Référence de l'étude : étude ES/PROX-VH-08/01-EKD/JLP/AA
|
|
- Thomas Joseph
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Protégeons ensemble l'air que nous respirons ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR EN PROXIMITE AUTOMOBILE BOULEVARD VICTOR HUGO A TROYES 01 au 31 Mars Septembre au 14 Octobre 2008 Référence de l'étude : étude ES/PROX-VH-08/01-EKD/JLP/AA SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA - 2 rue Léon PATOUX REIMS Cedex 2 Tél. +33 (0) Fax +33 (0) contact@atmo-ca.asso.fr - Website :
2 - Conditions de Diffusion : * Diffusion libre pour une réutilisation ultérieure des données dans les conditions ci-dessous: * Toute utilisation partielle ou totale de ce document devra porter la mention: "Source d'information ATMO CA- étude ES/PROX-VH-08/01-EKD/JLP/AA". * Les données contenues dans ce document restent la propriété d'atmo Champagne-Ardenne. * ATMO Champagne-Ardenne n est en aucune façon responsable des interprétations, travaux intellectuels et publications diverses issus de ce document et pour lesquels elle n aurait pas donné d accord préalable. Personne en charge du dossier Service Technique Stéphane NOEL, Responsable technique Rédaction Anne AROUNOTHAY, Chargée d'études Vérification Jérôme LE PAIH, Responsable modélisation Approbation Emmanuelle KOHL DRAB, Directrice Rapport d'étude ES/PROX-VH-08/01-EKD/JLP/AA ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR EN PROXIMITE AUTOMOBILE BOULEVARD VICTOR HUGO A TROYES (2008)
3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 PRESENTATION DE L ETUDE... 2 I. POLLUANTS MESURES... 2 II. SITE DE MESURE... 3 RESULTATS DE L ETUDE... 4 I. CONDITIONS METEOROLOGIQUES... 4 II. EXPLOITATION DES RESULTATS... 5 II.1. DIOXYDE D AZOTE NO II.2. POUSSIERES TRES FINES PM II.3. MONOXYDE DE CARBONE CO CONCLUSION ANNEXE... 13
4 Introduction ATMO Champagne-Ardenne dispose en 2008 sur la région de 12 stations fixes de fond dont 3 sur l agglomération troyenne, mesurant en continu les polluants réglementés en air ambiant, et permettant le suivi de l exposition moyenne de la population à la pollution atmosphérique. A ce jour l association ne dispose pas de station fixe de proximité trafic, qui lui permettrait de connaître le niveau maximum de pollution auquel la population, située en proximité d une infrastructure routière, est susceptible d être exposée. Avec la parution le 21 mai 2008 de la directive 2008/50/CE, définissant les modalités de surveillance de la qualité de l air en Europe, l installation de stations en proximité trafic est devenue réglementaire en région. D autre part, la circulaire du 12 octobre 2007, relative à l information du public sur les particules en suspension dans l air ambiant et l arrêté préfectoral 2009-DIV-05-Qualité de l air du 12 janvier 2009, intègrent la possibilité de prendre en compte les données issues de stations de proximité trafic en cas d épisode de pollution atmosphérique aux poussières. Dans ce contexte, ATMO Champagne-Ardenne a réalisé en 2008 une étude en proximité automobile à Troyes, cofinancée par la région Champagne-Ardenne, dans le but de recueillir des informations sur les concentrations mesurées en situation d exposition maximale à la pollution automobile. Après l étude effectuée au niveau de l Espace Argence en 2006, le moyen mobile de surveillance de la qualité de l air a été positionné Boulevard Victor Hugo à Troyes. Les mesures ont concerné des polluants émis en partie par le trafic automobile : dioxyde d azote (NO 2 ), monoxyde de carbone (CO), poussières très fines (PM 2.5 ). Afin de prendre en compte la variabilité des teneurs au cours de l année, l étude s est déroulée en deux phases : - 1 ère campagne de mesure: du 01 au 31 mars 2008, - 2 ème campagne de mesure: du 09 septembre au 14 octobre Page 1
5 Présentation de l étude I. Polluants mesurés Au cours de cette étude, ont été suivis des polluants réglementés émis en partie par le transport routier : le dioxyde d azote, le monoxyde de carbone, ainsi que les poussières très fines. Le tableau 1 récapitule les différents polluants suivis dans le cadre de cette étude, et pour chacun d entre eux, la méthode de mesure et la durée de l échantillonnage. En annexe sont présentés les sources et les effets de ces polluants. Polluants Méthode de mesure Durée Oxydes d azote (NO 2 +NO) Norme NF EN de juillet 2005 Mesure en continu Monoxyde de carbone (CO) Norme NF EN de juillet 2005 Mesure en continu Poussières fines dont le diamètre est Méthode par microbalance TEOM Mesure en continu inférieur à 2.5 µm (PM 2.5 ) Tableau 1 : Récapitulatif des polluants mesurés NOx, CO, PM 2.5 Ces polluants sont mesurés en continu à l aide d analyseurs installés dans l unité mobile de surveillance de la qualité de l air d ATMO Champagne-Ardenne. Têtes de prélèvement Analyseurs types pour la mesure de polluants Page 2
6 II. Site de mesure ¾ Caractéristiques du site Un moyen mobile de surveillance a été installé sur le parking de l Agence d Urbanisme de Développement et d Aménagement de la Région Troyenne (AUDART), au 28 Boulevard Victor Hugo, directement sous l influence de la source linéaire. Le point de prélèvement est situé à moins de 5 mètres du boulevard, pour permettre une mesure optimale des polluants en situation de proximité automobile. L axe routier à proximité est une 2x2 voies avec un trafic moyen journalier supérieur à véhicules / jour d après un comptage de Les résultats sont comparés à ceux issus des stations fixes La Tour, située dans la partie Nord du «bouchon de champagne» et Sainte Savine, dédiées au suivi de la pollution urbaine de fond. Emplacement de l unité mobile sur le parking de l AUDART Page 3
7 Résultats de l étude I. Conditions météorologiques Du fait du rôle important des conditions atmosphériques sur la dispersion, l abattement et la réactivité chimique des polluants, différents paramètres météorologiques ont été suivis au cours des campagnes de mesures. Température moyenne et précipitations du 01 au 31 mars 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) Température moyenne et précipitations du 09 septembre au 14 octobre 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) 06/03 : Journée la plus froide avec T = 0,5 C Rose des vents du 01 au 31 mars 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) Rose des vents du 09 septembre au 14 octobre 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) 06/03 : Vent faible environ 5 km/h Vitesse moyenne du vent du 01 au 31 mars 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) Vitesse moyenne du vent du 09 septembre au 14 octobre 2008 Station Troyes-Barberey (Source Météo-France) 1 ère Campagne : 01 au 31 mars 2008 D après Météo France, le temps est resté perturbé et humide au cours de cette période alternant des journées très froides et des journées plus douces, avec des vents dominants de Sud et Sud Ouest et des pluies parfois abondantes. Les conditions ont été favorables à une bonne dispersion de la pollution, à l exception de la journée du 6 mars qui fût la journée la plus froide au cours de cette campagne, avec un vent extrêmement faible de l ordre de 5 km/h. 2 nde Campagne : 09 septembre au 14 octobre 2008 Les températures sont restées douces dans l ensemble au cours de la seconde campagne, avec des vents dominants du Nord Est et peu de précipitations. Les conditions ont également été favorables à une bonne dispersion de la pollution. Page 4
8 II. Exploitation des résultats II.1. Dioxyde d azote NO 2 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 1 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en dioxyde d azote sur le site Boulevard Victor Hugo, ainsi qu au niveau des stations fixes de l agglomération troyenne La Tour dans la partie Nord du «bouchon de champagne» et Sainte-Savine Dioxyde d'azote Boulevard Victor Hugo La Tour Sainte Savine 1 ère Campagne 2 nde Campagne 50 µg/m /03 04/03 07/03 10/03 13/03 16/03 19/03 22/03 25/03 28/03 31/03 10/09 13/09 16/09 19/09 22/09 25/09 28/09 01/10 04/10 07/10 10/10 13/10 Graphique 1 : Moyennes journalières en dioxyde d azote durant les deux campagnes Le tableau 2 présente les concentrations moyennes et les maxima horaires enregistrés en dioxyde d azote au cours de l étude. NO 2 en µg/m 3 Moyenne* (moyenne 2008) Maximum horaire (maximum 2008) Boulevard Victor Hugo le 06/03 à 19h La Tour 22 (22) 89 le 06/03 à 21h (121) Sainte-Savine 17 (18) 85 le 06/03 à 20h (103) * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la deuxième campagne Tableau 2 : Moyennes et maxima horaires en dioxyde d azote au cours de l étude Au cours des deux campagnes, le site Boulevard Victor Hugo a enregistré des teneurs un peu plus élevées que celles mesurées sur les sites de La Tour et Sainte Savine, site pour lequel la concentration moyenne mesurée est la plus faible. Le niveau horaire le plus élevé a été relevé sur le parking de l AUDART au cours de la première campagne de mesure au mois de mars L exposition moyenne a ainsi été légèrement supérieure sur le site de l AUDART, longeant le boulevard Victor Hugo. Page 5
9 Profils hebdomadaire et journalier des teneurs en dioxyde d azote Les graphiques suivants présentent l évolution moyenne des teneurs en dioxyde d azote au cours d une semaine type et au cours d une journée type sur trois sites : - Boulevard Victor Hugo, - Station fixe urbaine La Tour - Station fixe urbaine Sainte-Savine µg/m µg/m Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche 5 0:00 2:00 4:00 6:00 8:00 10:00 12:00 14:00 16:00 18:00 20:00 22:00 Sainte Savine La Tour Boulevard Victor Hugo Graphiques 2 et 3 : Profils hebdomadaire et journaliers des teneurs en dioxyde d azote Ces graphiques mettent en évidence l influence de l activité automobile sur les teneurs en dioxyde d azote. L évolution est similaire sur les trois sites, Sainte Savine présentant des teneurs plus faibles. Concernant les profils hebdomadaires des trois sites, des niveaux moyens plus élevés sont observés en milieu de semaine, et les niveaux les plus bas le week-end. Les profils journaliers révèlent des niveaux horaires moyens plus élevés durant les pointes de circulation du matin et du soir, et des valeurs plus basses au cours de la nuit et en milieu d après midi. Le site de l AUDART présente un profil journalier intéressant : les niveaux relevés sur ce site sont en effet plus élevés pendant les heures de trafic à partir de 8 heures, tandis que la nuit ces niveaux sont équivalents à ceux enregistrés par La Tour. Rapport NO/NO 2 Le tableau 3 présente le rapport R des concentrations moyennes en monoxyde d azote (NO) et en dioxyde d azote (NO 2 ) boulevard Victor Hugo ainsi que pour la station La Tour. Ce rapport est cité dans le guide national de classification des stations de l ADEME et constitue un bon marqueur de l intensité d un trafic automobile. En effet, à la sortie du pot d échappement, le NO est majoritaire, puis s oxyde en NO 2 par la suite. Afin de valider un site de proximité automobile, ce rapport doit se rapprocher de 2. Rapport R = NO/NO 2 (Concentrations en ppb) Boulevard Victor Hugo 1.03 La Tour 0.47 Sainte Savine 0.48 Tableau 3 : Rapports NO/NO 2 Avec un rapport de 1.03 au cours de l étude, le site de l AUDART a certes été plus influencé que les sites de La Tour et de Sainte Savine dont les rapports respectifs sont de 0.47 et 0.48, mais cela reste en deçà de ce qui est généralement observé sur un site fortement impacté par la pollution automobile. Page 6
10 Comparaison à la réglementation Le tableau 4 confronte les résultats obtenus sur le site Boulevard Victor Hugo à la réglementation en vigueur pour l année 2008 (Décret n du 15 février 2002). NO 2 en µg/m 3 Moyenne* Maximum horaire Boulevard Victor Hugo le 06/03 à 19h Réglementation Valeurs annuelles Objectif de qualité 40 Valeur limite 44 Valeurs horaires Seuil d information et de recommandation 200 Seuil d alerte 400 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la deuxième campagne Tableau 4 : Réglementation pour le NO 2 (Décret n du 15 février 2002) Avec une moyenne annuelle estimée de 25 µg/m 3, l objectif de qualité et la valeur limite de 2008 en NO 2 sont largement respectés sur le site de proximité automobile boulevard Victor Hugo. Concernant les valeurs horaires, aucun dépassement des 200 µg/m 3 n a été observé au cours de l étude. Page 7
11 II.2. Poussières très fines PM 2.5 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 4 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en poussières très fines Boulevard Victor Hugo, ainsi qu au niveau de la station rémoise périurbaine 1 Tinqueux, seule station de la Champagne Ardenne à mesurer les PM 2.5 en Poussières très fines Boulevard Victor Hugo Tinqueux Reims 1 ère Campagne 2 nde Campagne /03 04/03 07/03 10/03 13/03 16/03 19/03 22/03 25/03 28/03 31/03 10/09 13/09 16/09 19/09 22/09 25/09 28/09 01/10 04/10 07/10 10/10 µg/m 3 13/10 Graphique 5 : Moyennes journalières en poussières très fines durant les deux campagnes Les résultats graphiques montrent une évolution similaire des teneurs en poussières très fines, PM 2.5, entre les sites Boulevard Victor Hugo et Tinqueux, avec des niveaux moyens plus élevés Boulevard Victor Hugo. Le tableau 5 présente les concentrations moyennes en PM 2.5 au cours de l étude. PM 2.5 en µg/m 3 Moyenne* Moyenne maximale sur 24h Boulevard Victor Hugo le 07/03 Tinqueux le 29/09 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la deuxième campagne Tableau 5 : Moyennes et maxima en PM 2.5 au cours de l étude Avec une moyenne de 18 µg/m 3 au cours de l étude, le site Boulevard Victor Hugo enregistre une teneur un peu plus élevée en poussières fines, en raison de la proximité du trafic automobile, que la station périurbaine de Tinqueux. Permet le suivi du niveau d exposition moyen de la population aux phénomènes de pollution atmosphérique dits de «fond» à la périphérie du centre urbain. Page 8
12 Profils hebdomadaire et horaire Les graphiques suivants présentent l évolution moyenne des teneurs en PM 2.5 au cours d une semaine type et au cours d une journée type sur les deux sites µg/m µg/m Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche 10 00:00 02:00 04:00 06:00 08:00 10:00 12:00 14:00 16:00 18:00 20:00 22:00 Tinqueux Reims Boulevard Victor Hugo Graphiques 6 et 7 : Profils hebdomadaire et journaliers des teneurs en poussières très fines De même que pour le dioxyde d azote, ces graphiques mettent en évidence l influence de l activité automobile sur les teneurs en poussières très fines. Sur les deux sites sont observés : - des niveaux moyens plus élevés en milieu de semaine, et les niveaux les plus bas le samedi, - des niveaux horaires moyens plus élevés pendant les pointes de circulation du matin et du soir, et des valeurs plus basses au cours de la nuit, voire de l après-midi durant cette étude. L évolution est similaire sur les deux sites, cependant les valeurs enregistrées sur le boulevard Victor Hugo restent plus élevées que celles relevées sur Tinqueux. Ceci s explique par la différence de typologie existant entre ces deux sites : en effet, Tinqueux est une station périurbaine tandis que le Boulevard Victor Hugo se situe en proximité automobile, lieu où les émissions polluantes sont plus importantes. Comparaison à la réglementation Le tableau 6 confronte les résultats obtenus boulevard Victor Hugo à la réglementation existante pour les PM 2.5. PM2.5 en µg/m 3 Boulevard Victor Hugo Moyenne* 18 Valeurs annuelles Réglementation Valeur cible qui devrait être respectée au 1 er janvier Valeur limite qui doit être respectée au 1 er janvier * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la deuxième campagne Tableau 6 : Réglementation pour les PM 2.5 (Directive 2008/50/CE du 21 mai 2008) Page 9
13 Avec 18 µg/m 3, la concentration moyenne en PM 2.5 boulevard Victor Hugo au cours de cette étude se trouve bien en dessous de la valeur cible de 25 µg/m 3 qui sera à respecter au 01 janvier Cependant, le deuxième Plan National Santé Environnement, qui sera présenté prochainement, apportera des changements notables concernant les particules et en particulier les PM 2,5, afin de respecter les objectifs du Grenelle de l Environnement. Les particules fines ayant un fort impact sanitaire, le Grenelle de l environnement s est particulièrement penché sur leur cas et a conclu la nécessité de réduire de 30% les concentrations en particules fines dans l air ambiant d ici Pour cela, la valeur limite fixée par la Directive européenne du 21 mai 2008 sur l air ambiant sera abaissée. Un objectif de 15 µg/m 3 en moyenne annuelle pour les PM 2,5 sera fixé comme valeur cible à atteindre d ici 2010 et deviendrait obligatoire en Comparée à cette nouvelle valeur cible qui serait à respecter prochainement, la concentration moyenne de 18 µg/m 3 en PM 2.5 relevée sur le boulevard Victor Hugo au cours de cette étude serait alors supérieure. Corrélation avec le dioxyde d azote Le facteur de corrélation entre les PM 2.5 et les NOx, déterminé à partir des données journalières relevées au cours des deux campagnes pour ces polluants, est de 0,63 donc relativement faible. En situation d exposition à la pollution automobile, bien que les particules très fines et les oxydes d azote aient une source d émission commune qui est le transport routier, il existe d autres sources d émission qui expliquent cette absence de corrélation. Estimation de la teneur moyenne en PM 10 à partir des données de PM 2.5 Les particules PM 2.5 sont généralement bien corrélées aux PM 10, que ce soit en situation de fond comme en proximité automobile 2. Les particules PM 2.5 représentent en moyenne environ 70% de la masse de particules PM 10. Ce ratio varie en fonction de la zone géographique ; en France il varie de 55% en régions côtières, à 85% en Lorraine, Bourgogne et dans les Vosges, en passant par 65% de manière assez homogène sur le sud de la France. Sur l agglomération rémoise, la station de fond de Tinqueux mesure en parallèle depuis mars 2008 les teneurs en PM 2.5 et PM 10. Sur la période mars 2008 avril 2009, le facteur de corrélation existant entre les deux paramètres est le suivant : r = 0.93, soit une très bonne corrélation, avec un ratio moyen PM 2.5 /PM 10 de 76%. Les ratios sont généralement plus faibles sur les sites trafic, en raison d une large contribution des particules issues de la remise en suspension dans la fraction grossière 3. Ainsi en région parisienne, les ratios moyens 2006 et 2007 en situation de fond ont varié de 67% à 72% pour des ratios en situation de proximité automobile entre 66% et 67%. Afin d estimer la concentration moyenne en PM 10 boulevard Victor Hugo à partir des résultats en PM 2.5, l hypothèse suivante a été retenue en moyenne au cours de l étude : 60% < Ratio PM 2.5 /PM 10 boulevard Victor Hugo < 80% Synthèse des connaissances sur les particules en suspension dans l air AIRPARIF 2008 Joint Research Centre, European Commission (2003), «A european aerosol phenomenology, physical and chemical characteristics of particulate matte at kerbside, urban, rural and background sites in Europe», Report nr. EUR EN Page 10
14 Cette hypothèse permet le calcul d un encadrement large de la moyenne en PM 10 boulevard Victor Hugo: 22 µg/m 3 < PM 10 < 30 µg/m 3 D après le tableau 7, l encadrement met en évidence un risque peu élevé de dépassement de l objectif de qualité en poussières fines (PM 10 ) boulevard Victor Hugo. PM 10 en µg/m 3 Moyenne annuelle Réglementation Objectif de qualité 30 Valeur limite 40 Tableau 7 : Réglementation pour les PM 10 (Décret n du 15 février 2002) II.3. Monoxyde de carbone CO Le tableau 8 présente les teneurs moyennes en monoxyde de carbone au cours de l étude boulevard Victor Hugo comparées à la station urbaine Mairie de Reims, ainsi qu à la réglementation en vigueur en CO en mg/m 3 Moyenne* Maximum journalier sur 8 heures glissantes Boulevard Victor Hugo le 06/03 à 01h Mairie le 31/03 à 01h Réglementation - 10 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la deuxième campagne Tableau 8 : Résultats de l étude et réglementation pour le CO (Décret n du 15 février2002) Les valeurs de monoxyde de carbone ont été similaires à celles mesurées par la station Mairie et bien en deçà de la réglementation. Page 11
15 Conclusion Dans le cadre de sa mission de surveillance de la qualité de l air, ATMO Champagne-Ardenne a réalisé au cours de l année 2008 une étude en proximité automobile, boulevard Victor Hugo, à Troyes. Cette étude s est déroulée en deux phases, du 1 er au 31 mars et du 9 septembre au 14 octobre 2008, afin d être représentatif de l année. Un moyen mobile a donc été installé sur le parking de l AUDART et a ainsi mesuré trois polluants réglementés : le dioxyde d azote, les poussières très fines (PM 2.5 ) et le monoxyde de carbone. Les niveaux enregistrés ont été comparés à ceux obtenus par les stations La Tour et Sainte Savine, dédiées au suivi de la pollution urbaine de fond de l agglomération troyenne. Les valeurs enregistrées pour ces trois polluants au cours de cette campagne de mesures ont été un peu plus élevées que celles observées aux stations urbaines de fond La Tour et Sainte Savine, et respectent largement la réglementation en vigueur. Durant cette étude, le rapport NO/NO 2 est calculé afin d identifier une éventuelle zone d exposition maximale à la pollution automobile. Le ratio NO/NO 2 obtenu est de 1.03 donc faible, et éloigné de ceux habituellement observés sur des sites influencés par de fortes émissions automobiles et qui se rapprochent de 2. Les valeurs enregistrées en PM 2.5 ne dépassent pas la valeur cible de 25µg/m 3 préconisée par la Directive européenne du 21 mai Cependant, lors des tables rondes du Grenelle de l Environnement qui ont eu lieu en octobre 2007, un objectif ambitieux de réduction des émissions de particules dans l air a été pris. La valeur cible actuelle sera abaissée à 15 µg/m 3 dans le but d atteindre la réduction de 30% des émissions de poussières à l horizon Les concentrations en PM 2.5 enregistrées boulevard Victor Hugo seraient alors plus élevées que cette nouvelle valeur cible. La réglementation actuelle a été respectée sur le parking de l AUDART en proximité du Boulevard Victor Hugo, mais dans le cadre de la prochaine réglementation, ces niveaux ne sont pas conformes. Un autre site devra être prospecté afin d évaluer la qualité de l air dans une zone représentative du niveau maximum d exposition à la pollution automobile, auquel la population est susceptible d être exposée, associé à une réflexion sur la gestion de la qualité de l air sur l agglomération troyenne. Page 12
16 ANNEXE Page 13
17 Description et impact sanitaire des composés étudiés Dioxyde d azote NO 2 Sources Le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ) sont émis lors des phénomènes de combustion. Le NO 2 est issu de l oxydation du NO. Les sources principales dans les villes de plus de habitants en Champagne-Ardenne sont le transport routier à 51% puis l industrie à 28% et le résidentiel et tertiaire à 14%. Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicules à essence, mais l effet reste encore peu perceptible compte tenu de l augmentation forte du trafic et de la durée de renouvellement du parc automobile. Agriculture hors machine 1% 3% 28% Autres transports Industrie 51% 14% 3% Machine et combustion agricoles Résidentiel et Tertiaire Transport routier Emissions de NOx dans les agglomérations de habitants et plus en Champagne-Ardenne (ATMO Champagne-Ardenne, plateforme Esmeralda, inventaire 2000) Effets sur la santé et sur l environnement Le dioxyde d azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Le dioxyde d azote participe au phénomène des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont il est l un des précurseurs, à l atteinte de la couche d ozone stratosphérique et à l effet de serre. Page 14
18 Poussières fines PM 2.5 Sources Les particules ou poussières en suspension liées à l activité humaine proviennent majoritairement en France métropolitaine du secteur résidentiel et tertiaire, de l industrie ainsi que du transport routier. Leur taille et leur composition sont très variables. Les particules sont souvent associées à d autres polluants. Au cours de cette étude ont été mesurées les poussières de diamètre inférieur à 2.5 micromètres (PM 2.5 ). 12% 17% 2% Agriculture/Sylviculture Autres transports Industrie manufacturière Transformation d'énergie 41% 2% 26% Résidentiel et Tertiaire Transport routier Emissions de PM 2.5 en France Métropolitaine (CITEPA 2006) Effets sur la santé et sur l environnement Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l environnement les plus perceptibles. Page 15
19 Monoxyde de carbone CO Source Gaz inodore, incolore et inflammable, le monoxyde de carbone se forme lors de la combustion incomplète de matières organiques (gaz, charbon, fioul, carburants, bois). Dans les années 80-90, le principal secteur d émission de monoxyde de carbone était le transport routier. Puis sa contribution a diminué grâce à l utilisation des pots catalytiques à compter de 1993 pour les véhicules essences et 1997 pour les véhicules diesel. En 2006 les trois secteurs contribuant le plus aux émissions de monoxyde de carbone sont le résidentiel/tertiaire, l industrie manufacturière et le transport routier. 7% 24% 3% Agriculture/Sylviculture Autres transports Industrie manufacturière 32% Transformation d'énergie 33% 1% Résidentiel et Tertiaire Transport routier Emissions de CO en France Métropolitaine (CITEPA 2006) Effets sur la santé et sur l environnement Le monoxyde de carbone se fixe à la place de l oxygène sur l hémoglobine du sang, conduisant à un manque d oxygénation de l organisme (cœur, cerveau ). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s aggravent avec l augmentation de la concentration en CO (nausée, vomissements ) et peuvent, en cas d exposition prolongée, conduire au coma et à la mort. Le monoxyde de carbone participe également aux mécanismes de formation de l ozone troposphérique. Dans l atmosphère, il se transforme en dioxyde de carbone et contribue à l effet de serre. Page 16
20 Protégeons ensemble l'air que nous respirons - ATMO Champagne-Ardenne 2 rue Léon Patoux REIMS Cedex 2 Tél Fax contact@atmo-ca.asso.fr
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailDossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012
Dossier de presse SOMMAIRE Présentation...3 Une étude scientifique pour dresser un état des lieux des comportements sur autoroute...4 L occupation des voies : des résultats venant confirmer l importance
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailCPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION
CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION NIVEAUX SONORES ÉMIS DANS L ENVIRONNEMENT EN RÉFÉRENCE À L ARRÊTÉ DU 23 JANVIER
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailDéplaçons-nous autrement!
Déplaçons-nous autrement! Pffff!!! Encore une heure pour rentrer du boulot! Nos habitudes Un quoi? Nous, on a mis en place un «PDE»! Plan de Déplacements Entreprise! On s est organisé pour covoiturer,
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailConvention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de
Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailLA nouvelle station service. économies. Green up prises et bornes de recharge. (durables) rechargeable
1 LA nouvelle station service économies (durables) Green up prises et bornes de recharge pour VÉHICULE ÉLECTRIQUE OU HYBRIDE rechargeable 2 VÉHICULES ÉLECTRIQUES / HYBRIDES RECHARGEABLES Un marché qui
Plus en détailBulletin de veille sanitaire octobre 2012
CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailDépartement de l ARIEGE
LES RAPPORTS BUREAU VERITAS Bureau Veritas 12 rue Michel Labrousse Bât 15 BP 64797 31047 TOULOUSE CEDEX 1 Dardilly, le 12 juillet 2012 Département de l ARIEGE Elaboration des cartes de bruit stratégiques
Plus en détailMesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements
Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailEt si on utilisait le vélo?
Et si on utilisait le vélo? Marc Eloy Ivan Derré Juillet 2014 Paris peut elle devenir comme Copenhague une capitale symbole du déplacement en vélo? Le développement du Vélib, la mise en place de voies
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailQualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE
Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs
Plus en détailEvaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur
Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailLa gamme SAM ARGOPOL
La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles
Plus en détailEvaluation des émissions
Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailLa mise en œuvre de cet arrêté du 25 janvier 2013 fait de la France l un des pionniers en Europe dans ce domaine.
1 Delphine BATHO rappelle l entrée en vigueur à partir du 1 er juillet 2013, d une nouvelle réglementation qui s applique à l éclairage nocturne des bureaux, des magasins, des façades de bâtiments. L arrêté
Plus en détailMÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION
MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROJET PLAN D AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT MÉTROPOLITAIN PMAD 13 OCTOBRE 2011 1 INTRODUCTION La communauté
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone
DOSSIER DE PRESSE Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone www.intoxco-npdc.fr Septembre 2014 SOMMAIRE Communiqué de presse.. 3 Pourquoi une alerte SMS... 4 Chiffres clés
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailDIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES
DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES Sommaire INTRODUCTION...5 I. CONSOMMATIONS ENERGETIQUES...6 Industrie...6 Agricole...7 Transports...7 Résidentiel
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailMIVISU VIABILITÉ HIVERNALE
FICHE APPLICATION MIVISU VIABILITÉ HIVERNALE Fiche ref :zz_fa_viabilite_01a Publiée le :09/09/09 Domaine Routier 1 Table des Matières 1Objet du document...3 2Présentation générale de l'application Viabilité...4
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailMASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013
MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 Le Master 2 Paysage et Aménagement est une spécialité du Master Urbanisme et Aménagement. Celui-ci est
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailLES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE
LES PASSAGES A NIVEAU EN BRETAGNE ET PAYS DE LA LOIRE 1 LA REGLEMENTATION LA REGLEMENTATION 2 L arrêté ministériel du 18 mars 1991 modifié le 23 mai 2008 Le classement, la réglementation et l équipement
Plus en détailOpération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var. www.ecovallee-plaineduvar.fr
Opération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var www.ecovallee-plaineduvar.fr 1 2 3 3 Eco-Vallée Un nouveau positionnement économique Faire d Eco-Vallée l accélérateur de la mutation économique
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailAPPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE
APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE PRÉVUS À L'ARTICLE L. 221-7 DU CODE DE L'ÉNERGIE 1/10
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailCERTIFICATION CERTIPHYTO
CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailURBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?
URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailMétrologie des particules PM 10 et PM 2.5. Caractérisation Chimique des Particules. Veille sur les études de sources.
Métrologie des particules PM 10 et PM 2.5 Caractérisation Chimique des Particules Veille sur les études de sources Décembre 2009 Programme 2009 L. CHIAPPINI PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailPrévention des intoxications Entretien des chaudières
Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailConstruisons ensemble une innovation territoriale à Charly
Construisons ensemble une innovation territoriale à Charly 20 mars 2012 10h-13h Avec le soutien de Déroulement de la réunion 10h-10h15 : Tour de table et Introduction 10h15-10h35 : La genèse du projet
Plus en détail