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1 Schéma régional r des ressources en eaux Marc CLOSSET - SWDE Responsable Service Gestion des Ressources et Schéma Directeur

2 L eau, un capital pour la Wallonie Les ressources en eau en Wallonie La Wallonie connaît un climat favorable (pluviosité) qui lui permet de disposer de ressources en eau abondantes. La structure et nature géologique favorables du sous-sol (calcaires) et le climat tempéré (pluviosité abondante) permettent la constitution de stocks d eau souterraine importants, renouvelables et facilement exploitables. Par rapport aux autres pays, les ressources en eau souterraine sont un point fort de la Wallonie dans les enjeux de la sécurité d alimentation et de la disponibilité de la ressource comme facteur d attractivité, en particulier face aux impacts potentiels des changements climatiques en Europe.

3 L exploitation des ressources en eau en Wallonie Prélèvements (millions de mètres cubes) Eau de surface Eau souterraine Production de boissons Autres activités Utilisations industrielles (yc extraction) Approvisionnement public Répartition des prélèvements 24% 59% 17% Les ressources en eau sont exploitées par un grand nombre d acteurs comme le montre la répartition des prises d eau par grands secteurs : agriculture industrie 699 distribution publique particuliers +/ autres 726 Historiquement, les externalités sont importantes dans l exploitation des ressources en eau : Région bruxelloise 70 millions m³ (98 % des besoins) Région flamande 90 millions m³ (25% des besoins -> 60% en 2019) Volume consommé en Wallonie Exportation vers Bxl Exportation vers Flandre

4 Directive cadre sur l eau l (DCE)

5 Directive cadre sur l eau l (DCE)

6 Schéma régional r des ressources en eaux Depuis les années 1990, la facette qualitative a fait l objet de toutes les attentions en Wallonie avec : le développement de l assainissement des eaux; l établissement de périmètres de protection avec des travaux de mises en conformité visant à la prévention de la dégradation de la qualité de l eau; la lutte contre la pollution par les substances diffuses (Nitrawal, Phytowal, Contrats captages). La facette quantitative relative aux masses d eau souterraine est plus récente : le Gouvernement wallon a confié en mai 2010, en mission déléguée à la SWDE, l élaboration d un schéma régional pour l exploitation des ressources en eau qui devrait être repris dans les plans de gestion par bassins hydrographiques.

7 Schéma régional r des ressources en eaux Objectifs environnementaux, sociaux et économiques : La régulation des prélèvements publics et privés (agricoles, industriels et domestiques) La sécurité d approvisionnement du territoire wallon Un accès à l eau solidaire (mutualisation des coûts sans intégration des structures) Une maîtrise du prix de l eau (synergies en matière d'investissements) L application du principe de récupération des coûts (de la ressource et de l environnement) La cohérence avec les autres politiques régionales en matière d environnement, de ressources naturelles et d aménagement du territoire Output principal = Schéma directeur de la production publique

8 Une adaptation structurelle de l outil l de production Objectifs : assurer un taux de sécurisation de l ordre de 30 % pérenniser et développer les échanges d eau entre opérateurs en et hors Région wallonne augmenter le taux d utilisation des capacités des ouvrages stratégiques concentrer les moyens pour la protection des ressources diminuer les coûts d exploitation anticiper l évolution des besoins liés à l évolution démographique, au développement économique ou aux changements climatiques

9 Les opérateurs de l eau l en Wallonie 50 opérateurs wallons dans le domaine de la production : Communes indépendantes : 41 Intercommunales : 9 Société régionale : 1 2 opérateurs dont le siège est hors de Wallonie : Vivaqua TMVW

10 Les opérateurs de l eau l en Wallonie

11 Première phase : Une collecte d information sur la situation des opérateurs dans le domaine de l eau a été réalisée sur base des données disponibles (Comité de l eau, DGO3, rapports d activité, sites internet, ) pour les années 2009 à 2011 aussi bien au point de vue qualitatif que quantitatif. Ces informations ont été synthétisées et représentées sous forme de cartes thématiques.

12 Une analyse macroscopique sur base des données disponibles a montré : Une forte dispersion des infrastructures : 621 prises d eau contribuent à la distribution publique pour un volume annuel produit de l ordre de m³ (soit environ 14 % des prélèvements totaux), mais seulement 144 (soit 23 %) dépassent le volume de m³/an, seuil retenu par l Europe pour définir les prises d eau viables; Un transfert massif d eau vers les autres régions du pays : (+/- 40 % des volumes produits, soit m³/an) mais des volumes potentiellement disponibles à moyen terme (projet AQUADUCT en Flandre pour 2018); Des problèmes qualitatifs et quantitatifs récurrents au sein de nombreux opérateurs; Une disponibilité de volumes importants sur les grands centres de potabilisation existants (barrages de l est, centres de potabilisation des eaux d exhaure, galeries de Hesbaye, prises d eau Vivaqua et TMVW = m³/an).

13 Deuxième phase : La visite de l ensemble des opérateurs dans le domaine de l eau a été réalisée pour réaliser un audit consistant en : Examen rapide de la situation : Identification des besoins et/ou des volumes d eau disponibles Etat des lieux de la rationalisation de la production d eau Mise à jour des données relatives à l opérateur Synthèse des informations sous forme de compte-rendu, d un tableau et d une représentation graphique

14 Evolution de la demande : Trois critères doivent être intégrés : 1. Evolution démographique (maximum 2%/an) 2. Evolution de la demande industrielle (zoning : ha/10 ans) 3. Besoin de sécurisation (max 30 % des volumes habituels = m³/an en 2022 et m³/an en 2032) Echéance Démographie Zoning Sécurité Besoins en m³/an à l échéance Dans 10 ans Dans 20 ans Consommation totale par les ménages wallons (Indice 2010 = 100) Scénario 1 : Citernes imposées dans tout nouveau logement Scénario 2 : aucune nouvelle citerne

15 Carte de synthèse se du diagnostic Synthèse des informations : Identification des zones à problèmes (qualité et quantité) et des zones sans problème connu sur base des données disponibles et communiquées. Identification des potentialités aquifères disponibles pour les besoins de sécurité et de rationalisation (= m³/an). En fonction des besoins identifiés (sécurité par interconnexion, remplacement des prises d eau mises hors service, perspectives de développement (SDER, Bureau fédéral du plan) et des changements climatiques), les ressources disponibles non exploitées sont suffisantes et sont principalement constituées d eau de surface ou de carrières. Des synergies entre opérateurs permettant une sécurisation de l approvisionnement mais également une maîtrise du prix de l eau ont été identifiées.

16 Carte de synthèse se du diagnostic

17 Une série de travaux (coût estimé = ) majoritairement de liaisons ont été identifiés pour une longueur de 660 km. En vue de: Résorber les déficits récurrents de fournitures en eau; Supprimer les prises d eau (PE) de faibles capacités et/ou de qualité chimique médiocre (= 456 PE, m³/an); Valoriser le potentiel disponible dans les infrastructures exploitant les ressources stratégiques; Tenir compte de l évolution de la demande sur le territoire. Après réalisation, la possibilité de sécurisation de l ensemble des raccordements sera possible moyennant des travaux complémentaires de chaque opérateur au sein de son propre réseau.

18 Schéma directeur de production d eau Conduites à poser Phase 1 Phase 2 Phase optionnelle Phase «limitrophe» Total Nombre de km station de traitement Coût estimé

19 Présentation d un d cas de rationalisation Exemple de la SWDE: Comparaison avant après réalisation du schéma directeur Nombre de sites Nombre de prises d'eau Production (m³/an) Situation actuelle Année 2012 Situation future après 2021

20 Contacts internationaux En vue de compléter l analyse et correspondre avec la définition des bassins hydrographiques, l étude a été étendue aux régions et pays limitrophes (Flandre, G-D de Luxembourg, France, Allemagne) : Contacts avec Noréade (syndicat public de production et distribution d eau) qui gère l eau dans la zone sud soit Valencienne-Roubaix). Contacts avec Aluseau pour les besoins et les disponibilités au G-D de Luxembourg. Contacts avec LMCU coordinateur de la production-distribution d eau pour l agglomération lilloise. Démarche de rationalisation des ressources entamée en France, souhait d une collaboration dans une réflexion sur la sécurité d alimentation.

21 Contacts internationaux Identification de projets d interconnexion entre opérateurs frontaliers, augmentant la sécurisation en cas d incidents majeurs : Interconnexion Esch-sur-Sûre Adductions des barrages Interconnexion LMCU-Transhennuyère Interconnexion Noréade Réseau SWDE local Interconnexions Flandre-Wallonie (circulation inverse)

22 Contacts internationaux VMW TMVW Contacts producteurs d eau allemands LMCU Noréade Aluseau Synergies avec l'étranger Société wallonne des eaux

23 Pistes à approfondir Une série d opportunités et de menaces ont été identifiées, elles devront être approfondies : Opportunités: Valorisation de l eau d exhaure, y compris la réinjection Valorisation des eaux provenant de la géothermie et des stations d épuration (notamment par la fourniture d eau «grises») Stockage d énergie par création de réserves d eau potabilisables Menaces : Perchlorates, substances émergentes Gaz de schiste

24 Conclusions provisoires La mission initiale était prévue pour deux années qui ont été mises à profit pour finaliser une première proposition de schéma régional de production. Tenant compte du délai, le projet peut certainement être amélioré notamment par l intégration de remarques constructives. La poursuite des contacts entre les opérateurs va également déboucher sur d autres synergies. La mission confiée à la SWDE a été prolongée pour la durée de son actuel contrat de gestion.

25 Nous vous remercions pour votre bonne attention

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