LE LIBERAL «ETRE UN LEADER N EST PAS UN REVE, C EST UN COMBAT!»

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1 LE LIBERAL «ETRE UN LEADER N EST PAS UN REVE, C EST UN COMBAT!» Etat malgache VERS L ANNI- HILATION? Bimensuel n 06, vendredi 29 juin 2012 A USAGE UNIQUE DU PARTI LEADER FANILO. NE PEUT ETRE VENDU. Consultable sur : SOMMAIRE rem- Dernier part, p. 3 Tête à tête Raj o e l i n a - Ravalomanana, p. 4 A Madagascar, on craigne que l agissement de Ramenabila, chef d une bande de 200 à 300 «dahalo» qui sème la terreur à Amboasary-sud, ne dépasse pas le simple phénomène «dahalo». Plus d un estime que si le défi ouvert lancé par ce «chef de guerre» criminel et sa légion contre les autorités civiles et militaires locales n est pas maitrisé à temps, cela risque de germer un spectre de sécession politique à l image de Somalie et du Mali. (p. 2) Hier, aujourd- hui et demain, p. 8 Euro 2012 ambongadiny, p. 10 RACCOURCI Le libéralisme est un mouvement progressiste qui défend la liberté de l individu, l équité et les droits de l homme (...) s adresse à tous ceux pour qui la liberté, l ouverture d esprit et la créativité de l homme mènent à plus de prospérité et de bien-être. Prélude du Manifeste d Oxford de Liberales

2 Le Libéral, n 06 Page 2 Editorial VERS L ANNIHILATION DE L ETAT MALGACHE? «La persistance de la crise malgache lamine la puissance publique». C est-ce qu a été soulevé à l issue d une conférence dirigée par Théogène Rajaonarivelo à l Ecole Nationale d Administration de Madagascar (ENAM) à Androhibe en guise d un cours inaugural pour les 192 élèves définitivement admis au dernier concours d entrée. Selon l analyse de cet enseignant d université spécialiste de droit public et directeur général de l école est que, l actuelle crise politique qui frappe Madagascar risque de menacer l existence de l Etat. Pour étayer sa thèse, Théogène Rajaonarivelo a mis l accent sur le troisième élément constitutif de l Etat qu est le pouvoir politique. Autrement dit, ce n est pas le territoire dont les frontières de la République qui est menacé ; la menace sur l existence de l Etat n est pas également du tout causée par la population malgache, laquelle n est pas fait l objet de dépeuplement ni d une émigration massive. «Cette crise lamine le pouvoir politique, le gouvernement qui, en tant que 3 e élément constitutif de l Etat, exerce la puissance publique», a noté le conférencier avant de préciser qu un Etat cesse sa raison d être si le pouvoir politique a failli à sa mission principale, à savoir le maintien de l ordre public. Par contre, l exercice de cette mission est bancal lorsque le pouvoir politique souffre de l effectivité du fait de la persistance d une crise politique. Cet ancien membre du Conseil Consultatif Constitutionnel (CCC) de la constitution du IVe République d expliquer que la grève, les mouvements sociaux, la révolte voire la guerre forment une phase évolutive d une crise politique ou d une crise de pouvoir. A titre d illustration, l existence de l Etat a été remise en cause au Soudan, en Somalie et dernièrement au Mali du fait de l absence d un pouvoir politique légal, légitime et effectif capable d exercer son autorité sur l ensemble du territoire. Le Soudan a fait l objet d une scission... C est le principe de l intangibilité des frontières héritées après la décolonisation et prôné par la Charte de l Union Africaine qui pose problème au Soudan. Quant à la Somalie, il n y a plus de gouvernement répondant à l orthodoxie de droit depuis quelques années. Ce sont des chefs de guerre qui font la loi sur place. De même, la partie nord du Mali est toujours restée entre les mains des islamistes. A Madagascar, on craigne que l agissement de Ramenabila, chef d une bande de 200 à 300 «dahalo» qui sème la terreur à Amboasary-sud, ne dépasse pas le simple phénomène «dahalo». Plus d un estime que si le défi ouvert lancé par ce «chef de guerre» criminel et sa légion contre les autorités civiles et militaires locales n est pas maitrisé à temps, cela risque de germer un spectre de sécession politique à l image de Somalie et du Mali. Il ne s agit pas de chose nouvelle car il fut un temps où un leader de l opposition malgache avait appelé la province d Antsiranana à un «territoire libéré». Plus jamais ça! Zanatsoa

3 Le Libéral, n 06 Page 3 OPINION Dernier rempart L es faits dépassent l entendement, une bande armée dirigée par le dénommé Remenabila défie les forces de l ordre. Qui l eût cru que des ennemis de l intérieur puisse tenir tête à l armée nationale et la gendarmerie. De multiples questions peuvent se poser. Comment un chef de bande puisse mobiliser une milice de plusieurs centaines de personnes au vu et au su des autorités locales? Comment se sont-ils procurés un grand nombre d armes de guerre dont la provenance ne fait pas de doute mais sont sortis des arsenaux des forces armées? Comment font-ils pour se ravitailler? De quelle logistique et de quelles ressources disposentils pour pouvoir, à ce point, narguer les forces de l ordre envoyées à leur poursuite? De quelles complicités peuvent-ils s appuyer pour filer à la barbe des éléments chargés de les combattre? C eci démontre au mieux un dysfonctionnement au niveau des différents services de l administration et des collectivités territoriales, au pire un délitement de l Etat. Il est impensable que même si la zone est enclavée et de forêt dense que les autorités en charge de la sécurité publique soient à ce point défaillant. Ceci met en exergue que l institution militaire doit être remise en question pour répondre à sa mission première de défense des biens et des personnes contre l ennemi de l extérieur comme de l intérieur. D ès à présent certaines mesures conservatoires doivent être mises en chantier pour restaurer l institution militaire. Le premier de ces mesures est de mettre fin à un malentendu sur le recrutement dans les forces de l ordre. Les gens entrent dans les forces de l ordre ou la police non pas pour le métier des armes mais pour être un fonctionnaire peinard. Le vrai métier des armes devrait impliquer pour eux et leurs proches de travailler aux risques de leur vie si les conditions l exigent. Il faut de plus que la discipline soit remise au goût du jour dans l armée, il est inadmissible qu un soldat refuse de saluer un officier ou feint de l ignorer. Enfin, les derniers événements de Befotaka ont démontré que le matériel doit être revu notamment les moyens d information et la logistique pour être en adéquation avec les différents contextes. L a résolution de la crise politique n est pas un prétexte pour laisser pourrir la situation et laisser s installer l anarchie. La réhabilitation de l institution militaire n est pas l unique chantier à mettre en œuvre sans attendre l instauration d un nouveau régime légitimé par les urnes mais il est urgent que la situation ne se dégrade. L armée est notre dernier rempart pour défendre la République, la démocratie et l unité du pays. AR

4 Le Libéral, n 06 Page 4 TËTE A TETE RAJOELINA-RAVALOMANANA RAVALOMANANA Rapport de force sur terrain décisif Tous les regards sont rivés sur la prochaine rencontre entre le n 1 de la Transition, Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana. Après avoir été catégorique pour son indisposition à rencontrer son rival politique, Andry Rajoelina a finalement changé d avis (comme d habitude). Depuis la dernière rencontre des «4» à Sandton, Afrique du Sud, le fondateur du parti TGV a repoussé l énième sollicitation de Marc Ravalomanana auprès de la Troïka pour une nouvelle rencontre avec Rajoelina. Aujourd hui, le fléchissement d Andry Rajoelina s analyse à une demi-victoire pour Marc Ravalomanana et un aveu de reculade pour le locataire d Ambohitsorohitra. Boosté par le revirement de son tombeur, Ravalomanana a placé la barre de sa surenchère très haute. L homme exige à ce que sa rencontre avec Andry Rajoelina soit tenue à Antananarivo et ce, avant le 26 juin dernier. En tout cas, la question qui taraude les analystes est de savoir quel vent a poussé la SADC à remettre sur le tapis la nécessité d une rencontre urgente entre les deux acteurs centraux de la crise malgache? Par ailleurs, quelle mouche a piqué le locataire d Ambohitsorohitra lui incitant à revenir à sa décision de ne plus prendre à part à un sommet avec Ravalomanana, Ratsiraka, Zafy ou l un d entre eux? Comme annoncé, cette nouvelle dynamique de tête-à-tête sera marquée par le retour en force de M. Joachim Chissano à la charge en dépit de la méfiance à peine voilée entretenue par Ambohitsorohitra à l encontre de l ancien président mozambicain. Beaucoup pense que la dégénérescence de la situation politique dans la capitale, notamment l énième tentative d investir le parc d Ambohijatovo et de la place du 13 mai depuis le début du mois de mai dernier, pourrait-elle être à l origine de cette nouvelle donne? Ces dernières semaines pourtant, force est de constater que la tentative de la Free fm de rameuter une foule pour une nouvelle pression de la rue s est essouflée. Les mauvaises langues disent même que la célébrité de Lalatiana et Fidèle a été volé par Remenabila. Après la dislocation de l offensive Free Fm, force est de constater que le mythe et terreur autour de Remenabila tend à temporiser la reprise de force et vigueur d Ambohitsorohitra. Si le premier essai du 19 mai 2012 a crée une panique au sommet de l Etat où une foule monstre avait répondu à l appel ce samedi là pour investir la rue logeant Ambohijatovo jusqu à l avenue de l indépendance, ce n est plus le cas les samedis qui ont suivi. Aujourd hui, beaucoup pense que l essoufflement de l agitation de la rue redonne à l équipe d Ambohitsorohitra une certaine force et vigueur. Si c est le cas, les éléments de la mouvance Ravalomanana, notamment les dissidents du groupe membres de l actuelle Transition, ontils raison en se déclarant pessimistes au projet de rencontre entre Rajoelina et Ravalomanana? Quoi qu il en soit, plus d un estime que la réussite ou le fiasco du prochain tête-à-tête Rajoelina-Ravalomanana dépendra de l évolution de rapport de force qui se dessine sur terrain. Le FFKM peut-il aller jusqu où pour son contre poids montant contre l Exécutif? Après la dislocation de l offensive Free Fm, force est de constater que le mythe et terreur autour de Remenabila tend à temporiser la reprise de force et vigueur d Ambohitsorohitra. Quoi qu il en soit, beaucoup pense que si le volume d affluence du samedi 19 mai ne s est plus répété, c est parce que les deux principaux initiateurs du mouvement, le duo infernal du Free fm, déçoivent les militants de par leur absence répétée sur terrain (lachêté). Les «militants sans tête» murmurent que si les deux animateurs du Free fm ne s apprêtent pas encore à prendre la peau d un «guerrier», lequel n a pas peur d une arrestation, ils n auraient pas encore dû déclencher la «pression de rue» et attendre le moment venu. Le hic c est qu il faudra encore du temps pour rallumer l enthousiasme de la foule volatilisé après le rendez-vous du samedi 19 mai. A défaut d une pression de la rue, il s avère que seule l institution militaire, et probablement Remenabila, peut contrebalancer l hégémonie d Ambohitsorohitra. Le gosier des Botozaza et Cie et leur boycott aux réunions gouvernementales ne tremblent pas la cour. Zanatsoa

5 Le Libéral, n 06 Page 5 LEADER FANILO Célébration du 20e anniversaire La force du LEADER Fanilo? C est son rêve pour Madagascar : Madagascar en tant que nation, au-delà des considérations tribales ; Madagascar en tant que pays prospère porté par l idéologie libérale et la participation de tous les Malgaches sans exception... Lundi 15 juin 1992 : obtention du récépissé auprès du ministère de l intérieur ; le LEADER Fanilo commença à exister officiellement comme parti politique. Exactement 20 ans après, le vendredi 15 juin 2012 le Parti a célébré son vingtième anniversaire au Carlton Anosy ; de l eau ont coulé sous le pont, du chemin a été fait, des épreuves ont été franchies ; s il était seize a avoir fondé le parti, certains sont «partis» Les guerres se succèdent, l âme du guerrier reste éternelle. La force du LEADER Fanilo? C est son rêve pour Madagascar : Madagascar en tant que nation, au-delà des considérations tribales ; Madagascar en tant que pays prospère porté par l idéologie libérale et la participation de tous les Malgaches sans exception (LIBERALISME économique action DEMOCRATI- QUE). L homme a besoin de se tenir constamment éveillé, l homme a besoin d être attaché à la réalité par le rêve. C est de ce rêve que les fondateurs ont transmis à leurs concitoyens : maintenant le LEADER Fanilo compte des milliers de membres éparpillés dans toute l île. Le 21 juillet qui vient ses jeunes membres, issus des quatre coins du pays, vont tenir une concertation nationale pour lancer le Parti sur les prochains 20 ans. Vendredi 15 juin à partir de 15h à la salle Ravinala du Carlton Anosy : montée sur l estrade des quatre membres fondateurs Antoine Zafera Rabesa, Manassé Esoavelomandroso, Noël Andriamiarisatrana, Toto Alphonse et le secrétaire général national Alain Rakotomavo (qui n est pas un membre fondateur), entonnement de l hymne national, le président national Manassé Esoavelomandroso ouvre la prise de parole, recueillement d une minute de silence en mémoire des membres «partis pour un monde meilleur», le secrétaire général national Alain Rakotomavo prononce son discours, qui s apparente davantage à un exposé de mise en contexte qu à une prestation oratoire, retour du micro à M. Esoavelomandroso qui tient le rôle de modérateur. Puis début des échanges question-réponses avec le public, où, les politicards à tête ennuyant et discours de langue de bois avaient bien monopolisé la prise de parole. Vers la fin des simples membres et citoyens ont été quelques peu déçus de n avoir pas pu s exprimer. Le cocktail termina la cérémonie. Hasina Raveloson

6 Le Libéral, n 056 Page 6 20e ANNIVERSAIRE Le discours du secrétaire général national Alain Rakotomavo Honorables invités, Monsieur le Président National du LEADER FANILO, Messieurs les membres fondateurs du LEADER FANILO, Mesdames, Messieurs, Permettez-nous, tout d abord, de vous réitérer nos meilleures salutations ainsi que nos remerciements les plus chaleureux pour avoir honoré notre invitation. Le LEADER FANILO a vingt ans. Rappelons pour mémoire que le Parti fut créé le 27 mai 1992 par Herizo RAZAFIMAHALEO et 15 de ses camarades. Nous vous avons convié à cette réunion pour partager avec nous notre appréciation sur le vécu du Parti pendant ces 20 ans. Pour cette raison nous avons invité les partis politiques de différentes obédiences, des membres de la Société civile ainsi que des observateurs de la vie politique. En parlant des affaires nationales on s exprime sans détour en faisant abstraction des liens pouvant exister entre les personnes (ny raharaham-pirenena hono tsy hanan-kavana), aussi nous nous excusons auprès de certaines personnes si malencontreusement ils se sentent offensés par certains de nos propos. Quand le débat s ouvrira tout à chacun aura le loisir d exprimer son point de vue, c est d ailleurs la raison d être de notre conférence-débat d aujourd hui. Ceci n est qu un exposé-introductif et nous espérons vivement la participation de tous au débat. Le LEADER FANILO a vingt ans, si c était un homme ou une femme la personne aurait atteint l âge de la maturité, il ou elle sera en mesure de voler de ses propres ailes, pourra exprimer son opinion et le soutenir. La vie du LEADER FANILO est passée par 5 phases : Première phase : la création du LEADER FANILO Le LEADER FANILO a vu le jour sur l idée de «faire la politique autrement», en cherchant à convaincre les malgaches par les idées que véhiculera le parti. Pour rappel, souvenons-nous qu en 1992 la lutte populaire a eu raison du régime AREMA, en cette période l opinion publique pensait que la démocratie allait s installer durablement et qu il aurait été possible de faire valoir ses idées et de faire de la politique librement. Les but et objectifs du parti ont été explicités dans ses Statuts, qui peuvent se résumer ainsi : Sur le plan politique lutter contre toute forme de dictature, chercher les voies et les moyens pour instaurer et défendre une démocratie véritable qui sera respectueuse de l alternance à travers des élections libres et transparentes et des libertés fondamentales, et concourir à l épanouissement d un Etat de droit, Etat qui se décentralisera par région ; Sur le plan économique agir pour instauration et la défense de la liberté d entreprise dans le contexte libéral de l économie de marché. Phase 2 : la mise en application des principes énoncés Les fondateurs du parti n ont pas ménagé leur peine pour créer ses démembrements à travers l île. Ils ont promu les idées du LEADER FANILO partout où cela a été possible. Pour ceux qui ont été convaincus, une formation leur a été dispensée pour en faire des militants aguerris sur le plan politique. Le Parti présenta des candidats aux différentes élections : législatives, municipales, présidentielles, régionales et sénatoriales. Le Parti a eu plusieurs élus : députés, Maires, conseillers municipaux, conseillers régionaux, sénateurs. Il est apparu que le parti était implanté dans les différentes régions de l île et qu on rencontre en son sein les différentes catégories sociales. Il est, aussi, apparu que les membres du LEADER FANILO étaient des gens motivés, bien formés et dotée d une certaine personnalité. Il fut pourtant difficile de se faire élire car les membres du parti n éteint pas des adhérents du parti-etat. Les fonctionnaires d autorité à la base faisait tout pour faire élire les candidats du parti-etat jusqu à fausser les résultats sortis des urnes. Le LEADER FANILO a participé à différents gouvernements mais quand les résolutions prises s écartaient de ses valeurs et principes le Parti n a pas hésité à quitter le pouvoir. Néanmoins bien que partie prenante dans les différents gouvernements ces membres n ont jamais pu se considérer comme candidat du parti-etat car ils n appartenaient pas au parti présidentiel. Les fonctionnaires d autorité à la base usaient des prérogatives de puissance publique pour créer des embûches dans la gestion des affaires courantes par les Maires élus au nom du Parti. On les obligeait indirectement à quitter le Parti ce qui fut effectivement le cas de certains d entre eux. Pour conclure, on peut avancer qu à la base la démocratie était un leurre donc certainement pour le pays en entier. Il est, dès lors, difficile d envisager une alternance par des élections libres et transparentes. Phase 3 : La Table Ronde sur l Ethique Politique 3 et 4 mars 1999 De ce constat, le LEADER FANILO a pris conscience qu il n est pas seul acteur dans l arène politique et qu il ne suffisait pas de faire la politique autrement mais il doit convaincre les autres hommes et partis politiques pour un renouvellement de la pratique politique pour qu il permettre une alternance pacifique au pouvoir. D où l idée d organiser une concertation des hommes et partis politiques. 19 partis politiques les plus représentatifs ont répondu à l appel, peu ont dédaigné l invitation. Les résolutions prises sont toutes importantes qu il est difficile d en faire une synthèse, toutefois du fait de la contrainte temps nous nous sentons obligés de le faire : L Homme politique est un CITOYEN qui doit avoir le sens du patriotisme, être soucieux avant tout des intérêts de la nation, doit privilégier l esprit du fihavanana et être animé d un esprit de tolérance ; L Homme politique est un ACTEUR DE LA VIE PUBLIQUE, à ce titre il doit posséder les connaissances fondamentales et le savoir-faire requis, être respectueux du verdict des urnes et avoir du respect pour ces concurrents ; L Homme politique peut, à un moment ou un autre, être au POUVOIR ou dans l OPPOSITION : Etant au Pouvoir il doit défendre les intérêts nationaux et servir et non point se servir et il doit accepter les critiques ; Etant dans l Opposition, il devra présenter une véritable alternative au pouvoir, jouer le rôle de contre-pouvoir et se préparer à l alternance. Il est du DEVOIR D UN PARTI POLTIQUE d éduquer politiquement les citoyens, de former ses membres et d encadrer ses élus, de présenter des candidats aux élections et d avoir en tout temps un comportement responsable. Phase 4 : : les résolutions de la Table Ronde des partis politiques n ont pas pu se réaliser Le LEADER FANILO espérait l adhésion des hommes et partis politiques aux résolutions prises lors de ces assises et que la pratique politique allait changer de nature. Grande fut sa déception car la vie politique passa une période des plus sombres de son histoire. En 2002 Monsieur Ravalomanana monta à la magistrature suprême. Après avoir été élu de Maire de la capitale deux (2) ans auparavant, il sollicita le suffrage du pays tout entier qui le consacra à la tête du pays. Le peuple malgache a été déçu de Ratsiraka et jeta son dévolu sur le nouveau messie Marc Ravalomanana. Le LEADER FANILO a été victime du régime Ravalomanana qui s apparenta à un pouvoir autocratique. Le régime prit des mesures pour restreindre les libertés fondamentales comme la liberté d expression ou la liberté de réunion. Les pressions à la base sont des plus virulentes comme le détournement des choix des électeurs. Si par un heureux hasard le Parti arrivait à faire élire son candidat les autorités locales cherchaient les différents moyens pour lui faire obstruction dans la réalisation de sa mission, allant jusqu à des menaces d emprisonnement ect Le Parti a été même obligé de donner la bénédiction à certains de ses élus de quitter le parti pour leur éviter d aller en (Suite page 7)

7 Le Libéral, n 06 Page 7 (Suite de la page 6) prison. Malgré ces faits et se basant sur le principe que l alternance au pouvoir ne devrait se passer qu uniquement par des élections, le Parti décida de présenter un candidat lors de l élection présidentielle de Grande fut sa consternation en constatant que le détournent des voix ne se passait pas uniquement à la base mais pouvait aussi se dérouler ici à Antananarivo en pleine lumière. On se rappellera de la nuit où les ordinateurs du Ministère de l Intérieur tombèrent en panne, et de la 2 ème place où était notre candidat il se retrouva à la 4 ème place et sans pouvoir redresser par la suite la situation. Sur le plan économique, il est de notoriété publique que sieur Ravalomanana régnait pratiquement seul dans presque tous les secteurs d activités. Il se croyait impuni qu il osa même défier les bailleurs de fonds internationaux en leur livrant des fausses informations, ces méfaits sont allés jusqu à céder des milliers d hectares de terrains à des étrangers. Le Peuple malgache fut exaspéré de cette situation. Quant à lui, le LEADER FANILO ne participa plus aux élections municipales de 2007 sachant que les résultats étaient biaisés. Alors quand le peuple d Antananarivo manifesta dans le rue pour abattre le régime de Ravalomanana et que les Provinces suivirent le mouvement, et bien que contraire à ses valeurs le Parti se rangea aux côtés des manifestants. Phase 5 : de 2009 à ce jour, le changement n est pas au rendez-vous Le sieur Ravalomanana pensait être insubmersible qu il mésestima le peuple. Il a oublié les leçons de l histoire, Philibert Tsiranana a été élu à 99% en 1971 et a été destitué par la rue en Ratsiraka a gagné les élections présidentielles en 1989 pour quitter le pouvoir en La destitution de Ravalomanana était la réponse du peuple à l arrogance de Ravalomanana. La situation présente. Est-ce un mauvais rêve mais on croit revire les événements ayant eu cours dans le passé. Un homme qui a sollicité les voix de la ville d Antananarivo pour être leur Maire, puis qui est arrivé à convaincre le peuple malgache en entier et qui se trouve maintenant au pouvoir. On ressuscite les pratiques anciennes pour limiter les libertés fondamentales comme la liberté d expression ou la liberté de manifester. Sur la gestion des affaires publiques les ordres venant du pouvoir central s impose à la périphérie. La question se pose, alors, si dans un tel contexte les prochaines élections seront-elles libres et transparentes? Sur le plan économique dans le giron du pouvoir gravitent les affairistes de tout acabit qui ne pense qu à leurs propres intérêts. C est le cas des trafiquants de bois de rose ou les luttes d influence dans le secteur des mines. Le peuple est le grand oublié et ses conditions de vie ne cessent se dégrader durant ces trois (3) années de transition. L économie se détériore, le secteur privé monte au créneau et dénonce cette descente aux enfers. Le changement attendu n est pas au rendez-vous et le danger imminent est le délitement de l Etat. Il est vrai que seules les élections pourront remette les choses en ordre, néanmoins il est inadmissible que l autorité de l Etat se délite et que la défense des biens et des personnes n est plus assurée. Il est inconcevables de voir des ordres de bandits de grand chemin, non plus quelques individus mais par centaine, défier les forces de l ordre comme c est le cas actuellement à Befotaka. Le LEADER FANILO a depuis un certain temps dénoncé cette déliquescence de l Etat et en soulignant que la résolution des problèmes politiques n est pas une raison pour que s installe la barbarie. Ces faits ne sont pas nouveaux des événements ont été les précurseurs comme l attaque du Commissariat d Antsohihy, la marche des gens de la Commune d Ilakaka-Vohipeno et ses environs, le problème persistant des Foroche à Antsiranana et bien d autres. L autorité de l Etat de délite de partout mais l aspect sécuritaire n est qu une de ses manifestations. Les 5 phases de la vie du LEADER FANILO pendant ces 20 ans vous ont été présentées. Si tel est la rétrospective, quels sont les perspectives? A court terme. Les élections vont venir et le peuple va se prononcer. Le peuple malgache a pour habitude de chercher un messie, dans la situation présente qui sera le messie auquel il fera appel pour le sortir du gouffre où il est tombé? Jusqu à présent, selon nous, il parait difficile aux malgaches de choisir selon les idées avancées. Le peuple est manichéen, pour lui c est blanc ou noir. Nous le subissons actuellement. Quand on se met à critiquer le régime de la transition on nous traitre de pro-ravalomanana, et quand on critique Ravalomanana ou ses partisans on nous reproche d être des pro-régimes. Une telle alternative s est déjà posée au peuple malgache en 2009, le choix était entre Ratsiraka et Ravalomanana qui se prévalait, en ce temps, d être le nouveau messie. Nous avons préconisé une autre ligne entre l immobilisme de Ratsiraka et aller à l aventurisme avec Ravalomanana mais nous n avons pas été entendus. Le moment est peut être venu de la part des politiciens de cesser d infantiliser les électeurs en leur amenant des artistes de renom ou en leur distribuant des tee-shirts ou des paréos. Mais il aussi il est grand temps que le peuple soit mature et se prononce sur les idées des uns et des autres mais non de se satisfaire des friandises comme des enfants. A long terme Le défi qui se pose à long terme est le redressement national. Le pays n est jamais tombé aussi bas, comment préjuger que l armée qui est le dernier rempart soit ainsi défié par des brigands. Ce n est pas encore le moment de la propagande électorale mais nous signifions dès à présent ce qui nous semble être les priorités : La première priorité est la lutte contre la détérioration des conditions de vie de la grande masse et en particulier des enseignants sans quoi il n y aurait pas développement ; Et, second lieu la lutte contre le chômage urbain des jeunes dont les diplômés de l enseignement supérieur dont l errance dans la recherche d un emploi est une pure perte tant pour les parents que pour la nation tout entière. Nous pensons que le développement économique ne peut s envisager sans l adhésion du peuple. Tout espoir n est pas perdu: Car selon l enquête auprès des ménages réalisé par l INSTAT (EPM 2010) si 76,5% sont pauvres selon les normes internationalement établies quand la question a été posée aux individus seuls 47% se sentent réellement pauvres, donc 30% refusent ce statut ce qui traduit une volonté de sortir de cette état de déchéance ; Nous interprétons également les revendications des enseignants comme l expression de leur détermination de lutter contre la paupérisation. Toutefois sans démocratie véritable le développement économique ne pourrait s envisager. Il y a ceux qui croient que comme avec une baguette magique après les élections les aides extérieures vont venir. De ce fait, l économie va se redresser d elle-même et dans la foulée la situation sociale va s améliorer. C est un raccourci dangereux car les économies des pays du Nord sont en crise qu il est difficile de trouver des financements par les temps qui courent. Les donateurs vont poser de multiples conditions pour juger les demandes de financement des pays demandeurs. Le respect de la démocratie et des libertés fondamentales seront parmi les premiers critères. Sont alors liés la recherche de financement et le respect de la démocratie et des libertés fondamentales. Les élections doivent être libres et transparentes, et le régime se doit de respecter les libertés fondamentales pour être éligible au financement. C est malheureux de le constater ce qui n a pas été possible entre les malgaches à travers les résolutions de la Table Ronde des partis politiques sera effective avec les contraintes venus de l extérieur. Ce qui a été proposé n est qu un bilan Le LEADER FANILO est un parti politique, ce qui se passe actuellement est la preuve que le parti est bien vivant même après la disparition de son Président-fondateur Herizo RAZAFIMAHALEO. Nous qui dirigeons actuellement le parti avons pour mission de continuer l œuvre de ses fondateurs. Nous vivons au sein du parti une période transitoire. Pour la continuité une relève s impose à travers de nouveaux cadres expérimentés et dotés des compétences pour diriger le parti, come il a été préconisé par la Table Rond des Partis politiques. Nous nous préparons à cette échéance et nous vous invitons à assister à la prochaine conférence-débat qui portera sur le thème «le LEADER FANILO et la relève». Les hommes passent mais le parti reste. Merci de votre attention.

8 Le Libéral, n 06 Page 8 L A C H R O N I Q U E B L E U E Hier, aujourd hui et demain Hier. Madagascar a commencé à être peuplé à une période où l Empire romain était sur sa phase de déclinaison. L île n a quasiment pas connu l Antiquité. Cette première subdivision de l histoire est pourtant la plus étincelante si on se réfère à un certain Friedrich Nietzsche. En effet, le plus ancien site archéologique de Madagascar, connu avec certitude, date seulement de 406 ap. JC. C est n est donc qu à ce début du Ve siècle de l ère chrétienne que ce bout de terre détaché du Gondwana depuis des millions d années reçoit ses premiers hommes, l opportunité d engendrer des hommes préhistoriques n a pas été le sien. Les mondes malais, indien, africain, tout comme l Arabie ont fourni la population malgache. Les premiers à accoster l île sont-ils de type africain? Il y a des chances. Et les derniers, des Malais? C est trop simpliste, et ça réduit la dynamique du passé malgache à l opposition entre deux races. En tout cas, les Zafiraminia, vague de migrants venus d Inde et d Arabie, sont réputés à l origine des royautés malgaches allant de celles du Sud-Est, passant par celles du Sud-Ouest et continuant jusqu à être à la genèse hypothétique des premiers souverains betsileo et merina. En fin de compte, les diverses royautés malgaches seraient issues d une unique souche. L Imerina. Etymologiquement le mot signifie «le pays des hauteurs». Son plus ancien site archéologique connu se situe dans l Avaradrano : celui d Ankadivory daté du XIIe siècle. Ses premiers habitants auraient descendu la vallée du Mananara et ont atterri dans l Avaradrano. Ses premiers royaumes ont vu le jour à la lisière orientale, résultat de la poussée de vague de conquérants s avançant progressivement depuis Fanongoavana, Imerimanjaka puis débouche à Alasora, à partir duquel les conquêtes ont adopté un rythme plus soutenu. Vers 1610 en effet, la lignée de ces nouveaux maîtres enlève la colline d Analamanga. Entre temps, les habitants du pays ont pris la dénomination Merina (ceux-qui-se-sont-élevé) que l on peut interpréter de deux manières dont la première fait référence à l altitude élevée du pays, tandis que la seconde renvoie au dépassement civilisationnel (aménagement de rizières et domestication du bœuf) que les partisans de Ralambo ont pris sur les Vazimba. La nation malgache. Nous sommes une diversité de groupes qui partage un seul territoire ; notre langue se présente sous-forme d une variété de dialectes mais que les linguistes soutiennent l unicité de fond ; il en est de même pour notre culture, disséminée en multitude au gré des contextes historiques et des contraintes du milieu physique. Les Sakalava sont les premiers à tenter de fédérer la pluralité des groupes politiques sous une seule autorité. Les Merina les ont relayés mais c est la France qui y parvient au bout du compte lorsqu en 1904 Lyautey pénètre le pays des épines. De ce fait, la parenthèse coloniale est en quelque sorte le temps de la cohabitation forcée entre des frères jusque là rivaux. D où le malaise s établissant entre eux une fois la France retirée. C est le temps de l invention du fihavanana afin de faire face à ce défi. Jusqu à présent nous avons relevé le défi puisque la «naturalité» a triomphé des «velléités». Notre essence est que nous sommes une nation en soi consacrée par la définition «une nation est un ensemble de communauté vivant sur un seul territoire, et ayant en partage une même langue et culture.» Le séparatisme est la tentation qui essaie de naviguer à contre courant de cette nature. Aujourd hui. Madagascar est une nation toute récente de par notre prise de possession tardive de l île ; et la cohabitation des groupes est à l épreuve de la «politique des races» cultivée et du revers de l unification ratée du XIXe siècle. Ce qui fait que l on continue à tâtonner jusqu au présent actuel. Et quand les politiques tergiversent ainsi, l ensemble stagne et recule même. Pourtant le temps présent est une époque de pleine course entre toutes les nations du monde. Le contexte ne peut attendre le réveil malgache de la torpeur, faute de quoi on est sans cesse distancé. Cela se traduit par une situation économique et sociale désastreuse. L avenir est un défi tout court. Hasina Raveloson

9 Le Libéral, n 06 Page 9 HASIN NT ANTOKO POLITIKA Mpikatroka toy ny inona no ironan ny vahoaka? Mitohy ny hetsika ho fanamarihana ny faha-xx taonan ny antoko Leader Fanilo amin ity taona ity. Amin izao fanamarihana ny jobily faharoapolo taona izao, miverimberina ao an-tsaina ny anjara toerana misy ny antoko politika, tsy ny Leader Fanilo irery ihany fa ireo antoko politika rehetra aman anjatony mandrafitra ny tontolon ny fiainam-pirenena. Tsy azo lavina fa mbola ny olon ny antoko politika no mibahana ny familiana mivantana ny raharaham-pirenena ankehitriny. Teboka miabo ho an ny mpanao politika izany satria azo heverina ho mamaly ny lojikan ny fitsinjaràna ny anjara asa tandrify ny tsirairay ihany izany eo amin ny fampandrosoana ny firenena. Iza tokoa moa no tsy manaiky fa tokony an ny mpanao politika ny sehatra politika, an ny fiaraha-monimpirenena ny arofanina, an ny tafika ny tandroka aron ny vozona sns. Ny fanontaniana mipetraka hatrany hatrany fotsiny ny hoe aiza ho aiza ny fahatokisan ny olom-pirenena sy ny vahoaka tsimandadiharona ny mpikatroka politika malagasy? Tsikaritra aloha fa niato kely nandritra ny andro vitsivitsy nialohan ny fankalazana ny fetimpirenena ny hetsika fitaomana ny vahoaka hidina an-dalambe. Tranga ara-dalànana na aiza na aiza izany rehefa mivolom-pety ny andro. Fa raha asiana jery todika kely kosa ireo hetsika nitaomana ny vahoak Antananarivo mba hanemitra ny Kianjan Ambohijatovo sy 13 mey tao ho ao izay, betsaka ny ho eritreretina nentin ireo seho rehetra ireo, indrindra moa raha te hanakatra tsotsotra ny ao an-dohan ny Malagasy na ny mponin Iarivo, manoloana ny mpisehatra politika malagasy tsy ankanavaka. Raha nitaona voalohany ny vahoak Antananarivo nidina teny amin ny kianjan Ambohijatovo ry Lalatiana Rakotondrazafy sy Fidèle Razarapiera ny faha-19 mey lasa teo dia tsy nampoizina fa vahoaka sesehena no namaly ny antso. Nony tsy sahy nipoitra teny an-kianja anefa izy dahy noho ny tahotra fisamborana dia ny mpanao politika no nifandimby niantsehatra nitarika ny hetsika teny an-kianja mba tsy hahakamboty ireo sisa namaly ny antso isan-kerinandro. Kindaindain olona anefa sisa no tazana teny an-kianja taty aoriana. Nahoana? hoy ny mpandinika. Raha vakiana tsotsotra ny hafatra, olon-tsotra tsy avy amin ny antoko politika nefa mahafehy ny kirakira politika no ilain ny vahoaka hitarika ny hetsika politika an-kianja toy ireny. Ny mahalasa ny eritretritra fotsiny dia ny hoe izany koa ve no mety volovolon ny olona mety hahafatifaty ny vahoaka amin ny fifidianana ho avy hifanesy eo? Raha izany tokoa no izy, mba firy amin ny sarambabembahoaka anefa no mahafantatra fa hay kay ny antoko politika ihany anie no namolavola tany antakonanana tany ny ankabeazan ireny heverin ny maro ho tsy mpanao politika nefa lasa matihanina teo amin ny kianja politika ireny é. Asa aloha fa anjaran ny etamazaoro tsirairay no mitsakotsako izany sy mamisavisa ny tetipanoriny avy eo am-piatrehana ny safidim-bahoaka ho avy eo. Zanatsoa

10 Le Libéral, n 06 Page 10 EURO 2012 AMBONGADINY A Ho tampina ve ny karatra mavo sy mena? ndro vitsy sisa no isaina dia hifarana ilay fifaninanana baolinka kitra avo lenta ikatrohan ny samy aratra any Eoropa any. Tsy takona afenina aloha fa dia nifaly havanja tokoa ny mpitia baolina kitra malagasy nony re tamin ny ora farany fa afaka mandefa manontolo indray ireo lalao rehetra tafiditra ao anatin ny Euro-2012 ny Teliviziona Malagasy (Tvm) ; raha tsy nisy afa-tsy lalao 8 monja no saika hitan ireo Malagasy maro an isa tsy mahatakatra ny saran ny fahitalavitra avy amin ny zanabolana. Nolazaina fa noho ny fandraisan andraikitra nataon ny Filohan ny Tetezamita Andry Rajoelina sy ny minisitry ny serasera Harry Laurent Rahajason no angady nananana sy vy nahitàna ka nahafahana nandefa manontolo ao amin ny fahitalavi-pirenena indray ny lalao rehetra mandritra ity Euro Madiva hifarana ity ilay iray volana nahaverivery dia ny Malagasy noho ny fanjohiana ny Euro A nkehitriny, mety hisy ve tandapan Ambohitsorohitra hamisavisa ny isanjaton ny Malagasy mpankafy lalao baolina kitra mety ho nandairan ilay pi-maso politika avy amin ny fitondrana amin izao fanomezana fahafaham-po azy ireo nadritra izay iray volana nanarahana ny Euro-2012 izay? Ny hita hatreto aloha dia ny mihanoka ny fahafinaretana ao anatin ny seho marolafy entin ity fifaninanana baolina kitra ity no tena mibahan-toerana amin ny mpijery Tvm manerana ny Nosy fa tsy andrenesam-peo firy kosa ny fiventesana trar antitra sy ho ela fanapahana hoan ireo nandray andraikitra. Isaorana era-mpo na izany aza ny ezaka trara, ao anatin izany ny famalifaliana ny vahoaka Malagasy manerana ny Nosy noho ireo hetsika rehetra nentina nankalazàna ny fitimpirenena, toy ny fanapoahana afomanga sy ny seho an-tsehatra isankarazany. Fiteny Malagasy rahateo ny hoe inonao izay isan ny omby maty any fa ny hena aloha hanina!. a izany na tsy izany, tsy ilaina ampahatsiahivina etoana intsony fa efa tafiditra ao anatin ny adidy andavanandron ny mpitondra fanjakana ny hikatsaka izay mety rehetra ho fanomezana fahafaham-po ny va- N hoaka entiny. Ny fikarohan-dàlana ho fanomezana fifaliana ny besinimaro tamin ny fahafahana nandefa manontolo ny lalao Euro-2012 dia tsy adidy manokana ambon izay tokony andrasana amin ny mpitondra akory fa efa tafiditra tanteraka amin ny andraikitra efa nekeny hiantsorohana nony nilatsaka an-tsitrapo handray ny tehimpanapahana izy. Noho izany, tokony hihoby sy hiventy dera sy laza ho an ny mpitondra ve izany ny vahoaka maro an isa tsy mahatakatra irony fahitalavitra avy amin ny zanabolana irony satria tsy nangasihasy sy nipitrapitra tamin ny fanarahana lalao 8 monja voatondro tany am-pihandohàna? y mifanohitra tamin izany angamba no izy satria inona moa no iteronteromana eo ambony seza fiandrianana N eo raha toa ka tsy ho afaka handray andraikitra heverina ho kely indrindra andrasan ny vahoaka aminy akory? Raha tsy izany, hirarakompana eo ny karatra mavo sy mena raha higadona ihany ilay daty iray toa zato akisaka lava iry mba hanehoan ny vahoaka ny fahefany sy ny fitsaràny. Zanatsoa S A R I S A R Y T E T S Y S Y T E R O A Inona no marina miafina ambadik ity raharaha ity?

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