spé cialisé s, e t de la que stion du finance m e nt de ce s se rvice s par la colle ctivité.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "spé cialisé s, e t de la que stion du finance m e nt de ce s se rvice s par la colle ctivité."

Transcription

1 Si cet ne s affiche pas correctement, merci de cliquer ici Par Gilles DUTHIL Président de l'institut SilverLife Charges de famille 1 «Le s fam ille s, l État, le s colle ctivité s locale s, le s é tablisse m e nts publics, le s organism e s de sé curité sociale, le s associations, le s groupe m e nts, organism e s e t e ntre prise s publics e t privé s associe nt le urs inte rve ntions pour m e ttre e n œuvre ce tte obligation e n vue notam m e nt d assure r aux pe rsonne s handicapé e s toute l autonom ie dont e lle s sont capable s». Dè s son article pre m ie r, la loi sur le handicap du 30 juin 1975 donne la pre m iè re place aux fam ille s dans l organisation de la prise e n charge, e n com plé m e ntarité ave c le s autre s acte urs. Longte m ps, le suje t de l aide fam iliale aux pe rsonne s âgé e s dé pe ndante s a é té occulté dans le dé bat public car il re pré se ntait une ce rtaine gê ne. De la part de s organisations profe ssionne lle s (ville s, ce ntre s d action sociale, associations ) qui, inte rve nant historique m e nt dans le s cas de dé tre sse fam iliale, avaie nt une vision e n né gatif de la fam ille (abse nte ou né glige nte ). De la part de s Pouvoirs Publics qui am bitionnaie nt e ux aussi (sans e n avoir le s m oye ns) de se substitue r à la fam ille pour organise r la prise e n charge. Lorsqu e st surve nue la catastrophe de la canicule de l é té 2003, sont apparue s le s lim ite s d un systè m e consistant à organise r la prise e n charge de s pe rsonne s âgé e s dé pe ndante s prioritaire m e nt autour de s profe ssionne ls ou é tablisse m e nts spé cialisé s, e t de la que stion du finance m e nt de ce s se rvice s par la colle ctivité. De s travaux sur la que stion du rôle de s aidants ont é té m e né s par le s unive rsitaire s ou le C om m issariat Gé né ral au Plan aprè s Le Plan de Solidarité Grand Age e n juin 2006 le ur a fait une place m ais e n le s considé rant, à l instar de s pe rsonne s aidé e s, com m e de s pe rsonne s fragilisé e s (e n «situation de te nsion, d isole m e nt e t de fatigue»), de vant ê tre «m ie ux soute nue s». L acce nt e st notam m e nt m is sur le s problè m e s de santé qu ils re ncontre nt. Or, une autre approche des aidants est souhaitable. Celle consistant à reconnaître leur rôle actif majeur dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Une pre m iè re m aniè re d accorde r une vale ur à le ur e ngage m e nt au quotidie n se rait de le s inté gre r dans le s plans d aide à la pe rsonne âgé e dé pe ndante, tout au m oins de le nom m e r. Pourraie nt ê tre ainsi pré cisé e s le s tâche s ré alisé e s, le te m ps qui y e st consacré m ais aussi le s com pé te nce s m obilisé e s voire le s atte nte s e n m atiè re d e ncadre m e nt. Plus gé né rale m e nt, l e ngage m e nt de ce s aidants pourrait dé bouche r sur une re connaissance de droits au re gard de la prote ction sociale. De s am é nage m e nts de te m ps de travail pourraie nt ê tre accordé s par le s e m ploye urs dans le se ns d un m e ille ur é quilibre e ntre vie privé e e t vie profe ssionne lle. Vu la place de s aidants dans la ré alité du quotidie n de s pe rsonne s âgé e s dé pe ndante s 2, un statut pourrait le ur ê tre garanti par le s Pouvoirs Publics (cf. re ve ndications porté e s par l Institut e t un ce rtain nom bre d organisations parte naire s). Be aucoup d autre s pays e uropé e ns l ont dé jà fait, la France doit profite r de la future loi d orie ntation sur la dé pe ndance pour rattrape r le re tard. C om m e l indiquait le Pré side nt de la R é publique de vant le C ESE (C onse il Econom ique, Social e t Environne m e ntal) le 8 fé vrie r de rnie r, «la socié té e st là pour accom pagne r le s fam ille s, le s soute nir, le s aide r, le s soulage r, pas pour le s re m place r». Encore faut-il que, com m e pour le s profe ssionne ls, la socié té re connaisse aux fam ille s im pliqué e s dans l accom pagne m e nt d une pe rsonne âgé e dé pe ndante un statut à la m e sure de le ur utilité, de le ur né ce ssité! 1 Titre emprunté à l ouvrage de Weber Florence, Gojard Séverine, Gramain Agnès, Charges de famille. Dépendance et parenté dans la France contemporaine, La Découverte, «Textes à l appui, Enquêtes de terrain», Paris, 420 p. 2 Selon les études du LEGOS Université Paris Dauphine, l aide apportée par la famille est 2 à 5 fois plus importante que celle apportée par les professionnels. Pour rappel : revendications concernant le statut des aidants 1 R e connaître dans le plan d aide l inte rve ntion de s aidants fam iliaux e t plus gé né rale m e nt de s aidants non profe ssionne ls.

2 2 Créer une compensation financière minimale (et non une rémunération) pour les aidants familiaux sur la base de 600 nets par mois pour un aidant m obilisé à tem ps plein pour un GIR 1 et 2 ou Alzheim er, et 390 pour une personne ayant conservé un emploi à temps partiel. 3 Inciter les entreprises à proposer aux salariés en situation d aidants des assouplissements d horaires, des formules de télétravail et des programmes de soutien. 4 Assouplir les conditions d accès au congé pour solidarité familiale de manière à pouvoir l utiliser de façon fractionnée en cas de soutien à une personne dépendante (et non pas forcément en une seule fois, au moment de la fin de vie). 5 Reconnaître la période de congés pour solidarité familiale dans la période de cotisation dans le système de retraite (comme pour la période de service national ou congé maternité/paternité). 6 Inciter les entreprises à proposer aux salariés en situation d aidants des assouplissements d horaires, des formules de télétravail et des programmes de soutien. 7 Développer l engagement des jeunes auprès des personnes âgées dépendantes dans le cadre du Service Civique. 8 Prévoir par prélèvement sur les cotisations de la 5ème branche de protection sociale un fonds pour l information et la formation des aidants familiaux (géré par la FEPEM en lien avec les associations spécialisées France Alzheimer, France Parkinson ). Droit individuel à 2 jours de formation pour l aidant d une personne GIR 1 et 2 ou Alzheimer. 9 Favoriser le suivi médical des aidants (bilan périodique, accès à des consultations psychologiques ). 10 Bilan social annuel sur la situation des aidants en France. Sommaire : Edito Gilles Duthil A la une Regards experts Brèves Observatoire du 5ème risque Formation 5ème risque Vie de l'institut Calendrier Président et délégué Général Calendrier des commissions et groupes de travail Pour adhérer à l'institut Pour venir à l'institut Paul VERDIEL Président de H2AD H2AD est aujourd'hui, en France, le prem ier spécialiste de télém édecine intégré. Opérationnel 24h/24 en acquisition, traitem ent (télédiagnostic, télésurveillance, téléassistance) et hébergement de données médicales personnelles. Au travers de ses observatoires et projets de R&D innovants H2AD s'affirm e com m e un acteur incontournable du grand défi santé du XXIème siècle : la télémédecine pour tous. Quelles sont vos activités? H2AD est née en 2004 à Grenoble par l association d équipes médicales et d ingénieurs voulant développer des solutions accessibles à tous, à destination d un public de personnes fragiles (personnes en perte d autonomie temporaire ou définitive). H2AD propose une offre complète de services de télésanté et télémédecine. Une équipe de m édecins, soignants, ingénieurs et techniciens travaille en collaboration 24h/24 pour fournir le meilleur suivi médical sécurisé.

3 H2AD fournit une offre de : La solitude vient d être déclarée «grande cause nationale» par le Premier Ministre. La dépendance est le prochain grand chantier gouvernemental. Nous connaissons tous des personnes fragilisées par l âge, la m aladie ou la dépendance. La com plexité de leur Appels entrants et sortants Appels entrants et sortants sur permanenciers - niveau 1 Appels entrants et sortants sur médecins - niveau 2 Santé et sécurité Prévention primaire et secondaire / éducation thérapeutique Suivi de l'observance et mesures de paramètres physiologiques Téléassistance Télésurveillance Organisations de suivi et d'étude Téléassistance médicalisée Gestion d'équipements alarmes santé et sécurité Gestion d'équipements domotiques santé et sécurité Autres prestations Formation usagers et personnels Interconnexion de système d'information sur mesure Acquisition, exploitation, traitement, archivage de données médicales personnelles D2P Dossier Patient Participatif Editions de cartes personnalisées Entrées et sorties numériques tous supports H2AD est aussi un hébergeur professionnel de données de santé, au service de tiers produisant des données de santé, dans le domaine médical et du maintien à domicile et susceptible de vouloir accéder à ces données 24h/24, 7j/7. Enfin, H2AD offre des activités de télé monitoring permettant un suivi médical 24h/24. Ce service transfère automatiquement les données médicales recueillies au domicile sur sa plateforme ou celle du choix de ses clients. Une plateforme de télésanté disponible 24h/24 Télésurveillance et télémonitoring Suivi de l'observance et mesures de paramètres physiologiques Les informations sont transmises à Twitoo, qui les envoie à notre plate-forme de télésanté. Données accessibles à qui de droit. Twitoo Network Twitoo Network rassemble les différents composants de l offre de télésurveillance et de télémonitoring Twitoo (acquisition, traitement, hébergement). Le réseau repose sur l infrastructure H2AD, assurant traçabilité, sécurité et confidentialité. Quel est votre intérêt pour l Institut Silverlife? Notre intérêt est d échanger avec des professionnels reconnus venant de différents horizons (public, privé, hôpitaux, services, assurances ) sur les problématiques liées à la prise en charge des personnes en perte d autonom ie. Nous sommes également intéressés par les rencontres, au travers d événements organisés par l Institut (petits-déjeuners et commissions), de personnalités qualifiées sur les thématiques de la prise en charge des personnes âgées. Enfin, l Institut représente pour nous un élément moteur dans le paysage français sur la réflexion, et nous l espérons, la mise en place de solutions. Quelles sont les perspectives pour la télésanté et la télémédecine en France? Je pense que la mise en place de ces solutions à une échelle productive, dépend de la levée de verrous politiques et organisationnels, qui doit être effectuée. Cela suppose le lancement de solutions de régulation centralisées, le passage au forfait de la prise en charge des maladies chroniques, l analyse qualité et coût des services rendus et la prise en charge par les organismes obligatoires et complémentaires de santé. Il me semble qu une fois ces verrous levés, la France sera en bonne place dans le concert mondial de la prise en charge de ses Aînés. Plus d informations sur : et Aide familiale : la voie du voisinage? Par Atanase Périfan, Président de la Fédération Européenne des Solidarités de Proximité et Président de «Voisins solidaires»

4 l accompagnement des personnes isolées ou malades saurait-il se résumer à la seule im plication de la fam ille et de l État? L un et l autre seraient-ils les acteurs exclusifs d une solidarité de proximité bien sentie à leur égard? Les term es m êm e de la question pourront sans doute apparaître réducteurs. Ce sont pourtant ceux qui anim ent régulièrem ent les débats touchant aux rôles de l aidant, à l intervention de l État et à leur nécessaire interaction. Étonnam m ent, la réflexion sem ble écarter d em blée toute form e de soutien qui n émanerait pas de l un ou de l autre. Un peu comme s il fallait que l aide familiale «coûte» à tous ceux qui en ont la charge et vis-à-vis desquels pèse in fine une «injonction à agir». Ainsi, à des degrés divers et sous des formes différenciées, la famille et l État se retrouvent soumis à une obligation d ordre similaire : obligation morale (pression de la famille, regard de la société ) ou juridique (risque pénal et contraintes ) pour le cercle fam ilial, obligation républicaine (les devoirs du pays, le droit des citoyens ) ou m êm e électorale (justification de l impôt et du service public) pour ceux qui nous gouvernent. Les liens du sang contre ceux de la nation en quelque sorte. Sur bien des aspects, ce raisonnem ent obligataire se rapproche im m anquablem ent de ce que certains gourous du management appellent «la pression d enjeu», soit une situation où l objectif, toujours fixé par un Autre chef, collègue, systèm e, contexte, valeurs se doit d être nécessairem ent atteint. En dépassant l individu, sans toutefois le transcender, cette pression conduit pourtant régulièrement à l échec. Devant l obstacle obligé, les forces s étiolent, les esprits se rabougrissent, les m oyens finissent par manquer et chacun, désemparé, n en finit alors plus de rejeter la charge sur les autres quand ce n est pas la faute. Qu on le veuille ou non, la nature hum aine et son agrégat collectif que constitue la nation sont d abord éprises de plaisir plus que de devoir : elles réussissent assurém ent m ieux lorsqu elles tirent jouissance des actions qu elles conduisent. C est tout le sens du programme «Voisins solidaires» : il propose un système où la «liberté d agir» est la règle. Chacun y est appelé, alors que rien ne l y oblige, à se comporter en voisin solidaire, faisant fi de l anonymat de son environnement ou de ses pulsions égoïstes pour devenir en toute conscience disponible à l autre. >> lire la suite << H2AD a constitué, avec 6 autres entreprises et organisations, l'association Française des Hébergeurs Agréés de Données de Santé à Caractère Personnel (AFHADS). Rappelons qu'h2ad figure parmi les tous premiers hébergeurs agréés dès L'Association se donne pour buts de promouvoir l'agrément auprès des usagers, des professionnels et établissements de santé, et de l'ensem ble des acteurs de la e-santé. Elle représente les hébergeurs agréés auprès des instances législatives, adm inistratives et norm atives. Elle s'est dotée d'un logo dès le m ois de janvier dernier. Elle com pte aujourd'hui 12 m em bres et contribue aux réflexions de l'asip Santé sur l'évolution, prévue à term e, de la procédure d'hébergem ent. >> Plus d informations << Séminaire international sur les stratégies de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité des personnes âgées à domicile. MADoPA (Centre Expert en Technologies et Services pour le Maintien en Autonomie à Domicile des Personnes Agées) organise le vendredi 10 juin 2011 à Paris un séminaire international sur les stratégies de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité des personnes âgées à domicile. En complément des débats financiers sur la dépendance, les travaux sur la fragilité et la vulnérabilité des personnes âgées ouvrent des perspectives innovantes et opérationnelles de prévention de la dépendance et de la perte d autonom ie. De m ultiples indicateurs et instrum ents de m esure de la fragilité et de la vulnérabilité sont susceptibles d être déclinés en program m es d action adaptés aux objectifs des institutions et aux besoins des personnes âgées. D un point de vue organisationnel, MADoPA est une association loi 1901 qui regroupe des acteurs de dim ensions nationale et régionale, couvrant l ensem ble du systèm e de prise en charge des personnes âgées à domicile. MADoPA est composé de 5 collèges d acteurs : Collège Recherche : Université de Technologie de Troyes, Institut de Myologie, CEA Leti, ESC Troyes Collège Protection sociale et Santé : Fédération Nationale de la Mutualité Française, MACIF Mutualité, Mutualité de l Aube, Malakoff Médéric, Centre des Arcades, CHU Montpellier, Réseau Gériatrique de Cham pagne Ardenne (RéGéCA) Collège acteurs territoriaux : Conseil général de l Aube, Technopole de l Aube Collège Industriel : EDF, Assistéo, AECRTS Collège Usager : Coderpa de l Aube En termes d activités, MADoPA intervient dans trois principaux domaines : 1. la com préhension des processus de fragilisation des personnes âgées et l identification des indicateurs pertinents de prévention, de repérage et de suivi de la fragilité 2. l évaluation des solutions de vigilance et d accom pagnem ent des personnes âgées fragiles à dom icile 3. la conception et le déploiem ent des solutions de vigilance et d accom pagnem ent des personnes âgées fragiles à domicile >> Plus d informations <<

5 Tous les membres de l Institut (à jour de leur cotisation) reçoivent chaque semaine une revue de presse des meilleurs articles ou contributions sur le 5ème risque. >> Pour recevoir la revue de presse << Parallèlem ent à la revue de presse, l Institut Silverlife diffuse à ses m em bres une veille politique et parlementaire sur le 5èm e risque, la dépendance et le qui passe en revue, tous les 15 jours, l actualité des débats à l Assem blée Nationale et au Sénat, les projets et propositions de loi déposés, les différentes com m issions ou m issions parlem entaires qui travaillent sur ces sujets, les questions des divers parlementaires >> Pour recevoir (gratuitement) le dernier numéro de la veille parlementaire << Partenariat avec CARITAT L Institut Silverlife s est associé depuis plusieurs années avec CARITAT organisme de formation spécialisé dans l assurance et les techniques financières. Au programme : - un Colloque annuel sur l'assurance dépendance (3èm e édition le 17 novem bre pour participer ou intervenir lors de ce colloque) - un cycle de form ation interentreprises - des interventions en intra-entreprises (formations, missions d'accompagnement ) Prochain module de la formation «Innovation en assurance dépendance» : Module 3 : Les fondements techniques de la dépendance, le 8 juin 2011 Animateur : Noëlle BOGUREAU, actuaire conseil, CAPS Actuariat - Définition du risque à assurer et conditions contractuelles : dépendance totale ou partielle, sélection, franchises, carences... - Typologie des produits et critères de choix - Élém ents de tarification. Sensibilité - Les provisions à constituer. Principes de calcul - Com m ent assurer le pilotage technique et financier du risque dépendance >> Plus d informations << Petit-déjeuner débat avec Jean AZEMA, Directeur Général de Groupama S.A. Le vendredi 24 juin de 8h30 à 10h00 au Cercle Républicain - 5, avenue de l Opéra Paris «Assurance dépendance : quelle place pour les assureurs» Le vieillissement de la population a des conséquences sur l ensemble de la protection sociale à commencer par la santé, ainsi que sur la prise en charge de la dépendance. Quels sont les enjeux du débat sur la dépendance lancé par les Pouvoirs Publics? Quel pourrait être le rôle des assureurs? Comment garantir la bonne prise en charge de la dépendance au bon m om ent, au bon endroit et au bon coût? A toutes ces questions, Jean AZEMA, Directeur Général de GROUPAMA, tentera de répondre. D autant que GROUPAMA, qui com m ercialise des contrats depuis 1998 figure parm i les pionniers de l assurance dépendance en France. Avec 23% de part de marché en nombre de contrats et 16% en termes de chiffre d affaires, il se situe à la première place des reformes en cours. >> Télécharger le bulletin << Appel à participation Vous souhaitez partager votre expérience dans la Newsletter avec l ensemble de nos lecteurs? Contactez Virginie Tasso webm aster@silverlife-institute.com URGENT : l'institut recherche L Institut recherche un stagiaire communication pour les mois de juin/juillet ou juillet septembre. L Institut recherche également un/des bénévoles pour la réalisation d interviews. Plus d'inform ations, cliquez ici ou contactez Virginie Tasso webm aster@silverlife-institute.com

6 Calendrier Président / Délégué général 1er avril Paris Hervé HARDY PDG Groupe RESIDALYA Etablissements spécialisés 4 avril Paris Pierre DENIS Président AIDANT Attitude 5èm e risque 4 avril Paris Jérôme ARNAUD PDG DORO Technologies 7 avril Paris Bruno DERVILLE DG SENIORIALES Logement 7 avril Paris Jean-Yves MANO Adjoint au Maire Ville de Paris Logem ent 7 avril Paris Anne-Sophie ROUSSELOT-PAILLEY CNAV, Christophe LE PAIH ANRESPA Logem ent 11 avril Paris Marie-Béatrice LEVAUX Présidente FEPEM Services à la personne 11 avril Paris Michel CHARTON Président Santé Pharm a Accès aux soins 12 avril Paris Jean-Claude MARIAN Président Groupe ORPEA Etablissem ents spécialisés 13 avril Paris Dr André BRAGA DG MEDI24 Accès aux soins 13 avril Paris Père Bernard DEVERT Président HABITAT & HUMANISME Logem ent 14 avril Montpellier (36) Congrès GEROSANTE 5ème risque 18 avril Paris Nicolas BOUZOU Economiste Economie du 19 avril Nantes (44) Jacques AUXIETTE Président conseil régional Pays de Loire, Pr Gilles BERRUT Président SFGG Econom ie du Inauguration du Gérontopôle 20 avril Paris Jean-François TRIPODI DG Garantie Assistance 5èm e risque 21 avril Paris Bernard SPITZ Président FFSA 5èm e risque CORA spécial dépendance 21 avril Paris Pr Jean de KERVASDOUE, CNAM 5ème risque 22 avril Paris Pierre HALLEY Président ANCRE 5ème risque 23 avril Paris Mohammed MALKI Conseiller Personnes Agées auprès de Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN Econom ie du 27 avril Paris Erik RANCE DG Caisse des Mines Accès aux soins 29 avril Bruxelles Commission Européenne lancement année européenne du vieillissement actif Econom ie du

7 Calendrier des commissions et groupes de travail Prochaines dates Petit déjeuner presse 14 juin Vieillissement actif 15 juin, 7 septembre, 19 octobre à 10h00 5ème risque et financement de la dépendance 24 juin de 8h30 à 10h00 Assem blée générale 7 juillet Rencontre parlem entaire 12 septembre Adhérer à l Institut en 3 étapes : Pour adhérer en ligne, vous pouvez également télécharger le bulletin d'adhésion individuelle ou le bulletin d'adhésion institutionnelle. 4, rue du Cirque PARIS M Cham ps-elysées Clém enceau ou Franklin Roosevelt Parking public à proximité Carte Tel : Centre de ressources et salles de réunion accessibles sur rendez-vous. Lettre d information de l Institut SilverLife envoyée à 8096 abonnés (centre de recherche sur l économie du vieillissement, association loi 1901 à but non lucratif) Directeur de publication : Gilles DUTHIL Rédacteur en chef : Virginie TASSO Ont participté : Bruno RIVALS Réalisation : Ad tatum

Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7

Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 www.h2ad.net Un Partenariat Basé sur l'innov Au travers de solutions innovantes en télésanté, de son expertise dans l acquisition et le traitement de données de

Plus en détail

Si cet email ne s affiche pas correctement, merci de cliquer ici

Si cet email ne s affiche pas correctement, merci de cliquer ici Si cet email ne s affiche pas correctement, merci de cliquer ici Par Gilles DUTHIL Président de l' SilverLife En finir avec les barrières d'âge François BAR O IN a pré se nté le 6 avril de rnie r e n C

Plus en détail

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:

Plus en détail

Trophées du Grand Age Lundi 2 Mai au Casino de Paris 18h00

Trophées du Grand Age Lundi 2 Mai au Casino de Paris 18h00 Dépendance, Vieillissement de la population, Alzheimer, Maisons de retraite, Maintien à domicile, Gérontechnologies, Aide aux aidants. Organisés par le site Gérontechnologie.net et MarcDumasConseil, les

Plus en détail

Zoom sur p4. Sommaire. L APPARTEMENT TÉMOIN MADONAH Un projet au carrefour de la construction et des nouvelles technologies. Éditorial.

Zoom sur p4. Sommaire. L APPARTEMENT TÉMOIN MADONAH Un projet au carrefour de la construction et des nouvelles technologies. Éditorial. n 78 - Mars 2014 Sommaire Éditorial p2 Actualités p3 Rencontre avec p5-6 Générations Mouvement Le Pôle séniors Vierzon-Sologne Le saviez-vous? p7 Agenda p8 Zoom sur p4 L APPARTEMENT TÉMOIN MADONAH Un projet

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

D o s s i e r D e P r e s s e

D o s s i e r D e P r e s s e D o s s i e r D e P r e s s e Ouverture à Lyon de la première Maison des Emplois de la Famille La Maison des Emplois de la Famille Le Groupe IRCEM La FEPEM IPERIA, l Institut Maison des Emplois de la Famille

Plus en détail

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à

Plus en détail

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services. 7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

PEGC Académie de Rennes

PEGC Académie de Rennes Septembre 2014 SNUipp-FSU CONTACTS Sections départementales SNUipp Côtes d'armor snu22@snuipp.fr Tél : 02 96 61 88 24 Finistère snu29@snuipp.fr Tél : 02 98 53 76 77 Ille et Vilaine snu35@snuipp.fr Tél

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

Santé Travail Lille 2014

Santé Travail Lille 2014 Santé Travail Lille 2014 Premier carrefour d échanges entre les professionnels de santé au travail et le monde des entreprises Du 3 au 6 juin 2014 Lille Grand Palais Lille Grand Palais -1 Bd des Cités

Plus en détail

Livret d accueil MISSIONS TEMPORAIRES. Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France

Livret d accueil MISSIONS TEMPORAIRES. Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France MISSIONS TEMPORAIRES Livret d accueil 15 rue Boileau 78008 Versailles cedex Téléphone : 01 39 49 63 00 Fax : 01 39

Plus en détail

COLLOQUE QUEL AVENIR POUR LES MÉTIERS DE SOINS? MERCREDI 24 avril 2013 À 14H. Quai du Barbou, 2 4020 Liège

COLLOQUE QUEL AVENIR POUR LES MÉTIERS DE SOINS? MERCREDI 24 avril 2013 À 14H. Quai du Barbou, 2 4020 Liège COLLOQUE ASBL LES AMIS DE JEAN BOETS QUEL AVENIR POUR LES MÉTIERS DE SOINS? MERCREDI 24 avril 2013 À 14H HAUTE ÉCOLE DE LA PROVINCE DE LIÈGE CATÉGORIE PARAMÉDICALE Avec le concours de l'espace Qualité

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011

Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011 Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011 En partenariat avec la Caisse des Dépôts, 3 quai Anatole France, Amphi Gérard Bureau, Paris 7e PROGRAMME DE LA JOURNÉE, transitions économiques 1 MATIN 8H00-8H30

Plus en détail

LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015

LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015 LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015 POINTS CLES DATES - 2000 Guy Hascoët - 1 er secrétaire d Etat à l ESS propose une loi - 2010 premier rapport par Francis Vercamer - 2011 Benoit Hamont

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

LES AINES RURAUX. 8677 adhérents. : 191 clubs. En Saône-et

LES AINES RURAUX. 8677 adhérents. : 191 clubs. En Saône-et LES AINES RURAUX Fédération Départementale de Saône-et-Loire 46 rue de Paris 71000 MACON Tél. : 03.85.39.51.34 e-mail : aines.ruraux71@orange.fr Site internet national : www.ainesruraux.org départemental

Plus en détail

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui

Avec la Mutualité Française, la santé avance. Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui Avec la Mutualité Française, la santé avance Mutualité Française et petite enfance Accompagner les familles d aujourd hui ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mutualité en matière

Plus en détail

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel

Plus en détail

Soucieux de parvenir à un développement durable fondé sur un équilibre harmonieux entre les besoins sociaux, l économie et l environnem ent ;

Soucieux de parvenir à un développement durable fondé sur un équilibre harmonieux entre les besoins sociaux, l économie et l environnem ent ; Recommandation CM/Rec(2008)3 du Comité des Ministres aux Etats mem bres sur les orientations pour la m ise en œuvre de la Convention européenne du paysage (adoptée par le Com ité des Ministres le 6 février

Plus en détail

LE GROUPE MACIF ET LA RSE

LE GROUPE MACIF ET LA RSE LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur

Plus en détail

Des garanties qui assurent l avenir

Des garanties qui assurent l avenir Des garanties qui assurent l avenir DéCèS ET PERTE D AUTONOMIE : protéger la famille face aux risques de la vie. Assureur, notre métier L OCIRP couvre les risques du décès et de la perte d autonomie, des

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le

Plus en détail

Particulier. employeur. Juin 2012. Tout. savoir. sur le. Cesu. [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! www.cesu.urssaf.

Particulier. employeur. Juin 2012. Tout. savoir. sur le. Cesu. [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! www.cesu.urssaf. Particulier employeur Juin 2012 Tout savoir sur le Cesu [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! Le Chèque emploi service universel (Cesu) L essayer, c est l adopter! Qui n a pas

Plus en détail

9 Référentiel de missions de l agence du service civique

9 Référentiel de missions de l agence du service civique BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

L ANI du 11 janvier 2013 : une petite révolution!

L ANI du 11 janvier 2013 : une petite révolution! L ANI du 11 janvier : une petite révolution! Que prévoit l accord? L article 1 er de l Accord National Interprofessionnel du 11 janvier, prévoit, dans le cadre de la sécurisation de l emploi, la généralisation

Plus en détail

Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents

Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents Mercredi 5 novembre 2014 Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents Hervé PETTON, Directeur Territorial 35 ans d expérience professionnelle en collectivités

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

ASSUREZ VOTRE EMPRUNT ET GAGNEZ EN CONFORT GARANTIE EMPRUNTEUR

ASSUREZ VOTRE EMPRUNT ET GAGNEZ EN CONFORT GARANTIE EMPRUNTEUR ASSUREZ VOTRE EMPRUNT ET GAGNEZ EN CONFORT GARANTIE EMPRUNTEUR BIEN ASSURER SON EMPRUNT IMMOBILIER POURQUOI C EST IMPORTANT? L'assurance emprunteur n'est pas obligatoire légalement, mais elle est incontournable.

Plus en détail

La santé de votre entreprise mérite notre protection.

La santé de votre entreprise mérite notre protection. mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille

Plus en détail

Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI:

Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI: Communiqué de presse CONFERENCES REGIONALES LOI SUR LA SECURISATION DE L EMPLOI: METTRE EN EVIDENCE LES CONDITIONS DE REUSSITE DE LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE A L ENSEMBLE DES SALARIES,

Plus en détail

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

Dossier de synthèse. Enquête par questionnaire. Existe-t-il un secteur solidaire?

Dossier de synthèse. Enquête par questionnaire. Existe-t-il un secteur solidaire? Dossier de synthèse Enquête par questionnaire Existe-t-il un secteur solidaire? Modalités Personnes interrogées : Le questionnaire a été administré à 50 personnes par entretien téléphonique. En termes

Plus en détail

Résidence Saint Jean

Résidence Saint Jean Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil

Plus en détail

La protection sociale qui comprend les indépendants, je suis pour!

La protection sociale qui comprend les indépendants, je suis pour! SOLUTIONS ENTREPRENEUR La protection sociale qui comprend les indépendants, je suis pour! Sophie B. Commerçante prévoyance épargne retraite ARTISANS, COMMERÇANTS, PROFESSIONS LIBÉRALES, INDÉPENDANTS......

Plus en détail

Nouvel élu? Solidaris vous informe

Nouvel élu? Solidaris vous informe Nouvel élu? Solidaris vous informe Mandataires politiques locaux et ASSURANCE MALADIE INVALIDITÉ Outre leur mandat politique, bon nombre de mandataires locaux exercent une autre activité comme travailleur

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action.

Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. VOTRE PRESTATION : Votre intervention se situe dans un cadre défini préalablement à votre venue avec le conseiller formation en charge de l action. Dans le cadre de cette intervention, vous devez faire

Plus en détail

Le comparateur des Mutuelles Solidaires et Ethiques! Sans actionnaires et sans stocks options!

Le comparateur des Mutuelles Solidaires et Ethiques! Sans actionnaires et sans stocks options! Le comparateur des Mutuelles Solidaires et Ethiques! Sans actionnaires et sans stocks options! Le comparateur Ethique et Solidaire des Complémentaires Santé Qualitatives, Engagées et Responsable Dossier

Plus en détail

SOMMAIRE. Présentation générale de XE Formation. Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes

SOMMAIRE. Présentation générale de XE Formation. Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes 1 SOMMAIRE Présentation générale de XE Formation Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes Le MBA Spécialisé M3SU Informations et contacts 2 Présentation générale

Plus en détail

La Mutualité en chiffres Édition 2011

La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française

Plus en détail

BIEN VIEILLIR MODE D EMPLOI DOSSIER DE PRESSE. NOVEMBRE 2014 CONTACT PRESSE : Vanessa Lemoine, vanessa.lemoine@inpes.sante.fr / 01 49 33 22 42

BIEN VIEILLIR MODE D EMPLOI DOSSIER DE PRESSE. NOVEMBRE 2014 CONTACT PRESSE : Vanessa Lemoine, vanessa.lemoine@inpes.sante.fr / 01 49 33 22 42 BIEN VIEILLIR MODE D EMPLOI DOSSIER DE PRESSE NOVEMBRE 2014 CONTACT PRESSE : Vanessa Lemoine, vanessa.lemoine@inpes.sante.fr / 01 49 33 22 42 SOMMAIRE Vieillir et alors? p. 3 Un important dispositif donne

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES

ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES Struc ture é c onom ique Un s e c te ur dom iné par le s TPE Le secteur du déménagement est caractérisé par son faible degré de concentration et son atomisation.

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

RÉGIME de PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE

RÉGIME de PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES COMMERCES DE GROS RÉGIME de PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE des salariés non cadres MALAKOFF MÉDÉRIC, VOTRE PARTENAIRE POUR LE RÉGIME DE PRÉVOYANCE DE VOS SALARIÉS NON CADRES*

Plus en détail

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale, Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

EOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer

EOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer EOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer en SOLO SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE dépendance la qui renouvelle la mutuelle ARTISANS, COMMerçANTS, professions LIBÉRAles, INDÉPENDANTS... Vous

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE

ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE BIENVENUE EN BELGIQUE Vous avez décidé de venir étudier en Belgique, félicitations! Notre pays est reconnu pour la qualité de son accueil, son sens de l'humour, ses bières,

Plus en détail

au Chèque emploi service universel bancaire

au Chèque emploi service universel bancaire Réseau Urssaf DEMANDE D ADHÉSION au Chèque emploi service universel bancaire Qu est-ce que le Chèque emploi service universel (Cesu)? C est une offre proposée aux particuliers pour leur faciliter l accès

Plus en détail

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76. 2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire

Plus en détail

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors

B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du

Plus en détail

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008 du mercredi 8 octobre 2008 Etaient présents : Mme BEAUCHEMIN M. DEFOSSEZ M. HUTIN M. OURCEYRE M. SAPIN. Absents : M. KRASNOPOLSKI. Mise au point sur le rapport qui sera lu au cours de la Séance Plénière

Plus en détail

La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST

La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST Dominic Cliche Conseiller en éthique Commission de l éthique en science et en technologie 18 mars 2015 Midi conférence de l Institut d éthique

Plus en détail

Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins

Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins Organisée par : Délégation des Hautes-Alpes de la Mutualité Française Paca, ADRETS, UDESS05, la CRESS (Chambre Régionale de l Économie Sociale

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel.

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel. 2015 Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS Parce que les vacances, c est essentiel. Un outil innovant au service de vos politiques sociales Ce programme déployé par l ANCV depuis 2007 a

Plus en détail

DOSSIER DE SOUSCRIPTION OFI PREMIUM RETRAITE

DOSSIER DE SOUSCRIPTION OFI PREMIUM RETRAITE DOSSIER DE SOUSCRIPTION OFI PREMIUM RETRAITE Afin réaliser votre souscription, merci bien vouloir suivre les instructions suivantes : Documents à remplir : ü Signez le document présentation Mon Projet

Plus en détail

ANIMATION / Prévoyance

ANIMATION / Prévoyance ANIMATION / Prévoyance C5-012 Remplace C5-010 et C5-011 La mise en place de la complémentaire santé dans la branche Animation La loi du 14 juin 2013 de Sécurisation de l emploi a généralisé la couverture

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

Statuts et règlement intérieur du PS

Statuts et règlement intérieur du PS Statuts et règlement intérieur du PS Présentation du travail de codification statutaire Le Conseil national du 18 juillet 2012 a donné mandat à un groupe de travail, composé à la proportionnelle des sensibilités

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Jeudi 15 novembre 2007 Landivisiau Participants : CAROFF Marie-Françoise Délégué PLH Adjointe à Plounévez-Lochrist GUERNIC Françoise Armorique Habitat

Plus en détail

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer I - Comptes établis avec le cahier de comptabilité 1. Calculer la situation générale (colonne 14). 2. Totaliser les

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

Observatoire Régional R Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle

Observatoire Régional R Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle Observatoire Régional R des Enseignements Supérieurs en Bretagne (ORESB) Quelques chiffres clefs sur l insertion professionnelle La méthodologie d enquête Travail commun sur les questionnaires de Licence

Plus en détail

III. Le temps de travail :

III. Le temps de travail : III. Le temps de travail : III.1. L Organisation, l Aménagement et la Réduction du Temps de Travail (OARTT). Un accord national (l OARTT «national») est négocié entre la Direction Générale et les Organisations

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

au service de chacun!

au service de chacun! Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou

Plus en détail

Texte conventionnel. La Commission paritaire nationale (CPN), créée et organisée par les articles 59 et 60 de la convention :

Texte conventionnel. La Commission paritaire nationale (CPN), créée et organisée par les articles 59 et 60 de la convention : Texte conventionnel ANNEXE II-3 de la convention nationale organisant les rapports entre les pharmaciens titulaires d officine et l assurance maladie : de la formation continue conventionnelle A N N E

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire

TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu

Plus en détail

!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5

!! # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5 "$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient

Plus en détail

SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE TOUT COMPRENDRE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS

SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE TOUT COMPRENDRE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 TOUT COMPRENDRE SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS LE JEU DE QUESTIONS REPONSES A LA LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE,

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail