Les entreprises sénégalaises utilisent-elles les données comptables

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1 1 Les entreprises sénégalaises utilisent-elles les données comptables qu elles produisent? Boubacar BAIDARI Maître-Assistant au Centre africain d études supérieures en gestion (CESAG) Boulevard du Général de GAULLE, BP DAKAR (Sénégal) Tél : (221) / Fax (221) boubacar.baidari@cesag.sn/ bbaidari@yahoo.com Résumé L objet de cette recherche est d étudier les systèmes d information comptable des entreprises sénégalaises suite à l adoption du système comptable ouest-africain (SYSCOA). Il s agit plus spécifiquement de recenser les données comptables non obligatoires disponibles dans ces entreprises, de vérifier dans quelle mesure elles sont utilisées pour la prise de décision et d analyser les facteurs qui déterminent leur production et leur utilisation. Les résultats de l enquête réalisée auprès de 39 entreprises implantées dans la région de Dakar, montrent que les données comptables non obligatoires sont produites mais sont insuffisamment utilisées pour la prise de décision. La taille de l entreprise et le contrôle exercé par les sociétés mères occidentales influencent l utilisation de l information comptable. En effet, les grandes entreprises et les filiales des groupes occidentaux utilisent plus les données comptables pour la prise de décision que les autres. Mots Clés Système d information comptable Données comptables Système comptable ouest-africain SYSCOA- entreprises sénégalaises. Do the Senegalese companies use the accounting data which they produce? Abstract The object of this research is to study the accounting information systems of the Senegalese companies following the adoption of the West African accounting system (SYSCOA). It is more specifically a question of counting the no obligatory accounting data available in these companies, to check up to what point they are used for the decision-making and to analyse the factors which determine their production and their use. The results of the investigation carried out with 39 companies established in the Dakar region, show that the no obligatory accounting data are produced but are insufficiently used for the decisionmaking. The size of the company and the control exerted by the Western headquarters influence the use of accounting information. Indeed, the large companies and the subsidiaries of the Western groups use more the accounting data for the decision-making than the others. Key words Accounting Information System - Accounting Data - West African Accounting System - SYSCOA- Senegalese Companies.

2 2 Introduction Beaucoup de travaux portant sur le management des entreprises africaines essaient de démontrer la prédominance d un système d information informel pour la prise de décision de gestion. Les dirigeants d entreprises auraient tendance à privilégier les informations verbales pour prendre leurs décisions. Peu d importance serait alors accordée aux données comptables. Ces dernières seraient constituées essentiellement de documents légaux obligatoires imposés par l administration fiscale (bilan, compte de résultat). Le système d information de gestion ne ferait donc pas appel aux données comptables non obligatoires (états financiers intermédiaires, budgets, comptabilité analytique, etc.). Les raisons évoquées pour justifier la faible utilisation des outils formels de gestion sont souvent d ordre culturel et institutionnel ; elles tournent autour de la complexité et/ou de l inadaptation des outils importés d Occident au contexte africain (Kamdem, 1999). Ces affirmations semblent surtout correspondre à ce qui se passe dans la petite entreprise informelle africaine dont les caractéristiques se prêtent bien à de telles pratiques (Hernandez, 1994, 2000). On peut en effet se demander si elles sont réellement valables pour les entreprises «modernes» africaines. La question peut être posée en particulier pour celles ayant récemment adopté le système comptable ouest-africain (SYSCOA) 1. Ce travail s intéresse aux systèmes d information comptable adoptés par les entreprises sénégalaises suite à la mise en vigueur du SYSCOA. Il essaie en particulier de : - recenser les données comptables non obligatoires produites par les entreprises ; - voir dans quelle mesure les dirigeants utilisent ces données comptables pour prendre des décisions de gestion ; - analyser les facteurs qui déterminent la production et l utilisation de ces données. 1 Le SYSCOA devait être remplacé par le système comptable OHADA (Organisation pour l harmonisation en Afrique du droit des affaires) mis en vigueur en janvier 2002 ; ce dernier est basé essentiellement sur le SYSCOA. Nous assimilons donc

3 3 La recherche, basée sur une enquête par entretien effectuée auprès de 39 entreprises, montre l existence de données comptables non obligatoires dans les entreprises étudiées. Ces dernières ne semblent pas par contre suffisamment se baser sur ces données pour prendre leurs décisions de gestion. Nous présenterons successivement la problématique, la méthodologie puis les résultats de la recherche. 1. Problématique Le SYSCOA est entré en vigueur en janvier 1998 dans les pays de l Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Il avait pour objectif d uniformiser le droit et les pratiques comptables dans les pays membres de l Union et de moderniser les systèmes comptables pour les rapprocher des normes internationales tout en tenant compte des spécificités africaines. Le SYSCOA vise à fournir une information mieux organisée et plus complète. Il introduit des innovations majeures qui paraissent bien adaptées aux entreprises africaines (Causse, 1999 ; Gouadain, 2000) 2. Le SYSCOA «se veut un outil moderne de gestion et d aide à la décision, au service des entreprises et de leurs partenaires : Etats, institutions financières, fournisseurs et clients» (UEMOA, 1996). Au-delà de la normalisation de la comptabilité financière, il propose des méthodes et des outils pour l ensemble du système d information comptable (comptabilité analytique de gestion et analyse financière notamment). A priori, le SYSCOA devait encourager et faciliter la production et l utilisation de l information comptable. Quatre ans après l adoption de ce nouveau système comptable, on peut s interroger sur son les deux systèmes comptables. 2 Parmi les innovations du SYSCOA, on peut citer le système minimal de trésorerie pour les plus petites entreprises et les comptes combinés pour les filiales des groupes étrangers ; ces deux types d entreprises étant les plus nombreux dans la zone.

4 4 impact sur les pratiques comptables des entreprises de l UEMOA. L étude de Bigou-Laré (2001) donne les premiers éléments de réponse à cette interrogation. Elle avait tenté d évaluer les apports potentiels du changement de cadre comptable à la qualité de l information comptable et à l uniformisation des pratiques comptables. Après avoir étudié les pratiques comptables de 36 entreprises togolaises, l auteur conclut que ces entreprises disposent de systèmes d information comptable leur permettant de prendre des décisions opérationnelles et stratégiques. Les résultats de l étude confirment également que le SYSCOA contribue à améliorer la pertinence de l information comptable et à uniformiser les pratiques comptables. La présente recherche, consacrée à la pertinence de l information comptable, s interroge particulièrement sur les pratiques des entreprises sénégalaises en matière de production et d utilisation des données comptables non obligatoires et sur les facteurs qui les déterminent. Les données comptables sont ici appréhendées à partir de deux sous-systèmes : le soussystème de production de données et le sous-système d utilisation de ces données (Abdou et Dupuy, 1992). Les données sont les matières premières nécessaires à la production des informations qui apportent un message au destinataire. Toutes les données «ne sont pas utilisées et ne peuvent donc être considérées comme des informations (Malo, 1998 : 51). Les données comptables ne deviennent des informations que lorsqu elles sont utilisées pour la prise de décision des dirigeants. C est donc l utilisation effective des données comptables par les dirigeants qui permet de juger de la pertinence des informations (Chappelier, 1997). Dans le cadre de cette recherche, les données comptables sont définies comme des données à base comptable, historiques ou prévisionnelles, recouvrant à la fois la comptabilité générale, la comptabilité analytique, le système budgétaire et l analyse financière. Pour collecter les données nécessaires à cette recherche, une enquête auprès des entreprises implantées au Sénégal a été réalisée ; la méthodologie utilisée sera précisée avant la

5 5 présentation et l analyse des résultats. 2. Méthodologie L enquête de terrain a été réalisée de février à mars Les représentants d une centaine d entreprises, sélectionnées à partir du Répertoire de la Chambre de Commerce et d Industrie du Sénégal, ont été sollicités et invités, par téléphone, à prendre part à l enquête. Ces entreprises sont toutes implantées dans la région de Dakar, capitale du Sénégal où sont concentrées la plupart des entreprises du pays. Nous avons contacté seulement les entreprises ayant des systèmes de contrôle formalisés. Pour avoir les premières informations sur les entreprises, nous avons mis à contribution les stagiaires du Diplôme d Etudes Supérieures en Comptabilité et Gestion Financière (DESCOGEF) du cycle de l Expertise Comptable de l UEMOA qui sont essentiellement des Comptables en activité dans les entreprises ou cabinets d Expertise comptable de Dakar. 39 entreprises sur les 100 contactées (soit 39%) ont effectivement répondu. Ce taux nous semble satisfaisant dans le contexte de l étude. La collecte des données s est faite par entretien direct à partir d un questionnaire déposé auprès du Directeur Général de l entreprise quelques jours avant l entretien. Le questionnaire a été inspiré de celui de Chapellier (1997) portant sur les données comptables de gestion des petites et moyennes entreprises. Ce questionnaire est composé de quatre parties : - les informations générales sur l entreprise (âge, taille, secteur d activité, forme juridique, origine des capitaux, nationalité du principal dirigeant, etc.) ; - les caractéristiques des données comptables (comptabilité générale, comptabilité analytique, budgets, analyse de la rentabilité, analyse du risque de défaillance) à partir de la diversité et de la fréquence de la production ; - l utilisation des informations comptables à partir de la fréquence et de l intensité ; - les informations sur le répondant (fonction, âge, expérience, formation).

6 6 Les questions posées sont fermées pour la plupart; elles sont généralement posées sous forme d échelle d'intervalles. Il y a aussi quelques questions à choix multiple où le répondant peut choisir à la fois plusieurs réponses. D autres questions sont dichotomiques, c'est-à-dire qu il n y a que de deux réponses possibles exclusives, l'une de l'autre. Les données collectées ont été traitées à partir de logiciels d analyse des données (SPHINX et SPSS). Les personnes ayant répondu au questionnaire sont des dirigeants avec des fonctions de responsabilité. Ce sont essentiellement des Chefs Comptables et des Comptables (56%) et des Directeurs administratifs et/ou financiers (31%). Tableau 1 : les fonctions occupées par les répondants Fonctions Nombre Pourcentage Chefs Comptables et Comptables 22 56,41% Directeurs Administratifs et/ou Financiers 12 30,77% Directeurs Généraux et Gérant 3 7,70% Contrôleur de Gestion et Auditeur interne 2 5,12% Total % Ces répondants ont en moyenne une expérience de dix ans dans l entreprise et sept ans dans leur fonction. Ils ont tous reçu une formation en gestion de niveau supérieur. La taille des entreprises de l échantillon est mesurée à partir du capital, de l effectif et du chiffre d affaires. Pour chacun des trois indicateurs, deux groupes d entreprises ont été constitués : d une part les Petites et moyennes entreprises (PME) et d autre part les Grandes entreprises (GE).

7 7 Tableau 2 : distribution des entreprises selon la taille Capital Chiffre d affaires Effectif Taille 1 mio à 200 mio Plus de 200 mio Moins de 2000 mio 2000 mio et plus 15 à 50 pers Plus de 50 pers Nombre d entreprises Minimum mio mio 15 pers Maximum mio mio pers Moyenne mio mio 187 pers Ecart-type mio mio 441 pers - mio = Millions de F CFA ; - pers = Personnes. Il convient de préciser que seule une entreprise de l échantillon est cotée à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) de l UEMOA. Les entreprises composant l échantillon appartiennent respectivement à l industrie (36%), aux services (33%), au commerce (26%) et au bâtiment et travaux publics (BTP) (5%). Parmi les 39 entreprises étudiées, 24 (soit 62%) sont purement sénégalaises et 15 (soit 38%) sont des filiales d entreprises occidentales implantées au Sénégal. 3. Résultats Nous présenterons successivement les caractéristiques des données comptables disponibles, les modalités de leur utilisation et les facteurs qui les déterminent Les données comptables disponibles. Nous avons caractérisé les données comptables disponibles dans les entreprises de l échantillon à partir de deux dimensions principales : - la diversité des données, c est-à-dire le nombre d outils produits dans les entreprises et leur degré de détail ; - la fréquence de production, c est-à-dire le nombre de fois que ces données sont produites par an et le délai de leur production (jamais, ponctuel, année, semestre, trimestre, mois, semaine).

8 8 Rappelons que les données comptables sont relatives à la comptabilité générale, la comptabilité analytique, les budgets, l analyse de la rentabilité et l analyse du risque de défaillance. Les paragraphes suivants présentent les caractéristiques de chacune de ces données en fonction de ces dimensions LES DONNEES DE LA COMPTABILITE GENERALE : AU-DELA DES NORMES DU SYSCOA Toutes les entreprises enquêtées utilisent actuellement le SYSCOA et établissent des états financiers selon les normes de ce plan comptable. Le délai d établissement des états financiers se situe à moins de deux mois après la clôture de l exercice dans neuf entreprises (23%), entre deux et trois mois dans 18 entreprises (46%) et entre trois et quatre mois dans 12 (31%). Toutes les entreprises respectent donc le délai légal de publication des états financiers qui est fixé dans le pays au maximum à 4 mois après la clôture de l exercice. 30 entreprises sur 39 (77%) établissent des états financiers intermédiaires. Parmi ces entreprises, 13 les établissent à chaque mois, 9 à chaque trimestre, 5 à chaque semestre et 3 d une manière ponctuelle. Tableau 3 : distribution des entreprises selon la fréquence d établissement des états financiers intermédiaires Fréquence d établissement Mois Trimestre Semestre Ponctuellement Jamais Total Nombre d entreprises Pourcentage (sur 39 entreprises) 33,3% 23,1% 12,8% 7,7% 23,1% 100% Les états financiers intermédiaires sont complets et détaillés pour plus de 52% des 30 entreprises qui les établissent. La durée nécessaire à la production de ces états financiers est moins d un mois dans 18 entreprises, entre un et deux mois dans 6 autres. Au total, on peut affirmer que les données de la comptabilité générale vont au-delà de ce que

9 9 le SYSCOA recommande. En effet, les états financiers intermédiaires ne sont pas obligatoires pour les entreprises non cotées à la bourse 3. On peut donc dire que la comptabilité générale ne s arrête pas seulement aux documents légaux imposés par l administration fiscale comme le laisse penser la littérature sur le management africain LES DONNEES DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE : DES OUTILS ASSEZ CLASSIQUES 18 entreprises (soit 46%) ont un système de calcul de coûts ; plus de la moitié des entreprises de l échantillon (21, soit 54%) n ont pas mis en place cet outil d information interne. Les entreprises calculant des coûts disposent de systèmes qui peuvent être considérés comme assez détaillés car ils fournissent des informations sur les produits (14 entreprises sur 21) et sur les fonctions (11 entreprises sur 21). Le tableau 4 présente les types de coûts calculés par les entreprises de l échantillon. Tableau n 4 : types de coûts calculés Types de coûts Coût complet Coût direct Coût variable Coût marginal Nombre de citations Pourcentage (sur 39 entreprises) 30,76% 25,64% 12,82% 5,12% Comme on peut le constater, les coûts calculés sont assez classiques ; ce sont essentiellement les coûts complets et les coûts directs qui sont les plus rencontrés. Les données issues de la comptabilité analytique sont peu différenciées. Seules 5 entreprises calculent plus de 3 types de coûts à la fois. La fréquence de traitement des données relatives à la comptabilité analytique se fait par mois dans 6 entreprises, par trimestre dans 3 autres. Les autres le font soit par semestre (1), soit par an (3) ou ponctuellement (5). 3 Selon les dispositions de l OHADA, les entreprises cotées à la bourse doivent diffuser leurs résultats semestriels.

10 LES DONNEES DU SYSTEME BUDGETAIRE : DES OUTILS ASSEZ DIVERS 25 entreprises sur les 39 étudiées (64%) déclarent avoir un système budgétaire. Le tableau 5 présente les différents types de budgets établis par ces entreprises. Tableau 5: types de budgets établis Types de budgets Nombre d entreprises Pourcentage (sur 39 entreprises) Achats- Approvisionnements Production- Fabrication Ventes- Distribution Investissement- Projet Trésorerie ,97% 35,89% 53,84% 46,15% 17,94% Les entreprises élaborent une pluralité de budgets parmi lesquels ceux des approvisionnements, des ventes et des investissements sont les plus rencontrés. Le peu d intérêt accordé au budget de trésorerie est assez frappant. 19 entreprises sur 25 établissent plus de 3 types de budgets à la fois ; 18 élaborent un bilan et un compte de résultats prévisionnels. Le cadre budgétaire est ventilé par activité dans 13 entreprises et par service dans 12 autres. L horizon budgétaire est généralement annuel (68%). Il est parfois mensuel (16%) et exceptionnellement trimestriel (12%) ou semestriel (4%). Dans la plupart des cas, les budgets font l objet d un révision régulière (48%) ou exceptionnelle (28%) et dans 24% des cas ils ne sont pas révisés. 12 entreprises comparent les réalisations au budget tous les mois, 7 le font tous les trimestres, 5 à la fin de l année et une entreprise le fait seulement ponctuellement. 17 des 25 entreprises qui élaborent des budgets s adonnent à une analyse des écarts. Parmi elles, 12 en font une analyse complète. Au vu de ces résultats, on peut dire que les budgets élaborés couvrent presque tous les domaines de la gestion, font l objet de révision, sont comparés aux réalisations et les écarts sont ensuite analysés dans la plupart des cas.

11 LES DONNEES DE L ANALYSE DE LA RENTABILITE: LE SOUCI DE LA MAITRISE DES CHARGES FINANCIERES 31 entreprises (79%) établissent le tableau des soldes significatifs de gestion et 29 (74%) la capacité d autofinancement. Le tableau 6 présente les types de ratios de rentabilité calculés. Tableau 6: types de ratios de rentabilité calculés Types de ratios Nombre d entreprises Pourcentage (sur 39 entreprise) Achats sur chiffre d affaires Rentabilité de l activité Rentabilité des capitaux investis Productivité du personnel Poids des charges financières Productivité du matériel ,15% 48,71% 41,02% 33,33% 51,28% 30,76% Les ratios les plus calculés concernent le poids des charges financières, la rentabilité de l activité et le poids des achats sur le chiffre d affaires. Les entreprises produisent diverses données à la fois ; 13 sur 31 (soit 42%) établissent plus de 4 types de ratios pour analyser la rentabilité. La plupart des entreprises (26 sur 31 soit 83%) comparent la rentabilité «dans le temps», c est-à-dire qu elles analysent la rentabilité actuelle par rapport à celle du passé. Par contre, seules 7 sur 31 (soit 22 %) effectuent des comparaisons «dans l espace», rapprochant leur rentabilité à celle des autres entreprises. En réalité, il est difficile pour les entreprises de comparer leur rentabilité à celle des autres car ces informations ne leur sont pas accessibles à cause du non développement du marché financier et du manque de base de données financières. Parmi les 31 entreprises, l analyse de la rentabilité se fait d une manière globale dans 20 entreprises et/ou par activité dans 14. La fréquence d élaboration des données servant à l analyse de la rentabilité est mensuelle dans 7, trimestrielle dans 6, semestrielle dans 4, annuelle dans 5 entreprises et ponctuellement dans 9 autres. Beaucoup d entreprises n attendent donc pas la fin de l année avant de procéder à l analyse de la rentabilité.

12 LES DONNEES DE L ANALYSE DU RISQUE DE DEFAILLANCE : LA RECHERCHE DE L AUTONOMIE FINANCIERE ET DE LA SOLVABILITE 20 entreprises analysent le risque de défaillance à partir de plusieurs ratios. Le tableau 7 présente les différents types de ratios calculés par les entreprises pour mesurer le risque de défaillance. Tableau 7: types de ratios d analyse de risque de défaillance calculés Types de ratios Nombre d entreprises Pourcentage (sur 39 entreprises) Solvabilité Autonomie Evolution Rotation Rotation Rotation financière BFR stocks clients fournisseur ,58% 43,58% 30,76% 35,89% 38,46% 38,46% Tous les ratios servant à analyser le risque de défaillance sont calculés par moins de la moitié des entreprises. Les ratios les plus calculés sont ceux relatifs à la solvabilité et à l autonomie financière (44%). Les données de l analyse du risque de défaillance sont diverses car 11 entreprises en produisent plus de 4 à la fois. L élaboration de ces données se fait par mois (9), par trimestre (3), par semestre (1), par année (4) ou ponctuellement (3). Pour conclure sur la production des données, le tableau 8 synthétise la fréquence d établissement des différents types de données produites par les entreprises de l échantillon.

13 13 Tableau 8: fréquence de production des données comptables Données comptables Etats financiers Coûts Budgets Rentabilité Risque Nombre de citations* % de citations ** Fréquence de production Semaine (6) % Mois (5) % Trimestre (4) % Semestre (3) % Année (2) % Ponctuel (1) % Total entreprises produisant les données Jamais (0) % Fréquence totale (maxi : 6x39=234) % * Nombre de citations= somme des citations des cinq types de données; par exemple le mois a été cité 47 fois ( = 47). ** % de citations : Nombre de citations rapporté à 195 qui est le total des citations (5 types de données x 39 entreprises). Le mois (24%) constitue la fréquence de production la plus utilisée suivie du trimestre (14%), de l année (9%), du semestre (6%). Mais dans 11% des cas, les entreprises ne produisent des données comptables non obligatoires que ponctuellement et dans 36% des cas elles n en produisent jamais. Les données produites par un grand nombre d entreprises sont relatives à l analyse de la rentabilité (31 sur 39), à l établissement des états financiers intermédiaires (30 sur 39) et l élaboration de budgets (25 sur 39). Par contre, les données relatives à l analyse du risque (20 sur 39) et au calcul de coûts (18 sur 39) sont encore produites par peu d entreprises. En codant les degrés de fréquence (semaine=6, mois=5, trimestre=4, semestre=3, année=2, ponctuellement=1, jamais=0), les informations le plus fréquemment produites sont celles relatives aux états financiers (119 points sur 234), aux budgets (99 points sur 234) et à la rentabilité (90 points sur 234). Les données relatives aux coûts (56 points sur 234) et à l analyse du risque (71 points sur 234) sont les moins fréquemment produites.

14 14 Il reste maintenant à savoir ce qu il en est de l utilisation effective de ces données pour la prise de décision de gestion L utilisation de l information comptable pour la prise de décision L utilisation de l information comptable est analysée selon deux dimensions : - la fréquence d utilisation, c est-à-dire le nombre de fois que les données sont utilisées (jamais, ponctuellement, par an, par semestre, par trimestre, par mois, par semaine) ; - l intensité de l utilisation, c est-à-dire le degré d importance relative accordée à l information comptable dans la prise de décision (nulle, peu importante, moyennement importante, importante, très importante) LA FREQUENCE D UTILISATION DE L INFORMATION COMPTABLE Il a été demandé aux répondants d indiquer la fréquence avec laquelle leur entreprise utilise l information comptable (états financiers, calcul de coûts, budgets, analyse de la rentabilité et analyse du risque de défaillance) pour la prise de décision. Les réponses sont récapitulées dans le tableau 9.

15 15 Tableau 9: fréquence d utilisation de l information comptable Données comptables Fréquence d utilisation Etats financiers Coûts Budgets Rentabilité Risque Nombre de citations % de citations Semaine (6) % Mois (5) % Trimestre (4) % Semestre (3) % Année (2) % Ponctuel (1) % Total d'entreprises utilisant % les données Jamais (0) % Fréquence de production (maxi: 6x39= 234) % La périodicité d utilisation la plus fréquente est le mois (21%), suivie de l année (12%), le trimestre (9%), la semaine (7%), le semestre (3%) et ponctuellement (7%). Cela est à mettre en rapport avec les 41% de cas où les entreprises n utilisent jamais l information comptable pour la prise de décision. Les données utilisées par un grand nombre d entreprises sont fournies par les états financiers intermédiaires (30 sur 39, les ratios de rentabilité (24 sur 39) et les budgets (23 sur 39). Par contre, les données relatives à l analyse du risque (19 sur 39) et au calcul de coûts (18 sur 39) sont encore utilisées par peu d entreprises. En utilisant la même codification que pour la fréquence de production, les informations le plus fréquemment utilisées sont celles relatives aux états financiers (103 points sur 234), aux budgets (94 points sur 234) et à la rentabilité (86 points sur 234). Les données relatives aux coûts (75 points sur 234) et à l analyse du risque (70 points sur 234) sont le moins utilisées. En comparant la fréquence de production à celle d utilisation, on remarque que les données qui sont les plus fréquemment produites par les entreprises sont effectivement les plus utilisées ; ce qui est logique. Mais une analyse plus poussée montre que, excepté pour le calcul des coûts, la fréquence d utilisation des données comptables est légèrement inférieure à celle de leur production.

16 16 Graphique 1 : comparaison fréquence de production et fréquence d utilisation par type de donnée comptable Nombre de points (sur 195) Fréquence de production Fréquence d'utilisation 20 0 Etats financiers Coûts Budgets Rentabilité Risque Données comptables Nous nous attendons à ce que la fréquence d utilisation soit au moins égale à celle de production, car une donnée doit en principe être utilisée au moins une fois dans la période où elle est produite. Or, nous constatons par exemple que 13 entreprises établissent des états financiers mensuels alors que seules 10 déclarent les utiliser au moins une fois dans la même période. En outre, nous constatons que certaines entreprises, bien que calculant certaines données, ne les utilisent jamais pour la prise de décision. Cela veut dire que toutes les données qui sont produites ne sont pas systématiquement utilisées. C est le cas, par exemple, des données relatives à l analyse de la rentabilité qui sont produites par 31 entreprises, mais 24 entreprises déclarent les utiliser pour prendre des décisions. Donc les 7 autres, bien que produisant les données, ne les utilisent jamais. On peut donc dire que pour certaines entreprises, la production de l information comptable est simplement une affaire de mode car elle semble ne reposer sur aucun besoin d information pour la prise de décision. A moins que ce problème ne soit lié à l absence de coordination entre agents et/ou services.

17 L INTENSITE DE L UTILISATION DES INFORMATIONS COMPTABLES Au-delà de la fréquence d utilisation des différents types de données comptables, il serait intéressant de connaître d une part l importance relative accordée aux informations comptables, d une manière générale, dans la prise de décisions des entreprises et d autre part les types de décisions pour lesquels elles ont plus ou moins d importance. Pour cela, il a été demandé aux répondants d indiquer dans quelle mesure les données comptables sont utilisées pour prendre un certain nombre de décisions. Ils doivent noter de 1 (nulle) à 5 (très importante) chacune des 13 types de décisions suivant l importance accordée aux données comptables. Les réponses sont synthétisées dans le tableau 10.

18 18 Tableau 10: intensité d utilisation des informations comptables Connaître dettes fournisseurs, créances clients Connaître évolution trésorerie Nulle (1) Peu importante (2) Moyennement importante (3) Importante (4) Très importante (5) Total intensité (maxi : 5*39= 195) Connaître performance Fixer objectifs, mesures correctives Choisir un mode de financement Prévoir prix, marges Prévoir chiffre d affaires, résultats Gérer des emprunts en cours Connaître banquiers Choisir de maintien activité Connaître concurrents Choisir de moderniser production Choisir un nouvel investissement Gérer des placements financiers Total (citations) % citations 31% 14% 10% 15% 31% 100% On constate que dans 46 % des cas, l information comptable est jugée très importante (31%) ou importante (15%) dans la prise de décision. Mais dans 45% des cas, l information comptable n a aucune importance (31%) ou a peu d importance (14%) dans le processus de prise de décision et dans 10% des cas l importance est moyenne. Les décisions auxquelles les entreprises accordent plus d importance sont les décisions liées à la connaissance des dettes fournisseurs et des créances clients (160 points sur 194) et à l évolution de la trésorerie (155 points sur 194). Pourtant, beaucoup de ces entreprises ne disposent pas des outils adéquats permettant de bien maîtriser ces types de décisions. En effet, il a été constaté que seules 7 entreprises établissent un budget de trésorerie alors que 28 (soit 72%) déclarent qu elles accordent beaucoup d importance à l information comptable pour

19 19 suivre l évolution de leur trésorerie. Le même constat est fait au niveau des ratios de rotation des clients ou des fournisseurs qui sont très peu calculés. Les décisions pour lesquelles les informations comptables sont particulièrement d une importance mineure sont la gestion des placements financiers (78 points sur 195), le choix d investir dans une nouvelle activité (94 points sur 195) et la modernisation de la production (99 points sur 195). Cela est normal car ces types de décisions sont assez stratégiques et font appel à des informations qui ne sont pas en général fournies par la comptabilité. Après la présentation des pratiques de production et d utilisation des données comptables par les entreprises, il convient maintenant d analyser les facteurs qui les déterminent Les facteurs déterminant la production et l utilisation des données comptables Les facteurs de contingence qui influencent le plus les systèmes de gestion sont l âge, la taille, la technologie, l environnement, la culture et les relations de pouvoir [Minzberg, 1982]. Parmi l ensemble de ces facteurs, le contrôle exercé par la société mère étrangère et la taille nous semblent être les variables les plus pertinentes dans le contexte de l étude. Des tests de khi-deux et de comparaison de moyennes ont été effectués pour vérifier si ces deux facteurs déterminent la production et l utilisation des données comptables L INFLUENCE DES SOCIETES MERES OCCIDENTALES Pour apprécier l influence du contrôle exercé par les sociétés mères occidentales, nous avons distingué d une part les entreprises purement sénégalaises et d autre part les filiales d entreprises non africaines. Sont considérées comme entreprises sénégalaises celles dont les capitaux sont détenus à 100% par des Africains qui en assurent eux-mêmes la gestion. Les filiales étrangères sont celles implantées au Sénégal rentrant dans le périmètre de

20 20 consolidation 4 d une autre entreprise dont le siège social est à l extérieur de l Afrique (notamment en Occident). La comparaison entre les deux catégories d entreprises donne des résultats assez explicites. Graphique 2: degré de fréquence de production des données comptables selon la catégorie d entreprises Mois Jamais Etats financiers Coûts Budgets Rentabilité Risque Entreprises sénégalaises Entreprises étrangères Total Pour la production des données comptables, les filiales étrangères ne sont pas très différentes des entreprises sénégalaises. Statistiquement, les mêmes données sont disponibles dans les deux catégories d entreprises car les tests ne sont pas très significatifs. Mais on constate que la fréquence d élaboration des données est légèrement différente. En effet, les filiales étrangères ont tendance à produire plus fréquemment les données que les entreprises purement sénégalaises. Les écarts les plus importants se situent au niveau des données de l analyse du risque de défaillance (seuil de signification de khi-deux : 12%) et de la comparaison budget/réalisation (seuil de signification de khi-deux : 12%). 4 Selon le SYSCOA, rentre dans le périmètre de consolidation, l ensemble des entreprises qui subissent de la part d une autre un contrôle exclusif, un contrôle conjoint ou une influence notable ; ces trois types de contrôles sont explicités par le Plan Comptable Général des entreprises (p. 658).

21 21 Au niveau de l utilisation des données, on note d une manière générale, que les filiales étrangères utilisent plus les informations comptables que les entreprises sénégalaises. Tandis que ces dernières ne les emploient en moyenne qu une seule fois par an, les filiales étrangères le font tous les mois. C est ce que montre le graphique 3. Graphique 3: degré de fréquence d utilisation des informations comptables selon la catégorie d entreprises Semaine Jamais Etats financiers Couts Budgets Rentabilité Risque Entreprises sénégalaises Entreprises étrangères Total La différence est surtout significative au niveau de l utilisation des états financiers intermédiaires (seuil de signification de khi-deux : 0,2%) et des budgets (seuil de signification de khi-deux : 7%). Ces résultats sont certainement dus aux impératifs de reporting mensuel exigé des filiales par les sociétés mères L INFLUENCE DU CHIFFRE D AFFAIRES Le deuxième facteur qui influence statistiquement la production et l utilisation de l information comptable est le chiffre d affaires. En effet, les entreprises dont le chiffre d affaires est élevé utilisent plus les informations comptables pour la prise de décision, même

22 22 si elles ne disposent pas, significativement, de plus de données comptables que celles qui ont un faible chiffre d affaires. Le lien entre le chiffre d affaires et les systèmes d information comptable se justifie à notre avis par la relation constatée entre le chiffre d affaires et le contrôle exercé par une société mère occidentale comme le montre le tableau 13. Tableau 11 : distribution des entreprises selon la taille et la catégorie Capital Chiffre d affaires Effectif 1 mio à 200 mio Plus de 200 mio Moins de 2000 mio 2000 mio et plus 15 à 50 pers Plus de 50 pers Entreprises sénégalaises Entreprises étrangères Total Mio = Millions de F CFA ; Pers= Personnes. La dépendance est significative entre le chiffre d affaires et le contrôle externe (chi2 = 12,01, ddl = 5, seuil de signification : 3%). A capital social et à effectif égaux, les filiales étrangères ont généralement des chiffres d affaires plus élevés que ceux des entreprises purement sénégalaises. Le problème de productivité des entreprises africaines est ainsi posé. Les filiales étrangères semblent donc plus performantes que les sénégalaises en termes de chiffre d affaires. Les différences constatées ne sont liées ni à la nationalité du principal dirigeant, ni à la dépendance de l entreprise par rapport à une autre entreprise sénégalaise. En effet, le fait que le dirigeant soit sénégalais (africain) ou étranger, n a aucune influence sur la production et l utilisation de l information comptable. De même, les entreprises contrôlées par d autres entreprises africaines n ont pas de systèmes d information comptable différents de ceux des entreprises indépendantes. Donc c est plus le contrôle exercé par une société mère occidentale qui est le facteur principal qui détermine les systèmes d information comptable. Les filiales étrangères disposent d outils comptables plus formalisés et plus développés que les entreprises nationales. Lorsqu on a affaire à une filiale, le contrôle informel n est plus

23 23 pertinent compte tenu de la distance géographique et culturelle : «la surveillance directe devient difficile d un étage à l autre d un même bâtiment, et impossible lorsque l on est à 100 ou kilomètres ; même si les télécommunications modernes facilitent les relations, la distance culturelle subsiste» (Malo, 1998 :13). Les sociétés mères mettent en place des procédures budgétaires très lourdes et un système de reporting très complexe. Conclusion Cette recherche, en adoptant une méthode descriptive, a essayé de caractériser les systèmes d information comptable des entreprises sénégalaises. Les résultats montrent qu une partie non négligeable des entreprises de l échantillon disposent de données comptables de gestion. Parmi ces données, celles relatives à la comptabilité générale, aux budgets et à l analyse de la rentabilité sont les plus produites par les entreprises de l échantillon. La pratique des états financiers intermédiaires est assez courante et les budgets font souvent l objet de révision régulière en cours d année. Par contre, les données relatives à la comptabilité analytique et à l analyse du risque de défaillance sont encore peu produites. Au niveau de l utilisation, les résultats montrent que les informations comptables sont peu utilisées pour prendre des décisions. Certaines données, bien que produites régulièrement, ne sont pas suffisamment prises en compte lors de la prise de décision. Mais pour certaines décisions financières à court terme, le poids de l information comptable dans la prise de décision est assez important. Par contre, peu d importance est accordée à l information comptable dans les décisions stratégiques. Au regard de ces résultats, on peut dire que les entreprises de l échantillon produisent des données comptables non obligatoires pour la prise de décision depuis l adoption du SYSCOA mais leur l utilisation reste encore insuffisante. Il convient donc de relativiser l affirmation selon laquelle les entreprises africaines se basent que sur des informations informelles pour

24 24 prendre leurs décisions de gestion. Conformément à ce à quoi on peut s attendre, la taille de l entreprise et le contrôle exercé par les sociétés mères occidentales influencent les systèmes comptables adoptés. En effet, les grandes entreprises et les filiales des groupes occidentaux ont tendance à produire et à utiliser plus les données comptables que les entreprises purement africaines. Bibliographie ABDOU H et DUPUY Y, 1992, «Evolution des systèmes de production et système d information comptable», Actes du 13 ème congrès de l Association Françaises de Comptabilité. BAIDARI B, 1997, «Evaluation des performances des filiales africaines par les sociétés mères françaises», Les cahiers du CEREGE de l IAE de l Université de Poitiers, n 162, novembre. BIGOU-LARE N, 2001, «Le SYSCOA et la pertinence de l information comptable : une analyse de la pratique dans les entreprises togolaises», Actes du 22 ème Congrès de l Association Française de Comptabilité, Metz. BOURGOIN H, 1984, L Afrique malade du management, Editions Jean Pillollec. CAUSSE G, 1999, «Vingt ans de normalisation comptable et de PCG : son influence dans les pays d Afrique francophone», Comptabilité-Contrôle-Audit, mai. CHAPELLIER P, 1997, «Profils de dirigeants et données comptables de gestion en PME», Revue internationale de PME, vol 10, N 1. COLASSE B, 2000, «Cultures nationales et contrôle de gestion», Encyclopédie de comptabilité, contrôle de gestion et audit, Economica, Paris. GOUADAIN D, 2000, «Le SYSCOA, ce méconnu», Comptabilité-Contrôle-Audit, Tome 6, vol 1, mars.

25 25 ENGELHARD P, 1998, L Afrique miroir du monde? Plaidoyer pour une nouvelle économie, Editions Arléa. GERMAIN C, 2001, «Le pilotage de la performance dans les petites et moyennes entreprises : les résultats d une recherche empirique», Actes du 22 ème Congrès de l Association Française de Comptabilité, Metz. HENRY A, 1997, «Peut-on redresser une entreprise africaine en respectant la parole des ancêtres?», Gérer et Comprendre, n 50, 12, p HERNANDEZ E-M, 1994, «La Gestion financière de l entreprise informelle africaine: spécificités», Revue Française de Comptabilité, n 258, 07-08, p HERNANDEZ E-M, 2000, «Afrique : L actualité du modèle paternaliste», Revue Française de Gestion, mars-avril-mai. KAMDEM E, 1999, «Réflexions autour du paradoxe africain : Une perspective socioanthropologique et managériale», Gestion, Volume 24, N 1, printemps. MALO J-L et MATHE J-C, 1998, L essentiel du contrôle de gestion, Editions d Organisations. MEHLING J, 1991, «Doit-on et peut-on promouvoir les PME en Afrique?», Gestion 2000, n 2. MINTZBERG H, 1982, Structure et dynamique des organisations, Les éditions d Organisation. UEMOA, 1996, SYSCOA, Plan comptable général des entreprises, Foucher.

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