepts de chômage de longue durée 2. Chômage de longue durée et assurance chômage 3. Les outils de la politique de l emploi 4. Quels moyens de prévention du chômage de longue durée? 6
7 Ancienneté de chômage et indemnisation Le basculement de l ARE vers l ASS se fait à partir de 2 ans d inscription; Peu de transferts vers le RSA Indemnisés par le RAC Indemnisés par l'ass Non indemnisés moins d'un an Par ancienneté (en cat. ABC) entre 1 et 2 ans ans et plus en % Ensemble dont allocataires du RSA Source : Dares, Pôle emploi, moyennes annuelles
8 Assurance chômage et chômage de longue durée La durée potentielle d indemnisation accroît-elle le chômage de longue durée? Des évaluations sur données françaises montrent que l élasticité de la durée effective du chômage à la durée potentielle des droits serait quasi-nulle : Positive, ε=0.1 (Deroyon & Le Barbanchon, 2010); Négative, ε=-0.0 (Ortega & Rioux, 2006); Raccourcir les droits ne raccourcirait pas la durée effective moyenne du chômage; Allonger les droits n allongerait pas la durée effective moyenne du chômage. 55% des chômeurs indemnisables ne sont pas des chômeurs BIT (donc pas de longue durée) Un grand nombre de demandeurs d emploi (DE inscrits) sont des salariés en emploi (ou l inverse); L activité réduite (AR) a pour conséquence d allonger les durées d inscription car les droits non-consommés sont «décalés»; Beaucoup de chômeurs sont «indemnisables pendant une longue durée», ce qui est très différent que d être «chômeur de longue durée» (sans emploi). Les règles de l assurance chômage (AC) ont un lien avec le phénomène de récurrence et peuvent contribuer à accroître la durée d inscription en catégories ABC Elle «subventionne» les épisodes d emploi de courte durée du fait de l absence d experience rating Les épisodes d inscription et d indemnisation sont plus longs : Il est possible de consommer plus de droits grâce à l AR, (surtout si non plafonnée, Annexes 4, 8, 10); Il y a plus de chômeurs de longue durée, non-bit, plus fréquemment indemnisés. 8
9 Une diminution tendancielle de la part des chômeurs «à temps complet» dans les allocataires du RAC Moins de la moitié des allocataires du RAC sont sans emploi ( ) 90 DEFM A indemnisés en et non % des DRE allocataires en % des allocataires du RAC (hors du DRE) RAC Source : Bruno Coquet (Futuribles n 368, 2010), calculs sur données, Dares, Insee, Pôle Emploi, Unedic 9
10 1. Retour sur les concepts de chômage de longue durée 2. Chômage de longue durée et assurance chômage 3. Les outils de la politique de l emploi 4. Quels moyens de prévention du chômage de longue durée? 10
11 Les chômeurs de longue durée en contrats aidés (1/3) Contrat unique d insertion depuis le 1 er janvier 2010 en métropole (Loi du n du 1 er décembre 2008 généralisant le RSA et réformant les politiques d insertion) Principe d accès large pour les personnes éloignées de l emploi («personnes sans emploi connaissant des difficultés sociales et professionnelles particulières d accès à l emploi»), sans lien avec les catégories administratives De fait, les CLD (DE inscrits à Pôle emploi depuis plus d un an) sont toujours considérés comme publics prioritaires des contrats aidés, de manière pragmatique et contextualisée dans les instructions nationales et dans les arrêtés régionaux. Depuis 2007, maintien du nombre de DELD en contrats aidés : environ entrées annuelles en CAE et en CIE (selon les données déclaratives issues du Cerfa) en moyenne sur Mais baisse de leur part relative, en raison de l ouverture des CUI aux jeunes et à des publics moins éloignés de l emploi en période de crise Depuis 2011, re-ciblage fort sur les DELD 11
12 Les chômeurs de longue durée en contrats aidés (2/3) Nombre de DELD en CAE depuis 2007 Nombre de DELD en CIE depuis % % % % En % 60% 58% 56% 54% 52% 50% En % 60% 50% 40% 30% 20% 10% % % Total DELD % Total DELD % 12
13 Les contrats d accompagnement dans l emploi (CAE) cofinancés par les conseils généraux Les conseils généraux prescrivent et cofinancent les CAE conclus avec des bénéficiaires du RSA-socle Le nombre de contrats cofinancés a été stable de 2006 à 2009 (autour de CAE), mais a fortement baissé en 2010 ( CAE, soit 57% des contrats pour les brmi/brsa). Leur nombre devrait remonter en 2011 (54000 CAE début octobre) à 2009 (moyenne annuelle) (au 08/10/2011) Nombre de contrats pour les brmi+brsa Nombre de contrats cofinancés Pourcentage 80% 57% 66% Les engagements relatifs aux CAE cofinancés représentent en 2011 en moyenne 6,9% du nombre de bénéficiaires du RSA dans le département, mais de fortes disparités géographiques existent Les départements les plus volontaristes se situent au-delà de 15% et les moins volontaristes entre 2% et 5%. 13
14 Les chômeurs de longue durée en contrats aidés (3/3) De manière générale, l insertion professionnelle à l issue des contrats aidés n est pas garantie Pour les CAE, 40% d insertion en emploi 6 mois après la sortie et 27% en emploi durable pour les sorties de 2009, année de crise ; 44% pour les sorties de 2007 (source DARES) ; Pour les CIE, 64% d insertion en emploi 6 mois après la sortie et 55% en emploi durable pour les sorties de 2009; 76% en 2007(source DARES); Les DE de très longue durée (>2 ans) ont des taux d insertion légèrement plus faibles. Les exigences relatives aux mesures d accompagnement et de formation ont été renforcées avec le CUI, mais celles-ci doivent encore être développées Pas d accompagnement systématique du prescripteur / SPE pendant et à la sortie du contrat (20% seulement des salariés en contrats aidés auraient été reçus en entretiens par Pôle emploi avant la fin du contrat); Peu d actions de formations mises en œuvre par les employeurs (pour 1/3 seulement des salariés en CAE) et dans la moitié des cas, il s agit de mesures d adaptation au poste. 14
15 Les chômeurs de longue durée dans les structures d insertion par l activité économique (1/2) Les dispositifs d insertion par l activité économique visent largement les «personnes sans emploi, rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières» et à ce titre embauchent des CLD Demandeurs d'emploi Année 2009 Femmes Bénéficiaires de minima sociaux Total Dont de + de 1 an Dont de + de 2 ans ACI 32,6% 49,7% 85,0% 40,8% 22,3% EI 34,6% 46,1% 93,1% 30,7% 23,6% ETTI 27,1% 24,4% 82,9% 56,4% 11,1% Source DARES, données provisoires pour 2009 Lecture en ACI, 85% des personnes sont demandeurs d emploi, dont 40,8% DE de plus de un an ; parmi les DE de plus d un an, 22,3% sont DE de plus de 2 ans 15
16 Les chômeurs de longue durée dans les structures d insertion par l activité économique (2/2) Les structures d insertion par l activité économique proposent un accompagnement social et professionnel aux salariés en insertion; L appréciation de la performance de ces structures se fait au regard des sorties dans l emploi des personnes embauchées; Un plan de modernisation du secteur a été lancé depuis 2008 afin d améliorer la performance des SIAE et le service rendu aux salariés en insertion : réforme du conventionnement des structures (intégration d objectifs d insertion dans l emploi dans la convention et appréciation des résultats de chaque structure par les Direccte), professionnalisation des structures, réflexion sur une réforme de leur mode financement (lien avec leur performance) 16
17 La mobilisation de Pôle emploi en faveur des chômeurs de longue durée Début 2011 : le plan de mobilisation pour les demandeurs d emploi de longue durée de Pôle emploi, une opération «coup de poing» déployée entre mars et juillet 2011 : «Recevoir les CLD pour leur proposer un emploi, une formation qualifiante ou un accompagnement renforcé» Bilan de l action de Pôle emploi : fin juillet 2011, 88 % des personnes concernées, inscrites en catégorie A, avaient été reçus Forte dynamique des contrats aidés : objectif de CAE, CIE; Mobilisation des entrées en formation PE : environ actions en 2011 (contre en 2010). 17
18 La mobilisation pour l emploi dans les territoires Les enjeux La mobilisation de l ensemble des acteurs (opérateurs, collectivités territoriales, entreprises) qui relève du service public de l emploi piloté par l Etat, au plus près des actifs et des entreprises. D où L appel aux compétences d ensemblier et à la faculté d entrainement des sous-préfets; Une plus forte implication de l ensemble des membres du SPEL dans un objectif de «reterritorialisation» des politiques de l emploi; Le déploiement France entière des plans d action des SPEL. Des plans d action selon 3 axes prioritaires La Lutte contre le chômage de longue durée fait partie de ces 3 axes Optimisation des outils mobilisés (contrats aidés, formations) afin d éviter un décrochage durable du marché du travail des demandeurs d emploi de longue durée (rythme attendu de prescription de CAE par semaine afin d atteindre contrats aidés non marchand pour l année); Priorité doit être donnée aux actions favorisant un accès rapide à l emploi des DE, notamment les DELD et les jeunes. 18
19 1. Retour sur les concepts de chômage de longue durée 2. Chômage de longue durée et assurance chômage 3. Les outils de la politique de l emploi 4. Quels moyens de prévention du chômage de longue durée? 19
20 Prévenir le chômage de longue durée, des éléments de réflexion pour agir Les études montrent que, à âge, genre et niveau de diplôme donnés, la probabilité de sortir du chômage diminue avec l ancienneté par découragement, ce qui réduit l intensité de la recherche d emploi; une dégradation des compétences; la durée du chômage est un signal négatif pour les employeurs. D où la nécessité d anticiper l effet de dépendance en mobilisant le plus tôt possible les instruments de la politique de l emploi pour les personnes à risque : ex. mise en place du CSP pour les licenciés économiques des entreprises de moins de 1000 salariés; en prescrivant des actions de formation (POE, AFPR, AFC, ); en évitant les effets d hystérèse : pendant la crise élargir les dispositifs pour réduire les risques de CLD : par ex. zéro charges dans les TPE, ouverture des CUI aux jeunes. 20
21 Risque de chômage de longue durée et motifs d inscription Un risque plus élevé pour les licenciés que pour les personnes entrées au chômage sous les autres motifs? Aucun accès à l'emploi après 18 mois de chômage Autre licenciement Licenciement économique Autres * Fin d'études Fin de CDD Démission Fin d'intérim 28,30% 26,00% 25,90% 19,40% 14,60% 13,30% 12,20% Source : Enquête "Entrants au chômage«, Pôle emploi auprès des demandeurs d'emploi inscrits en décembre 2008 Taux d'accès à l'emploi: proportion de personnes passées en emploi au cours d'une période (18 mois) * Autres = Fin arrêt maladie, maternité, retour sur le marché du travail 21
22 Prévenir le chômage de longue durée Faible capacité prédictive des techniques de profilage au moment de l inscription comme demandeur d emploi Orientation des DE par le SPE vers des parcours d accompagnement plus ou moins renforcé; Pôle emploi mobilise des outils spécifiques d accompagnement renforcé pour les personnes à risque de CLD : TRAJectoire-emploi, Cap vers l entreprise, Cibleemploi, Mobilisation vers l emploi; Enjeu majeur de la nouvelle convention tripartite Degré de ciblage des prestations Choix des prestataires intervenant auprès des chômeurs de longue durée Moment le plus opportun où doivent intervenir ces prestations 22
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailDares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012
Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailBUDGET GÉNÉRAL MISSION MINISTÉRIELLE PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR TRAVAIL ET EMPLOI
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E BUDGET GÉNÉRAL MISSION MINISTÉRIELLE PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2015 TRAVAIL ET EMPLOI NOTE EXPLICATIVE Cette annexe
Plus en détailNEGOCIATIONS EN COURS...2 EVOLUTIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES...2 A RETENIR...3 CONTACTS...4 SITE CFTC...5
Tous les mois, l actualité en bref de la Confédération sur l emploi et le chômage SOMMAIRE NEGOCIATIONS EN COURS...2 Signature Convention tripartite triennale 2012/2014: abstention de la CFTC... 2 Auditions
Plus en détailLe rsa L Aide Personnalis. Aide Personnalisée de Retour à l Emploi. Préfecture de Seine Maritime
Le rsa L Aide Personnalis 1 Aide Personnalisée de Retour à l Emploi 1 Le rsa ses objectifs : Lutter contre la pauvreté 2 Encourager l exercice l ou le retour à une activité professionnelle Aider à l insertion
Plus en détailLe Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)
Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détailQuestions-réponses DGEFP n 1 relatif aux emplois d avenir 11 janvier 2013
Questions-réponses DGEFP n 1 relatif aux emplois d avenir 11 janvier 2013 Rappel : les emplois d avenir sont conclus sous la forme, selon le cas, des contrats d accompagnement dans l emploi dans le secteur
Plus en détailGUIDE DE L EMPLOYEUR
Unité Territoriale de Paris GUIDE DE L EMPLOYEUR Actualisé le 07 août 2013 CONTRAT UNIQUE D INSERTION(CUI) : 1. CONTRAT D ACCOMPAGNEMENT DANS L EMPLOI (CAE) 2. CONTRAT INITIATIVE EMPLOI (CIE) 3. EMPLOIS
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailPANORAMA DES MESURES POUR L EMPLOI
MÉTROPOLE JANVIER 2015 PANORAMA DES MESURES POUR L EMPLOI POLE-EMPLOI.FR FORMER AVANT L EMBAUCHE ACTION DE FORMATION PRÉALABLE AU RECRUTEMENT (AFPR) Demandeurs d emploi inscrits auprès de Pôle emploi,
Plus en détailRetour à l'emploi des seniors au chômage Rapport d'évaluation
Inspection générale des affaires sociales RM2013-023P Retour à l'emploi des seniors au chômage Rapport d'évaluation RAPPORT DEFINITIF Établi par Christine DANIEL Laurence ESLOUS Anousheh KARVAR Membres
Plus en détailL IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE
L IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE La Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi a été publiée au Journal officiel
Plus en détailGRL PROPRIETAIRE BAILLEUR INDEPENDANT Bulletin d adhésion locataire entrant
GRL PROPRIETAIRE BAILLEUR INDEPENDANT Bulletin d adhésion locataire entrant Références Courtier Date d effet :... Echéance principale :... UN DEUX TROIS ASSURANCES Nîmes Metropole B.P.18 30320 MARGUERITTES
Plus en détailCAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015
CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS
Plus en détailTous les mois, l actualité en bref de Pôle emploi
Tous les mois, l actualité en bref de Pôle emploi SOMMAIRE INFORMATIONS RESEAU CFTC... 2 Rencontre nationale des mandatés chômage à la Confédération... 2 Suite des réunions de suivi des formations prioritaires
Plus en détailMobilisation en faveur de l emploi des seniors
Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la
Plus en détailL intergénérationnel, un enjeu pour tous
www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération
Plus en détailLES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS
1 LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS Seuls les locataires définis comme «nouveaux locataires» sont éligibles à ces offres. Notion de «nouveau locataire»
Plus en détailGuide des ressources pour l emploi des seniors sur le bassin de Nantes
Guide des ressources pour l emploi des seniors sur le bassin de Nantes «L expérience des plus de 50 ans, une expérience à ne pas laisser passer!» Ce document s adresse aux seniors ainsi qu à toute personne
Plus en détailDIRECCTE Île-de-France Unité Territoriale 75 5 AVRIL 2011 GUIDE DE L EMPLOYEUR CONTRAT UNIQUE D INSERTION(CUI) :
DIRECCTE Île-de-France Unité Territoriale 75 5 AVRIL 2011 GUIDE DE L EMPLOYEUR CONTRAT UNIQUE D INSERTION(CUI) : 1. CONTRAT D ACCOMPAGNEMENT DANS L EMPLOI (CAE) 2. CONTRAT INITIATIVE EMPLOI (CIE) Les informations
Plus en détailCOMMANDE PUBLIQUE ET ACCES A L EMPLOI DES PERSONNES QUI EN SONT ELOIGNEES
GUIDES ET RECOMMANDATIONS COMMANDE PUBLIQUE ET ACCES A L EMPLOI DES PERSONNES QUI EN SONT ELOIGNEES Guide élaboré par l Atelier de réflexion sur les aspects sociaux de la commande publique 2 ème édition
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailLa Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective
Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d
Plus en détailAccompagnement en Chantier d insertion
UNION EUROPEENNE Fonds Social Européen Département de Seine-Maritime Accompagnement en Chantier d insertion 2012/2013 Direction de l insertion Mai 2011 Accompagnement en Chantier d insertion 1 Préambule
Plus en détailNOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE
IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été
Plus en détailQUI SONT LES ALLOCATAIRES DE L ASSURANCE CHÔMAGE?
QUI SONT LES ALLOCATAIRES DE L ASSURANCE CHÔMAGE? Une étude de l Unédic - Avril 2013 Le profil des allocataires de l Assurance chômage traduit l importance des contrats courts sur le marché du travail.
Plus en détailAPPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective
APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date
Plus en détailMobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014
Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses MARS 2012 N 019 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L INDEMNISATION PAR LE RÉGIME D ASSURANCE CHÔMAGE EN 2010 Stabilité du nombre d
Plus en détailZOOM TERRITORIAL BASSIN D'EMPLOI DE RENNES
ZOOM TERRITORIAL BASSIN D'EMPLOI DE RENNES Juillet 2015 Avertissements Impact de la meilleure complétude des données administratives : À compter de juin 2015, Pôle emploi accède à des données administratives
Plus en détailMise de jeu 2 La certification des formations
Mise de jeu 2 La certification des formations Une formation certifiante délivre un diplôme reconnu par le RNCP Le plus souvent, les formations certifiantes ou qualifiantes sont celles qui mènent à «un
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015
DIECCTE DR Pôle emploi Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en janvier 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A, B, C (en cvs) 24
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015
DIECCTE DR Pôle emploi et Îles du Nord Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en février 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A,
Plus en détailAction de soutien à la mobilité
UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets
Plus en détailImpact de la réforme de la taxe d apprentissage dans les entreprises
Impact de la réforme de la taxe d apprentissage dans les entreprises Objectifs de la réforme et nouvelles modalités d affectation de la taxe d apprentissage Objectifs de la réforme Objectif principal :
Plus en détailEntreprises d'architecture
Entreprises d'architecture DISPOSITIF CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION PÉRIODE DE PROFESSIONNALISATION Intitulé de la formation Durée maximale Pédagogie Pédagogie Salaire Aide à la fonction Frais annexes
Plus en détailQuestions-réponses actualisé relatif aux emplois d avenir 10 avril 2013
Questions-réponses actualisé relatif aux emplois d avenir 10 avril 2013 Rappel : les emplois d avenir sont conclus sous la forme, selon le cas, des contrats d accompagnement dans l emploi dans le secteur
Plus en détailPlan d actions «Gérer la crise C est. anticiper la reprise»
Plan d actions «Gérer la crise C est anticiper la reprise» 1 Préambule La décélération de l activité économique observée en 2008 s est approfondie en 2009, les principaux indicateurs sont au rouge. Chômage
Plus en détailBREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE
BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX
Plus en détailPlateforme d observation sociale et médico-sociale
Plateforme d observation sociale et médico-sociale Recherche-actions pour réduire le non-recours aux prestations sociales Nantes, le 19 novembre 2013 1 Le Secrétariat général pour la modernisation de l
Plus en détailASSEMBLEE GENERALE Vendredi 1 avril 2011 ORDRE DU JOUR ACCUEIL RAPPORT MORAL FILM RAPPORT D ACTIVITES RAPPORT FINANCIER CANDIDATURES AU CONSEIL D ADMINISTRATION RAPPORT MORAL INTRODUCTION AUX RAPPORTS
Plus en détailLe contrat de professionnalisation
Le contrat de professionnalisation Objectif Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail conclu entre un employeur et un salarié. Son objectif est l insertion ou le retour à l emploi des
Plus en détailModalités de prise en charge
ATTENTION : Certaines des modalités de prise en charge de l année 2015 pourront faire l objet de modifications en cours d année. 2015 Modalités de prise en charge Fonds paritaire interprofessionnel de
Plus en détailACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le
Plus en détailAPRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi
. APRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi Règlement d attribution & Mode d emploi Seine-Maritime page 1 Préambule Considérant que les bénéficiaires du RMI avaient parfois besoin d être soutenus financièrement
Plus en détailMobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité
Pacte de responsabilité et de solidarité Et mesures pour l accélération de l investissement Le premier ministre vient d annoncer des mesures pour soutenir l investissement public et privé qui complètent
Plus en détailAIDE AU PERMIS DE CONDUIRE
PRÉSENTATION DE DISPOSITIF AIDE AU PERMIS DE CONDUIRE BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE DE LA VILLE DE METZ Une aide pour le permis contre un engagement citoyen Depuis 2009, la Ville de Metz s'est engagée dans
Plus en détailAGEFOS PME Nord Picardie Appel à propositions MutEco Numérique Picardie 2015 1
APPEL A PROPOSITIONS MUTECO NUMERIQUE 2015 PICARDIE Le présent cahier des charges s adresse aux organismes de formation souhaitant se positionner sur le projet mutations économiques porté par AGEFOS PME
Plus en détailLE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015
LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la
Plus en détailLE GUIDE DE VOTRE RECHERCHE D EMPLOI
MAI 2013 LA COOPÉRATIVE - William Daniels - Mai 2013 - Réf. 500 LE GUIDE DE VOTRE RECHERCHE POLE-EMPLOI.FR POLE-EMPLOI.FR PÔLE EMPLOI VOUS ACCOMPAGNE DURANT TOUTE VOTRE RECHERCHE Le chômage est une période
Plus en détailContributions Assurance chômage et cotisation AGS
Contributions Assurance chômage et cotisation AGS Présentation générale Observation préalable : Vous trouverez dans ce dossier en premier lieu toutes les informations générales et les modalités pratiques
Plus en détailLOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013
LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DE POLE EMPLOI
BULLETIN OFFICIEL DE POLE EMPLOI n 71 du 16 juillet 2013 Sommaire chronologique Instruction n 2013-57 du 11 juin 2013 Sécurisation des parcours professionnels : articulation entre les modalités de suivi
Plus en détailLa professionnalisation
La professionnalisation 24 Le programme Nouveaux services emplois jeunes, inauguré en octobre 1997, avait déjà comme objectif d améliorer le fonctionnement économique des associations : le jeune salarié
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailL INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France?
L INSEE EN BREF L Insee en bref N 4 Septembre 2012 La mesure du chômage par l Insee Combien y a t il de chômeurs en France? Quelle définition des chômeurs retient l Insee? Comment l Insee mesure t il le
Plus en détailTableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation
Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois
Plus en détailDISPOSITIFS Accompagnement
DISPOSITIFS Accompagnement JUILLET 2014 SOCIÉTÉ D'INVESTISSEMENT FRANCE ACTIVE /fr/outils/sifa.php Type d'aide : Accompagnement ; Prêt Financement remboursable /// Nature : prêt participatif ou compte
Plus en détailObservatoire de l Auto-Entrepreneur
Observatoire de l Auto-Entrepreneur Avec la participation de : Vague 8 - Juin 2012 Contexte Plus de 3 ans après le lancement du régime de l Auto-Entrepreneur, plus d un million d autoentreprises ont été
Plus en détailConvention d assurance chômage
Aux Union Départementales Aux Fédérations Nationales Paris, le 28 mars 2014 Secteur Formation Professionnelle Emploi/Assurance chômage Réf. : JCM/SL/DD Circ. : n 058-2014 Convention d assurance chômage
Plus en détailNouveaux Régimes au 1 ier janvier 2012 Mutuelle et Prévoyance
DE : A : LE : Nouveaux Régimes au 1 ier janvier 2012 Mutuelle et Prévoyance Mémo Services RH Ne pas diffuser Document de travail Document pouvant être diffusé 2 09/09/2013 Les nouveaux Régimes de mutuelle
Plus en détailLes seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS
Les seniors, une cible particulière? Tiphaine Garat Ingénieur d étude, UDS Journée d information et d échanges organisée par l Equipe de droit social, UMR 7354 DRES La prévention des facteurs de pénibilité,
Plus en détailL'EMPLOI SALARIE au 31 décembre 2013 Nombre établissements
STATISTIQUES ET INDICATEURS POLE EMPLOI PAYS DE LA LOIRE - MARS 2015 MAYENNE PORTRAIT SECTORIEL SITUATION AU 31/12/2014 DOCUMENT SEMESTRIEL - LIBRE DE DIFFUSION SOUS RESERVE DE MENTION DE LA SOURCE «POLE
Plus en détailDonnées statistiques relatives à l'emploi sur les communes de Seine-Saint-Denis. 4ème trimestre 2013
Données statistiques relatives à l'emploi sur les communes de Seine-Saint-Denis 4ème trimestre 2013 UT 93 de la Direccte d'île-de-france Service Statistiques - Synthèses / LA 30 avril 2014 Sommaire Données
Plus en détailDonnées statistiques relatives à l'emploi sur les communes de Seine-Saint-Denis. 3ème trimestre 2013
Données statistiques relatives à l'emploi sur les communes de Seine-Saint-Denis 3ème trimestre 2013 UT 93 de la Direccte d'île-de-france Service Statistiques - Synthèses / LA 06 janvier 2014 Sommaire Données
Plus en détailMinistère de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement
Ministère de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle Sous-direction mutations économiques Sous-direction des politiques de format
Plus en détailConseil d orientation pour l emploi
Conseil d orientation pour l emploi 20 février 2014 L Assurance chômage et les nouvelles formes d emploi I/ LA CONSTANTE PRISE EN COMPTE DES ÉVOLUTIONS DU MARCHÉ DU TRAVAIL PAR L ASSURANCE CHÔMAGE 1.1-
Plus en détailACCORD INSTITUANT UN REGIME OBLIGATOIRE DE REMBOURSEMENT DE FRAIS DE SOINS DE SANTE AU PROFIT DES SALARIES DE RENAULT
ACCORD INSTITUANT UN REGIME OBLIGATOIRE DE REMBOURSEMENT DE FRAIS DE SOINS DE SANTE AU PROFIT DES SALARIES DE RENAULT ENTRE : RENAULT s.a.s représentée par Mme Marie Françoise DAMESIN Directeur des Ressources
Plus en détailL environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements
L environnement du conseil en évolution professionnelle et les premiers questionnements Mission IGAS CPF - Réunion GC quadripartite du 24 octobre 2013 1 Sommaire de la présentation 1. Le CEP : un accompagnement
Plus en détailCONVENTION TRIPARTITE ETAT/UNÉDIC/PÔLE EMPLOI 2015-2018
CONVENTION TRIPARTITE ETAT/UNÉDIC/PÔLE EMPLOI 2015-2018 PRÉAMBULE Depuis sa création en 2008, Pôle emploi est en première ligne face au principal défi, économique et social que constitue la lutte contre
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailTous gagnants Réussir ensemble l intégration. et la professionnalisation. des jeunes en entreprise.
Tous gagnants Réussir ensemble l intégration. et la professionnalisation. des jeunes en entreprise. > Préface Tous gagnants pour l emploi des jeunes De nombreuses entreprises ont engagé des actions afin
Plus en détailLES PRINCIPALES AIDES AUX CREATEURS D ENTREPRISE AVRIL 2015
LES PRINCIPALES AIDES AUX CREATEURS D ENTREPRISE AVRIL 2015 LES PRINCIPALES AIDES AUX CREATEURS Sommaire 2 SOMMAIRE : DISPOSITIF ACCRE 3 à 6 L ARE ou l ARCE 7 à 9 DISPOSITIF NACRE 10 à 13 FINANCEMENTS
Plus en détailCOURTAGE D ASSURANCES
2015 COURTAGE D ASSURANCES et/ou REASSURANCES CCN 3110 IDCC 2247 Pour toutes les actions débutant le 01/06/2015 1 2 3 4 5 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE
Plus en détailDOCUMENT SEMESTRIEL - LIBRE DE DIFFUSION SOUS RESERVE DE MENTION DE LA SOURCE «POLE EMPLOI PAYS DE LA LOIRE» Evolution Annuelle GRAPHIQUE
STATISTIQUES ET INDICATEURS POLE EMPLOI PAYS DE LA LOIRE - MARS 2015 LOIRE-ATLANTIQUE PORTRAIT SECTORIEL SITUATION AU 31/12/2014 DOCUMENT SEMESTRIEL - LIBRE DE DIFFUSION SOUS RESERVE DE MENTION DE LA SOURCE
Plus en détailPROJET de PROGRAMME OPÉRATIONNEL POUR LA MISE EN ŒUVRE DE L IEJ. Version 1.0 28 janvier 2014
PROJET de PROGRAMME OPÉRATIONNEL POUR LA MISE EN ŒUVRE DE L IEJ Version 1.0 28 janvier 2014 1 SECTION 1. STRATÉGIE DE CONTRIBUTION DU PROGRAMME OPÉRATIONNEL À LA STRATÉGIE DE L UNION EUROPÉENNE EN FAVEUR
Plus en détailAtelier Recrutement et Fidélisation de nos salariés
Atelier Recrutement et Fidélisation de nos salariés Quelles perspectives, quelles réponses à l Epreuve de la Crise Economique et Sociale Recrutez le bon profil, au bon moment! Quelles solutions pour que
Plus en détailCahier de l OPEQ n 136 Avril 2007. OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537
LA PROFESSION D AMBULANCIER EN CHAMPAGNE-ARDENNE Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007 OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537 51011 Châlons en Champagne
Plus en détailL ACTIVITÉ RÉDUITE. La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents. Une étude de l Unédic - Octobre 2013
L ACTIVITÉ RÉDUITE La croissance continue de l activité réduite recouvre des réalités et des publics différents Une étude de l Unédic - Octobre 2013 Définitions réglementaires relatives à l activité réduite
Plus en détailTransports sanitaires
Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients
Plus en détailAPPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France
PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France Contacts Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation professionnelle d Ile de France Orientation et appui Service FSE
Plus en détailLE MAINTIEN DES COTISATIONS VIEILLESSES ET RETRAITE
LE MAINTIEN DES COTISATIONS VIEILLESSES ET RETRAITE COMPLEMENTAIRE SUR UN SALAIRE A TEMPS PLEIN Ludivine LEROUX, juriste au sein des équipes du pôle Veille d ADP, nous propose une lecture synthétique des
Plus en détailPLAN NATIONAL DE MISE EN ŒUVRE DE LA GARANTIE EUROPEENNE POUR LA JEUNESSE
P R E M I E R M I N I S T R E PLAN NATIONAL DE MISE EN ŒUVRE DE LA GARANTIE EUROPEENNE POUR LA JEUNESSE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES 20 DECEMBRE 2013 SOMMAIRE Introduction 1. Quel est l état des lieux
Plus en détailPlan d'actions ZTEF Est lyonnais 2015 Axe 1 Améliorer l'adéquation offre/demande d'emploi
Plan d'actions ZTEF Est lyonnais 2015 Axe 1 Améliorer l'adéquation offre/demande d'emploi réflexion / Groupe de travail identifié Favoriser le rapprochement offre et demande d'emploi Impulser/soutenir
Plus en détailDares Analyses. Un tiers des nouveaux droits s ouvrent pour une durée maximale de 24 mois
Dares Analyses FéVRIER 2013 N 012 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques LES DEMANDEURS D EMPLOI INDEMNISABLES PAR LE RéGIME D ASSURANCE CHôMAGE EN 2011
Plus en détailLoi sur la sécurisation de l emploi
Dossier de presse JUIN 2013 Loi sur la sécurisation de l emploi contact presse : cab-tef-presse@cab.travail.gouv.fr Tél. 01 49 55 31 02 1 Sommaire Les origines du texte page 3 De la grande conférence à
Plus en détail1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire
Plus en détailLes outils de simulation pour chaque type de structure permettent d estimer l impact de la réforme sur la période 2013-2015
1 Les outils de simulation pour chaque type de structure permettent d estimer l impact de la réforme sur la période 2013-2015 4 types d outils de simulation ont été développés pour que les structures puissent
Plus en détailDans cet esprit, les signataires du présent accord souhaitent apporter des réponses :
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL SUR LE DEVELOPPEMENT DE LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE PROFESSIONNELLE, LA PROFESSIONNALISATION ET LA SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS PREAMBULE La formation
Plus en détailLe PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.
LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans
Plus en détailAttentes liées aux prestations
Appel à propositions du 26/05/2014 "Diagnostics de Sécurisation des Parcours Professionnels" Attentes liées aux prestations Projet SECURI'PASS 2.0 Cette opération bénéficie du soutien financier de l'etat,
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE
COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE SOYEZ PRO ACTIF! Anticipez et transformez cette contrainte en opportunité SALON DES ENTREPRENEURS 2015 5 février 2015 LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE DANS
Plus en détailL EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue
L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailRapport de capitalisation annuel
~ Première année de mise en œuvre ~ Rapport de capitalisation annuel Limousin Novembre 2012 à Octobre 2013 ARML Limousin Rapport de capitalisation EAV / MV - 1 - SOMMAIRE REMERCIEMENTS p.7 PARTIE 1 - CHAMP
Plus en détail