PRISE EN CHARGE D UNE ÉPILEPSIE. Dr Hélène PEYRIERE Pharmacie Clinique 2016
|
|
- Xavier Petit
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 PRISE EN CHARGE D UNE ÉPILEPSIE Dr Hélène PEYRIERE Pharmacie Clinique 2016
2 2 Épidémiologie Maladie neurologique la + fréquente après migraine France : 4 à personnes Monde : 40 millions Prévalence : 0.5 à 1% population (après 60 ans) Incidence France : 5 / / an +++ enfant et personne âgée 40% patients avec 1ère crise ne récidivent pas à 5 ans, même ss traitement Taux d erreurs diagnostiques 20%
3 Cas clinique 3 Une patiente de 23 ans, 50 kg, présentant une comitialité généralisée de type tonico-clonique depuis l âge de 16 ans (épilepsie idiopathique), est hospitalisée en neurologie à la suite de l apparition d une crise convulsive.
4 4 Commentaires Étiologie : 2 types d épilepsie Épilepsie idiopathique Épilepsie symptomatique 2 syndromes Épilepsie partielle (focale) Épilepsie généralisée
5 5 Commentaires Différentes symptomatologies Crises tonico-cloniques Perte de connaissance brutale Phase tonique : contractures musculaires généralisées, tachycardie, HTA, sueurs, hypersalivation Phase clonique : secousses musculaires généralisées, bilatérales Crise myocloniques Secousses musculaires violentes, brèves, MS ou MI Absences Suppression brèves de la conscience : perte de contact Phénomènes cloniques, toniques, atoniques, végétatives
6 6 Principales étiologies et facteurs favorisants Causes métaboliques Causes toxiques Causes infectieuses Causes vasculaires Causes tumorales Hypoglycémie Hypo- hypercalcémie Hypo-hypernatrémie IRC, IH sévère Éthylisme : ivresse, sevrage Surdosage médicamenteux Sevrage médicamenteux Intoxication CO Stupéfiants : stimulants Méningites, abcès cerveau, fièvre (enfant) AVC Malformations vasculaires cérébrales non rompues Traumatisme crânien Méningiome, glioblastome
7 7 Cas clinique L historique médicamenteux de cette patiente est le suivant : Premier traitement: Lamotrigine 25 mg/j posologie à adapter Ce premier traitement a été rapidement efficace. Cependant, il a du être arrêté en raison de l'apparition d'une éruption cutanée sévère associée à de la fièvre. Un nouveau traitement à base de valproate avait alors été prescrit Commentez
8 8 Objectif traitement et critères choix antiépileptique Objectifs du traitement Diminution fréquences et intensité crises et disparition Minimum d effets indésirables Recherche étiologie curable Qualité de vie patients Critères de choix du traitement Type de crise Âge patient Sexe Comorbidités Traitements associés
9 9 Spectre d action Spectre large Monothérapie de 1ère intention Valproate de sodium Lamotrigine Monothérapie 2è intention ou polythérapie Lévétiracetam Topiramate zonisamide Spectre étroit Monothérapie de 1ère intention Carbamazépine, OxCbz Gabapentine Monothérapie 2è intention ou polythérapie Prégabaline Vigabatrine Lacosamide Tiagabine
10 10 Commentaires Lamotrigine Antiépileptique 2è génération Blocage canaux sodiques voltage-dépendant Indication monothérapie 1 ère intention Non métabolisé / cytochrome Métabolisé par glucuronidation +++ Interaction contraceptifs? Interaction médicamenteuse? Effets indésirables Tr neuro-psy : insomnie, agressivité, irritabilité, céphalées, vertige, diplopie Tr digestifs Cutanéomuqueux +++ Grossesse?
11 11 Principaux mécanismes d action Gabaergiques Benzodiazépines Valproate Gabapentine Prégabaline Stiripentol Vigabatrin Topiramate Phénobarbital Tiagabine Blocage canaux Na voltage-dépendant Carbamazépine / Ox CBZ, Esli CBZ Lacosamide Lamotrigine Phénytoine Zonisamide Blocage canaux calciques Prégabaline Gabapentine Zonisamide
12 Cas clinique 12 Histoire actuelle Traitement: Valproate arrow LP 500 mg 2f/j + contraception orale Commentez Voyage au Kenya : nécessité d une prophylaxie antipaludique. Un premier traitement par Lariam a été prescrit. Cependant quelques jours plus tard, la patiente est hospitalisée à la suite d une perte de connaissance. Aux urgences, un dosage de l anti-épileptique est demandé. L électroencéphalogramme montre des signes d épilepsie. Du Rivotril est administré par voie intraveineuse. La crise ne se reproduit plus. Le résultat du dosage de l anti-épileptique est de 15 mg/l. Le traitement est modifié avec remplacement du Lariam par de la Malarone.
13 13 Commentaires Valproate Anti-épileptique 1 ère génération Spectre large Agoniste Gaba Indications : Épilepsie Maladie bipolaire Pharmacocinétique Métabolisme / glucuronidation Non inducteur enzymatique Inhibiteur CYP 2C9 et UGP
14 14 Commentaires Surveillance Bilan hépatique NFS Effets indésirables Thrombopénie Hépatite cytolytique aiguë (sévère) Prise de poids / effet orexigène Somnolence, alopécie Contre-indication Grossesse méfloquine Précautions d emploi Association lamotrigine
15 15 Médicaments contenant du valproate et dérivés Risque élevé de malformations congénitales : environ 10% Risque accru de troubles neuro-développementaux : 30-40% Restriction des CPD médicaments contenant du valproate pour les filles, adolescentes et femmes en âge de procréer Ces médicaments ne doivent pas être prescrits chez ces patientes sauf en cas d inefficacité ou d alternatives Prescription initiale annuelle réservée aux neurologues, psychiatres, pédiatres Accord de soins entre médecin spécialiste et patiente et/ou son représentant légal Renouvellement possible par tout médecin pendant l année Pour toute délivrance, la prescription / spécialiste et accord de soins obligatoire dès mai 2015 pour les nouvelles patientes et au plus tard au 31/12/15 pour les patientes déjà traitées
16 16 Marges thérapeutiques des principaux antiépileptiques Carbamazépine : 5-12 mg/l Valproate de sodium : mg/l Lamotrigine : 2 20 mg/l Lévétiracétam : 6-18 mg/l Ethosuccimide : mg/l Topiramate : 5-20 mg/l
17 17 Indications du suivi pharmacologique des antiépileptiques Recherche d une prise irrégulière ou d une absence de prise du traitement ; Suspicion de toxicité liée à un surdosage médicamenteux ; Dans certaines conditions particulières telles que l insuffisance hépatique, l insuffisance rénale, la grossesse, la survenue d un état de mal, etc. : Lors de la gestion d interactions médicamenteuses, Lors du changement de formulation ou de passage à un générique, Si les crises persistent malgré une posologie correcte, Quand survient un changement inexpliqué de réponse thérapeutique.
18 Antiépileptiques et interactions 18 Inducteurs enzymatiques Carbamazépine Oxcarbazépine Eslicarbazépine Phénobarbital Phénytoine Topiramate (> 200 mg/j) Métabolisés par Cytochrome Carbamazépine, & Co Tiagabine Zonizamide Stiripentol Phénytoine Métabolisés / glucuronidation Valproate Lamotrigine Inhibiteurs enzymatiques Valproate Élimination urinaire / forme inchangée Vigabatrin +++ Prégabaline +++ Gabapentine +++ Lévétiracétam ++ Topiramate ++ Lacosamide +
19 19 Cas clinique La patiente ressort de l hôpital avec le traitement suivant: Dépakine chrono 500 mg 2/jour Contraceptif oral Malarone 1 cp/jour Ce traitement est efficace, la patiente n ayant plus présenté de crises depuis des mois. Quelques mois plus tard, la patiente se plaint d'une prise de poids importante (+10 kg). Une réévaluation de sa thérapeutique est alors réalisée et le traitement suivant est introduit à la place du valproate : Keppra, posologie initiale 250 mg 2f/jour, à augmenter progressivement
20 20 Commentaires Lévétiracetam (Keppra ) Antiépileptique 2è génération Mécanisme incertain Indication Monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte et l'adolescent > 16 ans présentant une épilepsie nouvellement diagnostiquée. Keppra est indiqué en association : Dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte, l'adolescent, l'enfant et le nourrisson > 1 mois présentant une épilepsie ; dans le traitement des crises myocloniques de l'adulte et de l'adolescent > 12 ans présentant une épilepsie myoclonique juvénile ; dans le traitement des crises généralisées tonicocloniques primaires de l'adulte et de l'adolescent > 12 ans présentant une épilepsie généralisée idiopathique.
21 21 Commentaires Pharmacocinétique Peu métabolisé Élimination rénale / inchangée Pas inducteur ou inhibiteur Effets indésirables Asthénie, sédation Troubles du comportement Perte de poids
22 22 Cas clinique Quelques mois plus tard, lors du renouvellement de l'ordonnance, la patiente vous parle de son désir d'enfant. LaposologiedeKeppra etalorsde1000mg2f/jour
23 23 Grossesse A prévoir!!! Risque malformatif lié à toute grossesse : 2-3 % Chez patiente épileptique : risque X 3 Chez 25%,fréquence crises pendant grossesse / PK Dosages plasmatiques +++ Principales malformations Fente labiopalatine Malformation cardiaque Dysmorphie cranio-faciale Malformation squelettique Spina-bifida : valproate >>> carbamazépine
24 24 Grossesse Prescription monothérapie si possible Posologie minimale efficace / formes retard (éviter pics / VPA) Si arrêt des antiépileptiques : sevrage terminé 6 mois avant début de la grossesse Prescription acide folique 1 mois avant conception jusqu à 3 mois après diminuer risque malformation neurologique / non fermeture tube neural Surveillance échographique renforcée Supplémentation vitamine K fin de grossesse si antiépileptique inducteur Éviter valproate : + diminution QI, retard psycho-moteur : dose-dépendant Préférer antiépileptique 2è génération, non tératogène chez animal à exception du topiramate Lamotrigine, lévétiracetam
25 «Nouveaux» antiépileptiques : synthèse 25 Vigabatrin (Sabril ) Gabapentine (Neurontin ) Prégabaline (lyrica ) Tiagabine (gabitril ) Topiramate (Epitomax OxCBZ (Trileptal ) EsliCBZ (Zebinix ) E généralisée Spasme infantile E partielle monot 1 ère int < 12a Métab hep Ind/inh enzym Surveillance EIM Oui Non Oui Non Non Champ visuel, Psychose Non Oui Oui Oui Non Non Sédation, prise poids, OMI, psychose Non Oui Non Oui Non Non Sédation, prise de poids, tr équilibre, diplopie, dépendance Non Oui Non Oui Oui Non Sédation, asthénie, vertige Oui Oui Oui Oui Non Ind Perte poids, glaucome, Tr psy, mémoire, lithiase R, hyperthermie Non Oui Oui Oui Oui Ind HS, hypona, vertiges, diplopie Non Oui Non Non Oui Oui Neuro
26 Nouveaux antiépileptiques : synthèse 26 Lacosamide (Vimpat ) Rufinamide (Inovelon ) Retigabine (trobalt ) E généralisée E partielle monot 1 ère int < 12a Métab hep Ind/inh enzym Non Oui Non Non Oui Ind faible Lennox gastaut Surveillance EIM Allo,gt espace PR, bradycardie, syncopes, vertiges, diplopie, céphalées Non Non > 4 Oui Non Vertiges, diplopie, tr neuropsy Non Oui Non Non Oui pas CYP Non Allongt espace QT, rétention urinaire, tr psy : tr psychotiques, hallucinations, tr pigmentaires cutanés, rétine (opht) Prescription restreinte neurologues
27 27 Nouveaux antiépileptiques : synthèse Perampanel Fycompa Zonisamide (Zonegran ) E généralisée E partielle monot 1 ère int < 12a Métab hep Oui Oui oui Non Oui CYP3A Ind/inh enzym Non?? Surveillance EIM Vertiges, somnolence Comportement agressif, hostile Non Oui Non Non Non Non Demi-vie 60 h Anorexie, perte poids, sédation, lithiase R, vertiges Dérivé sulfamide : éruption sévère (lyell, SSJ), tr hématologique
28 Conseils 28 Insister sur l observance thérapeutique Éviter l auto-médication Pas d arrêt de traitement sans avis médical Identifier et éviter les facteurs favorisant les crises : dette de sommeil, fatigue, alcool Préférer les douches aux bains Pas de consommation d alcool, de stupéfiants Pratique du sport conseillée : éviter sports dangereux en cas de crises Éviter médicaments diminuant seuil épileptogène : : antidépresseurs, antipsychotiques Télévision, jeux vidéo, ordinateurs : possible sauf épilepsie photosensible (rare) Conduite véhicule : individuelle autorisée après passage devant la commission départementale du permis de conduire (patient fait les démarches) La conduite automobile professionnelle (permis C, D et EC) est interdite, même en cas d'épilepsie équilibrée sous traitement
29 Points à retenir Femmes en âge de procréer Interaction antiépileptiques-contraceptifs oraux Éviter inducteurs enzymatiques : carbamazépine, oxcarbazépine, phénobarbital, phénytoine, topiramate (poso > 200 mg/j) Attention lamotrigine + éthinylestradiol : taux lamotrigine Valproate déconseillé pendant la grossesse Fonction rénale altérée Éviter lévétiracétam, gabapentine, prégabaline Prise de poids valproate, gabapentine, prégabaline Perte de poids Lévétiracetam, topiramate, zonisamide Troubles neuropsychiques Irritabilité, troubles du comportement : lévétiracétam Troubles psychiques, dépression : substances gabaergiques, topiramate 29
30 30 Épilepsie généralisée Acide valproïque ou Lamotrigine Effets indésirables En cas d échec, Vérifier l observance Efficacité Si bonne observance Monothérapie de substitution après une période transitoire de chevauchement des 2 En cas d échec, avis spécialisé ± complément d investigation : vidéo EEG, EEG de sommeil Bithérapie Poursuite du traitement Choix bithérapie?? Asso valproate lamotrigine mais modalités de prescription spécifiques En cas échec (pharmacorésistance), réévaluation en centre spécialisé
31 Épilepsie partielle 31 Acide vaproïque ou Lamotrigine ou carbamazépine ou oxcarbamazépine ou gabapentine ou lévétiracétam Effets indésirables En cas d échec, Vérifier l observance Efficacité Si bonne observance Monothérapie de substitution après une période transitoire de chevauchement des 2 En cas d échec, avis spécialisé ± complément d investigation : vidéo EEG, EEG de sommeil Bithérapie En cas échec (pharmacorésistance), exploration chirurgicale à discuter Poursuite du traitement + topiramate, tiagabine, vigabatrin Si foyer épileptogène supposé unique
32 UN AUTRE EXEMPLE 32
33 33 Garçon 10 ans, 34 kilos 27/12/2014: hospitalisé exanthème (visage) diffus bilan : Cytolyse hépatique 3N fièvre 39,6 C Examen : 39,5 jusque a 40,4 Asthénique Éruption scarlatiforme en masque de loup au visage Éruption maculopapuleuse diam >1cm tronc/mbre sup et inf
34 34 Histoire de la maladie 2013: Epilepsie réfractaire =>Traitement : valproate de sodium LP 500mg matin et soir 12decembre 2014: Crises ++ =>Ajout de lamotrigine 25mg/j 22 décembre Crises nocturnes =>Lamotrigine 25mg *2 =50mg/j 25decembre généraliste Syndrome pseudogrippal asthénie céphalées 27 décembre: urgence : fièvre +éruption cutanée essentiellement visage +Cytolyse hépatique 3N 28 décembre extension lésions : suspicion epidermolyse Diagnostic : DRESS syndrome Amélioration en 6 jours après arrêt de la lamotrigine
35 Interaction acide valproique /lamotrigine Le valproate, qui inhibe la glucuronisation de la lamotrigine, réduit le métabolisme de la lamotrigine et augmente la demi-vie de la lamotrigine d'approximativement 2 fois. Chez les patients recevant un traitement concomitant avec le valproate, le schéma posologique approprié doit être appliqué Enfants et adolescents âgés de 2 à 12 ans - recommandations posologiques dans l'épilepsie (dose quotidienne totale en mg/kg de poids corporel/jour) Monotherapie En association avec le valproate : Semaine 1+2: 0,3mg/kg/j. Semaine 1+2: 0,15mg/kg/j =5mg/jr dans notre cas 25 mg/j Semaine 3+4 0,6mg/kg/j Semaine 3+4: 0,3mg/kg/j =10mg/j dans notre cas 50 mg/j Entretien :1-10mg/kg/j. Entretien : 1-5mg/kg/j =35-175mg/j Médecin dans ce cas a prescrit : Lamotrigine 25mg puis 10jours après est passé à 50mg Pas d adaptation progressive de posologie par palier et pas tenu compte des dose á ½ car association au valproate
36 36 ETUDE VALPROATE GROSSESSE CPAM
37 Exposition à l acide valproïque et ses dérivés au cours de la grossesse en France de 2007 à 2014 Résultats de l étude observationnelle sur les données du SNIIRAM Contexte Exposition durant la grossesse Effet tératogène notamment spina bifida Troubles neuro-développementaux Réévaluation du B/R au niveau européen Utilisation pour le traitement de l épilepsie ou des troubles bipolaires chez les femmes enceintes ou en âge de procréer SEULEMENT en cas d inefficacité ou d intolérance aux autres traitements Mesures de réduction des risques (déc 2014) En France : renforcement des conditions de prescription et délivrance pour filles, adolescentes, femmes en âge de procréer ou enceintes (mai 2015) Prescription initiale annuelle réservée aux spécialistes Formulaire d accord de soin conditionnant la délivrance du médicament Modification étiquetage Etudes d impact demandées aux laboratoires En France : étude auprès des pharmacies 37
38 Exposition à l acide valproïque au cours de la grossesse Objectif principal Evaluer la fréquence d exposition à l acide valproïque parmi les femmes enceintes en France et son évolution de 2007 à 2014, globalement et selon le contexte pathologique de prescription Objectifs secondaires Décrire les caractéristiques des femmes exposées à l acide valproïque pendant la grossesse et de leurs prescripteurs Décrire les issues des grossesses de femmes exposées à l acide valproïque Evaluer la fréquence d exposition à l acide valproïque selon le trimestre de grossesse Caractériser les modalités de prescription de l acide valproïque pendant la grossesse Evaluer le nombre de femmes en âge de procréer exposées à l acide valproïque, et son évolution de 2007 au 1er trimestre
39 39 Matériel et Méthode Schéma d étude Etude de cohorte rétrospective Source des données (SNIIRAM) DCIR : données individuelles de remboursement des dépenses de santé PMSI : données individuelles sur les séjours hospitaliers Population d étude Femmes ayant débuté une grossesse entre le 01/01/2007 et le 31/12/2014 (fin de grossesse jusqu au 30/09/2015) Affiliées au régime général de la sécurité sociale (y compris SLM) Avec au moins un remboursement entre J0-13 mois et J0-1 mois (J0=date de début de grossesse)
40 40 Résultats : nombre de grossesse exposées : grossesse exposées soit 1,9 grossesses exposées / 1000 grossesse en France 42% Report sur?
41 Nombre de grossesse exposées aux médicaments de l épilepsie 41
42 Nombre de grossesse exposées aux médicaments des troubles bipolaires 42
43 Issues des grossesses de femmes exposées à l acide valproique pendant la grossesse 43
44 Évolution de l exposition / semestre 44
45 45 Synthèse Spécificités liées au contexte pathologique de prescription Epilepsie Diminution marquée du nombre de grossesses exposées Maintien fréquent de l exposition tout au long de la grossesse Troubles bipolaires Diminution plus modérée du nombre de grossesses exposées Arrêt fréquent de l exposition au cours du 1er trimestre de grossesse Accentuation de la diminution du nombre de femmes en âge de procréer exposées à l acide valproïque en 2015 et début 2016
46 46 Conclusion Persistance d un niveau élevé d exposition à l acide valproïque, malgré une diminution de 42% du nombre de grossesses exposées depuis grossesses débutées en 2014 exposées à l acide valproïque femmes en âge de procréer exposées au 1 er trimestre 2016 Nécessité De renforcer l application des mesures de réduction du risque en tenant compte des spécificités du contexte pathologique de prescription De poursuivre le suivi du niveau d exposition à l acide valproïque afin de mesurer les effets de ces mesures D étendre le suivi aux autres traitements de l épilepsie et des troubles bipolaires
7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailCe qu il faut savoir sur l épilepsie.
Ce qu il faut savoir sur l épilepsie. Sommaire Que faut-il savoir sur l épilepsie? 4 Qu est-ce que l épilepsie? 7 Qu est-ce qui cause l épilepsie? 8 Facteurs génétiques 9 Autres maladies 10 Blessures à
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLorraine Waechter - http://fichesecn.wordpress.com/ ITEM 262 : MIGRAINE CLINIQUE
ITEM 262 : MIGRAINE CLINIQUE Terrain Anamnèse Critères diagnostiques IHS Migraine sans aura = Migraine commune Critères diagnostiques IHS Migraine avec aura = Migraine accompagnée Aura - Argument de fréquence
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailPROGRAMME DE TRAITEMENT PAR ÉTAPES
PROGRAMME DE TRAITEMENT PAR ÉTAPES Programme de traitement par étapes Certains médicaments sur ordonnance doivent faire l objet d un processus d évaluation plus rigoureux afin d assurer qu ils représentent
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailDESCRIPTION DE L'EMBRYOPATHIE
DESCRIPTION DE L'EMBRYOPATHIE EN FONCTION DE L'ANTI- CONVULSIVANT PRIS... D'après le site : http://www.medlink.com/medlinkcontent.asp Contributors Yu-tze Ng MD, author. Dr. Ng of the University of Arizona
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailMédicaments et grossesse
5 Médicaments et grossesse 120 questions en gynécologie-obstétrique 2014 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. 5. Médicaments et grossesse 151 Question 32 Elle est enceinte et doit prendre des médicaments
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailDiagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant
Diagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant Elisabeth Fournier-Charrière CETD, CHU Bicêtre avec la participation de l'équipe du centre de la migraine de l enfant de Trousseau 2015 Tom,
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailUn nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014
Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques Auteur Dominique Lannes Médecin-Conseil SCOR
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détail