Comment améliorer l analgésie postopératoire en Algérie? CHERFI Lyes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comment améliorer l analgésie postopératoire en Algérie? CHERFI Lyes"

Transcription

1 Comment améliorer l analgésie postopératoire en Algérie? CHERFI Lyes

2 Petite Histoire Mr B. S, âgé de 73 ans, Tabagique, DNID sous Metformine, avec une légère néphropathie diabétique, Stent coronarien,lopressor et aspegic Opéré s/ag pour gastrectomie (Kc), par laparotomie xypho-sous-ombilicale J1, visite du chirurgien-chef, fraichement débarqué d un stage à l étranger

3 J 1 J ai très mal docteur Comment allez vous aujourd hui?

4 J 1 J ai très mal docteur Comment allez vous aujourd hui?

5 J 1 J ai très mal docteur Alors, Mr l A-R, on laisse les malades souffrir?

6 J 1 Ailleurs c est point douleur J ai très mal docteur Alors, Mr l A-R, on laisse les malades souffrir?

7 J 1 J ai très mal docteur Alors, comment allez vous aujourd hui? Il est fort

8 J 1 Peut être, ne le saviez vous pas? L analgésie favorise la réhabilitation précoce

9 J 1 AMELIOREE

10 J 1 AMELIOREE Commencer par lui ôter tous vos tuyaux

11 J 1 AMELIOREE Commencer par lui ôter tous vos tuyaux

12 J 1 Votre Fiche thérapeutique est vide Je vous ai ramené un modèle de Vos collègues La bas

13

14 Gabapentinoides Gabapentinoides

15 Gabapentinoides Gabapentinoides

16 Période pré-opératoire Concept d Analgésie préventive Eviter la sensibilisation centrale du système nerveux Administration en pré- et en postopératoire (les mécanismes impliqués perdurent en postopératoire) Comment? Limitation des traumatismes chirurgicaux (mini-invasive) Lutte contre les phénomènes d hyperalgésie - Gestion peropératoire des opioïdes - Observer une stratégie antihyperalgésique Anticiper l analgésie postopératoire???

17 Stratégie antihyperalgésique Les Gabapentinoides,per os en prémédication (1) Action antihyperalgésique Baisse des besoins en opioides Diminuent le risque de sensibilisation centrale 1 Hurley, Reg Anesth Pain Med 2006

18 Mais pas que Les Gabapentinoides La Kétamine: Antagoniste des récepteurs NMDA (12) Baisse de l hyperalgésie péricicatricielle Baisse de la consommation morphine (synergie) Diminue les DCPC Les AL, Action anti-inflammatoire, analgésique et antihyperalgésique (34) Voie d administration: Locorégionale IV (alternative) Etc Nefopam, Sulfate de Mgnésium (faible niveau de preuves) 1 Subhaug, Acta Anaesth Scan Bell, Acta Anaesth Scan Marret, Br J Surg 4 Kaba, Anesthesiology 2007

19 Période per-opératoire Plusieurs approches Anesthésie IV Anesthésie balancée Objectifs Analgésie profonde Poursuite de l action antihyperalgésie Réduire les doses de morphiniques

20 Période per-opératoire Plusieurs approches Anesthésie IV Anesthésie balancée Objectifs Analgésie profonde Poursuite de l action antihyperalgésie Réduire les doses de morphiniques

21 Gabapentinoides Gabapentinoides

22 Gabapentinoides Gabapentinoides

23 Gabapentinoides Gabapentinoides

24 Gabapentinoides Gabapentinoides

25 Les alternatives au cathéter péricicatriciel TAP Bloc Bloc des grands droits PECs bloc NB: Tous ces blocs sont réalisés à notre niveau et réalisables rapidement en Algérie

26

27

28

29 Poursuivre l antihyperalgésie ET Anticiper l analgésie postopératoire Le Paracétamol Les AINS Le Néfopam Etc

30 Poursuivre l antihyperalgésie ET Hyperalgésie est responsable à la fois Anticiper l analgésie d une douleur intense et de sa pérennisation postopératoire (DCPC) Le Paracétamol Les AINS Le Néfopam Etc

31 Période post-opératoire

32 Analgésie multimodale

33 Analgésie multimodale Quelles associations : Multitude de molécules et techniques Donc Multitude de possibilités

34 Analgésie multimodale Association de plusieurs agents (morphiniques et non morphiniques) et / ou techniques analgésiques (voies systémiques et locorégionales) dans le but d augmenter leurs efficacité et de diminuer leurs effets secondaires Objectifs Epargne morphinique* Limitation des phénomènes de sensibilisation du système nerveux Réduction de l incidence des DCPC

35

36

37 Conclusion: réduire les doses chez le sujet âgé

38 Nous n avons même pas de seringue PCA Voilà pourquoi nous n avons pas utilisé de PCA: Sujet âgé et I.Rénale

39 Nous n avons même pas de seringue PCA Voilà pourquoi nous n avons pas utilisé de PCA: Sujet âgé et I.Rénale Quelle est la valeur des PCA Mécanique (jettables)? Quelle est la valeur de l administration continue de morphine (seringue auto-pousseuses)? Où hospitaliser un patient sous morphiniques /voie systémique?

40 Comment optimiser l analgésie postopératoire en Algérie?

41 Comment optimiser l analgésie postopératoire en Algérie? De quelle base, partons nous?

42 Comment optimiser l analgésie postopératoire en Algérie? De quelle base, partons nous? Pratique de l analgésie postopératoire en Algérie Résumé des résultats 2011 L. CHERFI

43 194 questionnés / 114 retours 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% G-O Viscérale Orthopédie Urologie CCI Thoracique

44 Résultats de l enquête Existence d une unité (centre) d APO : 5% Prescripteurs de l APO : - Médecin anesthésiste : 63% - Chirurgiens : 33% - Médecin douleur : 0% - Infirmier douleur : 0% Techniques/Protocoles utilisés régulièrement dans votre service : - Titration morphine : SSPI 28%, USI 12%, Service hospitalisation 4% - Analgésie multimodale : 48% - ACP : 3% - Analgésie péridurale (hors obstétricale) : Discontinue : 6%, continue : 1% - Rachianalgésie : 11% - Cathéters périnerveux : Discontinue :10%, Continue : 4% - Blocs de paroi : 6%

45 Surveillance-Evaluation 1 - Evaluation de la DPO : Régulièrement : 8%, Occasionnellement : 35%, Jamais : 57% 2 - Présence de protocoles d APO : 5% 3 Protocoles de surveillance : 17% 4 - Lieu de surveillance( si technique spécifique) : - USI : 10%, - SSPI : 60%, - Service hospitalisation : 30%

46 Raisons évoquées. 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%

47 Raisons évoquées. Matériel Disponibilité % Drogues Disponibilité Echographie pour ALR 4% Kétoprofène 12% Neurostimulateurs 32% Morphine inj 84% Cathéters périnerveux 16% Tramadol 32% Cathéters périduraux 83% Néfopam 15% Pompes de diffusions 7% Paracétamol inj. 62% Seringues ACP (fixes ou jettables) 3%

48 Raisons évoquées. 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%

49

50 Conclusion : Les insuffisances sont nombreuses, mais non insurmontables Ailleurs Aussi

51 2 études récentes: enquête PATHOS ( ) et Audit national ( ) Résultats La ½ des patients recevaient une information préop. (Orale +++) J1: Douleurs sévères (> 7) au repos (3-6%) et au mouvement (22-33%) PCA (douleur intense): est utilisé chez ¼ à ½ des patients Analgésie multimodale : 75% des cas Péridurale : représente la 1 ère intention chez 66% des praticiens (colon), mais n est utilisé que dans 0 à 2.1% Existence de protocoles écrits : 25%

52 Nos moyens sont ils compatibles avec les Reco?

53

54 Volet consultation pré-anesthésique Rechercher : Douleur préopératoire quelque soit le site Consommation d opiacés Facteurs psychologiques: Dépression, Anxiété (Echelle AP AIS) Facteurs chirurgicaux (pourvoyeurs de DCPC) : thoracotomie, mastectomie, prélèvement crête, sternotomie, reprise chirurgicale, chirurgie de longue durée Identifier les patients à risque de: Douleurs postopératoires intenses Douleur Chronique Post-Chirurgicale

55 Volet peropératoire Dexaméthasone IV Kétamine : 2 cas de figure - Chirurgie à risque de douleurs aigues intenses ou pourvoyeuse de DCPC - Patients sous opioïdes au long cours NB: l administration débute avant l incision, durant toute la chirurgie, mais pas au-delà (hallucination, peu ou pas de bénéfices supplémentaires) Gabapentinoides : limitées aux chirurgies pro-nociceptives (arthroplasties, chirurgie rachis, amputation ) NB: L association Kétamine-Gabapentinoides n est pas recommandée

56 Volet Postopératoire L analgésie multimodale est la règle L analgésie locorégionale est recommandée : les analgésies continues (péridural, péri-nerveux) sont supérieures aux cathéters cicatriciels L association d AINS non sélectif ou un Cox2 aux morphiniques en dehors des CI est privilégiée (Epargne morphinique optimale/ autres associations) Faire bénéficier le patient des bienfaits des AL: A défaut d ALR, administrer AL par voie veineuse continue

57 Roger Chou and al.

58 Quelques points essentiels Information-Education (adapter les moyens) sur la douleur et sa prise en charge (meilleure adhésion) Préopératoire : Gabapentinoides (chirurgie Majeur) Analgésie multimodale associant différentes molécules et techniques (+++) (Adapter la surveillance / Types molécules et techniques utilisées)

59 Associations médicaments/techniques en Analgésie multimodale / CHIRURGIE

60 Quelques points essentiels Information-Education (adapter les moyens) sur la douleur et sa prise en charge (meilleure adhésion) Préopératoire : Gabapentinoides (chirurgie Majeur) Analgésie multimodale associant différentes molécules et techniques (+++) (Adapter la surveillance / Types molécules et techniques utilisées) Association de paracétamol et AINS est recommandée (sauf CI) Recourir à la voie orale dès qu elle est possible (opioides) Eviter la voie intramusculaire : douleur, malabsorption. Anticoagulants En PCA (si elle nécessaire), éviter administration continue (patient naïf)

61 Quelques points essentiels Techniques ALR Infiltration du site opératoire (niveau de preuve moyen) Ne recommande pas l analgésie intrapleural: efficacité mitigé, risque toxique Anesthésie locorégionale (+++), Mais -Adapter la technique (single shoot ou continue) / durée prévisible - Praticien expérimenté (Echoguidage. Meilleure efficacité) - Recours aux pompes (élastomérique) Sans alrmes.. Surveillance NB : préférer les pompes électroniques - L analgésie épidural (accessoirement intrathécal) est recommnadée +++ (Eviter les adjuvants : neostigmine, ketamine, MG, tramadol)

62 Facteurs de risque de douleurs chroniques postchirurgicales* Préopératoire Peropératoire Postopératoire Facteurs phyiologiques Douleur Préexistante Consommation d antalgiques Morphiniques Sexe féminin Chirurgie Chirurgie au même site Chirurgie Longue durée Délabrante Lésions neurologiques Complications Reprise DPO Forte intensité Neuropathique Facteurs psychosociaux Anxiété Vécu catastrophique Absence de soutien social Anxiété Dépression *L. Ottolenghi, 2012

63 Fédération des sociétés savantes d anesthésie et de réanimation maghrébines (FSARM) RÉFERÉNTIEL MAGHRÉBIN ANALGÉSIE POSTOPERATOIRE (en dehors de l enfant) B. HMAMOUCHI (SMAR/Maroc), L. CHERFI (SAARSIU/Algérie) M. DAGHFOUS (STAR/Tunisie) Congrès Maghrébin d Anesthésie-Réanimation 7 et 8 décembre Alger

64 Pour réussir sa mise en place, les protocoles d APO doivent être simples et applicables partout. Les aspects organisationnels revêtent une importance capitale. Le maillage de structures de santé par un réseau de CLUD locaux, régionaux et nationaux peut en assurer la réussite L APO doit être une activité organisée et reconnue par les responsables de l institution hospitalière et par la tutelle (ministère). Dans les pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie), la prise en charge de la DPO est insuffisamment développée et peu organisée. Cette situation est en avec les progrès réalisés dans ces pays par l anesthésie-réanimation, en particulier en termes de médicalisation de la spécialité. Les moyens mis en place, même s ils sont insuffisants, devraient permettre d instaurer les bases de l APO. b L APO par voie systémique Le paracétamol, les AINS (Palier I) et les inhibiteurs sélectifs des cyclooxygénases de type II (coxibs) doivent être associés au plier II et au palier III d une manière systématique en dehors de contre indication.

65 La titration est arrêtée lorsque le soulagement de la douleur est atteint. Un relais de l APO doit être pris. Ce relais dépend de l intensité de la DPO attendue et de la technique d APO initialement prévue. Le relais peut être réalisée par de la morphine (Analgésie contrôlée par le patient, morphine en sous-cutané) ou par les analgésiques du Palier I ou II. Si une technique d ALR a été initié, elle pourrait être suffisante. c L APO par voie locorégionale Les techniques d ALR peuvent être initiées en préopératoire ou en postopératoire. L ALR peut être utilisée en dose unique ou en doses entretenues via un cathéter. L entretien de l ALR peut être discontinu (bolus itératifs), continu (seringue auto-pousseuse, pompes à diffusion) ou autoentretenu (analgésie régionale contrôlée par le patient : ARCP). Les AL recommandés sont : bupivacaine, Ropivacaine, lévobupivacaine.

66 Voilà ce que je propose

67 Quelles sont nos moyens?

68 Les fondamentaux de l APO A l échelle d un patient Intégrer l APO dans la PEC du patient Inscrire le projet APO dès la consultation d anesthésie Initier une activité anti-hyperalgésique (préop) Initier l analgésie multimodale (anticipation) Recourir à une ALR chaque fois que c est possible Favoriser les antagiques non morphiniques (paracétamol, AINS) au dépens des morphiniques, sauf CI

69 Les fondamentaux de l APO A l échelle d un patient Intégrer l APO dans la PEC du patient Inscrire le projet APO dès la consultation d anesthésie Initier une activité anti-hyperalgésique (préop) Initier l analgésie multimodale (anticipation) Recourir à une ALR chaque fois que c est possible Favoriser les antagiques non morphiniques (paracétamol, AINS) au dépens des morphiniques, sauf CI Avons-nous les moyens matériels pour atteindre cet objectif?

70 Les Médicaments Largement disponibles Partiellement disponible Non disponibles Paracetamol Nefopam Kétoprofène IM Kétamine Catapressan Bupivacaine Morphine inj Parecoxib Gabapentinoides Ropivacaine Levobupivacaine Kétoprofène IV

71 Consommables et Matériel Largement disponibles Kt péridural Kt périnerveux Aiguilles bloc paroi Neurostimulateur Partiellement disponible Echographe Seringue PCA PCA Mécanique Diffuseur Non disponibles cathéters péri Cicatriciel PCA portable Suffisant pour élaborer des protocoles efficaces

72 A l échelle d un hôpital Création d un CLUD dans les grandes structures Ecriture de protocoles d APO et de surveillance Former une équipe Douleur basée sur un Médecin référent et un infirmier référent (dédié entièrement à cette tache) Organiser les soins Former les praticiens à la pratique de l ALR +++ Où sommes nous de tout cela?

73 Conclusion Alors pourquoi ca marche moins bien chez nous?

74 Le problème est surtout lié à la ressource humaine et aux aspects organisationnels?

75 La clef de la réussite Cher collègue Conclusion

76 La clef de la réussite Cher collègue Conclusion

77 Conclusion C est l implication de tous

78 Conclusion Il a raison Mais je ne peux pas l avouer C est l implication de tous

79 Conclusion Il a raison Mais je ne peux pas l avouer C est l implication de tous

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter

Plus en détail

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles

Plus en détail

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation

Plus en détail

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur

Plus en détail

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l

Plus en détail

«La Revue de presse»

«La Revue de presse» «La Revue de presse» Nerf Sciatique du rat Prochaine biblio INTERNE! Anesth Analg. 2010 Nov;111(5):1308-15. STAFF ALR Nord ALR Anticoagulants et Antiagrégants plaquettaires Guidelines Regional

Plus en détail

Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX

Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire

Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire AVANT L INTERVENTION : 1) Un rendez-vous en consultation d anesthésie au moins 8 jours avant l intervention vous a été donné. Venez ce jour-là

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération

GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les

Plus en détail

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins

Plus en détail

Soins Inrmiers aux brûlés

Soins Inrmiers aux brûlés Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter

Plus en détail

Conseil. en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire. www.adessa-software.com. tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657

Conseil. en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire. www.adessa-software.com. tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657 Conseil en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657 www.adessa-software.com Avant-Propos De part sa nature complexe et évolutive, le bloc opératoire est

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un

Plus en détail

STAFF ALR. 21 février 2013

STAFF ALR. 21 février 2013 STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h

Plus en détail

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,

Plus en détail

Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES

Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES 2007 Volume 6, numéro 1 Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES MD TEL QUE PRÉSENTÉ DANS LE DÉPARTEMENT D ANESTHÉSIOLOGIE, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Douleurs aiguës et chroniques après

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

PRENEZ SOIN DE VOS DÉPENSES DE SANTÉ

PRENEZ SOIN DE VOS DÉPENSES DE SANTÉ SERVICES PROPOSÉS PAR PRENEZ SOIN DE VOS DÉPENSES DE SANTÉ Un service associé à votre La garantie du juste prix pour vos frais de santé les plus onéreux. Santéclair, c est toute une gamme de services offerts

Plus en détail

Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS

Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT Partie 1 : Prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et situations particulières

Plus en détail

Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé

Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé Sommaire Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé EDITION DECEMBRE 2001 PREFACE... 2 PREAMBULE... 3 1. LES

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement

Plus en détail

médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat

médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat 2015 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE PROTECTION JURIDIQUE La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles

Plus en détail

MIGRAINE - TRAITEMENT

MIGRAINE - TRAITEMENT MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002

Plus en détail

AUDIT BLOC OPERATOIRE

AUDIT BLOC OPERATOIRE AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

La douleur induite par les soins

La douleur induite par les soins Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Centre Hospitalier de Béziers

Centre Hospitalier de Béziers Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et

Plus en détail

Approche centrée e sur le patient

Approche centrée e sur le patient Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Anesthésie en Orthopédie. 3- Les Types d interventions

Anesthésie en Orthopédie. 3- Les Types d interventions Anesthésie en Orthopédie 3- Les Types d interventions Intervention sur RACHIS Aspects chirurgicaux Hernie discale (lombaire+++) 200000/an aux USA Laminectomie CLE ou CCE Fixation rachidienne Exemple: spondylolisthésis

Plus en détail

NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles

NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage

cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du

Plus en détail

PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES

PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

CHAPITRE 5 OUTILS DE GESTION PRÉDICTIVE DES BLOCS OPÉRATOIRES : IDENTIFICATION ET COMPLEXITÉ 1. GESTION PRÉDICTIVE DES BLOCS OPÉRATOIRES

CHAPITRE 5 OUTILS DE GESTION PRÉDICTIVE DES BLOCS OPÉRATOIRES : IDENTIFICATION ET COMPLEXITÉ 1. GESTION PRÉDICTIVE DES BLOCS OPÉRATOIRES CHAPITRE 5 OUTILS DE GESTION PRÉDICTIVE DES BLOCS OPÉRATOIRES : IDENTIFICATION ET COMPLEXITÉ Dans les chapitres précédents nous avons situé notre action dans le cadre de la gestion prédictive des blocs

Plus en détail

La Liste de Vérification Chirurgicale

La Liste de Vérification Chirurgicale La Liste de Vérification Chirurgicale Dre Shannon Fraser Professeure Assistant, Université McGill Chef de la division de chirurgie générale M Bobby Paré Coordonnateur en Soins Infirmiers bloc opératoire

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

PLAQUETTE D INFORMATION

PLAQUETTE D INFORMATION Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel

Plus en détail

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION

NOTRE PRIORITE : VOTRE SATISFACTION Garanties Agir Santé 2013 Garanties Agir Santé 1/4 Garanties Agir Santé 2013 PRESTATIONS HOSPITALISATION SECTEUR CONVENTIONNE Frais de séjour Honoraires (ADC, ADA, ATM, ACO, ADI et ADE) (par année d adhésion

Plus en détail

Être aux petits soins

Être aux petits soins L offre AG2R LA MONDIALE pour les PROFESSIONNELS Partout en France un acteur de référence de l assurance de protection sociale et patrimoniale santé Complémentaire santé Prévoyance Incapacité et invalidité

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

DOULEUR et SOINS INFIRMIERS

DOULEUR et SOINS INFIRMIERS DOULEUR et SOINS INFIRMIERS Certificate of Advanced Studies (CAS) - 2015 Agir en tant que professionnel ressource dans le domaine de la prise en charge de la personne souffrant de douleur aiguë ou chronique,

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique

Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Christian Jayr jayr@crh1.org Centre René Huguenin Saint-Cloud Un cycle respiratoire A. Inspiration: contraction du diaphragme

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

SAntium sa. Santium santé. senior. Santium. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion de 50 à 89 ans

SAntium sa. Santium santé. senior. Santium. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion de 50 à 89 ans Demande d adhesion immédiate, Sans questionnaire de santé, ni délai d attente SAntium sa Santium santé Complémentaire santé senior Santium santé senior Adhésion de 50 à 89 ans Vos garanties /// SANTIUM

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Ordelys santé. senior. Ordelys. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion à partir de 55 ans

Ordelys santé. senior. Ordelys. santé senior. Demande d adhesion immédiate, Adhésion à partir de 55 ans Demande d adhesion immédiate, Sans questionnaire de santé, ni délai d attente san Ordelys santé Complémentaire santé senior Ordelys santé senior Adhésion à partir de 55 ans Vos garanties /// ORDELYS SANTE

Plus en détail

Prévention et gestion des incidents médicamenteux

Prévention et gestion des incidents médicamenteux Prévention et gestion des incidents médicamenteux Anne Spinewine Pharmacien clinicien, Dr Sc Pharm Université catholique de Louvain CHU Mont-Godinne et Louvain Drug Research Institute Avec la collaboration

Plus en détail

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Nos expertises au service des salariés et des entreprises. Septembre 2013. Entreprises de. la restauration rapide, votre formule santé

Nos expertises au service des salariés et des entreprises. Septembre 2013. Entreprises de. la restauration rapide, votre formule santé Nos expertises au service des salariés et des entreprises Septembre 2013 Entreprises de la restauration rapide, votre formule santé Votre régime frais de santé Entreprise, salariés : une solution Gagnant

Plus en détail

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY

Plus en détail

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c

Plus en détail

Vous allez être opéré du coeur

Vous allez être opéré du coeur LIVRET D ACCUEIL Coordonnateur de Département Pr. Bernard ALBAT Chirurgie cardiaque et vasculaire Vous allez être opéré du coeur Pôle Coeur-Poumons CŒUR POUMONS Hôpital Arnaud de Villeneuve 2 ème étage

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?

24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? 24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Constat de la situation existante. Facteurs favorisant les TCPO

Constat de la situation existante. Facteurs favorisant les TCPO Enquête Sparadrap : Anesthésie et pédiatrie Constat de la situation existante Un projet qui nous tient à cœur Dédramatiser l anesthésie Observation de troubles comportementaux liés à une anesthésie Anxiété

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE

INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.

Plus en détail