Les nanotubes de carbone : 1. Structure et croissance
|
|
- Joel Villeneuve
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les nanotubes de carbone : 1. Structure et croissance Les différentes formes de carbone sp 2 Structure des nanotubes mono-feuillets Structure électronique des nanotubes mono-feuillets Modèle de croissance des nanotubes Procédés d élaboration à hautes températures Remplissage, jonctions Les procédés CVD
2 Propriétés des nanotubes mono-feuillets
3 Les nanotubes de carbone : 2. Caractérisations structurales Les techniques de microscopie électronique à base de balayage de pointes : STM et AFM Caractérisation optique : spectroscopie Raman Les principales spectroscopies électroniques
4 Les nanotubes de carbone : 3. Applications électroniques Les propriétés de transport électronique des MWNTs L électronique moléculaire : les limites des technologies silicium Les composants électroniques à base de SWNTs Les procédés liés aux SWNTs semiconducteurs L émission de champ
5 Microscopie à champ proche : Scanning Tunneling Microscopy (STM) Principe : Une pointe métallique de rayon inférieur à 1 nm est approchée à une distance de quelques Angstöms d une surface métalliques afin d assurer le recouvrement des fonctions d onde. L application d une différence de potentiel crée un courant tunnel (de l ordre du na). On réalise ainsi une cartographie avec une résolution de l ordre de 0.5 nm (dépendant de la pointe). Inconvénient : technique adaptée à des surfaces conductrices Prix Nobel 1986 (IBM Zurich)
6 Principe de fonctionnement : l effet tunnel (1) Rappels de Mécanique quantique Approximations : électron libre, 1D, faibles tensions appliquées Electron incident d énergie E, fonction d onde Ψ G Barrière de potentiel (V 0, a). Equation de Schrödinger : ondes progressives Ψ G et Ψ D et onde évanescente. Coefficient de transmission (gauche vers droite) :
7 Principe de fonctionnement : l effet tunnel (2) Rappels : Dans une barrière de potentiel U, fonction d onde associée à une particule de masse m et d énergie E < U : : fonction d onde en bord de barrière La polarisation sonde-surface étant faible : U E ~ Φ Φ : travail de sortie (distance niveau vide / E F ). Probabilité de présence de la particule dans la barrière : En pratique : Φ ~ 5 ev, ce qui donne K ~ 1Å -1. Le courant tunnel varie de l ordre d une décade par angtröm. La dépendance exponentielle est à l origine de la bonne résolution latérale (le courant tunnel provenant essentiellement de l ultime atome de la pointe)
8 Microscopie à champ proche : Scanning Tunneling Microscopy (STM) La pointe est solidaire de trois céramiques piézoélectriques C x C y C z commandant le balayage. On opère à courant constant en asservissant la position constante de la pointe par une tension V z. V z (x,y) fournit la topographie de l échantillon.
9 Mesure de la chiralité des SWNTs par STM : Principe général Détermination de la chiralité (n,m) à partir de la mesure du diamètre et de l angle chiral
10 Images de nanotubes par STM a) SWNTs individuels (flèches blanches) et en fagots (flèches noires) déposés sur une marche d Au (111) b) Détermination de la chiralité (n,m) : flèche noire axe du nanotube; pointillé : axe zigzag
11 Structure de bande des nanotubes Allures générales des relations de dispersion et densités d états pour des SWNTs métalliques (a) ou semiconducteurs (b). Les singularités de Van Hove (liées aux extrema des relations de dispersion) sont caractéristiques de la chiralité.
12 Applications de la STM : Mesure de la densité d état (DOS) Théorie de Tersoff-Hamann (1983) : Dans le cas où les états de la pointe et de la surface sont indépendants et des faibles tensions appliquées entre pointe et surface V, le courant d effet tunnel I se traite comme une perturbation du premier ordre entre états couplés par des éléments de matrice M µν (µ et ν étant relatifs aux deux électrodes) : E µ et E ν sont les énergies associées aux fonctions d onde Ψ µ et Ψ ν S est une surface arbitraire dans la barrière Hypothèse : états s pour la pointe et onde plane pour la surface ρ s : densité d état de la surface mesurée en r 0 (position de la pointe) ρ t : densité d état de la pointe Application : mesure de la densité locale des états de la surface observée
13 Images et spectroscopies de nanotubes par STM a et b) Images à courant constant de SWNTs individuels déposés sur un substrat d Au (1,1,1) c et d) calculs de la conductance normalisée (V/I) di/dv et caractéristiques I-V mesurés (inserts) Le caractère semiconducteur du SWNT (b)) apparaît clairement (possibilité de détermination du gap)
14 Nanotubes semiconducteurs (SWNTs) : Influence du diamètre sur la bande interdite Calcul de liaison forte, paramètre : intégrale de recouvrement des proches voisins (γ 0 ) E g = 2 γ 0 a C-C / d avec a C-C = nm Ajustement (courbe continue) : γ 0 = ev Ce type de dépendance en fonction du diamètre s étend aux singularités de Van Hove
15 Images et spectroscopies de nanotubes par STM Comparaison entre les densités d états (DOS) mesurées (haut) et calculées à partir d un modèle de liaison forte délectrons π (bas). SWNTs métalliques : présence d un «pseudo-gap».
16 Images et spectroscopies de nanotubes par STM Image et spectroscopie d un nanotube semiconducteur. b) Comparaison entre la densité d états (DOS) mesurée (haut) et calculée à partir d un modèle de liaison forte (bas) d électrons π. Le désaccord (en particulier dans la bande de conduction) peut être attribué à une hybridation π σ induite par la courbure du nanotube.
17 Images et spectroscopies par STM STM images sur un faisceau courbé de SWNTs (métalliques) a) Les symboles correspondent aux localisations des mesures I-V enregistrées sur 5 nm (resp. 2 nm) à gauche (resp. droite) du coude (b)). Les pics proches de V=0 disparaissent à 5 nm du coude (+). c-e) images STM correspondant à des tensions de -0.15, 0.15 et 0.45V. Des structures sont observées (ex: bandes parallèles à la direction zigzag en c)
18 Images et spectroscopies par STM Terminaison du tube : présence de pentagones (six : règle d Euler). a) Les symboles correspondent aux localisations des mesures I-V enregistrées proches et loin du bout du tube (13,-2). Les pics proches de V=0 disparaissent loin de l extrémité du nanotube. c,d) DOS comparée à un modèle de liaisons fortes. Meilleur accord : pentagones isolés Pentagones : flèches grises
19 Images et spectroscopies par STM Effets quantiques dans les nanotubes Coupure d un SWNT par un pulse de tension Modélisation («boite») : particule confinée (1D) Confinement axial des électrons induit une discrétisation : k= π/l Valeurs propres : E = ħ 2 k 2 /2m Espacement des niveaux d énergie : E = hv f /2L ~ 1.67 ev/l (nm) (v f : vitesse de Fermi du graphène)
20 Images et spectroscopies par STM Effets quantiques dans les nanotubes Caractéristiques I(V) et spectres correspondants à des SWNTs coupés (6 nm, 5 nm et 3 nm : d-f resp.). L espacement des pics en d) (0.27 ev) et e) correspond bien au modèle de boite 1D, désaccord en f) : tube de 3nm.
21 Microscopie à champ proche : Atomic Force Microscopy (AFM) Principe : Mesure de la force d attraction ou de répulsion (Van der Waals) entre la pointe et la surface de l échantillon (1-100 nn). Avantage : peut-être utilisé avec des surfaces isolantes
22 Microscopie à champ proche : Atomic Force Microscopy (AFM) Mesure optique de la déflexion de la lame ressort. Résolution latérale de l ordre de 0.3 nm (longitudinale : 0.1 nm). Autre mode de fonctionnement : déflexion fixe Cartographie : même principe que STM (piézoélectriques)
23 Exemple d application de l AFM Manipulation par AFM : Mesure simultanée de la déflexion et de la résistance. a) SWNT (métallique) suspendu sur une longueur de 605 nm c) mesure de la déflexion et de la conductance pendant les oscillations de la pointe d) variation de la conductance en fonction de la déflexion e) simulation de la déflexion de 15 d un SWNT (5,5) : apparition de liaisons sp 3 (réversible)
24 Exemple d application de l AFM : Manipulation de nanotubes (1) Manipulation (résumée) par AFM d un MWNT afin d effectuer une mesure électrique. Le MWNT est initialement déposé sur de la silice (a). La torsion du MWNT durant la manipulation n induit pas de dommage apparent.
25 Exemple d application de l AFM : Manipulation de nanotubes (2) Manipulation par AFM (translation et rotation) pour la réalisation d un composant à un électron (élément actif : MWNT de 410 nm de long). Incréments typiques : 10 nm et 5 (procédé très long). La configuration de mesure est indiquée en bas à droite.
26 Réalisation de pointes de microscope AFM En pratique, les pointes d AFM sont en silicium (ou nitrure de Si) avec des angles coniques de et des courbures de 5-10 nm (Si) ou nm (nitrure) La taille finie de la pointe entraîne une dégradation de la résolution. Avantages des nanotubes : - Excellent facteur d aspect - plus grande rigidité connue (module d Young).
27 Microscopie à «force chimique» Fonctionnalisation chimique d une pointe de nanotube : a) Schéma de la configuration chimique (fonctionnalisations -COOH et amine); b) dépendance de l adhésion en fonction du ph pour une fonctionnalisation basique (triangles), acide (cercles) ou neutre (carrés) de la pointe
28 Les nanotubes de carbone : 2. Caractérisations structurales Les techniques de microscopie électronique à base de balayage de pointes : STM et AFM Caractérisation optique : spectroscopie Raman Les principales spectroscopies électroniques
29 Caractérisations optiques des nanotubes Avantages : - Mise en œuvre simple (absence de pointes, vide non nécessaire ) - Techniques non perturbatrices - Très bonne résolution en énergie (spectroscopie) Inconvénients : - Faibles intensités - Faible résolution latérale (transmission/réflexion : plusieurs dizaines de microns) Optique linéaire - Photométrie - Polarimétrie (ellipsométrie) Optique non linéaire : diffusion Raman
30
31
32
33 Absorption optique des nanotubes (photométrie) exemple typique (arc électrique) Caractérisation à partir des singularités de Van Hove (0.68 et 1.2 ev : SWNTs semiconducteurs, 1.7 ev : SWNTs métalliques)
34 Absorption optique des nanotubes (1) Spectres optiques enregistrés sur des ensembles de nanotubes déposés à différentes températures. Singularités de Van Hove : A et B (semiconducteurs), C (métalliques) Décalage global des pics vers les basses énergies : augmentation du diamètre moyen des nanotubes en fonction de la température (distances entre les singularités fonction du gap). Interprétation : probabilité de formation de pentagones diminue en fonction de la température.
35 Absorption optique des nanotubes (2) Position des sous-structures quasi constante sur tous les spectres. Interprétation : ensemble de nanotubes avec des valeurs discrètes de diamètre autour de valeurs préférentielles (indépendamment de la température) Interprétation : l équidistance des positions des sous-structures correspond à une équidistance en diamètres pour les SWNTs (métalliques et semiconducteurs) L écart d = 0.07 nm (lignes pointillées) correspond à des nanotubes proches de la géométrie armchair (n,n)
36 Absorption optique de SWNTs : Influence du dopage Spectres de SWNTs incluant des atomes donneurs (Cs) ou accepteurs (Br). L intensité des trois pics (0.68 ev, 1.2 ev et 1.8 ev) est influencée par le dopage (a). Pour les forts dopages (b), deux nouveaux pics apparaissent (1.07 ev et 1.30 ev), probablement dus à des transitions intrabande.
37 Diffusion Raman de la lumière : Principe général Diffusion de la lumière par un matériau : élastique (Rayleigh) inélastique (Raman) : très faible intensité (10-6 ) Raman : au premier ordre, la différence d énergie entre photons incidents (E i ) et émis (E s ) correspond à l énergie d un phonon (E v ). E s = E i - E v : Stokes (création de phonon) E s = E i + E v : Antistokes (annihilation de phonon) La périodicité du réseau impose la conservation des moments (règles de sélection) : k s = k i + q q : vecteur d onde du phonon
38 Diffusion Raman de la lumière : Principe général Caractéristiques générales : Méthode non destructive Aucune préparation particulière (mise sous vide ) Possiblité de Micro-Raman (~ 1 µm) Très faibles intensités (~ 10-6 ) Capacité de caractérisation d un nanotube unique (Nano-Raman)!
39 Diffusion Raman de la lumière : Montages expérimentaux Caractéristiques générales : Utilisation de sources laser (généralement visible) Possibilité de focalisation (micron carré) Très bon rejet de la longueur d onde initiale (10-6 ) Très bonne résolution spectrale ( λ petit) : montages optiques complexes Utilisation in situ difficile (grand angle solide)
40 Application de la Spectroscopie Raman au Silicium Influence de la structure du silicium Matériaux désordonnés : élargissement des raies (non conservation du vecteur k)
41 Diffusion Raman de la lumière : Exemple d application au carbone Spectres Raman d un diamant naturel et du graphite HOPG
42 Modes phonon du graphite 2D Forces d interaction entre premiers voisins d un plan de graphène : Le mode «stretching» (étirement) correspond au mode radial dans le plan (Φ r )) Le mode «bending» correspond aux vibrations tangentielles dans et en dehors du plan (Φ to et Φ ti ) Généralisation à plus de deux atomes (ex : torsion de quatre atomes voisins autour d un axe)
43 Modes phonon du graphite et des nanotubes a) origine du mode «breathing» des nanotubes ( cm -1 ) b) origine d un mode acoustique dont les vibrations sont perpendiculaires à l axe. Il n y a pas de couplage entre les modes dans et en dehors du plan dans le cas du graphène (le couplage vient de la courbure)
44 Modes de vibrations (phonons) des nanotubes de carbone Calcul des relations de dispersion des phonons (a) et densité d état de phonons (b) pour le graphite 2D (gauche) un nanotube armchair (10,10) (droite). Les comportements observés sont globalement similaires bien que présentant des différences. Le nanotube (10,10) présente 66 modes distincts. Les modes principaux sont de type «Radial Breathing» (RBM) à basse fréquence ( cm -1 ) et les modes tangentiels G à plus haute fréquence ( cm -1 )
45 Influence du diamètre sur les propriétés optiques Spectres optiques (absorption et Raman) enregistrés sur des nanotubes (purifiés) SWNTs (métalliques et semiconducteurs) préparés par arc électrique, avec des diamètres variables (différents catalyseurs). NiY ( nm) NiCo ( nm) Ni ( nm) RhPd ( nm) (les pics à 0.55 ev et 0.9 ev sont dus au substrat de quartz) La distribution des diamètres peut être estimée à partir de la relation : ω RBM ~ (1/d)
46 Spectres Raman de SWNTs «armchair» Haut : spectres enregistrés sur un ensemble («fagot») de SWNTs (λ = 514.5nm), probablement armchair, produits par ablation laser 185 cm -1 : mode breathing; cm -1 : modes optique du graphite (G). Bas : calcul des spectres armchair (n,n) : n = 8-11
47 Spectres Raman de SWNTs Calcul de l influence du rayon r(n,m) du nanotube sur les fréquences des modes Raman de basse fréquence pour 8 n 10 et 0 m n. Aucune influence de la chiralité (E g dépend de r et pas de l angle chiral θ).
48 Spectres Raman de SWNTs Influence de l énergie d excitation Influence du couplage électron-phonon (DOS des SWNTs fonction de la longueur d onde : singularités de Van Hove )
49 Spectres Raman de SWNTs Influence de l énergie d excitation SWNTs excités à plusieurs énergies de photon, montrant l effet résonant sur l intensité des pics associé aux transitions entre singularités de Van Hove (bandes de valence conduction) Utilisation du Raman à excitation spectroscopique
50 Spectres Raman résonant Influence du diamètre des SWNTs Spectres Raman des énergies de phonon dans les régions «breathing radial» et «tangentiel G», respectivement. La résonance (nanotubes métalliques) est observée à plus basse énergie d excitation ( ev) pour les SWNTs de grand diamètre ( nm : NiY) que pour les petits ( nm : RhPd).
51 Spectres Raman résonant MWNTs Spectres Raman résonant de MWNTs obtenus par arc électrique (Breathing modes). La position des modes est décalée par rapport aux SWNTs à cause des interactions entre feuillets. Certains pics sont associés à des chiralités : (4,3) 490 cm -1 (semiconducteur) (5,4) 388 cm -1 (semiconducteur) etc La spectroscopie Raman permet une analyse détaillée de la structure des MWNTs
52 Les nanotubes de carbone : 2. Caractérisations structurales Les techniques de microscopie électronique à base de balayage de pointes : STM et AFM Caractérisation optique : spectroscopie Raman Les principales spectroscopies électroniques
53 Spectroscopies d électrons PES : Photoémission; IPES : Photoémission inverse; XES : émission de rayons X; EELS : perte d énergie
54 Spectroscopie de photoélectrons (PES) Principe : des photoélectrons sont éjectés du solide par un photon d énergie hν (typiquement 40 ev). hν et E cin sont mesurés. Energie de liaison des électrons éjectés : E B = hν -E cin - Φ (Φ : travail de sortie) E B : densité d états occupés Spectroscopie des états occupés Très sensible à la surface (libre parcours moyen des photoélectrons inférieur au nm)
55 Spectroscopie de photoélectrons (PES) Comparaison des spectres du graphite (quasi 2D) et d un MWNT (états occupés) E B < 7.5 ev : électrons π Maximum 3eV (singularités de Van Hove) Maximum = 7.5 ev : électrons σ Spectre du C 60 (quasi 0D) : La structure de bande a quasiment disparu, le spectre est dominé par les niveaux électroniques (légèrement élargis)
56 Spectroscopie de photoélectrons (PES) Contamination de surface Spectres PES de films SWNTs purifiés. L énergie de liaison C1s est voisine de celle du graphite et des fullerènes. Après recuit sous UHV à 1000 C, la plupart des contaminants disparaissent (N, Na, O ) à l exception du catalyseur résiduel (Ni 2p et Co 2p).
57 Spectroscopie d émission de rayons X (XES) Principe : Un trou «cœur» (couche C 1s) est créé par bombardement électronique (ou rayons X). Ce trou est annihilé par une transition à partir d états occupés La mesure de la raie fluorescente permet d accéder à la densité locale d états occupés Règle de sélection sur la symétrie (C 2p) Différentes origines physiques pour PES et XES (XES : transitions 1s/2p)
58 Spectroscopie d émission de rayons X (XES) Comparaison des spectres XES de différentes formes de carbone sp 2 (états π)
59 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) Principe : Des transitions à partir du niveau cœur (C 1s) vers des états inoccupés (C 2p) sont induites à partir de la diffusion inélastique d électrons de hautes énergies. Des informations similaires peuvent être obtenus à partir de la spectroscopie d absorption de rayons X (XAS) : rayonnement synchrotron
60 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) Comparaison des spectres correspondant au C 60 : prédominance des niveaux moléculaires (disparition de la structure de bande)
61 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) Spectres d excitation des niveaux C 1s et K 2p avec K intercalé : 285 ev : π* (largeur réduite par effet excitonique) > 291 ev : σ* a) KC 8 Rapports C/K (estimé) : b) 7; c) 16; d) 34 e) SWNTs purs f) graphite
62 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) Domaines spectraux
63 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) transitions
64 Spectroscopie de perte d énergie (EELS)
65 Spectroscopie de perte d énergie (EELS)
66 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) : exemple d application
67 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) : exemple d application
68 Spectroscopie de perte d énergie (EELS) : exemple d application
69 Caractérisations des nanotubes de carbone (1) Les techniques de microscopie électronique à base de balayage de pointes (STM, AFM) : + caractérisation de nanotubes individuels (hélicité, DOS, structure interne ) + possibilité de manipulation - difficulté de mise en œuvre (pointes )
70 Caractérisations des nanotubes de carbone (2) Caractérisation optique : spectroscopie Raman + simplicité de mise en œuvre + grande précision en énergie - faible sensibilité latérale (nanotube individuel?) Les spectroscopies électroniques + quantification des espèces chimiques (dopage, peapods ) - difficulté de mise en œuvre (ultravide, électrons de hautes énergie ) - contaminations de surface
Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détail101 Adoptée : 12 mai 1981
LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailEFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.
EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailL PRESENTATION GENERALE SCPIO
L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailLes outils de la nanotechnologie:
Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos Les outils de la nanotechnologie: Polytech-Lyon / Matériaux 5ème année (2013-2014) (1) Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailGroupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html
Axe principal: EDS Axes secondaires : Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Institut des NanoSciences deparis http://www.insp.jussieu.fr/
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailEcole d été des spectroscopies d électrons.
Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailLA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE
LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détail10. Instruments optiques et Microscopes Photomètre/Cuve
0. Instruments s et Microscopes GENERAL CATALOGUE 00/ Cuve à usage unique pour spectrophotomètre Cuve jetable, moulée en et en pour UV. Avec parois traitées Kartell ment pour une transparence optimale
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailMesure de la surface spécifique
Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant
Plus en détailGELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban
GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)
Plus en détail(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)
Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détail