La vérité; le langage; la démonstration (la raison et le réel; le sujet).

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1 S U J E T La vérité dépend-elle de nous? C O R R I G É Éléments d analyse NOTIONS EN JEU La vérité; le langage; la démonstration (la raison et le réel; le sujet). REMARQUES ET DIFFICULTÉS m Le sujet du devoir interroge le rapport entre la vérité et la subjectivité, voire l intersubjectivité. En effet, «la vérité dépend de nous» signifie que la vérité est subjective, c est-à-dire produite par le sujet, l individu ou la personne qui pense et exprime cette vérité. Mais le «nous» peut aussi être collectif et ainsi désigner l entente entre plusieurs sujets, l accord des esprits.

2 m Il faut dans ce devoir s interroger sur la définition de la vérité (ce qu elle est), mais aussi sur ses critères (comment la reconnaître). L idée d une «vérité subjective» est étonnante car la vérité doit renvoyer à l objectivité, c est-à-dire à la nécessité et à l universalité. C est l existence d une vérité en soi qui est en jeu. m Le thème de la vérité est lié à celui du langage puisqu il s agit de savoir dans quelle mesure ce que l on dit renvoie exactement à la réalité et n est pas une production du sujet. PRÉSUPPOSÉ La vérité s inscrit dans une relation entre un objet et un sujet de la connaissance. DÉFINITIONS m La vérité désigne dans son sens le plus général le caractère des jugements (et des propositions qui les expriment) capables de fonder un accord entre les esprits. La vérité renvoie à des choses et à ce que l on en dit. Elle désigne ainsi ce qui est, soit un fait (synonyme de réalité), soit une proposition. m «Nous» renvoie au sujet de la connaissance, à l individu qui saisit ou énonce une vérité, mais il peut renvoyer aussi à un «nous» collectif et désigner par là l accord des esprits. m Dépendre établit une relation logique de cause à effet, et renvoie à l idée que le «nous» serait une condition de possibilité de la vérité. L idée de dépendance peut également, dans un sens moins immédiat, renvoyer à l idée d asservissement, d as-sujet-issement. PROBLÈME Ou bien la vérité dépend de nous, elle est subjective, mais alors «la» vérité n existe pas puisqu il y a autant de vérités que de sujets qui l énoncent. Ou bien la vérité est indépendante de nous, elle s impose à nous, mais alors comment la reconnaître? Comment garantir, et selon quels critères, l objectivité de ce qui se présente comme étant la vérité?

3 PLAN Introduction 1 Non, la vérité ne dépend pas de nous A - La vérité n est pas l opinion: réfutation du relativisme de Protagoras B - La vérité n est pas la connaissance: un exemple dans l histoire des sciences 2 Oui, la vérité dépend de nous A - La vérité dépend de la saisie d une chose par l intellect: une définition de la vérité B - La vérité dépend d un «nous» collectif, de l accord des esprits: conventionnalisme et pragmatisme 3 La vérité n est pas un absolu A - La vérité d un phénomène est saisie par la structure a priori du sujet B - La vérité comme valeur Conclusion Corrigé (corrigé complet) Introduction 1 «Cette phrase est fausse» est la formulation la plus simple du paradoxe du menteur. Ou bien la phrase est fausse, mais alors elle est vraie, ou bien elle est vraie, mais alors elle est fausse. Cet exemple souligne le décalage qu il peut y avoir entre un énoncé et la réalité à laquelle il renvoie. La vérité se présente ici comme ce qui est formulé par une personne dans une proposition. Ainsi la vérité dépend de nous. «La vérité dépend de nous» peut signifier tout d abord qu elle dépend de chaque sujet qui l énonce, qu elle est subjective. Or s il y a autant de vérités que d individus, la communication devient impossible car chacun soliloque avec ses affirmations et ses définitions, et la vérité en soi n existe plus. La vérité dépend-elle alors d un accord des esprits, d un «nous» collectif? 1. Les titres en gras servent à guider la lecture et ne doivent pas figurer sur la copie.

4 «La vérité dépend-elle de nous?» pose le problème de la subjectivité: dans quelle mesure la réalité perçue par un sujet n est-elle pas déformée par lui? Qu est-ce qui nous garantit que «la» vérité n est pas «notre» vérité? 1. Non, la vérité ne dépend pas de nous A. La vérité n est pas l opinion: réfutation du relativisme de Protagoras Si la vérité désigne ce à quoi l on donne son assentiment, alors elle dépend de chacun d entre nous. Affirmer que la vérité dépend de nous c est dire, pour reprendre le titre d une pièce de Pirandello, «chacun sa vérité». Une telle conception relativiste est défendue par le sophiste Protagoras dans le Théétète de Platon. «L homme est la mesure de toute chose» signifie qu il n y a pas de vérité absolue mais une multiplicité de points de vue qui varient en fonction des individus, mais aussi en fonction des époques, des lieux ou des états d âme d un même individu. La vérité ne serait donc qu un ensemble d opinions. Mais Socrate démontre l impossibilité logique d une telle idée: en affirmant «à chacun sa vérité», on prétend détenir une vérité et donc, soit c est vrai mais comme ce n est valable que pour celui qui le dit cela ne vaut rien, soit c est faux et donc il existe une vérité universelle. Le simple fait de se parler nécessite que l on désigne la même chose, que l on renvoie à une chose qui existe de manière permanente indépendamment de nous, une essence. De cette manière, il existerait une vérité en soi. B. La vérité n est pas la connaissance: un exemple dans l histoire des sciences Le relativisme confond vérité et opinion. Or, par définition, la vérité ne renvoie pas qu à un simple sentiment, mais à la conformité de l objet avec l idée que l on s en fait: la vérité est signe d objectivité. Elle se distingue de l opinion dans la mesure où la conformité a été justifiée, prouvée ou démontrée. La vérité doit être universelle (valable partout) et nécessaire (valable en tout temps). La science pourrait donc être le lieu privilégié de la vérité. Mais alors, comment comprendre par exemple que la lumière fut d abord expliquée par la théorie corpusculaire de Newton puis par la théorie ondulatoire de Fresnel, pour enfin être, aujourd hui, théorisée sous forme de quanta? L histoire de la connaissance, qui est aussi l histoire de ses erreurs, ne se confond pas avec l histoire de la vérité. En effet, une connaissance qui se trouve infirmée, contredite, n était pas en réalité une vérité, mais une erreur qui pendant un temps a donné l illusion d être une vérité.

5 Conclusion et transition La vérité ne peut pas dépendre de nous car elle ne se confond pas avec les opinions, ni avec l ensemble des connaissances. Elle doit être éternelle et universelle. Cependant, une opinion peut se révéler vraie une fois prouvée, mais ce sera alors un hasard. La vérité est recherchée et approchée à travers la connaissance scientifique, mais elle n est jamais définitivement trouvée. Ainsi la vérité se présente tout d abord comme une exigence, et en ce sens elle «nous» implique aussi. 2. Oui, la vérité dépend de nous A. La vérité dépend de la saisie d une chose par l intellect: une définition de la vérité L idée de conformité se trouve dans la définition classique de la vérité, énoncée par saint Thomas d Aquin comme «adéquation entre l intellect et la chose». La vérité naît d une rencontre entre la chose à connaître et l esprit qui la saisit. Mais comment savoir que cette rencontre est une coïncidence? Une démonstration mathématique est vraie parce qu il existe une certaine cohérence entre les propositions. La loi de la chute des corps est confirmée par l expérience. L affirmation «Je pense donc je suis» est saisie par Descartes grâce à une évidence intellectuelle. Ainsi la vérité peut être matérielle ou logique et les critères pour la reconnaître sont multiples (calcul, évidences sensible ou intellectuelle ). La vérité dépend de nous, de notre intellect, de nos méthodes employées pour l établir et de la nature de la chose elle-même (logique ou matérielle). B. La vérité dépend d un «nous» collectif, de l accord des esprits: conventionnalisme et pragmatisme La vérité se décline selon différents modes et différents critères. Établir une vérité fait donc l objet de méthodes variées. Que l on préfère telle ou telle théorie géométrique pour comprendre l espace (Euclide, Riemann ), telle ou telle conception de la lumière, la vérité désigne finalement le point d accord entre les esprits d une communauté de sujets. La vérité dépend d un «nous» collectif: elle représente alors pour la communauté scientifique un ensemble provisoire de conventions concernant la méthode, l objet d étude ou encore le modèle d explication. Mais ce conventionnalisme renvoie à une conception pragmatique de la vérité : entre deux systèmes d explication, on choisit le plus pratique, celui qui augmente l efficacité de l action (pour faire des prévisions, soigner, être le moins onéreux possible ).

6 Conclusion et transition Établir une vérité relève de différentes méthodes. La vérité dépend de nous personnellement car elle engage notre capacité à pénétrer le réel, mais aussi notre faculté de raisonner, de saisir une évidence. Mais entre différentes méthodes et différents critères la vérité se distingue comme ce qui fait finalement l accord des esprits. La vérité doit aussi dépendre d un «nous» collectif, garant de l intersubjectivité. Cependant, quand ce «nous» ne fait que poser des conventions, c est la valeur même de la vérité qui est remise en cause, puisqu elle n est plus une fin en soi. 3. La vérité n est pas un absolu A. La vérité d un phénomène est saisie par la structure a priori du sujet La vérité construite par le sujet ne se confond pas avec la réalité donnée. En effet, Kant explique dans la Critique de la raison pure que la vérité dépend de la structure a priori de l esprit humain. Une connaissance est une synthèse entre une intuition de la sensibilité et un concept de l entendement qui lui donne une forme. Toute donnée de l expérience est donc saisie par des formes a priori de la sensibilité (l espace et le temps) et des catégories de l entendement. De ce fait, ce qui est appréhendé par la raison n est pas la réalité indépendante du sujet, la chose en soi, mais la réalité en tant qu elle est saisie par l expérience qu en fait l esprit humain. La vérité qui dépend de notre structure ne saisit que les phénomènes des choses. La vérité n est plus un «en soi» connaissable. B. La vérité comme valeur La connaissance avec Kant ne porte plus sur la chose en soi, mais sur le phénomène, l objet en tant qu il est perçu par un sujet. Dès lors, on ne peut plus considérer la vérité comme un absolu à atteindre puisqu elle est relative au sujet de la connaissance. On peut préférer, à la vérité et à l effort de la raison, le plaisir, le pouvoir ou l action, comme le revendique Nietzsche. Mais la valeur de la vérité ne peut se prouver, elle ne peut se baser sur elle-même. La vérité est donc un choix. La vérité dépend de nous car elle relève ainsi de notre liberté et de la définition que l on donne à la dignité humaine. Conclusion Ainsi la vérité peut dépendre de nous sans se dénaturer, sans perdre son objectivité, dans la mesure où elle dépend de la structure a priori de tout sujet. Mais cette vérité n est plus un «en soi» connaissable.

7 En ce sens, on peut soutenir que «la vérité dépend de nous» est un relativisme mais ce relativisme n est pas sceptique comme celui de Protagoras, car la connaissance existe, même si ce n est que celle des phénomènes. N étant plus considérée comme un absolu à atteindre, la vérité dépend de la volonté du sujet d en faire ou non une exigence, de lui donner ou non une valeur. Conclusion La vérité ne dépend pas de nous dans la mesure où elle se distingue des opinions et de l histoire de la connaissance. Cependant, la vérité n est pas la simple réalité. Elle n est pas une donnée qui viendrait s imprimer fidèlement dans l esprit : il y a nécessairement un travail de traduction, de représentation et de formulation. Sans être le pur produit d une invention subjective, la vérité mêle à la fois la réception d une réalité et sa transformation. Si la vérité dépend de nous, ce n est pas dans le sens où elle serait la vérité de chacun, mais c est parce qu elle dépendrait de la structure de tout sujet intelligent et capable de représenter logiquement la réalité. La raison du sujet serait alors le garant de son universalité. Ouvertures LECTURES Emmanuel Kant, Critique de la raison pure, PUF, coll. «Quadrige». Friedrich Nietzsche, Par-delà le bien et le mal (I re partie), 10/18. Platon, Théétète, Flammarion, coll. «GF». Saint Thomas d Aquin, Somme théologique, Éditions du Cerf.

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