PROPRIÉTÉS EFFECTIVES DES MILIEUX HÉTÉROGÈNES AVEC DES INCLUSIONS LIBRES INDÉFORMABLES AU COURS D'ACTIONS VIBRATOIRES FEDOTOVSKII V.S.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PROPRIÉTÉS EFFECTIVES DES MILIEUX HÉTÉROGÈNES AVEC DES INCLUSIONS LIBRES INDÉFORMABLES AU COURS D'ACTIONS VIBRATOIRES FEDOTOVSKII V.S."

Transcription

1 fïllwf CEA CEN-SACLAY Service de Documentation Groupe "Traductions" CEA-TR L GIF sur YVETTE CEDEX PROPRIÉTÉS EFFECTIVES DES MILIEUX HÉTÉROGÈNES AVEC DES INCLUSIONS LIBRES INDÉFORMABLES AU COURS D'ACTIONS VIBRATOIRES FEDOTOVSKII V.S. i TRADUCTION DE TRADUIT DU A PARTIR DU 35 pages russe en Février 1988 Rapport FEI-1507, 20 p., 1984 Traducteur M. ZEMSKOFF K» D'ENfltGISIBEBEIT :

2 FEI-1507 INSTITUT DE PHYSIQUE ET D'ENERGÉTIQUE FEDOTOVSKII v.s. PROPRIÉTÉS EFFECTIVES DES MILIEUX HÉTÉROGÈNES AVEC DES INCLUSIONS LIBRES INDÉFORMABLES AU COURS D'ACTIONS VIBRATOIRES OBNINSK, 1984.

3 FEDOTOVSKII v.s. PROPRIÉTÉS EFFECTIVES DES MILIEUX HÉTÉROGÈNES AVEC DES INCLUSIONS LIBRES INDÉFORMABLES AU COURS D'ACTIONS VIBRATOIRES. FE OBNINSK : FEI, PAGES. Dans ce document on présente l'étude du comportement dynamique de milieux hétérogènes formés par des fluides newtoniens et des inclusions indéformables, au cours d'actions vibratoires appliquées au fluide. On examine les faibles oscillations unidimensionnelles progressives des milieux hétérogènes et, de pair avec cet aspect du mouvement, leur propriété effective, la densité de translation et la viscosité. Il est montré que l'introduction de telles propriétés effectives est utile dans W <n le cas où le nombre oscillatoire de Reynolds, déterminé d'après la dimension caractéristique des inclusions, ne s'avère pas être petit. On examine les aspects concrets des milieux hétérogènes avec des inclusions sphériques et cylindriques, modélisant, sous certaines conditions, des fluides à bulles en double phases et des assemblages de oarrei immergés dans un liquide. -On a analysé les cas limites avec des inclusions légères et lourdes, qui donnent des relations plus caractéristiques entre les propriétés effectives des milieux hétérogènes et les propriétés de formation de leurs phases. c) - Institut de Physique et d'energétique (FEI), 19 84

4 INTRODUCTION Le principal problème d'une description mathématique d'un comportement mécanique de milieux hétérogènes consiste, comme on le sait, à former un système fermé d'équations de mouvement avec les propriétés fixées pour chacunes des phases. Ce problème s'avère être extrêmement plus complexe qu'un problème analogue de description des milieux à une phase, par suite d'une apparition de toute une série de nouveaux effets, comme par exemple l'échange d'impulsion et d'énergie entre les phases, le mouvement chaotique ou turbulent de la phase de dispersion ou de la phase totale, les collisions des particules dispersées, etc. Etant donné que les *ï milieux hétérogènes peuvent être très différents, aussi bien par ta ""î les propriétés des phases, les formes géométrigues des inclusions, En M Jj le caractère de leurs mouvements, dans chaque cas concret le rôle essentiel est joué par les divers processus, et à l'heure actuelle o il n'existe pas une approche générale satisfaisante pour leur rn description. Dans l'un des travaux de Brenner ÛJ il est souligné r- J qu'un tel état restera tel qu'il est, tant que ne sera pas atteinte la réunion de 1'hydromécanique, de la mécanique statistique, de la mécanique des milieux continus et de la thermodynamique des processus irréversibles. Il est clair toutefois que le développement de ce programme d'avenir peut être renforcé de manière moins fondamentale mais plus par des études appliquées, englobant les classes déterminées de milieux hétérogènes. Pour les milieux hétérogènes les plus simples, formés avec un fluide visqueux newtonien et comportant des inclusions indéformables pondérées, les équations du mouvement des phases sont les équations de Navier-Stoks et de Newton. Dans un cas général.

5 - 2 - par suite de difficultés connues de solutions des équations de Navier-Stoks, la description du mouvement même de tel milieu hétérogène s'avère être phénoménologique. Ainsi, dans les équations du mouvement du milieu hétérogène, entrent des membres inconnus, décrivant l'interaction des phases. Cependant, avec certaines limitations, les équations de Navier-Stoks se résument aux équations d'un écoulement rampant et la description du mouvement des fluides hétérogènes devient possible sur la base de la solution d'équations microdi-iamiques. Ainsi, en particulier, dans la rhéologie des suspensions, les effets d'interaction entre la phase de dispersion et la phase continue, peuvent être calculés par des microparamètres, prenant en considération la situation hydrodynamique au niveau des J diverses inclusions. Cette voie permet de calculer de telles carac- \ téristiques effectives comme la viscosité de déplacement, volumique et rotative des suspensions. a i o pj m ^ Dans un autre cas précis lorsque le milieu hétérogène est formé d'un fluide peu visqueux et d'inclusions suffisamment grosses, de manière à ce que leur enveloppement s'effectue avec un nombre de Reynolds élevé, (n.d.t. un mot illisible) et très difficile, si l'on introduit pas de quelconques limitations. Si par exemple, l'aspect des actions, appliqué sur un milieu hétérogène, sera tel que les déplacements du fluide et des inclusions s'avéreront être faibles par rapport à la dimension des inclusions, alors l'enveloppement des inclusions sera sans arrachement même avec un nombre de Reynolds élevé et la description sera possible sans faire appel à la mécanique statistique. C'est justement ainsi que se déroulent les choses, lorsque les milieux hétérogènes sont soumis à une action vibratoire. Il existe un nombre innombrable de problêmes sur les oscillations de systêmescontenant des milieux

6 - 3 - hétérogènes ou bienentourées par ses derniers. En qualité d'un de ces exemples de tels systèmes, on peut examiner des milieux à bulles à double phases, se déroulant dans les éléments oscillants des structures d'un équipement de puissance, technologique, ou autre. En qualité de milieux hétérogènes anisotropiques, on peut examiner les systèmes des barres d'éléments combustibles, entourés d'un écran et de la cuve du réacteur ou des faisceaux de tube d'êchangeurs de chaleur enveloppés par le flux de caloporteur. De tels milieux hétérogènes doivent également être examinés comme des milieux anisotropiques homogènes avec quelques propriétés effectives, qui pourraient déterminer les caractéristiques dynamiques des structures différentes élastiques en contact. j ^ A la différence des suspensions pour lesquelles le rôle H principal est joué par les effets de viscosité et que l'on peut m \ examiner dans un sens plus large comme des milieux hétérogènes ' visqueux-élastiques, les milieux hétérogènes examinés par nous o <N serons classifies comme étant inertionellement élasticovisqueux, ^J ayant en vue, que le rôle principal est joué par les effets d'inertie. Pour autant que les inclusions entourées d'un fluide visqueux peuvent être examinées, dans un cas général, comme élasticodéformables (par exemple les bulles dans un milieu double phasesou les barres des assemblages) les propriétés d'inertie et de viscosité de telsmilieu*doivent être, dans un cas général, liées à leur propriété élastique. De cette manière, les propriétés principales des milieux hétérogènes inertionellement élasticovisqueux, seront la densité effective et la viscosité effective. Parfois, à la place de ces termes, on utilise la vibrodensité et la vibroviscosité. Historiquement,

7 - 4 - J les problèmes du mouvement du corps dans un milieu oscillant avec une résistance du type frottement à sec (corps dans un milieu pulvërulant) ont par exemple amené à ses compréhensions. Au cours de vibrations, le frottement à sec se transforme pour les mouvements lents du corps en un mouvement linéairement visqueux, corps qui en présence de vibrations était soit au repos, soit tombait de manière accélérée (emersion), se meut â présent à vitesse constante ~2j. Le secteur de la mécanique qui se développe de manière intense ces temps-ci et qui concerne l'étude du comportement des systèmes sous l'action des vibrations, a été appelé vibrorhéoloaie Dans le travail C^J la vibrorhëologie est déterminée comme étant un secteur de la mécanique dans lequel on étudie les modifi- cationsrnéologiques des propriétés des corps (des milieux) sous -^ l'action de vibrations par rapport aux forces lentes. Les propriétés i» ^ effectives étudiées dans le présent travail doivent être comprises Ç. comme étant des propriétés vibrorhéologiques de milieu hétérogène A i inertionellement élasticovisqueux par rapport aux actions vibrao PJ toires rapides. Apparemment, les travaux de Granat N.L, ont été in ^ les premières tentatives pour examiner les propriétés vibrorhéologiques des milieux hétérogènes avec une faible part volumique d'inclusions sphëriques. Ici, on examine un cas plus général avec une concentration arbitraire d'inclusion, en particulier de forme sphérique et cylindrique. En supposant que, comme dans les milieux homogènes, le mouvement arbitraire peut être présenté par une superposition de mouvements progressif, rotationel et de déformation (théorème de Gel'mgol'ts), à chacun d'entre eux on peut comparer les propriétés effectives correspondantes : propriété de translation, de rotation, de déplacement et 1*; vibrodensité volumique et la vibroviscosité.

8 5 - Dans le présent travail on examine que les faibles oscillations unidimensionnelles de mouvements des milieux hétérogènes et, en accord avec ses aspects du mouvement, leurs propriétés efficaces, la densité de translation p^ T * et la viscosité de trans lation u T. 1. MOUVEMENT DES INCLUSIONS DANS UN FLUIDE OSCILLANT Si le milieu hétérogène est soumis à l'action des forces superficielles, appliqué à la phase totale, alors, au cours d'un mouvement accéléré de l'élément du milieu dv avec une vitesse U (d), apparaîtra dans la phase totale le gradient de pression *î dp/dx = -pdu/dt, créant une force d'expulsion, similaire à celle d'archimède, agissant sur les inclusions dans le sens d'une accéw m ^J se déplaçant avec une accélération du/dt, les forces d'inertie dirigées dans le sens contraire agissent également sur les incluo lération du milieu total. Dans un système non inertial de coordonnées, { sions. Sous l'action de c-es forces, chaque inclusion se déplace par ^ rapport à la phase totale avec une certaine accélération et une certaine vitesse, la phase totale jouant sur les inclusions une action déterminée d'inertie et de viscosité. L'action d'inertie est déterminée par l'accélération relative et la masse adjointe, cependant que la viscosité est déterminée elle par la vitesse et le coefficient de viscosité du frottement. L'équation du mouvement de l'inclusion par rapport à un système immobile de coordonnées, présente de cette manière l'aspect suivant : (M+m) * &= vf -M H_ ç (v. M, (1, où M = puv - représente la propre masse d'inclusion d'un volume V,

9 - 6 - po,p - les densités du matériau des inclusions et du fluide, m=ypv - la masse adjointe, y - le coefficient de la masse adjointe, Ç - le coefficient de frottement visqueux. Il faut souligner ici, qu'à la différence des forces d'expulsion et d'inertie, les forces hydrodynamiques (d'inertie et de viscosité) s'avère' être dans un cas général les fonctions non seulement de l'accélération et de la vitesse, mais dépendent de manière notable de l'historique du mouvement des inclusions. En outre, les forces hydrodynamiques dépendent de la forme des inclusions, de leur orientation par. rapport à la direction du mouvement, de la concentration volumique des inclusions et de leur A position mutuelle. Ici, nous supposons que l'orientation des inns ""ï elusions est telle, qu'au cours de leur déplacement relatif, les lu m moments hydrodynamiques sont égaux à 0 et les inclusions ne tournent ai Jj- pas. Par la suite, nous considérerons toutes les inclusions comme 1 o étant identiques et réparties à l'équilibre dans un milieu total. Et r» quoique leurs actions vibratoires appliquées sur des milieux hétêror~ N' gènes peuvent donner naissance à de divers effets non linéaires, lents, par rapport aux actions vibratoires et aux mouvements dirigés dans un seul sens, nous supposons dans ce travail, que ces effets sont absents par suite de la faiblesse des forces vibratoires et l'action égalisatrice des autres mécanismes, par exemple la turbulence entre la phase dans des flux à double phases. De nombreux travaux l_ 6,7_7 sont consacrés à la mise en évidence et 1'étude des mécanismes d'apparition de diverses formes de mouvements lents et de phénomènes de localisation des inclusions au cours d'actions vibratoires et qui présentent à l'heure actuelle.

10 - 7 - un nouvel axe d'étude dans la dynamique des milieux à phases multiples. Ainsi, lors d'oscillations harmoniques d'un milieu hétérogène/ le paramètre/ prenant en considération l'historique du mouvement/ sera la fréquence des oscillations. Par suite de la linéarité de l'équation (1), les oscillations des inclusions seront également harmoniques. En ayant fixé le mouvement de l'élément d'un milieu hétérogène selon la loi U(t)=U 0 Sinut, nous cherchons la solution de l'équation (1) sous l'aspect suivant : a «(2) H m La substitution (2) dans l'équation (1) donne : U o i + fixrm ^ _ T M+m (M+m) to 1 + y (M+m) a (3) _2 = S \i a (M+m) a pv- M M + m (M+m) 2 0) 2 W

11 - 8 - En outre, introduisons une désignation pour le rapport des densités d'inclusions et du milieu total A=p /p et observons que le paramètre T = (M+m)/Ç (5) s'avère être le temps de relaxation des inclusions. Dans les désignations prises, les relations pour les valeurs d'amplitude Vi et VI ont l'aspact de, \, P (OJT) 2 ^0 = J_ (1-A)/(A+Y) ( 7. U T "o. A 1 (CCI)'' De cette manière, avec une fréquence fixée d'oscillations du milieu hétérogène et des propriétés fixées des phases, la cinétique des inclusions en ce qui concerne leur position à l'équilibre, est connue. Examinons à présent de quelle manière le mouvement oscillatoire apparaissant des inclusions, en ce qui concerne le fluide joue sur l'inertie du milieu hétérogène par rapport aux actions vibratoires.

12 DENSITE DE TRANSLATION EFFECTIVE Si les inclusions étaient immobiles par rapport au milieu total, alors la densité du milieu hétérogène, indépendamment de l'aspect de son mouvement, pourrait être déterminée d'après la règle des impuretés "CM = P U-M") + P 0 4> < < 8 > où U> - représente la concentration volumique des inclusions. Dans le cas examiné par nous, la vitesse des inclusions lors d'oscillations du milieu se différencie de la vitesse du fluide porteur. Avec A > 1 la vitesse oscillatoire des inclusions sera moins élevée, et avec A < 1 plus grande que la vitesse oscillatoire du fluide porteur. Ainsi, le deplajement du centre de la masse d'un certain volume dégagé du milieu hétérogène sera toujours plus petit que le déplacement de la frontière de ce volume (pour simplifier nous considérerons que la frontière du volume dégagé se déroule seulement dans la phase totale). Etant donné que la densité efficace du milieu hétérogène est rapportée par nous aux caractéristiques cinématiques du mouvement de la frontière du volume dégagé dv, c'est-à-dire avec sa vitesse U(t), l'impulsion de cet élément nous l'écrirons sous l'aspect suivant : I(t) = p U(t)dV, (9) T où p ± - représente la densité effective de translation qu'il est indispensable d'exprimer par des paramètres connus du milieu hétérogène. D'un autre côté, l'impulsion (9) se

13 compose de deux composantes : l'impulsion des inclusions Ib et l'impulsion Ig Ib = p 0 ^ V(t)dV (10) Ig = p J Vg(r,t)d 3 r, (11) où la vitesse V(t) est identique pour toutes les inclusions se trouvant dans le volume dv, cependant que la vitesse du fluide Vg(r,t) 9 'avère être la fonction des microcoordonnées dans le volume élémentaire du milieu dv. L'intégration dans (11) doit être effectuée sur le volume du fluide se trouvant dans l'élément dv égal à (l-\f)dv. Une intégration directe de (11) est impossible «sans information sur la microstructure du champ de la vitesse du b. fluide Vg(r,t)*/ m a> \ ^ i o in L'impulsion du fluide peut être cependant facilement trouvée d'après la vitesse du mouvement de son centre de masse V " ig = P v*(i-«{)dv (12) «/Dans un travail déjà relativement ancien de l'auteur l_ 8_7 le calcul de l'impulsion pour un mélange à bulles à double phases a été effectué sur la base d'une schématisation de l'écoulement du fluide au voisinage de chaque bulle selon le modèle des cellules sphériques avec une vitesse connue de répartition Vg(r,t).

14 Avant de déterminer V^ soulignons qu'au cours des oscillations de l'élément du volume av d'après la loi U(t)=U Sinwt, l'impulsion totale et par conséquent ses composantes Ib et Ig doivent également varier selon la loi sinusoïdale. Cela signifie que dans le calcul de l'impulsion des inclusions, doit être prise seulement la composante symphasique de leur vitesse VX (voir la formule 6). A partir de la loi de conservation de l'impulsion, il découle que les valeurs des amplitudes des vitesses Uo, V» et V sont liées par la relation r g (U 0 -V*)p (l->f) - (Vj-Ugjpvf = 0, (13) a. signifiant que dans le système des coordonnées, ce déplaçant à la vitesse du centre de la masse du fluide, son impulsion est égale à 0. Autrement dit, dans ce système de mouvement du fluide il y a une surperposition du transfert du fluide "gelé" dans l'élément dv à une vitesse Ug dans un sens et un transfert du volume du fluide, expulsé par les inclusions, dans une direction contraire avec une vitesse De (13) il s'avère que des impulsions De cette manière nous avons les valeurs des amplitudes Ig = p(o 0 - V «f)dv, (15) I b = PO V Ô ^ d V - ( 1 6 )

15 La valeur d'amplitude de l'impulsion globale de l'élément du milieu hétérogène dv est égal à : I = p U Q dv = p(u 0 -V^)dV + P V^dV (17) d'où il d'écoulé que pt = p ( 1.! ^ + P o ^ (18) j a où p 1 * = 1 + p 1-1 A+Y (10T) 2 1 (A- l)vf (19) (UT)' De cette manière, la relation (19) donne la densité effective de translation recherchée du milieu hétérogène. Cette propriété d'inertie, comme on peut le voir d'après la formule, dépend de toute une série de paramètres (Y. A, T/tf),caractérisant les propriétés aes phases ainsi que de la fréquenceio des actions vibratoires appliquées. 3. ANALYSE DES CAS LIMITES A partir de la relation (19), examinent les divers cas limites, dans lesquels la densité effective se manifeste particulièrement distinctement.

16 Si la phase totale s'avère être un fluide relativement visqueux, cependant que la fréquence des oscillations et les dimensions des inclusions sont relativement petites, de manière à ce que (UIT) >>1, alors les inclusions seront pratiquement immobiles par rapport à la phase totale et la densité effective sera égale â la densité réelle (8). Une telle situation peut avoir lieu dans la rhéologie des suspensions, où le problème de la densité effective n'apparaît pas. Par contre, si le milieu total s'avëre être un fluide peut 05 lu a visqueux et la fréquence des oscillations et des dimensions des _2 inclusions relativement importantes, de manière à ce que (UT) < alors, dans ce cas, la formule (19) prend l'aspect de T = 1 + '"'? '""" ^ (20) p A + y Cette relation limite pour une densité effective possède un domaine d'applications relativement vaste. On peut considérer que cette relation est juste pour des nombres oscillatoires de Reynolds, déterminés d'après la dimension caractéristique des in- 2 elusions nettement plus grande i)0*l (Reo) = aci/j >>l). Pour de nombreux problèmes de vibrations, cette condition est observée. Examinons a présent quelques types de milieux hétérogènes avec des propriétés fixées des inclusions.

17 A. MILIEU HETEROGENE AVEC DES INCLUSIONS SPHERIQUES 1. Admettons que les inclusions sont des particules sphëriques d'une densité nulle (A = 0). Ce cas correspond à un mélange de bulles â double phases. En utilisant pour le coefficient de masse adjointe y par la relation Y ^,,., t 2 1 ) " 2 (1-f)' découlant du modèle des cellules sphëriques équivalentes ^~8_7, nous obtenons à partir de la formule (20) a. s. p T * 1 - ^ f = i«y < 2 2 > Ce résultat particulier a été obtenu précédemment par l'auteur du travail ^~8_7 et expérimentalement confirmé dans C*J A partir de la formule (22), on voit que la densité effective d'un mélange de bulles à double phases et de (l+2»f) fois inférieur à la densité réelle. 2. Examinons le cas lorsque la densité du matériau des inclusions de forme arbitraire est sensiblement plus élevée ^e la densité de la phase totale. Avec A = P n /p > les inclusions seront immobiles cependant que le fluide oscillant sera filtré à travers un "corps" poreux, formé par des inclusions immobiles. A partir de la formule (20), nous avons dans ce cas P^/P = 1 + (Y+lW (23)

18 Cette relation pour la densité effective a été obtenue précédemment dans le travail /_ 10_7 lors de l'analyse de l'écoulement de filtration du fluide â travers un assemblage immobile de barres. Il faut souligner, qu'au cours de l'examen de la dynamique des milieux hétérogènes dans le cadre de la théorie d'un écoulement potentiel d'un fluide non visqueux, les limitations sont enlevées pour le caractère du mouvement. Par contre, pour un liquide visqueux, le caractère du mouvement possède une importance notable. Pour une concrétisation ultérieure de la formule (23), il faut fixer une quelconque relation pour le coefficient d'adjonction de la masse. J \ à Dans le cas des inclusions sphériques, la substitution de (21) dans (23) donne a O p _± * = 1 + U?/2 p ± 1 - ^'~ If (24) "<> I o jq N Cette relation limite est présentée sur la figure 1 par la ligne 5. Sur cette même figure sont montrées également les relations pour la densité dynamique des milieux hétérogènes avec des inclusions sphériques, avec un rapport des densités du matériau des inclusions sphériques et du fluide = à 0,5 ; 1 ; 2 (respectivement courbes 2, 3, 4). B. MILIEU HETEROGENE AVEC DES INCLUSIONS CYLINDRIQUES Si en qualité d'inclusions, on examine des éléments formeide barres, orientés dans un seul sens et formant, de cette manière, un milieu hétérogène anysotrope, alors la densité effective s'exprimera par le tenseur du second rang. Dans le plus simple des

19 cas des barres cylindriques, formant une grille régulière, le milieu hétérogène s'avère être transversalement isotrope, c'està-dire que les écoulements transversaux de l'assemblage en forme de barres, le coefficient d'adjonction de la masse ne dépend pas de ces orientations angulaires / H_7. Pour des faisceaux très serrés (pas relatif X>=1,2), le coefficient de la masse adjointe est exprimé par la relation (_ 12_7- Y = (1 +\f)/(l -^) (25) Dans ce cas, la formule (23) donne courbe 1. p * +^'/ /p = (1 (1 -V < 26 > Cette relation est montrée sur la figure 2 par la Pour des faisceaux serrés de barres (X<l,2) f le coefficient de masse adjointe dépend non seulement de la concentration volumique des inclusions Uj, mais également du type de réseaux (triangulaire ou carré). En appliquant les relations obtenues dans le travail ^A - f /^r arct * i/êï *' il» - ( 2 7 > on peut, d'après la formule (23), calculer la densité effective du milieu hétérogène avec des inclusions cylindriques immobiles, formant un réseau triangulaire et carré. Les résultats des calculs

20 sont présentés sur la figure 2 par les lignes en traits mixtes 3 et 4. L'application des relations (27) et (28) pour les coefficients des masses adjointes, donne une asympto tique exacte pour la densité effective lors de concentration;, volumique» proches des valeurs limites (i{ = 0,905,v^,-, = 0,785). Dans des milieux relativement concentrés, la densité effective se transforme en infinie. Rappelons encore une fois, que ce résultat ne concerne que le cas d'inclusions cylindriques immobiles. P L, est également déterminé d'après la formule (22) en y intro ^ cs Avec les formules (26) ou (23) de pair avec (27) ou bien (28), on a ainsi déterminé deux éléments diagonaux du tenseur de T T la densité effective pj, = P* vv - L e troisième élément diagonal duisant v 1 zz. o Jj m ^ Le coefficient de la masse adjointe y pour les inclusions cylindriques, peut être facilement trouvé dans l'approche de l'écoulement parallèle potentiel /~12_7- Y z z = f /(1 _ V f > (29) A partir de la formule (23) nous avons alors P* /P = V(l -^) (30) Cette relation est présentée sur la figure 2 par la courbe 2. Il faut souligner, que 1'anysotropie des propriétés effectives d'inertie d'un milieu hétérogène avec des inclusions cylindriques, peut être très importante. Par comparaison des

21 formules (26) et (30) on voit que la densité effective "transversale" T T p = p est de 1 +vf fois supérieure a la densité effective T "longitudinale" p. Pour un système de barres plus concentré ixkl,2), le rapport des densités "transversale" et "longitudinale" est encore plus grand, et avec X > 1 tend vers l'infini. Comme conclusion à ce chapitre, soulignons que 1'anisotropic des propriétés d'inertie, analogue mais quelque peut moins exprimée, trouvera sa place même dans le cas d'inclusions libres, c'est-â-dire lorsque la densité du matériau des inclusions n'est pas égale â l'infini. Examinons â présent les propriétés de viscosité de milieu* hétérogènes lors d'oscillations unidimensionnelles sous l'action d'actions vibratoires. t. VISCOSITE EFFECTIVE DE TRANSLATION Au cours d'oscillations d'un milieu hétérogène, les inclusions se déplacent par rapport à leur phase totale porteuse. A la suite d'un tel mouvement relatif dans un milieu hétérogène, apparaissent des pertes dissipatives, provoquées par des écoulements micro-mhomogènes du fluide visqueux au voisinage des inclusions. Ces pertes dissipatives sont liées à la viscosité de la phase totale de même qu'aux caractéristiques d'inertie et géométriques de la phase de dispersion.

22 Lors des oscillations des inclusions, par rapport au fluide, avec une vitesse relative W(t)=WgSin(iot+8), ces oscillations, dans un cas général ne coïncident pas avec la phase de la vitesse U(t)=U QSinu)t, et chacune des inclusions sub^ la force hydrodynamique du frottement visqueux F 0tt) = ÇW(t) (31) Four la période d'oscillations, la vitesse moyenne de dissipation de l'énergie dans le fluide, rapportée à l'une des inclusions, est égale au travail de la force de frottement <de/dt> = ÇW 2 (t) = ÇWJj/2 (32) Etant donne que dans une unité de volume du milieu hétérogène on trouve *f/v inclusions, les pertes dissipatives y représentent alors <de/dt> = EM* <f /2V (33) La force du frottement visqueux, agissant sur un volume unique d'un milieu hétérogène en mouvement avec une vitesse U(t) est alors égale à P l t, = 2 < d f d *> u( t ) = im = T u(t) (34) Le coefficient de proportionnalité entre la force superficielle et la vitesse d'un élément unique du milieu hétérogène et appelé par nous : la viscosité effective de translation = (35, vug

23 La valeur de l'amplitude de la vitesse relative des inclusions W Q sera trouvée par ses composantes Vg et Vjj (voir les relations (6) et (7)). w r 1 - M A + v o = (v ô - v + v ô = u o - r- 1 + THITT 2 En plaçant (36) dans (35) et compte tenu de (5), nous obtiendrons (36)»l = E-H- (1 - à ) 2 (37). T(A+Y)^"1 + ^-5 7 (CUT) 2 " A partir de cette formule on voit que la viscosité &, a a effective de translation, de même que la densité effective, dépend de toute une série de paramètres, caractérisant les propriétés des phases et en particulier des actions vibratoires. La viscosité effective ainsi introduite, possède une dimension de ^~ML~ T~ J, se différenciant de la dimension de la viscosité de déplacement. Examinons à présent quelques types de milieux hétérogènes avec des inclusions de formes sphérique et cylindrique et concrétisons pour ces dernières la formule (38). A. MILIEU HETEROSENE AVEC DES INCLUSIONS SPHERIQUES Limitons nous au cas d'un nombre oscillatoire élevé de Reynolds. On a déjà obtenu dans le travail ^~14_7 l'expression pour le coefficient d'un frottement visqueux pour un mouvement oscillatoire

24 sous l'aspect de où 6= / 2V/u. 2 ç = iaa_, 09) 6U-fr Le temps de la relaxation des inclusions sphériques est égal dans ce cas à 2a6(A+Y) (1 -*?) 2 T = (40) 9V Cependant que la formule pour la viscosité effective de translation prend l'aspect soit de " U T = 9u ^(l-&) 2 *: * 2a«(A+Y) 2 (l-^2 a a où de " ^aô= 9^U-A) 2 ( 4 1 ). u 2U-fr(A+Y) CM in i^ tvj En utilisant l'expression (21) pour le coefficient de la masse adjointe, écrivons la formule (41) sous l'aspect suivant ^ a6 _ imii^aji (42) l~z AU-f) + (1+2^>)_7 Z Si en qualité d'inclusion on examine (n.d.t.l mot illisible) des particules sphériques (û=0), alors à partir de (42) nous obtiendrons la viscosité effective du mélange à bulles double phases

25 La relation (43) est montrée sur la figure 3 par la courbe 1. Dans un autre cas limite d'inclusions relativement lourdes (A >»} la formule (42) prend l'aspect de T - ad = --^ j (44) 2(1 - vf) «tu Cette relation est montrée sur la figure 3 par la courbe 4. Il est intéressant de remarquer ici que les cas limites examinés donnent des valeurs plus élevées de la viscosité effective de translation. Par contre, si les inclusions possèdent une densité intermédiaire, alors la viscosité effective s'avère être très notablement plus petite. Sur la figure 3, on a montré pour une comparaison, les relations pour les cas de A=0,5 et A=2 (courbes 2,3). Avec A=l, c'est-à-dire dans le cas d'inclusions identiquement denses, leur mouvenont relatif est inexistant et la viscosité effective de translation d'un tel milieu est égal à 0. B. MILIEU HETEROGENE AVEC DES INCLUSIONS CYLINDRIQUES Examinons ici également les oscillations avec un nombre élevé de Reynolds. En outre, de même que pour une densité effective de translation, limitons nous su cas d'inclusions cylindriques immobiles c'est-à-dire admettons que A =». En utilisant pour le coefficient de frottement visqueux la formule l_ 12_7 -^^- 2, (45) obtenue pour des faisceaux très serrés de barres et en effectuant les conversions analogues, nous obtiendrons la formule pour la

26 viscosité effective de translation T a6 = ^ j (46) V (1 -i) 2 Il faut souligner, que pour le système composé d'inclusions cylindriques formant des réseaux exacts, la propriété de l'isotropie transversale est juste pour la viscosité effective de translation, de mime que pour l'inertie effective. ^ ^ La formule (46) détermine ainsi deux éléments diagonaux du tenseur de la viscosité effective de translation u^ =u. T T,. xxx 3syy Nous déterminerons le troisième élément diagonal ]ij, à T partir du fait que le coefficient de frottement visqueux pour le mouvement oscillatoire des inclusions cylindriques dans la direction de leurs ffl axes, est égal /_ 12_7 c» «i o. _ 2. a sd-t) 2 dans ce cas nous avons Û&. aô ii-, (47) u (1-if) 2 A partir de la comparaison des relations (46) et (47), on voit que la viscosité effective "transversale" est de 2 fois plus grande que la viscosité "longitudinale" (voir figure 4). Remarquons, que le rapport obtenu plus haut entre les densités "transversale" et "longitudinale" est égal à 1 + *f, c'est-à-dire moins de 2. Cela signifie que l'anisotropie des propriétés visqueuses des milieux hétérogènes comprenant des inclusions cylindriques est plus forte que l'anisotropie des propriétés d'ine-tie.

27 Pour des systèmes plus concentrés de barres (X<1,2), l'expression pour le coefficient de frottement visqueux à l'aspect de <Tl3_7 1 «A-If (X-l)(X-cos ), 3/2,-=- + (gsj.) arctgt/^ tg ) (/X 3/2 1 +(^j) arctgf/^ tg ) ^ (X-l)(X-cos J) pour respectivement un réseau triangulaire et carré. Les résultats du calcul de la viscosité effective de translation, basés sur ces relations, sont indiqués sur la figure 4 par les lignes traits mixtes 3 et 4.

28 CONCLUSION L'approche pour la description de la dynamique des milieux hétérogènes, développée dans le présent travail, est basé sur leur représentation comme étant certaines formes homogènes avec des propriétés effectives. A l'inverse de l'idée connue de la description du mouvement de milieux hétérogènes avec des facultés interpénétrantes et interactives, cette approche s'avère être utile pour la description d'une série de problèmes de dynamique de divers systèmes oscillants contenant des milieux hétérogènes ou entourés par ces milieux. Dans le travail on a examiné le plus simple des modèles de milieux hétérogènes avec des inclusions monodispersëes indéformables au cours d'oscillations progressives. On a ainsi obtenue des relations pour les propriétés effectives, la densité de translation et la viscosité qui permettent de trouver la réaction du milieu hétérogène pour l'accélération vibratoire et la vibrovitesse des oscillants. Les propriétés effectives déterminent de telle manière les caractéristiques dynamiques des systèmes oscillants, en contact avec des milieux hétérogènes. Ainsi, par exemple, pour la détermination des fréquences propres d'oscillation d'une tuyauterie avec un milieu hétérogène, il est suffisant de prendre en considération la masse effective M =Ttp T R 2 pour une unité de longueur de tuyauterie 2 _ 2 M où oog - représente la fréquence propre d'oscillations d'une tuyauterie vide M - sa masse par unité de longueur.

29 L'amortissement des oscillations de la tuyauterie du aux pertes par dissipation dans le milieu hétérogène, est égal à la viscosité T 2 effective p pour le volume TTR 1, et le coefficient de dynamicité lors de la résonance, est déterminé d'après la formule irr M^ / 2 T M

30 BIBLIOGRAPHIE BRENNER G. Rhéologiedes systèmes à double phases. tire du livre : rhéoloçieet suspension. M., Mir, 1975, page BLEKHMAN I.I., DZHANELIDZE G.Yu. Les déplacements vibratoires. M, "Nauka", 1964, page 912. BLEKHMAN 1.1. Méthode de la séparation directe des mouvements dans les problèmes concernant les actions vibratoires sur des systèmes mécaniques non linéaires. "Izvestiya de l'an SSSR, série : mécanique du solide", 1976, n 6, page GRABAT N.L. Oscillations établies des récipients contenant un mélange à double phases. - "Izvestiya de l'an SSSR, série : mécanique et construction de machines", 1964, n 5, page GRANAT N.L. Pertes d'énergie lors d'oscillations d'une sphère dans un mélange à double phases (vibroviscositê et vibrodensitê d'un mélange). - "Izvestiya de l'an SSSR, série : mécanique", 1965, n l, page GANIEV B.F., UKRAINSKII L.E. Dynamique des particules sous l'action des vibrations. Kiev : Naukova Dumka, 1975, page 168.

31 /~7_7 /_~&J l~9_7 (/"lû_7 ^~U_7 /_~ 12 J GANIEV B.F.,LANCHINSKII V.F. Problèmes de mécanique dans la technologie cosmique, M, Mashinostroenié, 1978, page 119. FEDOTOVSKII V.S. Propriétés dynamiques d'un système d'une suspension à gaz liquide. "Prikladlaya Mekhanika", 1980, n 3. FEDOTOVSKII V.S., SPIROV V.S., KUKHTIN A.B. Propriétés d'inertie et d'atténuation d'un flux à double phasessur une tuyauterie en vibration, du FEI Obninsk VOZNYAKEVIN E.V., NOMOFILOV E.V. Modèle homogène d'un écoulement de fluide dans des assemblages de barres. - ATOMNAYA ENERGIYA. 1981, tome 51, 1ère édition, page 6. VOZNYAKEVIN E.V., FEDOTOVSKII V.S. Au sujet de l'indépendance d'une masse adjointe et du coefficient d'atténuation en fonction de la direction des oscillations d'un assemblage infini de barres. Prtpfi^t du FEI Obninsk FEDOTOVSKII V.S. Forces hydrodynamiques agissant sur des inclusions sphérique et cylindrique oscillantes. Preprint du FEI Obninsk-1983.

32 l~13_7 i'lij FEDOTOVSKII V.S. Mode de calculs approché pour les masses adjointes et les coefficients d'atténuation hydrodynamique des oscillations de faisceaux serrés de barres. Prepr'.-t du FEI Obninsk FEDOTOVSKII V.S. Au sujet des propriétés d'inertie et d'atténuation d'un mélange à bulles à double phases, contenant des matières superficiellement actives. Crt r r; n fdu FEI Obninsk «h M CQ o I CM in r~

33 o.i M v a«m <«i f «w m Figure 1. Densité effective de translation d'un milieu hétérogène avec des inclusions sphêriques. Calculs d'après la formule (20). 1-A =0 : 2-A =0,5 : 3-A =1 : 4-A =2 : 5-A =». i. M It U M 0.S M 0.7 0,1 If Figure 2. Densité effective de translation d'un milieu hétérogène isotrope avec des inclusions cylindriques. Calculs d'après la formule (23). 1,2 - densités "transversale" et "longitudinale" ; 3,4 - densités "transversale" au cours d'une concentration d'inclusions (dans un réseau triangulaire et carré).

34 \/ 1 / y / / 1 1 / -2 -~ a 41 U M 4.l M 9 Figure 3. Viscosité effective de translation d'un milieu hétérogène avec des inclusions sphériques. Calculs d'après la formule (42). 1-A =0 : 2-A =0,5 : 3-A =2 : 4-A =». m ta FIT,_!_, 0 M 02 W 0» O.J 0, (J> Figure 4. viscosité effective de translation d'un milieu hétérogène isotrope transversal, avec des inclusions cylindriques immobiles. 1,2 - Calculs d'après les formules (46), (47) ; 3,4 - Calculs pour le système avec une concentration volumique proche de la limite.

35 PS \ W Rédacteur Technique GERASIMOVA M.P. Reçu à la rédaction le T Format 60x90 1/16. Offset, pour point tirage:78 exemplaires. Prix 14 Kopeck. FEI Index 3624 Imprime sur les rotatives du FEI, Obninsk.

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

INSTALLATION POUR LA MESURE EN CELLULE BLINDÉE DU VOLUME DES AIGUILLES COMBUSTIBLES PROKUDANOV D.L., TROITSKII S.V.

INSTALLATION POUR LA MESURE EN CELLULE BLINDÉE DU VOLUME DES AIGUILLES COMBUSTIBLES PROKUDANOV D.L., TROITSKII S.V. CEA CEN-SACLAY Service de Documentation Groupe "Traductions" CEA-TR- 2266 R2 91191 GIF sur YVETTE CEDEX INSTALLATION POUR LA MESURE EN CELLULE BLINDÉE DU VOLUME DES AIGUILLES COMBUSTIBLES PROKUDANOV D.L.,

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique

Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique Durée : 45 minutes Objectifs Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique Projection de forces. Calcul de durée d'accélération / décélération ou d'accélération / décélération ou de

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On

Plus en détail

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une

Plus en détail

Chapitre 1: Facteurs d'échelle

Chapitre 1: Facteurs d'échelle Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,

Plus en détail

Exemples de dynamique sur base modale

Exemples de dynamique sur base modale Dynamique sur base modale 1 Exemples de dynamique sur base modale L. CHAMPANEY et Ph. TROMPETTE Objectifs : Dynamique sur base modale réduite, Comparaison avec solution de référence, Influence des modes

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Les effets de température

Les effets de température Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil

Plus en détail

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g. PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Guilhem MOLLON. Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 2012-2013 V1.10

Guilhem MOLLON. Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 2012-2013 V1.10 INTRODUCTION A LA MECANIQUE DES MILIEUX CONTINUS PARTIE 2 Guilhem MOLLON Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 212-213 V1.1 Table des matières Table des matières 2 Avertissement

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges? Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.

Plus en détail

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

LE PROCESSUS ( la machine) la fonction f. ( On lit : «fonction f qui à x associe f (x)» )

LE PROCESSUS ( la machine) la fonction f. ( On lit : «fonction f qui à x associe f (x)» ) SYNTHESE ( THEME ) FONCTIONS () : NOTIONS de FONCTIONS FONCTION LINEAIRE () : REPRESENTATIONS GRAPHIQUES * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL

M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL OBJECTIFS Jusqu à présent, nous avons rencontré deux méthodes pour obtenir l équation du mouvement d un point matériel : - l utilisation du P.F.D. - et celle du

Plus en détail

Notions d asservissements et de Régulations

Notions d asservissements et de Régulations I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels

3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels 3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons

Plus en détail

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience.

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. F.BONNIOL, C. SIERRA, R. OCCELLI AND L. TADRIST Laboratoire

Plus en détail

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Gomez Thomas Institut Jean Le Rond d Alembert Caractériser et classifier les écoulements turbulents. Introduire les outils mathématiques. Introduire

Plus en détail

CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance.

CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. XIII. 1 CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. Dans les chapitres précédents nous avons examiné des circuits qui comportaient différentes

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Comparaisons des premières formulations du Théorème de Bernoulli de l hydrodynamique à un

Comparaisons des premières formulations du Théorème de Bernoulli de l hydrodynamique à un Comparaisons des premières formulations du Théorème de Bernoulli de l hydrodynamique à un énoncé actuel D Alembert, dans l article Hydrodynamique de l Encyclopédie (1), date la naissance de cette discipline

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

T.I.P.E. Optimisation d un. moteur

T.I.P.E. Optimisation d un. moteur LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Plan du cours : électricité 1

Plan du cours : électricité 1 Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)

Plus en détail

Date : 18.11.2013 Tangram en carré page

Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Titre : Tangram en carré Numéro de la dernière page : 14 Degrés : 1 e 4 e du Collège Durée : 90 minutes Résumé : Le jeu de Tangram (appelé en chinois les sept planches

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire

République Algérienne Démocratique et Populaire République Algérienne Démocratique et Populaire الشعبية الجمهوریة الجزاي ریة الدیمقراطية Ministère de l enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université 8 mai 45 Guelma التعليم العالي

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Théories de champ moyen et convection à grande échelle

Théories de champ moyen et convection à grande échelle Chapitre Théories de champ moyen et convection à grande échelle 51 Introduction Au cours de ce travail, nous avons à plusieurs reprises été confrontés au problème de la compréhension et de la modélisation

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

L Évolution de la théorie d élasticité au XIX e siècle

L Évolution de la théorie d élasticité au XIX e siècle Kaouthar Messaoudi L Évolution de la théorie d élasticité au XIX e siècle Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

MECANIQUE DU POINT. y e y. z e z. ] est le trièdre de référence. e z. où [O, e r. r est la distance à l'axe, θ l'angle polaire et z la côte

MECANIQUE DU POINT. y e y. z e z. ] est le trièdre de référence. e z. où [O, e r. r est la distance à l'axe, θ l'angle polaire et z la côte I) Cinématique du point matériel: 1) Référentiel: MECANIQUE DU POINT L ensemble de tous les systèmes d axes de coordonnées liés à un même solide de référence S constitue un repère Soit une horloge permettant

Plus en détail

UNITÉ DE PROGRAMME : S9UP1 Modélisation de la turbulence

UNITÉ DE PROGRAMME : S9UP1 Modélisation de la turbulence UNITÉ DE PROGRAMME : S9UP1 Modélisation de la turbulence Modélisation de la turbulence Auteur : Yann MARCHESSE Département : Mécanique et Énergétique Édition : Année universitaire 2009-2010 ÉCOLE CATHOLIQUE

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par

Plus en détail

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

Mesure de la dépense énergétique

Mesure de la dépense énergétique Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14

Plus en détail

CHAPITRE VI ALEAS. 6.1.Généralités.

CHAPITRE VI ALEAS. 6.1.Généralités. CHAPITRE VI ALEAS 6.1.Généralités. Lors de la synthèse des systèmes logique (combinatoires ou séquentiels), nous avons supposé, implicitement, qu une même variable secondaire avait toujours la même valeur

Plus en détail

= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m

= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m 1 épartement de Physique, Université Laval, Québec Pierre Amiot, 1. La fonction delta et certaines de ses utilisations. Clientèle Ce texte est destiné aux physiciens, ingénieurs et autres scientifiques.

Plus en détail

Système formé de deux points

Système formé de deux points MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2

Plus en détail

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier

Plus en détail

«Tous les sons sont-ils audibles»

«Tous les sons sont-ils audibles» Chapitre 6 - ACOUSTIQUE 1 «Tous les sons sont-ils audibles» I. Activités 1. Différents sons et leur visualisation sur un oscilloscope : Un son a besoin d'un milieu matériel pour se propager. Ce milieu

Plus en détail

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES COURS DE CONSTRUCTION PARASISMIQUE VOLUME 2 CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES Introduction à la conception PS des structures - Approche qualitative

Plus en détail

La gravitation universelle

La gravitation universelle La gravitation universelle Pourquoi les planètes du système solaire restent-elles en orbite autour du Soleil? 1) Qu'est-ce que la gravitation universelle? activité : Attraction universelle La cohésion

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

D'UN THÉORÈME NOUVEAU

D'UN THÉORÈME NOUVEAU DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent

Plus en détail

Structures algébriques

Structures algébriques Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail