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2 TNM Atlas Guide illustré de la classification TNM/pTNM des tumeurs malignes

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4 Ch. Wittekind, F. L. Greene, R. V. P. Hutter, M. Klimpfinger, L. H. Sobin TNM Atlas Guide illustré de la classification TNM/pTNM des tumeurs malignes 5 e Édition avec 505 illustrations Traduction française supervisée par J.-L. Breau, G. des Guetz et P. Saintigny (Service d'oncologie médicale, Hôpital Avicenne)

5 Pr. Ch. Wittekind Institut für Pathologie Universität Leipzig Liebigstrasse 26, D Leipzig Dr. F. L. Greene Carolinas Medical Center Department of Surgery 1000 Blythe Boulevard Charlotte, NC 28203, USA Dr. R. V. P. Hutter 30 Surrey Lane Livingston, HJ 07039, USA Pr. M. Klimpfinger Vorstand des Pathologischen und Bakteriologischen Instituts Kaiser-Franz-Josef-Spital Kundratstrasse 3 A Vienna Dr. L. H. Sobin Division of Gastrointestinal Pathology and Hepatic Pathology Armed Forces Institute of Pathology Washington, DC 20306, USA Traduit de la 5 e Édition anglaise : TNM Atlas edited by Ch. Wittekind, F.L. Greene, R.V.P. Hutter, M. Klimpfinger, L.H. Sobin Springer-Verlag Berlin Heidelberg 2005 Springer est membre du groupe Springer Science + Business Media ISBN-10 : Springer Paris Berlin Heidelberg New York ISBN-13 : Springer Paris Berlin Heidelberg New York Springer-Verlag France, 2006 Imprimé en France Cet ouvrage est soumis au copyright.tous droits réservés, notamment la reproduction et la représentation, la traduction, la réimpression, l exposé, la reproduction des illustrations et des tableaux, la transmission par voie d enregistrement sonore ou visuel, la reproduction par microfilm ou tout autre moyen ainsi que la conservation des banques de données. La loi française sur le copyright du 9 septembre 1965 dans la version en vigueur n autorise une reproduction intégrale ou partielle que dans certains cas, et en principe moyennant les paiements des droits. Toute représentation, reproduction, contrefaçon ou conservation dans une banque de données par quelque procédé que ce soit est sanctionnée par la loi pénale sur le copyright. L utilisation dans cet ouvrage de désignations, dénominations commerciales, marques de fabrique, etc., même sans spécification ne signifie pas que ces termes soient libres de la législation sur les marques de fabrique et la protection des marques et qu ils puissent être utilisés par chacun. La maison d éditions décline toute responsabilité quant à l exactitude des indications de dosage et des modes d emploi. Dans chaque cas il incombe à l usager de vérifier les informations données par comparaison à la littérature existante. Couverture : Jean-François Montmarché (Illustrations : P. Lübke) SPIN :

6 Préface Préface de la cinquième édition Cette nouvelle et 5 e édition de l Atlas TNM reflète les modifications du système TNM introduites par la 6 e édition, récemment publiée, de La Classification TNM des tumeurs malignes 1. Les ajouts et changements les plus importants consistent en : une révision de la classification des tumeurs de la tête et du cou, traduisant l'introduction des catégories T4a/pT4a et T4b/pT4b qui permettent de distinguer les tumeurs localement opérables des tumeurs non opérables ; une nouvelle classification des tumeurs des fosses nasales ; des modifications de la classification des tumeurs thyroïdiennes ; de nouvelles sous-catégories dans la classification des tumeurs gastriques ; des modifications de la classification des tumeurs du foie, de la vésicule biliaire et des conduits biliaires extrahépatiques ; une nouvelle classification des mésothéliomes pleuraux ; des changements de classification des tumeurs osseuses ; de profondes modifications de la classification des mélanomes malins de la peau ; des changements de classification des ganglions lymphatiques régionaux du sein ; une révision des définitions des facteurs de risque des tumeurs trophoblastiques de la grossesse en fonction des propositions de la FIGO ; de nouvelles sous-catégories dans la classification des tumeurs de la prostate ; des changements de classification des tumeurs ophtalmiques. En outre, une proposition de classification des ganglions lymphatiques sentinelles a été introduite, ainsi qu'une classification des cellules tumorales isolées (ITC) dans les ganglions lymphatiques régionaux et la moelle osseuse. Le comité de rédaction a changé : le Dr Hermanek, éditeur en chef de l édition précédente et l un des «pères» de l Atlas TNM, a pris sa retraite, de même que le Dr Wagner, alors que le Dr Klimpfinger a rejoint le comité. Les éditeurs désirent exprimer leurs chaleureux remerciements à Paul Hermanek pour ses inestimables contributions au développement et à la promotion de l Atlas TNM, ainsi qu au Dr Wagner pour son remarquable travail. Le comité de rédaction s est efforcé de respecter le concept novateur élaboré par Bernd Spiessl qui a introduit un soutien graphique à l'application pratique du système de classification TNM. La classification TNM, telle que présentée et illustrée dans cette édition, correspond exactement à celle de la 6 e édition de La Classification TNM des tumeurs malignes de l UICC 1 et de la 6 e édition du Manuel de stadification des cancers de l AJCC 2. De récentes modifications introduites par la FIGO 3 VII

7 Préface ont également été insérées pour aligner les deux classifications FIGO et TNM. Les changements profonds apparus entre la 4 e édition révisée (1998) et la présente édition de l Atlas TNM sont indiqués par une barre noire sur le côté du nouveau texte (II). Les éditeurs espèrent que l Atlas TNM continuera de faciliter la pratique quotidienne des oncologues et de promouvoir l utilisation de la classification TNM dans l'organisation des traitements, l'estimation des pronostics et l'évaluation des résultats thérapeutiques. Ch. Wittekind, Leipzig F.L. Greene, Charlotte, NC R.V.P. Hutter, Livingston, NJ M. Klimpfinger, Vienna L.H. Sobin, Washington, DC Avril 2004 Références : 1. UICC/TNM Classification of Malignant Tumours, 6th edition (2002). Sobin LH, Wittekind Ch (eds) J. Wiley, New York 2. Greene FL,Blach CM, Fleming ID, Fritz A, Haller DG, Morrow M, Page DL (eds) (2002) AJCC : Cancer Staging Manual, 6th edn. Springer, New York 3. Creasman WT, Odicino F, Maisoneuve P, Beller U, Benedet JL, Heintz APM, Ngan HYS, Sideri M, Pecorelli S (2001) FIGO : Annual report on the results of treatment in gynecological cancer, vol 22. Carcinoma of the corpus uteri. J Epidemiol Biostat 6:45-86 VIII

8 Les auteurs Ont participé à la cinquième édition Bootz, F., Bonn, FRG...Chirurgie de la tête et du cou Hermanek, P., Erlangen, FRG...Pathologie Sobin, L.H., Washington/DC, USA...Pathologie Spraul, Ch., Ulm, FRG...Ophtalmologie Weber, Anette, Leipzig, FRG...Chirurgie de la tête et du cou Wittekind, Ch., Leipzig, FRG...Pathologie IX

9 Note préliminaire Note préliminaire 1 Le système TNM, pour décrire l extension de la maladie, est fondé sur l évaluation de trois éléments : T : la tumeur primitive N : l absence ou la présence et l importance des métastases ganglionnaires régionales M : l absence ou la présence de métastases à distance Ces trois éléments, complétés par un nombre, indiquent l étendue du cancer : T0, T1, T2, T3, T4 N0, N1, N2, N3 M0, M1 Ce système constitue ainsi une analyse sténographique de l étendue d une tumeur maligne particulière. Chaque site tumoral est décrit selon les données suivantes : 1. Anatomie : Des schémas des sites anatomiques sont présentés selon la nomenclature topographique de l ICD-O Adénopathies régionales : Les adénopathies régionales sont cartographiées sur les schémas. 3. T/pT : Classification clinique et anatomopathologique de la tumeur primitive. Les mêmes illustrations sont valables pour T et pt, car dans la 6 e édition de la classification TNM les classifications clinique et pathologique (T et pt) habituellement coïncident. La seule exception est le rétinoblastome. 4. N/pN : Classification clinique et anatomopathologique des adénopathies régionales. Les données pour N et pn sont présentées de façon identique à celles utilisées pour T et pt. Dans la 6 e édition, une différence de définition entre N et pn n existe que pour le cancer du sein et les tumeurs germinales testiculaires. 5. M/pM : Classification clinique et anatomopathologique des métastases. Les nombreuses variantes de la maladie métastatique M sont précisées dans quelques cas particuliers. Facteur C Le facteur C ou facteur de certitude traduit la validité de la classification selon les moyens diagnostiques utilisés. Il est optionnel. Les définitions du facteur C sont : C1 Preuve établie par des marqueurs diagnostiques standards. Ex. : inspection, palpation, clichés radiologiques standards, endoscopie pour les tumeurs de certains organes. Références : (1) ICD-O : International Classification of Diseases for Oncology, 3rd edn (2000) WHO, Geneva. XI

10 Note préliminaire C2 Preuve établie par des examens spécialisés. Ex. : imagerie radiologique spécialisée, tomographie, tomodensitométrie, échographie, lymphographie, angiographie, scintigraphie, imagerie par résonance magnétique (IRM), endoscopie, biopsie et cytologie. C3 Preuve établie lors d une exploration chirurgicale avec biopsie ou examen cytologique. C4 Évaluation de l étendue de la maladie après chirurgie d exérèse et examen anatomopathologique de la pièce opératoire. C5 Preuve établie par autopsie. Exemple : Les degrés de C peuvent être appliqués à T, N et M. Un cas peut être décrit comme suit : T3C2, N2C1, M0C2. La classification clinique TNM correspond aux degrés C1, C2 et C3 de certitude tandis que la classification anatomopathologique ptnm correspond généralement à C4. Classification de la tumeur résiduelle (R) Après traitement, l absence ou la présence d une tumeur résiduelle sont définies par le symbole R. Il est optionnel. TNM et ptnm décrivent l extension anatomique du cancer sans considération thérapeutique. Ils peuvent être complétés par la classification R qui tient compte du statut tumoral postthérapeutique. La classification R traduit l effet du traitement et constitue un indice pronostique important. Dans la classification R non seulement la tumeur résiduelle locorégionale, mais aussi la tumeur résiduelle à distance, sous forme de métastases encore présentes, sont prises en compte. Les définitions de R sont : RX La présence d une tumeur résiduelle ne peut être évaluée R0 Pas de tumeur résiduelle (Fig. 1) R1 Tumeur résiduelle microscopique (Fig. 2) R2 Tumeur résiduelle macroscopique (Fig. 3) XII

11 Note préliminaire R0 ou Fig. 1 a, b R0. a Exérèse complète de la tumeur primitive avec limites d exérèse non envahies. b Pas de métastase à distance ou exérèse de celle-ci réalisée. R1 Fig. 2 R1. Exérèse de la tumeur primitive macroscopiquement complète mais avec des limites d exérèse histologiquement envahies. R2 Fig. 3 a, b R2. a Exérèse de la tumeur primitive macroscopiquement incomplète ou b Exérèse complète de la tumeur primitive mais présence de métastases. XIII

12 Sommaire TUMEURS DE LA TÊTE ET DU COU 3 Lèvres et cavité buccale 11, Pharynx 19, Larynx 33, Fosses nasales, sinus maxillaire et ethmoïdal 45, Glandes salivaires 55, Glande thyroïde 59 TUMEURS DU SYSTÈME DIGESTIF 65 Œsophage 66, Estomac 75, Intestin grêle 85, Côlon et rectum 89, Canal anal 99, Foie 106, Vésicule biliaire 111, Voies biliaires extrahépatiques 116, Ampoule de Vater 120, Pancréas 126 TUMEURS DES POUMONS ET TUMEURS PLEURALES 131 Cancers du poumon 135, Mésothéliome pleural 146 TÊTE COU SYSTÈME DIGESTIF POUMONS PLEURALES TUMEURS DES OS ET DES TISSUS MOUS 155 Os 156, Tissus mous 158 OS TISSUS MOUS TUMEURS DE LA PEAU 161 Cancer de la peau 167, Mélanome malin de la peau 171 PEAU TUMEURS DU SEIN 179 SEIN TUMEURS GYNÉCOLOGIQUES 195 Vulve 196, Vagin 202, Col de l'utérus 208, Utérus 217, Ovaire 222, Trompe de Fallope 230, Tumeurs trophoblastiques 236 TUMEURS UROLOGIQUES 241 Pénis 242, Prostate 249, Testicule 255, Rein 266, Bassinet et uretère 272, Vessie 276, Urètre 283 TUMEURS OPHTALMIQUES 291 Carcinome de la paupière 293, Carcinome de la conjonctive 296, Mélanome malin de la conjonctive 300, Mélanome malin de l'uvée 304, Rétinoblastome 311, Sarcome de l'orbite 316, Carcinome de la glande lacrymale 318 MALADIE DE HODGKIN 321 GYNÉCO- LOGIE UROLOGIE OPHTALMO- LOGIE MALADIE HODGKIN LYMPHOMES NON HODGKINIENS 333 LYMPHOMES NON HODGKINIENS 1

13 Lèvres et cavité buccale Pharynx : oropharynx, nasopharynx, hypopharynx Larynx : supraglottique, glottique, sous-glottique Fosses nasales, sinus maxillaire et ethmoïdal 45 Glandes salivaires Glande thyroïde Tumeurs de la tête et du cou Note préliminaire Les carcinomes apparaissant dans les petites glandes salivaires de la portion supérieure des appareils respiratoire et digestif sont classés conformément aux règles concernant les tumeurs de leur site anatomique d origine, p. ex. la cavité buccale.

14 Tumeurs de la tête et du cou TÊTE COU Ganglions lymphatiques régionaux (Fig. 4) Les ganglions lymphatiques régionaux sont les ganglions cervicaux. Ils comprennent : 1. Les ganglions sous-mentaux 2. Les ganglions sous-mandibulaires 3. Les ganglions jugulaires crâniaux (cervicaux profonds) 4. Les ganglions jugulaires moyens (cervicaux profonds) 5. Les ganglions jugulaires codaux (cervicaux profonds) 6. Les ganglions cervicaux dorsaux (cervicaux superficiels) le long du nerf accessoire 7. Les ganglions sus-claviculaires 8. Les ganglions prélaryngés*, prétrachéaux et paratrachéaux 9. Les ganglions rétropharyngiens 10. Les ganglions parotidiens 11. Les ganglions buccaux 12. Les ganglions rétro-auriculaires et occipitaux Classification N/pN - Adénopathies régionales Les définitions des catégories N pour les tumeurs de la tête et du cou, à l'exception de la glande thyroïde, sont les suivantes : NX/pNX Les adénopathies régionales ne peuvent être évaluées N/pNX Les adénopathies régionales ne peuvent être évaluées N/pN0 Pas d adénopathie régionale métastatique pn0 L'examen histologique d un curage cervical sélectif porte habituellement sur six ganglions ou plus. L'examen histologique d un curage cervical radical ou radical modifié porte habituellement sur dix ganglions ou plus. Si les ganglions sont négatifs mais que leur nombre habituel n a pas été atteint, classer en pn0. Quand la taille fait partie des critères de classification pn, il ne faut mesurer que la métastase et non le ganglion entier Note : * Les ganglions prétrachéaux sont parfois appelés «Delphian nodes» par les Anglo-Saxons. 4

15 Tumeurs de la tête et du cou TÊTE COU Fig. 4 a - c 5

16 Tumeurs de la tête et du cou TÊTE COU N1/pN1 Adénopathie métastatique unique unilatérale, 3 cm dans sa plus grande dimension (Fig. 5) Homolatérale Tumeur primitive de la tête ou du cou à l'exception de la glande thyroïde et du nasopharynx Fig. 5 6

17 Tumeurs de la tête et du cou N2/pN2 Adénopathie métastatique unique unilatérale, > 3 cm mais 6 cm dans sa plus grande dimension ; ou adénopathies métastatiques homolatérales multiples, 6 cm dans leur plus grande dimension; ou adénopathies métastatiques bilatérales ou controlatérales, 6 cm dans leur plus grande dimension N2a/pN2a Adénopathie métastatique unique unilatérale, > 3 cm mais 6 cm dans sa plus grande dimension (Fig. 6) TÊTE COU Homolatérale Tumeur primitive de la tête ou du cou à l'exception de la glande thyroïde et du nasopharynx Fig. 6 7

18 Tumeurs de la tête et du cou TÊTE COU N2b/pN2b Adénopathies métastatiques multiples homolatérales, 6 cm dans leur plus grande dimension (Fig. 7) Homolatérale Tumeur primitive de la tête ou du cou à l'exception de la glande thyroïde et du nasopharynx Fig. 7 8

19 Tumeurs de la tête et du cou N2c/pN2c Adénopathies métastatiques bilatérales ou controlatérales, 6 cm dans leur plus grande dimension (Fig. 8) TÊTE COU Tumeur primitive de la tête ou du cou à l'exception de la glande thyroïde et du nasopharynx Fig. 8 9

20 Tumeurs de la tête et du cou TÊTE COU N3/pN3 Adénopathie métastatique, > 6 cm dans sa plus grande dimension (Fig. 9) Note : Les ganglions situés sur la ligne médiane sont considérés comme homolatéraux. Tumeur primitive de la tête ou du cou à l'exception de la glande thyroïde et du nasopharynx Fig. 9 10

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