30 ANS HORS-SÉRIE BANQUE DROIT. de Loi bancaire. la pratique du droit bancaire français et européen. L approche institutionnelle 6

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "30 ANS HORS-SÉRIE BANQUE DROIT. de Loi bancaire. la pratique du droit bancaire français et européen. L approche institutionnelle 6"

Transcription

1 BANQUE Mars 2014 ISSN euros revue-banque.fr DROIT la pratique du droit bancaire français et européen 30 ANS de Loi bancaire L approche institutionnelle 6 La relation banque-client 60 HORS-SÉRIE

2

3 Introduction Le droit bancaire est devenu un droit particulièrement évolutif. Désormais, il ne se passe plus six mois sans que cette branche du droit ne fasse l objet de modifications importantes. Nous pouvons prendre l exemple récent de l ordonnance du 20 février 2014 portant diverses dispositions d adaptation de la législation au droit de l Union européenne en matière financière à l origine d un grand nombre d évolutions. Mais il n en fut pas toujours de la sorte ; par le passé, les modifications légales étaient plus rares, et le droit certainement plus simple Le droit bancaire contemporain doit ainsi beaucoup à un texte en particulier, qui l a profondément transformé : il s agit de la loi du 24 janvier 1984 relative à l activité et au contrôle des établissements de crédit, plus connue sous l appellation de «Loi bancaire». Or, cette dernière, dont les articles ont été transposés dans le Code monétaire et financier suite à l ordonnance du 14 décembre 2000, a eu 30 ans en ce début d année Il nous a alors semblé intéressant de lui rendre hommage en la remettant en lumière et en l étudiant à nouveau. En effet, qu a-t-elle amené à notre droit? Où en est-on aujourd hui? Telles sont les questions que nous nous sommes posées à sa lecture et qui nous ont amenés à observer l évolution de notre droit bancaire sur plusieurs décennies. Dès lors, pour mener à bien un tel projet, la faculté de droit de l Université de Strasbourg s est associée à celle de l Université Paris-Descartes afin de mettre en place, conjointement, un colloque relatif aux «30 ans de la loi bancaire». Celui-ci a eu pour particularité de se diviser en deux journées de travail réalisées sur deux lieux différents. Une première journée a ainsi été organisée le 24 janvier 2014 à l Université de Strasbourg. Elle portait sur l approche institutionnelle de la loi étudiée. Par la suite, une seconde journée s est tenue, le 7 février, au sein de l Université Paris-Descartes à Malakoff, et concernait, quant à elle, l encadrement des relations banque-client par le même texte. Ce colloque fut alors l occasion d observer l impact de ce dernier, mais aussi les évolutions de notre droit bancaire, voire de notre droit de la régulation bancaire. Ainsi, en 1984, dans leur commentaire de cette «Loi bancaire» dans la Semaine juridique, messieurs les professeurs Gavalda et Stoufflet avaient conclu leur remarquable étude par une ultime interrogation : «Hasarderons-nous à pronostiquer une durée de vie beaucoup moins longue à cette loi de 1984 qu à celles des 13 et 14 juin 1941 (41 ans)?». Les deux journées d études ont permis de constater qu il n était pas possible, aujourd hui, de donner une réponse catégorique à cette question. En effet, trente ans plus tard, beaucoup des innovations de ce texte sont toujours présentes dans notre droit, mais un grand nombre ont également disparu dans le même temps. Les apports du colloque ne s arrêtent pas là. Les auteurs ont été également amenés, au cours de leurs interventions, à se projeter dans l avenir et à imaginer le droit bancaire de demain. La prolifération actuelle des textes et leur complexité encouragent néanmoins à un certain pessimisme. Ce numéro spécial de la revue Banque et Droit reproduit quasiment toutes les contributions des intervenants à ces deux journées. Soulignons à ce propos qu ont également participé à nos travaux, même s ils ne figurent pas dans ce hors-série de Banque et Droit, M. Philippe Neau-Leduc, professeur à l Université Panthéon-Sorbonne, M. Christophe Juillet, professeur à l Université Paris-Descartes, M. Lionel Guérin, Conseiller en service extraordinaire à la chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation, et enfin M. le doyen Jean Stoufflet, professeur émérite de l Université d Auvergne. Qu ils soient ici remerciés de leur participation active à ces journées «d anniversaire». n Banque & Droit - hors série - mars

4 30 ANS de Loi bancaire 5 Introduction L approche institutionnelle 6 L adoption de la loi du 24 janvier 1984 Alain GOURIO, Fédération bancaire française 8 La notion d établissement de crédit Nicolas MATHEY, Université Paris Descartes 14 Brèves réflexions sur le monopole bancaire ( ) Thierry SAMIN, Société Générale 18 L agrément bancaire Caroline KLEINER, Université de Strasbourg 24 La Commission bancaire Jean-Philippe KOVAR, Université de Strasbourg 32 Le Conseil national du crédit et les comités : les articles 24 à 36 de la loi Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE, Université de Strasbourg 38 Le contrôle des concentrations : l oublié de la Loi bancaire François BOUCARD, Avocat au Conseil d État et à la Cour de cassation 40 L intermédiaire en opérations de banque Hervé CAUSSE, Université d Auvergne 46 Les compagnies financières Michel STORCK, Université de Strasbourg 50 L encadrement pénal de la réforme Magalie NORD-WAGNER et Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE, Université de Strasbourg 55 Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984 Yves GÉRARD, Ancien Doyen de la Chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation sommaire Banque & Droit - hors série - mars

5 30 ANS de Loi bancaire Sommaire (suite) La relation banque-client 60 Que sont les notions devenues? Didier R. MARTIN, Professeur émérite 65 Le droit au compte : de la lutte contre l exclusion à la promotion de l inclusion bancaire Nicolas MATHEY, Université Paris Descartes 72 La distinction entre compte-courant et compte de dépôt Richard ROUTIER, Université de Strasbourg 77 Le secret bancaire Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE, Université de Strasbourg 82 La Loi bancaire et l évolution du crédit aux entreprises Dominique LEGEAIS, Université Paris Descartes 86 Point de vue : «Je me souviens» Marielle COHEN-BRANCHE, Autorité des marchés financiers 88 Après la Loi Bancaire, le droit bancaire au milieu d un gué Marie-Anne FRISON-ROCHE, Sciences-Po (Paris) banque & droit rue La Fayette Paris Fax : Avis aux lecteurs. Les articles publiés dans Banque & Droit n expriment que le point de vue de leurs auteurs. Le contenu de ces articles n engage pas Revue Banque ou la FBF qui n entendent pas prendre position à leur égard. La reproduction totale ou partielle des articles publiés dans Banque & Droit, sans accord écrit de la société Revue Banque SARL, est interdite conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. Fondateur : François de Juvigny Directeur de la publication : Valérie Ohannessian Secrétaire général : Pierre Coustols Rédacteur en chef : Élisabeth Coulomb Secrétariat de rédaction : 1 er SR, Alain de Seze (54 17) ; Christine Hauvette (54 10) Maquette : 1 er maquettiste, Emmanuel Gonzalez (54 12) ; Alexandra Démétriadis (54 18) Comité éditorial : Thierry Bonneau, Université Paris II (Panthéon-Assas) ; Gérard Gardella, Société Générale ; Jean-Louis Guillot, BNP Paribas ; Nicolas Molfessis, Université Paris II (Panthéon-Assas) ; Jean Naslin, BPCE ; Hubert de Vauplane, Kramer Levin Naftalis & Frankel. Comité de lecture : Philippe Arestan, Calyon ; Thierry Bonneau, Université Paris II (Panthéon-Assas) ; Alain Cerles, Paul Hastings-Paris ; Gérard Gardella, Société Générale ; Jean-Louis Guillot, BNP Paribas ; Jean-Pierre Mattout, Kramer Levin Naftalis & Frankel ; Thierry Samin, Société Générale ; Michel Storck, Faculté de droit de Strasbourg. Pour nous contacter, devant chaque numéro, ajouter l indicatif Abonnements : REVUE BANQUE 18 rue La Fayette Paris Gladys Hypolite Tél. : 33(0) Fax : 33(0) service.abonnement@revue-banque.fr ISSN /CPPAP 0614 T Imprimé à Pulnoy (54) par SPEI Dépôt légal 1 er trimestre Banque & Droit - hors série - mars 2014

6 30 ANS de Loi bancaire L adoption de la loi du 24 janvier 1984* ALAIN GOURIO Docteur en droit Directeur juridique Fédération bancaire française * Le style oral a été conservé. La Loi bancaire de 1984 a instauré le principe de l universalité des activités bancaires sur lequel s est construit le système bancaire français actuel. La solidité de ce modèle s est vérifiée lors des crises récentes. Pourtant, il risque aujourd hui d être remis en cause par le projet de règlement européen publié en janvier L e 24 janvier 1984, Steve Jobs lance le Macintosh ; le 24 janvier 1984, le président de la République, François Mitterrand, signe le décret de promulgation de la loi relative à l activité et au contrôle des établissements de crédit. Le premier événement constitue sans nul doute une étape «historique» dans le développement de l informatique grand public. L adoption de la loi du 24 janvier 1984 marque-t-elle, en ce qui la concerne, «une étape importante dans l histoire du système financier français», comme l affirmait la note de présentation de ce texte par la Direction des banques et des établissements financiers de l époque? L accueil par la doctrine universitaire fut plutôt mitigé. C. Gavalda et J. Stoufflet écrivaient dans leur commentaire à la Semaine juridique : «compte tenu de l époque de son élaboration, la législation de 1941 avait pu encadrer et accompagner juridiquement un fabuleux développement du système bancaire français de 1945 à Il est à craindre que le fragile et peu imaginatif texte de 1984, malgré ses 105 articles, n ait pas un destin comparable.» Nous célébrons aujourd hui les 30 ans de cette loi et l on peut dire que même si elle a fait l objet de réformes importantes, concernant notamment les activités de contrôle et la séparation de certaines activités, ses règles fondamentales d organisation demeurent et continuent de structurer le système bancaire français. C est sur le fondement de la loi de 1984 que s est construit le système bancaire français actuel, caractérisé par un nombre limité de groupes bancaires généralistes dont la solidité a permis de traverser sans trop de dommages les crises financières mondiales qui se sont succédé. Aussi, pour mesurer la portée de la loi, faut-il rappeler l état des lieux à la veille de son adoption. I. L ÉTAT DES LIEUX À LA VEILLE DE L ADOPTION DE LA LOI DE 1984 La situation se caractérisait alors par un contraste de plus en plus flagrant entre «le fabuleux développement du système bancaire français» 1 et son cadre juridique datant de la Seconde Guerre mondiale, plus précisément de l occupation et de la libération. Les banques françaises ont accompagné les trente glorieuses qui ont vu la bancarisation du pays. L élévation du niveau de vie a généré un besoin de services bancaires et les guichets se sont multipliés pour permettre l accès à ces services. L offre de produits et services a connu un essor considérable, tant à destination des particuliers (crédits à la consommation et immobiliers, moyens de paiement, produits d épargne ) que des professionnels (leasing, affacturage ). Parallèlement, les banques se sont développées à l international. Toutes ces évolutions ont été grandement facilitées par l informatisation des activités. Face à cela, un système bancaire «éclaté», «morcelé», «balkanisé». Certes les lois des 13 et 14 juin 1941 et du 2 décembre 1945 n ont pas démérité, en ce sens qu elles n ont pas empêché le «fabuleux développement» déjà cité. L ont-elles favorisé? cela est moins sûr. Qu on en juge : d un côté, un secteur bancaire au sens strict regroupant les banques inscrites et les établissements financiers relevant de la Banque de France, du Conseil national 1. Gavalda et Stoufflet, op. cit. 6 Banque & Droit - hors série - mars 2014

7 Nouveauté «Le Droit bancaire et financier vaut bien un roman et ces Mélanges le Goncourt!» Alain Cerles Le sixième volume de la collection des Mélanges AEDBF propose une approche très diversifiée du droit bancaire et financier. Il comprend en effet de nombreux articles qui abordent tant des questions fondamentales que d actualité, tant de manière large que précise, tant d un point de vue réfléchi que pratique. C est sous la direction d Alain Gourio et de Jean-Jacques Daigre qu ont été réunis ces 44 articles et leurs 50 auteurs. Avant-propos d Alain GOURIO et Jean-Jacques DAIGRE Sena AGBAYISSAH et Didier R. MARTIN Noam ANKRI Philippe ARESTAN Franck AUCKENTHALER Mathias AUDIT Augustin AYNES Nicolas AYNES et Xavier CLEDAT Pierre-Yves BERARD Sébastien BONFILS et Coline PAUL François BOUCARD Patrice BOUTEILLER Alain CERLES et Michel SEJEAN Marielle COHEN-BRANCHE Chantal CUTAJAR Olivier DOUVRELEUR Matthieu DUBERTRET Philippe DUPICHOT Philippe GOUTAY Caroline HOUIN- BRESSAND Emmanuel JOUFFIN Franck JULIEN Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE Anne-Valérie LE FUR Dominique LEGEAIS Antoine MAFFEI et Arnaud PINCE Didier MARTIN Nicolas MATHEY Jean-Pierre MATTOUT Juliette MEADEL Sébastien MENDES-GIL Anne-Dominique MERVILLE Renaud MORTIER Sébastien NEUVILLE et Arnaud AGBA Maurice NUSSENBAUM Gilbert PARLEANI Isabelle RIASSETTO Myriam ROUSSILLE Laurent RUET Bertrand de SAINT MARS Zine SEKFALI Blanche SOUSI Michel STORCK Jean STOUFFLET et Serge DUROX Aline TENENBAUM DROIT BANCAIRE ET FINANCIER MÉLANGES AEDBF-FRANCE VI 720 pages, 70 L AEDBF L AEDBF France est l association qui regroupe les membres français de l AEDBF, association européenne de professionnels, spécialistes des aspects juridiques des activités bancaires, financières et boursières. Ses membres sont issus de toutes les professions qui sont vouées ou qui portent un intérêt à ces matières : juristes de banque et d entreprise, avocats, magistrats, universitaires, fonctionnaires et économistes. Commandez cet ouvrage sur revue-banque.fr Cet ouvrage est également disponible à La librairie de la Banque et de la Finance, 18 rue La Fayette Paris

8 du crédit et de la Commission de contrôle des banques. Le concept de banque n était pas lui-même homogène puisqu il distinguait les banques de dépôts, les banques d affaires et les banques de crédit à moyen et long terme ; d un autre côté, les établissements à statut légal spécial échappant au droit commun bancaire, investis d une mission de service public notamment de distribution de prêts bonifiés et bénéficiant d un régime fiscal particulier. Ces établissements ne relevaient pas de la Commission de contrôle des banques et ne se voyaient appliquer que certaines règles édictées par le Conseil national du crédit ; ils développaient pourtant des activités identiques à celles des banques inscrites. Le secteur bancaire classique ne représentait plus en 1983 que 40 % des dépôts (56 % en 1945) et 45 % des crédits. C est à cette fragmentation doublée d une concurrence qui n était pas nécessairement à «armes égales» que la loi de 1984 s est attaquée. Initiative favorisée par le fait que la quasi-totalité du système bancaire a été nationalisé par la loi du 11 février 1982 (39 banques en sus des 3 banques nationalisées par la loi du 2 décembre 1945). II. LA PORTÉE DE LA LOI : LE PRINCIPE D UNIVERSALITÉ La loi instaure un principe d universalité. Mais attention, «universalité n est pas uniformité», écrivait Jacques Delors dans la Revue Banque 2. Autrement dit, la loi crée un concept générique d établissement de crédit couvrant différents types d organisations. C est l apport essentiel de la loi de 1984 : elle permet la création du modèle de la banque universelle dont il faut évaluer la pertinence passée et future. Le critère unificateur est l exercice de l activité bancaire, qui consiste à effectuer à titre habituel des opérations de banque (réception des fonds du public, opérations de crédit, gestion de mise à disposition des moyens de paiement). Sur ce fondement, le législateur opère une unification partielle des statuts : d une part, il fusionne les banques de dépôts et les banques d affaires (les banques) ; d autre part, il banalise les banques mutualistes et coopératives et, dans une certaine mesure, les caisses d épargne. Ces trois catégories d établissements vont pouvoir accomplir toutes les opérations de banque, sauf, pour les banques mutualistes et coopératives et les caisses d épargne, à respecter les limitations définies par les textes particuliers qui les régissent, limitations qui vont s estomper au fil du temps. Si l on ajoute à cela la possibilité pour les banques d exercer des activités financières, d abord à titre d opérations connexes puis, ultérieurement, comme prestataires de services d investissement (loi de modernisation des activités financières du 2 juillet 1996), nous sommes bien en présence de la banque «universelle» au sens économique du terme, c est-à-dire capable d offrir à ses clients tous les produits et services bancaires et financiers dont ils ont besoin. Le recul de 30 ans dont nous bénéficions maintenant nous permet d évaluer avec certitude la pertinence de ce modèle. Les principaux groupes bancaires français l ont adopté, soit au travers de la même structure juridique, soit par plusieurs structures consolidées. Ses avantages sont nettement identifiés. Il permet : d offrir, comme on l a dit, toute la gamme de produits et de services aux clients, en tenant compte du fait que produits bancaires et financiers sont étroitement liés (couverture de risque de taux, de change, etc.), ce qui est particulièrement vrai dans le domaine du financement des entreprises ; la division des risques entre les différentes activités ; de profiter des différents cycles de l activité économique, tantôt plus favorable aux activités de détail, tantôt aux activités de banque de financement et d investissement. La solidité du modèle s est vérifiée lors des crises récentes. Elle résulte notamment du constat que les établissements défaillants ont été pour l essentiel des établissements spécialisés, soit dans les activités de marchés (Lehman Brothers), soit dans les activités de détail (Northern Rock, les banques espagnoles). Certains établissements qui avaient concentré leurs activités sur les opérations de marché se sont «réuniversalisés», en développant à nouveau une activité de banque de détail. Pour le futur, les réformes visant à la séparation des activités ne remettent-elles pas en cause ce modèle? S agissant de la loi française du 26 juillet 2013, la réponse est sans aucun doute négative 3. Il ne s agit pas de couper les banques en deux, à la manière du Glass Steagall Act abrogé aux États-Unis en Il s agit simplement d isoler des activités de pur compte propre sans lien avec les besoins de la clientèle (arbitrage, activités directionnelles et financement non sécurisé des hedge funds). Dès lors qu elles sont destinées à la clientèle d investisseurs, les activités pour compte propre ne sont pas soumises à l obligation de séparation. Des solutions comparables sont adoptées dans les lois américaine (Volcker Rule), allemande et dans le projet belge. En revanche, le projet de règlement européen publié le 29 janvier 2014 risquerait de remettre en cause le modèle de la banque universelle. Il prévoit en effet le cumul d une interdiction des activités de pur compte propre et la filialisation des activités de compte propre exercées pour les besoins de la clientèle, incluant notamment la tenue de marché. Ce projet ne sera pas discuté avant la fin de la présente législature européenne. S il était adopté en l état, le texte signerait la mort de la loi du 24 janvier n 2. Revue Banque, mars 1983, p V. A. Gourio, «Loi du 26 juillet 2013 de séparation et de régulation des activites bancaires : la séparation de certaines activités», RDBF, nov.-déc. 2013, dossier, n 53. Banque & Droit - hors série - mars

9 Les bases de données Revue Banque & BASE DE SANCTIONS COMMENTAIRES OPÉRATIONNELS NOUVEAU 10 ans de décisions Une base unique Une base actualisée à chaque sanction 400 sanctions ACPR/AMF, arrêts et transactions homologuées regroupés, synthétisés et commentés Dirigeants, responsables de la conformité, des risques, fonctions de contrôle : comment améliorer la prévention du risque de non-conformité? La base SANCO (Base de sanctions & commentaires opérationnels) vous donne accès à l ensemble exhaustif des sanctions (et transactions homologuées) de l ACP et de l AMF, enrichies d une synthèse et d un commentaire pratique à visée opérationnelle incluant des points d attention. Un support unique La totalité des sanctions AMF et ACP depuis 10 ans. Une synthèse Le texte complet de la sanction est également disponible. Un commentaire opérationnel et points d attention Pour compléter les cartographies de risques de non-conformité ou concevoir et mettre en œuvre des contrôles adaptés. La base est actualisée lors du prononcé de toute nouvelle sanction ou transaction dans un délai maximum d un mois. LES AVANTAGES Compléter les cartographies de risques de non-conformité Compléter et adapter les plans de contrôle Adapter les procédures opérationnelles Préparer des actions d information et/ou de formation des collaborateurs LES UTILISATEURS Établissements bancaires et financiers Entreprises d investissement et sociétés de gestion Entreprises du secteur de l assurance Associations professionnelles du secteur bancaire et financier Le monde académique CONTACTEZ-NOUS pour en savoir plus, avoir une démonstration, souscrire un abonnement, s inscrire à l une des formations par rbline@revue-banque.fr par téléphone : sur notre site : revue-banque.fr/rbline ABONNEZ-VOUS : service.abonnement@revue-banque.fr Le contenu de la base est réalisé et mis à jour par :

10 Juin 2013 ISSN euros revue-banque.fr Septembre-octobre 2010 ISSN Bimestriel 65 euros revue-banque.fr Emmanuel Jouffin, Docteur en droit Arnaud LEfin et Vincent SouLignAc, groupe BPcE David MASSon et Houda DAMon, Ernst&Young, Société d Avocats Sabine MArcELLin, EPf - École d ingénieurs Bertrand de SAinT MArS et Jean-Pierre BornET Presse Séminaires Édition Librairie Internet 30 euros revue-banque.fr Banque & Droit ABONNEMENTS 2014 Je choisis l abonnement à BANQUE & DROIT coché ci-dessous : DÉCOUVERTE : 1 n o + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvelable) 70,00 75, AN : 6 n os + 2 hors-séries + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Institutionnel 425,00 445, Étudiant 99,00 130, COUPLAGE REVUE BANQUE + BANQUE & DROIT 1 AN : 18 n os + 2 suppléments + 2 hors-séries + accès online France (TTC) Étranger Quantité Total Tous abonnés (offre réservée aux non abonnés) 605,00 635, LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE (1) France (TTC) Quantité Total Abonnement annuel 1 compte 165,00... Abonnement annuel 5 comptes (2) 625, TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Réservé aux abonnés à une des revues du groupe. (2) Au-delà de 5 comptes, nous consulter (bibliotheque@revue-banque.fr). Société... Nom... Prénom... Fonction... Service... Adresse... Code postal/ville...pays... ABONNEMENT 1 AN 6 n os + 2 hors-séries + accès on line n 133 BANQUE DROIT la pratique du droit bancaire français et européen articles 3 Réglementation du travail le droit dévertébré de la lutte contre la discrimination 16 Lutte antiblanchiment Dans le labyrinthe des listes d États et territoires 25 Directive OPCVM IV Nouvelles règles, nouveaux défis pour la gestion d actifs 29 Pérennité et diffusion des données la dimension juridique de l archivage électronique chroniques 34 DROIT bancaire Thierry BonnEAu 41 DROIT financier et boursier Hubert de VAuPLAnE, Jean-Jacques DAigrE, 50 GesTION collective fabrice BuSSiÈrE 54 bancassurance Pierre-grégoire MArLY et Sylvestre gossou 59 DROIT Des sûretés nicolas rontchevsky et françois JAcoB 63 DROIT Des sociétés Michel STorcK, Quentin urban et isabelle riassetto 69 DROIT fiscal claire AcArD 71 NOmINaTIONs 73 bibliographie Alain cerles BANQUE DROIT la pratique du droit bancaire français et européen Décembre 2010 Quel droit BANQUE DROIT la pratique du droit bancaire français et européen Compte-rendu Rencontre Banque & Droit du 12 octobre 2010 LES GARANTIES SUR CRÉANCES À L ÉPREUVE DES PROCÉDURES COLLECTIVES l Introduction l Le nantissement de créances de droit commun : quelle efficacité? l La cession Dailly et l affaire «Cœur Défense» l Le transfert de créances en fiducie : une alternative, avec quelles limites? l Gage espèces et nantissement de compte l Délégation et stipulation pour autrui Francis CREDOT, Senior of counsel, Salans Avocats Associés Augustin AYNES, Agrégé des facultés de droit, Professeur à l Université Paris XII Jean-Louis GUILLOT, Directeur juridique, BNP Paribas Augustin AYNES, Agrégé des facultés de droit, Professeur à l Université Paris XII Thierry SAMIN, Responsable de la réglementation bancaire et financière, Société Générale Lionel ANDREU, Maître de conférences à la faculté de droit de Nantes Presse Séminaires Édition Librairie Internet HORS-SÉRIE pour le développement de la banque en ligne? Banque & Droit présente les actes du colloque organisé sur ce thème par le Centre de droit de l université de Strasbourg, les 6 et 7 décembre derniers. Juristes, universitaires, praticiens du droit et banquiers ont dressé à cette occasion un état des lieux complet du droit applicable aux activités de banque en ligne : des problèmes liés aux transactions internationales et aux juridictions compétentes pour les juger à la cybercriminalité de la banque en ligne, ou encore à la protection des données personnelles des clients, en passant par des questions simples en apparence, mais complexes dans les faits comme l ouverture d un compte ou la souscription d un crédit en ligne. Malgré un décalage parfois flagrant entre la théorie juridique et la pratique qu est-ce qu un document sur un support durable dans l univers high-tech?, ce colloque a permis de poser certaines bases et de cerner quelques vides juridiques. En effet, par exemple, comment s assurer de l identité de l internaute en ligne ou déterminer s il a la capacité juridique d effectuer certains actes? dans quelles circonstances la responsabilité de la banque est-elle engagée en cas de fraude? hors-série Code TVA (pour les pays de la CEE)... Téléphone...Télécopie... (indispensable)... En application de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires aptes à les traiter. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de Revue Banque. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement en le demandant par écrit au secrétariat général de Revue Banque. À retourner au SERVICE ABONNEMENTS REVUE BANQUE 18 rue La Fayette Paris Tél. : 33(0) Fax : 33(0) service.abonnement@revue-banque.fr Règlement à l ordre de La Revue Banque par chèque par carte bancaire* n Date limite de validité : _ / _ Notez les 3 derniers chiffres du cryptogramme visuel (au verso de votre carte) : _ * Sauf American Express et Diner s Club. Le règlement sur l étranger est à joindre impérativement à la commande et doit être effectué en euros, par chèque payable en France, net de frais. Pour les virements bancaires et CCP, nous consulter. DATE et SIGNATURE BD14 Vos abonnements se poursuivent en ligne sur revue-banque.fr Feuilletage, accès illimité aux archives de Banque & Droit

DROIT BANCAIRE ET FINANCIER

DROIT BANCAIRE ET FINANCIER DROIT BANCAIRE ET FINANCIER Mélanges AEDBF-France VI Sous la direction de Alain Gourio et Jean-Jacques Daigre Sommaire Avant-propos par Alain GOURIO et Jean-Jacques DAIGRE....15 Sena AGBAYISSAH Avocat

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. Droit des entreprises en difficulté

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. Droit des entreprises en difficulté BANQUE Octobre 2013 ISSN 1777-5752 60 euros DROIT la pratique du droit bancaire français et européen Droit des entreprises en difficulté Des pistes pour une réforme La convergence européenne La procédure

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité. Christian GAMALEU KAMENI, CREDIMI - Université de Bourgogne

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité. Christian GAMALEU KAMENI, CREDIMI - Université de Bourgogne BANQUE n 162 Juillet-août 2015 ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros DROIT la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité 3 ÉDITORIAL Jean-Jacques DAIGRE ARTICLES 4 Mécanisme de surveillance

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité BANQUE n 160 Mars-avril 2015 ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros DROIT la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité 3 ÉDITORIAL Jean-Jacques DAIGRE ARTICLES 4 Inconstitutionnalité du transfert

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen BANQUE n 149 mai-juin 2013 ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros DROIT la pratique du droit bancaire français et européen ARTICLES 3 Moyens de paiement Quelques remarques concernant la monnaie électronique

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. La redéfinition de la notion de réception de fonds du public

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. La redéfinition de la notion de réception de fonds du public n 156 juillet-août 2014 ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros ARTICLES 3 Monopole bancaire La redéfinition de la notion de réception de fonds du public Thierry SAMIN, Société Générale 9 Droit des sûretés

Plus en détail

BANQUE, ASSURANCE ET BIG DATA

BANQUE, ASSURANCE ET BIG DATA SÉMINAIRES Rencontre Banque & Droit BANQUE, ASSURANCE ET BIG DATA Mardi 2 juin 2015 de 9 h 00 à 12 h 00 Auditorium de la FBF 18, rue La Fayette 75009 Paris En partenariat avec En collaboration avec ASSOCIATION

Plus en détail

Au terme de notre journée d étude particulièrement. Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984

Au terme de notre journée d étude particulièrement. Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984 Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984 YVES GÉRARD Ancien Doyen à la chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation Si la loi bancaire de 1984

Plus en détail

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. 3 Financements structurés les banques de couverture dans les financements lbo

BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. 3 Financements structurés les banques de couverture dans les financements lbo BANQUE n 138 Juillet-août 2011 ISSN 1777-5752 Bimestriel 65 euros DROIT la pratique du droit bancaire français et européen articles 3 Financements structurés les banques de couverture dans les financements

Plus en détail

Rencontre Banque & Droit

Rencontre Banque & Droit AMPHITHÉÂTRE THOMSON REUTERS TRANSACTIVE BANQUE EN LIGNE : QUID DES OBLIGATIONS JURIDIQUES? > Mardi 5 novembre 2013 de 9h00 à 12h00 > Amphithéâtre Thomson Reuters Transactive 6/8 Bd Haussmann 75009 Paris

Plus en détail

Rencontre Banque & Droit

Rencontre Banque & Droit Titrisation : un outil de financement de l économie? Jeudi 5 juin 2014 de 9 h à 12 h Auditorium de la FBF 18, rue La Fayette 75009 Paris En partenariat avec En collaboration avec ASSOCIATION NATIONALE

Plus en détail

BANQUE STRATÉGIE ENASS PAPERS 9. cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER

BANQUE STRATÉGIE ENASS PAPERS 9. cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER BANQUE n 336 Mai 2015 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER ENASS PAPERS 9 Au menu de ce neuvième opus des ENASS papers, plusieurs points d actualité

Plus en détail

LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL, Vu l ordonnance n 58-1067 du 7 novembre 1958 modifiée portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ;

LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL, Vu l ordonnance n 58-1067 du 7 novembre 1958 modifiée portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ; Décision n 2014-449 QPC du 6 février 2015 (Société Mutuelle des transports assurances) Le Conseil constitutionnel a été saisi le 21 novembre 2014 par le Conseil d État (décision n 384353 du même jour),

Plus en détail

Signature d une charte pour améliorer l accès au crédit des EIRL avec la Fédération Bancaire Française - Bercy > mardi 31 mai 2011.

Signature d une charte pour améliorer l accès au crédit des EIRL avec la Fédération Bancaire Française - Bercy > mardi 31 mai 2011. Signature d une charte pour améliorer l accès au crédit des EIRL avec la Fédération Bancaire Française - Bercy > mardi 31 mai 2011 Dossier de presse www.economie.gouv.fr FREDERIC LEFEBVRE, SECRÉTAIRE D

Plus en détail

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition SOMMAIRE Chapitre 1 Introduction 9 Chapitre 2 L organisation de l activité bancaire

Plus en détail

Crédit Agricole SA adapte son organisation pour piloter les transformations et améliorer la performance collective

Crédit Agricole SA adapte son organisation pour piloter les transformations et améliorer la performance collective Paris, le 4 août 2015 Communiqué de presse Crédit Agricole SA adapte son organisation pour piloter les transformations et améliorer la performance collective Réuni lundi 3 août 2015 sous la présidence

Plus en détail

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière BANQUE n 295 Septembre 2011 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière dossier les institutions financières internationales se réinventent Qu

Plus en détail

9 modules de 1 à 3 jours Titre du stage Nb. jours Dates Page. 2 27 et 28 mars. Le droit des marques, des noms de domaine et des dessins et modèles

9 modules de 1 à 3 jours Titre du stage Nb. jours Dates Page. 2 27 et 28 mars. Le droit des marques, des noms de domaine et des dessins et modèles www.paulroubier.com CALENDRIER 01 9 modules de 1 à jours Titre du stage Nb. jours Dates Page 1 La brevetabilité 15, 16 et 17 janvier L obtention du brevet 5,6 et 7 février 4 Les droits conférés par le

Plus en détail

Retour sur un statut juridique atypique : la société de financement à double agrément

Retour sur un statut juridique atypique : la société de financement à double agrément Page 1 sur 5 Imprimé par edeabreu@kramerlevin.com Cette impression est à usage strictement personnel. Si vous souhaitez utiliser cet article à des fins collectives, merci de contacter Revue Banque. Accueil

Plus en détail

PME Finance 29 avril 2014

PME Finance 29 avril 2014 PME Finance 29 avril 2014 http://www.pmefinance.org/9587-crowdfunding-analyse-du-projet-d-ordonnance.html Crowdfunding : le projet d'ordonnance se précise Très attendu, le projet d'ordonnance de simplification

Plus en détail

Arbitrage et droit de l Union européenne

Arbitrage et droit de l Union européenne Le droit de l arbitrage se situe très largement en dehors de la sphère de la compétence de l Union européenne ; il demeure de source nationale ou internationale. Le principal texte européen qui mentionne

Plus en détail

Anne-Dominique MERVILLE

Anne-Dominique MERVILLE Anne-Dominique MERVILLE Maître de Conférences à l Université de Cergy-Pontoise (HDR) Directrice du Master II Professionnel Droit pénal financier Directrice de la Chaire Droit & Sécurité financière I. CURSUS

Plus en détail

Conditions Générales de Vente (site e- commerce)

Conditions Générales de Vente (site e- commerce) Conditions Générales de Vente (site e- commerce) Préambule Les présentes conditions générales de vente sont conclues : ENTRE : - La société SARL MAGUY domiciliée 35 rue St Jacques 58200 Cosne cours sur

Plus en détail

BANQUE STRATÉGIE. ESCP Europe Applied Research Papers. cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE STRATÉGIE. ESCP Europe Applied Research Papers. cahier de prospective bancaire & financière BANQUE n 331 Décembre 2014 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière ESCP Europe Applied Research Papers Ce troisième opus des ESCP Europe Applied Research

Plus en détail

Stratégie et management d un cabinet d avocats

Stratégie et management d un cabinet d avocats Stratégie et management d un cabinet d avocats > CE PROGRAMME EST COMPATIBLE AVEC LES OBLIGATIONS LÉGALES DE FORMATION DES AVOCATS CYCLE 6 modules de 14h à 19h 10 et 24 octobre, 7 et 21 novembre, 5 et

Plus en détail

19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne

19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne 19 èmes Rencontres parlementaires sur l Épargne Organisées et présidées par Philippe MARINI Sénateur de l Oise Rapporteur général de la Commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques

Plus en détail

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges

Plus en détail

Communication sur l'obligation faite aux banques d'établir une convention de compte au bénéfice de leur clientèle

Communication sur l'obligation faite aux banques d'établir une convention de compte au bénéfice de leur clientèle Commission nationale de l informatique et des libertés Communication présentée en séance plénière le 3 juin 2004 Communication sur l'obligation faite aux banques d'établir une convention de compte au bénéfice

Plus en détail

Revue de presse du 11 septembre 2015

Revue de presse du 11 septembre 2015 Revue de presse du 11 septembre 2015 Législation Communautaire Banque Doctrines (052232) L'individualisation des sanctions adoptées par l'union européenne sous forme de mesures restrictives (embargo, gel

Plus en détail

Le droit au compte. Direction de la Surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière

Le droit au compte. Direction de la Surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Direction de la Surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Initialement conçu comme une mesure destinée à concilier le principe de liberté contractuelle en matière d ouverture

Plus en détail

Master 2 Professionnel. Ingénierie Juridique et Fiscale du Patrimoine 2012-2013 UNIVERSITÉ PARIS I PANTHÉON SORBONNE

Master 2 Professionnel. Ingénierie Juridique et Fiscale du Patrimoine 2012-2013 UNIVERSITÉ PARIS I PANTHÉON SORBONNE Master 2 Professionnel Ingénierie Juridique et Fiscale du Patrimoine 2012-2013 UNIVERSITÉ PARIS I PANTHÉON SORBONNE Le mot du Directeur Le Master II Professionnel «Ingénierie Juridique et Fiscale du Patrimoine»

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession

Plus en détail

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Le 8 mars 2010, la Ministre de l Economie de l Industrie et de l Emploi Christine Lagarde a installé la nouvelle Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).

Plus en détail

Etudiez à l étranger. Avril 2011. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris 1 cles@fbf.

Etudiez à l étranger. Avril 2011. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris 1 cles@fbf. Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification

Plus en détail

Fiscalité Internationale

Fiscalité Internationale Master 2 Fiscalité Internationale Panthéon - Assas Meilleur Master au classement smbg des formations en fiscalité et droit fiscal Formation classée A par AERES partenaire Le mot du directeur,, Depuis près

Plus en détail

BANQUE STRATÉGIE. Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER

BANQUE STRATÉGIE. Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER BANQUE n 316 Juillet-août 2013 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière DOSSIER Innovation et nouvelles technologies : où en sont les banques? La plupart

Plus en détail

Les organismes de placement collectif immobilier

Les organismes de placement collectif immobilier Les organismes de placement collectif immobilier (OPCI) Régime juridique Émilie Capron Avocat 5 e édition augmentée et mise à jour notamment des dispositions de la loi de régulation bancaire et financière

Plus en détail

Dillenschneider Favaro & Associés

Dillenschneider Favaro & Associés Dillenschneider Favaro & Associés cabinet d avocats paris luxembourg une histoire commune Des expériences professionnelles différentes et des expertises complémentaires ont fondé une histoire commune quand

Plus en détail

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme SEPTEMBRE 2015 HORS-SÉRIE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Ce

Plus en détail

N MAPA 05-2014 Marché de Fourniture de combustibles Bois-Energie Marché à bons de commandes (art 77 du code des marchés publics)

N MAPA 05-2014 Marché de Fourniture de combustibles Bois-Energie Marché à bons de commandes (art 77 du code des marchés publics) N MAPA 05-2014 Marché de Fourniture de combustibles Bois-Energie Marché à bons de commandes (art 77 du code des marchés publics) CHAUDIERE BOIS ENERGIE DE L HOTEL D ENTREPRISES Procédure adaptée art 28

Plus en détail

Bien utiliser la carte bancaire

Bien utiliser la carte bancaire 016 w w w. l e s c l e s d e l a b a n q u e. c o m Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Bien utiliser la carte bancaire L e s M i n i - G u i d e s B a n c a i r e s FBF - 18 rue

Plus en détail

Une gamme complète de solutions d investissement et de services à destination des investisseurs

Une gamme complète de solutions d investissement et de services à destination des investisseurs Une gamme complète de solutions d investissement et de services à destination des investisseurs LA FRANCAISE GLOBAL INVESTMENT SOLUTIONS La Française GIS est une des 3 entités du Groupe La Française et

Plus en détail

Introduction au droit Fiche bancaire

Introduction au droit Fiche bancaire Introduction au droit Fiche bancaire 1 I. Histoire et actualité du droit bancaire II. Sources du droit bancaire Définitions Droit économique : branche du droit mi-privé, mi-public qui met en relief l intervention

Plus en détail

N émettez pas de chèque sans provision

N émettez pas de chèque sans provision 011 w w w. l e s c l e s d e l a b a n q u e. c o m Le site d informations pratiques sur la banque et l argent N émettez pas de chèque sans provision L e s M i n i - G u i d e s B a n c a i r e s FBF -

Plus en détail

Colloque Aux limites du droit Mardi 15 avril Salle Colbert. Mercredi 16 avril Salle Bonaparte

Colloque Aux limites du droit Mardi 15 avril Salle Colbert. Mercredi 16 avril Salle Bonaparte Colloque Aux limites du droit Mardi 15 avril Salle Colbert Mercredi 16 avril Salle Bonaparte 15 Mardi 8h30 9h Accueil des participants Ouverture des 8 es Journées Scientifiques de l Université de Toulon

Plus en détail

(Document adopté par la Commission le 19 janvier 2006)

(Document adopté par la Commission le 19 janvier 2006) Bilan de l application de la recommandation de la Commission nationale de l informatique et des libertés du 29 novembre 2001 sur la diffusion de données personnelles sur Internet par les banques de données

Plus en détail

le Fichier central des chèques (FCC) et le Fichier national des chèques irréguliers (FNCI),

le Fichier central des chèques (FCC) et le Fichier national des chèques irréguliers (FNCI), Le rôle du Fichier central des chèques et du Fichier national des chèques irréguliers Note d information La Banque de France a reçu du législateur la mission de «veiller au bon fonctionnement et à la sécurité

Plus en détail

CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS. 1. La définition de l activité des CIF

CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS. 1. La définition de l activité des CIF CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS 23/07/2012 La loi dite de sécurité financière du 1er août 2003 a donné un statut à l activité de conseil en investissements financiers (CIF) du fait de la complexité

Plus en détail

29 èmes Journées franco-allemandes de juristes et pré-séminaire pour étudiants en droit du 4 au 9 octobre 2005 à Paris

29 èmes Journées franco-allemandes de juristes et pré-séminaire pour étudiants en droit du 4 au 9 octobre 2005 à Paris 29 èmes Journées franco-allemandes de juristes et pré-séminaire pour étudiants en droit du 4 au 9 octobre 2005 à Paris Les journées franco-allemandes de juristes et d étudiants en droit ont pour objectif

Plus en détail

Audit de la filière et pilotage des prestataires : les meilleurs dispositifs juridiques, techniques et organisationnels

Audit de la filière et pilotage des prestataires : les meilleurs dispositifs juridiques, techniques et organisationnels 16 ème Forum Annuel Chèque 2009 Audit de la filière et pilotage des prestataires : les meilleurs dispositifs juridiques, techniques et organisationnels Le 23 janvier 2009, Cercle National des Armées, Paris

Plus en détail

Rapport d audit interne

Rapport d audit interne Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er

Plus en détail

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC

REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC république démocratique du congo Ministère du Plan et Révolution de la Modernité Agence Nationale pour la Promotion des Investissements ANAPI REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE

Plus en détail

Réforme bancaire : ce que dit le

Réforme bancaire : ce que dit le Réforme bancaire : ce que dit le projet de loi Le Monde.fr 27.11.2012 à 19h15 Mis à jour le 28.11.2012 à 07h13 Par Anne Michel Le projet de loi vise à "remédier à certaines carences du dispositif de régulation

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale

Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Nom du sénateur Eric Bocquet Groupe Communiste Républicain Citoyen Sénateur du Nord Paris, le 19 mars 2013 Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Monsieur

Plus en détail

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Crowdfunding Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Marie-Agnès NICOLET Présidente fondatrice de Regulation Partners marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34

Plus en détail

Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives

Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Aimé Diaka Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook

Plus en détail

LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER

LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER ANNEE 2014 SEPTEMBRE N 752 LOI ALUR TROISIEME PARTIE : COPROPRIETE Jean-Jacques Salmon Philippe Salmon Christine Baugé David Alexandre Droit immobilier Droit de la construction

Plus en détail

La patrithèque. Solution documentaire électronique sur le patrimoine. La patrithèque. www.harvest.fr

La patrithèque. Solution documentaire électronique sur le patrimoine. La patrithèque. www.harvest.fr Logo_ harvest Finalisation Logo_ harvest Finalisation www.harvest.fr 3 rue La Boétie 75008 PARIS contact@harvest.fr T : 01 53 30 28 00 F : 01 53 30 28 01 La patrithèque Solution documentaire électronique

Plus en détail

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

AVENANT CONVENTION DE COMPTE

AVENANT CONVENTION DE COMPTE AVENANT CONVENTION DE COMPTE Le présent avenant a notamment pour objet d élargir le périmètre actuel de votre offre Services en Ligne, figurant dans votre Convention de compte ou souscrite par acte séparé,

Plus en détail

Master 2 professionnel Droit des Affaires et Fiscalité

Master 2 professionnel Droit des Affaires et Fiscalité Master 2 professionnel Droit des Affaires et Fiscalité Université Paris 1 Panthéon - Sorbonne Master en partenariat avec HEC Mots des directeurs Le Master 2 professionnel de Droit des Affaires et Fiscalité

Plus en détail

DIPLOMES UNIVERSITAIRES

DIPLOMES UNIVERSITAIRES ALEXANDRE DESRAMEAUX MAÎTRE DE CONFERENCES EN DROIT PUBLIC (depuis 2009) Titulaire du Certificat d Aptitude à la Profession d Avocat (CAPA) DIPLOMES UNIVERSITAIRES 2006 Doctorat en droit de l Université

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel

Plus en détail

C. N. E. E. TRANSCRIPTION DES DIRECTIVES 92/49/CEE 92/96/CEE et 92/50/CEE. Titre II Article 6

C. N. E. E. TRANSCRIPTION DES DIRECTIVES 92/49/CEE 92/96/CEE et 92/50/CEE. Titre II Article 6 C. N. E. E. TRANSCRIPTION DES DIRECTIVES 92/49/CEE 92/96/CEE et 92/50/CEE Assurances vie et non vie. La Directive 92/49/CEE du Conseil du 18 juin 1992 porte coordination des dispositions législatives,

Plus en détail

LE CROWDFUNDING. Copyright Duhamel Blimbaum.

LE CROWDFUNDING. Copyright Duhamel Blimbaum. LE CROWDFUNDING Copyright Duhamel Blimbaum. Introduction Le financement participatif (ou «crowdfunding» en anglais) est un mode de financement, via internet, qui permet de collecter les apports financiers

Plus en détail

Une banque coopérative solide engagée dans sa région. Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance

Une banque coopérative solide engagée dans sa région. Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance 2012 CAISSE D EPARGNE : UNE BANQUE ENGAGÉE DANS SA RÉGION LA BANQUE. NOUVELLE DÉFINITION. LE MESSAGE DES PRÉSIDENTS Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance Jean-Marc Carcelès

Plus en détail

en Tunisie Enseignant en droit public à la Faculté des Sciences Juridiques de Tunis, chargé du cours d informatique

en Tunisie Enseignant en droit public à la Faculté des Sciences Juridiques de Tunis, chargé du cours d informatique Titre Chawki GADDES Enseignant en droit public à la Faculté des Sciences Juridiques de Tunis, chargé du cours d informatique Secrétaire général de l Association Tunisienne de Droit Constitutionnel Secrétaire

Plus en détail

DEMANDE D ADHESION AU CONTRAT AVOCAPI

DEMANDE D ADHESION AU CONTRAT AVOCAPI Société Anonyme d assurance sur la vie et de capitalisation au capital de 22 204 256 E entièrement libéré. Entreprise régie par le code des assurances - 430 435 669 RCS Nanterre Siège social : 50, avenue

Plus en détail

LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Repère n 21. Vivre sans chéquier FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE

LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Repère n 21. Vivre sans chéquier FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES Repère n 21 Vivre sans chéquier FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE janvier 2006 Ce mini-guide vous est offert Tous droits réservés. La reproduction totale ou partielle des textes de

Plus en détail

2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte

2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte Autoentrepreneur 2015/16 Bénédicte Deleporte Avocat au Barreau de Paris Chargée d enseignement à l Univeristé Paris Est Créteil (UPEC, ex Paris 12) Deleporte Wentz Avocat www.deleporte-wentz-avocat.com

Plus en détail

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032

Plus en détail

À quoi sert une banque?

À quoi sert une banque? À quoi sert une banque? Trois fonctions clés La banque remplit trois fonctions essentielles. Elle collecte, gère vos dépôts, et vous fournit des moyens de paiement (chéquier, carte bancaire, ordre de virement

Plus en détail

Master 2 ème année Management des événements et des loisirs sportifs (MELS) Option : Marketing et communication

Master 2 ème année Management des événements et des loisirs sportifs (MELS) Option : Marketing et communication Master 2 professionnel Management des événements et des loisirs sportifs (MELS) Option marketing et communication Dossier de candidature 2ème meilleur master français en Management du sport Université

Plus en détail

CGV - SOUSCRIPTION ET ACHAT SUR LES SITES INTERNET du Groupe LE MESSAGER

CGV - SOUSCRIPTION ET ACHAT SUR LES SITES INTERNET du Groupe LE MESSAGER CGV - SOUSCRIPTION ET ACHAT SUR LES SITES INTERNET du Groupe LE MESSAGER Entre : le client (ci-après dénommé «le Client») ; Informations Le Client, personne physique ou morale, qui opère, dans le cadre

Plus en détail

Crédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011

Crédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Crédit Consommation Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Sommaire Les points clés de la réforme Les changements Notre philosophie de la réforme Les changements Notre philosophie Le crédit : - est

Plus en détail

COMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales

COMPTE EPARGNE LOGEMENT. Une épargne constructive. Conditions Générales COMPTE EPARGNE LOGEMENT Une épargne constructive Conditions Générales CONDITIONS GENERALES 1. Conditions d ouverture et de détention Toute personne physique peut être titulaire d un compte d épargnelogement

Plus en détail

Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011

Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011 Forum annuel 2011 Mercredi 23 novembre 2011 En partenariat avec la Caisse des Dépôts, 3 quai Anatole France, Amphi Gérard Bureau, Paris 7e PROGRAMME DE LA JOURNÉE, transitions économiques 1 MATIN 8H00-8H30

Plus en détail

SCPI Amundi DEFI Foncier

SCPI Amundi DEFI Foncier SCPI Amundi DEFI Foncier SCPI de Déficit Foncier à capital fixe Souscription ouverte jusqu au 16 décembre 2015 - Pour bénéficier du dispositif fiscal de déficit foncier en 2014, souscription jusqu au 16

Plus en détail

Vivre sans chéquier LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Site d informations pratiques sur la banque et l argent. Repère n 21

Vivre sans chéquier LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Site d informations pratiques sur la banque et l argent. Repère n 21 LES MINI-GUIDES BANCAIRES Site d informations pratiques sur la banque et l argent Repère n 21 Vivre sans chéquier Ce mini-guide a été conçu par le Centre d Information Bancaire 18 rue La Fayette 75440

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MLD-2014-090

Décision du Défenseur des droits MLD-2014-090 Décision du Défenseur des droits MLD-2014-090 RESUME ANONYMISE DE LA DECISION Décision relative à un refus de carte de paiement adossée à un crédit renouvelable en considération du congé maternité de la

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER

PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER PRIX DU MEILLEUR ETUDIANT JURISTE IMMOBILIER Prix du Meilleur Etudiant Juriste Immobilier 2014 Le prix a vocation à récompenser le meilleur étudiant juriste immobilier en Master 2. Il est attribué sur

Plus en détail

La mission de «tiers de confiance» a été instaurée par l article 68 de la loi 2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative pour 2010.

La mission de «tiers de confiance» a été instaurée par l article 68 de la loi 2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative pour 2010. DROIT FISCAL 64/2012 LES NOUVELLES MISSIONS DES NOTAIRES Les notaires (comme les avocats et les experts comptables) peuvent être habilités par l administration à devenir «tiers de confiance» pour le compte

Plus en détail

Dossier de Presse SEMINAIRE FISCALITE. Mercredi 10 et Jeudi 11 Décembre 2014

Dossier de Presse SEMINAIRE FISCALITE. Mercredi 10 et Jeudi 11 Décembre 2014 Dossier de Presse SEMINAIRE FISCALITE Mercredi 10 et Jeudi 11 Décembre 2014 avec la participation exceptionnelle de Jean Claude DRIE, avocat fiscaliste SOMMAIRE LE CONTEXTE P. 3 LES ORGANISATEURS P. 4

Plus en détail

FORTUNEO FCPI FIP ISF 2011 BP 45 29801 BREST CEDEX 09

FORTUNEO FCPI FIP ISF 2011 BP 45 29801 BREST CEDEX 09 MODE D EMPLOI SOUSCRIPTION FCPI-FIP 2011 1 QUESTIONNAIRE PRODUITS DEFISCALISANTS Ce questionnaire, établi dans le cadre des dispositions de l article L. 541-8-1 du Code monétaire et financier, nous permet

Plus en détail

Décision n 10-DCC-128 du 30 septembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de Sodelem par le CIC

Décision n 10-DCC-128 du 30 septembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de Sodelem par le CIC RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-128 du 30 septembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de Sodelem par le CIC L Autorité de la concurrence, Vu le dossier de notification adressé complet

Plus en détail

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, une

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, une Mini-guide téléchargé depuis le site www.lesclesdelabanque.com - e-mail : cles@fbf.fr Mini-guide n 25 - Nouvelle éditon - Mars 2011 La Convention AERAS (s Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de

Plus en détail

Le management au Ministère de la Défense

Le management au Ministère de la Défense Ouvrage collectif piloté par le CFMD sous la direction du général Baudouin ALBANEL Le management au Ministère de la Défense, 2004 ISBN : 2-7081-3042-0 Sommaire Préface Manager : une priorité du secteur

Plus en détail

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Réduire le risque : la nouvelle obsession

BANQUE. cahier de prospective bancaire & financière. Réduire le risque : la nouvelle obsession BANQUE n 303 Mai 2012 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr STRATÉGIE cahier de prospective bancaire & financière 3 dossier Réduire le risque : la nouvelle obsession Les décisions prises pour

Plus en détail

Vers une Cour suprême? Par Hubert Haenel Membre du Conseil constitutionnel. (Université de Nancy 21 octobre 2010)

Vers une Cour suprême? Par Hubert Haenel Membre du Conseil constitutionnel. (Université de Nancy 21 octobre 2010) Vers une Cour suprême? Par Hubert Haenel Membre du Conseil constitutionnel (Université de Nancy 21 octobre 2010) Le Conseil constitutionnel a fêté, il y a deux ans, son cinquantième anniversaire. Cet événement

Plus en détail

IMMOBILIER ET INTERNET

IMMOBILIER ET INTERNET CONFÉRENCE LE 15 NOVEMBRE À PARIS IMMOBILIER ET INTERNET NOUVELLES STRATÉGIES DIGITALES FORMATION ASSOCIÉE ( - Paris) Immobilier : réussir sa stratégie sur le Web Les 8 et 9 décembre 2011 Organisé par

Plus en détail

HORS SÉRIE. GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES. décembre 2005

HORS SÉRIE. GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE LES MINI-GUIDES BANCAIRES. décembre 2005 FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE HORS SÉRIE GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes décembre 2005 LES MINI-GUIDES BANCAIRES Comme elles s y étaient engagées devant le Comité Consultatif du Secteur Financier,

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès 111 GUIDE PRATIQUE Droit d accès QU EST-CE QUE LE DROIT D ACCÈS? page 2 COMMENT EXERCER SON DROIT D ACCÈS? page 3 POUR ACCÉDER A QUOI? page 5 QUELLE RÉPONSE ATTENDRE? page 6 QUAND ET COMMENT SAISIR LA

Plus en détail

Fondation Scelles 14, rue Mondétour, 75001 Paris- 01 40 26 04 45 www.fondationscelles.org

Fondation Scelles 14, rue Mondétour, 75001 Paris- 01 40 26 04 45 www.fondationscelles.org Fondation Scelles 14, rue Mondétour, 75001 Paris- 01 40 26 04 45 www.fondationscelles.org COLLOQUE FONDATION SCELLES L ECONOMIE EN DANGER, Les circuits de l argent sale, l argent criminel de la traite

Plus en détail

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance

Plus en détail

Rencontre annuelle ACTICONSEIL

Rencontre annuelle ACTICONSEIL Rencontre annuelle ACTICONSEIL Mardi 18 Janvier 2011 Comment optimiser ses frais financiers avec un prêt à taux fixe : Le prêt à dates d échéances choisies (PEC) 1 Principales caractéristiques PEC Objet

Plus en détail