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1 Prévention de l abus de drogue SM A2 INSP 2004 Journée nationale sur la lutte contre les drogues et les toxicomanies Oran le Atelier Place de la prévention dans la lutte contre la Drogue et les toxicomanies Synthèse des travaux Dr Achour AIT MOHAND Psychiatre Contact Dr Achour AIT MOHAND Institut National de Santé Publique 04, chemin El Bakr, El Biar, Alger Tél.: : Fax : Mail : aaitmohand@sante.dz

2 Introduction L atelier «place de la prévention dans la lutte contre la drogue et la toxicomanie» 1 fait partie du programme de la journée d étude nationale sur la lutte contre la drogue et les toxicomanies ; organisée conjointement par le Comité National de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie, la Direction de la Prévention du MSP RH 2 et la DSP RH 3 d Oran le 22 juin 2000 à l occasion de la célébration de la Journée Mondiale de lutte contre les drogues et les toxicomanies. Les travaux ont eu lieu à l ITSP d Oran et ont regroupé un public nombreux de praticiens, journalistes et intervenants associatifs. Les travaux de l atelier ont été animés par le Dr Achour Ait Mohand, psychiatre à l Institut National de Santé Publique et le Dr GUETARNI, épidémiologiste au Secteur sanitaire d Oran. Mme NADJI, psychologue clinicienne au CHU d Oran était rapporteur du groupe de travail lors de la plénière de cette journée d étude. Composition de l atelier L atelier était composé de professionnels issus de plusieurs disciplines et secteurs d activité : Médecins et psychologues exerçant en milieu scolaire, psychiatres, psychologues cliniciens, assistantes sociales, enseignants, responsables de programmes de santé, chefs de service hospitaliers ; issus des secteurs de l Education Nationale, la Protection Sociale, la Santé et Population ; intervenants associatifs. Cette composante a facilité l abord du thème de l atelier et permis des discussions très riches du fait de l intérêt porté à ce sujet par les intervenants et la diversité de leurs expériences. «L orientation» des discussions sur la prévention en milieu scolaire, durant les travaux, s explique en partie à cause de la prédominance des intervenants exerçant en milieu scolaire parmi les participants à l atelier. Objectifs de l atelier - Situer la place de la prévention dans la lutte contre les drogues et les toxicomanies - Identifier les populations cibles - Définir les contenus généraux des messages de prévention La consommation de drogue et les toxicomanies La consommation des drogues et les toxicomanies ont été jugées par l ensemble des participants comme étant un phénomène en extension en Algérie. Son développement et son ampleur ont été abordés comme : - un problème de santé publique dont la lutte doit impliquer plusieurs secteurs d activité ainsi que plusieurs catégories professionnelles et dont la prévention doit prendre une place importante dans la lutte contre ce phénomène - un indice d une société en pleine mutation (s) et vivant des crises multiples depuis plusieurs années sur le plan économique, sociale, politique, etc. - un problème civilisationnel intéressant plusieurs régions dans le monde. 1 Ce texte est publié dans la revue «Pratiques Psychologiques» INSP éd - N / Ministère de la Santé de la Population et de la Réforme Hospitalière 3 Direction de la Santé de la Population et de la Réforme Hospitalière 2

3 Le programme de lutte Tout projet de programme de lutte doit : - situer l ampleur du phénomène, - identifier les zones les plus touchées où l intervention est prioritaire, - identifier les facteurs de risques entrant en jeu, - recenser les secteurs d activité concernés par la lutte, - définir un cadre de coordination des actions. Le milieu scolaire, du fait des potentialités d intervention qu il offre, peut constituer un lieu privilégié pour prévenir ce phénomène. La prévention en milieu scolaire Les recommandations suivantes ont été émises par le groupe : - Le milieu scolaire offre l avantage d abriter une population cible importante - L école, en plus d être un lieu d intervention peut constituer également un lieu d observation de l évolution du phénomène : existe-t-il une consommation de drogues en milieu scolaire? ; Quels sont les produits consommés? ; Existe-t-il une vente éventuelle de produits et leur nature? ; Ce phénomène est t-il associé à des situations de violence et d insécurité dans et autour des établissements? ; etc. Les indices recueillis peuvent constituer des facteurs qui vont renseigner sur l évolution et la gravité du phénomène de la consommation des drogues en général et en milieu scolaire et chez les plus jeunes en particulier : "Un enfant qui consomme de la drogue est un «clignotant» à prendre en considération très vite." - L enfant passe un temps important avec les enseignants. Ceux-ci possèdent, du fait de leur profession, des capacités pédagogiques et des connaissances sur l enfant qui peuvent être utilisées pour transmettre des messages de prévention. D où la nécessité d initier les enseignants aux questions telles la prévention de la consommation de drogue, la santé et la protection de l environnement, l animation de groupes et des éléments de psychologie de l enfant et de l adolescent. Les médecins et psychologues exerçant dans le dispositif de la santé scolaire peuvent être des animateurs de ce type d initiation et coordonner les différentes actions avec les professionnels de l éducation. - Les actions prévention doivent également concerner et associer les parents d élèves. En effet beaucoup de parents n ont pas de connaissances ou bien celles ci sont insuffisantes sur les drogues, leurs effets sur la santé, les conduites toxicomaniaques ainsi que les risques qu encourent leurs enfants en consommant des drogues. Des actions d information et de sensibilisation doivent régulièrement leur être destinées. L association des parents d élèves peut être dans ce cas un partenaire et un cadre d organisation d actions de prévention avec les personnels de santé scolaire ou bien en partenariat avec d autres associations intervenant dans la lutte contre les drogues et toxicomanies. - Les actions de prévention destinées aux élèves doivent être intégrées au programme des actions de prévention et de sensibilisation sur la protection de l environnement du fait du lien qui existe entre ces sujets. Elles doivent insister sur les dangers des drogues sur la santé, l environnement et la société et «apprendre à l élève à dire non à la drogue» et lui permettre donc de faire des choix, en connaissance de cause, face à toutes les sollicitations qui peuvent émaner de son entourage. 3

4 - L approche et le type d intervention diffèrent selon l âge et le stade de développement psychologique de l enfant. Certains participants ont proposé de donner très tôt l information à l enfant car, dans leur pratique, ils signalent de plus en plus que l âge de la première consommation de drogue ne cesse de baisser. Certains participants ont signalé des consommateurs qui ont un âge de 7 et 8 ans. Cependant le consensus a été établi dans le groupe que le meilleur moment pour donner une information objective à l enfant correspond à la période de latence du développement psychologique qui se situe autour de l âge de 8 à 12 ans. En effet, à cet âge l enfant est en phase d éveil et montre un intérêt accru pour les sujets scientifiques et à la découverte. C est aussi une période «relativement calme» en ce qui concerne les «transformations pulsionnelles» comparativement à l adolescence où souvent ces transformations sont accompagnées de malaise (s) et de questionnements divers. - Les adolescents, peuvent eux-mêmes sensibiliser leurs pairs. Les clubs de santé, au niveau des écoles, peuvent abriter et développer cette activité. - Un débat a eu lieu sur le rôle de l enseignant quant au «signalement» des élèves consommateurs à l administration, aux parents et aux intervenant de santé scolaire. Les avis étaient partagés sur ce «rôle», que certains ont qualifié de «dépistage». Autant de nombreux participants ont été d accord pour la liaison avec l équipe de santé scolaire dans les mêmes termes et conditions que pour toute autre démarche liée aux autres problèmes de santé, particulièrement la garantie de la confidentialité, autant d autres ont prôné la prudence dans les autres démarches, notamment celle concernant les parents qui doit être entreprise par un professionnel dans le but d amorcer un dialogue et une éventuelle prise en charge de l élève. - Certains participants ont fait remarquer que le dépistage au lieu de concerner seulement «les élèves consommateurs de drogues», doit aussi être orienté vers le dépistage d élèves vivant des situations difficiles et qui représentent des enfants à risque : enfants vivant des situations familiales difficiles, enfants dont les parents sont séparés ou divorcés, enfants passant la majorité de leur temps dans la rue, etc. ces enfants nécessitent toute l attention de l équipe éducative en terme de soutien dans leurs activités scolaires ou d orientation en cas de besoin vers l équipe de santé scolaire ou autre professionnel. Autres lieux d intervention identifiés Les autres lieux identifiés à cibler par les actions de prévention sont : - le milieu universitaire ; - les lieux de vie et de regroupement des jeunes : Quartiers, maisons de jeunes, mosquées, centre de formation professionnelle, etc. ; ces lieux permettant de cibler les adolescents et les jeunes non scolarisés ; - le milieu professionnel par l intermédiaire de la médecine du travail - le milieu pénitentiaire. 4

5 L action d information sur les drogues L information sur les drogues et les toxicomanies doit tenir compte des éléments suivants : - elle doit être régulière et donnée par des «adultes» qui donnent eux-mêmes l exemple - elle doit éviter la stigmatisation : Il y a une différence entre un jeune qui prend «un joint» à but de «découverte de soi» et une consommation régulière avec recherche continuelle de plaisir que par la drogue et diversification de produits ; - elle doit éviter les propos moralisateurs ; - elle doit éviter la mystification de la drogue. Les participants ont insisté sur le rôle que peuvent jouer les médias concernant ces points. Il est important que les personnels chargés de donner l information aient eux-mêmes une information et formation suffisante concernant les produits et leurs effets, une formation en animation des groupes et des éléments de psychologie de l enfant et l adolescent. L ensemble des participants a signalé la nécessité de re dynamiser certains outils et structures existant actuellement dans le but de renforcer la prévention en milieux de jeunes. C est le cas des lignes vertes 116 et 115, des cellules d écoute et de prévention se trouvant au niveau des CIAJ et des maisons de jeunes. La prévention chez les toxicomanes La prévention doit aussi concerner les toxicomanes par des mesures visant : - l augmentation de la possibilité d accès à des soins spécifiques : cures de désintoxication, consultation spécialisées, etc. ; - l intégration et l insertion sociale et socioprofessionnelle de ceux qui ont accepté de se faire soigner ; - des mesures visant à diminuer les risques de morbidité (Infection au VIH, hépatites, etc.). Autres mesures - Les participants ont signalé le cas des prescriptions abusives de certains médicament, notamment les benzodiazépines et au cours de ces dernières années certains antalgiques centraux (Temgesic). Des mesures de lutte doivent également être engagées par une réglementation de leur prescription et la sensibilisation et la formation des prescripteurs. - Les mesures préventives de sensibilisation et d information doivent aussi s accompagner par des mesures sévères de répression du trafic de drogue et une surveillance des frontières à haut risque. Synthèse : Dr Achour AIT MOHAND, Psychiatre, INSP, Alger ; Membre du Comité National de Lutte Contre la Drogue et la Toxicomanie. Animateurs : Dr Achour AIT MOHAND, Psychiatre, INSP, Alger. Dr GUETARNI, épidémiologiste au Secteur sanitaire d Oran. Rapporteur : Mme NADJI, psychologue clinicienne au CHU d Oran. 5

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