Structure et diversité des subéraies du Nord Ouest du Maroc
|
|
- Maximilien St-Cyr
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Structure et diversité des subéraies du Nord Ouest du Maroc Redouan Ajbilou 1,*, Teodoro Marañón 2, Juan Arroyo 3, Mohammed Ater 1 1 Laboratoire Diversité et Conservation des Systèmes Biologiques (LDICOSYB), Département de Biologie, Faculté des Sciences, Université Abdelmalek Essaadi, B.P. 2121, 93000, Tétouan, Maroc. 2 IRNAS CSIC, B.P. 1052, Sevilla, Espagne. 3 Departamento de Biología Vegetal y Ecología, Universidad de Sevilla, B.P.1095, Sevilla, Espagne. * Auteur correspondant : rajbilou@yahoo.fr Résumé 98 relevés représentatifs des massifs forestiers du nord du Maroc ont été réalisés. Les subéraies sont les formations forestières naturelles les plus représentatives et les plus diversifiées dans l aire d étude. En effet, elles présentent une richesse spécifique et une richesse en taxons endémiques élevées. Chez les formations forestières dominées par Quercus suber et Q. canariensis, l altitude, la fertilité du sol et la perturbation anthropique jouent un rôle primordial dans la distribution des espèces arborées. Cette distribution semble exprimer la dynamique de la végétation selon un gradient de conservation-perturbation. D autre part, la structure démographique des subéraies étudiées a montré un déficit évident de régénération naturelle. 1. Introduction La partie occidentale du nord du Maroc dénommée Péninsule Tingitane appartient au Hot spot de la biodiversité végétale Bético Rifain, une des 10 régions définies par Médail et Quézel (1997) dans le Bassin Méditerranéen. La Péninsule Tingitane a suscité par son intérêt biogéographique un grand nombre d étude (Benabid, 1984 ; Deil, 1993, 1997). La majorité de ces études correspondent à des approches de type phytosociologique et phytogéographique qui ont une portée synthétique générale et des échelles spatiales importantes. D autres part, elles concernent la totalité des strates qui constituent les communautés végétales. Par contre, peu d études ont utilisé des approches quantitatives pour analyser la composition et la structure des communautés végétales de cette région. Les principaux objectifs de cette étude sont : ressortir les gradients floristico - écologiques suivant une approche quantitative des formations arborées, estimer la régénération des peuplements de chêne liège suivant la distribution des diamètres des arbres, évaluer deux 1
2 composantes de la biodiversité (richesse en espèces et en taxons endémiques) des communautés arbustives de ces forêts. 2. Matériel et méthodes Les forêts du nord-ouest du Maroc ont été étudiées sur la base de 98 relevés (84 relevés effectués dans des forêts naturelles et 14 relevés dans des reboisements). Pour chaque relevé, on a mesuré le recouvrement de toutes les espèces ligneuses arborées et arbustives sur une ligne de 100 m et le DBH (diamètre à la hauteur du poitrine) d un échantillon d arbres. On a également mesuré des variables environnementales comme l altitude, l orientation et la pente. Un échantillon du sol a été prélevé pour des analyses physico-chimiques. L intensité des facteurs de perturbation comme le pâturage, l incendie et la coupe du bois a été estimé de manière semi quantitative. Les matrices floristique et environnementale, ont été combinée et analysée par l analyse canonique de correspondance (ACC) et cela pour mettre en évidence les gradients floristiques existants et leurs relations avec les facteurs environnementaux (McCune & Mefford, 1999). Pour étudier la structure démographique des subéraies, la distribution des individus arborés par classe de diamètre a été effectuée. Une typologie des distributions est réalisée à partir de la fonction ß : V = k(x-a) α (b-x) γ (V : le nombre d individus par classe diamétrique ; k : une constante; x : la variable classe diamétrique ; a : la valeur minimale de la variable x ; b : La valeur maximale de la variable x ; α et γ : paramètres recherchés montrant les types de distribution (Tableau 1)) Tableau 1. Type de forêts suivant les valeurs des paramètres α et γ de la fonction β (Loetsch et al. 1973). Forêt α γ α - γ Type de distribution Type Descendante Type Asymétrique positive Type Asymétrique négative Type Ascendante La richesse spécifique correspond au nombre total d espèces recensées sur une ligne de 100 m. La richesse en taxons endémiques est le nombre de taxons interceptés sur la même 2
3 ligne, ayant une distribution géographique Ibéro Nord-africaine, Sud-Ouest Ibérique - Tingitane et Nord africaine (Ojeda et al ; Ajbilou et al. sous presse). 3. Résultats et discussions 3.1. Strate arborée: Gradients floristico - écologiques Une première analyse canonique de correspondance (ACC) (84 relevés, 12 espèces et 17 facteurs environnementaux), effectuée pour l ensemble des stations étudiées a permis de séparer deux gradients floristiques associés à l altitude et à la conservation (Fig. 1A). L axe 1 sépare nettement deux formations maraboutiques qui occupent des surfaces très exiguës ; l une est dominée par Quercus coccifera et Crataegus monogyna et l autre par Phillyrea latifolia et Pistacia lentiscus. Il s agit d espèces, normalement arbustives mais qui dans la zone d étude arrivent à avoir une taille d arbre. La bonne conservation à long terme de ces formations maraboutiques a permis de préserver cette singularité floristique au niveau de la strate arborée (Ajbilou et al. 2003, 2006). Cette situation a été également observée dans des forêts bien préservées au Portugal (Blanco et al. 1997). De son côté, l axe 2 différencie les formations forestières de haute altitude, dominées par Cedrus atlantica et Quercus pyrenaica. L altitude est un facteur lié aux variations microclimatiques, spécialement l intensité du froid qui représente un facteur limitant pour plusieurs espèces végétales. Pour une meilleure compréhension des tendances floristiques et écologiques, une deuxième analyse canonique de correspondance (75 relevés, 11 espèces et 17 facteurs environnementaux) a été réalisée seulement sur les relevés de chêne liège et de chêne zène (Fig. 1B). Le côté droit de l axe 1 isole des peuplements monospécifiques de chêne liège bénéficiant d un ensoleillement fort, exposés fréquemment à des incendies et adaptés à des sols pauvres en nutriments. Au fur et à mesure qu on s éloigne de ce côté, la strate arborée devient plurispécifique, dominée soit par le chêne liège soit par le chêne zène. Il s agit des formations denses, localisées sur les versants frais et ombragés, peu touchées par les incendies, et colonisant des sols riches en nutriments. 3
4 A B Figure 1. Résultats de l analyse ACC totale (A) et partielle (B). Les légendes des relevés sont les suivantes : les subéraies (Quercus suber) ( ), les zénaies (Q. canariensis) ( ), les tauzaies (Q. pyrenaica) ( ), les pinèdes (Pinus pinaster var. maghrebiana) ( ), les cédraies ( ), et la cocciferaie ( ). L axe 1 peut être interprétée comme un gradient de perturbation conservation. Le chêne liège est doté d une large amplitude écologique, se manifestant dans une gamme apparemment très disparate d habitats et capable de coloniser des milieux défavorables aux autres espèces arborées. Par contre, le chêne zène est beaucoup plus localisé et plus exigeant en humidité et fertilité du sol. En l absence d intervention humaine directe (coupe du bois et défrichement), le chêne liège par ses caractéristiques éco-physiologiques pourrait s imposer comme une alternative crédible de reboisement pour pallier le manque de régénération des forêts naturelles au Maroc. Structure diamétrique des peuplements de chêne liège La typologie de distribution en classe de diamètre à partir de la fonction bêta a permis d identifier 3 types de distributions (Fig. 2) : Le type 1 (9 relevés) compte un grand nombre d individus (plus de 95%) de taille inférieurs à 25 cm, dont une forte proportion (71%), appartient à la classe de diamètre de 7 à 15 cm ; le type 2 est le plus abondant et représentatif dans la zone d étude (49 relevés), caractérisé par une faible proportion d individus de la classe de 7 à 15 cm et un maximum d individus dans la classe intermédiaire (16-25 cm), 86% des individus ont un diamètre inférieur à 35 cm, il s agit donc des forêts constituées d arbres de petites dimensions ; le type 3 est représenté par 2 forêts maraboutiques plus anciennes composée par des individus de grandes tailles avec un diamètre supérieur à 50 cm. L étude de 4
5 Densité (ind/ha) (7-15) (16-25) (26-35) (36-45) (46-55) (56-65) la distribution des diamètres de l ensemble des individus recensés et mesurés du chêne liège a montré un manque de régénération au sein de ces forêts. Les peuplements de type 1 donnent l impression qu il s agit de subéraies en bon état de régénération naturelle issues de germination. Cependant, nos observations sur le terrain mettent en évidence qu il s agit plutôt de régénération issue de rejet de souches dans des formations ayant souffert d incendie ou de coupe excessive du bois. Le type 2 qui représentant la majorité des relevés échantillonnés, met en évidence une tendance à la baisse de la régénération naturelle du chêne liège. Les travaux menés sur les subéraies de la zone d étude ont évoqué tous le rôle déstructurant des facteurs anthropiques sur la régénération naturelle des subéraies (Ajbilou et écologiques d ordre édaphique (lit de semence pour favoriser la germination des graines), climatique (sécheresse estivale) et biologique (concurrence entre les espèces). L ensemble constituant un champ de recherche qu il conviendrait d explorer d avantage. Le type 3 a identifié des marabouts constitués d arbres remarquables par leurs formes, leurs dimensions, leur âge et leur symbolisme historique et culturel. Les forêts maraboutiques représentent une bonne opportunité pour mener des programmes de conservation au profit des arbres singuliers Strate arbustive Biodiversité Type 3 Classes diamétriques Type 1 Type 2 (66-75) (76-85) (86-95) (96-105) >105 Figure 2. Typologie de la distribution diamétrique des peuplements de chêne liège dégagée à partir de la fonction ß al. 2003). D autres facteurs peuvent également affecté la régénération naturelle : 1) facteurs physiologiques (capacité de production des semences viables) ; 2) facteurs pathologiques (actions des insectes et microorganismes sur les semences et les plantules) ; 3) facteurs Le tableau 2 résume les résultats de l analyse quantitative de la diversité végétale (richesse spécifique, richesse en taxons endémiques) des communautés végétales arbustives 5
6 des différents types des forêts. La richesse en espèces arbustives est significativement élevée chez les subéraies (valeur moyenne de 12 espèces) et les reboisements (13 espèces), alors qu elle est minimale chez les pinèdes naturelles (6 espèces). Ces résultats concordent parfaitement avec ceux de la richesse en taxons endémiques. En effet, les valeurs les plus élevées ont été enregistrées chez les subéraies et les reboisements, avec l exception des cédraies qui ont montré une valeur moyenne de 3,5 des deux relevés échantillonnés. Tableau 2. Les valeurs moyennes (moyen ± D.S) de la richesse spécifique (nombre des espèces par relevé) et de la richesse en taxons endémiques pour chaque type de forêt Type de forêts Nombre de relevés Richesse spécifique Richesse en taxons Subéraies ± ± 1.50 Zénaies ± ± 0.88 Tauzaies ± ± 0.58 Cédraies ± ± 2.12 Pinèdes naturelles ± ± 0.00 Cocciferaie Plantations de pins et eucalyptus ± ± 1.89 La diversité des subéraies pourrait s expliquer par leurs exigences environnementales intermédiaires. D une part, grâce à leur localisation dans les zones relativement basses (moins de 1000 m), les conditions climatiques leur sont très favorable (bioclimat subhumide á humide avec des variantes chaude à tempéré). Alors que dans les zones de haute altitude (plus de 1000 m), les conditions deviennent moins favorables et seules quelques espèces, tolèrent les restrictions dues à l intensité du froid (Ajbilou et al. sous presse). D autre part, les zénaies (valeur moyenne de 8 espèces / relevé) préfèrent des sols plus humides et fertiles. D une manière générale, les espèces dominantes avec une haute capacité compétitive éliminent dans les conditions qui leurs sont favorables les espèces moins compétitives (Grime, 1979). Le cas particulier des reboisements dont l extension est aujourd hui évidente, est à noter. Chez ces formations, on a mis en évidence des sous-bois très riches en espèces (valeur moyenne de 13 espèces / relevé). La plupart des travaux de reboisements ont été effectués sur des sols pauvres, où la végétation arborée était rare. La végétation naturelle était une lande à bruyères (formations dominées par des espèces des genres Erica et Genista) moins dense, et très riche en espèces et en taxons endémiques. Ceux-ci présentent une haute capacité pour tolérer les conditions de stress édaphique. Le sous-bois des reboisements conserve une partie de cette diversité. Il fallait donc, éviter de réaliser des reboisements à plantations très denses 6
7 qui élimineraient ces plantes endémiques, et dans certains cas, il est préférable de conserver des structures naturelles (sans reboisements) comme réserves de biodiversité. 4. Conclusions La subéraie est la formation forestière la plus abondante et la plus diversifiée dans la région Nord Ouest du Maroc. Cette diversité s explique largement par l hétérogénéité du milieu physique (altitude, topographie et fertilité du sol). Le chêne liège est doté d une large amplitude écologique et une grande capacité pour coloniser des milieux défavorables aux autres espèces arborées. On a relevé aussi une tendance générale à la baisse de la régénération naturelle des subéraies. Cette régénération n est possible à l heure actuelle que par rejet de souches à la suite des perturbations anthropiques (incendies et coupe du bois). Certaines forêts maraboutiques comptent des arbres remarquables par leurs formes, leurs dimensions, leur âge et leur symbolisme naturel et culturel. Elles représentent un patrimoine qui doit être conservé. Cette étude a le mérite d attirer l attention sur l intérêt remarquable que présentent les subéraies du nord du Maroc. En effet, elles présentent une grande richesse du cortège floristique arbustive. Les reboisements sont aussi très riches en espèces et en taxons endémiques. Il faut donc, éviter les reboisements à plantations très denses et qui élimineraient certaines plantes endémiques. Par ailleurs, dans certains cas, il serait préférable de conserver les structures naturelles (sans reboisements) comme réserve de biodiversité. Bibliographie Ajbilou, R., Marañón, T., & Arroyo, J Distribución de clases diamétricas y conservación de bosques en el norte de Marruecos. Investigación Agraria. Sistema y Recursos Forestales, 12, Ajbilou, R., Marañón, T., & Arroyo, J Ecological and biogeographical analyses of Mediterranean forest of northern Morocco. Acta Oecologica 29, Ajbilou, R., Marañón, T., Arroyo, J. & Ater, M. (sous presse). Structure et diversité de la strate arbustive des forêts de la Péninsule Tingitane (Maroc). Acta Botánica Malacitana. Benabid, A Etude phytoécologique des peuplements forestières y préforestiers du Rif centro-occidental (Maroc). Travaux de l institut scientifique. Serie Botanique, nº 34, Rabat. 7
8 Blanco, E., Casado, M.A., Costa, M., Escribano, R., García, M., Génova, M., Gómez, A., Gómez, F., Moreno, J.C., Morla, C., Regato, P. y Sainz, H Los bosques ibéricos. Una interpretación geobotánica. Editorial Planeta, Barcelona. Deil, U Le tangérois: aspects biogéographiques et problèmes de conservation des ressources végétales. En: M. Refass (ed.), Tanger: Espace, économie et société, pp Rabat, Tanger. Deil, U Vegetation landscapes in Southern Spain and Northern Morocco - an ethnogeobotanical approach. Fitosociologia 32, 5-21 Grime, J.P Plant strategies and vegetation processes. John Wiley y Sons, Chichester. Loetsch, F., Zohrer, F. & Haller, K.E Forest inventory. Volume II. Forest inventory section, Federal research Organisation for Forestry and forest Product, Reinbek. McCune, B y Mefford, M.J PC-ORD. Multivariate Analysis of Ecological Data, Version 4. MjM Software Design, Gleneden Beach, Oregon, USA. Médail, F. y Quézel, P Hot-spot analysis for conservation of plant diversity in the Mediterranean Basin. Annals of the Missouri Botanical Garden 84, Ojeda, F., Marañón, T. y Arroyo, J Biodiversity components and conservation of Mediterranean heathlands in Southern Spain. Biol. Conserv. 72,
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLa gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase
Journée Bases de Données Besançon 21 mars 2013 La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase François Gillet Université de Franche-Comté CNRS UMR 6249 Chrono-environnement
Plus en détailUNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES
UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES Mémoire pour l obtention de Diplôme d Etudes Approfondies (D.E.A.) en Biologie et Ecologie Végétales Option
Plus en détailTraits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR
Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailDiagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN
GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin
Plus en détail«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».
«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailSystèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables
Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.
Plus en détail«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013
«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013 Mangroves, Sénégal Hellio-Vaningen En octobre 2013, dans le cadre d un partenariat entre la Convention de Ramsar et le Groupe Danone,
Plus en détailProgramme GREAT-MED: «Generating a Risk and Ecological Analysis Toolkit for the Mediterranean»
Programme GREAT-MED: «Generating a Risk and Ecological Analysis Toolkit for the Mediterranean» Idée du GREAT-MED synthèse et transfert de connaissances de biodiversité Réfuges & Hotspots de plantes méditerranéennes
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)
ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailPour bien comprendre les résultats publiés
RÉSULTATS D INVENTAIRE FORESTIER MÉTHODOLOGIE Pour bien comprendre les résultats publiés Les résultats des campagnes d inventaire 2009 à 2013 Ce document peut être reproduit ou diffusé à des fins non commerciales
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailLe nouvel inventaire forestier de l IFN
Le nouvel inventaire forestier de l IFN Un sondage systématique et annuel The new French forest inventory a systematic and annual sampling Bélouard, Thierry (1) ; Vidal, Claude (2) ; Hervé, Jean-Christophe
Plus en détailRESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE
MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailScientific registration n : 35 Symposium n : 27 Presentation : Poster. SAFAIAN Nosrat, SHOKRI Maryam
Scientific registration n : 35 Symposium n : 27 Presentation : Poster Etude de l'influence des activités humaines sur l'érosion du sol dans la zone aride du Sud-Est de l'iran The study of the human activities
Plus en détailEXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions
Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a
Plus en détailMise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ
ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.378 Liège, le 13 mars 2006 Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT Avis du CWEDD portant
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailL offre de master orientée «forêt»
L offre de master orientée «forêt» à AgroParisTech Nancy JD Bontemps, H Wernsdörfer, AgroParisTech - centre de Nancy jdbontemps.agroparistech@gmail.com Holger.wernsdorfer@agroparistech.fr CAQSIS 2014,
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailLE NOUVEAU FICHIER ÉCOLOGIQUE DES ESSENCES. POURQUOI ET COMMENT?
LE NOUVEAU FICHIER ÉCOLOGIQUE DES ESSENCES. POURQUOI ET COMMENT? HUGUES CLAESSENS* EVA BIFOLCHI STEPHEN BYTHELL SOPHIE CORDIER ADELAÏDE DE BONT ARTHUR DESJONQUÈRES SORAYA IBOUKASSENE FRANÇOIS RIDREMONT
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailIndexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!
Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)
Plus en détailProjet de thèse : Dynamique et gestion des renouées asiatiques, de l échelle paysagère à l échelle de la tache
Projet de thèse : Dynamique et gestion des renouées asiatiques, de l échelle paysagère à l échelle de la tache Unité de recherche Lieu Ecosystèmes Montagnards, Irstea Grenoble Irstea Grenoble, Campus universitaire
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailHARMONISATION DES DONNÉES FORESTIÈRES EUROPÉENNES :
n 22, 2 e trimestre 2009 HARMONISATION DES DONNÉES FORESTIÈRES EUROPÉENNES : L INVENTAIRE FRANÇAIS IMPLIQUÉ DANS DES ACTIONS DÉTERMINANTES La plupart des pays européens dispose d un service d inventaire
Plus en détailConventions de Coopération 2007/2009/2010
de Coopération 2007/2009/2010 Avec les Institutions Espagnoles de Jaen Polytechnique de Carthagène d Alcala de Henares Publique de Navarre de Cordoue de Valence de Murcia et l Université Internacional
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailIndicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains
Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont
Plus en détailLa directive INSPIRE pour le partage des données géographiques
DRAAF Bourgogne Avril 2013 La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques La directive INSPIRE INfrastructure for SPatial InfoRmation in Europe Directive européenne qui vise à fixer les
Plus en détail1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011
1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011 Jean Claude Stone Njomkap Département Recherche/ Développement des projets Secrétariat du RAFM jc.njomkap@africanmodelforests.org
Plus en détailAGROBASE : un système de gestion de données expérimentales
AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détail4.6. LES MILIEUX NATURELS ET OBJETS CLASSES DE LA COMMUNE DE BERNEX ETAT DES CONNAISSANCES
4.6. LES MILIEUX NATURELS ET OBJETS CLASSES DE LA COMMUNE DE BERNEX ETAT DES CONNAISSANCES 4.6.1 Sources d'information 4.6.2 Généralités 4.6.3 Sites et objets naturels dignes d'intérêt de la commune de
Plus en détailIndexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!
Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailPlan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner
Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner par Corinne Steinbach ERSA s. à r. l. Distribution géographique: Les populations de Gentianella germanica se limitent aux pelouses calcaires du centre-est
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailComptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces
ATELIER INFRAREGIONAL POUR LA REGION DE L AFRIQUE DE L OUEST SUBSAHARIENNE SUR L ÉVALUATION ET LES MESURES INCITATIVES Ouagadougou, Burkina Faso, 14 17 Mai 2013 COMPTABILITÉ DE L ENVIRONNEMENT ET DES ÉCOSYSTÈMES
Plus en détailFormation FORÊT Les massifs
Formation FORÊT Les massifs Ateliers du patrimoine naturel de Picardie Rémi François Paul Janin 20/04/2014 Tour d horizon des principaux massifs picards Retz : l héritage de la futaie cathédrale Dominance
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailDES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE
DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE
Plus en détailSamuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr
!""#$%&'()*+,-#,'((.'(&),#/#%&)0/1$*(.'("/+%&0(.2&/3)+/+('*(4/5'6#(.'(7/(%$**'%15)+,(8(( 9)7)'6:($65'#+0('+(9)7)'6:(4$#'01'#0( ( (!"#$%&#'"#(%#)*"+,-.(("#*,-&&"#"+#/&0*"# Samuel Decout, Sandra Luque Sandra.luque@cemagref.fr
Plus en détailMorcellement du paysage
Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailEtat de la connaissance de la biodiversité. sur la commune de Pantin
Direction des Espaces Verts Mars 2011 Etat de la connaissance de la biodiversité sur la commune de Pantin Depuis sa création, le Département de la Seine-Saint-Denis a mobilisé ses moyens et fédéré les
Plus en détailBrochure 01/10 Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt
Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt 1 Brochure 01/10 Cartographie «végétation» des corridors électriques en forêt Plus d informations sur www.life-elia.eu Le projet LIFE ELIA bénéficie
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailBref rappel du contexte et des objectifs
NOTICE POUR LA MISE EN PLACE ET LA SAISIE DES DONNEES DU PROTOCOLE DE SUIVI DENDROMETRIQUE DES RESERVES FORESTIERES Bref rappel du contexte et des objectifs La survie de plus de 20% des espèces forestières
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailLa crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre
La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?
Plus en détailCalculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder?
Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? H. Chevalier, M. Gosselin, Sebastian Costa, Y. Paillet, M. Bruciamacchie To cite this version: H.
Plus en détailEtablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique
Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etude réalisée en 2003 pour le compte de l Office National des Forêts Eric Delboulbé, Docteur en Mécanique des Fluides
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détail2. Questionnaire pour une base de données
2. Questionnaire pour une base de données Merci de remplir un questionnaire pour chaque base de données (2.1) Nom de l institution : (2.2) Nom du département ou du laboratoire : Base de données : (2.3)
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche
Centre Beautour la biodiversité en Pays de la Loire Animateur de réseaux et catalyseur de projets de recherche Inauguré en juin 2013, le centre régional pour la biodiversité Beautour redonne vie à l héritage
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailExemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires
Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Données Global Forest Change Détection des coupes rases non reboisées Importance et répartition des coupes définitives Le renouvellement
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG
AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN
Plus en détailDomaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier
Domaine du Moulin à Bayonne Une nouvelle vie pour un nouveau quartier ** * Ceci n est pas un label. Cet immeuble fera l objet d une demande de label BBC-effinergie, Bâtiment Basse Consommation, auprès
Plus en détailqu une partie de l année? Où pourrez-vous demander de l aide en cas de problème (poste de police, bureaux de la mairie, pompiers, hôpitaux, etc.).
2 Usage et lecture des cartes Ferjan Ormeling, Pays-Bas Traduction : Emmanuelle Vagnon et Cécile Duchêne Harmonisation : Felix de Montety Les cartes peuvent avoir plusieurs fonctions : on les utilise par
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailObjectifs présentés. Discussion générale
Risque de feux et productivité forestière, de part et d autre de la limite nordique d attribution des forêts dans un contexte de changements climatiques Sylvie Gauthier Collaborateur : Yves Bergeron, Martin
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détail