Recensement et protection De la biodiversité au Maroc Complexe lagunaire Oualidia / Sidi-Moussa

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1 Recensement et protection De la biodiversité au Maroc Complexe lagunaire Oualidia / Sidi-Moussa Compte-rendu année 2016 GÉRARD SCHMITT 1. PRÉSENTATION DES DIFFÉRENTS PARTENAIRES - Le GREEPOM * (Groupement de recherche pour la protection des oiseaux au Maroc) sous filiation de Bird Life international collecte les données et pilote les partenaires sur les mesures à suivre suite aux conclusions de ces études. *association regroupant des universitaires de l Institut scientifique de Rabat au sein de l Université Mohamed V et de nombreux ornithologues chargés du suivi des espèces d oiseaux sédentaires et migratrices du Maroc. - le Haut Commissariat marocain des Eaux et Forêts et de la lutte contre la désertification, chargé de la réalisation d un plan de protection de la lagune de Oualidia. - L association GLAAE coordinatrice auprès de Planète Urgence et porteuse du projet avec des différents partenaires et intervenants locaux. 2. LE PROJET PRÉSENTÉ PAR GLAAE A PLANÈTE - URGENCE L élévation considérable en 150 ans du taux de CO2 dans l atmosphère est un facteur majeur dans le changement climatique global que les travaux du groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont mis en évidence. Le comportement de la faune sauvage semble être un indicateur des effets que ce bouleversement entraîne, comme le soulignent plusieurs chercheurs dont F. Jiquet ou Yves Dubois, Maîtres de conférences au Muséum National d Histoire Naturelle, à l occasion des journées mondiales des oiseaux migrateurs (les 11/12 mai :

2 «Les oiseaux migrateurs sont les premiers indicateurs d impact des changements». C est dans ce cadre que le «GLAAE», en collaboration avec un ornithologue/ photographe naturaliste, a sollicité Planète Urgence en 2011 pour une étude de 5 ans au Maroc. Cette étude se situe à Oualidia, dans le complexe lagunaire «Oualidia/Sidi- Moussa». C est sur 45 km de côtes que les oiseaux vont et viennent d une lagune à l autre au gré des marées et du dérangement, le tout forme une unité indissociable : le complexe lagunaire «Oualidia/Sidi-Moussa». Après une pause de «remise en forme» sur le complexe, les oiseaux reprennent leur route vers le sud. Dans le cadre de cette étude, lors de ce passage migratoire tous les oiseaux sont comptés, en notant les dates de passage et l échelonnement des stationnements. Ces chiffres fourniront des conclusions sur le comportement des oiseaux du paléarctique occidental en migration (hémisphère nord). Bien évidemment ce n est pas à l échelle de ce complexe lagunaire qu il faudra évaluer les tendance mais au niveau international. Ces données serviront de matériaux à la communauté internationale des chercheurs pour extrapoler les tendances et estimer les mesures à préconiser. Le GLAAE transmet les données collectées à 3 partenaires intervenant sur ces thématiques : - l Association de la lagune de Oualidia (APLO) créée en 2005, qui travaille à la protection de l environnement de la lagune de Oualidia et cherche à la faire évoluer en statut de zone protégée. - Le GREEPOM (Groupement de recherche pour la protection des oiseaux au Maroc) sous filiation de Bird Life international collecte ses données et pilote les partenaires sur les mesures à suivre suite aux conclusions de ces études. - le Haut Commissariat marocain des Eaux et Forêts, qui est chargé de la réalisation d un plan de protection de la lagune de Oualidia. 3. LES MISSIONS RÉALISÉEES En octobre et novembre 2011et 2012 dix huit volontaires se sont succédés lors

3 de 3 missions. En octobre et novembre 2013 dix huit volontaires ont participé aux missions puis en 2014 il y a eu onze volontaires et quatre en 2015 puis sept en 2016 soit au total 58 volontaires sur ces missions. Une première journée de coordination avec le Directeur de l Institut National de Recherche Halieutique (INRH) porte sur les différentes espèces d oiseaux pouvant être rencontrées sur site. Un livret de photos plastifiées destinées à identifier les espèces aux cours des missions est remis à chaque volontaire de Planète Urgence. Un des membres de l association GREPOM est également présent lors de la journée de formation pour présenter l association. Les volontaires participent ensuite au recensement des oiseaux migrateurs, sous la responsabilité d un ornithologue et photographe naturaliste. Cette activité se déroule tout au long du complexe lagunaire sur environ 50 km. On applique un protocole de dénombrement classique par stations et comptage avec des longues vues et jumelles. Une évaluation sur le terrain avec des kayaks de mer est pratiquée uniquement sur la lagune de Oualidia. Lors de cette sortie chaque volontaire relève sur des feuilles spécifiques les quelques espèces qui lui sont dévolues. 4. ÉVALUATION DE L IMPACT DE LA MISSION Toutes les données recueillies, espèce par espèce lors des comptages terrestres et en kayak sont remises au GREPOM, pour alimenter sa base de données. Les différentes missions menées depuis 2011 ont pu à cette occasion mettre en évidence des modifications comportementales concernant les dates de passage d oiseaux migrateurs. Par ailleurs nous avons pu constater la prolifération d espèces de Goéland liée à la proximité d une décharge en plein air. L étude des cétacés, quand la météo nous l autorise, montre une fréquentation bien plus importante qu en Méditerranée. Les observations en Méditerranée suivent la règle du 1 sur 3 alors que dans cette zone elles sont quasiment systématiques à chaque sortie : les groupes de dauphins observés étant souvent supérieurs à 50 individus. C est l abondance des ressources halieutiques qui explique le nombre élevé de dauphins au large de la lagune de Oualidia : zone bien plus poissonneuse due à la rencontre

4 des eaux chaudes par les eaux froides (Upweeling). Par suite du risque encouru pour rejoindre le large en Zodiac en traversant «la barre» nous avons suspendu momentanément ce comptage des mammifères marins. 5. RESTITUTION DES DONNÉES 51. DONNÉES ORNITHOLOGIQUES BILAN DU RECENSEMENT OISEAUX AQUATIQUES DU COMPLEXE LAGUNAIRE OUALIDIA/SIDI MOUSSA A - REMARQUES GÉNÉRALES Un site RAMSAR héberge une partie de l année au moins 1% de la population mondiale d une espèce. Pour ce complexe lagunaire de 50 km de long ce sont les 4 espèces suivantes : 1 - Sarcelle marbrée * Marmaronetta angustirostris 2 - Avocette élégante * Recurvirostra avocetta 3 Échasse blanche * Himantopus himantopus 4 Goéland d Audouin * Ichthyaetus audouinii * voir plus bas les chiffres dans les tableaux en bleu. Cette année 2016, le comptage des oiseaux aquatiques s'est déroulé sur 2 missions comptant 4 x 2 journées terrestres et une journée de kayak. Les conditions climatiques ont été favorables en mission n 1mais perturbées en mission n 2 fin octobre, la prospection a respecté le protocole. (voir en annexe) Cependant trois remarques s imposent : - le Maroc subit une sécheresse depuis plusieurs années, ce qui implique : des niveaux d eau très bas avec des sites en totalité ou partiellement asséchés. - Le mois de septembre en Europe a encore battu des records de température, créant des conditions de vie très favorable aux migrateurs qui se sont attardés, décalant leurs dates de migration. Comme expérimenté en 2013, la lagune de Oualidia, a été compté, depuis les

5 rives, avec une longue-vue pour les gros oiseaux dont la taille est supérieure à celle du courlis corlieu. Le passage en kayak vient ensuite corriger les chiffres «terrestres» en prenant en compte uniquement les oiseaux de taille inférieure ou égale au courli corlieu. Ceci pour éviter le double comptage, terrestre et en kayak et optimiser les deux. Il n est retenu sur la lagune que le chiffre maximum obtenu après ces deux passages. Les 13 secteurs on été maintenus en unité bio hydrologique s y ajoute à Sidi Moussa un milieu steppique. Soit - 2 lagunes : Oualidia et Sidi Moussa - 4 marais : Oualidia, El Merga, El Hotba, Sidi Moussa - 7 salines : Oualidia, El Merga, Sidi Brahim, El Hotba, Sidi Mbareck, Sidi Moussa et Sidi Abed - 1 steppe : Sidi Moussa Les secteurs au nombre de 43, sont divisés en «spot» bien cartographié. A noter quelques changements sur les unités bio hydrologiques : 1 - Les marais La station d épuration de Oualidia fonctionne maintenant correctement. Ses eaux sont rejetées au sud du village dans un ancien marais asséché. Cette zone retrouve donc sa vocation de marais «d eau douce». La sarcelle marbré et le fuligule niroca y ont niché (information Abdelack Fhami du GREPOM) ce qui constitue une rareté dans sa reproduction vers l ouest pour ce fuligule originaire de l est de l Europe. 2- La steppe C est une zone prise en compte auparavant mais intégrée aux salines de Sidi- Moussa. Vu le grand nombre de limicoles en halte migratoire sur ce site nous avons décider d isoler ce lieu et de le compter à par. 3 - Les salines L exploitation des salines est en déclin au Maroc, pour des raisons économiques. La baisse de fréquentation humaine de ces lieux est favorable à l avifaune dans un premier temps. A long terme les végétaux recolonisent ce milieu, il s eutrophise et s assèche perdant ainsi toute capacité d accueil de l avifaune. A Oualidia certaines salines habituellement bien fréquentées étaient à sec 4 - Pollution Nous avons trouvé des oiseaux morts sans en connaître les causes, il faudrait faire des analyses. La mer depuis Sidi Moussa jusqu à Oualidia présentait une écume de pollution comme celle présente en face du terminal maritime de Lof Jafsar.Un matin lors du comptage, les pêcheurs de la lagune de Sidi Moussa évoluaient à travers un champ d écume jaunâtre.

6 B - LES RÉSULTATS Nous avons comptabilisé : oiseaux aquatiques du 02 au 10 octobre 2016 mission n oiseaux aquatiques du 22 au 28 octobre 2016 mission n 2. ANNÉES MISSION 1 MISSION Après 4 années de comptage, nous pouvons comparer les chiffres.

7 LES LARIDÉS LARIDÉS Mission Mission Mission Mission Mission Mission Mission Goéland brun Goéland d Audouin * Goéland leucophée Goéland railleur Guiffette noire Mouette mélanocéphale Mouette rieuse Sterne caugek Sterne caspienne Sterne naine Goéland d Audouin * En 2013 le goéland d'audouin, présent avec 2700 oiseaux en octobre est arrivé à 4400 en novembre ce qui prouve l'importance de ce site pour son hivernage. En 2014, nous comptions 2600 goélands d Audouin mission 1, donc identique à 2013, mais augmentation par rapport à 2013 en mission 2 avec 5147 La baisse des activités du sel peut créer des zones de tranquillité pour ces oiseaux. En 2015 l effectif reste faible avec 1076 oiseaux. En 2016 gros afflux avec 6464 oiseaux fin octobre depuis le début de ces comptage c est le plus gros effectif. Ces salines demeurent d importance internationale pour ce goéland et justifient le classement RAMSAR. Cette espèce est facile à compter car se reposant de jour les oiseaux se regroupent en dortoir sur les salines. Goéland brun En 2013 dans la lagune de Oualidia le gros rassemblement de goélands bruns sur le banc de sable est toujours présent et oscille entre 4 à oiseaux avec 2 origines possibles: - une migration depuis le nord ouest de l'europe vers des lieux d'hivernage en Afrique de l Ouest. - l'attraction d'un dépôt d'ordures à ciel ouvert sur les hauteurs de Oualidia.

8 Il est difficile de compter les groupes d'oiseaux dépassant plusieurs milliers, l'erreur pouvant être très importante. Le nombre a diminué en 2014 entre le début et la fin du mois d'octobre. En 2014 la «décharge à ciel ouvert» s est beaucoup restreinte, les ordures sont incinérées et les goélands bruns sont peux nombreux vers la station. Une nouvelle donnée vient cependant modifier les chiffres cette année, c est le fort coefficient des marées qui recouvre le banc de sable de la lagune, privant les goélands de leur aire de repos. Jamais de mémoire locale la mer n est montée si haut. Es-ce un effet du changement climatique? Cette année 2015 après les forts marnages les goélands sont revenus sur le banc de sable en assez grand nombre. En 2016 nous atteignons de nouveau 7 à goéland lors des 2 comptages. Conclusion partielle pour les goélands bruns sur ces 4 dernières années : 1. Le dépôt d ordure attire probablement moins d oiseaux. 2. En l absence de reposoir comme le banc de sable de la lagune de Oualidia (dû aux grandes marée) les oiseaux passent la nuit ailleurs? 3. Il faudrait analyser «hors comptage» les données sur les goélands bruns trop enclin à fluctuation. Goéland leucophée - Quelques-un parmi les goélands bruns. Goéland railleur Peu nombreux Guifette noire Quelques dizaines d oiseaux en migration chaque année. Mouette mélanocéphale 2016 : 8 oiseaux max. Mouette rieuse 2016 année la plus basse avec 235 et 500 oiseaux. Les sternes Quelques oiseaux de passage et la sterne caugek plus régulière.

9 LES LIMICOLES LIMICOLES Mission Mission Mission Mission Mission Mission Mission Avocette élégante * Barge à queue noire Barge rousse Bécasseau cocorli Bécasseau maubèche Bécasseau minute Bécasseau sanderling Bécasseau variable Bécassine des marais Chevalier aboyeur Chevalier arlequin Chevalier culblanc Chevalier gambette Chevalier guignette Chevalier stagnatile Chevalier sylvain Combattant varié Courli cendré Courli corlieu Échasse blanche * Gravelot à collier inter Gravelot grand Huitrier pie Pluvier argenté Tournepierre à collier Avocette élégante * 2015 les avocettes se concentrent sur les marais de El Merga et de El Hotba en 2 ou 3 groupes, dérangés par les chasseurs : effectifs très fluctuants. En 2016 baisse importante sans cause évidente.

10 Echasse blanche * 2015 : 50% seulement des oiseaux par rapport à 2013 et Est-ce l effet «été indien» en Europe? 2016 légère baisse : assèchement des salines. Barge à queue noire Stable avant, 2016 baisse importante. Barge rousse Effectifs très variable. Dans la moyenne en Bécasseau minute Passage très constant : stabilité à quelques centaines d oiseaux. Bécasseau sanderling En augmentation - Passage fin octobre Bécasseau variable Maximum en 2014 : 7409 contre en 2013, augmentation de 40 %! Meilleure prospection - plus grande connaissance des lieux (effort de cartographie, spots de comptage plus judicieux stable début octobre mais hausse à la fin du mois avec un record à Chevalier gambette Stable et régulièrement réparti surtout à marée basse dans les lagunes en baisse. Combattant varié Stable sauf la mission 2 en est une mauvaise année avec 2/3 d oiseaux en moins. Courli cendré et courli corlieu Très grande variation d un mois sur l autre et suivant les années très peu d oiseaux des 2 espèces. Gravelot à collier interrompu Quelques centaines éparpillées sur les vasières et les salines. 2016, dans la moyenne. Grand gravelot Quelques milliers, après le bécasseau variable c est la deuxième espèce la plus

11 abondante. Ces 2 espèces représentent 60 % des limicoles. Début octobre 2016 effectifs dans la moyenne mais très gros passage en fin de mois. On arrive à plus de limicoles avec les bécasseaux variable sur un total de Ceux 2 espèces, le bécasseau variable et le grand gravelot représentent donc 75 % des limicoles fin octobre sur le complexe lagunaire. Pluvier argenté Population assez stable. Pas de variation significative en Tourne-pierre à collier Quelques centaines habituellement fin octobre 500 oiseaux : exceptionnel. Remarques 2016 Effectif des avocettes et échasses : en baisse. Grand gravelot et bécasseau variable : gros passage fin octobre. LES PALMIPÉDES, FOULQUES, GRÉBES PALMIPEDES Mission Mission Mission Mission Mission Mission Mission Canard chipeau Canard colvert Canard pilet Canard siffleur Canard souchet Cormoran européen Cormoran marocain Fou de bassan Foulque macroule Foulque caronculée Fuligule milouin Fuligule morillon Gallinule poule d'eau

12 Grèbe à cou noir Grèbe castagneux Grèbe huppée Harelde boréale Nette rousse Taléve sultane Râle d'eau Sarcelle d hiver Sarcelle marbrée * Tadorne de Belon Total A noter pendant une dépression de 3/4 jours autour le 20 octobre. Fou de bassan : gros passage venant du nord - plusieurs centaines à l heure. Puffin cendré : quelques dizaines à heure. Sarcelle marbrée * Effectif stable, mais dérangement par la chasse. La sarcelle marbrée, très craintive s envole en voyant nos télescopes à 500 m. Les hivernants arrivent plus tard en saison : janvier et février sarcelles marbrées à Oualida en février Les salines de Oualidia et les marais de El Hotba sont des zones d hivernages à protéger en priorité. La sarcelle marbrée s est reproduite à Oualidia au sud de la lagune dans le marais belle effectif avec plus de 500 oiseaux Canard Colvert 2016 fluctuation des effectifs, chasse probable. Canard souchet Effectifs stable en Canards chipeau, siffleur, sarcelle d été Inexistants ou presque. Canard pilet Fluctuant en petit nombre

13 Grand cormoran et cormoran marocain 2015 en baisse pour les 2 espèces plus nombreux fin octobre. Foulque macroule Effectifs stable avec un pic de fréquentation en Foulque caronculé Premier contact en 2013 depuis en augmentation. Expansion de cette espèce à suivre vers le sud comme celle de la talève sultane quelques oiseaux seulement. Remarque En 2016 pour les canards il faut noter l'absence totale des plongeurs comme précédemment, mais une assez bonne représentation des canards de surface. LES GRANDS ÉCHASSIERS GRANDS ECHASSIERS Mission Mission Mission Mission Mission Mission Mission Aigrette garzette Cigogne blanche Flamand rose Grande aigrette Héron cendré Héron gardebœufs Spatule blanche Total

14 Aigrette garzette En diminution constante. Cigogne blanche Il reste quelques dizaines d oiseaux sédentaires dans les villages près des marais et des lagunes à qui se mêlent les migratrices. La plupart s alimentent sur les ordures. Flamant rose Comme les cigognes, ces échassiers se déplaçant en groupes, ils peuvent changer de lieu très rapidement. En 2016 les groupes sont très stables en effectifs mais se déplacent beaucoup d une saline à l autre. Grande aigrette Très rare. Héron cendré Stable autour de 150 individus. Héron garde-bœuf Plutôt lié au bétail dans les milieux secs, avec dortoir dans les marais Visite de la décharge de Oualidia avec plus de 1000 hérons garde-bœuf Spatule blanche Des passage en petit nombre et se dirigeant vers le sud. OISEAUX REMARQUABLES Chevalier Stagnatile Marais de El Hotba. Déjà noté en 2012 à la saline de Sidi Mbareck. Un ou deux oiseaux observés tous les ans. Hibou moyen duc Première observation en 2016 pendant les comptages depuis5 ans. Faucon d Éléonore En 2016 quelques individus de passage. Remarque sur le comptage 2016 : Nous avons intégré au comptage la zone steppique de Sidi Moussa entre la mer

15 et la lagune : 4000 grands gravelot sur ce site. Nous avons aussi compté les hérons garde-bœufs sur les poubelles de Oualidia, soit 1000 hérons habituellement non compté. C CONCLUSION POUR 2016 Belle hivernage du Goéland d Audouin et de Sarcelle Marbrée. Diminution de l Echasse Blanche et de l Avocette Elégante. Total hors goélands bruns, des effectifs d oiseaux aquatiques de 2013 à Début octobre Fin octobre et début novembre La moyenne s élève à oiseaux avec un pic à fin octobre Au Maroc, les zones humides sont rares et très précaires, assaillies par le tourisme, l'agriculture intensive, les pollutions industrielles, l'avancée du Sahel, les sécheresses, les perturbations climatiques, la chasse, et le surpâturage. Les oiseaux aquatiques trouvent pourtant en ces lieux, les zones de quiétude et de gagnage, qui leurs sont indispensables. Il faut protéger ces milieux.tout ce travail de recensement, saisie de données, plate-forme de discussion - réalisé par les volontaires de Planète Urgence - permet au GREPOM de bénéficier de données de terrain indispensables à la bonne gestion de ces milieux. Cette année 2016 a vu le centre d initiation à la nature ouvrir ses portes - bravo pour cette belle réalisation - Il faut noter aussi la construction par l office des eaux et Forets d un observatoire sur les salines de Oualidia. Ce centre d initiation résulte de la coopération entre 3 partenaires : 1 - la commune de Oualidia qui a donné le terrain et délégué Mr Abdelhak Fhami qui anime avec brio et efficacité ce centre. 2 - le GREEPOM qui le gère. 3 - l Office National des Eaux et Forêts qui l a financé et réalisé réalisé.

16 Merci encore aux volontaires de Planète Urgence qui réalisent les comptages. Mr Fhami captivant l attention d une classe verte en séjour à «Surfland».

17 53. ANNEXE PROTOCOLE PLANETE URGENCE DU COMPTAGE DES OISEAUX AQUATIQUES DU COMPLEXE LAGUNAIRE OUALIDIA-SIDI MOUSSA 1-PRÉSENTATION Le site de comptage s'étend sur 50 km de zones humides entrecoupées de cultures, depuis Oualidia (Walidia) au sud, jusqu'à Sidi Moussa au nord. Les zones humides se composent de salines, lagunes et marais d'eau douce et saumâtre. Un cordon littoral sableux sépare ces espaces aquatiques de la mer à l'ouest. Des falaises du socle rocheux dominent les marais à l est Pour ce comptage des oiseaux aquatiques la zone est découpée en 14 secteurs biogéographiques : - 2 Lagunes - 4 Marais - 7 Salines - 1 Steppe

18 Vue aérienne et situation de la zone considérée.

19 Cartographie des spots de comptage. 2-LA MÉTHODE. Le comptage se fera en plusieurs jours (Sauf exception: les flamands roses...) du sud au nord pour éviter les contre-jours. Cependant certains spots éloignés, aux effectifs stables seront comptés les jours

20 précédents. Un comptage aquatique dans la lagune de Oualidia lors d'une journée canoë recoupera les données des 8 spots terrestres de ce secteur. Nous retiendrons par espèce que le chiffre le plus élevé sur l ensemble de la lagune. Intérêts des spots: Standardiser les déplacements. Éviter les recoupements. Optimiser le rapport distance/visibilité. Évaluer avec précision le nombre par espèces présentes. Non des lieux Numéros Nombre de «spots» Marais de Oualidia 0 1 Lagune de Oualidia A 8 Salines de Oualidia B 3 Marais de El Merga C 1 Salines de El Merga C 3 Salines de Sidi Brahim D 1 Marais de El Hotba D 3 Salines de El Hotba D 2 Salines de Sidi Mbarek E 2 Steppe de Sidi Moussa F0 1 Lagune de Sidi Moussa F 9 Salines de Sidi Moussa G 4 Marais de Sidi Moussa H 1 Salines de sidi Abed I 4 Au total 43 spots avec comptage longue-vue et jumelles répartis judicieusement pour avoir une vue exhaustive sur les plans d'eau

21 3-LES INTERVENANTS L'équipe PU est composée de 6 volontaires et de l'animateur. Les volontaires suivent une formation ornithologique en début de semaine avec des fiches espèces et des exercices sur le terrain. Ils compteront des espèces en nombre limité (maximum 18) et participeront à la saisie des données sur le terrain. De retour à l hébergement les volontaires «rentreront les données de terrain» sur les fichiers exels établis à cet effet. Comptage en canoë dans la lagune de Oualidia octobre 2012

22 Un membre du GREPOM nous aidera sur les points suivants : Contacts avec les acteurs locaux utilisant le milieu naturel. Sensibilisation des populations sur la fragilité des écosystèmes. Synchronisation avec les groupes ornithologiques marocains. Compétences ornithologiques et connaissance du terrain. Aide au dénombrement des limicoles. Remise au GREPOM de toutes ces données dont il est demandeur et deviendra propriétaire pour en faire les analyses. 4-LES MOYENS La longue-vue et les jumelles sont les bases du comptage complétées par des photos géo référencées au téléobjectif de 500 mm permettant le cas échéant de vérifier la véracité des espèces et de compter avec exactitude les groupes en vol Photo dénombrement à Sidi Moussa novembre 2012

23 Mode de prise de données : Sur carnet de note avec report des données le soir par l équipe du jour. Sur fiches pour la partie canoë avec saisie ultérieure sur ordinateur. La liste des espèces au nombre de 72 n'est pas limitative. Ce sont les espèces les plus courantes, les accidentelles étant notées en bas de feuille. 5-LA FRÉQUENCE Ce comptage est reconduit sur 5 années avec analyse des données. Les comptages pour la base de données ont commencé en LA FORMATION Chaque groupe de 6 personnes (mission) fonctionne de la façon suivante : Samedi : formation générale. Dimanche : initiation canoë et ornithologique. Lundi/mardi : repérage, formation, mise au point du comptage sur logiciel. Mercredi/jeudi : comptage terrestre. Vendredi : comptage canoë. Samedi journée libre : visite expo, souk etc. Dimanche : préparation, départ. Chaque groupe de 2 personnes se spécialise sur 18 oiseaux maximum suivant les aptitudes et les compétences des participants.

24 1- Rouge : les échassiers 2-Vert : les palmipèdes 3-Bleu : les limicoles Avantages: Ciblage des espèces sur le terrain sans en oublier. Apprentissage rapide des espèces de cette liste limitée. Vérification rapide par les encadrants (animateur PU+GREPOM) 72-SENSIBILISATION DES ACTEURS DU MILIEU NATUREL. Une exposition itinérante circule dans les écoles sur les espèces vivant dans la lagune. Elle est à la disposition de tous pour une ouverture du dialogue sur la fragilité des écosystèmes. Elle est maintenant rattaché au nouveau centre

25 Les acteurs de la mise en place d'une l'exposition sur la lagune, au Lycée Mohamed cinq à Oualidia, novembre CONCLUSION Ce dénombrement annuel nous donnera une tendance sur 5 ans. La marge d'erreur est difficilement appréciable compte tenu de la surface importante et fractionnée du complexe lagunaire. Cependant, avec le même protocole chaque année, l'erreur relative est constante donc négligeable dans l'analyse des tendances. La méthode «canoë» viendra compléter les chiffres obtenus à terre et vérifiera les comptages terrestres. Des espèces comme les limicoles risquent une sous-évaluation au vu la complexité et la densité du milieu.

26 Comptage de l'équipe PU au spot «école primaire l'avenir» au km 7,3 en bout de lagune. Point GPS 32 46'33" N 8 58'36" W salines de Oualidia le 06 novembre Sarcelles marbrées et 23 canards souchets sur un vol de 652 sarcelles marbrées 28/01/2012

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