Stratégie pour une gestion intégrée des zones côtières du Ghana

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Stratégie pour une gestion intégrée des zones côtières du Ghana"

Transcription

1 No. 115 mai 1999 Objectif Stratégie pour une gestion intégrée des zones côtières du Ghana (traduit de l anglais) La dégradation environnementale dans les zones côtières a été identifiée comme une questionclé du Plan d action environnemental du Ghana. L objectif principal de l Initiative de la gestion intégrée des zones côtières (ICZM) assistée par la Banque mondiale, et qui fut lancée en 1995, était d identifier des interventions appropriées sur les plans économique, social et environnemental, et ainsi que des projets dans la zone côtière qui améliorent les perspectives du développement humain. Cadre général Alors qu ils représentent seulement 6,5% de la superficie terrestre du pays, les districts de la zone côtière du Ghana abritent 25% de la population totale du pays. La pauvreté dans les zones côtières est étendue. Les niveaux moyens du bien-être des paysans pratiquant l agriculture de subsistance dans les zones rurales côtières, suivant l estimation de l Evaluation de la pauvreté au Ghana, sont de 12% en-dessous de ceux enregistrés dans les grands centres urbains tel qu Accra. Des mauvaises conditions sanitaires, la pauvreté et la dégradation de l environnement contribuent à la continuité d un cercle vicieux qui freine le développement humain dans la région côtière. Les gouvernements, les agences internationales et la communauté de donateurs reconnaissent l Initiative de la gestion intégrée des zones côtières comme un processus par lequel, les écosystèmes et les ressources côtières peuvent être protégés, développés et gérés d'une façon durable. Pour qu elle réussisse, une ICZM efficace doit être basée sur une bonne connaissance de la complexité des rapports entre les ressources naturelles de la zone côtière, et la population qui en tire ses moyens de subsistance. De façon plus concrète, cette connaissance doit se référer à la façon dont les paramètres économiques, politiques, sociaux et techniques spécifiques lient, de façon réciproque, les écosystèmes de la zone côtière aux activités humaines spécifiques. Processus participatif L'Initiative a adopté une approche hautement participative dans l'identification des problèmes et des interventions. Des contributions ont été sollicitées auprès des parties prenantes aux niveaux

2 national, régional, local et de la communauté, dans une série d'ateliers régionaux dirigés sous les auspices de l'agence pour la protection de l'environnement du Ghana. Etabli sur des éléments fournis par les participants, un rapport préliminaire identifiant les priorités dans les zones côtières, ainsi que les interventions potentielles pour y répondre fut préparé. L'approche participative adoptée dans l'identification des problèmes et la planification fut enrichie en ajoutant une certaine rigueur d analyse pour essayer d'identifier les interventions moins coûteuses. Une simple analyse de prévisions de rentabilité fut utilisée pour identifier les interventions les moins coûteuses. Les résultats préliminaires ont été soumis pour discussion à une gamme de parties prenantes, notamment ceux du milieu local. Le rapport final contenant les commentaires des parties prenantes, fut diffusé par le Ministre de l'environnement, de la Science et la Technologie, lors de l atelier national organisé à Accra en juin Approche Analytique Le contexte analytique de base pour la réalisation de l'étude avait commencé en posant l hypothèse qu'on doit prêter attention aux conditions " sociales " et " naturelles " de la zone côtière. Le corollaire de ceci est que, les interventions pour améliorer ces conditions, vont s appuyer sur les institutions sociales et culturelles qui pourraient s avérer plus efficaces pour faire face à aux problèmes de la zone côtière. Des prévisions macro-économiques et démographiques spécifiques produites pour la zone côtière, étaient consistantes avec les prévisions macro-économiques (Ghana Vision 2020, Gouvernement du Ghana, 1995) et avec les plans de développement des districts. Les prévisions ont été désagrégées par secteur et localité, et aussi par la division entre l urbain et le rural pour développer des indicateurs simples. Des prévisions simples furent tirées des secteurs qui sont potentiellement d une très grande importance sur le plan de l environnement. Les problèmes prioritaires de l environnement dans la zone côtière qui affectent directement la santé humaine, la productivité économique, le bien-être social et la qualité de l environnement sont décrits en utilisant une présentation du Système d information géographique (SIG) de la «zone d impact» de la zone côtière. En utilisant les prévisions, la présentation Système d information géographique décrit l ampleur de la dégradation future à l an 2020, si les problèmes actuels ne sont pas résolus et les objectifs de croissances prévus sont réalisés. Résultats Principaux La persistance de la pauvreté et la présence des disparités des revenus dans une grande partie de la zone côtière ont des implications importantes sur la sécurité économique, sociale et environnementale du Ghana. La pauvreté et la dégradation de l environnement sont souvent caractérisées comme faisant partie d'un «cercle vicieux». Il est fort probable que dans la zone côtière du Ghana, les niveaux de pauvreté absolue et de pauvreté relative contribuent à la dégradation de l écosystème de la côte et qu en plus, sont aggravés par la dégradation maritime et de la côte. Alors que la croissance économique future pourra améliorer les perspectives économiques ainsi que les conditions sociales dans certains districts, les analyses et les projections de l étude montrent que les disparités de revenus persisteront, et que plus de la moitié des districts situés sur la côte auront des niveaux projetés

3 de revenu de moins de $300 par habitant à l an Dans beaucoup de districts de la côte au Ghana, la dégradation de l environnement a entravé les services environnementaux de base comme l'approvisionnement en eau et la productivité de la terre. Ceci cause en retour, un déclin des conditions de la santé et de la productivité naturelle de l'écosystème, la perte de nourritures de subsistance et des revenus bas. La pauvreté qui résulte des effets négatifs directs, a forcé la population à accorder une plus grande priorité à leurs besoins immédiats de subsistance. Les considérations de long terme comme la durabilité de la base des ressources deviennent moins importantes. Les résultats apparaissent dans la croissance des pratiques qui ne favorisent pas la durabilité des ressources naturelles locales tels que les mangroves, les terres humides, la pêche et l'approvisionnement en eau. La pauvreté et la dégradation de l environnement dans la zone côtière du Ghana, ont en plus été aggravées à cause de la disponibilité limitée des terres et de l'eau à la marge côtière. La dégradation de l environnement dans son ensemble, mesurée en assignant des mesures égales à la dégradation de toutes les ressources naturelles et de l environnement montre que les «points chauds» de l environnement apparaissent dans un certain nombre de localités. Le Delta de la Volta, les zones urbaines et peri-urbaines autour d'accra, les zones urbaines autour de Cape Coast et les zones à l extrême-ouest de la région occidentale sont toutes les zones prioritaires. Sur le plan régional, les priorités de l environnement sont présentées au tableau 1. Plusieurs problèmes écologiques sont étroitement liés aux plus grandes préoccupations de développement tels que des implantation désordonnée de constructions résidentielles, le surpeuplement, ou l'utilisation non planifiée des ressources pour des activités économiques. Deux indicateurs s incorporent dans ces préoccupations ; il s agit de la densité de la population et de l intensité d utilisation générale des ressources. Ces deux indicateurs constituent des mesures directes des impacts humains sur les conditions de l environnement. Vers une stratégie de l Initiative pour des améliorations dans la zone côtière Pour faire face aux priorités côtières du Ghana, une approche concentrée dans plusieurs domaines est indispensable. Des interventions sont nécessaires au niveau national, régional et aussi bien au niveau local. Des interventions ciblées vont s attaquer à des problèmes spécifiques et des interventions institutionnelles viseront l amélioration de l'efficacité globale de l ensemble des interventions de l Initiative en permettant de mettre en place un contexte

4 institutionnel qui facilite l exécution du projet ou la disposition des moyens pour minimiser les doubles-emplois ou les conflits. Différentes catégories d interventions sont identifiées pour les 5 zones prioritaires dans l'étude ; il s agit de l hygiène domestique, la dégradation de la pêche, des zones humides et des mangroves, de la pollution industrielle de l'eau, et l érosion. Les interventions comprennent : (a) des investissements directs pouvant comprendre le financement en capital ou le fonds de roulement pour la construction, des améliorations technologiques dont une technologie appropriée répondant aux nécessités des situations de petite échelle ; (b) des incitations économiques ou réglementaires sous forme d'impôts, des subventions, de frais, de permis pour améliorer l'efficacité économique de la gestion des ressources marines et côtières ; (c) des initiatives pour accroître les connaissances et la conscience des décideurs ou des utilisateurs des ressources, en vue d'améliorer la gestion des ressources côtières ; et (d) des réformes institutionnelles ou une politique pour corriger les distorsions ou les disfonctionnements du marché existants qui aggravent des problèmes écologiques. Le résumé de chaque mesure identifiée comprend les types d information suivants : (i) l appellation et le type de l'intervention ; (ii) la concentration géographique (s il y en a) ; (iii) un résumé des coûts de l'intervention en termes de sa valeur actuelle nette (VAN) et la durée typique du projet ; (iv) les avantages anticipés de l'intervention en termes de population touchée et de critères «d'impact» utilisés dans les profils des districts pour indiquer les diverses priorités ; (v) une évaluation de l efficacité du coût de l'intervention ; et (vi) d'autres informations relatives aux risques de l'intervention, aux initiatives ou des politiques institutionnelles complémentaires proposées pour atténuer les risques ou améliorer l efficacité des coûts, ou d'autres observations.

5 Pour chaque intervention identifiée, un indice d efficacité de coût est calculé sur la base d un éventail d effets que l'intervention concernée pourrait avoir. La méthodologie utilisée pour l'analyse des coûts et bénéfices est l analyse basée sur plusieurs critères (MCM), considérée comme la plus appropriée, à cause de la non-disponibilité des données pour effectuer les calculs basés sur les fonctions de dommage de chaque type d'impact. L'indice fournit un coût standard pour les interventions en termes d'impact sur une population de et calcule ensuite l'efficacité des dépenses, en se basant sur l'impact normalisé en prenant en compte les six critères d'évaluation suivantes : (i) réduction de l'ampleur du problème ; (ii) santé améliorée de l écosystème ; (iii) santé humaine améliorée ; (iv) risque réduit d'extinctions ; (v) incidence réduite des substances toxiques et dangereuses ; et (vi) efficacité économique améliorée. Pour de plus amples informations sur cette Initiative, prière de contacter Indu Hewawasam, Spécialiste de l environnement, Bureau J 3-097, Groupe Environnement, Région Afrique, Banque mondiale, IHewawasam@worldbank.org.

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP

Plus en détail

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement

Plus en détail

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces ATELIER INFRAREGIONAL POUR LA REGION DE L AFRIQUE DE L OUEST SUBSAHARIENNE SUR L ÉVALUATION ET LES MESURES INCITATIVES Ouagadougou, Burkina Faso, 14 17 Mai 2013 COMPTABILITÉ DE L ENVIRONNEMENT ET DES ÉCOSYSTÈMES

Plus en détail

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin

Plus en détail

ETUDE DE FINANCEMENT

ETUDE DE FINANCEMENT 9B RUE EDOUARD RMEE, 95640 MARINES ETUDE DE FINANCEMENT 09/06/2015 VOTRE CONSEILLER EMPRUNTIS L'AGENCE Pontoise 1 rue Carnot 95300 PONTOISE Tél. 01.30.17.41.39 EMPRUNTIS L'AGENCE Pontoise Tél. 01.30.17.41.39

Plus en détail

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec Introduction L'un des principes directeurs de la politique

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2 Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

Ce rapport se base sur les informations datant de février 2002, date où l étude a été effectuée.

Ce rapport se base sur les informations datant de février 2002, date où l étude a été effectuée. La monnaie utilisée au Sénégal est le franc CFA (FCFA : Communauté Financière Africaine). Le taux du franc CFA par rapport au yen, en date du 1er janvier 2003, est de 0,19 yens/ 1FCFA (d après le taux

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

Micro-irrigation à Madagascar

Micro-irrigation à Madagascar P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Interne Forces Faiblesses Externe Opportunités Menaces

Interne Forces Faiblesses Externe Opportunités Menaces L ANALYSE SWOT 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L'analyse SWOT (Strengths Weaknesses Opportunities Threats) ou AFOM (Atouts Faibses Opportunités Menaces) est un outil d'analyse stratégique.

Plus en détail

Epargne longue : la nouvelle donne

Epargne longue : la nouvelle donne Epargne longue : la nouvelle donne Septembre 2008 Etude disponible le 1 er septembre 2008 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité, taille et segmentation du marché, etc.-

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

AVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT)

AVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT) CRPMPPP110017 B0 CONFERENCE DES REGIONS PERIPHERIQUES MARITIMES D EUROPE CONFERENCE OF PERIPHERAL MARITIME REGIONS OF EUROPE 6, rue Saint-Martin 35700 RENNES - F Tel. : + 33 (0)2 99 35 40 50 - Fax : +

Plus en détail

MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE.

MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE. MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE. Les projets de coopération font partie intégrante de la politique de cohésion européenne; exigence d analyse des enjeux de la future période; MAREMED s inscrit dans

Plus en détail

14 ème École d été en évaluation environnementale

14 ème École d été en évaluation environnementale 14 ème École d été en évaluation environnementale Rappel sur les études d impacts sur l environnement: processus type et étapes de l évaluation des impacts Jean-Philippe Waaub GEIGER, Géographie, UQAM

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur

Plus en détail

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol. PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de dév...

Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de dév... 1 sur 5 25/10/2007 4:04 Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de développement durable. Bruno Kestemont Mémoire de DEA Version révisée, 2004 IGEAT-ULB Sous la direction du Prof

Plus en détail

CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO

CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO ET L UICN, UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE ET DE SES RESSOURCES EN PRESENCE DE L INSTITUT OCEANOGRAPHIQUE,

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles

Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles Cas pratique CADASTRE DES OBSTACLES SUR LE RESEAU DE MOBILITÉ DOUCE La population fait la chasse aux obstacles 10.10.2005 Soutenu par: Mobilservice PRATIQUE c/o beco Economie bernoise Protection contre

Plus en détail

Les instruments économiques de protection de l environnement. Prof. Bruno Deffains, bruno.deffains@u-paris2.fr. Sorbonne Université

Les instruments économiques de protection de l environnement. Prof. Bruno Deffains, bruno.deffains@u-paris2.fr. Sorbonne Université Les instruments économiques de protection de l environnement Prof. Bruno Deffains, bruno.deffains@u-paris2.fr Sorbonne Université 1. Introduction 2 «Command and control» Cette approche s appuie sur des

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

S.A.E.I.F - Bureau d Études

S.A.E.I.F - Bureau d Études La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études

Plus en détail

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive

Plus en détail

Pourquoi l'écologie industrielle?

Pourquoi l'écologie industrielle? Pourquoi l'écologie industrielle? La société actuelle est basée sur une économie de type linéaire, c est-à-dire que nous consommons à outrance des ressources, que nous considérons comme illimitées, mais

Plus en détail

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I. Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure

Plus en détail

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 VERSION FINALE Centre de Coopération pour la Méditerranée de l UICN Septembre 2012 2 Sommaire Liste d acronymes... 3 Avant-propos... 4 Introduction... 5

Plus en détail

CERTIFICATION CERTIPHYTO

CERTIFICATION CERTIPHYTO CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation

Plus en détail

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre

Plus en détail

Plan de formation Personnel de l UCE

Plan de formation Personnel de l UCE Plan de formation Personnel de l UCE Juin 2015 Sommaire Contexte Termes de référence du consultant Environnementales et Sociales Termes de référence pour l archivage électronique des documents Proposition

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY

POUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A

Plus en détail

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

Vers le SIG Collaboratif. Nouveaux concepts Nouveaux services

Vers le SIG Collaboratif. Nouveaux concepts Nouveaux services Vers le SIG Collaboratif Nouveaux concepts Nouveaux services Petit état de l art : Les premières cartes mises sur Internet n étaient uniquement que la «reproduction» à l écran de cartes papier. Ensuite

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST

INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST 4 INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST Cette partie du rapport procède à une brève analyse d'une autre opportunité manquée d'accroître la base fiscale dans l'espace CEDEAO : les avantages fiscaux.

Plus en détail

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées

Plus en détail

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences

Plus en détail

DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES

DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Préambule: DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) est au sein des Nations Unies l organisation qui, au niveau mondial, est chargée

Plus en détail

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3

Plus en détail

Master - Mention histoire et territoires - Dynamique et géographie des territoires (DYGITER)

Master - Mention histoire et territoires - Dynamique et géographie des territoires (DYGITER) Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 04/09/2015. Fiche formation Master - Mention histoire et territoires - Spécialité dynamique et géographie des territoires (DYGITER) -

Plus en détail

Première installation : comment réussir en temps de crise?

Première installation : comment réussir en temps de crise? FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique

Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches

Plus en détail

Guide méthodologique

Guide méthodologique Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e

Plus en détail

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

PROPOSITION DE PROJET PMF/FEM CANEVAS ET LIGNES DIRECTRICES TOGO

PROPOSITION DE PROJET PMF/FEM CANEVAS ET LIGNES DIRECTRICES TOGO PROPOSITION DE PROJET PMF/FEM CANEVAS ET LIGNES DIRECTRICES TOGO 2014 COORDINATION NATIONALE DU PMF/FEM 94, rue Agbata B.P. 911 Lomé TOGO Tél. : 2233 49 87 / 2221 69 36 Télécopie : 2221 16 41 Email : eli.atri@undp.org

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés

Plus en détail

Reforme de la Fiscalité Environnementale

Reforme de la Fiscalité Environnementale Reforme de la Fiscalité Environnementale Une formation axée sur la pratique pour les décideurs? Responsables de l'administration, des conseillers et des représentants des ONG Page 1 Reforme de la Fiscalité

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

Extension de la protection sociale

Extension de la protection sociale Symposium sur la Protection sociale en Afrique Abidjan, Côte d Ivoire 24-27- juin 2015 Extension de la protection sociale Alejandro Bonilla García bonilla@actuarial-i.com Elaboration et adoption de la

Plus en détail

Autoconsommation d énergie photovoltaïque

Autoconsommation d énergie photovoltaïque Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL

Plus en détail

Esri Location Analytics pour. la Banque. Etude de cas

Esri Location Analytics pour. la Banque. Etude de cas Esri Location Analytics pour la Banque Etude de cas Améliorer la performance de la banque grâce à Esri Location Analytics Ce cas pratique détaille l intérêt de l usage de la location analytics (l analyse

Plus en détail

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre?

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre? Secrétariat du Grand Conseil QUE 115-A Date de dépôt : 2 octobre 2013 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

ATELIER REGIONAL DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE CENTRALE. Yaoundé - CAMEROUN 22-24 Juillet 2014!

ATELIER REGIONAL DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE CENTRALE. Yaoundé - CAMEROUN 22-24 Juillet 2014! ATELIER REGIONAL DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE CENTRALE Yaoundé - CAMEROUN 22-24 Juillet 2014 Session 3.2 : Les financements CLIMATIQUES Lier l atténuation des effets des Changements Climatiques à la

Plus en détail

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Le Plan Départemental de l Eau

Le Plan Départemental de l Eau de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages

Plus en détail

Programme de Travail sur les Aires Protégées

Programme de Travail sur les Aires Protégées PROGRAMMES DE TRAVAIL DE LA CDB Programme de Travail sur les Aires Protégées Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique Programme de Travail sur les Aires Protégées Secrétariat de la Convention

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français

Plus en détail

Le marketing stratégique

Le marketing stratégique Chapitre2 Le marketing stratégique I. La démarche stratégique La démarche marketing comporte trois phases : analyse, planification et mise en œuvre. II. Le diagnostic stratégique Le diagnostic stratégique

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES

TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail