LES CONDUITES ADDICTIVES
|
|
- Josiane Corbeil
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EOM N.I LES CONDUITES ADDICTIVES I. introduction : - addiction : assuétude, asservissement, dépendance, toxicomanie. - Problème majeur de la santé publique. - Mortalité et morbidité élevées. pertes de vies + pertes économiques - Le développement des drogues a explosé depuis les années Les polydépendances sont la règle. - L âge de début de la toxicomanie se situe entre 17 et 23 ans. - La population la plus atteinte est représentée par les hommes de 20 à 25 ans. - Le sex-ratio = 3H/1F - Les «toxicomanies» sans drogues désignent des comportements compulsifs tels que le jeu pathologique (ex. au casino, loteries ), la kleptomanie (càd voler de façon compulsive, sans avoir besoin de le faire), la boulimie, la trichotillomanie (s arracher les cheveux) II. modes de consommation des drogues : 1. consommation occasionnelle : - prise de drogue occasionnelle, irrégulière, voire unique. (comprend le tabac aussi, qui donne d ailleurs le maximum de dégâts) - Une toxicomanie peut survenir dans 5 à 10 % des cas. 2. abus de drogues : - poursuite de consommation malgré les complications, sans atteindre le niveau de dépendance. - Utilisation répétée d une substance qui peut être responsable de : o Incapacité à remplir des obligations majeures, au travail, à l école ou à la maison. o Problèmes judiciaires. o Problèmes relationnels. o Prise de risques (conduite en état d ivresse, risque d arrestation lors de l achat des drogues ) 3. dépendance : - mode d utilisation inadéquat d une substance conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance importante
2 - Niveau le plus élevé de dépendance à une drogue. - Appétence aux produits qui envahit l ensemble de la vie psychologique et sociale. - Il y a dépendance physique en cas de tolérance ou de syndrome de sevrage - La tolérance : désigne le besoin de quantités plus importantes de la substance pour obtenir l effet désiré. - Sevrage : développement d un syndrome spécifique d une substance dû à l arrêt de l utilisation prolongée et massive de cette substance. III. classification des drogues (classification schématique, selon les effets qui peuvent co-exister pour une substance) - stimulants : o amphétamines, MDMA ou «ecstasy» (dérivé) o cocaïne et dérivés (crack) o caféine o nicotine - sédatifs : o opiacés : opium, morphine, héroïne, codéine, DORSAL*, PALFIUM* o benzodiazépines o barbituriques - hallucinogènes : o cannabis o solvants organiques : colles, éther, trichloroéthylène o LSD IV. substances psychoactives et leurs spécificités : 1. alcool : - intoxication aigue ivresse pathologique - ivresse pathologique : o ivresse excito-motrice avec accès paroxystiques de fureur o ivresses délirantes et hallucinatoires o ivresse anxio-dépressives avec risque de suicide - le syndrome de sevrage donne une insomnie, sueurs, tremblements, cauchemars, avec risque d une delirium tremens complications somatiques : peuvent toucher tous les appareils - les femmes sont plus vulnérables
3 - atteintes hépato-digestives et neuropsychiatriques (périphérique ou centrale, celle-ci peut être à l origine d une démence, de troubles de la mémoire (syndrome de Korsakoff) ) 2. cannabis : - principe actif : delta 9 tétrahydro-cannabiol (THC) Ivresse cannabique : - euphorie et modifications sensorielles - perturbations cognitives (mémoire à court terme) - coordination motrice perturbée - signes somatiques généraux : hyperhémie conjonctivale et mydriase, sechresse buccale - à doses élevées : illusions et hallucinations - cpc psychiatriques : syndrome amotivationnel et dépersonnalisation - rôle étiologique sans certains troubles : schizophrénie? - risque de cancer du poumon > au tabac 3. opiacés : (opion = ) - morphine, codéine et héroïne sont issus de l opium. - Absorbés par voie intraveineuse, respiratoire ou nasale. o euphorie, sentiment de plaisir physique et psychique suivi d une rêverie calme. - Effets somatiques : bradycardie, hypotension, myosis, constipation, séchresse buccale, analgésie - La dépendance de l héroïne est rapide avec une dépendance physqie sévère. - Cpc : o surdosage (à l occasion d un changement de dealer qui a l habitude de mélanger la drogue avec d autres substances) peut conduire au décès. o Syndrome de sevrage : anxiété, insomnie, irritabilité, douleurs abdominales, douleurs dorso-lombaires, rhinorrhées, diarrhée o Complications virales : VIH, hépatite C et B. o Abcès aux points d injection, septicémie, endocardite, encéphalite, abcès cérébral 4. cocaïne : - alcaloïde du coca - voie nasale ou intraveineuse
4 - sulfate de cocaïne = crack (fumé) : plus puissant est moins couteux. - Etat d excitation psychique, ivresse euphorique. - Tachycardie, hypertension artérielle, mydriase, sueurs - Complications : cardiovasculaires (infarctus du myocarde ), neurologiques (hémorragies cérébro-méningées ) psychiatriques (délires, troubles de l humeur ) 5. benzodiazépines : (ex : RIVOTRIL : clonazepam) - effets euphorisants - ivresse benzodiazépinique : euphorie, subconfusion, incoordination motrice et verbale, troubles de l attention et de la mémoire. - Altération du jugement + désihnibition actes médico-légaux - Effets majorés par l alcool - Syndrome de sevrage : risque de confusion mentale et de crises convulsives solvants et colles : - aisément accessibles au public - colles, diluants de peinture, produits de démaquillage - modes d utilisation : sniffés - après «sniffing» effet immédiat et intense, manifestations ébrieuses et d ivresse euphorique avec sensation de bien être, désinhibition psychomotrice. - Surdosage confusion coma - Cpc : OAP lésionnel, cytolyse hépatique intense, encéphalopathie irréversible, névrite, troubles hépatiques, rénaux et sanguins 7. amphétamines et dérivés (acstasy): - facilite les rapports sociaux, désinhibition sexuelle. - Après injection «flash» (exaltation d allure maniaque) - La descente (après métabolisme de la substance) est extrêmement pénible (abattement et tristesse) - Fortes doses illusion, hallucinations - Risque neurotoxique et d hypertension maligne. V. évolution : - la dépendance est un processus évolutif - s installe souvent à la post-adolescence avec une faible motivation face à l abstinence. - Les demandes de soins sont tardives. - La comorbidité avec un autre trouble psychiatrique aggrave le pronostic - Rechutes fréquentes - Complications somatiques, psychiatriques et sociales
5 VI. cpc psychiatriques des drogues : - syndrome confusionnel - troubles délirants induits - états dépressifs - troubles anxieux et troubles du sommeil - syndrome amotivationnel : déficit de l activité sociale et du fonctionnement intellectuel avec indifférence affective - perturbations cognitives (démences avec alcool et solvants) VII. comorbidité psychiatrique (toxicomanie : cause ou conséquence?) - schizophrénie : 90% tabac, plus de 30% cannabis. - 5 à 10 % des polytoxicomanes ont un trouble schizophrénique. - 60% un trouble de l humeur - Les toxiques facilitent les passages à l acte, tentatives de suicide, actes criminels ou sexuels VIII. facteurs étiologiques : - pas de causalité unique - facteurs socio culturels : déterminants dans l expérimentation et l abus - facteurs psychologiques et biologiques : déterminants dans la dépendance - facteurs biologiques : o puissance intrinsèque de chaque drogue o les facteurs génétiques contribuent pour 50% aux dépendance à l alcool, à l héroïne et à la cocaïne. - Facteurs psychologiques : pas de personnalité spécifique o Les personnalités pathologiques les plus souvent rencontrées sont les personnalités antisociales et borderlines pour les drogues, personnalités anxieuses, dépendantes et paranoïaque à l alcool. - Facteurs sociaux : accès aux toxiques, influence des pairs, consommation de toxiques par les parents, la qualité des relations familliales - L adolescence est un moment de particulière vulnérabilité
6 IX. prise en charge : - prise en charge multidisciplinaire et au long cours - dépistage : o diagnostic clinique : interrogatoire + stigmates physiques o examens complémentaires - hospitalisation en urgence en cas de cpc médicale ou psychiatrique - l hospitalisation de sevrage doit être préparée - éviter les prescriptions symptomatiques de psychotropes (malgré l insistance fréquente des sujets) - TRT médicamenteux : o Alcool BZD (car risque de confusion mentale et de convulsions, prescrire sur une période limitée +++ car risque de dépendance) vitamine B (B1+++), acide folique et hydratation (pour éviter les désordres hydroélectrolytiques) o Opiacés tranquillisants, antalgiques o BZD diminution progressive avec produits à demi-vie longue - TRT de substitution : substitution aux opiacés (bientôt disponible au Maroc : méthadone) - Suivi psychologique et social - Ecoute attentive et empathique, ni moralisatrice ni culpabilisatrice - Psychothérapie comportementale et cognitive : favorisent la motivation puis le maintien de l abstinence - Prévention
Addictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailLa dépendance aux médicaments
La dépendance aux médicaments 3 ème Forum Citoyen Espace Mendès-France 28 novembre 2013 Denis Richard Pharmacien Hôpital Henri-Laborit, Poitiers Qu est la dépendance? (1) «Perte de la liberté de s asbtenir»
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLes troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012
Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne Auteur Dr Lannes Médecin-Conseil SCOR Global
Plus en détailTROUBLES PSYCHIQUES. Troubles addictifs. www.psycom.org
TROUBLES PSYCHIQUES Troubles addictifs www.psycom.org Troubles addictifs SOMMAIRE Quelques définitions p. 02 Diagnostic des troubles addictifs p. 03 Addiction aux drogues illicites p. 04 Addiction aux
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailTroubles du comportement liés aux différents types de sevrage rencontrés aux urgences ou à l UHCD
Chapitre 5 Troubles du comportement liés aux différents types de sevrage rencontrés aux urgences ou à l UHCD G. BROUSSE*, T. CHARPEAUD, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT Points
Plus en détailPREMIERE PARTIE : MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 3 - Maturation et Vulnérabilité Question 45 ADDICTIONS ET CONDUITES DOPANTES
PREMIERE PARTIE : MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 3 - Maturation et Vulnérabilité Question 45 ADDICTIONS ET CONDUITES DOPANTES Rédaction : Chapitre alcool : F. Thibaut M. Lejoyeux Chapitre tabac : C.
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailTrouble de l usage avec ou sans substances Dépendance
Option psychologie clinique Mme Amélie Dentz Trouble de l usage avec ou sans substances Dépendance On en parle pour tout trouble de l usage avec ou sans abus de substances. Elle n est pas liée à la quantité
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 F A C U L T É D E M É D E C I N E Année 20 13 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR CUSSAC Fanny Née le 24 février 1984 à Brou sur Chantereine Présentée
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détailTROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS. Damien FOUQUES ET Lucia ROMO
Conférence Argos 2001 du 27/01/2011 au FIAP (30 rue Cabanis - 75014 Paris) TROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS Damien FOUQUES ET Lucia ROMO Psychologues cliniciens, maîtres de conférences à l Université
Plus en détailAlcool, tabac, benzodiazépines et autres dépendances
Les pratiques d usage (1) Alcool, tabac, benzodiazépines et autres dépendances Dr Jean-Marc Cloos Psychiatre - Psychothérapeute - Addictologue ZithaKlinik Le non-usage (le non-consommateur) Toute conduite
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailRéduction des risques
Réduction des risques chez les usagers de drogues Synthèse et recommandations Expertise collective Expertise collective - 2-30/06/2010 Ce document présente la synthèse et les recommandations du groupe
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailDéfinition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique
Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent
Plus en détailConférence de Consensus : «L agitation en urgence (petit enfant excepté)»
JEUR, 2003, 16, 58-64 Masson, Paris, 2003 Pratique professionnelle Conférence de Consensus : «L agitation en urgence (petit enfant excepté)» Recommandations du jury : texte court Cette conférence a été
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailJoël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie
Portrait de consommation de substances psychoactives de jeunes consultant en centre spécialisé en toxicomanie (PAJT) et provenant du Centre jeunesse de Québec Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin,
Plus en détailLIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE. 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France. Contact : princeps.gdumas@orange.
FEDERATIION FRANCAIISE D ADDIICTOLOGIIE LIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France Contact : princeps.gdumas@orange.fr LIVRE BLANC DE L
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détail1 LES PIEGES DU CANNABIS
1 LES PIEGES DU CANNABIS Les caractéristiques essentielles du cannabis sont reprises en points sous forme de phrases courtes qui pourront être soumises aux adolescents et à leurs parents pour alimenter
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détailProblèmes de santé liés à l usage de drogues. Dr Baudouin DENIS
Problèmes de santé liés à l usage de drogues Dr Baudouin DENIS ALTO 2007 Pathologies Somatiques des Usagers Heroïne Mortalité globale Overdose HCV, HBV, HIV Endocardite Poussières Bronchopneumopathies
Plus en détailRÉSUMÉ ANALYTIQUE DRUG MONDIAL SUR LES
RÉSUMÉ ANALYTIQUE RAPPORT WORLD DRUG MONDIAL SUR LES REPORT DROGUES 2014 Résumé analytique Chaque année, le Rapport mondial sur les drogues passe en revue les principales évolutions intervenues sur les
Plus en détailAddictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert
soins des personnes détenues Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert Pratique(s Addictions: les
Plus en détailCompte-rendu de la séance du 20 mars 2014
Séance n 6 Commission des stupéfiants et psychotropes mai 2014 Compte-rendu de la séance du 20 mars 2014 Approuvé par voie électronique le 29 mai 2014 Membres de la Commission présents : Nicolas AUTHIER
Plus en détailCe document peut être consulté et commandé en ligne à l adresse : www.msss.gouv.qc.ca section Documentation, rubrique Publications.
Édition produite par: La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Idée originale: Commission scolaire des Premières Seigneuries Conception graphique: Graphissimo Ce
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailRapport d activités 2009
S O I N S P R E V E N T I O N F O R M A T I O N C O N S E I L EN A D D I C T O L O G I E C E N T R E D E S O I N S D 'AC C O M P A G N E M E N T E T D E P R E V E N T I O N E N A D D I C T O L O G I E
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailL impact des stéroïdes anabolisants sur la santé
L impact des stéroïdes anabolisants sur la santé Élaborée et animée par: Patricia Beaulac, infirmière clinicienne 23 octobre 2013 2 Objectifs Savoir les motifs de consommation des stéroïdes anabolisants
Plus en détailJeux dangereux et pratiques violentes à l école
Jeux dangereux et pratiques violentes à l école Comprendre pour prévenir Pr Grégory MICHEL* Directeur du laboratoire : Psychologie, Santé et Qualité de Vie, Université Segalen, Bordeaux2 Expert Scientifique
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détail