Septembre Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 2010

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1 SÉRIE études Septembre 212 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21

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3 sommaire Introduction...5 I. L emploi dans la filière en II. Etude sur le contenu en emplois des filières de traitement Remarques méthodologiques Les effectifs employés dans les installations de traitement du champ ITOM La place du service public «déchets» dans les installations de traitement des ordures ménagères Contenu en emplois des différentes filières de traitement...15 Plates-formes de compostage de déchets verts/biodéchets...15 Centres de tri-transit...16 Unités de tri mécanique des OMR avec compostage et/ou méthanisation...18 Usines d incinération...19 Installations de stockage de déchets non dangereux Récapitulatif des effectifs employés dans les installations de traitement...21 Conclusion...22

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5 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 5 introduction Parmi l ensemble des éco-activités recensées par le Commissariat Général au Développement Durable, celles relatives à la gestion des déchets constituent le premier secteur en terme d effectifs employés. Le service de l observation et des statistiques du Ministère de l Ecologie (SOeS) estime en effet à près de 1 le nombre d équivalents temps plein affectés «aux déchets» en France, soit près de 22% des emplois environnementaux. A l échelle régionale, la dynamique de création d emplois dans la filière déchets est réelle : au cours de la décennie 2, la croissance des effectifs salariés (hors emploi public) dans les activités «déchets» est trois fois plus importante que celle observée sur l ensemble des secteurs franciliens. Cette évolution s inscrit dans un contexte où la gestion des déchets a été profondément modernisée : édification et modernisation d équipements structurants en matière de réception et de traitement des déchets, apparition de mécanismes financiers favorisant les dispositifs de collecte sélective (filière REP, TGAP)... C est dans ce contexte que l ORDIF a souhaité assurer un suivi conjoncturel des effectifs employés dans la filière. La présente note porte sur l année 21. Deux problématiques y sont particulièrement abordées : Le recensement des emplois dans l ensemble des activités «déchets». Les données de référence ayant permis cette actualisation sont tirées de la statistique publique (Pôle Emploi, INSEE) ; Une étude spécifique menée sur les emplois dans les différentes filières de traitement des déchets non dangereux. Ce travail a été mené grâce à une enquête réalisée pour le compte de l ADEME auprès des exploitants (enquête ITOM).

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7 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études L emploi dans la filière en 21

8 8 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études En 21, près de 17 6 salariés travaillaient dans des établissements privés ayant comme activité principale une activité «déchets». Ce chiffre s entend hors emplois d intérim et effectifs employés sur certaines prestations externalisées. A partir de la classification des établissements en fonction de leur principale activité (NAF), il ressort que 73% des effectifs de la filière concernent les activités de collecte et traitement des déchets non dangereux. Répartition des effectifs salariés par type d activité Type d activité Effectifs salariés* Evolution Collecte et traitement des déchets non dangereux ,6% Collecte et traitement des déchets dangereux ,9% Récupération % Total ,4% 9 Source : Pôle emploi, données provisoires Dans un contexte régional où les effectifs salariés tous secteurs confondus 1 ont progressé de,7% entre 29 et 21 (source Pôle Emploi), il semblerait que ceux recensés dans la filière aient diminué de,4%. Cette légère baisse s observe plus spécifiquement au sein des activités de collecte et de traitement des déchets non dangereux (-18 emplois). Evolution de l emploi salarié (base 1 en 2) Base 1 2 Ile de France "déchets" Ile de France "tous secteurs" Déchets France Source : Pôle emploi, calculs ORDIF Sur une plus longue période, la croissance des effectifs régionaux dans la filière demeure largement supérieure à celle «tous secteurs confondus» (évolution supérieure de 11 points par rapport à la moyenne régionale sur la décennie 2). Entre 2 et 21, 25 emplois supplémentaires sont recensés dans les activités déchets en Ile de France. L augmentation des emplois salariés franciliens dans la filière est toutefois inférieure à celle observée au niveau national. Rappel méthodologique Il existe différentes sources statistiques pour suivre les effectifs employés par secteur d activité. Parmi celles-ci, on trouve : Les déclarations annuelles des données sociales (DADS) communiquées chaque année par l INSEE ; Les données du Pôle Emploi. Les principales différences entre ces deux sources résident dans le fait que la première prend en charge un périmètre plus large avec notamment la comptabilisation des postes issus des administrations et ceux des emplois non salariés (non pris en compte par Pôle Emploi). En raison de leurs disponibilités, les données provenant du Pôle Emploi ont été toutefois privilégiées par l ORDIF. Les activités retenues pour comptabiliser les activités déchets sont celles de la Nomenclature d Activité Française (NAF 28, rév 2) dont les codes APE commencent par 38 dans la NAF subdivisée en 732 postes. Elles concernent les activités de : Collecte des déchets non dangereux (3811Z) ; Traitement des déchets non dangereux (3812Z) ; Collecte des déchets dangereux (3821Z) ; Traitement des déchets dangereux (3822Z) ; Récupération des déchets triés (3831Z) ; Démantèlement d épaves (3832Z). A partir de cette segmentation, trois groupes ont été constitués : les activités relatives aux déchets dangereux (3812Z et 3822Z), aux déchets non dangereux (3811Z et 3821Z) et les activités de récupération (3831Z et 3832Z). Ces regroupements permettent de lisser des évolutions qui ne seraient dues qu à des changements de code d activité au sein des établissements d une année sur l autre. Précisons par ailleurs que la comptabilisation des effectifs de la filière avec cette segmentation n est pas parfaite : Les établissements ayant comme activité annexe, une activité relative aux déchets ne sont en effet pas comptabilisées ici (ex : transporteurs ayant ponctuellement une activité de transport des déchets...) ; Les activités de conseil portant sur la gestion des déchets ne sont pas ou mal intégrées dans ces effectifs ; Enfin, il semble que les professions relatives à la prise en charge des déchets de chantier ne soient pas systématiques intégrées dans les codes APE relatifs aux déchets. 1 Hors salariés du secteur agricole, de l Etat, des collectivités territoriales et des Etablissements Publics à caractère administratif.

9 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 9 Répartition des effectifs par activité et département Type d activité Grande Couronne Paris Petite Couronne Total Déchets dangereux Déchets non dangereux Récupération Total Source : Pôle emploi, données provisoires Parmi les activités «déchets», 7 emplois sur 1 sont répertoriés dans celles relatives aux déchets non dangereux. En terme de localisation, les effectifs se répartissent à parts égales entre la zone centrale et la grande couronne avec toutefois une nette surreprésentation des activités de traitement des déchets dangereux (87% des effectifs salariés pour cette activité) en Grande Couronne. A partir des 2 zones d emploi définies par l INSEE, il a été possible d affiner la localisation des effectifs par activité. Logiquement, les zones d emploi disposant du plus fort poids démographique concentrent l essentiel des effectifs. 63% des effectifs salariés de la filière sont localisés dans les secteurs de Paris, Orly et Roissy (6 de la population à eux trois). La zone de Mantes la Jolie se distingue toutefois : elle concentre 3% des effectifs dans les activités de traitement des déchets dangereux 1. Précisons par ailleurs que sur cinq secteurs, la croissance des effectifs salariés est notable (supérieure à 25 emplois sur 2-21) : Poissy (+25), Evry (+29), Créteil (+29), Orly (+45), Roissy (+91). A l inverse, la zone de Paris, qui regroupe les communes du cœur d agglomération, a perdu près de 5 emplois salariés sur la décennie 2. 1 Une des plus grosses entreprises spécialisées dans le traitement des déchets dangereux est localisée dans cette zone d emploi. Les effectifs employés et leurs évolutions par zone d emploi Effectifs employés en 21 < Emplois Evolution 2-21 des effectifs positive négative IAU INSTITUT D'AMENAGEMENT ET D'URBANISME ÎLE-DE-FRANCE Limites zones d'emplois 1 2 Km sources : Pôle Emploi 21, IAU-îdF Km

10 1 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études La filière se caractérise par sa faible proportion d emplois féminins : 86% des effectifs salariés sont des hommes. Le taux de féminisation a même connu une baisse de près de deux points au cours de la décennie 2. Evolution du taux de féminisation selon les types d activité Taux de féminisation en % Non dangereux Dangereux Récupération Déchets "toutes activités" Une étude du taux de féminisation selon les types d activité montre des écarts importants : taux compris entre 1% pour les activités de déchets non dangereux et 28% sur «les dangereux». Ces différences renvoient à la structure même des effectifs répertoriés dans les différentes activités «déchets» avec : Une plus forte présence d emplois ouvriers sur les activités de collecte de déchets non dangereux, composées à 9 d hommes au niveau national pour ce type d emploi (Sources : DADS 28), Des postes de catégorie «employés» et «professions intermédiaires» plus féminisés et plus fortement représentés dans les activités de récupération et de déchets dangereux Rappel méthodologique Les chiffres clés de la filière 17 6 emplois dans la filière Evolution 2-21 des effectifs salariés : +16% avec toutefois une baisse observée sur (-.4%) 7 emplois sur 1 dans les activités de gestion des déchets non dangereux Taux de féminisation toutes activités confondues : 14%

11 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études Etude sur le contenu en emplois des filières de traitement

12 12 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 1 Remarques méthodologiques L ORDIF mène pour le compte de l ADEME une enquête bisannuelle à destination des exploitants des installations de traitement recevant des déchets ménagers (enquête ITOM). Ce travail vise entre autres à quantifier les flux entrant et sortant de ces installations en fonction du type de déchets et de l origine des producteurs. Les installations concernées sont celles qui reçoivent (entre autres) des déchets ménagers : installations de stockage de déchets non dangereux, usines d incinération de déchets non dangereux, centres de tri des collectes sélectives et des encombrants, plates-formes de compostage, unités de tri mécano-biologique des ordures ménagères résiduelles avec méthanisation et/ou compostage. Les centres de tri recevant uniquement des déchets d activités économiques et les centres de transfert, considérés comme «hors champ» dans ITOM, ont par ailleurs été ajoutés par l ORDIF pour ce qui concerne l Ile-de-France. Dans chacun des questionnaires adressés aux exploitants, des items relatifs à l emploi ont été ajoutés. Cellesci portent sur le nombre et la nature des postes déclarés (en équivalents temps plein) sur l unité en 21. Le taux de réponse pour cette enquête est élevé (93%), avec des retours exhaustifs sur certaines filières de traitement (Incinération, stockage de déchets non dangereux). Taux de réponse par type de traitement Installations de traitement Taux de réponse* (% du nombre d unités) Compostage déchets verts/biodéchets 94% Tri compostage sur OMR/Tri méthanisation 1% Tri-Transit Tri CS Publique 1% Transfert publique 94% Tri Transit 7 UIDND 1% ISDND 1% CTVM 1% Total général 93% *taux de réponse calculé sur les exploitants ayant répondu à l enquête et aux items relatifs à l emploi Grâce aux informations communiquées par les exploitants, il a donc été possible d évaluer les emplois au sein des principales filières de traitement des déchets non dangereux. Ce travail présente toutefois certains biais : Les emplois demandés dans le questionnaire concernent les effectifs directement employés par l exploitant de l unité. A ce titre, les indicateurs exprimés masquent potentiellement les choix stratégiques des entreprises en terme d externalisation de certaines tâches (ex : maintenance des équipements, entretien des unités) ; Les emplois sur les sites multifilières. Il se peut que les emplois portant sur les fonctions de support au sein de ces installations soient appréhendés différemment d une installation à une autre. Les effectifs recensés dans cette partie sont des équivalents temps plein déclarés par les exploitants. A ce titre, ces chiffres ne sont pas comparables avec les statistiques provenant du Pôle Emploi qui comptabilisent le nombre de postes déclarés au 31 décembre, qu ils soient effectués à temps plein ou partiel. A la marge, certains postes recensés dans l enquête ne peuvent par ailleurs pas être comptabilisés par Pôle Emploi en raison du périmètre même de ces statistiques : non prise en compte des chefs d entreprises non salariés, des emplois relevant du régime agricole (cas potentiel de certaines plates-formes de compostage) ou encore de la fonction publique territoriale (cas des (rares) unités exploitées en régie). Aucune extrapolation n a par ailleurs été effectuée pour estimer les effectifs sur les installations n ayant pas répondu à l enquête. Les chiffres exprimés ici constituent donc des effectifs a minima. En revanche, l ORDIF a procédé à des redressements au cas par cas lorsque les effectifs indiqués étaient vraisemblablement erronés (ex : cas des sites multifilières où les effectifs indiqués sur une installation de traitement portaient sur l ensemble des activités du site). L ORDIF a souhaité par ailleurs établir des analyses sur : La structure des effectifs employés dans la filière ; Le contenu en emplois de ces installations. L indicateur exprimé pour le mesurer est le nombre d emplois déclar és pour 1 t onnes trait ées dans l installation ; L existence éventuelle d économie d échelle quant aux effectifs employés dans les installations. Pour mesurer cet effet, la corrélation entre les quantités traitées et les effectifs employés pour 1 tonnes a été analysée.

13 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 13 Enfin, la décomposition des filières de traitement a été inspirée de celle effectuée dans le cadre de l Atlas des installations de traitement de 21 de l ORDIF et des contraintes de remplissage des questionnaires ITOM. 6 grandes catégories ont été identifiées : Les plates-formes de compostage de déchets verts et de biodéchets ; Les unités de tri mécanique des OMR avec méthanisation et/ou compostage ; Les unités de tri-transit. Pour ces installations, trois sous catégories sont proposées : -- Les centres de tri des collectes sélectives sous maitrise d ouvrage publique ; -- Les centres de transfert des déchets ménagers sous maitrise d ouvrage publique ; -- Les autres centres de tri-transfert privés recevant des déchets ménagers et assimilés (DMA) ou des déchets d activité économique (DAE). Pour ces installations, il n a pas été possible de distinguer les effectifs déclarés par type d activité (ex : tri des collectes sélectives, transfert des DAE ). Les usines d incinération des déchets non dangereux ; Les installations de stockage de déchets non dangereux ; Les centres de traitement et de valorisation des mâchefers. 2 Les effectifs employés dans les installations de traitement du champ ITOM L ORDIF a recensé près de 3 4 emplois sur les installations de traitement recevant des déchets ménagers. Répartition des effectifs employés par mode de traitement Installations de traitement Nombre de postes déclarés (en ETP) Dont ETP en Petite Couronne Dont ETP en Grande Couronne Compostage déchets verts/biodéchets 1 7% 93% Tri compostage sur OMR/Tri méthanisation 6-1% Tri-Transit Tri CS Publique 75 53% 47 Transit publique 9 49% 51% Tri Transit % 41% UIDND 82 48% 52% ISDND 28-1% Centre de traitement et de valorisation des mâchefers 6-1% Total général % 54% Trois emplois sur cinq sont répertoriés au sein des activités de tri et de transfert. Dans un contexte régional où le recours à l incinération est significatif, les effectifs employés sur les 19 unités franciliennes sont par ailleurs fortement représentés avec plus de 8 ETP recensés. Une analyse globale de la localisation des effectifs montre une répartition assez équilibrée entre la Petite Couronne et la Grande Couronne parisienne (respectivement 46 et 54%). Des écarts substantiels sont toutefois observés selon le mode de traitement, écarts révélateurs des caractéristiques et contraintes de la région en terme de : Disponibilité foncière (pas de présence d emplois en Petite Couronne sur les unités nécessitant des surfaces importantes comme le stockage ou le traitement des mâchefers) ; De localisation des unités en fonction de la proximité des gisements de production (quasi-totalité des plates-formes de compostage localisées en grande couronne, présence plus importante de centres privés de tri-transit en petite couronne pour optimiser les transports de déchets d activités économiques produits en zone centrale) ; Choix de gouvernance des collectivités territoriale en terme de traitement des OMR : la répartition Petite Couronne/Grande Couronne des effectifs dans les usines d incinération est ainsi proche des capacités de traitement pour ce mode de traitement.

14 14 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 3 La place du service public «déchets» dans les installations de traitement des ordures ménagères 99% des effectifs recensés au sein des installations du champ ITOM sont des emplois dont l employeur est privé. A l exception de quelques plates-formes de compostage et d un centre de tri, toutes les installations franciliennes sont en effet exploitées par des établissements privés. Si les effectifs employés relèvent donc effectivement de contrats de droit privé, plus de la moitié sont toutefois recensés dans des installations dont la maitrise d ouvrage est publique. L histogramme suivant représente, pour chaque grand mode de traitement, la part des effectifs travaillant dans une installation sous maitrise d ouvrage publique et celle relevant de la seule initiative privée. Répartition des effectifs selon la maitrise d ouvrage des unités de traitement 1 en % Installations sous MO privée emplois privés Installations sous MO pub emplois privés Installations sous MO pub emplois publics 2 Compostage déchets verts/bio Tri-Transit Tri compostage/ métha OMR UIDND ISDND Centre de traitement des mâchefers Au total 56% des effectifs recensés dans ITOM sont localisés dans des installations sous maitrise d ouvrage publique. Les différences de répartition par mode de traitement mettent en évidence les choix organisationnels des collectivités et entreprises pour prendre en charge le traitement des DMA et DAE dans la région : La construction d installations de stockage de déchets non dangereux est quasi exclusivement du ressort des entreprises privées ; A l inverse, toutes les usines d incinération relèvent de l initiative de collectivités territoriales (syndicats mixtes, communautés d agglomération). L exploitation de ces installations est ensuite confiée à des entreprises, soit dans le cadre de marchés de prestations, soit dans le cadre de délégations de service public ; La répartition des emplois localisés dans les centres de tri et de transfert des DMA et des DAE est plus partagée avec : -- Des centres de tri des collectes sélectives des ménages en majorité construits par les syndicats (55 à 6% des recyclables secs des ménages hors verre identifiés dans ITOM entrent dans des centres de tri franciliens sous maitrise d ouvrage publique) ; -- La présence importante de centres de tri transit sous maitrise d ouvrage d entreprises privées pour prendre en charge les déchets d activités économique et autres encombrants ménagers.

15 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 15 4 Contenu en emplois des différentes filières de traitement Plates-formes de compostage de déchets verts/biodéchets L Ile-de-France compte 35 plates-formes de compostage réceptionnant des déchets verts et/ou des biodéchets pour une capacité technique de t/an (plafond de capacité technique en 21). Sur les 32 plates-formes ayant répondu à l enquête ITOM, les effectifs déclarés s élèvent à environ 1 ETP, soit en moyenne 3,2 ETP par installation. Effectifs employés par unité en fonction des quantités traitées 14 Effectifs employés Effectifs employés par unité pour 1 tonnes traitées 12 ETP / 1 tonnes traitées 12 Aération forcée Aération naturelle 1 Aération forcée Aération naturelle Tonnes entrantes Tonnes entrantes La dispersion des effectifs employés sur les plates-formes est importante (de,5 à 12 ETP). La taille des unités ne semble pas expliquer à elle seule, ces écarts. Exprimé en terme relatif, le nombre d équivalents temps plein pour 1 tonnes traitées varie également de façon significative. Hormis pour les unités de petite taille, le nombre d ETP pour 1 tonnes traitées n évolue pas de façon linéaire avec les quantités. Différents paramètres ont été testés pour identifier des facteurs explicatifs de ces écarts : type de traitement utilisé (aération forcée/ «aération naturelle»), existence d activités annexes (ex : conditionnement de bois en vue d une production de bois énergie). Aucun ne semble expliquer les écarts importants observés. Une analyse de la structure des effectifs employés par filière Tout employeur doit déclarer auprès des administrations publiques et de sécurité sociale des informations relatives aux effectifs employés dans leurs établissements (déclaration annuelles sur les données sociales). Parmi celles exigées, le statut des emplois en fait partie (cadres, employés, ouvriers, chefs d entreprises ). A cet effet, une nomenclature précisant le «statut catégoriel conventionnel» a été établie. C est sur la base de cette nomenclature qu ont été demandés auprès des exploitants le nombre et type d emplois recensés sur les installations de traitement.

16 16 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études Structure de l emploi sur les plates-formes de compostage 1 en % % 18% 22% 4 3% 6% 14% 72% Personnels aidés Agriculteurs Chefs d'entreprises Cadres Professions intermédiaires Employés Ouvriers Structure de l emploi sur les centres de tri-transit en % % 11% 76% 3% 6% 14% 72% Personnels aidés Agriculteurs Cadres Professions intermédiaires Employés Ouvriers Compostage déchets verts/bio Toutes filières confondus Tri Transit Toutes filières confondus La structure des effectifs employés sur ces installations ne semble pas représentative de celle observée en moyenne sur les installations de traitement du champ «ITOM» : Une proportion d emplois ouvriers plus faible ; Une plus forte représentation des emplois de type cadre. Ces spécificités renvoient probablement à la taille de ces plates-formes avec des relations hiérarchiques plus ténues. Les plates-formes de compostage présentent également une particularité non rencontrée par ailleurs : la présence d exploitants agricoles exerçant une activité annexe de compostage (cas de 3 installations). Centres de tri-transit Les installations de tri, regroupement ou transit des déchets non dangereux (ITRT) forment une catégorie assez hétérogène d installations. On y retrouve notamment : Des quais de transfert sous maitrise d ouvrage publique ou privé ; Des centres de tri des collectes sélectives ; Des centres de tri de déchets d activités économique et/ou d encombrants ; Des centres exerçant les deux activités de tri et de transit. Les trois cinquièmes des emplois recensés dans le cadre d ITOM sont répertoriés sur ces centres. A ce titre la structure des effectifs employés au sein de ces unités est très proche de celle observée «tous modes de traitement confondus» : plus de 7 emplois sur 1 constitués d emplois ouvriers, employés ayant le statut de cadres représentant aux alentours de... Les quantités traitées, les origines des déchets réceptionnés, la nature des activités et procédés sont extrêmement diverses selon les installations. Les effectifs employés y varient par ailleurs de façon importante (de 1 à plus de 12 emplois). Aussi, a-t-il été choisi de faire une différenciation entre : Les centres de tri des collectes sélectives sous maitrise d ouvrage publique. Sur ces installations, les effectifs employés sur cette activité ont été bien identifiés ; Les centres de transit sous maitrise d ouvrage publique ; Les autres centres de tri et de transit privés pour lesquels les effectifs recensés portent potentiellement sur diverses activités.

17 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 17 Centres de tri des collectes sélectives sous maitrise d ouvrage publique En Ile de France, 27 centres de tri peuvent réceptionner et trier les emballages et papiers des ménages pour une capacité autorisée de tonnes par an (source Atlas 21, ORDIF). Parmi ces installations, 19 sont sous maitrise d ouvrage publique. On recense sur ces derniers 75 équivalents temps pleins, soit une moyenne de 39 ETP par centre de tri. Les effectifs au sein des centres de tri privés réceptionnant des collectes sélectives n ont pu être identifiés : ils sont en effet plus difficiles à appréhender dans la mesure où la plupart disposent d une autre activité sur ces sites (tri/ transit des déchets d activité économique ou des encombrants notamment). Effectifs employés par unité en fonction des quantités traitées 14 Effectifs employés Effectifs employés par unité pour 1 tonnes traitées 7 ETP pour 1 tonnes traitées Tonnes entrantes (hors verre) Tonnes entrantes (hors verre) Il existe une corrélation quasi linéaire entre les effectifs employés dans les centres et les tonnages entrants hors verre (coefficient de corrélation linéaire égal à,96). En conséquence, la dispersion des effectifs employés pour 1 tonnes traitées est assez faible au sein des centres franciliens, exception faite pour les centres ayant reçu moins de 5 tonnes en 21. Centres de transfert sous maitrise d ouvrage publique L Ile-de-France compte en centres de transfert sous maitrise d ouvrage publique pour une capacité autorisée de tonnes. Les effectifs recensés sur ces installations s élèvent à 9 employés, dont environ un tiers provient du quai de transfert de Romainville. Les effectifs employés oscillent entre,5 et 4 ETP pour 1 tonnes traitées. Ces écarts importants traduisent la diversité des types d activités recensés sur ces centres : transfert mono flux/multiflux, existence ou non d une activité pré-tri des encombrants

18 18 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études Centres de tri-transit sous maitrise d ouvrage privée Les installations de tri-transit forment eux-mêmes une catégorie peu homogène, tant par la nature et l origine des déchets admis, que les quantités réceptionnées, ou les procédés mis en œuvre pour prendre en charge les déchets. Sur les 41 centres ayant renseigné des informations relatives à l emploi dans le cadre d ITOM, 2 39 tonnes ont été réceptionnées en 21. On recensait sur ces installations 1 21 équivalents temps plein. Comme le montre le nuage de points suivant, les effectifs employés sur ces centres sont extrêmement variables. Pour cette catégorie, il a été possible d établir une typologie des centres en fonction des activités autorisées dans leurs arrêtés préfectoraux (source : Atlas 21, ORDIF) : activités de transit, de tri ou de tri/transit. Effectifs employés par unité en fonction des quantités traitées 14 Effectifs employés Nombre d ETP pour 1 tonnes entrantes sur les centres de tri et tri/transit 5 ETP pour 1 tonnes traitées 12 Tri Transit Tri Transit 45 4 Sans chaîne de tri Avec chaîne de tri Tonnes entrantes Tonnes entrantes Cette typologie montre d une part un plus faible contenu en emplois sur des installations n ayant qu une activité de transfert (celles répertoriées dans le nuage avec un carré orange) et, d autre part, des effectifs disparates sur les centres exerçant au moins une activité de tri. Parmi les centres ayant (au moins) une activité de tri, il semble que l existence ou non d une chaine de tri impacte sensiblement le contenu en emplois sur ces unités. On recense en moyenne 12,8 ETP pour 1 tonnes traitées sur les centres ayant une chaine contre 5,4 ETP sur ceux n en disposant pas. Unités de tri mécanique des OMR avec compostage et/ou méthanisation En 21, l Ile-de-France comptait 4 unités de tri compostage des OMR et une unité de tri-méthanisation-compostage des OMR pour une capacité totale autorisée de (342 5 tonnes/an). Une soixantaine d équivalents temps plein ont été recensés sur ces installations dont plus de la moitié provenait de l unité de méthanisation de Varennes Jarcy. 21 ne semble pas être une année représentative des effectifs employés sur ces installations : L unité de Triel sur Seine a fermé en mai 21 ; L usine d Ozoir la Ferrière a été en travaux tout au long de cette année. Sur ces installations, on comptait en moyenne 3,6 ETP pour 1 tonnes traitées.

19 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 19 Usines d incinération L Ile-de-France compte 19 usines d incinération pour une capacité autorisée en 21 de tonnes par an. Sur ces installations, 82 emplois ont été déclarés pour un nombre moyen de 43 salariés par unité. Effectifs employés par unité en fonction des quantités traitées 16 Effectifs employés Effectifs employés par unité pour 1 tonnes traitées 6 ETP pour 1 tonnes traitées Tonnage traité Tonnage traité Le nombre moyen d ETP pour 1 tonnes traitées est d environ 2,7 (moyenne non pondérée) avec des ratios oscillant entre 1,1 et 5,7. 11 des 19 usines présentent un ratio compris en 2 et 3 ETP pour 1 tonnes traitées. Pour les usines ayant réceptionné moins de 1 tonnes, il semble que le nombre relatif d ETP soit plus important. Deux hypothèses pourraient expliquer cette observation : Un effet d économie d échelle ; Un moindre recours à l externalisation sur ces sites. Pour ces installations de traitement, il n a pas été possible de connaitre la répartition des effectifs suivant le type de catégorie. Le questionnaire ITOM relatif aux usines d incinérations ne permettait en effet pas le renseignement de cette information. Précisons par ailleurs que près de 6 ETP étaient localisés sur les 8 centres de traitement et de valorisation des mâchefers, soit une moyenne d environ 7 ETP par unité. Exprimé en terme relatif, on compte environ 1 ETP pour 1 tonnes traitées.

20 2 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études Installations de stockage de déchets non dangereux L Ile-de-France comptait en 21, 1 ISDND pour une capacité autorisée de tonnes (2 635 tonnes de déchets entrantes). Cette même année, les exploitants ont déclaré 28 équivalents temps pleins sur ces installations 1. Effectifs employés par unité en fonction des quantités traitées 12 Effectifs employés Effectifs employés par unité pour 1 tonnes traitées 2,5 ETP pour 1 tonnes traitées 1 2, 8 1, , 2, Tonnes entrantes, Tonnes entrantes Les effectifs recensés sur ces installations oscillent entre 6 et près de 9 employés avec un ratio compris entre,5 et 2,4 emplois pour 1 tonnes traitées selon les installations (moyenne : 1ETP/1 tonnes traitées). L effet d économie d échelle n est pas observé pour ce type d installation avec : Des écarts d effectifs importants à quantité traitée équivalente ; Des ratios d emplois pour 1 tonnes traitées qui ne présentent pas des niveaux significativement inférieurs pour les deux installations ayant réceptionné les tonnages les plus importants. Structure de l emploi sur les ISDND en % % 6% 2% 67% 3% 6% 14% 72% Personnels aidés Cadres Professions intermédiaires Employés Ouvriers ISDND Toutes filières confondues Même si la part des ouvriers est inférieure de 5 points à la moyenne, la structure de l emploi sur les ISDND est assez proche de celle observée sur l ensemble des installations 1 Les effectifs portent sur 9 installations. Un des centres était en effet en travaux en 21.

21 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études 21 5 Récapitulatif des effectifs employés dans les installations de traitement Le tableau suivant récapitule l ensemble des informations tirées de l étude sur le contenu en emplois des filières de traitement (du champ ITOM). Type d installation Nombre d ETP recensés Moyenne par installation Moyenne (non pondérée) ETP pour 1 tonnes traitées Compostage 1 3 3,4,7 9,8 Tri transit Tri CS Publique ,8 18,9 58, Transit Publique 9 7 1,8,3 4, Tri-Transit Privé ,4,9 159,3 Tri compostage sur OMR/Tri méthanisation ,6 2, 5,6 UIDND ,7 1,1 5,7 CTVM 6 7 1,,3 2,5 ISDND ,2,5 2,4 Total 3 37 Min Max Structure de l emploi par filière en % 4% 18% 22% 9% 3% 78% 4% 11% 76% 1% 9% 6% 6% 2% 67% 3% 6% 14% 72% Personnels aidés Agriculteurs Chefs d'entreprises Cadres Professions intermédiaires Employés Ouvriers 2 4 Ouvriers + employés Compostage déchets verts/bio Tri-CS Tri Transit Tri compostage/ métha OMR ISDND Toutes flières

22 22 Emploi dans la filière déchets en Ile-de-France en 21 n série études Conclusion En 21, les établissements privés ayant une activité principale relative à la gestion des déchets employaient près de 17 6 salariés. Ce chiffre est en légère diminution par rapport à 29 (-,4%). Sur la décennie 2-21, la croissance des effectifs dans la filière est toutefois très largement supérieure à celle observée en moyenne dans la région (progression des effectifs salariés de 16% dans les activités «déchets» contre sur l ensemble des activités). Les activités de collecte et de traitement des déchets non dangereux constituent près des trois quarts des effectifs de la filière. Pour ce qui concerne les emplois sur les installations de transit et de traitement des déchets non dangereux, un premier recensement établit à environ 3 4, le nombre d ETP au sein de ces unités. Une très large part est consacrée aux activités de tri et de transfert des déchets. L indicateur de contenu en emplois mesurant le nombre d ETP pour 1 tonnes traitées montre par ailleurs des écarts significatifs : les ratios observés selon les filières de traitement sont en effet compris entre 1 (ISDND) et plus de 3 (tri des collectes sélectives). Au sein des mêmes filières de traitement, une grande volatilité est par ailleurs observée, notamment sur les centres de tritransit privés où les activités et la nature des déchets réceptionnés sont très diverses. La structure des emplois présente en revanche une certaine homogénéité avec en moyenne deux tiers à trois quarts des effectifs composés de poste ouvriers et environ 1% de professions intermédiaires ou de cadres.

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