Interopérabilité et partage des bases de données

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1 Lettre du Système d information sur la nature et les paysages du Languedoc- Roussillon ÉEMBRE 2014 n 7 La nature partagée Interopérabilité et partage des bases de données A B A B Standard ouvert L interopérabilité. Page 2. A B Le pôle thématique Insectes et arachnides. Page 4. Le registre de la compensation environnementale. Page 6. Étude hippocampes. Page 7. irection régionale de l environnement, de l aménagement et du logement

2 LETTRE U SYSTÈME INFORMATION SUR LA NATURE ET LES PAYSAGES U LANGUEO-ROUSSILLON - ÉEMBRE N 7 édito ette édition vient clore une série de 7 numéros exclusivement consacrés au Système d information sur la nature et les paysages (SINP) en Languedoc- Roussillon. epuis 3 ans, La nature partagée informe producteurs de données, techniciens, scientifiques, élus ou naturalistes amateurs sur la mise en place, en région, d une organisation collaborative fondée sur un principe : «mieux connaître pour mieux protéger». En réservant une large place aux témoignages des acteurs locaux et aux retours d expériences, notamment des têtes de réseau du SINP, ce média a contribué à vulgariser le fonctionnement, les objectifs et les principales productions de cet outil catalyseur et organisateur de la connaissance naturaliste, qui joue un rôle transversal dans les politiques et mesures en faveur de la biodiversité. Parallèlement à cette montée en puissance du SINP, les actions de l État pour la conservation de la biodiversité se sont diversifiées (espèces menacées et protégées, stratégie de création d aires protégées, schéma régional de cohérence écologique ). est pourquoi début 2015, votre lettre La nature partagée sera remplacée par une nouvelle A formule B consacrée à toutes les facettes des enjeux et des programmes de gestion et de conservation de la biodiversité en Languedoc-Roussillon, dont le SINP est une composante majeure. A B et ultime numéro, consacré notamment à l interopérabilité, détaille les dessous de cette notion qui sera centrale dans le développement du SINP ces prochaines années, en permettant de fluidifier les échanges de données entre adhérents du SINP. Notre ambition de vous informer pour mieux vous associer aux politiques de l État est intacte. Aussi, je vous souhaite une agréable lecture en vous donnant rendez-vous dès le printemps 2015 pour l éclosion de notre nouvelle publication. idier KRUGER irecteur régional de l Environnement, de l Aménagement et du Logement dossier Interopérabilité et partage des bases de données Avec l avènement du numérique et d Internet, la saisie et la diffusion des connaissances naturalistes n a jamais été aussi facile. Tellement facile que les outils se multiplient, chaque organisme ayant quasiment sa propre solution de saisie et d accès aux données. Ainsi, au delà des simples aspects de sauvegarde des données, le partage entre bases de données est devenu essentiel pour optimiser la somme des connaissances accumulées. e n est pourtant pas simple à réaliser étant donné l hétérogénéité des données aux niveaux syntaxique, structurel et sémantique... la tour de Babel en numérique? e la compatibilité à l interopérabilité La compatibilité A est la possibilité B A B pour deux systèmes de types différents A A B B Standard ouvert Standard ouvert Standard ouvert de communiquer ensemble. est une relation binaire concernant un ensemble fini de systèmes. Un niveau intermédiaire peut apparaître lorsqu un acteur devient dominant dans un domaine ; les autres acteurs font alors en sorte d être compatibles avec lui. L avantage est que les systèmes peuvent communiquer ensemble. L inconvénient est que l acteur dominant contrôle d une certaine manière cette possibilité. L interopérabilité offre la possibilité pour différents systèmes de communiquer entre eux sans dépendre d un acteur particulier. Elle repose sur la présence d un standard ouvert. La notion d interopérabilité Le concept dépasse largement les seules applications informatiques et revient, en quelque sorte, à trouver le système parfait où les informations sont transmissibles et éfinitions de l interopérabilité info compréhensibles par tous. Le rêve de l Esperanto ou du chargeur de portable compatible avec tous les modèles et toutes les marques... La volonté de l Europe de faciliter les échanges de données, à travers la directive INSPIRE de 2007, permet toutefois de s en rapprocher doucement. Ainsi, divers acteurs de l environnement se regroupent pour mettre en œuvre des systèmes favorisant l interopérabilité des données (cf. encart page suivante). omment rendre des bases de données interopérables? ivers principes déontologiques et techniques sous-tendent le développement de solutions interopérables. Le premier est évidemment la volonté des acteurs de partager leurs données et de concevoir, de fait, leurs bases dans ce sens. Le second est la mise en place de «standards d échange» permettant de faire le lien entre les différents systèmes connus. Le plus utilisé actuellement au niveau mondial est le standard «arwin ore» (w), également utilisé par le GBIF (cf. encart page suivante). Il a été développé par le Taxonomic atabases Working Group (TWG) et permet aux propriétaires de données de publier Selon la directive INSPIRE : La possibilité d une combinaison de séries de données géographiques et d une interaction des services, sans intervention manuelle répétitive, de telle façon que le résultat soit cohérent et la valeur ajoutée des séries et des services de données renforcée. Pour en savoir plus : Selon l AFUL (Association francophone des utilisateurs de logiciels libres) : capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d accès ou de mise en œuvre.

3 leurs informations dans un format qui pourra être compris et utilisé par tous. e standard est proposé sous la licence libre reative ommon 3.0 (cf. lettre Nature partagée n 6). Le format des données élémentaires d échange (EE), standard national développé dans le cadre du SINP, est également compatible avec le arwin ore. Une fois les standards mis en place, des outils libres comme l Integrated Publishing Toolkit (IPT) du GBIF (pour la publication) et le GBIF-France- Harvest (pour le moissonnage) permettent le partage effectif des données via Internet. Quels en sont les avantages? L interopérabilité permet d avoir accès à des millions de données provenant de milliers de jeux de données différents, ainsi qu aux métadonnées qui les accompagnent, et de pouvoir les réutiliser de façon quasi instantanée puisqu elles sont formatées de la même façon. ans le cadre du SINP l interopérabilité permet de s affranchir de manipulations fastidieuses d envoi de fichiers et de mise en correspondance des champs de différentes bases de structures différentes, d éviter les erreurs dues à la manipulation de différentes versions d une même base, de permettre l affichage de données de sources différentes en temps réel sur une interface cartographique... Avec le déploiement début 2015 de la plateforme régionale du SINP, il est prévu de mettre en œuvre ces solutions d interopérabilité pour permettre l échange de données avec les plateformes existantes des têtes de réseau du SINP LR. Les outils libres de connexion et de partage des données permettent également de publier des articles de description des jeux de données (les ata Papers) qui ont une valeur équivalente à un article scientifique. Plus d infos : Le GBIF, pour des données libres, gratuites et universelles onsortium international fondé à l initiative de l OE, le GBIF (global biodiversity information facility) est un programme qui tente de rassembler au niveau mondial toutes les données relatives à la biodiversité et de les mettre en commun à la disposition des chercheurs et du grand public. Les collections sont également prises en compte. et accès global et libre aux données a pour objectif d améliorer la connaissance, l étude et l utilisation de la biodiversité. Pour ce faire, le GBIF offre un moteur de recherche portant sur des bases de données partenaires connectées de manière standardisée. Les possesseurs de données peuvent connecter tout ou partie de leurs ressources au GBIF, afin de les rendre visibles et interopérables. Ils restent toutefois maîtres de leurs données, qu ils continuent à héberger et à utiliser. En août 2014, le GBIF mettait déjà en ligne à disposition du public plus de 500 millions de données, spécimens de collections ou observations dans la nature, et ce nombre augmente constamment. ans ce cadre, le SINP a mis en place des règles sémantiques d échange de données afin de pouvoir être interopérable avec le GBIF (voir liens en fin d article). Le point nodal, ou agence française, financé par le ministère de la Recherche et intégré au Muséum national d Histoire naturelle, a la double tâche de représenter le GBIF en France, en mettant à disposition des communautés scientifiques et politiques françaises les outils et les services créés par le GBIF, et de représenter la France dans le réseau GBIF, en s assurant qu elle y soit visible et écoutée. Le GBIF France a pour vocation de rassembler toutes les données hébergées en France, que celles-ci concernent la biodiversité du territoire français ou du reste du monde. À l automne 2014, plus de 17 millions de données partagées par des fournisseurs français étaient visibles et accessibles sur le portail international. Plus de 500 millions de données mises à la disposition du public Les participants au GBIF collaborent avec un secrétariat basé à openhague (anemark) pour faciliter les flux de données, en garantir la qualité et enfin permettre leur usage à des fins scientifiques ou décisionnelles. L expertise et les outils sont partagés via : des groupes, des stratégies et des plans d actions régionaux ; des ateliers de formation et des ressources d apprentissage en ligne ; des collaborations et des programmes de mentorat entre participants ; des programmes de renforcement des capacités dans les pays en développement. Le GBIF collabore également avec de nombreuses autres initiatives internationales et régionales promouvant l accès aux données, les informations et les connaissances sur la biodiversité. Un partenariat a par exemple été développé avec Tela Botanica à plusieurs niveaux : connexion des données (carnet en ligne, phytochorologie, cartographies de plusieurs espèces végétales...) et métadonnées sur plusieurs centaines d institutions, recensement des herbiers de France dans le cadre du projet e-reolnat, organisation de formations ou d interventions sur les outils du GBIF et la qualité des données. Sophie Pamerlon Ingénieur données biodiversité pamerlon@gbif.fr Plus d infos sur :

4 LETTRE U SYSTÈME INFORMATION SUR LA NATURE ET LES PAYSAGES U LANGUEO-ROUSSILLON - ÉEMBRE N 7 pôle thématique Le pôle thématique Insectes et arachnides Les insectes représentent à eux seuls environ deux tiers des espèces animales connues. En ajoutant plusieurs centaines d espèces d arachnides (araignées, scorpions...) qui peuplent le Languedoc-Roussillon, voilà un pôle qui a fort à faire... Historiquement, les libellules et papillons sont gérés par un autre pôle nommé «Papillons de jour et libellules», mais début 2015 les deux pôles devraient fusionner. Histoire du pôle epuis 2010, l Office pour les insectes et leur environnement (Opie) et le Laboratoire national d entomologie forestière de l Office national des forêts (LNEF-ONF) assurent la coordination du pôle Autres Insectes et arachnides du SINP en région Languedoc-Roussillon. elle-ci s est traduite par la création et la mise en place de ce pôle à l échelle régionale. ette première phase, finalisée en 2011, a consisté en : l animation du pôle (état des lieux de l existant : acteurs, pratiques, méthodes, outils ) ; la création d un système de bases de données spatialisées (catalogage des métadonnées, saisie et importation de données) ; l expertise entomologique en appui aux missions des services de l État (REAL), comme l actualisation des espèces déterminantes ZNIEFF. La mise en place du pôle s est poursuivie jusqu en 2014 avec la formalisation de sa gouvernance et de son organisation (installation des comités de pilotage et de validation, conventions, ouverture d un portail régional ). Fonctionnement La gouvernance du pôle est assurée par un comité de pilotage (opil) composé des structures coordinatrices (Opie et LNEF-ONF) et des financeurs (Europe, État, conseils M. Gaymard info généraux, privés ). Le opil valide les grandes orientations proposées par les différents conseils scientifiques et techniques (ST), les structures coordinatrices assurant le relais entre les ST et le opil. Le opil examine la cohérence des moyens financiers alloués et contrôle leur bonne utilisation. Enfin, il vérifie que les projets répondent aux attentes exprimées vis à vis du pôle thématique du SINP et qu ils s inscrivent plus largement dans une mise en cohérence des politiques publiques environnementales. Les missions générales des pôles thématiques se déclinent selon six axes : 1. Animer le pôle thématique. 2. Renforcer les capacités en matière de collecte, de gestion et d analyse des données. 3. Mettre en place, administrer et gérer le portail d accès aux données de la thématique ou la base de données de la thématique conformément au protocole SINP. 4. Rendre compte annuellement au comité régional de suivi du SINP et au SRPN. 5. Assurer, avec l ensemble des acteurs, une mission d expertise des services de l État (via la REAL). 6. ontribuer, à terme, au projet d observatoire régional de la biodiversité (ORB) Formation de terrain sur les insectes Selon le ou les groupes taxonomiques traités, les orientations éthiques et techniques des projets sont réfléchies en amont et validées par les ST. eux-ci veillent également au respect de la déontologie et à la bonne conduite des projets. Ils sont, par exemple, les responsables moraux des conditions de diffusion des données. Les ST sont composés d une part de personnes morales que sont les structures coordinatrices et les opérateurs locaux, et d autre part de personnes physiques reconnues comme expertes sur les groupes taxonomiques considérés. Une fois par an, les structures coordinatrices du pôle rendent compte au comité de suivi régional du SINP et au SRPN de l état d avancement du pôle. onnées et sources Les données sont toutes rattachées au référentiel taxonomique de l INPN : TAXREF. ependant, au regard des différentes erreurs de nomenclature et du retard des mises à jour

5 B. Louboutin du référentiel, chaque groupe taxonomique s appuie également sur d autres référentiels reconnus par les différentes communautés d entomologistes, tels que le référentiel de l Ascéte sur les orthoptères et celui de l Opie Benthos sur les insectes aquatiques. La base est alimentée par plusieurs sources de données, la première étant les inventaires réalisés dans le cadre des activités d expertises de l Opie et de l ONF. es zones à prospecter en priorité ont été définies en fonction des enjeux importants qu elles représentent ou pour leur situation de «sous-prospection». En 2012 et 2013, 678 sites ont ainsi fait l objet d inventaires au regard de différents groupes d insectes ou d arachnides. En parallèle aux données saisies dans les secteurs jugés prioritaires, les données issues de la bibliographie et de structures partenaires (Office national des forêts, associations naturalistes, bureaux d études) sont également importées. En novembre 2014, la base comprend un total de données. Fin 2013, les différentes bases de données insectes de l Opie ont été importées sous SI- Opie. SI-Opie est une interface de gestion copiée sur celle développée par le EN-LR (SIEN) et utilisée pour l Atlas des papillons de jour et libellules. L interopérabilité avec les dispositifs existants, la possibilité de saisir les données sur n importe quel ordinateur connecté à Internet Le riquet verdelet avec une interface cartographique facile d accès, le caractère gratuit et opensource de l application ont été des critères qui ont conditionné le choix de l outil SI-Opie. Le système dispose d une application de saisie en interne, mais l ouverture à la saisie de tous les taxons d insectes et d arachnides est prévue à terme sur l outil de saisie de l atlas des papillons et des libellules, élargissant ainsi cet outil à l ensemble des insectes, mais aussi aux arachnides. Un circuit de validation des données (depuis la saisie de la donnée élémentaire jusqu à la mise en ligne dans l outil de diffusion) pour les différents types d acquisition (saisie en ligne, import) est en cours de constitution. La validation est réalisée par les spécialistes des groupes en question. iffusion des données Le portail SINP Insectes et arachnides présente le pôle, ses différentes actions et propose les liens vers les dispositifs de visualisation des données sous armen. haque observation est visualisable pour le grand public sur les portails cartographiques de l atlas et de armen, mais toutes les informations ne sont pas disponibles. Seuls les champs de localisation, de date, de taxon et d observateur sont systématiquement disponibles. onsultation des données insectes sous armen Formations / initiations À l aide de différents partenariats, l Opie dispense des formations/initiations sur les insectes pour le grand public ou pour un public plus ciblé. Il peut s agir de cours théoriques et/ou de travaux pratiques en salle et/ou de cours sur le terrain. urant ces journées, toutes les données acquises sur le terrain sont saisies dans la base. Perspectives pour 2015 L Opie participe également au pilotage du pôle Papillons de jour et libellules, pôle complémentaire du précédent en collaboration avec le onservatoire d espaces naturels du Languedoc-Roussillon et les Écologistes de l Euzière. En 2015, la fusion des deux pôles est programmée. ans ce cadre, il est prévu de développer une interface de visualisation par espèce et par groupe taxonomique pour tous les taxons d insectes et d arachnides, à l instar de ce qui se fait déjà pour les papillons et les libellules. Stéphane Jaulin Opie hargé de mission Entomologiste, délégué Languedoc- Roussillon : stephane.jaulin@insectes.org Plus d infos sur 5

6 LETTRE U SYSTÈME INFORMATION SUR LA NATURE ET LES PAYSAGES U LANGUEO-ROUSSILLON - ÉEMBRE N 7 échos Le registre de la compensation environnementale En quelques jours, un habitat datant de dizaines, centaines, voire milliers d années d évolution peut être remplacé par un centre commercial ou une autoroute. e type d aménagement fait désormais l objet de mesures compensatoires réglementairement prescrites visant à créer une richesse naturelle compensant celle détruite dans un autre lieu. Toutefois, cette compensation ne peut se faire qu au rythme de la nature, c est-à-dire avec une projection à long terme. ès lors, comment conserver une trace de ces mesures, en avoir une vision globale et s assurer que les engagements pris seront suivis dans le temps, bien après la finalisation des chantiers? réation de la base est pour répondre à ces interrogations que la REAL a lancé en septembre 2013 le projet d une base de données régionale géolocalisée recensant l ensemble des mesures compensatoires en faveur de la biodiversité. En effet, même s il existe déjà un certain nombre d outils de suivi, aucun ne permet à ce jour un stockage effectif des contours des mesures compensatoires et de leur description, ni leur mise à disposition du public. Une base de donnée a donc été développée dans un premier temps par la REAL à partir de logiciels libres. La seconde étape du travail, achevée en octobre 2014, a consisté à saisir l ensemble des données déjà connues à partir de 176 arrêtés préfectoraux transmis par les différents services instructeurs. Le registre de la compensation environnementale contient désormais les informations suivantes : la description rapide du projet prévoyant les mesures ; la description des espèces et zones humides impactées ; les actes administratifs du projet ; la description des mesures compensatoires, d accompagnement et de suivi ; le contour des parcelles utilisées pour la compensation ; ette base doit permettre le stockage des informations générales concernant les mesures compensatoires prescrites en Languedoc- La base de données en quelques chiffres : Roussillon par les préfets en charge de la réglementation environnementale. Elle ne se substitue pas aux programmes de contrôle, mais permettra de faciliter le suivi dans le temps des mesures compensatoires. Par ailleurs, elle contribuera à la mise en œuvre des mesures compensatoires sans risque de redondance, superposition ou substitution au fil du temps. éploiement et mise en routine epuis le mois de décembre 2014, les informations contenues dans la base sont 83 projets prévoyant des mesures compensatoires ; 97 arrêtés (50 dérogations espèces protégées, 22 loi sur l eau, 24 défrichements et 1 IPE) ; 234 taxons impactés ; 37 zones humides impactées ; 242 mesures compensatoires dont 62 % géolocalisées ; 952 parcelles compensatoires représentant 28 km² (dont 22 km 2 à contours définitifs)*. * ertains contours sont encore imprécis. Les surfaces doivent donc être interprétées avec précaution. REAL LR, Bing Aerial arte détaillant les parcelles compensatoires connues par projet sur le secteur du golfe d Aigues-Mortes diffusées sur le site internet de la REAL sous la forme de fiches de synthèse par projet et de couches SIG librement téléchargeables. es informations seront complétées et tenues à jour dans la base au fil de l eau par les services instructeurs, et régulièrement exportées sur Internet. e travail a été réalisé dans le cadre du pôle Porter-à-connaissance du SINP LR. Il s inscrit plus largement dans le cadre de la mise en place d une base à l échelon national, dont le développement est prévu pour l été En parallèle, le entre d écologie fonctionnelle et évolutive (EFE-NRS) poursuit sa réflexion sur la mise en place d indicateurs permettant d évaluer les mesures compensatoires, pour une éventuelle intégration ultérieure à la base. Valentin Le Tellier hargé de mission «programmes de connaissance de la biodiversité» REAL LR valentin.le-tellier@developpement-durable.gouv.fr Plus d infos sur

7 SINP mer Les hippocampes de l Espiguette Identifiées grâce à des données issues de sciences participatives, des populations d hippocampes à museau court (Hippocampus hippocampus) font l objet de suivis réguliers, grâce à un partenariat entre l Agence des aires marines protégées et l association Peau-Bleue. epuis 2005, l association Peau-Bleue conjugue plongées de loisir et collecte d informations scientifiques. En effet, grâce à des protocoles standardisés adaptés au «niveau» d expertise de chaque plongeur, un réseau d observateurs dédiés à l étude des Syngnathidés (hippocampes et poissons-aiguilles) se constitue dans la France entière. En Languedoc-Roussillon, cette initiative s est développée à l échelle de l étang de Thau, où une population d hippocampes mouchetés est connue de longue date. ette «science participative» s est peu à peu exportée en mer, où certaines observations opportunistes d une autre espèce, l hippocampe à museau court (Hippocampus hippocampus), étaient réalisées. Animaux emblématiques, les hippocampes sont des espèces potentiellement sensibles aux aménagements et activités humaines, et le besoin de les préserver est attesté dans un certain nombre de conventions internationales dont la France est signataire, même s ils ne font pas l objet d une protection nationale. T. Roger En 2012, pour la première fois, des observations d hippocampes à museau court ont été enregistrées de manière récurrente (travail partenarial entre l association Peau-Bleue, le Seaquarium du Graudu-Roi et l association Stellaris) sur la face interne de la flèche de l Espiguette, au sein du site Natura 2000 «Bancs sableux de l Espiguette». e Plage et phare de l Espiguette banc de sable héberge une importante population d hippocampes à museau court, qui semble y être résidente. est grâce au partenariat avec l Agence des aires marines protégées que des plongées mensuelles se sont déroulées de mai à octobre Ainsi, ce suivi s est attaché à localiser les secteurs de plus forte densité de population, et à décrire et quantifier les caractéristiques du milieu sur le pourtour du banc de sable. Le partenariat à l échelle nationale entre l Agence des aires marines protégées et Peau-Bleue a abouti dès 2012 au versement des informations collectées par l association sur les Syngnathidés à l Inventaire national du patrimoine naturel. Il en sera de même pour ces nouveaux suivis, répertoriés également au SINP. es données permettent notamment d enrichir la connaissance et l évaluation des impacts des programmes d extraction et de rechargement de sable des plages en Languedoc- Roussillon. Tiphaine Rivière (AAMP) tiphaine.riviere@aires-marines.fr P. Louisy / Peau-bleue Hippocampe moucheté P. Louisy / Peau-bleue Hippocampe à museau court 7

8 LETTRE U SYSTÈME INFORMATION SUR LA NATURE ET LES PAYSAGES U LANGUEO-ROUSSILLON - ÉEMBRE N 7 actus web Inventaire du patrimoine géologique Après une validation régionale en 2013, la validation nationale de l inventaire du patrimoine géologique a été finalisée le 24 novembre pour les 5 départements du Languedoc-Roussillon par une commission nationale incluant le MNHN. Les fiches et contours à jour sont téléchargeables sur le site de la REAL. Le porter-àconnaissance réglementaire sera réalisé début 2015 sur cette base. brèves La Perche commune (Perca fluviatilis), bientôt dans les données du SINP. divers Mise en place d une plate-forme régionale SINP Un outil permettant la saisie de données naturalistes et jouant le rôle de plate-forme régionale est en cours de développement au niveau national (nom temporaire : «OGAM»). Le chantier a pris du retard, mais la REAL s est portée candidate pour le tester à partir de janvier et outil a vocation à faciliter la saisie et la consultation sur une même interface de données portant sur l ensemble des groupes taxonomiques de faune et de flore. T. Roger Et les données piscicoles? Actuellement, les données des pêches électriques réalisées par l ONEMA depuis 1980 sont diffusées sur le portail cartographique de la REAL. Afin d enrichir ces données, un travail de compilation des données existantes a été lancé en mai par la Fédération de pêche des Pyrénées-Orientales afin d apporter des éléments méthodologiques et une première contribution au SINP, qui ne dispose pas encore d un pôle thématique Poissons. le SINP en chiffres Nombre de données diffusées pour la faune et la flore en Languedoc-Roussillon prochaine lettre En 2015, votre nouvelle lettre d information sur la biodiversité! Flore : Herbiers : 590 Oiseaux : Reptiles : Amphibiens : Poissons : Odonates Libellules : Papillons de de jour : oléoptères : Source : REAL LR Novembre 2014 O. Larrey REAL : V. Le Tellier ( ) et E. Bruno ( ). Pôles thématiques SINP : Flore et habitats naturels : J. Molina et F. Andrieu (BNME) : Herbiers : L. Boulangeat (Tela Botanica) : / V. Bourgade (Université Montpellier 2) : Géologie : E. Le Goff (BRGM) : / V. Le Tellier (REAL) : Amphibiens-reptiles : M. heylan (NRS-EPHE) : marc.cheylan@cefe.cnrs.fr. Oiseaux : F. Morlon (Meridionalis) : Mammifères : B. arré (GLR - chiroptères) : blandine.carre@asso-gclr.fr / R. Gallais (ONFS grands mammifères) : / F. Poitevin (NRS-EPHE micromammifères) : francoise.poitevin@cefe.cnrs.fr. Patrimoine cynégétique : L. ourbois (FR) : Mollusques : V. Prié (aracol) : prie.vincent@gmail.com. Odonates et papillons de jour :. Sautet (Écologistes de l Euzière) : / A. Rondeau (EN LR) : / S. Jaulin (OPIE) : Autres Insectes et arachnides : S. Jaulin (Opie) : / T. Noblecourt (ONF) : Mer façade méd. : B. Guichard (AAMP) : Paysages : M. Saint- Sardos (REAL) : Porter-à-connaissance réglementaire : E. Bruno (REAL) : Adresses de sites internet Vous souhaitez proposer un nom pour ce nouveau support, rédiger un article? N hésitez pas, contactez-nous! Éditeur : REAL Languedoc-Roussillon. irecteur de la publication :. Kruger. oordinateur REAL : V. Le Tellier. omité de rédaction : représentants de la REAL. Frise à l aquarelle : N. Jarentowski (n.jarentowski@laposte.net). Textes et mise en page : M. Briola / hargés de mission REAL. Impression : Imp act. Tirage : exemplaires. iffusion : Routage PEF/ Photos de couverture : M. Briola, M. Gaymard (OPIE)

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