LE PAVÉ, MOTEUR DE DÉVELOPPEMENT URBAIN
|
|
- Thibaut Beauregard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réflexions LE PAVÉ, MOTEUR DE DÉVELOPPEMENT URBAIN Juillet 2013 / n 001 Le projet Pavage au Burundi Le projet de «Développement économique et social via les chantiers de pavage» (projet Pavage) est géré par le gouvernement burundais et l'agence belge de développement (CTB). Doté d un budget de 16 millions d euros, le projet est prévu pour une durée de cinq ans ( ) et est financé par la Belgique et le PNUD. Le projet Pavage consiste en la construction de près de 30 kilomètres de routes pavées dans le cadre de chantiers-écoles situés dans les communes de Kinama, Kamenge et Cibitoke, au nord de Bujumbura. Ces chantiers appliquent la méthode à haute intensité de main d œuvre (HIMO). Le projet Pavage a déjà permis de fournir des emplois à environ 3000 habitants et habitantes de ces communes pendant une période de six à neuf mois. Un soutien technique et organisationnel a également été fourni aux tailleurs de pavés qui travaillent dans des carrières qui ont conclu un partenariat avec le projet. Au-delà de la rénovation des infrastructures, le projet Pavage a pour but de contribuer au développement et à la redynamisation économique et sociale de ces communes, qui ont été gravement atteintes par la guerre de Les apprenants des chantiers-écoles bénéficient en effet non seulement d une formation aux métiers du pavage, mais également de toute une série de formations destinées à favoriser leur réinsertion sociale et professionnelle ultérieure. Ils ont en outre droit à une formation en éveil entrepreneurial. À la fin de leur cycle d apprentissage, ils reçoivent une bourse d installation qui leur permet de se lancer dans leur propre activité génératrice de revenus. Ils peuvent ensuite bénéficier d un coaching personnalisé et suivre des formations complémentaires pour apprendre à créer et à gérer au mieux leur entreprise. La haute intensité de main-d œuvre : valorisation locale des ressources humaines Pierre-Yves Dubois Points-clés Le pavage (et l amélioration de l assainissement qui en découle) est une méthode de revêtement qui se réalise en haute intensité de main-d œuvre (HIMO) et permet de créer une dynamique de développement urbain plus importante que d autres méthodes. L impact sur le sentiment d appropriation des ouvrages réalisés est donc plus important. Le Projet Pavage a développé le nouveau concept d HIMO social : il s agit d un chantier HIMO tout au long duquel (et même après) les travailleurs bénéficient d un accompagnement social grâce à des formations humaines et professionnelles. Le pavage est une solution plus durable que le goudronnage (30 à 40 ans par rapport à 15 ans). Il permet en outre de modifier ou de rectifier plus facilement les routes. Si on compare méthode HIMO et méthode HIEQ (Haute Intensité d équipement), la méthode HIMO - est environ 10 à 30 % moins chère, - réduit les besoins en devises de 50 à 60 %, - crée, pour le même volume d investissement, de 2 à 5 fois plus d emplois. La méthode HIMO social peut être transposée à d autres secteurs tels que l agriculture, l approvisionnement en eau potable et l assainissement, l aménagement de pistes rurales, la construction de petites infrastructures Il est important de sensibiliser les décideurs politiques et financiers pour qu ils prennent en compte cette méthode. CTB / Rosalie Colfs
2 Le pavé, moteur de développement urbain Faire les travaux avec les équipements modernes, qui remplacent beaucoup de gens, c est bon pour les quartiers aisés où il n y a pas beaucoup de main-d œuvre. Mais dans les quartiers où il y a beaucoup de gens qui ne font rien, c est bien mieux la méthode HIMO parce que l argent rentre dans les ménages, et à la fin on a le même résultat au niveau de la route. La méthode avec les machines, c est une entreprise, et seul le directeur de l entreprise gagne de l argent. Léonard Ntandikiye Directeur en charge des administrations provinciales et communales, ministère de l Intérieur du Burundi Options techniques pour la réalisation de routes en zone urbaine Les routes urbaines sont généralement situées dans les zones à forte densité de population. En mairie de Bujumbura, et en particulier dans les quartiers populaires, on peut observer des densités de population allant jusqu à 500 habitants par hectare, avec un taux d accroissement annuel de l ordre de 4 %. Ces densités élevées entraînent un trafic important. Une technologie adéquate est donc indiquée pour construire des routes durables. Le drainage de la route et des parcelles avoisinantes, la gestion des eaux pluviales, le trafic et le poids des véhicules nécessitent un revêtement en dur. La construction de routes en dur amène des avantages non négligeables dans toute une série de secteurs. Du point de vue des transports, un trafic fluidifié et une circulation plus aisée favorisent le développement économique en améliorant l accès aux micro-entreprises locales. Il crée aussi des emplois temporaires au moment de la construction. Les travaux de ce type entraînent toute une série de bénéfices en termes de santé publique et d assainissement : la quantité de poussière diminue et les eaux ne stagnent plus, ce qui provoque une baisse des cas de maladies hydriques. Le drainage des eaux de pluie réduit les risques d inondations. La construction de routes fait partie intégrante du développement urbain. Le revêtement en dur d une route urbaine est donc une décision importante. Il y a différents types de revêtement : béton, goudron et pavés naturels ou en béton. Graphique 1 : Comparaison entre différents types de revêtement (pavés, goudron, béton). Les routes bétonnées présentent l avantage d une durabilité maximale. Les routes bétonnées et goudronnées présentent l avantage de la rapidité d exécution, mais les désavantages d un coût élevé, d une mise en œuvre mécanique et de complications lorsqu il s agit d effectuer des modifications (pose de conduites) et/ou des réparations. Pourquoi des routes pavées? Les routes pavées présentent les avantages de la durabilité, de l utilisation efficace de la main-d œuvre, d un coût relativement faible et de l aisance des modifications et des réparations, mais le désavantage d une lenteur parfois significative dans leur mise en œuvre. Au contraire des deux autres types de routes, les routes pavées nécessitent très peu d engins mécanisés. À part le compactage, toutes les autres activités peuvent être réalisées par une main-d œuvre peu ou pas qualifiée, qui est amplement disponible dans la zone d action. La présence de carrières à proximité, comme dans le cas de Bujumbura, permet de réduire considérablement le coût des matières premières. L utilisation de pavés naturels produits sur place a l avantage supplémentaire de stimuler l économie locale sans recours à l importation de matériaux contre des devises. Une route pavée est facile à ouvrir (puis à refermer) pour poser de nouvelles conduites (eau, électricité, téléphone, fibres optiques), ce qui est particulièrement utile dans une ville en pleine expansion et en plein développement comme Bujumbura, où l installation d infrastructures d assainissement ou d alimentation en eau et en électricité reste souvent à faire. Les réparations peuvent s effectuer très rapidement, avec un minimum d investissement, avec une main-d œuvre peu qualifiée et peu coûteuse. Ce n est pas le cas pour les routes bétonnées ou goudronnées, dont la réparation requiert des matériaux coûteux et une technicité élevée. Or si ces réparations ne sont pas correctement effectuées, cela affecte la durée de vie des routes. Les routes pavées sont très durables, même avec un minimum d entretien : environ 30 à 40 ans par rapport à 15 ans pour les routes goudronnées. Le pavage présente aussi l avantage d être plus perméable que le goudronnage et le bétonnage, ce qui réduit le ruissellement. En outre, le recours minimum aux énergies fossiles est un aspect environnemental à prendre en compte. 2
3 Les routes pavées empêchent les vitesses excessives et protègent donc implicitement les usagers de la route les plus vulnérables, comme les enfants, les piétons et les cyclistes. Cette protection peut encore être renforcée grâce à la mise en place de ralentisseurs de vitesse. Le tableau ci-dessous présente les avantages et les inconvénients des deux méthodes, qui peuvent parfois être utilisées ensemble sur un même chantier : Tableau 1 : Avantages (+) et inconvénients (-) de HIMO et de HIEQ. Mais le facteur décisif pour le choix des pavés pour les routes de Bujumbura est sans conteste le fait que le pavage est une méthode de revêtement qui se réalise en haute intensité de main-d'œuvre (HIMO). Le pavage, l amélioration de l assainissement et le développement des quartiers permettent de créer une dynamique de développement urbain plus importante que dans le cas de simples travaux routiers. L impact sur le sentiment d appropriation des ouvrages réalisés est donc plus important. Haute intensité de main-d œuvre (HIMO) et haute intensité d équipement (HIEQ) HIMO Haute intensité de main-d œuvre + Réduction des coûts + Création d emplois (main d œuvre peu qualifiée) + Meilleure appropriation des ouvrages + Economie de devises + Impact sur l environnement Qualité de la main d œuvre Lenteur d exécution Organisation et suivi plus important HIEQ Haute intensité d'équipement + Exécution rapide + Qualité des ouvrages + Organisation et planification du travail plus aisée + Suivi moins important Coût plus élevé Faible impact sur le développement économique et social de la zone d action Faible appropriation du secteur public et privé HIMO (haute intensité de main-d œuvre) : désigne les méthodes qui associent des équipements légers avec de la main-d œuvre en une combinaison optimale afin d'assurer la qualité en même temps qu'un coût minimum. HIEQ (haute intensité d'équipement) : désigne les méthodes où l'essentiel des travaux s effectue avec un équipement lourd, une main-d œuvre très limitée et beaucoup d'équipements mécanisés (Olivier, 1998). La méthode HIMO consiste à employer un maximum de maind œuvre locale pour réaliser les travaux d infrastructure, au lieu d utiliser les méthodes HIEQ importées des pays développés et qui utilisent des machines pour la plupart des tâches. Cela ne signifie pourtant pas que les travaux HIMO n utilisent pas de machines. La méthode HIMO vise à combiner de manière optimale l utilisation de main-d'œuvre et d équipement en donnant la priorité à la main-d'œuvre, mais en la complétant le cas échéant par du matériel léger pour des raisons de qualité et de rentabilité. Le recours à la main-d œuvre, souvent locale, permet de construire des infrastructures dans des endroits inaccessibles aux machines, réduisant ainsi l impact négatif des chantiers sur l environnement. La méthode HIMO peut être mise en œuvre localement par des petites et moyennes entreprises supervisées par des bureaux d'étude et contribuer ainsi au développement du secteur privé. L exécution et le suivi des travaux par le secteur privé libère le gouvernement d un certain nombre de tâches et lui permet de se consacrer à des missions plus importantes (BIT, 2002, pp ). Notons cependant que la faible capacité de gestion des entreprises et des bureaux d études locaux peut parfois constituer un obstacle. Au sens large, la méthode HIMO consiste à utiliser d une manière rationnelle des ressources locales, notamment la maind œuvre, mais aussi les matériaux et les capacités des entreprises et des autorités municipales ou communales (Olivier, 1998, pp. 2-3). Les possibilités d application de la méthode HIMO dépendent de facteurs techniques, économiques, sociaux et institutionnels spécifiques à chaque pays (Tajgman, 2000, p. 13). Cependant, des études comparatives menées dans des pays aussi différents que le Cambodge, le Ghana, le Lesotho, Madagascar, le Rwanda, la Thaïlande et le Zimbabwe montrent que l option HIMO : est d environ 10 à 30 % moins chère que l option HIEQ ; réduit les besoins en devises de 50 à 60 % ; crée, pour le même volume d investissement, de deux à cinq fois plus d emplois. L option HIMO au Burundi On ne dispose pas d indicateurs précis de comparaison entre les deux méthodes à Bujumbura car la méthode HIMO y a été utilisée pour une grande partie des tâches de pavage. À titre d exemple, la Chaussée de l Agriculture (une route goudronnée en mairie de Bujumbura, d une largeur de 6 mètres), réalisée en 2008 avec le financement de l Union européenne dans le cadre du projet «Voirie urbaine», a coûté sans la moindre infrastructure d assainissement environ euros par kilomètre. L ordre de grandeur est nettement supérieur à celui d une route pavée, qui peut coûter, selon les modalités de mise en œuvre, de à euros par kilomètre. L argent économisé peut être investi dans l amélioration de l assainissement des eaux pluviales et/ou dans la formation. 3
4 Le pavé, moteur de développement urbain La main-d œuvre n est pas difficile à trouver ; on rencontre surtout des difficultés au niveau de l encadrement. Il n y a pas assez de techniciens de niveau intermédiaire (c est-à-dire les chefs d équipe, les chefs de chantier) qui sont outillés point de vue technique pour encadrer la main-d œuvre. Souvent, ils manquent de formation, et ceux qui sont formés ne sont pas bien payés, ce qui ne les encourage pas à faire correctement leur travail. Balthazar Entrepreneur «routier» Il faut cependant pour la méthode HIMO des compétences précises pour effectuer un suivi de la mise en œuvre des activités. Pour gérer une main-d œuvre nombreuse et souvent peu qualifiée, il faut en effet disposer d un appui logistique plus important (suivi du matériel de chantier) et de spécialistes en gestion des ressources humaines (contrôle de la présence, salaires, formation). Ces compétences spécifiques sont souvent difficiles à trouver et contraignent l autorité contractante à consacrer du temps et de l énergie à former des cadres locaux. Le pavage HIMO à l entreprise et le pavage HIMO en régie de travaux Tableau 2 : Avantages (+) et inconvénients (-) de HIMO à l'entreprise et en régie de travaux. HIMO à l entreprise + Exécution plus rapide + Qualité des ouvrages + Organisation et planification du travail plus aisée HIMO en régie de travaux + Réduction des coûts + Utilisation de main-d œuvre locale + Meilleure appropriation des ouvrages + Temps pour la formation professionnelle HIMO à l entreprise : Le pavage est confié, via un dossier d appel d offres, à une entreprise qui effectuera les travaux en utilisant soit de la main-d œuvre, soit des équipements, soit les deux en fonction de critères purement financiers. L entreprise est supervisée par un bureau d étude, sélectionné via un dossier d appel d offres, ou par un délégué à pied d œuvre (DPO), désigné par l autorité contractante. HIMO en régie de travaux : Le maître d œuvre ou le projet se comporte comme une véritable entreprise qui met en œuvre et supervise directement les travaux en utilisant ses propres employés et en utilisant de la main-d œuvre locale, qui bénéficie souvent directement des travaux effectués. Il est important de préciser que ces deux concepts, même s ils semblent relativement similaires, requièrent des moyens financiers et humains fort différents. De plus, le suivi par les gestionnaires de projet n est pas du tout le même. La régie de travaux permet de réduire les coûts tout en valorisant la main-d œuvre locale, ce qui renforce le sentiment d appropriation des ouvrages construits au sein de la population. La lenteur d exécution et la demande plus importante en suivi peuvent cependant parfois entraver le recours à cette méthode. L HIMO en régie de travaux permet une plus grande flexibilité dans la mise en œuvre et laisse donc plus de temps pour la formation professionnelle de la main-d œuvre. Coût souvent plus élevé Peu de temps consacré à la formation Plus faible appropriation des ouvrages Qualité de la main-d œuvre Lenteur d exécution Organisation et suivi plus important Le recours à une entreprise, sélectionnée sur appel d offres, permet d effectuer un travail de qualité dans des délais souvent plus courts. Un coût plus élevé et une appropriation plus faible des ouvrages sont ici les deux inconvénients principaux. Le pavage HIMO au Burundi L utilisation simultanée des deux méthodes a permis de les comparer et d améliorer la mise en œuvre de chantier de pavage. Sur la base des connaissances actuelles et en tenant compte de l aspect formation de la main-d œuvre des chantiersécoles, une route pavée réalisée en régie de travaux coûterait environ euros par kilomètre. Ce montant ne correspond cependant pas entièrement aux dépenses réelles. Il n est pas tenu compte, entre autres, de l amortissement des engins de chantier, ni de l ensemble du personnel du projet (notamment les services administratifs et financiers) ; mais les aspects sociaux du programme sont pris en compte. Le coût de la main-d œuvre, principalement non qualifiée et habitant les communes d intervention, est estimé à euros par kilomètre, soit environ 40 % du coût de la route pavée. 4
5 Environ 20 % du temps de présence de la main-d œuvre est consacré à la formation professionnelle et humaine. Certaines constructions connexes, comme les ponts sur passage busé, la protection des berges des rivières par gabionnage et plantations antiérosives, les caniveaux supplémentaires de collecte d eau, ont été pris en compte dans le coût du kilomètre de route. Les différentes techniques et méthodes de mise en œuvre Le graphique ci-dessous compare les différentes techniques et méthodes de mise en œuvre de chantiers routiers en fonction de trois critères principaux : équipement nécessaire, main-d œuvre requise et besoins en formation. On dispose donc d un ordre de grandeur fiable pour comparer les deux méthodes, comme l indique le tableau ci-dessous. Tableau 3 : Comparaison entre pavage en régie de travaux et pavage à l'entreprise. Pavage à l entreprise Pavage en régie de travaux Nombre d hommes/jours par kilomètre réalisé / Estimation du prix par kilomètre (en euros) (2008) (2011) Le pavage en régie de travaux présente, en plus de son coût moins élevé, de nombreux avantages, surtout lorsque l on est confronté à des contraintes techniques imprévisibles (comme les conditions climatiques). Le fait de ne pas être lié à une entreprise par un contrat formel donne plus de flexibilité et une plus forte réactivité aux décideurs techniques en cas d urgence (notamment les contraintes liées aux eaux pluviales). L expérience en régie de travaux à Bujumbura, conçue pour tester des techniques de mise en œuvre différentes, a permis d améliorer la qualité des spécifications techniques des dossiers d appels d offres. Cette amélioration a permis de réduire de l ordre de 10 % le prix du kilomètre de route pavée. La régie de travaux a en outre permis une plus grande flexibilité au niveau de l utilisation de la main-d œuvre. En consacrant plus de temps à la formation de la main-d œuvre, le projet a développé un nouveau concept, l HIMO social. Ce nouveau concept peut être défini comme un chantier HIMO au cours duquel les travailleurs bénéficient d un accompagnement social grâce à des formations humaines et professionnelles pendant et/ou après le chantier. Le but est de maximiser l impact de la réalisation de travaux d infrastructures sur le développement économique et social d une zone donnée. Graphique 2 : Comparaison des différentes techniques de mise en œuvre en fonction des besoins d'équipement, de main-d'œuvre et de formation. On remarque ici les différences fondamentales entre les techniques de construction. Les routes goudronnées et bétonnées exigent beaucoup d équipements spécifiques et donc une main-d œuvre relativement spécialisée nécessitant un minimum de formation supplémentaire. Pour les routes pavées, il faut plus de main-d œuvre et plus de temps consacré à la formation, mais moins d équipements. Transposition à d autres domaines La plupart des investissements publics des pays en développement sont consacrés à des projets d infrastructure ou liés à l agriculture et à la sécurité alimentaire. Lorsqu il s agit d améliorer les infrastructures et de contribuer à une meilleure qualité de vie et à la sécurité alimentaire, on compte notamment parmi les projets prioritaires les routes rurales, les réseaux d'alimentation, CTB / Rosalie Colfs 5
6 Le pavé, moteur de développement urbain La méthode HIMO n est pas citée dans le Plan National d Investissement Agricole (PNIA) du Burundi. Cela veut dire qu elle n est pas intégrée dans les stratégies nationales, alors qu elle possède un intérêt non négligeable dans un contexte postconflit. Il faudrait faire passer cela dans les appuis à la maîtrise d ouvrage. Un atelier en génie rural en juin 2013 avait pour but d aider le ministère de l agriculture à mettre sur pied un plan d action pour piloter l action des différents bailleurs actifs dans le génie rural et pour encadrer la maîtrise d ouvrage. La possibilité d appliquer l HIMO dans ce contexte y a été soulevée, car 45 % des investissements prévus dans le PNIA sont consacrés à l aménagement des bassins versants, aménagements pouvant souvent être réalisés en utilisant la méthode HIMO. On pourrait faire passer cela dans les marchés publics : quand le ministère de l agriculture lance un marché, dire quand dans telle ou telle situation cela doit se faire en HIMO. François Luthéreau Programme d'appui Institutionnel et Opérationnel au Secteur Agricole (PAIOSA) les ouvrages d'irrigation et de lutte contre les inondations et l érosion, les installations de stockage. La plupart des projets qui ont une influence immédiate sur l'économie rurale sont des ouvrages de petite envergure, géographiquement dispersés, que l on peut réaliser avec des techniques relativement simples. Ce type de projet présente des caractéristiques où l utilisation de la méthode de l HIMO social s avère judicieuse puisqu elle allie réalisations concrètes, accès à l emploi et à la formation, et impact sur l économie locale. Pistes de transposition éventuelles Agriculture : aménagement, réhabilitation et maintenance de périmètres irrigués, canaux d irrigation, aménagement des bassins versants, lutte antiérosive. Approvisionnement en eau potable et assainissement Aménagement, réhabilitation et maintenance des pistes rurales de désenclavement Construction de routes pavées, y compris gestion des eaux pluviales Petites infrastructures communautaires (entrepôts de stockage, dispensaires, salles de classe, logements). Intégration de la méthode HIMO dans les dossiers d appels d offres Les programmes bien conçus et bien mis en œuvre qui appliquent la méthode HIMO présentent des avantages spécifiques pour les partenaires sociaux (gouvernements, employeurs et travailleurs) puisqu ils facilitent l accès aux marchés publics, ont des effets positifs pour l emploi et améliorent la rentabilité des investissements. Ces programmes offrent également de meilleures perspectives pour les petits entrepreneurs qui veulent s établir sur le marché intérieur des travaux publics, marché qui dans la plupart des pays en développement est dominé par les grandes entreprises étrangères. Les procédures liées aux marchés publics permettent de pousser les entreprises à utiliser une approche HIMO lors de la mise en œuvre des chantiers. Il faut cependant, lorsque l on a recours à la méthode HIMO, rester réaliste pour ce qui est des délais d exécution et des spécifications techniques exigées. Eléments essentiels pour un environnement favorable à la passation de contrats de travaux publics HIMO Flexibilité dans les délais d exécution Rationalisation des procédures de décaissement Rôle d encadrement de la mission de contrôle Planification/alternance travail-formation Procédures d attribution simplifiées (flexibilité) Renforcement des capacités des entrepreneurs Spécifications techniques et allotissement adaptés Modes d exécution adaptés Il est fondamental pour les programmes HIMO que les entrepreneurs soient payés régulièrement par l'organisme contractant. En raison du grand nombre de travailleurs temporaires qu'ils emploient, les entrepreneurs HIMO sont particulièrement vulnérables aux retards de paiement. 6
7 CTB / Rosalie Colfs Un environnement favorable signifie notamment la garantie d'un flux de financement régulier pour les travaux, la rationalisation des procédures administratives et de décaissement, l'accès pour les entrepreneurs à des facilités de crédit et aux équipements, une charge de travail raisonnable et soutenue et une réelle capacité de l'organisme contractant à gérer les contrats. L'organisme contractant doit veiller à ce que les documents contractuels soient appropriés et que les procédures pour l'attribution des contrats, la certification et le paiement soient simplifiées et si possible décentralisées. Ces travaux permettent de mener de nombreuses actions, par exemple le nettoyage des caniveaux le long des routes, la maintenance de pistes rurales ou encore la construction de bâtiments communautaires. Il existe donc au Burundi un terreau favorable à la généralisation de la méthode HIMO, à condition qu il y ait une vraie volonté politique. Malgré le fait que la méthode HIMO soit encore récente au Burundi, de nombreux entrepreneurs et plusieurs associations connaissent ce type d approche. Ils y ont déjà recouru, notamment lors de la réalisation de routes pavées, de pistes rurales, de petits aménagements agricoles et de travaux communautaires qui sont effectués par les populations essentiellement rurales tous les samedis matins. Pour pouvoir augmenter le nombre de travaux réalisés en HIMO au Burundi, il faut une volonté politique. Il faut que l État comprenne la méthode HIMO pour la vulgariser au niveau des différents concessionnaires de réseau, par exemple, de façon à ce que quand il faut réaliser un certain type de travail, on fait appel à la population. C est un outil de développement intégré. Mais le problème, c est que ça se heurte aux politiques. Il faut une large sensibilisation au sommet de l État. Avec l expérience de notre projet, les politiques commencent tout doucement à comprendre. Léonard Ntandikiye Directeur en charge des administrations provinciales et communales, ministère de l Intérieur du Burundi 7
8 Pérennisation des infrastructures mises en œuvre avec la méthode HIMO La méthode HIMO permet généralement une meilleure appropriation des infrastructures par la population locale et devrait donc en garantir une meilleure durabilité. Cependant les administrations communales en charge de l entretien du réseau routier burundais ne possèdent généralement pas les compétences techniques et les moyens financiers nécessaires et sont donc souvent incapables d appuyer la population riveraine lorsqu il s agit de l entretien. Il est donc important, dans un premier temps, d appuyer et de structurer les administrations locales (grâce à la mise en place d un service technique communal, par exemple) pour qu elles soient à même de prendre en charge l entretien du réseau routier, avec la population, éventuellement par le biais de travaux communautaires. On pourrait ensuite imaginer que les administrations communales mettent en œuvre elles-mêmes des chantiers HIMO pour la réalisation de routes pavées et d infrastructures communautaires. Il faudra opter pour différents mécanismes de financement (public ou privé) ou de mise en œuvre (maîtrise d ouvrage, maîtrise d ouvrage déléguée, maîtrise d ouvrage assistée), en fonction du contexte local. Il est important de sensibiliser les décideurs, qu ils soient politiques ou financiers, à prendre en compte la méthode HIMO lors de la mise en œuvre des infrastructures. La méthode de l HIMO social doit être encouragée tout particulièrement dans les pays qui sortent d une période de conflit et dans les pays à taux de chômage élevé. La CTB, l agence belge de développement, appuie et encadre des programmes de développement pour le compte de l État belge et d autres donneurs d'ordre. Rue Haute Bruxelles, Belgique T + 32 (0) F + 32 (0) info@btcctb.org Sources Bureau international du Travail, Programmes HIMO : Cours de formation à l usage des PME, des bureaux d étude et des ingénieurs de l état. Thème BTI. Les bâtiments. Généralités. Module BM I.1 L'approche HIMO dans le bâtiment. Genève : Bureau international du Travail, pp Olivier, F. et Bynens, E., L approche HIMO et les investissements routiers. Perspectives pour la création d'emplois et l'économie de devises à Madagascar. Genève : Bureau International du Travail, pp Tajgman, D. et de Veen, J., Programmes d Infrastructures à Haute Intensité de Main-d Œuvre HIMO : Politiques et pratiques du travail. Genève : Bureau International du Travail, p. 13. Ont contribué à cette publication Cariton Nibashikire, Stéphanie Hocq, Faustin Mateso, Olivier Chanoine, Fabrice Nkurunziza, Yvonne Habonimana, Bonaventure Niyonizigiye, Gérard Baltissen (KIT), Sabine Citron Lien internet Cette note est publiée sous Licence Creative Commons «by/nc/nd» Éditeur responsable : Carl Michiels, rue Haute 147, 1000 Bruxelles
Professionnalisation de la filière des pavés au Burundi
Professionnalisation de la filière des pavés au Burundi Points-clés Appuyer le regroupement en association. Le Projet Pavage propose un soutien aux tailleurs de pavés pour la création et l organisation
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailRoutes bien entretenues Financement assuré
Routes bien entretenues Financement assuré Mr. Leon Ramaromanana, Coordinator, Madagascar SOMMAIRE 1.ORIGINE / CREATION DU FER 2. CADRE INSTITUTIONNEL 3. CADRE OPERATIONNEL 4.TERMINOLOGIE 5. MECANISME
Plus en détailIntelligence d affaires nouvelle génération
Intelligence d affaires nouvelle génération Sept étapes vers l amélioration de l intelligence d affaires par l entremise de la recherche de données À PROPOS DE CETTE ÉTUDE Les approches traditionnelles
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailCOMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG
COMMENT ARRIVER A L EFFET/IMPACT dans un état fragile en voie de développement? Étude de cas: bassin de MousGque HaïG Julien Deroy Jeudi 16 octobre 2014 Contexte d HaïG 76% de la popula,on: < 2$US/jr Importa,ons
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailLa prise en compte des 2RM dans les aménagements
La prise en compte des 2RM dans les aménagements Pourquoi les prendre en compte? Quels outils? Bérengère Varin novembre 2011 Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement
Plus en détailExpériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine
v Renforcement des compétences opérationnelles dans le développement mené par la communauté 15 au 19 avril 2002 Washington, D.C. Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailEn fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.
NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque
Plus en détailPour un Plan d Investissement Communal plus Participatif
MINISTERE DE L INTERIEUR CAISSE DES PRETS ET DE SOUTIEN DES COLLECTIVITES LOCALES 9, rue de l assistance Cité El Khadhra -1003 Tunis Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif Ines SALLEM
Plus en détailPlateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants
Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 Axe Emploi et Solidarité PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 PME - Indépendants Etat des lieux
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailMinistère des Transports. Lignes directrices pour l aménagement routier lié à l aménagement foncier
Ministère des Transports Lignes directrices pour l aménagement routier lié à l aménagement foncier AVANT-PROPOS Aménagement routier Les travaux d aménagement des voies publiques («aménagements routiers»)
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailCas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles
Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles 10.10.2005 Soutenu par: Mobilservice PRATIQUE c/o beco Economie bernoise Protection contre
Plus en détailÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008
Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailTest électoral 2014 de la RTBF
ÉLECTIONS 2014 Test électoral 2014 de la RTBF L AVIS DES PRINCIPAUX PARTIS FRANCOPHONES EN MATIÈRE DE MOBILITÉ NIVEAU FÉDÉRAL Les voitures de société doivent être taxées plus fortement Il s agit avant
Plus en détailMOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu
MOBILITÉ 2014 Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu ASSURER LA MOBILITÉ DE DEMAIN L ACA ET LA FIA DEMANDENT AUX DÉCIDEURS EUROPÉENS : d assurer le développement cohérents de la «voiture connectée»,
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailSOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...
Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du date Ville
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du date Ville 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national : début de reprise économique, mais chômage encore trop fort Dans notre région, une problématique
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailProgramme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)
Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans
Plus en détailConseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2
Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande
Plus en détailLE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE
AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailBurundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga
Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique
Plus en détailMaximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux
Make the most of your energy* Maximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux * Tirez le meilleur de votre énergie www.schneider-electric.fr Schneider Electric France Direction Communication
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailPrésentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014
Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs
Plus en détailLe ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité
Ministère des Finances Communiqué Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Le Plan d action économique de 2015
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailMaster en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable
Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Services de change et de gestion des paiements internationaux
DOSSIER DE PRESSE Services de change et de gestion des paiements internationaux Janvier 2014 Fiche d identité de FX4Biz Date de création 2012 : FX4Biz Belgique Type de société SA de droit Belge au capital
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailConseil d administration Genève, novembre 2008 PFA/BS POUR DISCUSSION ET ORIENTATION
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.303/PFA/BS/1 303 e session Conseil d administration Genève, novembre 2008 Sous-comité du bâtiment PFA/BS POUR DISCUSSION ET ORIENTATION PREMIÈRE QUESTION À L ORDRE DU
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détailEn collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013
En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailPénuries de main-d oeuvre et mesures de transition professionnelle dans l industrie canadienne de l électricité
Pénuries de main-d oeuvre et mesures de transition professionnelle dans l industrie canadienne de l électricité Sommaire Publié par le Conseil sectoriel de l électricité www.brightfutures.ca Le Conseil
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailLa société de coopérative de fabrication de. chicouangue. A besoin de vous. présentation de la coopérative
La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative 1 2 La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative
Plus en détailGuide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation
Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailPage 02 Page 05 Page 08 Page 11 Page 13 Page 15 Page 17 Page 20 Page 28 Page 32 Page 34 Page 36 Page 37
Livret pour l Assainissement en Milieu Rural ²²² Communes de Ngogom et de Gainte Kaye Plan du livret Page 02 Présentation du projet Page 05 La mise en œuvre du service public d assainissement Page 08 L
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailFiche entreprise : E10
Fiche entreprise : E10 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée est le directeur de la mutuelle de formation 1 dans le secteur des entreprises adaptées dont 95 % gèrent
Plus en détailLa plus haute sécurité n a pas de secret pour Kaba: Chambres fortes en Relastan.
La plus haute sécurité n a pas de secret pour Kaba: Chambres fortes en Relastan. Kaba SA Safes + Vaults Route des Deux-Villages 51c CH 1806 St-Légier-La Chiésaz Tél. +41 21 946 52 72 Fax +41 21 946 52
Plus en détailLes bonnes pratiques du recrutement en ligne
POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailCRM pour le Service clients et l Assistance technique
CRM pour le Service clients et l Assistance technique La satisfaction Maximizer. Inciter la fidélisation de la clientèle. Servir la clientèle efficacement est l élément clé d une croissance d affaires
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Construction d un centre informatique à Dalifort» Quartier de Dalifort Intitulé du projet «Construction d un centre informatique à Dalifort, Sénégal» Lieu d intervention Quartier
Plus en détailACCORD. entre le Gouvernement de la République française. et le Gouvernement de la Géorgie relatif au séjour
ACCORD entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la Géorgie relatif au séjour et à la migration circulaire de professionnels (ensemble deux annexes), signé à Paris le 12 novembre
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détailLes Fiches de projet et leur canevas
Les Fiches de projet et leur canevas République du Burundi Ministère de la Sécurité Publique Agence nationale d exécution : Fiche de Projet1 Titre du Projet : Renforcement des capacités de planification
Plus en détailGESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER
GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS #LesRèglesOntChangé Q-BIC PLUS 1 LES NOUVELLES RÈGLES DE LA GESTION DES EAUX PLUVIALES COMMENCENT ICI Wavin Q-Bic Plus, nouveau système de rétention/infiltration
Plus en détailL entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière
L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec
Plus en détailAGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS
Direction des Ressources humaines AGENT DE VOIRIE DANS UN CENTRE D EXPLOITATION DÉPARTEMENTAL POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction des Routes Service : Centre Technique Départemental
Plus en détailRapport d activités 2012
République de Guinée-Bissau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE Projet d Appui à la Sécurité Alimentaire (PASA) Composant II : Aménagements hydroagricoles (CAHA) Rapport d activités 2012 Élaboré
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailTechnologies de l information
7a Technologies de l information Nouvelles technologies de l information : une clé pour apprendre à l âge adulte? 321 Thème 7 Education des adultes, culture, médias et nouvelles technologies Fascicules
Plus en détailLes réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente?
Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2013 7, juillet 2013 www.ftu.be/ep Les réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente? L exemple de Twitter
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailTitle: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708
Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Language: English Translations: French Country: Botswana
Plus en détailManageEngine IT360 : Gestion de l'informatique de l'entreprise
ManageEngine IT360 Présentation du produit ManageEngine IT360 : Gestion de l'informatique de l'entreprise Améliorer la prestation de service à l'aide d'une approche intégrée de gestion des performances
Plus en détailDOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE
DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailREPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON
REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON Paix - Travail - Patrie Peace - Work - Fatherland CONTRAT DE VILLE N /année/cdv/minhdu CONCLU ENTRE L ETAT DU CAMEROUN ET (dénomination de la ) DE --------------
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailLA CONDUITE DE VEHICULES ET D ENGINS
Fiche outil n 2 LA CONDUITE DE VEHICULES ET D ENGINS Le Code de la route fixe les dispositions relatives à la conduite des différents véhicules automobiles ou ensemble de véhicules pour tous les conducteurs.
Plus en détailIntroduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept
Table des matières I II III IV V VI Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Le marché des Services de
Plus en détail