MEDEF Actu-Eco. Semaine du 3 au 7 septembre 2012 SOMMAIRE
|
|
- Xavier Lavoie
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 3 au 7 septembre 2012 SOMMAIRE FRANCE ZONE EURO 1. Croissance française au printemps 2012 : stagnation pour le troisième trimestre consécutif 2. Emploi salarié dans le secteur marchand non agricole au 2 ème trimestre 2012 : postes ( hors l intérim) 3. Commandes en valeur dans l industrie en juin 2012 : nouveau repli 4. Demandes d emploi en juillet 2012 : près de 3 millions de chômeurs 5. Prix à la consommation en juillet 2012 : +0,1% sur un mois, +2% sur un an 6. Climat des affaires en août 2012 : dégradation interrompue de l indicateur, au plus bas depuis septembre Budgets d investissement dans l industrie pour 2012 : +5%, mais repli annoncé au second semestre Climat des affaires en Allemagne en août 2012 : perspectives au plus bas depuis juin 2009 INTERNATIONAL 9. Croissance américaine au 2 ème trimestre 2012 : nouveau ralentissement 10. Tendances récentes des marchés * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
2 1 Croissance française au printemps 2012 : stagnation pour le troisième trimestre consécutif * Selon une première estimation de l INSEE, la PIB français a stagné au 2 ème trimestre 2012 pour le troisième trimestre consécutif. En réalité, il s agit d un très léger tassement (-0,2% l an, après +0% au 4 ème trimestre 2011, +0,1% l an au 1 er trimestre 2012). Sur un an, il aurait augmenté de +0,3% Croissance du PIB en volume (%, rythme annuel) sur 1 trimestre sur 1 an +0,3-0,2 Comptes nationaux * Cette stagnation de l activité au printemps recouvre : - une évolution contrastée de la production selon les branches : nouveau recul de la valeur ajoutée manufacturière (-1% après -0,9% au 1 er trimestre), faible croissance dans les services (+0,2%, comme au trimestre précédent), redémarrage dans la construction (+0,4%, après -0,1% au 1 er trimestre), de caractère «technique» (normalisation de l activité après un 1 er trimestre affecté par de mauvaises conditions climatiques) ; - une évolution également contrastée du côté de la demande : baisse de la consommation (-0,2%, après trois trimestres consécutifs de faible progression), redressement des investissements (+0,6% après -0,8%) dans les entreprises comme dans les administrations, lourdeur des exportations de biens et services (+0,2% après +0,1%) qui contraste avec la nette accélération des importations (+1,8%). D où une contribution négative des échanges extérieurs à la croissance du 2 ème trimestre. * Au sein de la zone euro, la France occupe une position intermédiaire. Au 2 ème trimestre 2012, le recul du PIB de la zone euro en glissement annuel (-0,4%) recouvre un large spectre (de +2,5% en Estonie à -3,3% au Portugal) 1 avec une Europe du Nord en croissance, sauf les Pays-Bas et la Belgique, et une Europe du Sud en recul. (1) Le chiffre du 2 ème trimestre pour la Grèce n est pas disponible. Glissement annuel du 1 er trimestre : -6,5% 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
3 Croissance comparée du Produit Intérieur Brut % 2012 T2 / 2012 T T2 / 2012 T T2 / 2011 T2 Zone euro (17 pays) -0,2-0,7 l an -0,4 Belgique -0,6-2,4 l an -0,4 Allemagne +0,3 +1,1 l an +1,0 Estonie +0,4 +1,6 l an +2,5 Espagne -0,4-1,7 l an -1,0 France -0,0-0,2 l an +0,3 Italie -0,7-2,9 l an -2,5 Pays-Bas +0,2 +0,7 l an -0,6 Autriche +0,2 +1,0 l an +1,0 Portugal -1,2-4,7 l an -3,3 Finlande -1,0-3,9 l an +0,6 Suède +1,4 +5,7 l an +2,2 Source : Eurostat * Au total, compte tenu de l acquis de croissance de +0,2% à la fin du premier semestre (croissance que l on obtiendrait si le PIB demeurait jusqu'à la fin de l année à son niveau du deuxième trimestre), perspective d une croissance française à peine positive en La forte contribution des stocks à celle du 2 ème trimestre, selon les premières estimations de l INSEE, laisse craindre des ajustements importants, qui pèseront sur l activité du second semestre. Déjà, la Banque de France a annoncé un recul du PIB de -0,1% au troisième trimestre. 3 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
4 2 Emploi salarié dans le secteur marchand non agricole au 2 ème trimestre 2012 : postes ( hors l intérim) * Selon une première estimation de l INSEE, les effectifs salariés du secteur marchand non agricole ont baissé de au 2 ème trimestre 2012 ( sur un an, soit -0,2%). Hors intérim, ils auraient augmenté de postes ( sur un an, +0,2%). milliers en fin de trimestre (cvs) Nombre au 2012 T2 T / T T / T T / T Total ,1-11,7 +6,7-29,6 intérim 547,7-19,9-20,6-55,6 total hors intérim ,4 +8,2 +27,3 +26 Industrie 3 278,5-10,2-16,4-23,7 Construction 1 444,4-1,8 +4,0-3,3 Tertiaire marchand hors intérim ,5 +20,2 +39,7 +53 * Le fléchissement de l activité au 2 ème trimestre 2012 se retrouve dans les trajectoires sectorielles de l emploi : - contraction des effectifs dans l industrie au cours des quatre derniers trimestres (-0,7% entre le 2 ème trimestre 2011 et le 2 ème trimestre 2012) après avoir renoué avec les créations nettes d emploi au premier semestre 2011 ; - même tendance dans la construction (- 0,2% sur un an) ; - créations nettes d emploi dans le tertiaire marchand hors intérim (+0,5% sur un an) ; - forte baisse des emplois intérimaires (- 9,2% sur un an), expression de la forte dégradation de la conjoncture, et indicateur avancé de l évolution future du marché du travail. Cette mauvaise orientation est corroborée par les dernières enquêtes sur les perspectives de recrutement dans tous les secteurs. * Cette dégradation de l emploi n exclut pas la persistance des pénuries de main d œuvre, notamment dans certaines activités industrielles où l indicateur de tension reste proche de celui de la fin des années, en dépit d un niveau et d un rythme de production nettement moins élevés. 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
5 01/06/ /10/ /02/ /06/ /10/ /02/ /06/ /10/ /02/ /06/ /10/ /02/ /06/ /10/ /02/ /06/ Commandes en valeur dans l industrie en juin 2012 : nouveau repli * L indice de commandes totales en valeur reçues dans l industrie manufacturière (hors matériel de transport autres qu automobiles) s est de nouveau replié en juin 2012 : -0,7%, après -1,9% en mai. Compte tenu de la contraction plus forte des commandes à l exportation (-2,1% après +2%), ce tassement des commandes totales suggère un certain maintien de la demande intérieure. 130 Commandes dans l'industrie manufacturière (hors matériel de transport autres qu'autmobiles) (indice base en 2005, valeur) Commandes étrangères Commandes totales * Au 2 ème trimestre 2012, les commandes globales se sont inscrites en légère hausse mais ont marqué le pas : +0,6% (+3,3% sur un an), contre +2,1% au 1 er trimestre (+1,2% sur un an). Les commandes à l exportation ayant augmenté de +2,6% (+6,8% sur un an), expliquent l essentiel de cette hausse des commandes totales entre le 1 er et le 2 ème trimestre. Par sous-secteur, les commandes se sont accrues dans l automobile (+2,4%) et dans les «autres industries» (+1%, dont notamment -0,1% dans la métallurgie, +1,5% dans la chimie, +5,1% dans l habillement). En revanche, elles se sont réduites de -2,8% dans les équipements électriques, électroniques, informatiques et autres machines. 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
6 juil.-07 oct.-07 janv.-08 avr.-08 juil.-08 oct.-08 janv.-09 avr.-09 juil.-09 oct.-09 janv.-10 avr.-10 juil.-10 oct.-10 janv.-11 avr.-11 juil.-11 oct.-11 janv.-12 avr.-12 juil Demandes d emploi en juillet 2012 : près de 3 millions de chômeurs * Au 2 ème trimestre 2012, le taux de chômage au sens du BIT pour la France métropolitaine a enregistré une nouvelle hausse pour atteindre 9,7% de la population active (10,2% en y rajoutant les DOM). Il s agit de son plus haut niveau depuis le 3 ème trimestre * En juillet 2012, le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans emploi) pour la France métropolitaine s est accru pour le 15 ème mois consécutif ( chômeurs, soit +1,4%). Il s agit de la plus forte hausse depuis plus de trois ans (avril 2009). Le nombre de demandeurs d emploi a frôlé ainsi les trois millions de personnes (2 987 chômeurs), donc au plus haut depuis juin Evolution mensuelle du nombre de demandeurs d'emploi de la catégorie A (milliers) , Source : Dares * Sur un an, le nombre de demandeurs d emploi (catégorie A) s est accru de personnes (+8,5%), hausse qui recouvre : - un accroissement plus important chez les hommes (+9,7%) que chez les femmes (+7,3%) ; - une hausse plus de deux fois supérieure chez les 50 ans et plus (+16,3%) que chez les moins de 25 ans (+7,3%) ou que chez les ans (+6,4%). * La mauvaise orientation des perspectives de recrutement dans tous les secteurs laisse envisager une poursuite de l augmentation du chômage. 6 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
7 5 Prix à la consommation en juillet 2012 : +0,1% sur un mois, +2% sur un an * L indice des prix à la consommation (données CVS) a augmenté de +0,1% en juillet 2012, comme cela avait été le cas en juin. Ce chiffre recouvre une hausse de +0,5% des prix énergétiques et de +0,3% des prix des services, une stagnation des prix des produits alimentaires et une contraction des prix des produits manufacturés (-0,8%). +6 Evolution de l'indice des prix à la consommation (%, données CVS) sur 12 mois +2 +2, sur 3 mois annualisés +0, * Entre avril et juillet 2012, l indice des prix s est légèrement accru (+0,1% l an, après +1,9% l an entre janvier et avril 2012). Cette quasi-stagnation recouvre : - une contraction des prix des produits énergétiques (-8,7% l an) et des produits manufacturés (-2,4% l an) ; - une hausse des prix des services (+2,6% l an) et des produits alimentaires (+2,8% l an). * Sur un an, la hausse des prix en juillet a été de +2%, comme en mai et en juin. * Pour sa part, l inflation sous-jacente ressort en hausse de +0,6% l an en juillet par rapport à avril (+ 1,5% sur un an). * Ainsi, la relative inertie de l inflation au ralentissement de l activité paraît être liée à plusieurs facteurs : dépréciation de l euro qui atténue l impact de la baisse des cours mondiaux, ralentissement des gains de productivité dans l industrie, hausse de certains prix administrés (tabac), hausse des prix des produits frais (conséquence des mauvaises conditions climatiques de l hiver et du printemps). 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
8 01/08/ /01/ /06/ /11/ /04/ /09/ /02/ /07/ /12/ /05/ /10/ /03/ /08/ /08/ /01/ /06/ /11/ /04/ /09/ /02/ /07/ /12/ /05/ /10/ /03/ /08/ Climat des affaires en août 2012 : dégradation interrompue de l indicateur, au plus bas depuis septembre 2009 * Selon les dernières enquêtes de l INSEE, le climat des affaires en France a cessé de se dégrader en août L indicateur synthétique reste à son plus bas niveau depuis septembre 2009, nettement inférieur à sa moyenne de longue période. Indicateur synthétique du climat des affaires en France 60 * Cette interruption de la dégradation du climat des affaires se retrouve dans l industrie manufacturière (stabilité des stocks de produits finis, amélioration des perspectives personnelles, dégradation des carnets de commandes globaux mais redressement des carnets étrangers), dans le bâtiment (pas de dégradation de l opinion sur les carnets de commandes, mais perspectives d activité toujours pessimistes) et dans le commerce de détail (stabilisation des ventes prévues et des intentions de commandes). En revanche, le climat des affaires s est de nouveau dégradé dans les services (anticipations d activité en baisse). Indicateur du climat des affaires Bâtiment Indicateur du climat des affaires Commerce Industrie Services MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
9 août-07 déc.-07 avr.-08 août-08 déc.-08 avr.-09 août-09 déc.-09 avr.-10 août-10 déc.-10 avr.-11 août-11 déc.-11 avr.-12 août-12 * L enquête de conjoncture dans les services fait également état d anticipations d investissements toujours négatives, même si la dégradation du solde d opinion s est interrompue (indicateur au plus bas depuis septembre 2009). Ceci rejoint l anticipation négative par les industriels de leurs budgets d investissements au second semestre Tendance prévue des investissements dans les services (solde d'opinion, %) MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
10 7 Budgets d investissement dans l industrie pour 2012 : +5%, mais repli annoncé au second semestre 2012 * Selon l enquête trimestrielle INSEE de juillet 2012, les budgets d investissement dans l industrie manufacturière (25% de l investissement productif total) ont augmenté de:. +12% en 2011 (+11% dans l enquête d avril). +5% en 2012 (+6% dans l enquête d avril) Ainsi, l enquête confirme le niveau des budgets prévu pour cette année dans l enquête d avril : +17% sur * Ce dynamisme de l investissement industriel en 2012 se retrouve dans tous les secteurs, - à l exception de quelques industries (travail du bois et du papier, chimie, pharmacie)-, avec la confirmation d une très forte progression dans la construction automobile (+27%, après - 4% en 2011), qui fait suite à une chute de 55% entre 2001 et * La hausse de +5% en moyenne annuelle cette année a été largement «acquise» fin 2011-début 2012 : les industriels anticipent une baisse de leurs investissements au second semestre 2012 (ils sont plus nombreux à envisager une baisse qu une hausse par rapport au premier semestre 2012) opinion des industriels sur l'évolution semestrielle des investissements (solde en %) évolution constatée évolution attendue Ce retournement annoncé par les industriels : - est en ligne avec la dégradation des perspectives d activité (enquêtes INSEE) et avec la poursuite du resserrement de leurs marges et du repli de leurs résultats d exploitation au 2 ème trimestre 2012 (enquête Banque de France) ; - suggère un «acquis» très bas en fin d année, et donc un chiffre 2013 peu favorable ; - rejoint la tendance négative des investissements prévue dans les services (indicateur de juillet retombé à son niveau d octobre 2009). * Si la prévision est confirmée, le niveau des investissements industriels en 2012 sera inférieur de 6% à celui de 2008, et de 12% à celui de 2000, expression de la contraction de notre socle industriel depuis 10 ans. 10 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
11 08/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / Climat des affaires en Allemagne en août 2012 : perspectives au plus bas depuis juin 2009 * L indice synthétique IFO du climat des affaires en Allemagne, dans le secteur de l industrie et du commerce, a de nouveau baissé en août Enregistrant sa quatrième baisse consécutive, il est à son plus bas niveau depuis trente mois (mars 2010) Indice synthétique IFO du climat des affaires (2005=) Indice IFO du climat des affaires (2005=) 130 Situation actuelle Situation future Source : IFO Institute * Cette baisse de l indice synthétique concerne aussi bien la situation actuelle (indice au plus bas depuis juin 2010) que les perspectives à 6 mois (indice au plus bas depuis juin 2009, et inférieur à sa moyenne des années ). * Cette dégradation du climat des affaires, confirmée par l enquête auprès des directeurs d achats (indice PMI), témoigne d une conjoncture allemande qui continue de faiblir. 11 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
12 9 Croissance américaine au 2 ème trimestre 2012 : nouveau ralentissement * Selon une première estimation, la croissance du PIB aux Etats-Unis a de nouveau ralenti au 2 ème trimestre 2012 (+0,4%, soit +1,5% l an, après +2% l an au 1 er trimestre). L économie américaine est pénalisée notamment par le ralentissement des pays émergents et les incertitudes grandissantes sur une zone euro qui s enfonce dans la récession Croissance du PIB en volume (%, rythme annualisé) sur un trimestre sur 4 trimestres +2,2 +1,5 Source : Bureau of Economic Analysis * Ce ralentissement de la croissance au 2 ème trimestre 2012 est le résultat de tendances différentes : - Décélération de la consommation des ménages (+1,5% l an après +2,4%), et de leurs investissements dans le logement (+9,7% l an après +20,5% l an) ; - Nouveau ralentissement des investissements productifs (+5,3% l an après +7,5% au 1 er trimestre et +9,5% au 4 ème trimestre 2011), le tassement des investissements en constructions (+0,9% l an après +12,9% l an) ne devant pas masquer l accélération des dépenses en biens d équipement (+7,2% l an, après +5,4% l an) ; - Contribution positive des stocks (+0,32 point, après -0,39 point au 1 er trimestre 2012) ; - Moindre baisse des dépenses publiques (-1,4% l an après -3% l an) ; - Contribution négative du commerce extérieur, avec une progression en volume des exportations de biens et services (+5,3% l an au 2 ème trimestre 2012) inférieure à celle des importations (+6% l an). * Les derniers indicateurs conjoncturels disponibles font espérer au moins un maintien du rythme d activité au 3 ème trimestre, sur fond de facteurs structurels de soutien (désendettement des ménages, marges des entreprises à un niveau record). Cette situation de l économie américaine avec une croissance possible de +2% cette année contraste avec une économie européenne de nouveau en récession. 12 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012
13 10 - Tendances récentes des marchés Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans de la Grèce (%) ,0 7,5 7,0 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) 30 6, ,79 6,0 5,5 5,0 6,08 Espagne 5,26 Italie 15 4,5 3,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) 3,0 2,5 2,0 1,5 France 2,26 1, Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) 113,71 dollars,0 euros 1,0 Allemagne 1,36 1 euro =... dollar 1,34 1,32 1,30 1,28 1,26 1,24 1,22 1,20 1, Indices boursiers ( = 2011) Standard and Poor's Eurostoxx 50 Eurostoxx banque 13 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 septembre 2012 Rédaction achevée le 7 septembre 2012
Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailDares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012
Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailUN REGAIN D OPTIMISME
2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.
SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailActivité au 30 septembre 2009
Séch ché Environnement Activité au 30 septembre 2009 Conférence téléphonique du 28 octobre 2009 1 Faits marquants du trimestre Séché : confirmation des tendances du 1 er semestre (CA : 91,9 soit -2,5%
Plus en détailIndicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011
Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailTable des matières. Chiffres clés en Champagne-Ardenne... 1 Point démographique... 2 A. Économie... 5
N 9 Juin 214 Ce tableau de bord rassemble un certain nombre d indicateurs régionaux phares relatifs à l économie et à l emploi, dans une vision volontairement large. Il est un outil d aide à l élaboration
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailPrix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailLes marchés du travail dans la crise *
ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard
Plus en détailECONOTE N 18. Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS
N 18 JUIN 213 ECONOTE Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS COURANTS SE DÉGRADE-T-IL DEPUIS PLUS DE 1 ANS? Le solde extérieur courant de la France
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détail56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org
56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailL évolution des formes d emploi
Conseil d orientation pour l emploi L évolution des formes d emploi 8 avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION... 8 PREMIERE PARTIE : LES FORMES D EMPLOI : DES REALITES TRES DIVERSES ET EN PLEINE EVOLUTION, QUI
Plus en détailNote de Conjoncture n 1-2010. La situation économique au Luxembourg Évolution récente et perspectives
Mise à jour statistique: 8 juin 200 Note de Conjoncture n -200 La situation économique au Luxembourg Évolution récente et perspectives Le texte intégral de la Note de Conjoncture est disponible sur Internet
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailrapport CCE 2015-1250
rapport CCE 2015-1250 La conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 CCE 2015-1250 Rapport sur la conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 Personnes de contact Gautier Gérome
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailUN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE
2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailEnquête sur les investissements dans l industrie
Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailEffet «La Marseillaise»
DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais
Plus en détailLe commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailLe crédit bancaire au secteur privé
Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailDEMANDE D IMMATRICULATION D UN TRAVAILLEUR notice explicative
o N 50560#02 L'ASSURANCE MALADIE notice explicative Qui doit établir cette déclaration? En application des articles L 312-1, R 312-4, R 312-5, R 312-6 du Code de la Sécurité Sociale, L est tenu de dé clarer
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détail4 CHIFFRES À RETENIR
Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013
Plus en détailINSEE CONJONCTURE NOTE DE CONJONCTURE REPRISE POUSSIVE
INSEE CONJONCTURE NOTE DE CONJONCTURE REPRISE POUSSIVE DÉCEMBRE 2013 NOTE DE CONJONCTURE Décembre 2013 Insee 2013 Institut national de la statistique et des études économiques Directeur général : Jean-Luc
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailOBSERVATION ET STATISTIQUES
COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté
Plus en détailY a-t-il un retard d investissement en France et en Europe depuis 2007?
Y a-t-il un retard d investissement en France et en Europe depuis 2007? Fabien Dell, Pierre Douillard, Lionel Janin et Nicolas Lorach* L essoufflement de la reprise de l activité en zone euro à partir
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailPrix et marges dans la distribution des carburants
Prix et marges dans la distribution des carburants Rapport d étape au Ministre de l Économie et des Finances (24 août 2012) Anne BOLLIET Inspectrice générale des Finances Boris RAVIGNON Inspecteur des
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailPrix de l énergie dans l Union européenne en 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailFRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016
Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailVeufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations
Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailL élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des
L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des sous-directions Diagnostic et prévisions, Financement international
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailL économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession
L économie mondiale en 2008 : du ralentissement àlarécession Olivier Redoulès* En 2008, l économie mondiale a basculé dans la récession. La crise financière a débuté en 2007 aux États-Unis sur le marché
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détail