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1 Groupe régional «Urbanisme et développement durable» «Comment la participation citoyenne peutelle induire de véritables projets d urbanisme durable?» Relevé des principaux éléments de débat et apports des intervenants Réunion à Lyon Rhônalpénergie-Environnement le 19 novembre 2009 matin. Rencontre à la maison de la Confluence le 26 novembre 2009 après-midi. Cadrage : Papier recyclé Ce sont bien les initiatives privées mais aussi les comportements individuels qui feront infléchir la courbe des émissions de gaz à effet de serre. Rappelons que les consommations énergétiques et les rejets de CO2 imputables aux ménages pour le logement et pour les déplacements sont du même ordre de grandeur (source : Etude Lille Métropole). De la même manière les pratiques quotidiennes de chacun ont une répercussion sur la bonne santé des milieux naturels, sur la prise en compte ou non des facteurs de «risques», sur l adaptation aux changements, sur l insertion de certaines catégories de population, sur la coopération entre acteurs, en bref, sur la bonne santé de la société. Les ambitions et limites de certains dispositifs de politique de la ville, de gestion concertée des espaces ruraux, ou encore de type OPATB, ORU, FISAC ont un impact direct sur le résultat d opérations et de projets d urbanisme, d aménagement et de développement durable du territoire. De même, l accès à l information et aux aides financières, la coordination des politiques et la mise en place de guichets uniques, la part de maîtrise foncière publique, la diversité des interlocuteurs faisant face à la collectivité peuvent être des conditions de réussite des projets. Mais tous les dispositifs et projets reposent in fine sur le passage à l acte individuel. La généralisation des pratiques solidaires et respectueuses de l environnement, du recours à des travaux d éco construction, aux modes transports collectifs ou propres, l acceptation de facteurs de «risques» et la préparation à réagir en situation d urgence, passe donc par l adaptation, la diversification et l invention de dispositifs participatifs. Cette mobilisation et cette implication des acteurs dans les quartiers ou plus largement dans les territoires visent : - Une acceptation sociale du projet ; 10 rue des Archers Lyon France Tél. +33 (0) Fax +33 (0) raee@raee.org Certifié ISO 14001

2 - Son enrichissement : expertise d usage ; - Une transformation sociale pour le bien-être des citoyens dans leur quartier, le passage à l acte en terme d engagement environnemental, une adaptation des techniques et des pratiques qui permettront dans le temps de mieux calibrer les projets tant au niveau technique que budgétaire. La participation devient alors un outil mais aussi en elle-même un projet, nécessitant une ingénierie spécifique. Sans revenir sur cette ingénierie le groupe régional «urbanisme et développement durable» a cherché avec l aide des intervenants à répondre aux questions : - Pourquoi la participation des individus se révèle aujourd'hui indispensable au regard de bons nombres d'enjeux environnementaux et de développement durable? - Quelles ambitions porter à travers la mise en place d un dispositif participatif et dans quelles conditions peut-il amener à un véritable partage à la fois du diagnostic et du projet? - Les enjeux climatiques et environnementaux peuvent-ils être au cœur des préoccupations des habitants et des projets participatifs? - La participation est-elle un support au changement des comportements? FORME DU COMPTE-RENDU : Sans vouloir faire une transcription exhaustive des interventions et des débats, ce compterendu est rédigé de manière à faire ressortir un certain nombre de points clés et de questions auxquelles l élu, l urbaniste et l aménageur pourront chercher à répondre pour travailler au mieux à la mise en œuvre d un développement durable. Ces points ont pu être mis en débat lors de la séance de travail par l intervenant ou les participants. L intervention d habitants d Echirolles aux côtés de Max MANNIEZ Service Egalité et démocratie locale de la Ville d Echirolles a été annulée et les intervenants excusés. Ils devaient porter leur regard de citoyens sur les pratiques de participation aux projets urbains - retours d expérience d'habitants d'échirolles issus des groupes de travail Ateliers publiques urbains et Forum Changer les pratiques individuelles et collectives pour la résolution de problèmes environnementaux - Retours d'expériences sur la gestion concertée de l'eau et des milieux aquatiques par Jean-Baptiste CHEMERY, géographe et sociologue du cabinet Contrechamp Lyon. cf. présentation en annexe LE TRAVAIL CLASSIQUEMENT DEVELOPPE SUR LES REPRESENTATIONS ET LES PRATIQUES Dans le domaine de l eau, les travaux se font dans le cadre des Schémas d aménagement et de gestion des eaux et les contrats de bassin versant régis par la loi sur l eau de Ces outils ont permis de structurer des démarches locales de gestion concertée à l échelle de bassins versants. Ils visent la planification et la programmation d actions, l élaboration d accord et de règles locales. L organe de gouvernance (la Commission locale de l eau) réunit alors des acteurs de la société civile à travers leurs représentants (chambre d agriculture, industriels, ). Le travail sur les représentations et les pratiques renvoie, quant à lui : - à un important volet d'intervention en matière d'éducation à l'environnement ; 2

3 - à, ponctuellement, des actions d'animation accompagnant notamment les actions destinées aux acteurs socio-économiques, ou à des actions de formation d'agents des collectivités ; - à des actions de communication à forte tonalité institutionnelle ou très ponctuelles. On différenciera alors la gouvernance des acteurs qui reste parfois difficile à organiser, permettant de préparer la prise de décision et sa mise en œuvre, et l approche éducative qui devrait être plus différenciée. Sur l exemple de Romans on note que le travail avec les agents de la ville sur leurs pratiques dans le cadre de la gestion différenciée des espaces verts ne peut être efficient sans un travail avec les habitants sur leur représentation d une bonne gestion des espaces verts en ville. La ville a recours alors à un dispositif d accompagnement éducatif. Il semble alors indispensable de faire appel aux acteurs de l éducation populaire ou autres structures d animation. EMERGENCE DE NOUVEAUX ENJEUX ET NECESSITE DE REPENSER LE TRAVAIL AVEC L USAGER Les gros problèmes de qualité des eaux et des milieux ayant pu être traité, l origine des problèmes à traiter dans le domaine de l eau et des milieux aquatiques est désormais moins ciblée. Les travaux concernent des pollutions diffuses, l intervention en amont sur un territoire plus vaste, le partage de la ressource entre de multiples usagers (renforcé par les effets du changement climatique). Le travail avec l usager se complexifie car on doit compter maintenant avec l individu, sur un territoire élargi, sur des actes préventifs donc non forcément reliés à un effet directement visible. L expertise scientifique n est plus la seule source de connaissance. Les usages, les représentations et la réalité sociale du territoire sont alors mis en tension avec cette expertise. Le diagnostic s enrichit et se complexifie, les solutions et les responsabilités sont diverses. Il est alors nécessaire de faire preuve d une écoute attentive, d accepter que des logiques différentes puissent se côtoyer, de mettre en place de nouveaux dispositifs s appuyant sur une implication d acteurs moins fédérés que jusqu alors (ex. soutien à l organisation entre riverains ). Les approches sont alors : - comportementales c'est-à-dire avec l objectif de faire évoluer les pratiques des individus ; - culturelle pour donner du sens et travailler sur les représentations sociales ; - hybride ou constructiviste pour travailler de concert sur les représentations et les pratiques. L expert ou le professionnel pourrait se sentir remis en cause. Un participant à la réunion rappelle pourtant que l encadrement technique reste important pour transformer les usages et introduire des principes de développement durable. Les participants conviennent que la réussite du travail avec l usager repose sur : - le rapport de proximité avec ce dernier que la rencontre sur le terrain facilite ; - le temps consacré à cette écoute ; - le recours à d autres lieux que ceux institués pour la concertation (ex : conseil de quartier ) pour recueillir la parole des habitants (ex. A la Guillotière Lyon une association d habitants s est créée parallèlement au conseil de quartier pour préparer leur prise de parole). Enfin, l introduction de «nouvelles idées» ou des principes de développement durable, ne pourra pas se faire sans avoir laissé aux usagers le temps d exprimer leur réalité et leurs priorités. 2 - Croisement d enjeux environnementaux et d enjeux locaux pour le développement de méthodes participatives en milieu urbain par Nicolas TIXIER, enseignant-chercheur au laboratoire CRESSON et praticien, membre du collectif Bazar urbain ( Grenoble. cf. articles en annexe : «Atelier coupes urbaines» : et «Paroles données, paroles rendues» : et «Livret de Hem» : 3

4 LA PAROLE DE L HABITANT POUR QUOI FAIRE? Sur l exemple de la réhabilitation du quartier des Hauts Champs à Hem dans l agglomération lilloise, Nicolas Tixier montre comment la parole de l habitant peut venir interroger voire contrarier, a priori, le projet d expert. Le quartier des Hauts Champs est constitué d îlots de maisons en bandes appartenant principalement au bailleur social Logicil (Groupe CMH). En cœurs d îlot, plus de 400 garages ont été construits définissant des espace clos, minéraux et en cul-de-sac. Ces garages délabrés, indépendants des maisons, servent parfois à des activités illicites. Leur positionnement a contribué à développer un sentiment d insécurité, renforcé progressivement par la vacance des garages. L objectif de l étude pour laquelle le collectif BazarUrbain a été mandaté est d aboutir, à partir de la problématique des garages, à «un projet partagé» d évolution du quartier qui se traduit par un rapport sur le fonctionnement de chacun des îlots, des scénarii d organisation et un plan-masse. Trois principes de travail fondent la démarche : - Un principe d échelles : travailler le projet en articulant plusieurs échelles : objet - bâtiment îlot - quartier ville - Un principe interdisciplinaire : analyser et proposer des actions en équilibrant au mieux les dimensions sociale (usages), sensible (ambiances) et technique (construit) - Un principe d implication : mettre en place un processus qui implique et rend possible l expression et l écoute des trois maîtrises : maîtrise d ouvrage maîtrise d œuvre maîtrise d usage Trois modalités d action sont constituantes du projet : La place de cette parole se situe à la fois dans et hors du projet. Il y a les temps de : - La récitation : consiste à lire et faire dire le lieu pour poser les bases du projet (état des lieux urbain et social) - lecture urbaine (formes, règlements, usages), parcours collectifs spécifiques aux maîtres d ouvrage, maîtres d œuvre et maîtres d usage, visites-entretiens au domicile de chaque habitant. - L exposition, consiste à recueillir l histoire du lieu et la mémoire de ses habitants et de ses acteurs (collectivités locales, bailleur ) et se concrétise au printemps 2009 par un ouvrage qui contribue à valoriser ce quartier et ses habitants. - La conception consiste à produire des scénarii d aménagement des cœurs d îlots puis des plansmasses qui prennent à la fois en compte les modes de vie des riverains, la réalité urbaine et ses évolutions à toutes les échelles. Pour cette phase, l apport des habitants a été crucial pour déterminer finement les problématiques locales (comme par exemple le besoin d espaces de réserves) s appuyer sur les pratiques existantes (la récupération de l eau de pluie, ) et pointer les enjeux et les échelles des transformations nécessaires. En s appuyant sur la parole habitante, c est-à-dire en se basant sur les principes des habitants l expert cherche à optimiser le projet. Ce dernier peut, en effet, tout en confortant les habitants dans leurs pratiques servir d autres causes, par exemple environnementale (ex. la collecte des eaux de pluie peut-être vue sous l angle des économies financières pour des familles en difficulté ; l usage des garages peut-être plutôt celui d un abri de jardin ). Cette parole peut aussi orienter le projet pour optimiser les financements (ex. financement pour les espaces de réserves et non pour les économies d énergie). Après cette phase de diagnostic, la logique de projet reprendra son cours et la décision sera prise par le maitre d ouvrage selon ses contraintes et ses ambitions mais en connaissance des pratiques des habitants. Dans la majorité des cas, cette parole sert une logique de planification (de projet). Mais elle peut sur l exemple des collectivités Brésiliennes (ex : travail du CRESSON à Sao Paolo) déboucher plutôt sur des changements de pratiques dans une logique d actions directement portées par les habitants. COMMENT SAISIR LA PAROLE DE L HABITANT? Cette parole donnée sur le terrain est polyglotte, n a pas de lien direct avec la décision et doit être rendue. Mais comment la saisir? L exemple d Hem fait appel aux techniques d interview, de rencontre, de photographie 4

5 L exemple du travail sur les ilots de chaleur urbaine à Grenoble ( ) met en avant l utilisation de la coupe urbaine (Grands Boulevards / quais des berges de l Isère). En effet, le choix de l outil est important. Il doit permettre de recueillir le point de vue de catégories sociales différentes, de personnes ayant des rapports aux lieux différents, inspirés par des approches différentes (approche sensible, sociale, technique ). L outil doit permettre : - l expression des controverses - le développement durable est souvent question de controverses (densité, OGM ) - le débat élus, techniciens, habitants - d esquisser des logiques de projets globaux sans faire du «zoning» La coupe urbaine est un outil permettant de faciliter le repérage dans l espace et de lier des espaces très différents (la rue, l intérieur d un immeuble, un jardin ). Elle peut passer par des tronçons non linéaires de la ville et faire rencontrer le maximum de situations différentes. En notant les paroles exprimées directement sur la coupe l habitant interrogé sur le terrain pourra réagir à la fois sur ce que lui inspire les lieux traversés que ce qui a été précédemment exprimé. La question posée a aussi son importance et le travail sur les ambiances permet de confronter des approches environnementales (statiques, réglementaires ) et des approches sensibles (seuils, représentations, information ). Ainsi, le travail avec les habitants rencontrés dans la rue, dans des cafés, des jardins autour de la coupe urbaine de Grenoble a permis d élargir le diagnostic sur les ilots de chaleur a des questions de maitrise énergétique, lieux d accueils, sensations urbaines, puits de fraîcheurs, contraintes architecturales Les participants conviennent de l importance «d investir le terrain». Sans partir avec l ambition de changer la population, la multiplication d espaces de rencontre sur la question environnementale dans la rue (jardins partagés, compostage collectif ) peut sensibiliser et faire changer les pratiques. La concertation tout au long du projet Lyon Confluence par Benoit BARDET, en charge de la «participation des habitants» à la SPLA Lyon Confluence. cf. le site ANTICIPER LA PHASE DE CONCERTATION Le travail de concertation autour du projet Lyon Confluence s inscrit dans l esprit de la charte de la participation du grand Lyon. Depuis la création de Lyon Confluence, il y a 10 ans, la SPLA travaille de façon permanente sur la concertation autour du projet d aménagement du quartier de la Confluence. Depuis un an et demi, la concertation sur la deuxième phase a été engagée. L étude de faisabilité est en cours sur l éco rénovation du quartier ancien. Par la mise en œuvre d un plan de communication élaboré en amont de la concertation (ex : Maison de la Confluence et accueil par des personnes chargés de concertation, visites de terrains, micro trottoirs, vidéos, site internet ), la SPLA Lyon Confluence a fait connaître le projet et son intention de travailler en concertation avec les habitants. Toujours en amont de la concertation habitante, un travail concerté avec les professionnels (immobilier, santé, collectivités, SYTRAL ) a permis de préfigurer le projet. La fabrique de la ville dépasse l échelle du quartier, l aménageur a alors intérêt à largement informer et rencontrer, au-delà des limites du projet et sur des sujets connexes (ex : autoroute, contournement ouest lyonnais ). 5

6 ORGANISER LA CONCERTATION Un comité de suivi participatif regroupe 25 personnes représentant des élus, associations, conseils de quartier, union des commerçants, associations de propriétaires, droit du piéton, ville à vélo, MJC, bailleurs, association de riverains Un animateur/médiateur indépendant intervient en réunion de concertation. Ces réunions regroupent environ 80 personnes qui travaillent ensuite en ateliers thématiques (équipements publics, flux de circulation, sports et jeunes, ponts et passerelles ). Les gens sont écoutés, tout est filmé, les élus ont une posture d écoute et même si les idées ne sont pas toutes forcément retenues les principales valeurs ressorties de la concertation sont toujours inscrites dans le projet : ville «marchable», ville végétale et dense La concertation est une affaire de temps et d écoute. Autres ressources : - Pédagogie de la ville - Les mots des acteurs dans le projet urbain, Joseph Salamon, éditions du CERTU, La concertation dans les projets d'aménagement, Fabien BRESSAN, Robins des villes 2007 Articles rédigés pour VAD : - La concertation, cœur du développement durable, Rhônalpénergie-Environnement, éditions du CERTU, Observateurs de quartiers éléments pour une démarche, MEDD, La concertation en aménagement : éléments méthodologiques, CERTU, édictions du CERTU, SUITE DU TRAVAIL DU GROUPE REGIONAL : Cette réunion est la dernière réunion du groupe régional «urbanisme et développement durable». Les participants pourront s ils le souhaitent poursuivre les débats dans le cadre du Groupe de réflexion et d action sur l adaptation au changement climatique animé par RAEE. Ce groupe travaillera principalement sous la forme d ateliers en vue de la rédaction d un ouvrage guide à destination des élus sur cette question. Réunion préparée avec le concours : Aude Tallaron CRDSU, Béatrice Couturier - GRAND LYON, Damien Saulnier - AGENCE D'URBANISME DE LYON, Emilie Rousset - MAIRIE D ECHIROLLES, Emmanuel Boutefeu CERTU, Laetitia Zaghouane - Région Rhône-Alpes, Laurence Monnet - Rhônalpénergie-Environnement. Philippe Vic - MAIRIE D ECHIROLLES, Animation et compte-rendu : Laurence Monnet - Rhônalpénergie-Environnement. 6

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