AUGMENTATION RECENTE DU NOMBRE DE CAS DE SYPHILIS A PARIS
|
|
- Irène Laframboise
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AUGMENTATION RECENTE DU NOMBRE DE CAS DE SYPHILIS A PARIS Rapport préliminaire d investigation au 28 février 21 Rapport rédigé par le Dr E. Couturier (Institut de Veille Sanitaire) en collaboration avec les médecins des DAV parisiens suivants : le Dr N. Dupin (Hôpital Tarnier), le Dr A-C Crémieux (Hôpital Bichat-Claude Bernard), le Dr M. Janier (Centre Clinique et Biologique des MST, Hôpital Saint-Louis) et le Dr J-P Mertz (Dispensaire Croix-Rouge, rue de Valois).
2 I. Alerte Le 2 novembre 2, le médecin responsable du DAV de l Hôpital Tarnier (Paris), sur les conseils du Chargé de Mission de la DASES, a contacté l Institut de Veille Sanitaire, en raison d un nombre très inhabituel de cas de syphilis précoces diagnostiqués en l espace de six semaines. Le 27 novembre 2, lors d une rencontre avec le responsable du DAV, il a été décidé de conduire une enquête épidémiologique descriptive pour confirmer les cas diagnostiqués depuis janvier 2 et mettre en place une surveillance prospective. II. Contexte En 1998 et 1999, aucun cas de syphilis primo-secondaire n avait été diagnostiqué dans le DAV de Tarnier. En raison de la résurgence des cas de syphilis, une feuille standardisée de recueil de données avait été conçue et utilisée par les médecins du DAV. Pour connaître la situation dans les autres DAV parisiens, le responsable de Tarnier avait déjà contacté les responsables des DAV de l hôpital Saint-Louis et de l Institut Fournier. L InVS s est chargé des DAV de la Croix-Rouge (rue de Valois) et de l hôpital Bichat-Claude Bernard. III. Méthodes 1. Pour le DAV de Tarnier Une définition de cas a été proposée et choisie par les cliniciens à partir de celle utilisée par les CDC (USA) et très proche de celle utilisée par le CDSC (UK). Un cas est un patient avec un diagnostic de syphilis primaire, secondaire ou latente précoce à partir du 1 er janvier 2 (Annexe 1). Un questionnaire, «Investigation d un cas de syphilis», recueillant les données cliniques et biologiques a été conçu en y intégrant aussi les quelques données comportementales issues de la feuille standardisée propre au DAV (Annexe 2). Le recueil des données a été rétrospectif pour les cas du 1 er semestre de l année 2 et prospectif ensuite. 2. Pour les quatre autres DAV La définition de cas et le questionnaire «Investigation d un cas de syphilis» utilisés pour les cas de l année 2 sont ceux du DAV de Tarnier. De plus, les DAV de la Croix-Rouge et de Saint-Louis ont revu rétrospectivement leurs cas des années 1998 et IV. Résultats Parmi les cinq DAV, les résultats de l Institut Fournier ne sont pas encore connus. En 2, un seul DAV, Bichat-Claude Bernard, n a diagnostiqué aucun cas de syphilis répondant à la définition de cas. Au total, le nombre de cas de syphilis récente est passé de 4 en 1998 à 24 en 2. La distribution du nombre de cas par année est donné dans le tableau ci-dessous et par la figure 1. 1
3 (au 28/2/) Bichat-Claude Bernard - -? Croix-Rouge 2 Tarnier 1 6 Saint-Louis ? Total Syphilis*, nombre de cas par année, Bichat-Claude Bernard**, Croix-Rouge, Saint-Louis, Tarnier Figure 1 Nombre de cas *primaire, secondaire, latente précoce **seulement pour Année L analyse suivante décrit les 25 cas diagnostiqués en 2. La répartition des cas par trimestre de l année 2 est respectivement de 6, 4, 6 et 9. Parmi les 25 cas de syphilis, 24 sont des hommes et un, une femme. Parmi les 24 cas masculins, 19 (79.2%) sont homosexuels et 5 hétérosexuels. L âge moyen est de 8 ans (médiane : 6 ans ; étendue : 2-8 ans). Le pays ou la région de naissance est la France pour 16 (64%) d entre eux, l Europe pour 5, l Afrique ou les Caraïbes pour les 4 derniers. 2
4 Parmi les 25 patients, 1 (52%) sont infectés par le VIH et tous homosexuels (Figure 2). Syphilis*, cas par trimestre, mode de contamination et statut VIH, 2 DAV Bichat-Claude Bernard, Croix-Rouge, Saint-Louis, Tarnier Figure 2 Nombre de cas Trimestres Hétérosexuel** Homosexuel VIH- Homosexuel VIH+ *primaire, secondaire, latente précoce **5 VIH(-), 1 VIH inconnu Parmi les 1 patients infectés par le VIH, 9 (69.2%) connaissaient leur séropositivité et l ont découverte à l occasion du diagnostic de syphilis. Parmi les 9 patients connaissant leur séropositivité, la date du 1 er test VIH positif est connue pour 5 d entre eux. Parmi ces 5 patients, 4 connaissaient leur statut VIH depuis 1 ans et plus. En effet, l année de découverte de 1 infection à VIH est respectivement, 1986, 1988, 1989 et 199. Quant au dernier patient, la séropositivité a été découverte 15 jours avant le diagnostic de syphilis. Les antécédents de MST, autres que le VIH, ont aussi été recueillis. Parmi les 25 patients, 1 (4%) n avaient aucun antécédent de MST, 14 (56%) avaient des antécédents de MST et pour un patient les antécédents étaient inconnus. Parmi les 14 patients avec antécédents de MST, 1 (71.4%) avaient eu une MST unique (infection à papillomavirus pour 4, gonococcie pour, syphilis pour 1, hépatite B pour 1, infection à herpès virus pour 1) et 4 patients (28.5%) avaient des antécédents de plusieurs MST différentes. Parmi les 25 patients, 15 (6%) avaient une syphilis secondaire, 8 (2%) une syphilis primaire et 2 (8%) une syphilis latente précoce (Figure ).
5 Syphilis*, nombre de cas par trimestre et par stade clinique, 2 DAV Bichat-Claude Bernard, Croix-Rouge, Saint-Louis, Tarnier Figure Nombre de cas Trimestres latente précoce secondaire primaire *primaire, secondaire, latente précoce V. Discussion Les données de syphilis, maladie à déclaration obligatoire jusqu en juin 2, se confondaient avec les données collectées par les DAV. Les derniers chiffres publiés 1 datent du début des années 199 et montrent une diminution de la syphilis précoce entre 198 et 199. A partir de 199, il n existe aucune donnée nationale mais les rapports d activité des DAV parisiens ou d autres régions montrent que la syphilis primo-secondaire était devenue une maladie très rare voire exceptionnelle. Dans ce contexte, le diagnostic de plusieurs cas de syphilis était très inhabituel et a entraîné l alerte. L enquête épidémiologique, proposée au seul DAV de Tarnier, a ensuite été étendue aux autres DAV parisiens. Elle a permis d élaborer une définition de cas de la syphilis récente, de recueillir le nombre de cas diagnostiqués de 1998 à 2 et d investiguer les cas diagnostiqués en 2. Parmi tous les centres parisiens de dépistage des MST, les 4 DAV participants ont déclaré 91% des pathologies MST dépistées en 1999 (source DASES). Entre 1998 et 2, bien que les nombres de cas de syphilis récente soient faibles, une augmentation importante a été observée, respectivement de 4 cas à 25. Parmi les 25 cas diagnostiqués en 2, trois quart d entre eux étaient des hommes homosexuels. La moitié des cas diagnostiqués était infectée par le VIH et parmi les patients séropositifs, 69% connaissaient leur séropositivité avant le diagnostic de syphilis. La résurgence de la syphilis à Paris est préoccupante car elle s inscrit dans un contexte de recrudescence des gonococcies 2- depuis 1998, surtout en Ile-de-France et parmi les hommes. D autre part, les résultats préliminaires de l enquête Presse Gay 2 4 révèlent qu entre 1997 et 2, le nombre de répondants ayant déclaré avoir eu une MST dans l année a augmenté, de 1% à 15,8% et que tous les types de MST sont en augmentation. De plus, le taux de MST 4
6 dans l année varie selon le statut sérologique VIH, de 15% chez les testés séronégatifs à % chez les séropositifs. En Europe et dès 1999, des épidémies de syphilis ont été décrites au Royaume-uni 5, en Norvège 6, Irlande 7 et Pays-Bas 8. Ces épidémies touchaient principalement les homosexuels infectés par le VIH mais aussi des hétérosexuels hommes et femmes. La réapparition de la syphilis va permettre de mettre en place à Paris, dans les DAV mais aussi dans le réseau de médecins Gay, un dispositif de surveillance de la syphilis. Ce dispositif en cours d élaboration associerait outre les données cliniques et biologiques, des données comportementales. Elles seraient recueillies par un auto-questionnaire proposé au patient par son médecin. Cet auto-questionnaire volontaire et anonyme permettrait de caractériser les individus à risque de syphilis et d adapter les messages de prévention. La seule ville de Paris semble concernée mais au cours des mois de février et mars 21, l InVS a été informé par le CHU de Lille-Tourcoing et le CH de Quimper-Concarneau d un nombre inhabituel de cas de syphilis diagnostiqués dans ces hôpitaux depuis décembre 2. Une investigation est en cours. VI. Recommandations Il serait souhaitable de renforcer les mesures de prévention des MST et la prise en charge des patients atteints de MST. D autre part, une information au corps médical semble nécessaire. En effet, depuis une quinzaine d année, la syphilis était devenue une maladie rare et les signes ou symptômes (en particulier les signes cutanés de la syphilis secondaire, très contagieux) sont méconnus des médecins. VII. Références 1. Meyer L, Goulet V, Massari V, Lepoutre-Toulemon A. Surveillance of sexually transmitted diseases in France : recent trends and incidence. Genitourin Med 1994;7(1): Goulet V, Sednaoui P, Laporte A, Billy C, Desenclos, JC. Augmentation du nombre de gonocoques identifiées par le Réseau RENAGO Bull Epid Hebdom 1999; 26: Goulet V, Sednaoui P, Massari V, Laurent E, les biologistes de RENAGO et les médecins chargés des Actions de Santé dans les Conseils Généraux. Confirmation de la recrudescence des gonococcies en France depuis Bull Epid Hebdom 21; 14: P. Adam, E. Hauet. Résultas préliminaires de l enquête Presse Gay 2. Modes de vie homosexuels et gestion des risques dans le contexte d épidémies de VIH/SIDA et de MST. Institut de Veille Sanitaire, 15 mars 21, 5. PHLS. Trends in sexually transmitted infections in the United Kingdom, 199 to London, Public Health laboratory Service, Blystad H, Nilsen O, Aavitsland P. An outbreak of syphilis among homosexual men in Oslo, Norway. Eurosurveillance Weekly 1999;: Doherty L, Fenton K, O Flanagan D, Couturier E. Evidence for increased transmission among homosexual men and heterosexual men and women in Europe. Eurosurveillance Weekly 2;5. 8. Fennma JS, Cairo I, Coutinho RA. Substantial increase in gonorrhea and syphilis among clients of Amsterdan sexually transmitted diseses clinic. Ned Tijdschr Geneeskd 2 Mar 25;144(1):62- (Deutch.). 5
7 Annexe 1 Définition d un cas de syphilis récente La syphilis récente inclut la syphilis primaire, secondaire et latente précoce. Syphilis primaire Clinique : une ou plusieurs ulcérations de type syphilitique (chancre) Biologie : mise en évidence de Treponema pallidum dans des prélèvements par un examen au microscope à fond noir, par immunofluorescence directe ou méthodes équivalentes. Cas probable = une ou plusieurs ulcérations de type syphilitique (chancre) et un test sérologique positif (VDRL ou RPR ; FTA-abs ou TPHA). Cas certain = une ou plusieurs ulcérations de type syphilitique (chancre) et mise en évidence de Treponema pallidum dans des prélèvements par un examen au microscope à fond noir, par immunofluorescence directe ou méthodes équivalentes. Syphilis secondaire Clinique : lésions cutanéo-muqueuses localisées ou diffuses souvent associées à des adénopathies. Le chancre peut être présent. Biologie : mise en évidence de Treponema pallidum dans des prélèvements par un examen au microscope à fond noir, par immunofluorescence directe ou méthodes équivalentes. Cas probable = lésions cutanéo-muqueuses localisées ou diffuses souvent associées à des adénopathies. Le chancre peut être présent. Et une sérologie non tréponémiques (VDRL ou RPR) ayant un titre >= 4 Cas certain = lésions cutanéo-muqueuses localisées ou diffuses souvent associées à des adénopathies. Le chancre peut être présent. Et mise en évidence de Treponema pallidum dans des prélèvements par un examen au microscope à fond noir, par immunofluorescence directe ou méthodes équivalentes. Syphilis latente précoce Définition de la syphilis latente Clinique : stade clinique silencieux (absence de signes ou de symptômes), divisé en latente précoce et tardive. Cas probable = absence de signes cliniques ou de symptômes de la syphilis et présence d au moins l un des critères suivants Pas d antécédents de syphilis, une sérologie non tréponémique (VDRL ou RPR) et une sérologie tréponémique (FTA-abs ou TPHA) positives. Antécédent de syphilis traitée associée à une sérologie non tréponémique avec un titre >= 4 fois le dernier titre non tréponémique. Définition de la syphilis latente précoce Clinique : infection initiale a eu lieu dans les 12 derniers mois. Cas probable = personne ayant acquis l infection dans les 12 derniers mois en se basant sur un ou plus des critères suivants Séroconversion documentée ou augmentation de 4 ou plus du titre d un test non tréponémique dans les 12 derniers mois. Signes cliniques compatibles avec une syphilis primaire ou secondaire dans les 12 derniers mois. Partenaire sexuel avec une syphilis primaire ou secondaire probable ou certaine ou une syphilis latente précoce probable (documentée indépendamment comme ayant une durée < un an). Des sérologies positives tréponémiques et non tréponémiques chez une personne dont la seule exposition sexuelle possible a eu lieu dans les 12 derniers mois. 6
8 Annexe 2 Service de Dermatologie Vénéréologie Pr JP Escande Institut de Veille Sanitaire Investigation Syphilis (à partir du dossier médical) Numéro du cas : Questionnaire rempli par : Date de la consultation initiale : / / A. Données socio-démographiques Age Sexe Masculin Féminin Dpt résidence Région/Pays d origine Profession.. Orientation sexuelle Hétérosexuelle Homosexuelle Bisexuelle B. Antécédents Syphilis Gonococcie Hépatite B VIH Autres.... Nombre* Date** Nombre* Date** Herpès. Hépatite C _ _ HPV. _ Chlamydiae. *sur la vie entière ; **date de la dernière MST Sérologie VIH (la plus récente) positive / / négative / / inconnue Si VIH (+), le patient a-t-il un traitement antirétroviral? Oui Non Ne sait pas La dernière charge virale est-elle indétectable? Oui Non Ne sait pas Si oui, résultat :. Autres Toxicomanie IV Partenaire VIH (+) Partenaire d un (ou plusieurs cas), numéro(s) cas :.. /.. /.. /.. C. Motif de la consultation initiale Signes évocateurs d une MST Dépistage car partenaire avec MST sans fiche-contact avec fiche-contact Adressé par un médecin de ville Suivi de l infection à VIH Autre(s) :.. 7
9 D. Examen clinique et biologique Présence de signes cliniques Oui Si oui, Non Ulcération de type chancre syphilitique Eruption Adénopathies Site :. Site :. Date d apparition : / / Date d apparition : / / Autre(s) signe(s) :.. Fond noir Oui Non Si oui, résultat positif négatif date / / Sérologies Syphilis résultat positif négatif date / / TPHA (titre).... VDRL (titre).... FTA (titre).. Autre(s) sérologie(s) :.. VIH résultat positif négatif date / / E. Diagnostic final Syphilis primaire date / / Syphilis secondaire date / / Syphilis latente précoce date / / Date de début du traitement / / Une autre MST a-t-elle été diagnostiquée? Oui Non Si oui, laquelle? Gonococcie Herpès HPV VIH Hépatite B Chlamydiae Hépatite C Autre(s) :.. F. Comportement sexuel Utilisation du préservatif jamais occasionnellement toujours Rapport motivant la consultation : Mode :. date / / Nombre de partenaires dans l année écoulée : >2 8
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailInterprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailNovembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale
Novembre 2006 Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale sommaire Introduction p. 2 Matériel et méthode p. 3 Résultats p. 5 1 Participation p. 5 1.1 Participation des
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailListe des principales abréviations
2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...
LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détaill hépatite b Une maladie qui peut être grave.
l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailPourquoi inclure la fourniture de services dans la proposition? Eléments à prendre en compte dans l analyse de situation
Aide technique pour les propositions de la série 8 du Fonds mondial Zone élargie Zone de fourniture de services Prévention Communication pour la modification du comportement écoles et extension communautaire
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailDÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN
DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN Analyse secondaire des données des enquêtes démographiques et de santé réalisées au Bénin et à Madagascar Avril
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détail47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique
L A L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N D U S Y S T E M E D E S U R V E I L L A N C E D U V H C E N P R O V E N C E - A L P E S - C Ô T E D ' A Z U R S U R V E I L L A N C E V H C N 8 Surveillance continue
Plus en détailLa «période fenêtre» des ITSS
Les ITSS II : comment relever le défi La «période fenêtre» des ITSS pour optimiser et non empêcher la prévention! Marc Steben et Rhonda Y. Kropp 4 Josée a eu des relations sexuelles extraconjugales sans
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH
ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailLe point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013
Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»
Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailParkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey
Parkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey Chers clients du PCHC, Nous aimerions que vous nous aidiez à évaluer nos services et nos programmes. Nous voulons savoir ce que vous pensez
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailSURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI
SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI Elise CHIRON 1, Yves ROQUELAURE 1, Catherine HA 2, Annie TOURANCHET 3, Annette LECLERC 4, Marcel
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailFINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON. Par la Direction Générale de la CNAMGS
FINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON Par la Direction Générale de la CNAMGS Introduction Dans le souci d améliorer l accès aux soins de
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailPierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien
P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailSurveillance épidémiologique en Lorraine
CIRE LORRAINE- ALSACE Surveillance épidémiologique en Lorraine Point de situation au 2 juillet 2, n 2-16, 16, 26 Sommaire Surveillance par pathologie : - allergies... 2 - asthme...3 - pathologies liées
Plus en détailOCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication
OCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication 1 CONTEXTE Octobre Rose Pour la 21 ème année consécutive, Octobre Rose est le mois de sensibilisation dédié aux cancers féminins et
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détail