temps Dr Abdo Khoury Pôle SAMU, Urgences, Réanimation R Centre Hospitalier Universitaire, Besançon France akhoury@chu-besancon.fr

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "temps Dr Abdo Khoury Pôle SAMU, Urgences, Réanimation R Centre Hospitalier Universitaire, Besançon France akhoury@chu-besancon.fr"

Transcription

1 La troisième mi-temps temps Dr Abdo Khoury Pôle SAMU, Urgences, Réanimation R Médicale M Centre Hospitalier Universitaire, Besançon France akhoury@chu-besancon.fr

2 Cas # 1 Jeune homme 17 ans Match de football du dimanche après-midi Tacle important Trauma cheville gauche A senti un craquement Sort du match et rentre chez lui

3 Cas # 1 L Le lendemain en fin de matinée e aux URG Œdème très s important de la cheville Attelle postérieure plâtrée Opéré 48h après Longue réér ééducation

4 Cas # 2 Jeune homme 20 ans Accident de Vélo V de route Trauma crânien et Perte de Connaissance de durée e indétermin terminée; e; céphalc phalées Plaies superficielles multiples Consulte aux urgences Sutures pour les plaies Scanner Cérébral C >> normal Radio des membres >> pas de fractures Sortie des urgences pour domicile avec consignes

5 Cas #2 Le lendemain Céphalées de plus en plus importantes Paracétamol inefficace Envoi sms à sa mère m pour dire qu il a très s mal Mère abandonne son boulot et rentre précipitamment Victime dans coma Hématome sous-dural compressif Hélico pour Trauma Center Opéré,, pas de séquelless

6 Leçons à tirer? Cas # 1 Pas de consultation immédiate Œdème important >> retard d opd opération Séquelles possibles Cas # 2 Consultation immédiate Hématome sous-dural (intervalle libre)

7 Mortalité des jeunes Ten leading causes of death, USA 2005, all races, both sexes (number of deaths) National Center for Injury Prevention and Control. WISQARS Leading Causes of Death Reports,

8 Prévention du trauma Haddon, W Jr. Energy damage and the ten countermeasure strategies. s. J Trauma 1973; 13:321

9 Minimiser le trauma (1) Diminuer la quantité de l él énergie Diminuer la température de la production d eau chaude Prévenir le déclenchement d de l él énergie Mettre la sécurits curité pour prévenir les accidents d armes à feux Changer la fréquence de la distribution de l énergie Diminuer la pente des pistes de ski

10 Minimiser le trauma (2) Séparer l él énergie Faire des trottoirs et des routes cyclables. Mettre des barrières res entre l él énergie et le hôte A vélo v >> casque, lunettes.

11 Minimiser le trauma (3) Bien entrainer les athlètes tes à encaisser les chocs Les jeunes athlètes tes à bien faire le renforcement (stretching) Renforcer les muscles qui reçoivent l énergie

12 Le trauma: 3 phases Pré-trauma: L él énergie n est n pas encore produite voire pas encore délivrd livré,, donc à la limite encore modifiable. Trauma: L él énergie a été délivré mais le e transfert à l hôte est encore modifiable Post-trauma: trauma: L él énergie a été transférée, mais la portée e du trauma (les lésions) l peut-être modifiée e ou limitée

13 Le trauma: 3 phases Pré-trauma: L él énergie n est n pas encore produite voire pas encore délivrd livré,, donc à la limite encore modifiable Trauma: L él énergie a été délivré mais le transfert à l hôte est encore modifiable Post-trauma: trauma: L él énergie a été transférée, mais la portée e du trauma (les lésions) l peut-être modifiée e ou limitée

14 Facteurs épidémiologique pour la prévention du trauma (1) Hôte: Le corps Humain affecté par le transfert d énergie Agent ou Véhicule: V qui porte ou transfère re l él énergie (mécanismes du trauma) Environnement physique: les changements qui peuvent affecter une des 3 phases du trauma. Environnement Socio-culturel culturel et/ou politique: (lois, décrets, d évènements sécuritaires, s etc. ) ) qui peuvent affecter une des 3 phases du trauma

15 Facteurs épidémiologique pour la prévention du trauma (2) Ces modèles montrent que 90% de ces évènements sont prédictibles et peuvent être prévenus Accident Trauma Cushman, R. Injury prevention: the time has come [editorial; comment]. ment]. CMAJ 1995; 152:21.

16 Conséquences à court et moyen termes Donald D. Anderson, Post-Traumatic Osteoarthritis JOURNAL OF ORTHOPAEDIC RESEARCH JUNE 2011, Ahead of print

17 Du trauma à la réparationr paration Donald D. Anderson, Post-Traumatic Osteoarthritis JOURNAL OF ORTHOPAEDIC RESEARCH JUNE 2011, Ahead of print

18 Joint Trauma Polytrauma Cartilage Impact Articular Fracture Bone Fracture Soft Tissue Damage Cell & Tissue Level Cell Death Altered cartilage Biology & biomechanics Inflammatory Response Joint Level Instability Altered Biomechanics Inflammatory Response Systemic Level Shock Sepsis Genetic factors Co-morbidities Biological repair Process Surgical Interventions Opportunity for Biological Interventions? Joint Degeneration Failed Repair Response Clinical Outcome Joint Destruction Pain Disability Adapted from JOURNAL OF ORTHOPAEDIC RESEARCH JUNE 2011, Ahead of print

19 En amont Comment agir? Active (ceintures de sécurits curité manuelles) Passive (Ceintures automatiques) Pendant En aval

20 Comment agir? En amont Protection si activité à risques

21 Comment agir? Pendant Consulter le plus précocement possible Traitement pour la douleur Pour favoriser la cicatrisation Pour diminuer le post trauma

22 Comment agir? Après Avoir accès à la réér ééducation Pour diminuer le temps d invaliditd invalidité Coût: individuel et pour la société

23 Conclusion

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin. La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

> Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes

> Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes La signalisation /20 > Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes A / Accès interdit aux cyclistes... B / Débouché de cyclistes venant de gauche ou de droite... C / Piste

Plus en détail

Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville

Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Dr David TRAN Afravietmur Association Franco-Vietnamienne de médecine d urgence Assises de la coopération franco-vietnamienne Brest

Plus en détail

INFORMATIONS IMPORTANTES

INFORMATIONS IMPORTANTES INFORMATIONS IMPORTANTES * PARTICIPATION À LA FINALE Tu es automatiquement inscrit(e) pour la finale. Si tu ne peux pas participer, nous te prions de nous en informer par e-mail (grandprix@swiss-ski.ch)

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

1- LES CHUTES DE PERSONNES...

1- LES CHUTES DE PERSONNES... 7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa

Plus en détail

Mémento. pour partir en montagne l été en. sécurité. www.sports.gouv.fr

Mémento. pour partir en montagne l été en. sécurité. www.sports.gouv.fr Mémento pour partir en montagne l été en sécurité www.sports.gouv.fr Avant une sortie Choisissez une activité à votre mesure. Choisissez votre itinéraire en fonction de vos capacités (ne pas se surestimer,

Plus en détail

informations pratiques

informations pratiques COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des

Plus en détail

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43 LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation

Plus en détail

Après l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées

Après l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé

Plus en détail

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête

Plus en détail

«LES ÉTUDIANTS FONT LEUR RENTRÉE» ACCUEIL ETUDIANTS INTERNATIONAUX 2014-2015

«LES ÉTUDIANTS FONT LEUR RENTRÉE» ACCUEIL ETUDIANTS INTERNATIONAUX 2014-2015 «LES ÉTUDIANTS FONT LEUR RENTRÉE» ACCUEIL ETUDIANTS INTERNATIONAUX 2014-2015 Le Service Relations Internationales Carl VETTERS Vice-président chargé des Relations Internationales Myriam COURCO, myriam.lemaire@univ-littoral.fr

Plus en détail

Sport et traumatisme crânien

Sport et traumatisme crânien Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme

Plus en détail

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères

Plus en détail

Les motifs de saisine de la commission de réforme

Les motifs de saisine de la commission de réforme Accueil > CDG71 > Santé au travail > Commission de réforme > Les motifs de saisine de la commission de réforme Les motifs de saisine de la commission de réforme Dernière modification le 22/07/2013 L'accident

Plus en détail

Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels?

Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels? Le stockage de l'énergie : des nouvelles perspectives de performance énergétique pour les industriels? Usine + 13 et 14 Novembre 2014 Francois Borghese - Prosumer marketing director Francois2.borghese@schneider-electric.com

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10 CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS

Plus en détail

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous

Plus en détail

Prothèse Totale de Hanche

Prothèse Totale de Hanche Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Hanche Informations patients 2 Sommaire 04 Introduction 05 Votre maladie: la coxarthrose 06 Intervention chirurgicale Technique chirurgicale Risques et avantages

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

Le 31 octobre 2011, un Renault Trafic emprunte tranquillement et furtivement des petits chemins détournés, de la commune du Bugey.

Le 31 octobre 2011, un Renault Trafic emprunte tranquillement et furtivement des petits chemins détournés, de la commune du Bugey. ETUDE DU CAS N 1 Le 31 octobre 2011, un Renault Trafic emprunte tranquillement et furtivement des petits chemins détournés, de la commune du Bugey. A un croisement, les deux occupants sont contrôlés par

Plus en détail

Le protecteur buccal : tout à fait génial!

Le protecteur buccal : tout à fait génial! Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières

Plus en détail

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination

Plus en détail

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute SECURITE ROUTIERE : QUELQUES ELEMENTS A RETENIR Pour réviser, vous pouvez vous entrainez sur le site : http://eduscol.education.fr/cid46889/preparation-auxepreuves-securite-routiere.html L ASSR est l attestation

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P

Plus en détail

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

HOPITAL LOCAL INTERCOMMUNAL SOULTZ-ISSENHEIM DOCUMENT UNIQUE EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS. Mise à jour : 15/06/09

HOPITAL LOCAL INTERCOMMUNAL SOULTZ-ISSENHEIM DOCUMENT UNIQUE EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS. Mise à jour : 15/06/09 HOPITAL LOCAL INTERCOMMUNAL SOULTZ-ISSENHEIM DOCUMENT UNIQUE EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS Mise à jour : 15/06/09 Rédaction : M.GSCHWIND Validation : M. Herrgott Gestionnaire des risques Directeur

Plus en détail

INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE

INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE 5. INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Dr Jacqueline Cardona L INCAPACITÉ PERMANENTE (IP) EN ACCIDENT DU TRAVAIL Principe juridique Article L 434-2 du code de la sécurité sociale

Plus en détail

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle

Plus en détail

PRATIQUE SPORTIVE. En cas d absence le licencié doit toujours prévenir son responsable d équipe et son entraîneur principal.

PRATIQUE SPORTIVE. En cas d absence le licencié doit toujours prévenir son responsable d équipe et son entraîneur principal. PRATIQUE SPORTIVE 7. La participation à la vie sportive Tout licencié s engage à participer régulièrement au sein de son équipe : - aux entraînements, - aux matches amicaux, - aux tournois de l équipe,

Plus en détail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Dr Michel APTEL Laboratoire de Biomécanique et d'ergonomie Centre de recherche de l'inrs Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) liés au

Plus en détail

POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné

POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION

LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives

Plus en détail

Mémoire de fin d études

Mémoire de fin d études Faculté de Médecine Deuxième Master en Santé Publique à l Université de Nouakchott, en collaboration avec l Université International de l Andalousie (UNIA) et financé par l Agence Espagnole de Coopération

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE

REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente

Plus en détail

Chapitre 4 : les accidents du travail et les maladies professionnelles. Objectif général: distinguer accident du travail et maladie professionnelle

Chapitre 4 : les accidents du travail et les maladies professionnelles. Objectif général: distinguer accident du travail et maladie professionnelle Chapitre 4 : les accidents du travail et les maladies professionnelles Objectif général: distinguer accident du travail et maladie professionnelle Chapitre 4 : AT et MP A la fin de ce thème, vous devrez

Plus en détail

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de

Plus en détail

Généralités sur fractures, luxation et entorses

Généralités sur fractures, luxation et entorses Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques

Plus en détail

«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»

«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI» Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Service Municipal d Accueil Postscolaire

Service Municipal d Accueil Postscolaire Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr

Plus en détail

E LDS: refroidir intelligemment

E LDS: refroidir intelligemment E LDS: refroidir intelligemment REGLer surveiller OPTIMIser ECKELMANN GROUPE ECKELMANN AG, Wiesbaden. Ferrocontrol GmbH & Co. KG, Herford, ferrocontrol.de eckelmann.de E LDS: MANAGEMENT DU FROID, DE L

Plus en détail

A.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES

A.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ

Plus en détail

Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus

Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus 2002-2011 Le document Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus 2002-2011 a été préparé

Plus en détail

Traumatologie en odontostomatologie du sport

Traumatologie en odontostomatologie du sport Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

L observation des aspects non techniques d une simulation

L observation des aspects non techniques d une simulation L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre

Plus en détail

Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3

Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3 LE QUAI 17, rue de la Tannerie 49101 ANGERS MARCHE DE PRESTATIONS DE SECURITE / SURETE Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) ANNEXES Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3 16/03/2015 LE

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

FICHES PDSB - MANŒUVRES DANS LES ESCALIERS

FICHES PDSB - MANŒUVRES DANS LES ESCALIERS FICHES PDSB - MANŒUVRES DANS LES ESCALIERS Quelques points de repère pour monter et descendre un escalier* Monter un escalier Points de repère pour monter un escalier seul(e) ou sous supervision* Supervision

Plus en détail

Document réalisé par :

Document réalisé par : Ce document permet de situer le niveau des élèves en fin de module d apprentissage. Il peut être aussi utilisé pendant les séances d apprentissage pour aider à mesurer les acquisitions. Il donne des indications

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

LES FORMATIONS CONTINUéES

LES FORMATIONS CONTINUéES 8.1. Hygiène dans les cuisines collectives Module I : Formation de base reprenant la réglementation et les exigences légales dans le secteur alimentaire ainsi que les bonnes pratiques d hygiène Economes,

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Fiches PDSB Manœuvres dans les escaliers

Fiches PDSB Manœuvres dans les escaliers Fiches PDSB Manœuvres dans les escaliers Quelques points de repère pour monter et descendre un escalier à consulter* Monter un escalier Supervision À consulter : Points de repère pour monter un escalier

Plus en détail

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3

Plus en détail

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa. Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour

Plus en détail

Profil de l entreprise. BFP Elettronica

Profil de l entreprise. BFP Elettronica Profil de l entreprise BFP Elettronica ? Aujourd hui, BFP Elettronica est une société de services, spécialisée en Voice & Call Processing. 1978 Constitution de BFP Elettronica come société de services

Plus en détail

Les céphalées J.Sommer N.Vokatch

Les céphalées J.Sommer N.Vokatch Les céphalc phalées J.Sommer N.Vokatch Objectifs: Connaître les critères res diagnostiques des céphalées primaires Connaître les critères res de gravité Savoir évaluer l impact l socio-professionnel et

Plus en détail

Revue de la jurisprudence récente du TAQ en matière d affaires sociales. M e Lucie Allard et M e Laurence Ferland 29/11/12

Revue de la jurisprudence récente du TAQ en matière d affaires sociales. M e Lucie Allard et M e Laurence Ferland 29/11/12 Revue de la jurisprudence récente du TAQ en matière d affaires sociales M e Lucie Allard et M e Laurence Ferland 29/11/12 TRIBUNAL ADMINISTRATIF DU QUÉBEC, SECTION DES AFFAIRES SOCIALES: Assurance automobile

Plus en détail

Traumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire

Traumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly

Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

Données générales à propos de l Estonie

Données générales à propos de l Estonie Données générales à propos de l Estonie Nom complet: République d Estonie Surface: 45,227 km² Capitale: Tallinn Autres grandes villes: Tartu, Narva et Pärnu Division régionale: il y a 15 comtés, 33 villes

Plus en détail

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières

Plus en détail

La situation des arrêts cardiaques dans le département

La situation des arrêts cardiaques dans le département La situation des arrêts cardiaques dans le département Depuis 5 ans, près de 5 interventions de sapeurs-pompiers par semaine pour arrêt cardiaque dans le Maine-et-Loire Dans le Maine-et-Loire, de 2005

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

La sécurité routière. çadépend. aussi nous... www.mairie-bordeaux.fr

La sécurité routière. çadépend. aussi nous... www.mairie-bordeaux.fr La sécurité routière çadépend de aussi nous... www.mairie-bordeaux.fr 42 morts et plus de 3 000 blessés dans les rues de notre ville en deux ans : ça suffit. La sécurité routière, c est aussi notre affaire.

Plus en détail

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

FORMAT DE COMPETITIONS

FORMAT DE COMPETITIONS FORMAT DE COMPETITIONS BOSSES Les qualifications et les finales se déroulent sur la même journée. Une journée d entraînement sur le site est recommandée la veille de la compétition et un temps d entraînement

Plus en détail

L escroquerie dite «au faux patron» par la réalisation de virements frauduleux

L escroquerie dite «au faux patron» par la réalisation de virements frauduleux L escroquerie dite «au faux patron» par la réalisation de virements frauduleux Un phénomène de grande ampleur C est un phénomène qui touche essentiellement les sociétés françaises Les sociétés de toutes

Plus en détail

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial

Plus en détail

La cyberintimidation en Suisse : Résultats de l étude neteen

La cyberintimidation en Suisse : Résultats de l étude neteen La cyberintimidation en Suisse : Résultats de l étude neteen lic. phil. Fabio Sticca Jacobs Center for Productive Youth Development Forum national pour la protection de la jeunesse face aux médias, Fribourg,

Plus en détail

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité Sétra Savoirs de base en sécurité routière mars 2006 Vitesse et mortalité Avertissement : cette série de fiches est destinée à fournir une information rapide. La contrepartie est le risque d erreur et

Plus en détail

TMS les données belges relatives à la lombalgie

TMS les données belges relatives à la lombalgie TMS les données belges relatives à la lombalgie Pr Philippe Mairiaux Université de Liège «Comment prévenir les TMS?», Bruxelles, 22 octobre 2007 Epidémiologie de la lombalgie en population générale (Inserm

Plus en détail

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR 2009

REGLEMENT INTERIEUR 2009 CIRCUIT DU MAS DU CLOS LES PUIDS 23200 SAINT AVIT DE TARDES- AUBUSSON REGLEMENT INTERIEUR 2009 L utilisation de la piste et des infrastructures du Circuit du Mas du Clos entraîne automatiquement l acceptation

Plus en détail

Synthèse Assurance, responsabilité civile

Synthèse Assurance, responsabilité civile Synthèse Assurance, responsabilité civile SJE/mai 2013 REMARQUES PRELIMINAIRES : 1) Dans le cadre de sa mission d aide sociale à l enfance le Conseil général se voit confier des enfants. Le Département

Plus en détail