Intérêt du test ucyt+ TM pour le dépistage et le suivi des tumeurs de vessie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Intérêt du test ucyt+ TM pour le dépistage et le suivi des tumeurs de vessie"

Transcription

1 ARTICLE ORIGINAL Progrès en Urologie (2003), 13, Intérêt du test ucyt+ TM pour le dépistage et le suivi des tumeurs de vessie Eric DRAPIER (1), Karine RENAUDIN (2), Frédéric MAILLET (1), Guillaume BRAUD (1), Christian LABOISSE (2), Olivier BOUCHOT (1) (1) Service d Urologie, (2) Service d Anatomo-pathologie, Hôtel Dieu, Nantes, France RESUME Introduction : Les tumeurs superficielles de vessie sont fréquentes et récidivent souvent. Elles le font généralement en s aggravant. La surveillance cystoscopique est peu agréable pour le patient, et sa morbidité non négligeable. La cytologie urinaire est, elle, bien que très facile à mettre en œuvre, très peu sensible. Le test ucyt+ TM serait, selon la littérature, très performant dans le dépistage des tumeurs urothéliales. Il consiste à repérer par immunofluorescence les cellules tumorales desquamées, préalablement marquées par des anticorps spécifiques. Matériel et Méthode : Cette étude a été menée de façon prospective, incluant 92 patients ayant une cystoscopie de dépistage ou dans le cadre d un suivi. Leurs urines mictionnelles ont été préalablement recueillies pour réaliser une cytologie standard et un test ucyt+ TM. Ces examens ont été lus séparément, en aveugle. Résultats : La sensibilité et la spécificité ont été de 68,7% et 81,7% pour l ucyt+ TM, versus 40,6% et 96,7% pour la cytologie. La sensibilité de l ucyt+ TM a été meilleure pour les tumeurs de bas grade (87,5%), au contraire de la cytologie (37,5%). Les résultats de l ucyt+ TM ont été comparables à la cytologie dans les hauts grades (80%). Conclusion : Le test ucyt+ TM a été plus performant que la cytologie standard. Il permettrait d espacer les examens cystoscopiques de surveillance, notamment lors du suivi de lésions de bas grade. Mots clés : Tumeur superficielle de vessie, cytologie, dépistage. Avec une incidence en constante augmentation durant les deux dernières décades et nouveaux cas diagnostiqués en 1995 [12], le cancer de vessie se place parmi les tumeurs les plus fréquentes, et ce d autant que son taux de récidive est très élevé [1, 6]. La conjonction de différents éléments est à l origine d une sensibilisation des médecins au dépistage de ce cancer : 1) Les facteurs de risque connus, 2) Un mode d expression précoce représenté par l hématurie microscopique et 3) Un premier test simple de dépistage existe : la bandelette urinaire. La cystoscopie reste l examen de référence dans le cadre des tumeurs de vessie, tant pour le diagnostic que pour la surveillance de tumeurs antérieurement traitées. Sa morbidité est non négligeable, 2,2% à 7,5% des patients auront une bactériurie à 48h, selon les études de MANSON [11], CLARK [3] et LUGAGNE [10]. La cystoscopie nécessite de plus l emploi d un matériel stérile, d y consacrer du temps et restera toujours peu agréable pour le patient. Quant à la cytologie urinaire standard telle que l a décrite PAPANICOLAOU en 1945 [15], sa faible rentabilité ne lui permet pas de se substituer à l examen endoscopique. Les objectifs dans le développement de nouvelles technique cytologiques sont : 1) d améliorer la sensibilité de la cytologie standard sans perdre de spécificité, Manuscrit reçu : juillet 2002, accepté : mars 2003 Adresse pour correspondance : Dr. E. Drapier, Service d Urologie, Hôtel Dieu, 1, place Alexis Ricordeau, Nantes Cedex 1. eric.drapier@free.fr Ref : DRAPIER E., RENAUDIN K., MAILLET F., BRAUD G., LABOISSE C., BOUCHOT O., Prog. Urol., 2003, 13,

2 2) de diminuer la morbidité due à la cystoscopie en en espaçant la fréquence. L ucyt+ TM [6, 7], dont le principe est de détecter par immunofluorescence la présence d antigènes spécifiques à la surface des cellules tumorales [4-7], fait partie de ces tests cytologiques ne nécessitant qu un simple recueil d urines. Cette étude a pour objectif d évaluer ce test ucyt+ TM comparativement à la cystoscopie et à la cytologie urinaire standard. MATERIEL ET METHODE Dans une étude prospective, de décembre 2000 à juillet 2001, 92 patients consécutifs devant avoir une cystoscopie, diagnostique ou dans le cadre d une surveillance de tumeurs de vessie traitées, ont été inclus. Ont été exclus les patients présentant une infection urinaire aiguë ou une lithiase urinaire, les patients ayant une entéroplastie de substitution, les patients ayant reçu une immunothérapie endovésicale ou une chimiothérapie endovésicale voire systémique dans le mois précédent. Un échantillon d urines mictionnelles a été recueilli et séparé en deux parties, l une pour la cytologie standard, et l autre pour l examen ucyt+ TM nécessitant l addition d un volume égal d éthanol à 50%. Puis, la cystoscopie était réalisée, avec une cartographie détaillée des lésions. Les deux tests cytologiques ont été interprétés séparément, en aveugle, sans que le résultat de la cystoscopie n ait été indiqué au pathologiste. Nous ne reviendrons pas sur la technique de réalisation d une cytologie standard. Le test ucyt+ TM se réalise, quant à lui, à partir d une lame sur laquelle ont été apposées les cellules issues de la filtration des urines. Cette lame sera fixée et immergée dans différents bains d éthanol, puis dans l hématoxyline additionnée d acide acétique, afin de réaliser une contre coloration des noyaux. Enfin, la lame devra incuber 15 minutes après adjonction de 4 gouttes d une solution bloquante, puis 60 minutes après ajout de 4 gouttes de la solution d anticorps. La lame est rincée, montée et peut être lue immédiatement. Le fabriquant distribue un kit comprenant un fixateur, la solution bloquante, la solution d anticorps et les témoins positif et négatif. Le coût et la rentabilité de ce test sont encore difficiles à évaluer dans la mesure où ce dernier n a pas encore été répertorié par la commission de la nomenclature. Pour chaque patient, nous disposions du résultat de la cytologie standard, du test ucyt+ TM, de la cystoscopie et, si une résection transurétrale a été réalisée, du stade pathologique de la tumeur de vessie. La cystoscopie a servi de référence pour classer les patients en deux groupes : les sujets sains et les malades, et permettre ainsi les calculs de sensibilité et de spécificité des deux tests cytologiques. Certains résultats cytologiques standard ont été interprétés comme douteux ; nous avons arbitrairement choisi de les classer avec les résultats négatifs, puisque cela correspond à notre gestion clinique courante de ces résultats qui n entraînent pas de surenchère diagnostique mis à part parfois un second contrôle. Les exclure ne nous paraissait pas correspondre à une démarche scientifique correcte. Les classer avec les résultats positifs aurait induit une augmentation artificielle de la sensibilité de cet examen ainsi qu une baisse de la spécificité. Ces réponses douteuses ont été relativement fréquentes, et ce manque de déterminisme devait, à notre sens, peser sur l aspect qualitatif de cet examen. La lecture du test ucyt+ TM a été réalisée par un médecin anatomopathologiste. Cette lecture s apparente beaucoup à la lecture d une immunofluorescence standard. La différence essentielle est qu il ne faut considérer comme positif que les zones fluorescentes se présentant sous l aspect de points distincts à la surface des cellules ou dans les vacuoles. En effet, certaines cellules peuvent, à l état normal, présenter une coloration orangée uniforme, telles que les globules rouges, les cellules inflammatoires ou les cellules pavimenteuses, mais ces dernières seront facilement identifiées en les observant en microscopie à fond clair (manœuvre très rapide et usuelle lors des lectures de lames immunofluorescentes). Le microscope à épifluorescence devra au préalable être équipé de deux filtres, l un pour la détection de la fluorescéine (vert), et l autre pour la détection du Texas Red (rouge). Ce matériel est standard et équipe tout laboratoire pratiquant déjà l immunofluorescence, cependant, l acquisition d un filtre permettant la double détection (filtre XF53 Omega ) permettra de gagner du temps dans la lecture des lames. RESULTATS Soixante douze hommes et 20 femmes, de moyenne d âge 65,7ans, ont été inclus. La cystoscopie a mis en évidence 32 tumeurs. Il n y a pas d examen ucyt+ TM douteux, contre 18% par la cytologie urinaire standard. La sensibilité et la spécificité de l ucyt+ TM ont été de 68,7% et 81,7% versus 40,6% et 96,7% pour la cytologie (Tableau I). Comparant le groupe des patients vus dans le cadre d un premier dépistage et le groupe des patients inclus dans un protocole de surveillance, la sensibilité de l ucyt+ TM a été de 70% et 68,2% respectivement, versus 50% et 36,4% pour la cytologie. La spécificité a été de 70% et 84% pour l ucyt+ TM versus 90% et 98% pour la cytologie (Tableau II). Dans le groupe de patients ayant eu une chirurgie (résection transurétrale ou biopsies à la pince froide), 223

3 Tableau I. Analyse globale de l étude. la sensibilité du test a été interprétée en fonction du grade cytologique. Parmi les 32 patients opérés, seuls 24 d entre eux avaient une tumeur de vessie histologiquement prouvée. Ceux-ci se répartissaient en 8 tumeurs de grade I, 6 tumeurs de grade II et 10 tumeurs de grade III ou carcinome in situ. La sensibilité de l ucyt+ TM a été de 87.5% pour le grade I, 66,7% pour le grade II et 80,0% pour le grade III, contre 37,5%, 33,3% et 80% pour la cytologie standard, respectivement. Lorsque l on associe le test ucyt+ TM et la cytologie standard, la sensibilité a été de 87,5% pour le grade I, 66.7% pour le grade II et 90% pour le grade III (Tableau III). L évaluation en fonction du stade tumoral n a pas été possible car le nombre de patients ayant une tumeur infiltrant le muscle a été beaucoup trop faible. DISCUSSION Cas analysés Vrai positif Vrai négatif Faux négatif Faux positif Sensibilité 68,7% 40,6% 71,9% Spécificité 81,7% 96,7% 81,7% Valeur prédictive négative 83% 75,3% 84,4% Valeur prédictive positive 66,7% 86,7% 67,6% Tableau II. Récapitulatif des résultats de l ucyt+ TM, de la cyto - logie et de leur association, séparés en Premiers dépistages/ Patients suivis. Cas analysés 20/72 20/72 20/72 Vrai positif 7/15 5/8 7/16 Vrai négatif 7/42 9/49 7/42 Faux négatif 3/7 5/14 3/6 Faux positif 3/8 1/1 3/8 Sensibilité 70%/68,2% 50%/36,4% 70%/72,7% Spécificité 70%/84% 90%/98% 70%/87,5% Valeur prédictive négative 70%/85,7% 64,3%/77,8% 70%/87,5% Valeur prédictive positive 70%/65,2% 83,3%/88,9% 70%/66,7% Dénué de risque morbide ou de contrainte matérielle, simple, rapide à entreprendre, le test cytologique urinaire ucyt+ TM a beaucoup d atouts. Mais pour gagner sa place dans le cadre du dépistage du cancer de vessie, il lui faut surtout gagner en efficacité. Il doit être sensible pour espérer concurrencer la cystoscopie, mais aussi spécifique pour éviter trop d endoscopies inutiles qui en annihileraient les bénéfices. Tableau III. Sensibilité de l ucyt+ TM, de la cytologie et de leur association en fonction du grade tumoral. Grade I 87,5% 37,5% 87,5% Grade II 66,7% 33,3% 66,7% Grade III & CIS 80% 80% 90% Dans notre étude, les résultats ont été inférieurs à ceux de la littérature. FRADET, en 1997, a publié des sensibilités de 85,2%, 93% et 96% pour l ucyt+ TM dans les grades I, II et III, mais aussi des sensibilités de 88,8%, 97,3% et 100% lorsque le test ucyt+ TM et la cytologie standard ont été associés, pour les mêmes grades [6]. En 1999, MIAN a confirmé ces résultats avec des sensibilités de 84%, 84% et 90% pour l ucyt+ TM seul, et 84%, 88% et 97% pour l association ucyt+ TM et cytologie [13]. Pourtant, les populations de ces 2 études ont été comparables à celle de notre série, tant sur la répartition de sexe, qu en moyenne d âge. La différence dans les résultats est-elle à mettre sur le compte d une courbe d apprentissage? Notre étude a comporté effectivement nettement moins de patients et la lecture du test ucyt+ T M nécessite indéniablement un certain apprentissage pour le pathologiste qui doit savoir repérer les agrégats rouges fluorescents, parfois au sein même d une coloration rouge plus uniforme. La fluorescence verte, moins fréquente, s avère souvent plus facile à interpréter. FRADET a déjà évoqué cette hypothèse [6]. Au vu des résultats, la cytologie standard doit-elle rester d actualité? Technique ancienne et fort répandue, la cytologie standard est fréquemment prescrite dans le cadre du dépistage des tumeurs urothéliales. Cette technique est performante dans le dépist age des tumeurs de haut grade avec une spécificité excellente (96,7% dans notre étude, tous grades confondus), mais sa sensibilité est très décevante dans le cas de tumeurs de bas grade (37,5% pour les grades I - 33,3% pour les grades II dans notre étude, chiffres confirmés par de nombreux auteurs). C est en comblant cette dernière lacune qu un nouveau test cytologique pourrait concurrencer la cytologie standard, à condition que sa faisabilité reste aussi simple, et que sa spécificité soit comparable. Sur le point des résultats, le test ucyt+ TM est très intéressant, affichant une sensibilité variant de 68,7% (notre étude) à 95,2% (FRADET [6]) pour une spécificité variant de 79,4% (MIAN [13]) à 87% (RAMBEAUD EAU 2002). Concernant plus particulièrement les bas grades, la sensibilité de l ucyt+ TM a été, dans notre étude, de 87,5% (85,2% pour FRADET [6], 84% pour MIAN [13]). De plus, ces derniers auteurs ont montré une potentialisation de la sensibilité de l ucyt+ TM lorsqu on l associe à la cytologie standard. Ainsi, dans les hauts grades, la sensibilité de l ucyt+ TM est passée de 224

4 80% à 90% en association avec la cytologie standard, de 96% à 100% pour FRADET [6], de 90% à 97% pour MIAN [13]. Quant à la faisabilité, elle est, pour l urologue, tout à fait semblable à la réalisation d une cytologie standard, pour le pathologiste en revanche, elle demande plus de manipulations techniques (il s agit d une technique d immunofluorescence) ; le résultat ne peut être rendu dans un délai inférieur à 2h. La cytologie standard garde donc tout son intérêt lorsqu il s agit de mettre en évidence une tumeur urothéliale de haut grade. D autres techniques cytologiques de dépistage du cancer de vessie ont été évaluées très récemment, avec des résultats intéressants. Nous citerons notamment la recherche des altérations des microsatellites au sein des cellules du sédiment urinaire. Cette technique génétique consiste à rechercher principalement des pertes d hétérozygotie au sein de fragments d ADN des microsatellites. La sensibilité globale est excellente selon SCHNEIDER (84%) [17], NEVES (96%) [14], ou BERGER (87%) [2]. La sensibilité varie également avec le grade, mais à l inverse de l ucyt+ TM qui comble en partie le déficit de la cytologie standard, elle diminue dans les bas grades : 79% pour SCHNEIDER [17] dans les grades I, BERGER [2] quant à lui, ne retrouve pas d altérations dans les grades I (faible volume de patients étudiés). Cette analyse cytologique reste pour le patient comme pour l urologue d une extrême simplicité. Sa réalisation technique est en revanche plus compliquée : elle nécessite de disposer d un panel de sondes génomiques, utilise une technique de fluorescence, mais doit aussi comporter une amplification des gênes par PCR. L ucyt+ TM remplacera-t-il la cystoscopie? La cystoscopie, bien qu étant un geste invasif et peu agréable, est actuellement l examen de référence pour le dépistage des tumeurs de vessie. Mais, selon WIENER [19] et LOCKART [9], un test de dépistage immunocytologique à la sensibilité élevée devrait pouvoir détecter une tumeur urothéliale avant que celle-ci ne soit visible à l œil nu. FRADET a effectué des recherches en ce sens [8] et montre, sur 260 patients, que 75% des patients initialement classés parmi les faux positifs développeront en fait une tumeur dans les six mois, contre 20% seulement des patients classés parmi les vrais négatifs. Au cours de notre étude, nous avons été confrontés à 11 faux positifs, et n avons pu revoir à l heure actuelle que 4 de ces patients avec un recul de trois mois minimum après leur inclusion. Parmi ces quatre patients, nous avons découvert (à 6 mois) une récidive tout à fait minime chez une patiente aux antécédents de tumeur pta GIII, la cytologie standard étant toujours resté négative. Bien entendu, nous ne nous sommes pas permis de conclure à propos d un seul cas. Ainsi, si l ucyt+ T M possède beaucoup d atouts en termes de sensibilité et spécificité, il nous paraît difficile actuellement de proposer la suppression de l examen endoscopique au profit de ce test. L ucyt+ TM pourrait par contre permettre d espacer les cystoscopies [16, 18], notamment en l associant avec la cytologie standard. Un patient récemment traité pour une tumeur pta GI ou II, bénéficierait par exemple des examens cytologiques tous les trois mois, mais que d une seule endoscopie de contrôle à 12 mois. CONCLUSION Le test de dépistage ucyt+ TM est un examen cytologique non invasif, de qualité. Sa bonne sensibilité, nettement supérieure à la cytologie standard, lui permet de mettre en évidence un grand nombre de tumeurs urothéliales, quelque soit le grade. Sa spécificité toujours supérieure à 80% évite trop de contrôles endoscopiques inutiles. Il est certainement trop tôt pour qu un test cytologique puisse remplacer la cystoscopie. Cependant, les bons résultats montrés par l ucyt+ TM pourraient nous amener à concevoir un autre type de prise en charge. En effet, pourquoi ne pas imaginer espacer les cystoscopies en intercalant régulièrement un examen ucyt+ TM associé à un examen cytologique standard, puisque nous avons également montré la potentialisation de l association de ces deux derniers tests. Nous n avons à l heure actuelle que peu de recul et l utilisation de l ucyt+ TM doit encore rester prudente. La confirmation de ses bons résultats nous incite donc à proposer ce test dans le cadre de la surveillance de patients sélecti onnés, aux antécédents de tumeurs peu agressives et à risque d infiltration moindre, puisqu il s agit là aussi du terrain de prédilection de l ucyt+ TM. REFERENCES 1. ALLARD P., FRADET Y., TETU B., BERNARD P. : Tumor-associated antigens as prognostic factors in recurrence in 382 patients with primary transitional cell carcinoma of the bladder. Clin. Cancer Res., BERGER A., PARSON W., STENZL A., STEINER H., BARTSCH G., KLOCKER H. : Microsatellite alterations in human bladder cancer : detection of tumor cells in urine sediment and tumor tissue. Eur. Urol., 2002 ; 41 : CLARK K., HIGGS M. : Urinary infection following out-patient flexible cystoscopy. Br. J. Urol., 1990 ; 66 : FRADET Y., ISLAM N., BOUCHER L., PARENT-VAUGEOIS C., TARDIF M. : Polymorphic expression of a human superficial bladder tumor antigen defined by mouse monoclonal antibodies. Proc. Natl. Acad. Sci., 1987 ; 84 : FRADET Y., LARUE H., PARENT-VAUGEOIS C., BERGERON A., DUFOUR C., BOUCHER L., BERNIER L. : Monoclonal antibody against a tumor-associated sialoglycoprotein of superficial papillary bladder tumors and cervical condylomas. Int. J. Cancer, 1990 ; 46 :

5 6. FRADET Y., LOCKHART C., EMOND J., ZADRA J., JEWETT M., BERTRAND P., HOULE J., SCHICK E., BARKIN J., BELL D., CORCOS J., TRUDEL C., CHIN J., CASEY R., SHORT T., SAAD F., VEZINA J., PARENT C., DESAULNIERS M. : Performance characteristics of a new monoclonal antibody test for bladder cancer : Immunocyt. Canad. J. Urol., 1997 ; 4 : FRADET Y., VELTRI R., SIMARD P., BLUMENSTEIN B., O'DOWD G. : Improved detection of bladder cancer by immunocytology with monoclonal antobodies M344 and 19A211. Canadian Urological Association Meeting, 1996 ; FRADET Y. G.J., BEDARD G.: Monitoring and prognostic determination of bladder tumors by flow cytometry with monoclonal antibodies on bladder irrigations. J. Urol., 1991 ; 145 : LOCKHART C., PARENT C., DESAULNIERS M., DUBE L., FRADET Y. : Evaluation of a monoclonal antibody test for the detection of superficial bladder cancer : ImmunoCyt. J. Urol., 1998 ; 159 : LUGAGNE P., HERVE J., LEBRET T., GAUDEZ F., BARRE P., BOTTO H. : Risques infectieux de la fibroscopie urétro-vésicale en ambulatoire chez l'homme à urines stériles. Prog. Urol., 1997 ; 7 : MANSON A. : Is antibiotic administration indicated after outpatient cystoscopy? J. Urol., 1988 ; 140 : MENEGOZ F., al. : Cancer incidence and mortality in France in Eur. J. Cancer Prev., 1997 ; 6 : MIAN C., PYCHA A., WIENER H., HAITEL A., LODDE M., MARBERGER M. : ImmunoCyt : a new tool for detecting transitional cell cancer of the urinary tract. J. Urol., 1999 ; 161 : NEVES M., CIOFU C., LAROUSSERIE F., FLEURY J., SIBONY M., FLAHAULT A., SOUBRIER F., GATTEGNO B. : Prospective evaluation of genetic abnormalities and telomerase expression in exfoliated urinary cells for bladder cancer detection. J. Urol., 2002 ; 167 : PAPANICOLAOU G., MARSHALL V. : Urine sediment smears as a diagnostic procedure in cancers of the urinary tract. Science, 1945 ; 101 : PODE D., GOLIJANIN D., SHERMAN Y., LEBENSART P., SHA- PIRO A. : Immunostaining of Lewis X in cells from voided urine, cytopathology and ultrasound for noninvasive detection of bladder tumors. J. Urol., 1998 ; 159 : SCHNEIDER A., BORGNAT S., LANG H., REGINE O., LIND- NER V., KASSEM M., SAUSSINE C., OUDET P., JACQMIN D., GAUB M. : Evaluation of microsatellite analysis in urine sediment for diagnosis of bladder cancer. Cancer Res., 2000 ; 60 : STAMPFER D., CARPINITO G., RODRIGUEZ-VILLANUEVA J., WILLSEY L., DINNEY C., GROSSMAN H., FRITSCHE H., McDOUGAL W. : Evaluation of NMP22 in the detection of transitional cell carcinoma of the bladder. J. Urol., 1998 ; 159 : WIENER H., MIAN C., HAITEL A., PYCHA A., SCHATZL G., MARBERGER M. : Can urine bound diagnostic tests replace cystoscopy in the management of bladder cancer? J. Urol., 1998 ; 159: SUMMARY Value of the ucyt+ test for the detection and follow-up of bladder tumours. Introduction: Superficial bladder tumours are common tumours that frequently relapse, generally with deterioration of the grade. Cystoscopic surveillance is unpleasant for the patient and is associated with considerable morbidity, while urine cytology, although very easy to poor, has a low sensitivity. According to the literature, the ucyt+ test is very effective for the detection of urothelial tumours. This immunofluorescent technique detects desquamated tumour cells previously labelled by specific anti - bodies. Material and Method: This prospective study was conducted in 92 patients undergoing screening or follow-up cystoscopy. Voided urine was collected prior to cystoscopy to perform stan - dard cytology and a ucyt+ test. These examinations were interpreted independently under blinded conditions. R e s u l t s: The sensitivity and specificity of ucyt+ were 68.7% and 81.7%, versus 40.6% and 96.7% for cytology. The sensitivity of ucyt+ was higher for low-grade tumours (87.5%), in contrast with cytology (37.5%). The results of ucyt+ were comparable to those of cytology for high-grade tumours (80%). Conclusion: The ucyt+ test presented better performances than standard cytology. It would allow less frequent surveillance cystoscopy examinations, especially in patients with low-grade lesions. Key-Words: Superficial bladder tumour, cytology, screening. 226

Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique

Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique AVIS D EXPERT Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique Dimitri Vordos, Guillaume Ploussard Service

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par. École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par

Plus en détail

Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE

Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.

Plus en détail

Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ

Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ URO 43 7.0 07/2015-FR Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ La technologie d'image numérique 2 Solution numérique complète Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ Utilisé avec l'écran transportable C-MAC à éclairage

Plus en détail

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 WORKING DOCUMENT from : Presidency to : delegations No prev. doc.: 12621/08 PI 44 Subject : Revised draft

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline

LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001 FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

La recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ

La recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ DOSSIER La recherche en urologie à l hôpital Foch............. p.2-4 ACTUALITÉ Inauguration du service d oncologie..........................p.5 Actualités de l hôpital Foch...................................p.6

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files..

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files.. Sommaire Installation... 2 After the download... 2 From a CD... 2 Access codes... 2 DirectX Compatibility... 2 Using the program... 2 Structure... 4 Lier une structure à une autre... 4 Personnaliser une

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Virus de l hépatite B

Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance

Plus en détail

Photoactivatable Probes for Protein Labeling

Photoactivatable Probes for Protein Labeling Photoactivatable Probes for Protein Labeling THÈSE N O 4660 (2010) PRÉSENTÉE LE 26 MARS 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE D'INGÉNIERIE DES PROTÉINES PROGRAMME DOCTORAL EN CHIMIE ET GÉNIE CHIMIQUE

Plus en détail

Polyarthrite rhumatoïde et biologie

Polyarthrite rhumatoïde et biologie Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des

Plus en détail

SOCIETE FRANCAISE DE MEDECINE DU TRAVAIL RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE

SOCIETE FRANCAISE DE MEDECINE DU TRAVAIL RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE sur SOCIETE FRANCAISE DE MEDECINE DU TRAVAIL En collaboration avec la Société Française du Cancer et l Association Française d Urologie RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE SURVEILLANCE MEDICO-PROFESSIONNELLE

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE

AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE PURPOSE The Audit Committee (the Committee), assists the Board of Trustees to fulfill its oversight responsibilities to the Crown, as shareholder, for the following

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

urinaire féminine à l effort de la femme

urinaire féminine à l effort de la femme Evaluation clinique préopératoire d une incontinence urinaire féminine à l effort de la femme Jean-François HERMIEU Service d Urologie CHU Bichat 46, rue Henri Huchard 75018 Paris E mail : jean-francois.hermieu@bch.aphp.fr

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

Plateforme Technologique Innovante. Innovation Center for equipment& materials

Plateforme Technologique Innovante. Innovation Center for equipment& materials Plateforme Technologique Innovante Innovation Center for equipment& materials Le Besoin Centre indépendant d évaluation des nouveaux produits, procédés et services liés à la fabrication des Micro-Nanotechnologies

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Bases de données des mutations

Bases de données des mutations Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app

Plus en détail

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat (Résultats de WOOPI) N. Tran, A. Vernier (CLS) F. Rémy R (LEGOS) P. Féménias F (ESA) Calottes glaciaires & classification de la neige/glace

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

L évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter?

L évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter? L évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter? François GEORGES (LabSET ULg) Séminaire Be-ODL 18 novembre 2013 1 Plan La qualité

Plus en détail

Que sont les. inhibiteurs?

Que sont les. inhibiteurs? Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit

Plus en détail

FUITES URINAIRES CHEZ LA FEMME

FUITES URINAIRES CHEZ LA FEMME FUITES URINAIRES CHEZ LA FEMME Informations et traitement Pour vous, pour la vie Conscience du problème Beaucoup de femmes souffrent d incontinence urinaire sans en parler, même lors de leur visite en

Plus en détail

Intérêt du TEP-FDG dans la prise en charge des métastases des cancers urologiques

Intérêt du TEP-FDG dans la prise en charge des métastases des cancers urologiques Volume 18 - Septembre 2008 - Numéro 5 Journal de l Association Française d Urologie, de l Association des Urologues du Québec, et de la Société Belge d Urologie Progrès en Urologie (2008), Suppl. 7, S208

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Tableau des garanties Contrats collectifs

Tableau des garanties Contrats collectifs Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention

Plus en détail

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU

LA PROTHESE TOTALE DE GENOU LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation

Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail