Algérie Séminaire sur l assurance santé
|
|
- Véronique Rancourt
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Algérie Séminaire sur l assurance santé L assurance santé dans le Monde Arabe , Algérie GHANIMEH Joëlle Souscriptrice Santé & Vie Arab Re
2 Deuxième Partie- L assurance santé dans le Monde Arabe Sommaire Pages 1. Aperçu du marché de l assurance dans le monde 3 2. Développement de l Assurance Santé 4 3. Défis de la branche santé dans la région 6 4. Le secteur de l assurance santé en bref 9 5. Quelques facteurs clé de succès 10 Arab Reinsurance Company 2
3 1. Aperçu du marché de l assurance dans le monde Positionnement des Pays Arabes (MENA) Région Volume de prime (en milliards de $) Branche Vie % de la prime vie mondiale Evolution annuelle cumulée Densité de prime par habitant ($) Algérie % 0.00% 23% 1 3 Afrique du Nord % 0.07% 17% 4 12 Moyen Orient % 0.09% 21% Union Européenne % 34% 4% 1,371 1,758 Etats Unis % 20% 1% 1,712 1,723 Source: Swiss Re L Union Européenne et les Etats-Unis produisent plus que la moitié du volume des primes Vie dans le monde (54% en 2011). Le Monde Arabe demeure très en retard avec un poids ne dépassant pas le seuil du 1%. Avec $103 Millions de primes Vie en 2011, l exploitation de la branche Vie en Algérie reste très limitée tant en terme de poids mondial qu en terme de densité de prime ($3/Habitant contre 1,758 au sein de la C.E.). En revanche, l évolution des primes Vie en Algérie se fait à un rythme nettement plus rapide que celui de la C.E. et des E.U., marquant ainsi le potentiel de ce marché contre des marchés bien plus matures Région Volume de prime (en milliards de $) Branche Non-Vie % de la prime vie mondiale Evolution annuelle cumulée Densité de prime par habitant ($) Algérie % 0.06% 13% Afrique du Nord % 0.24% 10% Moyen Orient % 0.7% 20% Union Européenne % 31% 4% 932 1,232 Etats Unis % 34% 1% 2,069 2,139 Source: Swiss Re L Union Européenne et les Etats-Unis demeurent leaders en part de marché. Ceci étant, la part de l Algérie est nettement supérieure à celle de sa branche Vie. En effet, en Algérie comme dans la plupart des pays Arabes, l assurance Vie n a pas encore vraiment pris. Avec une densité de prime par habitant neuf fois plus élevée que dans la branche Vie, la percée de la Non-Vie en Algérie est claire. En Vie, la culture n y est pas, en santé l on se repose sur la couverture sociale, mais en Non-Vie les individus et les groupes devront eux même se mobiliser. Arab Reinsurance Company 3
4 2. Développement de l Assurance Santé 2.1- Contexte L assurance santé fait l objet d une sensibilisation et d un développement accrus. Il s agit de la première branche en terme de croissance. En devenant obligatoire à travers le Moyen-Orient, l assurance santé se démocratise. On mise énormément sur cette branche, mais encore faut-il avoir les compétences nécessaires et la bonne vision qui ne lui entravent pas le développement. Il existe d autres facteurs qui font obstacle au bon développement de l assurance santé: Accorder la priorité au volume de primes plutôt qu au profit Ignorance des principes de base de l assurance (transparence, partenariats de long termes avec toutes les parties prenantes) La demande en soins de santé dépasse l offre étant donné les limites de l infrastructure sanitaire dans la région Difficulté en matière de contrôle des coûts face à l absence de supervision des prestataires de soins de santé. Manque de synergie entre les compagnies d assurance et les TPA. Les plans d assurance obligatoire ont favorisé l inflation médicale Les branches enregistrant la croissance la plus rapide selon une étude menée par le Qatar Financial Center Authority (QFCA) Arab Reinsurance Company 4
5 2. Développement de l Assurance Santé 2.2- Evolution des parts de marché Primes de la branche Santé en % du total des primes émises Pays Bahrain 11% 11% 13% 15% 16% Evolution exponentielle de la part des primes santé du total des primes, la plus grande participation se produisant dans le Golfe, où elle compte en Arabie Saoudite par exemple pour plus que la moitié des primes totales. Emirats Unis 18% 20% 25% 28% 29% Arabie Saoudite 36% 44% 50% 53% 52% Liban 25% 24% 25% 26% 27% Jordanie 18% 20% 22% 23% 24% Sources: CBB Lebanese commission & Trade UAE Insurance Authority SAMA JOIF L assurance santé prend son essor dans cette région dans la mesure où son développement va en pair avec la priorité qu accorde le secteur à l assiette de primes plutôt qu au profit net. Pays Evolution de la part des primes Santé du total des primes émises 2007 Primes Santé (en milliards de $) 2011 Primes Santé (en milliards de $) Taux de croissance annuel cumulé Le volume des primes dépend de plusieurs facteurs, notamment la taille du marché et son environnement légal rendant l assurance santé obligatoire pour les expatriés qui y résident. C est l exemple de l Arabie Saoudite et des Emirats-Unis, ces pays figurants au top du classement d assiettes de primes. Bahrain Emirats Unis Arabie Saoudite Liban % % % % Jordanie % Sources: CBB Lebanese commission & Trade UAE Insurance Authority SAMA JOIF L évolution ascendante des primes est principalement due à l inflation des dépenses en soins de santé. Plusieurs facteurs ont causé cette inflation parmi lesquels des facteurs sociodémographiques, économiques, mais aussi et surtout des facteurs structurels tels que les caractéristiques des systèmes de santé et le manque de fermeté et de complétude dans la réglementation du secteur d assurance auxquels s'ajoutent la faiblesse du système de contrôle des coûts mis en place par les assureurs et le caractère limité de la supervision des hôpitaux. Par conséquent l abus au niveau des soins de santé persiste tant au niveau des assurés qu'au niveau des prestataires de soins de santé. Arab Reinsurance Company 5
6 3. Défis de la branche Santé dans la région (1/3) Les Défis Généraux du marché de l assurance Arabe Réforme Réglementation inadaptée et très faible suivi Quasi-absence de la culture de gestion des risques (Risk Management) (Risk Based Capital vs. Solvabilité de base) Marché Niveau de compétition anormalement élevé Niveau de professionnalisme faible Défis reliés au marché de l assurance Santé (1/3) Facteurs stimulant la demande pour l assurance santé L assurance obligatoire Sensibilisation accrue & amélioration du niveau de vie des individus Facteurs stimulant la demande pour les soins de santé Croissance de la population, et augmentation de l espérance de vie Développement accru des maladies chroniques liés au mode de vie (tabagisme, sédentarisme, malnutrition ) Arab Reinsurance Company 6
7 3. Défis de la branche Santé dans la région (2/3) Défis reliés au marché de l assurance Santé (2/3) L inflation économique omniprésente à l échelle internationale (et Nationale lorsque le taux de pénétration y est faible) La demande en soins de santé excède l offre en terme de capacité du secteur (lits, médecins, infirmières, etc.) Mise en place par les compagnies d assurance de systèmes de contrôle de coûts qui s avèrent souvent inadaptés/insuffisants. Manque de synergie entre les compagnies d assurances et les TPA Facteurs stimulant Abus de la part des assurés et des prestataires de soins, notamment les médecins et les hôpitaux (prescription, demande d examens, interventions chirurgicales/traitements inutiles) le coût des prestations de santé Réformes dans le cadre des secteurs publics et privés: Les prestataires de soins de santé sont sous une pression constante d améliorer leurs standards; ce qui se traduit par une hausse des tarifs. L assurance santé obligatoire répandue à travers le Golfe donne lieu à: a. Un transfert du poids des coûts de soins de santé du public vers le secteur privé b. Une atteinte à l image de l assurance santé, perçue comme une commodité vu les couvertures exhaustives offertes par la loi c. L écart vis-à-vis de l offre en soins de santé (infrastructure) se creuse d avantage au fur et à mesure que la demande explose Pour que sa mise en œuvre soit viable, une telle loi a besoin d une infrastructure solide, d une plateforme technologique performante, et d une capacité de gestion efficiente. Une application non-viable de la loi peut être assimilée à une taxe, du moment où la vraie vocation de l assurance santé n est pas clairement transmise aux utilisateurs. Arab Reinsurance Company 7
8 3. Défis de la branche Santé dans la région (3/3) Défis reliés au marché de l assurance Santé (3/3) Facteurs liés à la gestion des risques par les compagnies d assurance Anti-Sélection Aléa moral Asymétrie d information Il s agit de principes de base d assurance Ne pas en tenir compte est généralement synonyme de mauvais résultats techniques Les assureurs en tiennent compte habituellement quand il s agit d autres produits non-vie (hors santé), mais les négligent pour ce qui est de l assurance santé. Absence de souscription médicale pour les assurés groupes Cette absence s explique en partie par : (i) la banalisation du produit, les cas chroniques et préexistants sont couverts par l assurance santé obligatoire.; (ii) La sélection des risques se traduisant par plus de charges pour un assureur, qui viennent s ajouter à la prime impactant ainsi son aspect compétitif; et (iii) au-delà de la question de coûts, les clients sont eux-mêmes toujours en quête de la meilleure offre (le plus pour le moins vs. meilleur qualité prix). Tarification inadaptée Plusieurs facteurs y contribuent notamment: (i) la concurrence entre les assureurs souvent dans un contexte de marchés saturés (ex.: Liban, Emirats Unis), (ii) manque de savoir-faire et d expertise au niveau des assurances de personnes, et (iii) la pratique des courtiers direct et de réassurance qui offrent des tarifs inférieurs à ceux attendus/ciblés par l assureur. Arab Reinsurance Company 8
9 4. Le secteur de l assurance santé en bref Les assureurs se concentrent d avantage sur l assiette de prime, en négligeant le niveau des profits Les primes sont pour la plupart en-dessous de la prime pure Difficulté en terme de contrôle des coûts face à une explosion de la demande de soins de santé Manque de synergie entre les compagnies d assurance et TPA Manque de contrôle par les assureurs Les régulateurs ne répondent pas à tous les aspects des problèmes qui entravent le développement du secteur L assurance santé obligatoire contribue à la sensibilisation des individus d avantage, donnant ainsi lieu à une inflation de coûts Négliger les principes de base de transparence et de partenariats de longterme avec toutes les parties prenantes. De nombreux réassureurs sont devenus désintéressés et sont par conséquent sorti du marché. Arab Reinsurance Company 9
10 5. Assurance santé: Quelques facteurs clé de succès (1/5) Offre & Demande Stratégie & Vision Comprendre les besoins et ressources des différents types de consommateurs afin de leurs offrir un ou plusieurs choix de produits adaptés. Se positionner sur des marchés niches en offrant des produits sur-mesure. Des contrats d assurances clairs dans leurs couvertures et exclusions. Promouvoir l assurance santé tout en sensibilisant les consommateurs sur sa vraie vocation; à savoir protéger les individus en minimisant le risque de subir des pertes financières suite à une maladie/accident. Une force de vente formée et susceptible d engager des discussions autour de solutions plus adaptées aux besoins des consommateurs. Une vision de long-terme se traduit par un alignement d intérêts de toutes les parties prenantes (consommateur, TPA, prestataires et réassureur). Donc, il y a lieu d établir des partenariats stratégiques. Les partenariats avec les hôpitaux/cliniques sous forme de réseaux, sont susceptibles de permettre une longueur d avance sur d éventuelles hausses de tarifs. De même, maintenir des liens solides avec les prestataires est en mesure de limiter l abus, il convient donc d analyser les tendances et de renégocier les tarifs ainsi que les rabais/escomptes. Entrer en partenariat avec les réassureurs dans une perspective de long-terme (formation, infrastructure, financement, investissement), comptant ainsi sur son expérience. Des partenariats avec le département administratif des groupes assurés dans le but de leurs donner des moyens de rationaliser les dépenses en gérant l abus. Arab Reinsurance Company 10
11 5. Assurance santé: Facteurs clé de succès (2/5) Procédure et Contrôle Ressources Une souscription efficiente (collecte d information, analyse du risque, tarification, contrôle du portefeuille et suivi). Mettre en place un système de pré-autorisation dans le cadre de la gestion des sinistres. De même, il convient de maintenir le contrôle durant l hospitalisation (des délégués sur place par exemple) et après l hospitalisation (inspecter la facture et tous les documents faisant parties du dossier du malade). Gestion des sinistres dans sa double dimension: fréquence et coûts. Analyse du portefeuille: tendances, concentration des coûts, identifications des raisons/sources d abus. Plateforme technologique permettant une standardisation/optimisation des services de production des polices et de la gestion des sinistres. Recrutement de personnes qualifiés, qui feront l objet d une formation continue. Elles seront par ailleurs tenues au courant des nouvelles et des perspectives du marché de l assurance santé. D où l intérêt d un département Recherche & Développement chargé de la communication de telles informations. Prévision et contrôle des résultats; pour cela il faut se doter des outils de suivi nécessaires en temps continu (ex.: indicateurs de performance, suivi de la performance des employés, etc.). Arab Reinsurance Company 11
12 5. Assurance santé: Facteurs clé de succès (3/5) Procédure et Contrôle: Cycle de tarification Identifier les principaux indicateurs de performance du produit: Volume, Profit, Ratio de perte, Dépenses, etc. Surveiller régulièrement les indicateurs susmentionnés Utiliser le suivi afin d améliorer la conception du produit, d ajuster la tarification et d en mitiger les risques Test interne Cohérence des résultats avec les objectifs initiaux du produit Logique du test Test de sensibilité Test externe Retour d information sur le produit proposé La validité des hypothèses Des données sur la police d assurance Des données sur les sinistres Des données externes Le tout suivi d ajustement Contrôle & Lissage Test Données Le cycle de tarification Prime commercia le Analyse du portefeuill e Prime de risque théorique Tenir compte de la stratégie de la compagnie Tenir compte des tendances du marché Tenir compte des régulations La prime de risque couvre le coût des sinistres La primes commerciale est la prime de risque à laquelle s ajoutent des chargements Vérifier l aspect logique des données Analyser les tendances Evaluer les facteurs de tarification pertinents Analyser la fréquence et le coût moyen Calculer le Ratio de perte, de la population exposée au risque et de la prime de risque Considérer tous les facteurs du risque simultanément Tenir compte des tendances et corrélations (construire des classes de risque) Utiliser des techniques de régression FBC = BC x (1+f) x (1+f ) NP = FBC x (1+λ)/ (1-l) Arab Reinsurance Company 12
13 5. Assurance santé: Facteurs clé de succès (4/5) Procédure et Contrôle: Tarification des nouvelles affaires Définition Une classe de risque représente l accumulation de plusieurs facteurs de risques chez une seule classe de risque. Les Facteurs de risques impactent la fréquence et le coût moyen des sinistres : Age, Sexe, antécédents, problèmes de santé connus dans une région donnée (comme le diabète au Moyen Orient), le profil (Expatriés vs. nationaux ), etc. Par ailleurs la segmentation du risque pourrait servir à l identification de marchés niches, où des solutions customisés pourront être proposées (ex. limites, étendue de couverture, franchise, etc.) Objectifs Attirer les bons risques et repousser les clients à haut risque Etre plus compétitif vis à vis des bons risques Réduire le niveau du ratio de perte Classe de risque Classe 1 Classe 2 Classe n Age/Sexe M F M F M F [0-25] [26-35] Exemple Changement de la distribution de la population par rapport à l année précédente? Non Oui Calcul de la prime pure pour toute la population Calcul de la prime pure par classe de risque La part du portefeuille Prime de l assureur Phase 1 Coût Type 1 Type 2 Type 1 Type 2 Risque A 50 50% 50% Risque B % 50% Prime Moyenne Ratio de perte 100% 100% La part du portefeuille Prime de l assureur Phase 2 Coût Type 1 Type 2 Type 1 Type 2 Risque A 50 80% 20% Risque B % 80% Prime Moyenne Ratio de perte 86% 120% Arab Reinsurance Company 13
14 5. Assurance santé: Facteurs clé de succès (5/5) Procédure et Contrôle: Tarification des affaires à renouveler Prime pure du groupe (Expérience) Peut être défini en tronquant les pertes très élevées, cela dépend de la taille du groupe 100 Prime pure du marché 110 Facteur de crédibilité Dépend de la taille du groupe et de l étendue de son expérience (rapport de sinistralité) Z Prime pure = Z * (1 - Z) * 110 Z 1: Pour les larges groupes avec expérience Arab Reinsurance Company 14
15 L assurance santé dans le Monde Arabe Fin de la deuxième partie Q & R Arab Reinsurance Company 15
Une innovation majeure dans le secteur de l assurance santé au Maroc
Une innovation majeure dans le secteur de l assurance santé au Maroc Une couverture exceptionnelle pour les particuliers au Maroc ASSUR-PLUS Santé International est un contrat d assurance santé international
Plus en détailParce que vous faire grandir, c est grandir ensemble Notre succès repose sur notre capital humain evenir un hub pour les opérations économiques mondiales, tel est le défi à relever par le Maroc les prochaines
Plus en détailAnalyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailAssurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3
Volume 5 Numéro 1 Avril 2007 en partenariat avec la Chaire internationale CMA d étude des processus d affaires Assurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3 Cas produit par Johanne CASSIS 4 et par
Plus en détailCOURTIER ET AGENT D ASSURANCE
COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS
Plus en détailTARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé
TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé Plan de l intervention 1 2 3 Généralités sur le fonctionnement de l assurance
Plus en détailFINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR
FINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR Guillaume PLANTIN GREMAQ Université Toulouse I 1 La détermination d un plan de réassurance optimal est une des applications les plus classiques de la
Plus en détailAssurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT
Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailBe selective. Swiss Invest. En Suisse, votre capital évolue comme vous le souhaitez.
Be selective. Swiss Invest En Suisse, votre capital évolue comme vous le souhaitez. Bienvenue en Suisse Depuis des décennies, la Suisse offre la stabilité et la sécurité auxquelles on aspire pour des
Plus en détailLe marché suisse des assurances
16 Le marché suisse des assurances Le secteur des assurances favorise la croissance et la prospérité Ces dernières années, le secteur des assurances a sans cesse accru sa contribution à la croissance et
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailBonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance
DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES ET DES ENTREPRISES Bonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance Ces bonnes pratiques, préparée par le Comité des assurance de l'ocde, ont été
Plus en détailCEM: les comptes d épargne médicale
CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart
Plus en détailFoire aux questions Régime médicaments du Nouveau-Brunswick Le 10 décembre 2013
Foire aux questions Régime médicaments du Nouveau-Brunswick Le 10 décembre 2013 1. Qu'est-ce que le Régime médicaments du Nouveau-Brunswick? Le Régime médicaments du Nouveau-Brunswick est une assurance
Plus en détailSOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale. Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne
SOLVENCY II - PILLAR 2 Vue générale Jean-Francois DECROOCQ Présentation interne 1 Pilier 2: la maitrise des risques Dans un premier temps, l attention s est portée sur la mesure quantitative du risque
Plus en détailMarket Research Aerospace
Market Research Aerospace Août 2014 L ETAT DU MARCHE 1. Le marché d assurance des compagnies aériennes historiquement bas Primes brutes encaissées par année civile (en milliards $) 8 7 Corps et RC War
Plus en détailIndemnisation des victimes des accidents de circulation au Maroc
Bureau Central Marocain d Assurances Indemnisation des victimes des accidents de circulation au Maroc Paris, le 07 octobre 2008 Mr Hamid BESRI Directeur Général du BCMA Sommaire Présentation du secteur
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailNotes techniques pour les règles de souscription de l assurance-automobile
Annexe B pour les règles de souscription de l assurance-automobile Émis avec le Bulletin No. A-09/03 I.A.R.D. - Auto ommission des services financiers de l Ontario 29 juillet 2003 pour les règles de souscription
Plus en détailEfficience de l actif de l entreprise
Solutions d assurance-vie Efficience de l actif de l entreprise Gérer. Profiter. Préserver. Une solution intelligente pour les professionnels : l assurance-vie permanente, un actif unique pouvant offrir
Plus en détailLa place financière luxembourgeoise : mythes et réalités
La place financière luxembourgeoise : mythes et réalités Jean-Jacques Picard Secrétaire Général, Luxembourg for Finance jean-jacques.picard@lff.lu +352 27 20 21-1 Luxembourg for Finance Agence pour de
Plus en détaildes compagnies d assurance : évolutions récentes
Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l
Plus en détailMICROASSURANCE CONTEXTE P OSITIONNEMENT INSTITUTIONNEL. Réduire la vulnérabilité des familles en cas de situations inattendues
P OSITIONNEMENT INSTITUTIONNEL MICROASSURANCE Réduire la vulnérabilité des familles en cas de situations inattendues CONTEXTE UN LEVIER POUR LA RÉDUCTION DES VULNÉRABILITÉS ET LA PROTECTION DU PATRIMOINE
Plus en détailSEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES
SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES ASSURANCE ET REASSURANCE EL AURASSI le 10 juin 2007 Alger LA REASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES EN ALGÉRIE Expérience de la CCR Présentation de la CCR Historique de la
Plus en détailL histoire de l assurance en Algérie
POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance
Plus en détailTable des matières: Guidelines Fonds de Pensions
Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE
Plus en détailQuantitative Reporting Templates Etats Réassurance. 28/02/2013 Auditorium de Groupama
Quantitative Reporting Templates Etats Réassurance 28/02/2013 Auditorium de Groupama 1 QRT Etats Réassurance Etat J1_Basic Cet état recense pour chaque LOB les 10 plus importants risques réassurés en facultative
Plus en détailAssureur Produits Marché cible Distribution et administration Co-operative Insurance Company (CIC)
briefing note 9 Fonds pour l'innovation en micro-assurance Rentabiliser la micro-assurance Une analyse de la rentabilité de la micro-assurance auprès de cinq sociétés d assurance La micro-assurance est-elle
Plus en détailAccenture Software. IDMF Insurance Data Migration Factory. La migration en toute confiance de vos données d assurance
Accenture Software IDMF Insurance Data Factory La migration en toute confiance de vos données d assurance Plus de 60 millions de contrats migrés avec succès Les compagnies d assurance sont régulièrement
Plus en détailBIENVENUE CHEZ CHUBB
BIENVENUE CHEZ CHUBB BIENVENUE CHEZ CHUBB Pourquoi choisir Chubb? Depuis 1882, Chubb est reconnue pour sa qualité de service et la stabilité de ses excellentes notations financières. Intégrité, qualité
Plus en détailPLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions
PLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions Juillet 2014 N/Réf. : 930.01 Le Groupement des assureurs automobiles agit à titre d agence autorisée par l Autorité des marchés financiers. Ce document
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailPROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV. Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1
PROGRAMME RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES MEMBRES DU SNJV Conseils & Risques Financiers 22 février 2010 1 METHODOLOGIE Notre position de courtier spécialisé sur les risques encourus par
Plus en détailSituation du secteur des assurances en Haïti et les perspectives d avenir
MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES (MEF) UNITE DE CONTRÔLE ET DE SUPERVISION DES ASSURANCES (UCSA) Situation du secteur des assurances en Haïti et les perspectives d avenir Présenté par : Raoul TRIBIE
Plus en détailComparaison des coûts de gestion des Assureurs Santé et de l Assurance Maladie. Annexe méthodologique
Comparaison des coûts de gestion des Assureurs Santé et de l Assurance Maladie Annexe méthodologique Septembre 2009 A Éléments de cadrage Postulat de départ Pour procéder à une étude comparative des coûts
Plus en détailLe rôle de CCR dans le régime d indemnisation des catastrophes naturelles. Séisme de Lambesc (1909 - Sud-est de la France)
Le rôle de CCR dans le régime d indemnisation des catastrophes naturelles. Séisme de Lambesc (1909 - Sud-est de la France) MACIF le 12 mai 2013 1 Rôle de la réassurance fractionner les risques afin de
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailChiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM
Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...
Plus en détailCe document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay.
Bienvenue chez DayByDay, Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Il est en deux parties : - Les idées de trading : quels sont les
Plus en détailENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020
Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES
Plus en détailA. Le contrôle continu
L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat
Plus en détailOpportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires
Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque
Plus en détailVotre guide des des polices d assurance-vie avec participation. de la Great-West
Votre guide des des polices d assurance-vie avec participation de la Great-West Ce guide vous donne un aperçu de haut niveau des principales caractéristiques de l assurance-vie avec participation de la
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailGender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs
Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Conférence ActuariaCnam Présentation 3 1 / 0 5 / 2 0 1 2 Julien Chartier, Actuaire Manager AGENDA Introduction Partie 1 - L arrêt «Test-Achats»
Plus en détail38 e assemblée générale de la FANAF
38 e assemblée générale de la FANAF Les nouveaux enjeux du contrôle des assurances Ouagadougou, mardi 18 février 2014 François Tempé Autorité de Contrôle prudentiel et de Résolution (ACPR) Abréviations
Plus en détailhappy family règlement client
happy family règlement client Article 1. Cadre général Happy Family est un programme qui permet d offrir des avantages aux membres d une famille qui détient des produits Auto, Habitation et Vie Privée
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE
NE PAS DIFFUSER AUX ETATS-UNIS D AMERIQUE COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 4 juin 2007 LANCE LA SECONDE TITRISATION DE RISQUE D ASSURANCE AUTOMOBILE SUR UN PORTEFEUILLE PANEUROPEEN annonce le lancement de
Plus en détailLes micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailFiche récapitulative 2013/14 Sommaire des réformes Doing Business au Moyen-Orient et en Afrique du Nord 1
Faits marquants Doing Business 2015 : Moyen-Orient et Afrique du Nord Entre le 1 ier Juin 2013 et le 1 ier Juin 2014, onze des 20 économies du Moyen-Orient et Afrique du Nord ont entrepris au moins une
Plus en détailPlan stratégique 2012-2016 Vision du marché
2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2
Plus en détailPrésentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement.
Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement. Avant même leur rapprochement, XL et Catlin étaient deux sociétés solides, très innovantes. Ensemble, nous sommes
Plus en détailComment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?
Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,
Plus en détailLe secteur des assurances en Tunisie Janvier 2010
MAC SA - Intermédiaire en Bourse Green Center Bloc C, 2éme étage, 1053 Les Berges du Lac- Tunis Tunisie Tél.: + 216 71 964 102 / + 216 71 962 472 Fax: + 216 71 960 903 Email: macsa@gnet.tn www.macsa.com.tn
Plus en détailGestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012
Véhicules du gouvernement Gestion des risques liés à la responsabilité Institut de la gestion financière Le 27 novembre 2012 Maximes «No man hath endurance, as he that selleth insurance» -Anon 2 Notre
Plus en détailJournées d études IARD
Journées d études IARD Gestion des risques liés à la refonte tarifaire d un portefeuille automobile Niort, le 20 mars 2014 Marie Foucher mfoucher@galea-associes.eu Pierre Thérond ptherond@galea-associes.eu
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge
PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE À propos de Northbridge Northbridge est l une des plus importantes compagnies d assurance générale commerciale au pays avec des primes souscrites d une valeur de 1,3
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailMémoire d Actuariat Tarification de la branche d assurance des accidents du travail Aymeric Souleau aymeric.souleau@axa.com 3 Septembre 2010 Plan 1 Introduction Les accidents du travail L assurance des
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailLe métier d actuaire IARD
JJ Mois Année Le métier d actuaire IARD Journées Actuarielles de Strasbourg 6-7 octobre 2010 PLAN Présentation de l assurance non vie Le rôle de l actuaire IARD La tarification des contrats L évaluation
Plus en détailRevue de la performance du T2-2014
Revue de la performance du T2-2014 Intact Corporation financière (TSX : IFC) Le mercredi 30 juillet 2014 Intact Corporation financière Charles Brindamour Chef de la direction Intact Corporation financière
Plus en détailLe Rôle du Courtier de Réassurance Jeudi 25 septembre 2014 Auditorium de la F.F.S.A.
Conférence Sup de Ré 2014 Le Rôle du Courtier de Réassurance Jeudi 25 septembre 2014 Auditorium de la F.F.S.A. SUP DE RE septembre 2014 «Le rôle du courtier de réassurance» - le point de vue de la cédante
Plus en détailRÈGLEMENT MODULO FAMILLE
RÈGLEMENT MODULO FAMILLE Avril 2010 Règlement Modulo Famille Chapitre I Cadre général Ce règlement comprend les conditions générales du Modulo Famille d application au 2 avril 2010. Le Modulo Famille
Plus en détailGérer votre patrimoine.
Gérer votre patrimoine. Planifier votre avenir. Nous vivons dans un monde en constante évolution. 2 Introduction Introduction 3 Gérer votre patrimoine dans un monde en constante évolution. Nous vivons
Plus en détailAppel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne
Appel d offres pour l élaboration des tables de mortalité de l industrie canadienne Document 205103 OBJET : Élaboration des tables de mortalité de l industrie pour l assurance-vie individuelle grande branche
Plus en détailAvantages économiques procurés par le secteur des assurances
6 Avantages économiques procurés par le secteur des assurances Sans les assurances, rien ne va plus dans notre monde moderne Le secteur des assurances constitue un pilier central de l économie helvétique
Plus en détailL olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II
15 novembre 2013 L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II Pascal Gonzalvez 1 L olivier Assurances et le Groupe Admiral Segmentation et tarification en assurance auto Autres applications de la
Plus en détailACT3284 Modèles en assurance IARD Examen Final - 14 décembre 2011
#1 À partir de l'information ci-dessous : Sinistres payés cumulatifs Réserves aux dossiers 12 mois 24 mois 36 mois 12 mois 24 mois 36 mois 2008 240,000 393,600 499,200 2008 160,000 120,000 79,200 2009
Plus en détailPERP Gaipare Zen. Prévoir le meilleur pour votre retraite
PERP Gaipare Zen Prévoir le meilleur pour votre retraite On a tous une bonne raison d épargner pour sa retraite Composante de votre avenir, la retraite s envisage comme une nouvelle vie, synonyme de liberté.
Plus en détailTransfert du patrimoine de l entreprise avec retrait en espèces :
Solutions d assurance-vie Produits Actifs Occasions Garanties Croissance Capital Protection Revenu Avantage Solutions Options Stabilité PLANIFIER AUJOURD HUI. ASSURER L AVENIR. Transfert du patrimoine
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité
Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences
Plus en détailNote Conflagration. Janvier 2010
Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailEn 2013, 605 organismes pratiquent
j u i n Le marché de l assurance complémentaire santé : des excédents dégagés en 2013 En 2013, 33 milliards d euros de cotisations ont été collectés sur le marché de l assurance complémentaire santé en
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailRèglement du Modulo 50+
Chapitre I Cadre général Ce règlement comprend les conditions générales du Modulo 50+ d application au 7 juin 2010. Le Modulo 50+ est un pack d un minimum de 3 assurances de base entièrement adapté aux
Plus en détailSECTEUR MAROCAIN DES ASSURANCES. Situation Liminaire Exercice 2005
SECTEUR MAROCAIN DES ASSURANCES Situation Liminaire Exercice 2005 Mars 2006 FAITS MARQUANTS 2005 Campagne de Communication sur les délais de recouvrement des primes Suite à l entrée en vigueur des nouvelles
Plus en détailMSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE
2014 RELAIS EXPAT L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?
Plus en détailPrévoyance collective, assurance santé et dépendance
Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer
Plus en détailRésultats intermédiaires
Résultats intermédiaires Rapport semestriel 2000 du groupe Zurich Financial Services y compris les rapports semestriels d Allied Zurich p.l.c. et de Zurich Allied AG Principaux chiffres en millions de
Plus en détailSOMMAIRE INTRODUCTION... 3
SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailSOLVABILITE II Glossaire et notions clés
SOLVABILITE II Glossaire et notions clés Version septembre 2013 A Actuaire Spécialiste qui applique la statistique et le calcul des probabilités pour la conduite d opérations financières et d assurance.
Plus en détailContribution sur le thème relatif au point de vue et au rôle des actuaires vis-à-vis des nouvelles normes comptables
Valorisation du risque IARD et nouvelles normes comptables Mathieu Gatumel et Guillaume Gorge Axa Group Risk Management 9 avenue de Messine 75008 Paris Tel. : +33 1 56 43 78 27 Fax : +33 1 56 43 78 70
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailLe nouveau dispositif sur l intermédiation
Le nouveau dispositif sur l intermédiation Une directive européenne du 9 décembre 2002 sur l intermédiation en assurance vient d être transposée en droit français par la loi du 15 décembre 2005. Un décret
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailAssurance Tous risques bijoutiers Rassembler les connaissances. Reconnaître les risques. Protéger les valeurs.
Assurance Tous risques bijoutiers Rassembler les connaissances. Reconnaître les risques. Protéger les valeurs. Les beaux bijoux ne cessent depuis des siècles de fasciner l humanité. Ils sont l expression
Plus en détailQuelles stratégies gagnantes pour les assureurs dans la France de 2020?
Quelles stratégies gagnantes pour les assureurs dans la France de 2020? Un modèle novateur pour valider les stratégies, éviter l érosion programmée de la rentabilité et se préparer aux enjeux de demain
Plus en détail