Les temps où l on disait «avortement
|
|
- Élodie Cantin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 leptospirose l l. interrogans l rongeurs l faune sauvage l bovins dossier Par Geneviève André-Fontaine 1 et Angeli Kodjo 2 1. Ecole nationale vétérinaire de Nantes - BP F Nantes Cedex Ecole nationale vétérinaire de Lyon - 1, Av. Bourgelat - F Marcy-L Etoile andre-fontaine@vet-nantes.fr Leptospirose et troubles de la reproduction chez les bovins La leptospirose est une infection des cheptels aussi fréquente que méconnue. Les temps où l on disait «avortement donc brucellose» sont maintenant considérés comme appartenant au passé. La lutte contre la brucellose, maladie abortive majeure des bovins, a été menée avec suffisamment d efficacité pour qu actuellement la France soit officiellement indemne, même si quelques cas sporadiques sont encore relevés. Malgré tout un taux d avortements de l ordre de 12% dans un cheptel est encore toléré dans la filière bovine, le taux de 5% paraissant inévitable. Les agents infectieux associés aux syndromes d avortement et d infertilité, sont multiples mais le poids relatif de chacun de ces différents agents est d autant plus difficile à estimer qu ils agissent souvent en association. Parmi ces facteurs il faut compter les leptospires. Au cours des 10 dernières années, en France, les praticiens ont suspecté l intervention des leptospires et demandé un diagnostic sérologique pour près de cheptels affectés de troubles de la reproduction. Sur environ animaux soumis au test de microagglutination (MAT), test de référence de la leptospirose, on trouve une prévalence sérologique de l ordre de 20%. A partir de ces données sérologiques centralisées, on peut apprécier les sérogroupes les plus fréquents auxquels sont exposés les bovins en France (Figure 1) : ainsi 22,6% des animaux ont des anticorps agglutinant Icterohaemorrhagiae, 28,6% Grippotyphosa, 29,6% Sejroe/Hardjo et 30,6% Australis. Il n est pas rare, et souvent en début de réponse immunitaire, que les animaux présentent des anticorps agglutinant plusieurs sérogroupes. Ces données permettent d affirmer que l infection par les leptospires n est pas rare chez les bovins mais pas d établir la fréquence des conséquences pathologiques. Pour répondre à cette question, une étude sérologique castémoin (avortées versus non avortées) menée en RÉSUMÉ Maladie infectieuse très liée à l environnement, la leptospirose est une infection fréquente dans les cheptels bovins. Son action insidieuse, se traduit essentiellement par des troubles de la reproduction sans signes critères permettant d orienter le diagnostic différentiel du praticien. Après infection, les bovins comme de très nombreux Mammifères réservoirs appartenant à la faune sauvage (Rongeurs en particulier) peuvent devenir excréteurs urinaires. La remarquable capacité de survie dans les zones humides de ces bactéries facilite ainsi la diffusion hydrique et la contamination entre espèces sauvages et domestiques, voire même entre cheptels. L Homme exposé à une souche infectieuse peut, en fonction de la dose et du sérogroupe auquel elle appartient, développer une maladie aiguë parfois mortelle si le diagnostic est tardif. En l absence de vaccins disponibles, les éléments épidémiologiques sont déterminants pour la lutte (diagnostic, traitement) a mis en évidence un risque d avortement augmenté chez les animaux sérologiquement positifs avec un odd-ratio de 2,7 (5). La présence d anticorps agglutinants contre les leptospires, et donc l infection qui les a provoqués, est donc bien un facteur de risque d avortement. L impact IH+ GRIP+ SJ/HJ+ AUS+ sérogroupes/sérovars Figure 1. Répartition des 4 sérogroupes principaux chez les bovins exprimés en pourcentages (nombre de positifs pour un sérogroupe donné rapporté aux 8086 animaux positifs en micro-agglutination). IH : Icterohaemorrhagiae ; GRIP : Grippotyphosa ; SJ/HJ : Sejroe/Hardjo ; AUS : Australis. 53
2 Leptospirose et troubles de la reproduction chez les bovins chien, en passant par une symptomatologie intermédiaire comme celle observée chez nos animaux de production. Déroulement de l infection 54 des leptospires sur la fertilité proprement dite des troupeaux est encore plus difficile à estimer et les données sur la part précise du rôle des leptospires au niveau de la production bovine française restent fragmentaires. Origine de l infection Les leptospires pathogènes (Leptospira interrogans sl) doivent être différenciés des leptospires saprophytes (Leptospira biflexa sl) constituant une espèce distincte. Si eaux douces et zones humides sont le milieu naturel des leptospires saprophytes, les leptospires pathogènes, infectieux et donc multipliés par leurs hôtes (et non dans l environnement) jouissent malgré tout de remarquables propriétés de survie dans ce même milieu. Les leptospires ne supportent pas la dessiccation mais survivent longtemps dans les eaux douces. Ces propriétés sont des éléments clés de la mise en œuvre de mesures de lutte. Le cycle naturel des leptospires pathogènes comprend donc leurs hôtes (multiplicateurs, cliniquement sensibles ou non) et l environnement. Une autre particularité des leptospires est la diversité des hôtes qu ils peuvent infecter. Ces hôtes appartiennent tant à des espèces sauvages (rongeurs, hérisson, ragondin, sangliers, renards etc..) qu à des espèces domestiques (ruminants, porc, chien). Tous les niveaux de conséquences cliniques individuelles après infection par les leptospires sont possibles en fonction des espèces : de l infection totalement asymptomatique chez le rat et la souris, à la maladie rapidement létale chez le Les leptospires pénètrent dans l organisme par voie cutanéo-muqueuse. Germes très mobiles, ils gagnent la circulation sanguine où ils se multiplient en provoquant éventuellement un pic fébrile. Ils gagnent alors les organes cibles que sont foie et reins et dans une moindre mesure le tractus génital. Chez la vache (14), cette première phase de l infection peut induire une chute brutale de la production du lait qui prend alors une teinte rosée («milk drop syndrom»). La colonisation du foie perturbe le métabolisme hépatique comme la synthèse des porphyrines. Ceci provoque parfois chez certaines races à peau non pigmentée comme la Charolaise, des signes spectaculaires de photosensibilisation avec perte de lambeaux entiers d épiderme (Photo 1). Exceptionnellement chez le veau l atteinte hépatique peut être importante et conduire au développement d un ictère. Ces signes cliniques caractéristiques sont cependant relativement rares et la phase d infection des animaux passe souvent inaperçue car asymptomatique. Les avortements sont des manifestations plus remarquées de la leptospirose bovine. Dans certains cas la gestation est menée à son terme mais la viabilité du produit peut être compromise. Le rôle des leptospires dans les avortements des bovins, estimé à 6 et 10 p. cent respectivement au Canada et aux Etats- Unis (12) est bien identifié dans certains pays européens comme la Grande Bretagne et les Pays-Bas où le sérovar Hardjo (sérogroupe Sejroë) est plus particulièrement relevé. Il existe des variations géographiques, le sérogroupe Pomona, préoccupation du continent américain est peu représenté en Europe de l ouest alors que le groupe Australis y est très présent. D expression encore plus insidieuse, les conséquences de l infection ne sont perceptibles qu au niveau du cheptel. Des signes d infertilité, conduisent à des inséminations répétées, des intervalles sevrages-saillies fécondantes allongés (12). Ainsi dans une enquête cas-témoins réalisée en 2005 sur des élevages bretons, le titre sérologique moyen vis-à-vis du sérogroupe Australis des cheptels à retours tardifs (>25 jours) est significativement plus élevé que celui observé dans le groupe témoin à bonnes performances de reproduction (10). Le mode d action des leptospires est encore obscur : agissent-ils directement par invasion du fœtus ou par altération du placenta, ou encore indirectement par des facteurs de
3 Cliché : ENVN Cliché : S. Bouisset dossier virulence libérés dans la circulation? Un élément semble important dans le développement d une expression clinique, c est la présence d une co-infection qu elle soit virale par le BVD (13), le BHV1 et peut-être plus récemment par le BTV8, bactérienne Coxiella burnetii (10) ou parasitaire. Ainsi sur 161 fœtus dont 23 p.cent étaient positifs à Neospora caninum, 6 étaient co-infectés par les leptospires (9)(10). En tout état de cause, un animal infecté par des leptospires, qu il exprime ou non des signes cliniques peut devenir un porteur rénal et un potentiel excréteur urinaire, mais le portage peut aussi se situer au niveau du tractus génital, en particulier pour le sérovar Hardjo chez les bovins. L origine de l infection d un cheptel peut être différente en fonction des sérovars. Ainsi si l on admet que les bovins sont les hôtes principaux de Hardjo, le spectre d hôtes d autres sérogroupes comme Australis, Icterohaemorrhagiae ou Grippotyphosa paraît beaucoup plus large (hérisson, mulots, rats musqués, ragondins etc.) (3). L infection d un cheptel peut donc être soit d origine exogène par contact avec un milieu contaminé par ces espèces de la faune sauvage soit lié à l introduction d un bovin porteur bien que ne présentant aucun signe clinique. Tous ces aspects expliquent la difficulté même de la suspicion de leptospirose et par suite de son diagnostic clinique et épidémioclinique. Le laboratoire est une aide précieuse pour établir un diagnostic compte tenu des aspects polymorphes que peut emprunter la leptospirose au sein d un cheptel. Les méthodes bactériologiques classiques d isolement ne sont pas utilisables dans ce cadre, les leptospires étant très fragiles et nécessitant un milieu spécifique EMJH (milieu de Ellinghausen Modifié par Johnson Harris). C est tout l intérêt de la PCR, qui peut mettre en évidence le matériel génétique de bactéries dégradées. Cependant les conditions de prélèvement et d extraction doivent être fortement encadrées (7) pour éviter les erreurs par excès ou par défaut. La méconnaissance des détails chronologiques de la pathogénie des leptospires dans les troubles de la reproduction ne permet pas encore d affirmer de façon absolue que le prélèvement le plus adapté est le fœtus lui-même (et quels organes) ou ses annexes fœtales. Il semblerait que les cotylédons placentaires soient le prélèvement à privilégier en cas d avortement, mais ceci reste à valider. Les méthodes sérologiques permettant le diagnostic indirect de l infection sont encore actuellement les plus pratiquées, notamment la méthode de référence qu est l agglutination microscopique (MAT) (Photo 2). Les anticorps capables d agglutiner l une des Photo 1. Photosensibilisation d une vache charolaise. Photo 2. Test de Microagglutination (MAT) : agglutination d une culture de leptospires en fonction du titre en anticorps agglutinants (minimum cliché inférieur gauche, maximum cliché inférieur droit) différentes cultures de leptospires vivants composant un panel représentatif des sérogroupes sont mis en évidence et quantifiés dans les sérums des animaux (2). Compte tenu de la fréquence de l infection asymptomatique, les résultats ne peuvent être interprétés qu à partir d un échantillonnage d animaux du cheptel et qu à la lumière des commémoratifs cliniques et chronologiques. Des méthodes d agglutination dérivées utilisant des antigènes tués sont commercialisées mais donnent des résultats variables qui s expliquent par l utilisation, lors de leur préparation, d agents inactivateurs altérant les antigènes de surface interférant avec les agglutinines. D autres méthodes en particulier immunoenzymatiques se développent mais les antigènes utilisés sont très différents d un fabricant à l autre : il peut s agir d extrait total soit de leptospires pathogènes, soit de saprophytes porteurs d antigènes réactionnels croisés avec ceux qui réagissent dans le MAT, il peut s agir encore de sous fractions comme des protéines recombinantes sans lien 55
4 Leptospirose et troubles de la reproduction chez les bovins 56 avec les antigènes lipopolyosidiques impliqués dans le MAT (Lipl32, LipL41), etc. (15, 17). Il convient de prêter attention à la nature des antigènes utilisés pour le diagnostic sérologique car certains kits ELISA par exemple ne permettent de détecter que les anticorps dirigés contre le sérovar Hardjo voire les éventuelles coagglutinines provoquées par une infection en réalité induite par un autre sérogroupe. Ceci limite leur champ d utilisation si l on se réfère aux données de prévalence acquises en France (Figure 1) et peut biaiser la perception de «diagnostic de la leptospirose bovine» demandé par les praticiens, demande qui ne peut préjuger du sérogroupe impliqué. En tout état de cause c est le profil sérologique du cheptel (ou l échantillon représentatif ) qui permet d apprécier le caractère récent et évolutif ou non de l infection leptospirosique responsable des anticorps mis en évidence. On entend par «profil» les aspects qualitatifs (sérogroupes) mais aussi quantitatifs c est à dire la prévalence intracheptel et les titres obtenus sur les différents animaux pour les différents sérogroupes. Méthodes de lutte En milieu infecté Quand l infection est confirmée et patente, on peut traiter le cheptel par des antibiotiques auxquels les leptospires sont très sensibles in vitro : pénicillines, dihydrostreptomycine, cyclines (1, 11). Les doses usuelles sont généralement 12,5mg/kg pour la streptomycine, 10 à 15 mg/kg deux fois par jour pour les tétracyclines, 20mg/kg à 48 heures d intervalle pour la TLA. Néanmoins, les résultats in vivo peuvent être différents et le bénéfice du recours à ce traitement doit être analysé en fonction du poids financier direct car il est alors nécessaire de traiter à l aveugle l ensemble du cheptel, les animaux qui avortent n étant pas nécessairement les plus dangereux épidémiologiquement sans oublier les pertes associées aux délais d attente, et enfin tenir compte du fait que le cheptel peut se recontaminer si la source se trouve dans l environnement. (16) Les méthodes sanitaires de base ont comme premier objectif de maîtriser les réservoirs de leptospires. Elles doivent au premier chef se focaliser sur les espèces reconnues réservoirs principaux. Le groupe des rongeurs est considéré comme le réservoir majeur des leptospires avec Icterohaemorrhagiae chez le surmulot, Grippotyphosa chez les micromammifères, Australis chez le hérisson mais de nombreuses espèces peuvent être des hôtes amplificateurs pour des souches dont ils ne sont pas les réservoirs principaux. Leur rôle épidémiologique peut être déterminant en fonction de l importance de leur population comme le ragondin par exemple mais les données sont incomplètes pour de nombreuses espèces de notre faune sauvage. Par ailleurs, certaines espèces domestiques peuvent jouer un rôle de réservoir tout aussi efficace pour certains sérovars. Si la circulation du sérovar Hardjo a été relevée chez des animaux de la faune sauvage (3-16) qu il s agisse de Hardjo bovis isolé en Amérique du Nord et appartenant à l espèce génomique L. borgpetersenii ou de Hardjo prajitno (espèce génomique L. interrogans ss) au Royaume Uni, les bovins seraient le véritable réservoir de Hardjo. La gestion sanitaire d une leptospirose évolutive confirmée dans un cheptel bovin, à l exclusion de traces sérologiques anciennes, doit donc prendre en compte les deux sources possibles de cette infection qu elle soit exogène (environnement et faune sauvage) ou endogène (bovin porteur et excréteur asymptomatique). Elle repose de toutes façons sur des mesures de dératisation des élevages et contrôle des populations de micromammifères, qui peuvent jouer un rôle d hôte amplificateurs pour des souches éliminées par des bovins, des mesures d assainissement du mode d abreuvement et du stockage des aliments afin de diminuer la pression infectieuse à laquelle sont exposés les animaux. Mais si la maîtrise de la circulation intra-cheptel peut être réalisée en stabulation avec l aide ponctuelle du traitement antibiotique (malgré ses inconvénients), on comprend que la maîtrise du vaste réservoir sauvage que constitue les rongeurs et l environnement est illusoire et quand l impact sur la production bovine est réellement appréhendé, certains pays recourent à l utilisation de vaccins contre les leptospires. Plusieurs préparations vaccinales à usage bovin existent, aucune, bien qu une AMM ait été délivrée récemment, n est commercialisée actuellement en France. Les vaccins actuels contre la leptospirose animale (ou humaine) sont tous des suspensions de bactéries tuées avec ou sans adjuvant et leur objectif est d induire chez le vacciné la production d anticorps agglutinants (mis en évidence par le MAT) et dirigés contre les antigènes de la membrane externe des leptospires. Cependant compte tenu de la multiplicité de ces déterminants, objectivée par l existence de l ancienne classification sérologique des leptospires, il convient d adapter la composition du vaccin aux conditions épidémiologiques des pays concernés. Comme pour le chien (Icterohaemorrhagiae et Canicola), ces préparations peuvent donc
5 Cliché : ENVN dossier être composées de plusieurs sérovars ou au contraire se limiter à un seul, considéré comme majeur. Ainsi dans les zones où Pomona est très important comme en Amérique du Nord ou en Australie, une préparation pentavalente (Lepto Shield 5 ND) comportant ce sérovar est utilisée. En Europe, seul le sérovar Hardjo est pris en compte (6, 8) pour la vaccination des bovins (Spirovac et Leptavoid ). Ces préparations sont adjuvées et administrées en 2 injections à intervalle de 4 à 6 semaines pour la primovaccination. Expérimentalement ces vaccins provoquent également pendant plusieurs mois une importante réponse Th1 avec production d interféron gamma (8, 17). Le recours à la vaccination par Hardjo est indiqué si à la suite d une série d avortements, d une chute brutale de la production de lait ou de l observation d un déficit du taux de fécondité d un cheptel, le rôle, seul ou associé, des leptospires de ce sérovar est confirmé. Au niveau individuel, la vaccination induit une réponse humorale spécifique des sérovars composant le vaccin. Néanmoins la présence d anticorps colostraux chez le veau de 4 semaines risque de retarder l installation de la protection (18). Le rôle essentiel de la vaccination est de limiter le portage et l excrétion urinaire (6), permettant ainsi de réduire la pression infectieuse à laquelle sont exposées génisses et primipares, catégories d animaux particulièrement sensibles à une primo infection. La maîtrise des autres facteurs infectieux associés (BVD, Néosporose, etc..) doit aussi être prise en compte. L intérêt princeps de la vaccination ne réside pas dans la protection individuelle mais bien dans l amélioration des performances globales économiques de l élevage en restaurant en particulier une fertilité satisfaisante, et en diminuant le nombre d animaux excréteurs asymptomatiques, elle réduit les risques de contamination entre animaux. Employée largement au Royaume Uni, la vaccination des cheptels infectés a limité le risque de diffusion du sérovar infectant vers les élevages indemnes. Outre la réponse sérologique spécifique, la vaccination stimulant une bonne réponse Th1 provoque une immunité cellulaire de spécificité moins restreinte que l immunité humorale (8) qui pourrait être un appoint intéressant dans les cas de leptospirose provoquée par d autres sérovars que ceux pour lesquels les préparations sont produites (1). En milieu non infecté En milieu non infecté, l introduction d un reproducteur, éventuel porteur et excréteur, peut être une source d infection. Le contrôle sérologique de cet animal par le MAT donne une indication de son statut sanitaire par rapport aux leptospires mais en aucun cas une certitude si, comme pour de nombreuses maladies infectieuses, celui du cheptel est inconnu. L animal peut être sérologiquement positif sans être porteur. C est pourquoi l OIE recommande deux injections de streptomycine à 15 jours d intervalle sur de tels animaux. La leptospirose zoonose (3, 4) En France métropolitaine, quelque 300 cas annuels de leptospirose sont diagnostiqués chez l Homme. La majorité des contaminations ont pour origine les eaux douces environnementales, que ce soit lors d activités professionnelles ou de loisir. Si des mesures d hygiène de base sont observées visà-vis des bovins y compris lors d avortement, le risque de contamination des éleveurs et des vétérinaires est limité. Néanmoins, la charge infectieuse présente dans l environnement (mares, abreuvoirs) ne peut pas être ignorée. Conclusion Du fait de son caractère zoonotique (4) et de son poids économique, la leptospirose des animaux d élevage fait l objet de l attention de l OIE (Organisation Mondiale de la Santé Animale) (19) qui la prend en compte lors des échanges internationaux d animaux. En revanche elle ne fait pas l objet de contrôles réglementaires dans les échanges entre pays de l Union Européenne, ce qui n empêche pas certains importateurs de demander quelques garanties à son sujet. Photo 3. Contamination des animaux à partir de l environnement souillé par l urine d un animal excréteur. 57
6 Leptospirose et troubles de la reproduction chez les bovins Bibliographie 1 - ALT DP, AND BOLIN CA. Preliminary evaluation of antimicrobial agents for treatment of Leptospira interrogans serovar pomona infection in hamsters and swine. Am.J.Vet. Res. 1996;57: Anonymes. Rapports annuels d activités B2ML-ENVN. In: Rapports annuels d activité du CNR des leptospires, Institut Pasteur (Paris). 3 - ANDRE-FONTAINE G, BARANTON G. Leptospiroses animales, la leptospirose humaine en métropole. Bull. Epidémiologique. Afssa. 2004;12: ANDRE-FONTAINE G, BOUDET R, DE COQUET J, REYNAL PH, GANIERE JP, LARRAT M. Contamination humaine et animale par Leptospira interrogans australis. Méd. Mal. Infect. 1992;22: ANDRE-FONTAINE G, GANIERE JP, QUINIOU MA. Prévalence des anticorps antileptospires chez les bovins en Loire-Atlantique. 1- Etude comparative dans des cheptels avec et sans antécédent abortif. Rec. Méd. Vét. 1988;164: BOLIN CA, CASSELLS JA, ZUERNER RL, AND TRUEBA G. Effect of vaccination with a monovalent Leptospira interrogans serovar hardjo-bovis vaccine on type hardjo-bovis infection of cattle. Am. J. Vet. Res. 1991;52: BRANGER B, BLANCHARD B, FILLONNEAU C, SUARD I, AVIAT F, CHEVALLIER B, ANDRE-FONTAINE G. Polymerase chain reaction assay specific for pathogenic Leptospira based on the gene hap1 encoding the hemolysis-associated protein- 1. FEMS Microbiology Letters. 2005;243: BRIAN M, NAIMAN, ALT D, BOLIN C A, ZUERNER R, BALDWIN CL. Protective killed Leptospira borgpetersenii vaccine induces potent Th1 immunity comprising responses by CD4 and T lymphocytes. Infection and Immunity. 2001;69(12): CORBELLINI LG, CA P, FRANTZ F, WUNDER E, STEFFEN D, SMITH DR, DRIEMEIER D. Diagnostic survey of bovine abortion with special reference to Neospora caninum infection: importance, repeated abortion and concurrent infection in aborted fetuses in Southern Brazil. Vet. J. 2006;172: GENEST G. Statuts individuels et de troupeaux en élevages laitiers bretons vis-à-vis de différents agents infectieux : comparaison dans 3 situations de reproduction-type. Thèse de Doctorat Vétérinaire ENV Nantes, 3 février :120pp GERRITSEN MJ, KOOPMANS MJ, OLYHOEK T. Effect of streptomycin treatment on the shedding of and the serological responses to Leptospira interrogans serovar hardjo subtype hardjo bovis in experimentally infected cows. Vet. Microbiol. 1993;38: GROOMS DL. Reproductive losses caused by bovine viral diarrhea virus and leptospirosis. Theriogenology. 2006;66: GROOMS DL, BOLIN CA. Diagnosis of fetal loss caused by bovine viral diarrhea virus and Leptospira spp. Vet Clin North Am Food Anim Pract. 2005;21: HIGGINS RJ, HARBOURNE JF, LITTLE TWA, STEVENS AE. Mastitis and abortion in dairy cattle associated with Leptospira of the serotype hardjo. Vet. Rec. 1980;107: MARIYA R, CHAUDHARY P, KUMAR AA, THANGAPANDIAN E, AMUTHA R, SRIVASTAVA SK. Evaluation of a recombinant LipL41 antigen of Leptospira interrogans serovar Canicola in ELISA for serodiagnosis of bovine Leptospirosis. Comp. Immunol. Microbiol. Infect. Dis. 2006;29: MICHEL V, RUVOEN-CLOUET N, MENARD A, SONRIER C, FILLONNEAU C, RAKOTOVAO F, GANIERE JP, ANDRE-FONTAINE G. Role of the coypu (Myocastor coypus) in the epidemiology of leptospirosis in domestic animals and humans in France. Eur. J. Epidemiology. 2006;17: NAIMAN BM, ALT D, BOLIN CA, ZUERNER R, BALDWIN C. Protective killed Leptospira borgpetersenii vaccine induces potent Th1 immunity comprising responses by CD4 and gamma delta lymphocytes. Infect. Immun. 2001;69: PALIT A, MIDDLETON H, SHEERS J, BASILONE C. The influence of maternal antibody and age of calves on effective vaccination against Leptospira interrogans serovar hardjo. Australian Veterinary Journal. 1991;68: RAUTUREAU S. Bilan du statut sanitaire des bovins et des porcs vis-à-vis de la leptospirose dans l Union Européenne. Thèse de doctorat ENV de Nantes, 13 février 2003:75pp TRUEBA GA, BOLIN CA, THOEN CO. Evaluation of an enzyme immunoassay for diagnosis of bovine leptospirosis caused by Leptospira interrogans serovar hardjo type hardjobovis. J. Vet. Diagn. Invest. 1990;2:
Tuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailENTENTE INTERDEPARTEMENTALE
ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailBREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance
Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et
Plus en détailLe point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne!
Le point sur l IBR Manuel pratique à l attention des éleveurs la maladie la lutte les statuts élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Manuel pratique à l attention des éleveurs - décembre
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailUN VEAU PAR VACHE ET PAR AN
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailCommission des Recherches Bovines
Commission des Recherches Bovines Bilan des activités 2002-2006 Composition de la commission Représentants des depts GA (4), PHASE(4+2), SA(3) CEPIA (1), SAE2(1), SAD(1) Représentants des Ecoles Sup Agronomiques
Plus en détailCROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine
CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes
Plus en détail22/12/11. Plan de la présentation
http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailMÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012.
Agence nationale du médicament vétérinaire BP 90203-35302 Fougères cedex Téléphone : 02 99 94 78 78 - Télécopie : 02 99 94 78 64 MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDéveloppement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage
Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailGESTION D UN CAS DE BOTULISME EN ELEVAGE DE POULET STANDARD : CONDUITE D UN LOT TOUCHE JUSQU A L ABATTAGE. Xavier Châtenet
GESTION D UN CAS DE BOTULISME EN ELEVAGE DE POULET STANDARD : CONDUITE D UN LOT TOUCHE JUSQU A L ABATTAGE Xavier Châtenet Docteur Vétérinaire, 85505 Les Herbiers Gestion d un cas de botulisme en élevage
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailLaboratoire de Touraine Page 1
FDK LVD/BIO/SER/943 Recherche d'anticorps contre le Syndrome Buvard(s) Elisa Indirecte Kit Monocupule Idexx FAC LVD/BIO/SER/951 Recherche d'anticorps totaux contre la Maladie Buvard(s) Elisa Indirecte
Plus en détailCOMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailBrucella. B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length
Brucella B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length Projet BBSRC-ZELS: contrôle multisectoriel de la brucellose dans les principales
Plus en détailInstructions aux auteurs
Instructions aux auteurs Les Cahiers de la Référence sont une publication électronique, qui a pour objectif de partager et de valoriser l ensemble des activités de référence. Ils sont destinés à favoriser
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailIntroduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité
Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détail