AUDIT DE POST DE TRAVAIL
|
|
- Marie-Anne Chaput
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BULETINUL INSTITUTULUI POLITEHNIC DIN IAŞI Publicat de Universitatea Tehnică Gh. Asachi, Iaşi Tomul LIII (LVII), Supliment, 2007 Secţia CONSTRUCŢII DE MAŞINI AUDIT DE POST DE TRAVAIL PAR LUMINITA STIRBU et NADIA BELU Abstract: All types of audits: processes, procedures or quality management system audits, constitute one of the tools contributing to the insurance of a good repeatability and the effectiveness of our processes. So that the conformity of the working station is ensured, the CUET and CA must, within the framework of its planned observation, to check: the knowledge and the respect of the standards (operation standard sheet, key points, maintenance 1st level, quality, plan of monitoring...), the conformity and of the specified means and the correct realization of the operation, the respect of the conditions of safety, environmental cleanliness and, the organization and conformity of the establishment of the working station. The data obtained by this working station audit collected on the ground, in the real life of the plant, make it possible to feed the action plan of progress of the UET. Key words: working station, audit, quality standard 1. Introduction Face aux missions de l atelier, les enjeux du CUET (chef d unité élémentaire de travaille) consistent à développer la logique de PDCA, en atteignant les objectifs Qualité, Coûts, Délais, Ressources Humaines, Environnement déclinés ci-dessous : réaliser les objectifs de production au quotidien, déployer et mettre en œuvre les objectifs et plans d actions de l UET (unité élémentaire de travaille), établir les standards de référence de l UET, contrôler leur mise en œuvre et les améliorer, mobiliser et valoriser ses collaborateurs et les partenaires de l UET, former, entraîner, évaluer et recruter ses collaborateurs [1]. La seule approche théorique ne suffit pas, il est nécessaire de mettre ses connaissances au service de la réalité. Il est primordial d avoir la connaissance réelle du terrain. Il faut donc développer notre réflexion à partir de l observation du réel. L observation est obligatoire pour
2 Luminiţa Ştirbu et Nadia Belu Construcţii s assurer des respects des standards, pour mettre en évidence les anomalies, et détecter les voies de progrès, elle permet d alimenter le plan d action que le CUET met en œuvre pour atteindre ses objectifs [2]. 2. Méthodologie de réalisation d audit de poste de travaille L observation se base sur 3 réalités : le lieu réel (Poste de travail), l objet réel (Produit, machine), le fait réel (Défaut qualité, anomalie). C est le rôle du CUET de s assurer du respect des standards dans son UET, et de les améliorer au quotidien. Il doit donc observer périodiquement la réalité des postes sur le terrain. Le Chef d atelier doit s assurer que le CUET joue son rôle; en l accompagnement lors de l observation des postes sur le terrain. C est à cette occasion que le Chef d atelier joue son rôle de formateur. Il existe 3 types de déclencheurs de l observation du poste de travail: observations planifiées, observation événementielle, l observation réflexe. Les fréquences d audit de poste de travail sont définies en fonction d une organisation standard: - 1 CUET pour 20 postes, - 1 CA en normale pour 7 à 8 CUET, toutes équipes confondues. Elles peuvent être modifiées pour tenir compte de l organisation du site. Cette modification devra faire l objet d une formalisation. Dans l annexe 1 il y un exemple de grille d audit de poste de travail L observation planifiées Le CUET doit observer au minimum un poste par jour. Le Chef d atelier doit observer au minimum 1 poste par semaine. La durée prévisionnelle est aujourd hui estimée à 45 Min. Les 45 min comprennent l observation en elle-même et la construction du plan d actions qui en résulte (formation opérateur, modifications des standards ).Le Chef d atelier doit accompagner chacun de ses CUET au moins une fois par mois lors des observations. C est à cette occasion que le Chef d atelier joue son rôle de formateur. Il est nécessaire d établir un planning d observation des postes (un pour chaque CUET et un pour chaque Chef d atelier) L observation événementielle Des événements peuvent déclencher des observations du poste de travail qui ne sont pas planifiées. Exemple : défaut qualités, nouvel opérateur au poste, modification produit procès, accident. Dans ce cas l observation est notée sur le tableau de contrôle, il faut vérifier les respects des standards de la même façon que l observation planifiée (cette observation est ciblée par rapport au déclencheur). Cette observation reprend les étapes 1 à 7 de l observation planifiée L observation réflexe C est l aspect culturel, à chaque passage dans l atelier les postes sont observés, l observation est un réflexe.
3 de maşini Bul. Inst. Polit. Iaşi, t. LIII (LVII), Supliment, 2007 Pour pouvoir effectuer une bonne observation : (CUET et CA) doivent voir suivi les formations aux outils de base et faire des actions préalables à l observation: Le principal sens mis en action durant l observation du poste est le sens visuel. Il est nécessaire de regarder le poste sans interruption. C est toujours le court instant de distraction, ou l on ne regarde plus le poste avec concentration que l événement non standard arrive. Il faut donc durant l observation que le CUET se rendre indisponible au sollicitation extérieures, il doit donner les consignes par délégation à l opérateur senior (Ex: lui donner son téléphone). Le CUET par un signe distinctif de son choix doit montrer à l ensemble de l équipe et aux membres des autres secteurs qu il est en train d observer le poste; c est important pour 2 raisons : 1) Pour montrer son indisponibilité 2) Pour montrer aux opérateurs qu il est en phase d observation Il est obligatoire de pratiquer les modes opératoires pour écrire les standards, les améliorer et former les opérateurs Par conséquent le CUET connaît d une façon analytique l ensemble de ses postes de travail (mode opératoire, Auto maintenance, traitement des non conforme, type de protection individuelle ). Il a donc en tête le référentiel standard de son UET. A chaque fois qu il se déplace dans son UET, il lui est très facile d observer rapidement les postes d une façon synthétique : c est l observation réflexe. A chaque déplacement (Ex: pour se rendre en réunion, pour aller au restaurant ) le CUET regarde ses postes; sans s arrêter ni ralentir sa marche, sans préparation préalable. Cette observation réflexe permet de diagnostiquer les écarts entre le réel et les standards en mémoire; elle peut alimenter le planning d observation des postes. Les membres du comité de Direction et les Chef d atelier peuvent pratiquer l observation réflexe. Ils ne connaissent pas le détail analytique des postes, par contre ils peuvent s assurer de la connaissance de la méthodologie de la standard de poste de travail en interrogeant les opérateurs. Ils doivent pratiquer l observation réflexe en interviewant les opérateurs: Existe-t-il des points clés sur ce poste? Pouvez vous me les citer ainsi que leurs raison pendant leur exécution? Quels sont les problèmes qualité que rencontre l UET en ce moment? Ce type d observation ne se substitue pas à l observation planifiée et à l observation événementielle, elle demande un niveau de maturité très important. Cet interview se pratique naturellement en même temps que la traditionnelle poignée de main; c est l aspect culturel. L observation en elle-même n a pas de valeur ajoutée si elle n est pas suivie d un plan d action Observation de poste de travail Observation de poste de travail planifiée se fait en 2 phases: - les standards sont ils respectés; - les standards peuvent t il être améliorés; PHASE 1 -les standards sont ils respectés? Le travail consiste à comparer la réalité du poste avec les référentiels standard. Cette action est décomposée en 7 étapes:
4 Luminiţa Ştirbu et Nadia Belu Construcţii Etape 1 Choisir le poste S appuyer sur le planning d observation des postes de travail pour choisir le poste. Etape 2 Préparer les documents Préparer l ensemble des documents de référence nécessaire à l observation pour le poste, (les FOP, les FOS analyses et engagement, le tableau I L U, le tableau des exigences opératoires, le tableau de suivi de progression des compétences.). Etape 3 Etudier les documents Se remettre en mémoire les documents. Etape 4 Se déplacer au poste de travail Se rendre indisponible en confiant son téléphone à l opérateur senior, se déplacer au poste avec la documentation. Etape 5 Observer a distance plusieurs fois l opération L expérience montre qu il est nécessaire d observer environ 10 fois pour une bonne mémorisation du poste. L observation à distance permet d avoir une vision globale du poste, elle permet de vérifier: L ordre des étapes principales, La bonne exécution de l ensemble des étapes principales : l opérateur exécute t il toute les étapes principales du poste? y compris les étapes de l auto contrôle ; l opérateur ne rajoute t il pas des étapes principales? l opérateur ne fait il pas les étapes principales dans un ordre différent de celui du standard Les séquences de déplacement : sur l ensemble des cycles observés, l opérateur respecte t il les séquences de déplacement? exécute t il le nombre de pas standard? Durant cette phase il faut repérer le meilleur endroit pour se placer lors de l observation rapprochée, de manière à ne pas gêner l opérateur. Pour les activités fréquentielles doivent aussi être observées; en adaptant par rapport au standard. Etape 6 Observer en se rapprochant du poste et interviewer l opérateur Se placer au bon endroit pour ne pas gêner (le plus souvent derrière lui en le suivant lors de ses déplacements) par expérience il faut observer environ 5 cycles. L opérateur respecte t il le mode opératoire des fiches d opération standard? L opérateur connaît il les points clés? L opérateur respect t il les points clés? Lui demandé de dire les points clés au moment de leurs exécution et les raisons. Les emballages sont conformes, propres et en bon état. Les moyens de manutention sont en bon état et fonctionne. La cotation de la fiche ergonomie et sécurité correspond à l état du poste. L état du poste est propre et rangé. L aide à la diversité est active et fonctionne correctement. Les pièces externes sont au niveau de propreté requis. Etape 8 Bilan Faire le bilan et rédiger le plan d action associé en utilisant la grille d évaluation spécifiée ; et le mettre en œuvre Les standards peuvent t il être améliorés? La deuxième phase consiste à comparer la réalité du poste avec le référentiel du poste idéal.
5 de maşini Bul. Inst. Polit. Iaşi, t. LIII (LVII), Supliment, 2007 Observer a distance 5 cycles Se placer au bon endroit pour ne pas gêner l opérateur (Assez loin pour avoir une vue globale du poste) et de poser les questions de l amélioration possible du poste en se référant à: La règle des principes d économie de mouvements (Simultanéité gestuelle, déplacement inutile ) La règle des 7 gaspillages (Mauvaise ergonomie, stock.) La règle des 12 principes d amélioration de l équilibrage (L opérateur est t il sous engagé?, sur engagé?, travaille t il dans son pas de chaîne?, remonte t il la chaîne?, ne coule t il pas? engagement est t il à la fonction?...) La méthode du jugement d allure (Faire le bilan et mettre en place le plan d action associée) 3. Conclusions Observer un poste nécessite de la compétence, le but étant de mettre en place un plan d action dés la fin de l observation, cette compétence ne peux s acquérir que par une longue expérience terrain. Le plan d action doit être formalisé : quoi faire, qui, pour quand C est l exécution de ce plan d actions qui permet d atteindre les objectifs assignés au CUET. Les grilles d observation et grilles d audit sont des critères incontournables et correspondent à un contenu minimum, mais elles peuvent être complétées, en fonction des circonstances et des besoins locaux. BIBLIOGRAPHIE Auto Châssis International Université de Pitesti 1. Mandicescu G., Visarion B., Calitatea acces la succes, anul 7, nr.9, Sistemele de management calitate din domeniul auto un model de imbunatatire a afacerii pentru orice organizatie, (2006). 2. Juran J.,Godfrey B., Manualul calităţii. Ed. SRAC, Bucureşti, * * * Questionnaire d'audit de poste html, consulté le AUDIT DE POST DE LUCRU Toate tipurile de audit : de proces, proceduri sau de sistem de management al calitatii, constituie un intrument care contribuie la asigurarea unei bune repetabilitati si eficiente a proceselor noastre. Astfel, auditul de post de lucru asigura conformitatea postului de lucru. CUET si CA prin auditurile de post de lucru realizeaza o observare planificata pentru a verifica : cunostintele si respectarea standardelor (fisa de operatie standard, puncte cheie, mentenanta nivel 1, calitate, plan de urmarire ), conformitatea mijloaceleor specificate, realizarea corexta a operatiilor, respectul conditiilor de securitate, curatenia mediului, organizare si conformitatea postului de lucru. Datele obtinute prin acest audit de post sunt colectate pe teren, cel mai aproape de situatia reala si alimenteaza planul de progres al UET-ului.
6 Luminiţa Ştirbu et Nadia Belu Construcţii Annexe 1. Grille Audit de poste de travail [3] GRILLE AUDIT DE POSTE DE TRAVAIL Dep: UEL: Poste Ligne: Date: CUEL: CSR : OUI NOU Autocontrole: OUI NO No. CRITERES GENERALES OUI NO NP ECARTES ORGANISATION 5 La documentation existe en poste, elle a jour, complétée? 6 Les paramètres de processus sont connus? 7 Les paramètres sont respectés? L opérateur réalise les opérations de maintenance qui sont dans sa 8 responsabilité? 9 Les instructions de travail sont en poste? 10 Les instructions de travail sont respectées? La documentation de contrôle (produit / paramètres processus) 11 est respecté? 12 La fréquence de contrôle est respectée? 13 Les valeurs mesurées sont enregistrées correctement? 14 La réactivité est réalisée? Les zones d isolation de pièces non conforme existent et ils sont 15 bien identifiés? 16 Le traitement de non conformités est respecté? Les postes CSR sont identifiés (la sigle) et l opérateur connaît la 17 signification? 18 Le tableau de compétence existe? MOYENS 19 Les moyens de fabrication sont identifiés? 20 Les moyens de fabrication sont conformes avec la spécification? 21 Les emballages sont conformes, propres et dans un bon état? Les moyens de control sont identifiées et ils ont des étiquettes avec la 22 vérification métrologique a jour? 23 Il y a une pièce type? PERSONNEL 24 L opérateur a la formation nécessaire? 25 L opérateur respecte le mode de fabrication?? 26 L opérateur respecte le mode de control? 27 L opérateur est équipé avec l équipement de protection? ENVIRONNEMENT Le produit est bien identifié? Le produit est en conformité avec les spécifications? La fiche de conditionnement de produit il y a en poste? Cette fiche de conditionnement est respectée? PRODUIT Les conditions environnementales (l illumination, la température, l humidité) sont assurées? Le poste est propre, rangé? TOTAL Abreviations : NP= n'est pas spécifique au poste IC [ %] = { no de critères conformes (C) / no. total critères retenus } x 100 Appréciation : IC < 75% Non conforme 75% IC 95% Acceptable IC > 95% Conforme
Audit interne. Audit interne
Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils
Plus en détailMacroscope et l'analyse d'affaires. Dave Couture Architecte principal Solutions Macroscope
Macroscope et l'analyse d'affaires Dave Couture Architecte principal Solutions Macroscope Avis Avis d intention Ce document a pour but de partager des éléments de vision et d intentions de Fujitsu quant
Plus en détailMobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité
Mobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité Journées Innovation Recherche BSPPP Matthieu LAURAS (EMAC), Cdt Florent COURREGES (SDIS81) matthieu.lauras@mines-albi.fr, florent.courreges@sdis81.fr
Plus en détailProcess 4D Catalogue de formations 2011
Process 4D Catalogue de formations 2011 CMMi Lean Agilité ISO Process Six-Sigma ClearQuest Doors / RMF Qualité POUR DES FORMATIONS PARTICIPATIVES Mon expérience comme formateur (et comme stagiaire) depuis
Plus en détailL HOMME AU CŒUR DE L AMELIORATION
L HOMME AU CŒUR DE L AMELIORATION François PAPIN 1 er Juin 2012 1. Rappel des concepts 2. Stratégie d amélioration Qualité 3. Stratégie d implication des Members pour l amélioration de la Productivité
Plus en détailAUDITS INTERNES ET EXTERNES
AUDITS INTERNES ET EXTERNES Ingénieur-formateur Chargé de cours Université Nancy 1 et Université Strasbourg 1 SOMMAIRE Introduction et contexte 3 1. Généralités 4 1.1 Définitions 4 1.2 Audits qualité internes
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détailLes quatre chantiers :
Tweet Voir aussi : Les programmes de performance, La méthode Kaizen, Le Lean en 10 points. Le Lean est une démarche systématique dont l'objectif est d'éliminer toutes les sources de gaspillages dans les
Plus en détailANNEXE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME. Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5
ANNEE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5 RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES 1. Définition La mention complémentaire Maintenance
Plus en détailConditions de l'examen
Conditions de l'examen Gestion des selon la norme ISO/CEI 20000 Consultant/Manager (IS20CM.FR) Date de publication 01-07-2010 Date de parution 01-07-2010 Résumé Groupe cible Le qualification Consultant/Manager
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailAnnexe I b. Référentiel de certification
Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la
Plus en détailGouvernance IT : par où commencer? Hubert Lalanne DE, Chief Architect for Industries IBM Software France
Conférence IDC Gouvernance IT - Paris 6 Avril 2011 Gouvernance IT : par où commencer? Hubert Lalanne DE, Chief Architect for Industries IBM Software France 2011 IBM Corporation Quels sont les ingrédients
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations
ITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations Auteur: Fabian PIAU, Master 2 MIAGE, Nantes La Gestion des Configurations est un processus issu d ITIL version 2 qui aide au soutien du service («Service
Plus en détailCQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification Designation du métier ou des composantes du métier en lien
Plus en détailConference "Competencies and Capabilities in Education" Oradea 2009 IMPORTANŢA SOFTURILOR EDUCAŢIONALE ÎN PROCESUL DE PREDARE- ÎNVĂŢARE
IMPORTANŢA SOFTURILOR EDUCAŢIONALE ÎN PROCESUL DE PREDARE- ÎNVĂŢARE L IMPORTANCE DES LOGICIELS ÉDUCATIFS DANS LE PROCESSUS D ENSEIGNER ET D ÉTUDIER Carmen Bal 1 Abstract La pratique scolaire impose une
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailOpportunités s de mutualisation ITIL et ISO 27001
Opportunités s de mutualisation ITIL et ISO 27001 Club ISO 27001 Paris,19 avril 2007 Alexandre Fernandez-Toro Rappels sur l ISO l 27001 Norme précisant les exigences pour La
Plus en détailDATE DE IDENTIFICARE PROIECT :
Projet parteneriat : «Création de ressources pédagogiques interactives organisées en base de données, pour des apprentissages en soudage, du niveau praticien au niveau ingénieur» "Crearea de resurse pedagogice
Plus en détailIngénierie et gestion des connaissances
Master Web Intelligence ICM Option Informatique Ingénierie et gestion des connaissances Philippe BEAUNE Philippe.Beaune@emse.fr 18 novembre 2008 Passer en revue quelques idées fondatrices de l ingénierie
Plus en détailPROFILS METIERS (Semestre 9)
ENSEIGNEMENTS ACADEMIQUES DU DEPARTEMENT Management et Entrepreneuriat (2014-2015) PROFILS METIERS (Semestre 9) Ancré au cœur des connaissances transversales en sciences de gestion issues des deux premières
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailCAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES
REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES ACTIVITES : TACHES 1 - Prendre connaissance des documents, des consignes écrites et orales. 2 - Relever des cotes pour l'exécution
Plus en détailFiche conseil n 16 Audit
AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS
Plus en détailINTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING
INTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING p.1 Les principes de l entreprise lean 1) Spécifier la valeur pour le client 2) Ne transférer que des produits bons 3) Eliminer le gaspillage, par une remise en cause
Plus en détailPar : Abdeljalil Chaouki, Conseiller de maintenance industrielle
Par : Abdeljalil Chaouki, Conseiller de maintenance industrielle Institut Technologique de Maintenance industrielle Tél. : 418 962-9848 poste 222 Téléc. : 418 968-8205 abdeljalil.chaouki@itmi.ca www.itmi.ca
Plus en détailSUR LES DEFORMATIONS ELASTIQUES DE QUELQUE CONSTRUCTIONS DES OUTILS DE TOURNAGE PAR LA METHODE D ELEMENT FINI
U.P.B. Sci. Bull., Series D, Vol. 71, Iss. 4, 2009 ISSN 1454-2358 SUR LES DEFORMATIONS ELASTIQUES DE QUELQUE CONSTRUCTIONS DES OUTILS DE TOURNAGE PAR LA METHODE D ELEMENT FINI Ioan POPESCU 1, Ioana Mădălina
Plus en détailAide à une démarche qualité pour les entreprises du domaine de l aéronautique
QPO12 28/01/2012 Mémoire d intelligence méthodologique + Aide à une démarche qualité pour les entreprises du domaine de l aéronautique Encadrants : Jean-Pierre Caliste Gilbert Farges Groupe 4: Sheng XU
Plus en détailSwap: Utilisation et risques Approche de gestion pour les consommateurs
Paris 5 avril 2013 Swap: Utilisation et risques Approche de gestion pour les consommateurs Serge LESCOAT Associé INDAR ENERGY Conseiller en Investissements Financiers Membre du CNCIF Association agréé
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailEcrire pour le web. Rédiger : simple, concis, structuré. Faire (plus) court. L essentiel d abord. Alléger le style. Varier les types de contenus
Ecrire pour le web Un texte web de lecture aisée pour l internaute, l est aussi pour les moteurs de recherche ; l écriture peut ainsi être mise au service du référencement naturel. De façon complémentaire,
Plus en détailANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE
ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE JUIN 2015 BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY 2015 SERIAL QUI SUIS-JE? ESTELLE USER EXPERIENCE DESIGNER BUSINESS ANALYST BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY SERIAL.CH 2
Plus en détailUne approche du conseil-action qui vous garantit un retour sur investissement sur l ensemble de nos interventions.
«La culture du résultat et une approche pragmatique caractérisent notre démarche. «Votre réussite est au cœur de nos préoccupations» Si votre ambition est d améliorer durablement les performances et la
Plus en détailCe document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE
MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d
Plus en détailBELAC 1-04 Rev 1-2015
BELAC 1-04 Rev 1-2015 PROCEDURE ET MODALITES D APPLICATION POUR L ACCREDITATION DES ORGANISMES D EVALUATION DE LA CONFORMITE OPERANT AU DEPART DE PLUSIEURS SITES (ORGANISMES MULTI-SITES) Les versions des
Plus en détailBrève étude de la norme ISO/IEC 27003
RECOMMANDATIONS Brève étude de la norme ISO/IEC 27003 Décembre 2011 CLUB DE LA SECURITE DE L INFORMATION FRANÇAIS 11, rue de Mogador 75009 PARIS Tel : 01 53 25 08 80 Fax : 01 53 08 81 clusif@clusif.asso.fr
Plus en détailL EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue
L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION
Plus en détailLa gouvernance au cœur de la Transformation des systèmes d information Renault
La gouvernance au cœur de la Transformation des systèmes d information Renault DIRECTION DES TECHNOLOGIES & SYSTEMES D INFORMATION 18/06/05 Trigger performance drivers Make better, more transparent & accountable:
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailStage Ingénieur en développement logiciel/modélisation 3D
Ingénieur en développement logiciel/modélisation 3D Schlumberger recrute un(e) stagiaire ingénieur en modélisation 3D pour la plate-forme Petrel. Vous serez intégré(e) au sein d une équipe innovante, Petrel
Plus en détailUn portail de management des risques routiers
Un portail de management des risques routiers SOMMAIRE VERSION 1 - DECEMBRE 2009 Le risque routier, risque d entreprise... 2 La démarche de prévention supportée par Veofleet... 2 Le choix d un portail...
Plus en détailSystème de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise
CCI Moselle, le16 avril 2013 Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement Un atout pour l entreprise Intervention de Olivier Rousseaux, Auditeur QSE, Expert en organisation et management
Plus en détailPrésentation et références de la société
Contact : Grégory LECLERCQ g.leclercq@epixelic.com Consultant 01 48 93 4000 Présentation et références de la société Web is Art EPIXELIC - SARL au capital de 15 000 - SIREN 453836694 - RCS Créteil B 453
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailLa pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle
La pratique de l ITSM Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle Création : avril 2012 Mise à jour : avril 2012 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat
Plus en détailCEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT
CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT I. BASIC DATA Organization Legal Name: Conservation International Madagascar Project Title (as stated in the grant agreement): Knowledge Management: Information & Monitoring.
Plus en détailInterministerial crisis management and operational centre - COGIC
Interministerial crisis management and operational centre - COGIC Situation One Ops Center among many others. For protection civil in priority... Permanent information of the Ministry of the interior and
Plus en détailINTÉGRER L ERGONOMIE À LA CONDUITE D UN PROJET DE CERTIFICATION ISO 9001 1
INTÉGRER L ERGONOMIE À LA CONDUITE D UN PROJET DE CERTIFICATION ISO 9001 1 VIAU-GUAY ANABELLE, LAMONDE FERNANDE Département des relations industrielles, Université Laval, Sainte-Foy, Québec, Canada, G1K
Plus en détailPerdu dans la jungle des droits d accès?
Perdu dans la jungle des droits d accès? Laissez 8MAN vous guider. L augmentation du volume de données non structurées mène souvent à une perte de contrôle des entreprises : celles-ci ne maîtrisent plus
Plus en détailREMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION
REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE
Plus en détailPublic and European Business Law - Droit public et européen des affaires. Master I Law Level
Public and European Business Law - Droit public et européen des affaires Stéphane de La Rosa Master I Law Level Delivered Lectures Jean Monnet Chair «Droit de l Union Européenne et Mutations de l intégration
Plus en détailGuide d auto-évaluation
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation
Plus en détailI RENALA. Research and Education Network for Academic and Learning Activities. The Madagascar NREN
I RENALA Research and Education Network for Academic and Learning Activities The Madagascar NREN OBJECTIVES "Equipping the universities and research centers in a national network dedicated logically meets
Plus en détailQuels nouveaux outils pour accompagner le développement de nos professions?
CONFÉRENCE annuelle Paris -14 novembre 2013 Quels nouveaux outils pour accompagner le développement de nos professions? Atelier F Isabelle Dreysse (ADP) Guy Maillant (EDF) Noah Gottesman (Thomson Reuters)
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détail3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)
3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier
Plus en détailLE LEAN MANUFACTURING
LE LEAN MANUFACTURING LEAN signifie littéralement : «maigre», «sans gras». On le traduit parfois par «gestion sans gaspillage» ou par «au plus juste». LEAN est un qualificatif donné par une équipe de chercheurs
Plus en détailISO/CEI 27001:2005 ISMS -Information Security Management System
ISO/CEI 27001:2005 ISMS -Information Security Management System Maury-Infosec Conseils en sécurité de l'information ISO/CEI 27001:2005 ISMS La norme ISO/CEI 27001:2005 est issue de la norme BSI 7799-2:2002
Plus en détailProduction et orchestration de services digitaux, un nouvel enjeu pour les DSI
Production et orchestration de services digitaux, un nouvel enjeu pour les DSI Jean-François Teissier jfteissier@prosodie.com 06.32.34.56.02 Espace Grande Arche Paris La Défense Agenda de notre atelier
Plus en détailComprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE
Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,
Plus en détailLivret de suivi de la période de formation en milieu professionnel Certificat d Aptitude Professionnelle Réalisation en Chaudronnerie Industrielle
PROJET VERSION DU 20-03-2009 Livret de suivi de la période de formation en milieu professionnel Certificat d Aptitude Professionnelle Réalisation en Chaudronnerie Industrielle MAI 2009 DIRECTION GÉNÉRALE
Plus en détailInformation Security Management Lifecycle of the supplier s relation
1 Information Security Management Lifecycle of the supplier s relation VS Gery Mollers Conseiller en Sécurité du Système d Information 2 SUPPLIER GOVERNANCE Why? Undiable Partner for Infor. System Maintenance
Plus en détailCycle de formation Gestion de projet
Cycle de formation Gestion de projet Mener avec succès la conduite d un projet nécessite, pour son responsable, une expertise technique mais également un management efficace par la prise en compte globale
Plus en détailA N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21
A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives
Plus en détailName of document. Audit Report on the CORTE Quality System: confirmation of the certification (October 2011) Prepared by.
AUDIT REPORT ON THE CORTE QUALITY SYSTEM: CONFIRMATION OF THE CERTIFICATION (OCTOBER 2011) Name of document Prepared by Audit Report on the CORTE Quality System: confirmation of the certification (October
Plus en détailGouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager. Présentation du 22 mai 2014
Gouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager Présentation du 22 mai 2014 Gérer les actifs logiciels et leur répartition Maîtriser le durcissement des configurations Suivre l application des correctifs
Plus en détailTable des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7
Table des matières Intro SQF - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 BRC - Introduction et historique du référentiel - Différence version 5 et 6 Conclusion 2 Innovaltech
Plus en détailCLUB AM N 14. MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie
CLUB AM N 14 MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie Impacts MIF sur les systèmes d informations : Éléments de réponse grâce à un progiciel de gestion de portefeuilles Ordre du jour MIFID, un enjeu pour
Plus en détailFORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
1. Objectif : Comprendre les enjeux de la maîtrise de l hygiène dans votre entreprise «Agroalimentaire» (Fabrication, conditionnement, logistique, ) Savoir identifier les risques spécifiques à votre activité
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailCertification OHSAS 18001 Santé et sécurité au travail : exemple d'application dans une AASQA (AIRFOBEP)
Certification OHSAS 18001 Santé et sécurité au travail : exemple d'application dans une AASQA (AIRFOBEP) BouAlem MESBAH - AIRFOBEP? 3 Questions avant de commencer Du document unique au SMS Du SMS à l OHSAS
Plus en détailFormulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées
Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride Mission commerciale Du 29 septembre au 2 octobre 2015 Veuillez remplir un formulaire par participant Coordonnées
Plus en détailLa qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France)
La qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France) Jean-Luc Menet (ENSIAME-UVHC) Responsable Pédagogique Master QHSE Éric Winter (ENSIAME-UVHC) Responsable
Plus en détailCatalogue de formation 2014
Catalogue de formation 2014 ORGANISATION ET MOYENS EBPS Consulting propose des formations sur demande et sur calendrier. EBPS Consulting met à votre disposition une grande salle de formation équipée à
Plus en détailTHEORIE ET CAS PRATIQUES
THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise
Plus en détailThe new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you.
General information 120426_CCD_EN_FR Dear Partner, The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. To assist navigation
Plus en détailTheme Sensorial marketing, from stores to Internet : retailers and sensorial marketing integration in multichannel distribution management.
Les enseignes spécialisées et l intégration du marketing sensoriel dans l approche multicanale de leur distribution. Fanny NOYELLE Année Universitaire 2007 / 2008 ESUPCOM Lille Directeurs de mémoire :
Plus en détailIntegrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project
Integrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project L enseignement intégré de la musique: Un défi pour l enseignement et la formation des enseignants
Plus en détailForum AMOA ADN Ouest. Présentation du BABOK. 31 Mars 2013 Nadia Nadah
Forum AMOA ADN Ouest Présentation du BABOK 31 Mars 2013 Nadia Nadah Ce qu est le BABOK Ce que n est pas le BABOK Définition de la BA - BABOK version 2 Le processus de Business Analysis La structure du
Plus en détailMarie Curie Individual Fellowships. Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France
Marie Curie Individual Fellowships Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France Deux Soumissions de Projet Marie Curie International Incoming Fellowship Finance
Plus en détailMise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012
Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien 10 Septembre 2012 Les défis de la chaine de la logistique du transport maritime Danielle T.Y WONG Director Logistics Performance
Plus en détailManuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13
Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne
Plus en détailObjectif : Passer de l analyse métier et fonctionnelle à la définition des applications qui
Formation PARTIE 1 : ARCHITECTURE APPLICATIVE DUREE : 5 h Objectif : Passer de l analyse métier et fonctionnelle à la définition des applications qui automatisent les fonctions Définir une architecture
Plus en détailANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et
Plus en détailSecteur Techn que LEAN MANAGER
Secteur Techn que LEAN MANAGER 1 Situation de la formation Domaines Bilans de compétences Coaching Commerce Culture générale (ECG) Finances Formation de formateurs Français Horlogerie Informatique / TIC
Plus en détailNOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan
Document : Plan Qualité Spécifique du Projet Project Specific Quality Plan Référence Reference : QP-3130-Rev 01 Date Date : 12022008 Nombre de Pages Number of Pages : 6 Projet Project : JR 100 Rédacteur
Plus en détailFor the attention of all Delegations/ A l attention de toutes les Délégations
Postal address Adresse postale F-67075 Strasbourg Cedex France With the compliments of the Human Resources Directorate 17 September 2013 Avec les compliments de la Direction des Ressources Humaines DRH(2013)529
Plus en détailLA SÉCURITÉ A UN NOM
LA SÉCURITÉ A UN NOM UN RÉSEAU D AGENCES DE PROXIMITÉ 19 agences en Europe Surveillance ROISSY Prévention incendie REGENT SECURITY GENNEVILLIERS ST DENIS PARIS Télésurveillance LILLE COIGNIÈRES Sécurité
Plus en détailLean approach on production lines Oct 9, 2014
Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détail- Véritable projet de service -
Sylvain TROUVAIN Chargé de sécurité Groupe Hospitalier Public du Sud de l Oise Maintenance des équipements de sécurité - Véritable projet de service - Sylvain.trouvain@ch-creil.fr contact@asso-acses.fr
Plus en détailADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing.
LA MAÎTRISE D UN MÉTIER Depuis plus de 20 ans, ADHETEC construit sa réputation sur la qualité de ses films adhésifs. Par la maîtrise de notre métier, nous apportons à vos applications la force d une offre
Plus en détailGESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675
GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...
Plus en détailCOMMENT FAIRE UN PLAN DE COMMUNICATION. Présentation : Chrystel Skowron Responsable communication à Côte-d Or Tourisme
COMMENT FAIRE UN PLAN DE COMMUNICATION Présentation : Chrystel Skowron Responsable communication à Côte-d Or Tourisme Introduction Définition Globalement un plan de communication, c est : «Un outil qui
Plus en détailHow to Login to Career Page
How to Login to Career Page BASF Canada July 2013 To view this instruction manual in French, please scroll down to page 16 1 Job Postings How to Login/Create your Profile/Sign Up for Job Posting Notifications
Plus en détail