I INTRODUCTION A LA COMPTABILITE DE GESTION ET AU CHAINAGE DES COUTS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "I INTRODUCTION A LA COMPTABILITE DE GESTION ET AU CHAINAGE DES COUTS"

Transcription

1 I INTRODUCTION A LA COMPTABILITE DE GESTION ET AU CHAINAGE DES COUTS 11 - DE LA COMPTABILITE GENERALE A LA COMPTABILITE ANALYTIQUE Les objectifs de la comptabilité générale et de la comptabilité analytique La comptabilité est un langage, un outil de saisie, de traitement, de transmission de l'information. La comptabilité générale a pour objet essentiel de - dresser un état patrimonial d'une entreprise à un instant donné - déterminer le résultat global d'exploitation sur une période donnée - en somme, dresser les états financiers, le bilan et le compte de résultat. Certes, la comptabilité générale détermine le résultat de l activité mais ce n est pas pour autant un outil de gestion car le résultat d'exploitation est un constat global, perte ou bénéfice : il ne permet pas la prise de décision pour optimiser le management. Par ailleurs la force de la comptabilité générale réside dans ses normes d établissement des comptes qui entraînent des délais de production des états financiers. Un bilan n est pas établi en «direct live» mais a posteriori ( délai minimum d établissement des comptes de 1 à 2 mois). Ce serait donc un piètre outil de gestion que celui qui dirait en Février 2004 que l exercice 2003 a été déficitaire! En fait l objectif de la comptabilité générale est de fournir l information financière à usage externe d où sa précision indispensable et sa compréhension identique pour tous. Les principaux destinataires sont, en effet, les associés ou actionnaires, les banquiers, les fournisseurs, les caisses sociales, l état ( qui fait aussi crédit des impôts à payer ), les salariés.., en fait, les financiers de l entreprise, au sens large. La comptabilité analytique, elle, est à la fois un outil de traitement de l'information et un outil de gestion. 1

2 Ses principaux objectifs sont purement économiques 1 : - contrôler la gestion - améliorer le management. Elle obéit, certes, à des règles précises, mais souples et adaptables, qui ne sont pas des normes car elle est en quasi-totalité 2 à usage interne. 112 les charges intégrées En comptabilité générale -Toute charge engagée est comptabilisée même si elle n'est pas liée directement à l exploitation Ex : les charges exceptionnelles ( frais de déménagement de l usine), les charges somptuaires 3, l IS - Certaines charges réelles ne sont a contrario pas comptabilisées pour des impératifs fiscaux ou juridiques Ex : la rémunération du capital (les dividendes des actionnaires ) ou la rémunération du travail de l exploitant individuel 4 ne sont pas comptabilisées en charges car elles ne sont pas déductibles ; or elles font bel et bien partie du prix de revient ou coût de revient du produit. En comptabilité analytique Les charges de comptabilité générale devront être préalablement retraitées de façon à ce que soit intégrée dans le coût de revient du produit l'intégralité des charges liées à ce produit et uniquement celles-ci. Les charges non liées au produit et comptabilisées en comptabilité générale seront appelées charges non incorporables, celles qui ne sont pas comptabilisées en comptabilité générale mais sont liées au produit seront appelées charges supplétives. Les charges retenues en comptabilité analytique seront établies comme suit : charges retenues en comptabilité analytique = charges retenues en comptabilité générale + charges supplétives - charges non incorporables 1 La comptabilité analytique d'exploitation sert toutefois à valoriser les stocks 2 Sauf en ce qui concerne la valorisation des stocks pour établir précisément les états financiers. La comptabilité analytique se nourrit de la comptabilité générale mais, elle la nourrit également car, sans valorisation des stocks et des en cours, pas de bilan. 3 Voir cours de fiscalité en e-learning de M.Guillemain-Roux 4 Voir cours de fiscalité en e-learning de M.Guillemain-Roux 2

3 De la comptabilité générale à la comptabilité analytique Comptabilité générale charges courantes 60 à 68 Charges exceptionnelles 67 Participation des salariés Impôts s/les bénéfices 69 CHARGES SUPPLÉTIVES CHARGES CHARGES INCORPORABLES INCORPORABLES RETRAITEMENTS CORRIGÉES CHARGES NON INCORPORABLES + - }CHARGES INCORPOREES AUX COÛTS Schéma adapté de celui de G.Goujet, C.Raulet, C. Raulet - Comptabilité analytique et Contrôle de Gestion Tome 1 chez Dunod P La classification des charges et des produits En comptabilité générale, les charges et les produits sont classés par nature : Ex : compte 60 : Achat comptes 61 et 62 : Services extérieurs compte 63 : Impôts et taxes compte 64 : Frais de personnel compte 66 : Frais financiers compte 68 : Dotations aux amortissements et provisions etc En comptabilité analytique, les charges et les produits sont classés par destination : charges liées au Produit P1 = CR1 = coût de revient du produit P1 charges liées au Produit P2 = CR2 = coût de revient du produit P2 charges liées au Produit P3 = CR3 = coût de revient du produit P3 3

4 114 - Le résultat En comptabilité générale, le résultat est global En comptabilité analytique, le résultat est analytique, c est à dire analysé par produit, ligne de produit, secteur, usine, circuit de distribution... SCHEMA de G.Langlois et C. Bonnier «Contrôle de Gestion» chez FOUCHER P 76 4

5 12 - LES PRINCIPAUX CONCEPTS DE CHARGE Essayons de calculer le coût de revient de ce crayon «Vous avez besoin d un certain nombre d informations que je vais vous donner : je suis composé de 3 Matières 1ères, le crayon-mine et la gomme sont achetés en Corée ( transport par containers maritimes ), l embout de fer est acheté au Puy ( transport routier ), et je suis assemblé dans une usine de Montpellier, d où je suis distribué via des représentants commissionnés» Les charges directes Les charges indirectes On distingue traditionnellement deux types de charges par destination : - les charges directes, directement affectables à un produit, comme ici la Matière 1 ère ( le crayonmine, la gomme, l embout de fer ), la MOD ( main d œuvre directe autrement dit les heures de production directement affectables à la fabrication du crayon, mais aussi d autres charges directes comme les frais de transport liés aux matières 1 ère ( maritime ou routier ) ou les commissions des représentants qui touchent 10 cts d par crayon vendu. - les charges indirectes, non directement affectables à un produit. Les loyers de l usine où sont fabriqués les crayons mais aussi des règles, des tailles crayons etc, l amortissement des machines qui servent à emboutir le crayon mais d autres produits aussi, le salaire du Directeur des achats qui achète, certes, les crayonsmine, les gommes, les embouts de fer mais aussi bien d autres matières 1 ère nécessaires aux autres productions, les salaires de l agent de maîtrise et du Directeur de la production qui gèrent les différentes productions de l entreprise.etc Autant les charges directes ne poseront pas problème, autant les charges indirectes, elles, en poseront car, on peut se demander comment faire pour les répartir de façon objective entre les différentes matières 1ères, marchandises, produits fabriqués ou vendus. 5

6 La question centrale est ainsi posée, celle de la répartition non arbitraire des charges indirectes, eldorado des analystes et contrôleurs de gestion, qui va nous absorber quelques séances en perspective. L'approche traditionnelle veut que les charges indirectes soient reclassées en fonction de leur rattachement au cycle d'exploitation. Le cycle d exploitation est habituellement le suivant : L entreprise achète des matières premières ( entreprises industrielles ) ou des marchandises ( entreprises commerciales pures ) ce qui génère un certain nombre de charges indirectes liées à la fonction achat : - salaires du Directeur des achats, du magasinier, - frais de transport communs à différentes matières ou marchandises - loyer, électricité, entretien du service des achats - amortissements des transpalettes etc L entreprise transforme ensuite ces matières premières ( cas de l entreprise industrielle) en produits fabriqués ce qui génère un certain nombre de charges indirectes liées à la fonction production/fabrication: - salaire des agents de maîtrise, du Directeur de la production, - amortissement de l usine, des machines communes aux différentes productions etc L entreprise commercialise enfin les produits fabriqués ce qui génère un certain nombre de charges indirectes liées à la fonction commercialisation/distribution: - salaire du Directeur commercial, frais de marketing communs à la marque - amortissement des locaux commerciaux - électricité, téléphone, entretien des services commerciaux - salaires des représentants multicartes etc Ces charges indirectes sont réparties entre les différents centres : celles liées à la phase acquisition matière première : centre achat/approvisionnement celles liées à la phase production/fabrication des produits : centre production/fabrication celles liées à la phase distribution/commercialisation des produits : centre distribution/commercialisation. Ensuite, ces charges feront l'objet d'une affectation entre les différents matières et produits en fonction de leur "consommation" respective par lesdits matières ou produits. 6

7 Schéma d affectation des charges directes et indirectes au coût d un produit Adapté d un schéma de Anne-Marie Keiser Comptabilité analytique de gestion chez Eska P 63 Charges incorporées CD Produit X Achat Produit Y CID Production Distribution Mais nous reviendrons de façon plus détaillée sur cette technique dans la séance N 3 du présent module Les charges fixes - Les charges variables On distingue aussi les charges fixes des charges variables : - les charges variables ou proportionnelles ( strictement ou non ) sont les charges dont l'importance est en rapport direct avec la production, le chiffre d'affaires ex : Matières 1 ère, salaires (MOD), commissions, - les charges fixes ou de structure sont indépendantes de l'activité de l'entreprise ex : les loyers, les amortissements... - les charges semi-variables ont une partie fixe et une partie variable, soit une partie liée à l activité et l autre non. Ex : le téléphone, l électricité etc Mais nous reviendrons de façon plus détaillée sur cette technique dans la séance N 1 du module N 2 7

8 13 - DEFINITION DES PRINCIPAUX COUTS et LEUR CHAINAGE (Ces définitions correspondant aux coûts calculables aux différents stades du cycle d exploitation sont à savoir parfaitement, de même que leur articulation ) 1ère phase du cycle d exploitation : Le centre achat dont la fonction est d acquérir des matières 1ères, qui entrent ensuite en stock coût d'achat des matières premières ou des matières consommables pendant la période = Prix d'achat des matières premières + charges directes sur Achat + Charges indirectes sur Achat STOCK de Matière Première Entrée en stock = coût d'achat des matières premières Sortie de stock = coût d'achat des matières premières consommées 2ème phase du cycle d exploitation : Le centre production dont la fonction est de fabriquer des produits finis Qui entrent ensuite en stock coût de production des Produits fabriqués pendant la période = Coût d'achat des matières premières consommées + charges directes de Production + Charges indirectes de Production STOCK de Produit Fini Entrée en stock = coût de production des Produits fabriqués Sortie de stock = coût de production des produits vendus 3 ème phase du cycle d exploitation : Le centre distribution dont la fonction est de vendre des produits finis Coût de revient des Produits vendus pendant la période = coût de production des produits vendus + charges directes de Distribution + Charges indirectes de Distribution Résultat analytique par produit = chiffre d'affaires des Produits vendus - coût de revient des produits vendus 8

9 Attention : Le coût d'achat des matières premières consommées n'équivaut pas dans tous les cas au coût d'achat de la période Et Le coût de production des produits vendus n'équivaut pas dans tous les cas au coût de production de la période. En effet : - Toutes les matières premières achetées qui entrent en stock de Matières 1ères ne sont pas forcément consommées pour la fabrication de la période ou a contrario on consomme dans la phase production plus de matières 1 ères que l on en a achetées pendant la période. - Tous les produits fabriqués pendant la période ne sont pas forcément vendus pendant ladite période ou a contrario, on vend plus de produits finis que l on en a fabriqués ; Comment est-ce possible? Tous simplement par le jeu des stocks, Si je consomme pour la fabrication plus de matières 1 ères que je n en ai achetées, c est que j en avais en stock au début de période ( Stock Initial : SI ) et il y a déstockage de matières 1 ères. Si je vends plus de produits finis que je n en ai fabriqués, c est que j en avais en stock au début de période ( Stock Initial : SI ) et il y a déstockage de produits finis. Si je consomme pour la fabrication moins de matières 1 ères 1 ères. que je n en ai achetées, il y aura stockage de matières Si je vends moins de produits finis que je n en ai fabriqués, il y aura stockage de produits finis. Le seul cas où : - Le coût d'achat des matières premières consommées = au coût d'achat de la période, c est lorsqu il n y a pas de SI de matières 1 ères et que tout ce qui est acheté est consommé pour la fabrication de la période Et, - Le coût de production des produits vendus = au coût de production de la période, c est lorsqu il n y a pas de SI de produits finis et que tout ce qui est fabriqué est vendu pendant la période Autrement dit, au cas très spécifique de travail à flux tendu parfait. 9

10 14 EXERCICE D APPLICATION ET CORRIGE : LE CAS HERZFILL 141- Enoncé La société HERFILL fabrique deux produits : les produits n 01 et n 02 et utilise pour ce faire deux matières premières A et B. Pour la période considérée ( mois de Janvier de l année N ), la comptabilité générale de la société vous fournit les renseignements suivants : Comptes N Total des charges pour la période Les analystes de l'entreprise ont analysé ces charges et constatent que, au sein d'entre elles, ne concernent pas l'exploitation. A contrario, de charges non comptabilisées devaient être intégrées dans les coûts de revient. Ils ont également reclassé lesdites charges en fonction du cycle d'exploitation et arrivent aux données suivantes : Les frais sur achats s'élèvent à tous indirects. Notons que les seuls frais directs sur achat sont précisément les achats de Matières 1 ères ( cf compte 60 : également ) Les frais directs de production s'élèvent à , les frais indirects de production s'élèvent à Les frais directs de distribution s'élèvent à les frais indirects de distribution s'élèvent à Il vous est précisé que les charges indirectes doivent être réparties de la façon suivante * Frais sur achat au prorata des quantités de matières premières achetées kg de matières premières A kg de matières premières B La matière première A est utilisée exclusivement pour la fabrication du produit 01. La matière première B est utilisée exclusivement pour la fabrication du produit 02. * Frais de production et de distribution au prorata des quantités fabriquées et vendues unités de 01 fabriquées et vendues unités de 02 fabriquées et vendues - Les charges directes se répartissent de la façon suivante : Prix d'achat à hauteur de sur A sur B Production à hauteur de pour pour 0 2 Distribution à hauteur de pour pour

11 - Les chiffres d'affaires respectifs s'élèvent à : pour les produits pour les produits 02 Il n'y a pas de stock en début de période ni en fin de période. Travail à faire 1. Etablissez le tableau comparatif charges de comptabilité générale/charges de comptabilité analytique. 2. Calculez le coût d'achat des matières premières A et B. 3. Calculez le coût de production, d'une part de 01, d'autre part de Calculez le coût de revient, d'une part de 01, d'autre part de Calculez le résultat des ventes, d'une part pour 01, d'autre part pour 02 et pour l'ensemble. 6. Présentez le compte de résultat en comptabilité générale. Comparez avec les résultats analytiques trouvés à la question n 5. 11

12 142- Corrigé du cas HERTZFILL Tableau comparatif comptabilité générale/comptabilité analytique Comptabilité générale Comptabilité analytique Dénomination Montant Dénomination Montant Achat Matières 1ères Frais directs sur Achat Frais indirects sur Achat Frais directs de Production Frais indirects de Production Frais directs de Distribution Frais indirects de Distribution Charges de CG Charges Non Incorporables Charges Supplétives = Charges de CAE

13 142.2 Gamme opératoire 2 matières premières achetées dans le centre approvisionnement, donc calcul de 2 coûts d achat A et B ( pas de fiches de stock matières à tenir car l entreprise travaille exceptionnellement à flux tendu parfait ) A noter que les deux matières sont spécifiquement utilisées pour la fabrication des produits : A pour le produit N 01 et B pour le produit N 02 2 produits finis fabriqués dans le centre production, donc calcul de 2 coûts de production N 1 et N 2 sans tenue de fiches de stock car l entreprise travaille exceptionnellement à flux tendu parfait également sur les stocks de produits finis. 2 produits finis commercialisés N 01 et N 02, donc calcul de 2 coûts de revient et de 2 résultats analytiques 13

14 coût d'achat des matières premières Mat 1ère A Mat 1ère B Prix d'achat CD d'approvisionnement 0 0 CID d'approvisionnement ( /40 000)x KG ( /40 000)x KG Coût d'achat des MP coût de production des produits fabriqués Produit 01 Produit 02 Coût d'achat des Mat 1ères consommées CD de Production CID de Production ( / unités)x ( / unités)x5 000 Coût de production

15 142.5 Coût de revient des produits vendus Produit 01 Produit 02 Coût de production des produits vendus CD de Distribution CID de Distribution ( / unités) x ( / unités)x5000 Coût de Revient Résultat analytique par produit Produit 01 Produit 02 Ventes Coût de revient Résultat Analytique Le résultat global de la période est un bénéfice de :

16 142.7 compte de résultat de comptabilité générale ( cg ) CHARGES PRODUITS Ventes ( ) Bénéfice TOTAL TOTAL Rapprochement des résultats de CG et CAE Résultat de CAE Charges supplétives Charges non incorporables = Résultat de CG

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

Initiation à la Comptabilité

Initiation à la Comptabilité Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre

Plus en détail

Chapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT

Chapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT Chapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT I. MOUVEMENTS COMPTABLES Nous avons vu que le Bilan représente la photographie de la situation de l entreprise à une date donnée : chaque opération nouvelle

Plus en détail

ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES

ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....

Plus en détail

THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX

THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX UFR SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES COURS DE GESTION ANNEE SCOLAIRE 2013-2014 INTERVENANT : Isabelle Kei Boguinard THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX SENS ET PORTEE DE L ETUDE : Assimiler

Plus en détail

ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA

ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...

Plus en détail

L AFFECTATION DES RESULTATS. Affecter un résultat selon la forme juridique de l'entreprise (individuelle ou société).

L AFFECTATION DES RESULTATS. Affecter un résultat selon la forme juridique de l'entreprise (individuelle ou société). L AFFECTATION DES RESULTATS Objectif(s) : o Affecter un résultat selon la forme juridique de l'entreprise (individuelle ou société). Pré-requis : o Double détermination du résultat. Modalités : o o o Principes,

Plus en détail

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.

L entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH. Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

672ZA Auxiliaires d'assurances

672ZA Auxiliaires d'assurances STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,

Plus en détail

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative

Plus en détail

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES - 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables

Plus en détail

RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS INTERMEDIAIRES ARRETES AU 30 JUIN 2015

RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS INTERMEDIAIRES ARRETES AU 30 JUIN 2015 TUNIS, le 28 Août 2015 MESSIEURS LES ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE GENERALE INDUSTRIELLE DE FILTRATION «GIF FILTER» SA Route de Sousse KM 35 GROMBALIA 8030 RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS

Plus en détail

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.

Plus en détail

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE OPERATIONS DE FIN D EXERCICE COMPTABLE Sommaire L INVENTAIRE... 2 LA DETERMINATION DES CHARGES ET DES PROVISIONS... 3 LES IMMOBILISATIONS... 3 LES AMORTISSEMENTS... 4 LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION...

Plus en détail

MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS

MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS UGAMA/Centre de Services aux Coopératives Tél : (00250)562096/562097 Fax : (00250)562251 E-mail :ugamacsc@rwanda1.com MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS Projet commun CSC/UGAMA-WBI-UNDP

Plus en détail

Pilotage Financier de de l entreprise

Pilotage Financier de de l entreprise 3 ième séance GFN GFN 106 106 Pilotage Financier de de l entreprise Compte de résultat, formation du profit et SIG Enseignant : Yosra BEJAR Maître de Conférences : TELECOM & Management SudParis Chercheur

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique

Plus en détail

COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE

COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.

Plus en détail

REGLEMENT DES JEUX CHAT SMS 4040

REGLEMENT DES JEUX CHAT SMS 4040 REGLEMENT DES JEUX CHAT SMS 4040 ARTICLE I : ORGANISATION : ORANGE-RDC, immatriculée au registre de commerce sous le 50.009, à l identification nationale sous le 01-73-N36.340N, dont le siège social est

Plus en détail

INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE

INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante

Plus en détail

COMPTABILITE GENERALE ETAPE 2 : LE COMPTE

COMPTABILITE GENERALE ETAPE 2 : LE COMPTE COMPTABILITE GENERALE ETAPE 2 : LE COMPTE 1. LE PLAN COMPTABLE GÉNÉRAL ET LES CLASSES La loi impose des règles concernant la présentation et le contenu des documents comptables. Ces règles font l'objet

Plus en détail

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE

CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous

Plus en détail

Journée_: Modules HoraireEpreuve

Journée_: Modules HoraireEpreuve AA 13 Deuxième année Licence Fond. en Gestion: Administration des affaires Comptabilité de Gestion GESTION DE LA PRODUCTION FINANCE Marketing - Techniques et Stratégies d'achat Gestion par objectifs Techniques

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

LE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»

LE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION» Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,

Plus en détail

DEFINTIONS ET FORMULES

DEFINTIONS ET FORMULES DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE

PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION DE L'ENTREPRISE. CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION

Plus en détail

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs

Plus en détail

32 Coûts fixes, coûts variables

32 Coûts fixes, coûts variables cterrier.com 1/14 24/09/2012 32 Coûts fixes, coûts variables Variabilité des charges cterrier cterrier.com 2/14 24/09/2012 32 Coût fixes, coûts variables Concepts clés Définitions Charges fixes : charges

Plus en détail

AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts

AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

Première installation : comment réussir en temps de crise?

Première installation : comment réussir en temps de crise? FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de

Plus en détail

Livre Blanc. ETL Master Data Management Data Quality - Reporting. Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect?

Livre Blanc. ETL Master Data Management Data Quality - Reporting. Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect? Livre Blanc ETL Master Data Management Data Quality - Reporting Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect? Sommaire I. Les 3 principaux canaux de distribution... 3 II. Les

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

Les achats et les ventes

Les achats et les ventes La réalisation de l'objet de toute entreprise passe par les opérations d'achats et de ventes. Section 1. Généralités Sous-section 1. Définitions Les achats : Au sens comptable, les achats représentent

Plus en détail

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants : BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre

Plus en détail

CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC

CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

LE FINANCEMENT DE L EXPLOITATION

LE FINANCEMENT DE L EXPLOITATION LE FINANCEMENT DE L EXPLOITATION Objectif(s) : o o o o Escompte des effets de commerce, Cessions de créances, Affacturage, Subventions d'exploitation. Pré-requis : o Fonctionnement des comptes financiers.

Plus en détail

ADVANS Cameroun SA. Rapport du Commissaire aux Comptes au Conseil d'administration

ADVANS Cameroun SA. Rapport du Commissaire aux Comptes au Conseil d'administration ADVANS Cameroun SA Rapport du Commissaire aux Comptes au Conseil d'administration Rapport présenté en application de l article 715 de l acte uniforme OHADA relatif au droit des sociétés commerciales et

Plus en détail

XXXXXX. Information préalable au 31.12.2002. Base individuelle / Entreprise. Cochez la case appropriée d'une X

XXXXXX. Information préalable au 31.12.2002. Base individuelle / Entreprise. Cochez la case appropriée d'une X Banque nationale suisse Direction de la statistique Saisie des données Case postale Bon de livraison pour disquettes (FRIN) A imprimer et joindre à la disquette Raison sociale Adresse NPA Localité Collaborateur

Plus en détail

Les missions de l expert-comptable

Les missions de l expert-comptable Les modalités d exercice de la profession 85 Les missions de l expert-comptable Missions comptables Missions d assurance sur les comptes complets historiques Audit d états financiers contractuel Examen

Plus en détail

COMPTABILITÉ DE GESTION

COMPTABILITÉ DE GESTION COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction

Plus en détail

LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011

LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011 LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?

Plus en détail

D E C R E T E : PAPIERS DESTINES A L'IMPRESSION. Article premier

D E C R E T E : PAPIERS DESTINES A L'IMPRESSION. Article premier D E C R E T Décret n 2-06-574 du 10 hija 1427 ( 31 décembre 2006) pris pour l application de la taxe sur la valeur ajoutée prévue au titre III du Code Général des Impôts. 1 er janvier 2007 DECRET N 2-06-574

Plus en détail

LA LOI MADELIN PREAMBULE

LA LOI MADELIN PREAMBULE LA LOI MADELIN PREAMBULE Les TNS (travailleurs non salariés) sont une population particulièrement touchée par le soucis des revenus de retraites : leurs cotisations ne leur laissera en moyenne que 60%

Plus en détail

FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006)

FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006) FIL CONDUCTEUR (Session principale 2006) PREMIERE PARTIE Etude de rentabilité des produits P1 et P2 «Méthode des coûts partiels» Constatation de la non rentabilité du produit P2 Décision d investissement

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

www.btsag.com 31 Coûts complets

www.btsag.com 31 Coûts complets www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 138/5 Logiciels Introduction La Commission a consacré une étude approfondie au traitement comptable de la création ou de l acquisition d un logiciel par une entreprise,

Plus en détail

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer

Plus en détail

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

TRANSFERTS DES CONTRATS D ASSURANCE GROUPE EN CAS DE VIE LIES A LA CESSATION D ACTIVITE PROFESSIONNELLE

TRANSFERTS DES CONTRATS D ASSURANCE GROUPE EN CAS DE VIE LIES A LA CESSATION D ACTIVITE PROFESSIONNELLE TRANSFERTS DES CONTRATS D ASSURANCE GROUPE EN CAS DE VIE LIES A LA CESSATION D ACTIVITE PROFESSIONNELLE En vertu de l article L132-23 du Code des assurances les droits individuels résultant des contrats

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

Becca Distribution Inc

Becca Distribution Inc Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période

Plus en détail

Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles.

Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles. Conditions Générales pour le Commerce de Gros des Produits Floricoles. établies par la "Vereniging van Groothandelaren in Bloemkwekerijprodukten" (VGB - Association des Grossistes en Produits Floricoles)

Plus en détail

LA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS

LA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS LA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS Maître ALON LEIBA Avocat au barreau d ISRAEL et de PARIS 14, rue Clément Marot 75008 Paris 1 PLAN 1. Le régime d imposition

Plus en détail

Logistique, Transports

Logistique, Transports Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,

Plus en détail

L'ASSEMBLEE TERRITORIALE DE LA POLYNESIE FRANCAISE,

L'ASSEMBLEE TERRITORIALE DE LA POLYNESIE FRANCAISE, ASSEMBLEE TERRITORIALE DE LA POLYNESIE FRANCAISE -------- NOR : ENR9401445DL DELIBERATION N 94-153 AT DU DECEMBRE 1994 ------------------------------------------------------------ unifiant le régime de

Plus en détail

GdsCompta. Logiciel de comptabilité générale

GdsCompta. Logiciel de comptabilité générale GdsCompta Logiciel de comptabilité générale CARACTERISTIQUES Logiciel sous Windows Fonctionne sous Windows XP, Vista, 7 et 8 Multi-dossier De la saisie des écritures au bilan, une comptabilité complète.

Plus en détail

Déclaration Mensuelle des Impôts

Déclaration Mensuelle des Impôts REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES IMPOTS Déclaration Mensuelle des Impôts Code acte (1) Mois Année N de registre de commerce Identifiant fiscal Identifiant T. V. A. Code

Plus en détail

Marché public LIGNE DIRECTRICE SUR LA FIXATION DES FRAIS DANS UNE PROCÉDURE DE PLAINTE TRIBUNAL CANADIEN DU COMMERCE EXTÉRIEUR

Marché public LIGNE DIRECTRICE SUR LA FIXATION DES FRAIS DANS UNE PROCÉDURE DE PLAINTE TRIBUNAL CANADIEN DU COMMERCE EXTÉRIEUR Canadian International Trade Tribunal Tribunal canadien du commerce extérieur TRIBUNAL CANADIEN DU COMMERCE EXTÉRIEUR Marché public LIGNE DIRECTRICE SUR LA FIXATION DES FRAIS DANS UNE PROCÉDURE DE PLAINTE

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2004/22 NOTE COMMUNE N 18/2004 R E S U M E

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2004/22 NOTE COMMUNE N 18/2004 R E S U M E BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2004/02/09 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2004/22 NOTE COMMUNE N 18/2004 OBJET: Aménagement du taux des intérêts

Plus en détail

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012 Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser

Plus en détail

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable.

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable. I - DÉFINITION ET RÔLE DE L'AMORTISSEMENT 1 - Définition de l'amortissement et du plan d'amortissement : L'amortissement est défini comme étant la constatation comptable de la perte subie par la valeur

Plus en détail

Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié

Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié GRET agridoc Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié Date(s) de l expérience 2000-2004 Mise en œuvre Gret Zone géographique Global - Afrique Mots clés

Plus en détail

SOMMAIRE. Flash sur l Augmentation de Capital... 3. Chapitre 1. Responsables de la note d opération... 5

SOMMAIRE. Flash sur l Augmentation de Capital... 3. Chapitre 1. Responsables de la note d opération... 5 1 SOMMAIRE Flash sur l Augmentation de Capital... 3 Chapitre 1. Responsables de la note d opération... 5 1.1 Responsable de la note d opération. 5 1.2 Attestation du responsable de la note d opération......

Plus en détail

Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits

Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits En comptabilité générale les charges et les produits sont classés par nature (par exemple pour les charges : 60 Achat, 61 Services extérieurs,

Plus en détail

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir

Plus en détail

DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI

DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI 30/01/2014 La domiciliation de l entreprise, correspond à l adresse administrative de l entreprise, qui doit être déclarée au CFE (Centre

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.

Plus en détail

BANQUE DE L HABITAT Siège Social : 18, Avenue Mohamed V 1080

BANQUE DE L HABITAT Siège Social : 18, Avenue Mohamed V 1080 AUGMENTATION DE CAPITAL BANQUE DE L HABITAT Siège Social : 18, Avenue Mohamed V 1080 Décisions à l origine de l émission L Assemblée Générale Extraordinaire de la Banque de l Habitat, tenue le 18 février

Plus en détail

Société Anonyme au capital de 15.139.200 euros Siège social : 2 bis, chemin du Coulouvrier 69410 CHAMPAGNE AU MONT D OR 306 140 039 RCS LYON

Société Anonyme au capital de 15.139.200 euros Siège social : 2 bis, chemin du Coulouvrier 69410 CHAMPAGNE AU MONT D OR 306 140 039 RCS LYON Société Anonyme au capital de 15.139.200 euros Siège social : 2 bis, chemin du Coulouvrier 69410 CHAMPAGNE AU MONT D OR 306 140 039 RCS LYON Exercice social : du 1er avril 2007 au 31 mars 2008 RAPPORT

Plus en détail

APPORT ACTIVITE [Nommer activité transmise] de [Nom de la société apportant l activité] à [Nom de la société destinataire de l apport]

APPORT ACTIVITE [Nommer activité transmise] de [Nom de la société apportant l activité] à [Nom de la société destinataire de l apport] APPORT ACTIVITE [Nommer activité transmise] de [Nom de la société apportant l activité] à [Nom de la société destinataire de l apport] Projet de Planning des opérations économiques et financières XX/XX/2005

Plus en détail

Analystes financiers (Mai 2006) 3

Analystes financiers (Mai 2006) 3 Analystes financiers (Mai 2006) 3 Tous les éléments de produits et de charges constatés au cours d'un exercice, notamment la charge d'impôt, les éléments extraordinaires entrent dans la détermination du

Plus en détail

RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI

RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13

Plus en détail

2011 / 3 Directives concernant les placements fiduciaires

2011 / 3 Directives concernant les placements fiduciaires 2011 / 3 Directives concernant les placements fiduciaires Préambule Les présentes directives ont été adoptées par le Conseil d administration de l Association suisse des banquiers dans le but de promouvoir

Plus en détail

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux») Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...

Plus en détail

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,

Plus en détail

ARCHIVES. Ouvrages & Règlementations en vigueur sur le. Transport et la Logistique. Mai 2005 À l attention des Responsables :

ARCHIVES. Ouvrages & Règlementations en vigueur sur le. Transport et la Logistique. Mai 2005 À l attention des Responsables : Mai 2005 À l attention des Responsables : B035 Qualité Projets Export Achats Logistique Ouvrages & Règlementations en vigueur sur le Transport et la Logistique Réglementation du transport... Aérien...

Plus en détail

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. 4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option

Plus en détail

Comptabilité : les charges à payer LES CHARGES A PAYER

Comptabilité : les charges à payer LES CHARGES A PAYER LES CHARGES A PAYER Il s'agit de régulariser des charges consommées au cours de l'exercice mais qui n'ont comptabilisées. Exemples : - des achats dont nous n'avons pas encore reçues les factures; - des

Plus en détail

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010 F D C N FDC COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010. ACTIF. PASSIF. RESULTAT 2 BILAN ACTIF CONSOLIDATION durée de l'exercice 12 mois Brut Am.& Prov. ACTIF IMMOBILISE Immobilisations

Plus en détail

PLAN COMPTABLE GENERAL

PLAN COMPTABLE GENERAL R ÉPUBLIQUE F RANÇAISE C OMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION C OMPTABLE PLAN COMPTABLE GENERAL Règlement n 99-03 du 29 avril 1999 du Comité de la réglementation comptable, modifié par les règlements n 99-08 et

Plus en détail

Simplifier la gestion de l'entreprise

Simplifier la gestion de l'entreprise Présentation de la solution SAP s SAP pour les PME SAP Business One Objectifs Simplifier la gestion de l'entreprise Optimiser la gestion et assurer la croissance de votre PME Optimiser la gestion et assurer

Plus en détail

IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS

IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)

Plus en détail

LA PARTICIPATION DES SALARIES AUX RESULTATS

LA PARTICIPATION DES SALARIES AUX RESULTATS LA PARTICIPATION DES SALARIES AUX RESULTATS LE CALCUL DE LA RESERVE DE PARTICIPATION La formule du calcul de la réserve de participation est la suivante : Avec : Eléments du calcul S : Masse salariale

Plus en détail

CONVENTION ENTRE ACTIONNAIRES

CONVENTION ENTRE ACTIONNAIRES CONVENTION ENTRE ACTIONNAIRES La convention entre actionnaires est un contrat écrit, conclu entre tous les actionnaires d une entreprise incorporée et régissant les droits, pouvoirs et obligations de ceux-ci

Plus en détail

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des

Plus en détail

Livret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire

Livret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire Livret du joueur KEY FLASH Montage et commercialisation de clés USB originales Sommaire Préambule page approvisionnement page 4 production page 6 marketing page 10 administration finance page 1 Partenaires

Plus en détail

Organisation successorale internationale: analyse de droit international privé. Conseil de l Union européenne Comité du personnel 20 juin 2013

Organisation successorale internationale: analyse de droit international privé. Conseil de l Union européenne Comité du personnel 20 juin 2013 Organisation successorale internationale: analyse de droit international privé Conseil de l Union européenne Comité du personnel 20 juin 2013 Plan de l exposé Introduction Les conséquences civiles Les

Plus en détail

Bordereau de renseignements OG B.I.C. Millésime 2015

Bordereau de renseignements OG B.I.C. Millésime 2015 LE MANS LAVAL ALENCON Siège social 1 rue de la Paix Parc d activités du Londreau 126-128 rue de la Mariette CS 60506 BP 230 - Cerisé 72000 LE MANS 53005 LAVAL CEDEX 61007 ALENCON CEDEX Tel : 02 43 86 36

Plus en détail

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996

Plus en détail